"Avec un mensonge on va loin, mais sans espoir de retour" - Ft. Charly
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Ven 26 Juil - 17:02
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Edward se savait parfois maladroit avec les mots, et il l’avait observé au cours de ces derniers mois de cohabitation au cours desquels, il lui était arrivé de blesser malhabilement la jeune femme. Ce matin ne faisait pas exception. Toutefois, cette fois-ci ne faisant pas exception, Angelica ne lui en tint par rigueur, se contenant uniquement de le lui faire remarquer. Quand il entendit son rire résonner joyeusement, il sut que ses paroles rassurantes n’étaient pas utiles. Angelica se plut à tourner ses propos à la dérision, l’entraînant à sourire à son tour « Un souvenir mémorable avant de déguerpir. J’aurais été une sacrée ordure » pour ne pas dire d’injure plus adéquate pour décrire son comportement s’il avait fait le choix de mettre un terme à leur relation après une nuit d’extase. En réalité, il avait seulement constaté qu’il ignorait tout de la femme avec qui il désirait construire une histoire unique et à leur image. Sincèrement intéressé par ses réponses, il voulait qu’elle approfondisse ses réponses, renchérissant toujours pour obtenir le maximum de détails. Un petit rire sous cape lui échappa et se décida à avouer « Chérie, j’ignore la moitié des termes que tu viens d’employer ». Korrigans et Leprechauns sonnaient comme des termes d’incantation magique. Il ignorait à quoi elle faisait référence en énumérant cette liste non-exhaustive d’inspiration fantaisiste. « Pourquoi tu es fascinée par cet univers ? » poursuit-il dans sa découverte de l’influenceuse. Quant à lui, il communiqua des réponses diamétralement opposées à celles données par Angelica, soulignant leur opposabilité sur biens des points. « De ce que j’ai pu observer hier soir, tu n’es pas si ignorante en matière de saveur italienne » faisant référence à ses origines partiellement italienne et à son membre pleinement enfoncée dans sa bouche à plusieurs reprises. Quant à son choix de destination, il contrastait entièrement avec celui d’Angelica. Cela ne signifiait pas pour autant qu’ils ne pouvaient pas se rendre ensemble dans ces destinations « Merci ». Le petit rire d’Edward résonna à son tour dans le grand espace au sein duquel ils étaient installés « C’est ma grande éloquence et la musique en fond dans l’appartement qui t’ont mis la puce à l’oreille ? » la taquina-t-il en retour.
En interrogeant la jolie rousse sur son envie d’avoir des frères et des sœurs, il n’avait pas envisagé qu’elle puisse l’interroger en retour sur sa relation avec Iris. Ils avaient toujours été comme les deux doigts d’une seule main jusqu’à l’accident qui avait coûté la vie à son meilleur ami, emportant sa joie de vivre avec lui. Il était devenu soudainement plus froid et distant avec son entourage et tous les membres qui peuplés cette planète. Il aurait été ainsi jusqu’à son dernier souffle si Angelica n’était pas partie en quête d’un homme différent derrière l’armure, dévoilant celui qu’il aurait pu être sans cette tragédie. La fixant silencieusement un instant, il brisa le calme soudainement pesant « Je reviens peu à peu grâce à toi » confirma-t-il avec douceur après avoir camouflé son visage de sa tasse, le temps d’une gorgée. Ses lèvres s’étirèrent dans un sourire espiègle en constatant que la jeune femme bafouillait soudainement « Tu as deux heures ». La caressant de ses yeux avec douceur, appréciant la réponse qu’elle lui confia. Elle n’avait pas peur de leurs différences. Elle était prête à entreprendre une relation comprenant des moments de solitude et d’espace. Cela ne faisait que confirmer que son cœur avait fait le bon choix en jetant son dévolu sur la jeune femme. Tout en émettant un nouveau rire, Edward tendit le bras pour déposer sa tasse pratiquement vide sur le plateau sur pied qui trônait à côté d’eux, et se redressa sur ses genoux, tirant sur les jambes de sa petite-amie pour l’attirer à lui et prit place au-dessus de cette dernière, arborant toujours ce sourire transit d’amour « Comment ça je n’ai pas le droit de copier ta réponse ? » et déposa ses lèvres sur les siennes avec une tendresse infinie, et quand il y mit un terme, se décida à apporter une réponse « Non ». Sachant que ça ne suffirait pas, il renchérit « Je n’ai pas peur. J’aime nos différences. J’aime l’idée que nous ne soyons pas constamment ensemble. J’aime l’idée de te retrouver après une absence. Je veux qu’on se sente libre dans cette relation, que tu sortes le soir avec tes amis sans que tu te sentes obligée de m’avertir, que je joue au poker jusqu’à tard le soir. J’ai envie que tu me fasses découvrir la pizza chèvre miel et l’Écosse, comme j’ai envie de t’emmener au Costa Rica ». Il déposa un baiser sur le bout de son nez « Je désire une vie de découverte avec toi Mademoiselle Gordon. Je veux partager des points hors du commun avec toi » et l’embrassa de nouveau, soupirant de bien-être contre ses lèvres. Il laissa son corps reposé de tout son poids sur elle « Est-ce que ça te conviens comme réponse ? ».
