J'ai 39 ans et je vis à droite et à gauche, dans le monde entier. Dans la vie, je suis reporter sans frontières (officiellement) / arnaqueuse-cambrioleuse (officieusement) et je m'en sors très confortablement puisque mes clients sont des personnes très riches. Sinon, grâce à ma volonté, je suis célibataire et je le vis plutôt très bien puisque je ne désire aucune attache sentimentale en ce bas monde.

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1. Afrique. C’est au cours d’une mission humanitaire -dans une tribu africaine éloignée de toute civilisation- que Laney a vu le jour. Ses parents étant médecins sans frontières à cette époque-là, c’est tout naturellement qu’ils ont consacrés une grande partie de leur existence à la misère des pays sous-développé. C’est lorsque la petite fille qu’elle était a atteint son huitième anniversaire que le retour à la société américaine fut acté. 2. Hyperpolyglotte. De part sa nationalité et son enfance plutôt atypique dans les contrées Africaine, Laney possède la capacité de parler plusieurs langues depuis la naissance. La gamine ayant fait du chemin depuis, sa passion d’apprentissage des langues étrangères n’a eu de cesse de grandir et Laney parle un peu plus de six langues aujourd’hui. Anglais ; swahili ; français ; italien ; espagnol ; coréen ; russe ; sont une fourchette des langues qu’elle maîtrise et parle couramment. 3. Mythomanie. Laney ne sait pas si c’est maladif ou par mesure de sécurité, mais elle passe son temps à dire n’importe quoi à n’importe qui. Et plus c’est gros plus ça passe, bien sûr. Sinon ce ne serait pas drôle. Dans le cadre de son travail officieux c’est plutôt une qualité, vous me direz. 4. Tabac. Laney n’est pas une fumeuse invétérée -n’ayant pas d’addiction particulière à la nicotine- mais parfois en société elle se dit que c’est sympa de s’en griller une et que ça facilite certaine rencontre. 5. Cleptomanie. Si dérober les biens d’autrui étaient au départ une manière simple de devenir rapidement riche, c’est à présent devenu un mal bien difficile à guérir pour Laney. Parfois, il arrive qu’elle vole des choses qui lui sont totalement inutiles, juste pour le plaisir de voler. Mais elle se soigne. Elle essaie, du moins. 6. Solitude. Plus par choix que par envie, d’ailleurs. Laney a très vite appris que le monde ne souriait pas aux gens bien qui se fondaient dans le moule de la société bienpensante. Elle a donc très vite compris que pour réussir à s’y frayer une place –en plus d’y vivre confortablement et librement- il fallait faire des choix souvent désagréables. Être seule en faisant partie. Laney ne se voit absolument pas travailler avec la peur au ventre de perdre les êtres qui lui seraient chers. Elle part donc dès que des sentiments apparaissent entre elle et les gens qu’elle est amenée à côtoyer, ce qui est souvent source de tristesse et colère. 7. Vagabonde. Laney ne possède aucun bien immobilier ni même mobilier dans ce bas monde. Elle voyage au grès des boulots qui la tente et loge très généralement dans des hôtels miteux pour ne pas laisser transparaitre sa richesse. Elle n’est pas devenue riche pour vivre dans l’exubérance, d’ailleurs. Elle est devenue riche pour mettre sa famille à l’abri du besoin, pendant qu’elle voyage librement autour du globe. 8. Photographie. Une passion qui la toujours suivi dans ses aventures et qui a fait de Laney une professionnelle de l’objectif. Elle maîtrise cet art comme peu de non diplômés peuvent se vanter, si bien qu’elle envisage un jour très lointain d’en faire un métier. L’achat d’une galerie serait largement à la portée de ses finances et les expositions seraient une bonne manière de faire des bénéfices légalement. Mais pour l'heure ce n'est plus un rêve qu’un projet. 9. Boxe. Laney est une passionnée de boxe. Quand le temps lui permet, elle aime bien assister à des matchs ou même regarder leur retransmission sur les écrans de télévisions des chambres où elle séjourne. Elle a fréquenté un boxeur pendant un temps, d’ailleurs. Une histoire qu’elle garde encore dans son cœur aujourd’hui, tant il lui a permis de surmonter les épreuves douloureuses de son passé.