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Dim 28 Juil - 12:33
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Edward souhaitait qu’ils se connaissent un peu plus, et il avait parfaitement raison. Ils avaient un peu tout fait à l’envers… Elle avait emménager chez lui, alors qu’ils n’avaient jamais eu un seul rendez-vous. Ils n’avaient jamais eut le temps de poser ce genre de questions. Alors elle accepta de répondre sans souci. Elle évoqua ses envies de voyage et le pourquoi de ces pays. Elle se mit à rire devant l’ignorance d’Edward en matière de légendes. « -je t’expliquerais si cela t’intéresse. » elle n’allait pas se lancer dans des explications là maintenant. Elle ne tenait pas à ce l’ennuyer. « -ma grand-mère adorait ces pays. Lorsque j’étais petite, elle me lisait des histoires sur la magie qui règne là-bas. J’ai grandit avec ces histoires et j’adore ces mystères… » c’était son petit côté sorcière peut-être. Un joli rire lorsqu’il fit référence à leur nuit. « -oui… j’adore la glace à l’Italienne… » avait elle renchérit. Elle aima sa façon de voir les voyages et trouvait cela profond d’ailleurs. « -je crois que ça a été assez claire dès le départ… » il lui avait dit sans détour qu’il aimait boire son café en silence… et de base ce n’était pas un bavard. Ça n’était pas très compliqué à comprendre.
Angie savait que le passé d’Edward avait sa part de tabou. Si sa propre enfance avait des moments douloureux, chez Edward il y avait un traumatisme à cause de cet accident de voiture. A cause de la mort de son meilleur ami. Elle n’insista pas, il s’était caché derrière sa tasse… Elle ne voulait pas lui faire éprouver de la douleur, ni voir son regard se voiler. Angie se contenta de sourire tendrement, avant de se laisser quelque peu déstabiliser par la question qu’il posa. Mais elle trouva rapidement une réponse sincère à lui donner. Non, elle n’avait pas peur de ces différences. Elle les imaginait sans mal parvenir à conjuguer tout cela. Ils y parvenaient assez bien jusqu’à présent. Forcement, elle lui renvoya la question, en précisant qu’il n’avait pas le droit de faire un simple copier-coller. Angie gloussa joyeusement lorsqu’il tira sur ses jambes. « -tu peux pas c’est comme ça ! » ajouta-t-elle avant de répondre avec son baiser. « -tu vas adoré la pizza… » commenta Angie avant d’ajouter : « -et moi le Costa Rica avec toi. » Elle lui rendit son baiser avant de le regarder. Son regard transpirait d’amour. « -oui…. C’était… une merveilleuse déclaration d’amour… » elle caressa ses cheveux, côté gauche, en lui souriant. Quelques minutes plus tard, ils avaient terminé de déjeuner et elle se leva enfin pour rejoindre le chalet et particulièrement la salle de bain. Elle fit couler un bain chaud, et s’y glissa avec délectation.
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Dim 28 Juil - 13:13
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Edward était profane dans tout ce qui concernait de près ou de loin l’univers Fantasy que semblait tant affectionner la jeune femme, de sorte qu’elle ambitionnait un jour à visiter les pays qui continuaient d’alimenter la culture populaire. Angelica ne fut aucunement offusquée de son ignorance, préférant même en rire. Elle était prête à partager son engouement pour cet univers, s’il le désire. Ce qu’il confirma par un simple « J’aimerais, oui ». Le politicien désirait qu’elle s’ouvre à lui, qu’elle partage avec lui tout ce qui pouvait l’animer au quotidien, ses passions, ses centres d’intérêts. Il avait à cœur de la connaître en profondeur, de savoir qui elle était réellement. Suspendu à ses lèvres, il savoura ce petit instant de confidence sur le seul parent qui ne l’ait jamais aimé d’un amour sincère. Sa grand-mère. Elle était le berceau de bien des caractéristiques chez Angelica. « On pourrait envisager une escale de quelques jours en Écosse à la période de Halloween, si tu es d’accord ». Sa proposition était sérieuse. La jolie rousse aurait ainsi le temps de se libérer de ses engagements professionnels pour les quelques jours que dureraient leur séjour en Europe. Quant à lui, il ne serait plus retenus par ses propres obligations politiques, et serait tout disposé à s’autoriser un certain lapse de temps pour découvrir l’Écosse en période automnale. Cette date n’était pas un choix anodin pour Edward qui avait conscience que l’automne ne ferait que renforcer l’aura magique de ce pays. Tandis que la jolie rousse riait joyeusement devant sa référence à la nuit dernière, Edward rougissait fortement à la réponse qu’elle lui apporta, assimilant son membre tendu, qu’elle avait goulument prit en bouche, à une glace italienne « J’ai… J’ai pu le constater… que tu étais gourmande... Je … Ne m’en plains pas. Bien au contraire … » bafouilla-t-il timidement, avant de se racler la gorge, espérant que ce simple geste lui permette de reprendre contenance. « Tu aurais pu penser que je serais prêt à changer » précisa-t-il par la suite, quand ils évoquèrent son goût prononcé pour la solitude et le calme ambiant.
Cette conversation sur ce qu’ils aimaient l’un et l’autre mis en exergue davantage leurs oppositions que leurs points communs. Une différence qui pourrait effrayer. Ce qui n’était nullement le cas. Angelica envisageait une vie de couple avec ces moments de solitude et de complicité. Ils avaient besoin de vivre leur union en étant parfois séparé. Une perception de la vie à deux qui était parfaitement en adéquation avec les aspirations d’Edward. Il ne s’était toutefois pas attendu à ce qu’elle ne lui retourne la question tout en le contraignant de ne pas reprendre mot pour mot la réponse qu’elle venait de lui confier. D’un geste, le politicien la contraint à s’allonger sur la couverture dans un joli rire qui résonna en chœur, et prit place au-dessus d’elle « Si c’est comme ça alors » et déposa ses lèvres sur les siennes. « J’en suis certain » souffla-t-il et répondit avec douceur « Tu m’es si précieuse la mia luce », la couvant amoureusement du regard. Edward glissa les deux couvertures dans le tambour de la machine à laver et actionna l’interrupteur qui amorça le nettoyage. Un coup d’œil à la cuisine qui ne portait plus aucune trace de leur passage, à l’instar du jardin, et se rendit dans la salle de bain. Il prit la peine de taper contre la porte avant de se glisser à l’intérieur de la pièce. Installé sur le rebord de la baignoire, prenant appui sur sa main qui reposait sur le rebord opposé, il déclara « J’ai activé le jacuzzi » et déposa ses lèvres sur son front « Je te laisse prendre ton bain tranquillement. Si tu as besoin de quoi que ce soit, je ne suis pas loin ».