J'ai 22 ans et je vis à Los Angeles, Etats-Unis. Dans la vie, je suis actrice et je m'en sors très confortablement puisque je suis une star montante à Hollywood après une carrière plus discrète en Angleterre. Sinon, grâce à ma carrière, je suis célibataire et je le vis plutôt bien puisque je n'ai pas le temps de vraiment m'y consacrer. C'est plus le manque de sincérité dans mes relations amicales et flirts qui me peine.

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Hollie a toujours été sous le feu des projecteurs. En tant que mannequin enfant quand elle n'était encore qu'une petite-fille (pour ne pas dire un bébé, carrément) ; puis en tant qu'actrice dans une sitcom britannique lorsqu'elle fut en âge de retenir un texte  tout en jouant la comédie. Cela n'a pas été un bide! Mais cela n'a pas été non plus le succès mondial, escompté par la production. La sitcom est tombée dans l'oublie (aussi vite qu'elle n'a fait la une des médias anglais) et tous ces acteurs ont dû repartir de zéro dans l'espoir de décrocher enfin le rôle de leur vie. Pour y parvenir : les parents d'Hollie ont pris la décision de quitter leur pays natal en direction d'Hollywood. Après des années de casting acharné, la jeune femme a enfin décroché les rôles qui font d'elle la star adulée de toute une génération. Une série pour adolescent (ainsi qu'un film) dont elle est la tête d'affiche. Un succès retentissant qu'elle n'imaginait pas et qu'elle n'imagine pas encore mondial.

J'ai 26 ans et je vis sur un satellite, la Lune. Dans la vie, je suis soldate et je survie (c'est tout ce qui compte). Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt mal puisque j'aurai voulu que mon âme-sœur me suive dans mes choix.

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Maisy est une coquille. Un être sans pouvoir qui -à l'adolescence- c'est vu arraché à ces parents pour devenir celle qu'elle est aujourd'hui : une soldate surpuissante. Sa motivation à être disciplinée? Revoir sa famille (parents ainsi que son jeune frère). Sauf que depuis quelques temps maintenant, Maisy s’aperçoit que sa destinée l'appelle vers d'autres horizons : la Terre. Là-bas, elle aspire à rejoindre la rébellion pour faire tomber le pouvoir en marche sur la Lune, qui n'est que dictature. Un but qu'elle désire atteindre, quel qu’en soit les sacrifices.

J'ai 24 ans et je vis à Seattle, Amérique du Nord. Dans la vie, je suis caissière dans un hypermarché et je m'en sors bien, ni trop riche ni trop pauvre. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt neutralement puisque je me dis toujours que l'amour viendra lorsque je m'y attendrai le moins.

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Mollie est une fille banale, dans une ville banale et à la vie banale. Elle a arrêté très jeune ces études parce qu'elle n'aimait pas étudier et s'est trouver le premier petit boulot qui passe pour devenir indépendante. Elle n'est pas stupide mais juste un petit peu naïve. Elle pense que tout le monde est beau et gentil.  

J'ai 49 ans et je vis à Sydney, Australie. Dans la vie, je suis photographe de mode ainsi qu'auteure à mes heures perdues et je m'en sors aisément puisque j'ai la chance de transformer en or tout ce que je touche. Sinon, grâce à mon manque d'investissement, je suis fiancée depuis des années à un homme désagréable et je le vis plutôt mal puisque l'ambiance à la maison est très désagréable.