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Dim 28 Juil - 14:37
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Angie eut la sensation désagréable qu’il était bien plus ouvert d’esprit quelle. Elle n’avait pas la moindre envie qu’il lui parle de politique… De photographie bien plus déjà… Elle réalisa de nouveau ce qu’il lui avait confié la veille. Qu’il allait stopper sa carrière pour en développer une autre bien plus passion. Elle avait comme la sensation qu’il allait enfin être réellement libre… « -j’aime beaucoup cette idée… » lorsqu’il serait libéré, ils pourraient faire ce dont ils avaient envie, quand ils en auraient envie. « -je crois sincèrement que nous sommes déjà trop… vieux pour changer. Nous avons forcement des habitudes et des façons d’être… et cela ne se change pas simplement pour plaire à quelqu’un. Si je veux écouter de la musique, je peux mettre un casque, histoire que cela ne te gêne pas. » elle sourit : « -ne soit pas étonné si tu me vois bouger étrangement du coup… » cela pouvait s’apparenter à de la danse… c’était du bon gros freestyle. Il ne l’avait jamais vu faire pour le moment… ça viendrait surement lorsqu’il serait plus souvent chez eux. « -et j’ai pas envie que tu changes… je veux que tu sois heureux. » elle le lui avait déjà dit plus d’une fois.
Ils étaient de nouveau sur la même longueur d’onde et ce malgré leurs différences. Elle aimait de plus en plus ce qui se dessinait entre eux. Elle se sentait bien dans cette relation naissante et encore tâtonnante. Comme elle l’avait précisé, elle avait besoin de se laver et de délasser son corps de cette nuit de folie. Alors après avoir terminer de déjeuner, elle avait rejoint le chalet pour se glisser dans un bain chaud. « -tu peux entrer… » avait elle lâché en entendant frapper. Elle lui sourit en penchant la tête sur le côté. « -d’accord… » qu’est ce qu’elle le trouvait beau. Elle ne resta pas trop longtemps dans l’eau, mais passage d’avantage de temps dans la salle de bain, préparant son corps pour ce qu’ils avaient prévu plus tard. Elle en avait tout autant envie que lui… Avant de rejoindre le jacuzzi, elle s’installa sur la terrasse afin de faire des étirements. Une habitude qu’elle avait depuis maintenant plus de trois ans. Il était rare qu’elle n’en fasse pas. Un peu comme si son corps en avait besoin. Comme souvent, elle enchaina les différentes positions sans réfléchir, se concentrant uniquement sur le bien que cela apportait à ses muscles. Elle étira son dos, ses jambes, sa nuque. A quatre pattes, debout, bras tendus, fesses en l’air…
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Dim 28 Juil - 15:15
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Edward avait la sensation que la jeune femme était plus encline à se projeter dans leur vie à deux maintenant qu’ils étaient parvenus à éclaircir quelques points de leur vie à deux. Le fait qu’il mette prochainement un terme à sa carrière politique n’était pas probablement anodin également. Ils disposeraient de davantage de temps pour leur permettre de découvrir ce que le Monde avait à offrir, resserrant ainsi les liens de leur union, bien qu’encore quelque peu fragile depuis ses débuts. Ils avaient encore besoin de temps pour apprendre à s’appréhender mutuellement, ne se limitant pas seulement à leurs centres d’intérêts, mais également à leurs habitudes de vie parfois incompatibles. Toutefois, le politicien n’était pas prêt à changer. Il n’était pas certain d’en être capable après toutes ces années de vie en solitaire, même par amour. Angelica ne s’en offusqua pas et était prête à s’adapter si nécessaire. Cela pouvait paraître anodin pour beaucoup, mais pour lui, ce n’était qu’une preuve d’amour de plus qu’elle lui fit en prenant ainsi soin de sa personne « Tu pourrais aussi mettre la musique et attendre de voir si je m’y oppose ou non. Qu’en penses-tu ? ». Angelica ne devait pas être la seule à faire des concessions. Il était prêt à en faire pour eux deux, pour que leur relation s’inscrive dans la durée. Peut-être qu’il apprécierait d’entendre, de temps à autre, la musique résonner dans le penthouse, devenant ainsi l’espace de vie auquel il était destiné. « Je suis très heureux » confirma-t-il par la suite. Il l’était réellement et ne prononçait pas ces paroles pour faire taire toute inquiétude dans son esprit. Elle le rendait pleinement heureux au quotidien et leurs discordances ne remettaient nullement ce bonheur en perspective. Tout au contraire. Ils concevaient la vie à deux d’une manière semblable et c’était tout ce qui importait.
Durant le temps que s’octroyait Angelica pour se délecter dans le bain moussant, Edward s’était affairer dans la maison pour qu’elle soit de nouveau propre et rangée. Il n’avait jamais apprécié le désordre, quel qu’il soit. En vacances, cela ne faisait pas exception. Il avait notamment prit le temps de mettre en fonctionnement le jacuzzi de la terrasse et décida d’en informer la jeune femme. Sa visite inopinée dans la salle de bain ne fut que de courte durée, choisissant de lui laisser savourer sa seule présence. Dans l’attente, le politicien troqua sa tenue décontractée du jour pour un short de bain. Quand il fut en tenue, il se rendit par la suite dans la cuisine, débouchonna une bouteille de vin blanc millésimée qu’il fait acquérir par son personnel la veille, et prépara une planche garnie de fromages et de charcuteries françaises pour le déjeuner. Il disposa le tout soigneusement sur le rebord du comptoir, et retourna dans la chambre après avoir entendu les pas de sa moitié trainer sur le parquet vieillissant et grinçant du chalet. L’épaule posée contre la chambranle de la porte, dans une posture nonchalante, Edward se délecta du spectacle que lui offrit malgré elle l’influenceuse. À pas de loup, le politicien prit la décision de combler l’espace entre leurs deux corps et vint déposer ses mains sur ses hanches, se positionnant derrière elle. Il releva légèrement son t-shirt pour parsemer sa peau de baiser dans le bas de son dos et souffla « J’ai tellement envie de toi … ».
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Dim 28 Juil - 17:41
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Angie avait souri : « -on verra suivant l’inspiration du moment… » elle n’était pas certaine qu’il adhère à ses gouts musicaux. Et pour le moment, elle ferait en sorte de mettre de la musique lorsqu’il serait absent. Ça éviterait que cela lui tape sur les nerfs. Il avait de longue semaine qui s’annonçait… de la négociation certainement… lorsqu’il serait libre de toutes pressions et responsabilités politique, alors là, elle verrait. Tout ce qui comptait là tout de suite, c’était qu’il soit heureux. Et elle savait qu’ils pouvaient l’être ensemble. Parce que l’un comme l’autre n’avait pas envie de faire changer l’autre. L’un comme l’autre, ils respectaient le fait qu’ils aient besoin de moment seul, d’espace aussi. Ça ne serait pas parfait, mais aucune relation ne l’était. Angie avait hâte que les trois semaines à venir passent. L’annonce allait être faite, et rapidement la politique serait derrière eux. Ça allait changer bien des choses entre eux.
Mais avant qu’Edward ne fasse faire une crise cardiaque à son assistante, ils avaient encore deux jours ici, rien qu’à deux, à profiter l’un de l’autre. La belle rousse prit le temps de prendre un bain, délassant son corps, de la longue nuit d’amour qu’ils avaient passé. Comme chaque matin, elle prit le temps de faire du yoga, étirant ses muscles avec douceur, uniquement vêtue de son maillot de bain. Dans l’idée, elle allait rejoindre dans quelques minutes Edward, pour profiter du jacuzzi. Mais des mains qu’elle ne connaissait que trop bien, vinrent se poser sur ses hanches, alors qu’elle touchait ses pieds, penchée en avant. Elle sourit en sentant les lèvres sur sa peau. Avec lenteur, elle remonta, glissa ses bras sur la nuque d’Edward, toujours dos à lui et souffla un : « -déjà… » qui n’avait rien d’un reproche. Au contraire, sa voix était sensuelle, faisant ainsi comprendre à Edward qu’elle était parfaitement d’accord pour poursuivre.
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J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Dim 28 Juil - 20:20
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Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Dim 28 Juil - 23:42
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Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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