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Il y a eu sa Jodie...
Passionnée de pâtisserie, Jodie était à la tête d'un modeste salon de thé, pour lequel elle investissait tout son temps. Elle n'oubliait pas son mari et sa fille pour autant! Elle gardait même toujours leur gâteau préféré pour le dessert du soir! Mais elle voulait que ses créations puissent ravir les papilles de centaines de clients et c'était ce but qui l'a levé très tôt aux aurores pour confectionner ses douceurs. Salés ou sucrés d'ailleurs. Jodie ne manquait pas de créativité. Dans leur intimité, Jodie était une femme épanouie, satisfaite du chemin qu'elle avait parcouru avec son concubin. Une fille de plus de vingt ans qui faisait leur fierté, ainsi qu'une petite vie tranquille dans une maison dont le crédit arrivait à son terme. Ils avaient un chien, également. Un malinois de quelques années, au très inattendu nom de Rex, que leur fille avait réclamé comme présent à de maintes fête de noël. En bref, la vie idéale, sans une ombre au tableau. Si ce n'est la maladie. Foudroyante. Un cancer qui rongeait petit à petit son organisme, réduisant de jour en jour son espérance de vie. Jodie ne voulait pas souffrir. Elle refusait de perdre ses cheveux, sa vigueur. Elle a donc contrainte ses proches à accepter l'inacceptable, leur promettant de faire de leurs derniers instants ensembles des souvenirs merveilleux. Avec l'argent de la vente de son fond de commerce, toute la famille est partie en road-trip autour du monde, visitant chaque lieu touristique qui croisait leur route. Puis vint l'épuisement, la douleur. Jodie s'éteignait à petit feu et le retour à la maison fut acté. Quelques jours plus tard, elle laissa une place vide dans la maison, dans leurs cœurs et la vie n'eut plus jamais la même saveur.

... et il y a cette Jodie.
Photographe de renom, il n'est pas rare que Jodie donne une interview sur son travail, sur ses livres. C'est que c'est une passionnée elle aussi! Mais mieux vaut éviter de la laisser plus de dix secondes devant un four, si vous ne tenez pas à ce que la cuisine flambe du sol au plafond. Au départ, ce n'était pas vraiment une ambition d'être photographe. Elle rêvait plutôt de devenir mannequin pour le compte d'une grosse agence australienne. Ce n'est qu'en rencontrant celui qui allait devenir son fiancé, photographe débutant à cet époque, que l'envie de passer derrière l'objectif est devenu une évidence. Et quel évidence! Très vite, ces clichés sont devenus des œuvres d'arts. Tous les magasines de mode se l'arrachaient. Au point même qu'elle publia elle-même des livres, où elle partageait ses expériences concernant les plus connus. La carrière idéale! Oui. A l'aube de ces cinquante ans, la photographe n'avait pas à rougir de son palmarès. Mais la femme était bien esseulée, en comparaison. Pas d'enfant. Un fiancé jaloux qui ne cesse de la rabaisser de sorte de l'humilier. La vie n'est pas tout rose pour cette version de Jodie, à la une des couvertures.

J'ai 37 ans et je vis à Surrey, Royaume-Uni. Dans la vie, je suis psychologue à mon compte et je m'en sors raisonnablement, une fois toutes les factures payées. Sinon, grâce à mon besoin de travailler plus pour gagner plus, je suis sur le point de divorcer et je le vis plutôt bien puisque c'est l'unique solution pour que les tensions qui ronge mon couple disparaissent totalement.

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Ils se sont aimés. Follement. Puis les projets qu'ils ont réalisés sont venus crées des tensions dans leur couple. Rien d'insurmontable au départ! Quelques petites chamailleries qu'ils résolvaient sur l'oreiller! Puis les choix de chacun se sont transformés en reproches. Il n'y avait rien de mal à vouloir bouleverser les codes en faisant de Rafaël un père au foyer, là où Keera travaillait pour offrir un modeste confort à leur famille. Mais l'équilibre n'a pas su être trouvé et désormais le divorce paraît être l'unique solution pour ce couple brisé.

J'ai 20 ans et je vis à Seattle, Etats-Unis. Dans la vie, je suis sans emploi et je m'en sors bien puisque je ne reste jamais longtemps seule. Sinon, à cause de ma récente mort, je suis célibataire et je le vis plutôt tristement puisque je désire retrouver le seul homme qui manque à ma vie : Kyle Baldwin.

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Isabelle n'est pas une humaine ordinaire. Issue de deux parents 4400 (Lily Tyler et Richard Moore), elle a grandit très vite, afin de contrecarrer les projets d'avenir de Jordan Collier. Or, ce que les opposants du futur n'avaient pas envisagés, c'est que la jeune femme puisse avoir envie de se rallier du côté des "gentils". Surtout si l'un d'entre eux (Kyle) prend le temps de corriger ces lacunes émotionnels, tout en pardonnant ces crimes passés. Elle-même s'en veut d'avoir été aussi monstrueuse, sanguinaire. Elle espère que son retour d'entre les morts lui permettra de faire bon nombre de bonnes actions.