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La honte n'est pas là où elle devrait être ! [PV Lullaby] +18

Elsy Lullaby
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Elsy Lullaby
Dim 5 Nov - 3:02

Victoria Beaumont
J'ai 30 ans et je vis à Dijon, France. Dans la vie, je suis courtier en assurance et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt mal.

Spoiler:
Il est là, elle le sait, elle le sent. Mais il le confirme, répétant qu'il est là, qu'il ne la laisse pas, alors qu'il vient tout juste de l'envelopper encore un peu plus, remarquant probablement qu'elle était en train de pleurer. Malgré ses larmes, malgré sa détresse, elle réalise à quel point elle se sent reconnaissante envers lui de la bienveillance dont il la comble depuis ces derniers jours, depuis que toute cette affaire a éclaté. Il n'était pas obligé de le faire, mais il l'avait fait. Il l'avait accueilli à bras ouverts chez lui, lui avait offert le confort de son lit, le réconfort de sa présence, et les murs de son appartement comme une armure, pour la protéger du monde extérieur. Elle se sentait redevable envers lui, et un jour elle paierait sa dette, mais pour l'heure, seuls ses sanglots pouvaient se faire entendre dans la pièce.

Elle a besoin de pleurer, besoin d'évacuer tout ce qu'elle a sur le cœur, tout ce qui pèse sur son âme depuis trop longtemps. Elle a besoin de se laisser aller, besoin de décharger toutes ses émotions parasites qui ne cesse de s'accumuler depuis des jours et qu'elle expulse un peu comme elle le peut, chaque soir, dans la pénombre de la nuit, en pleurant tout son saoule. Ce soir ne dérange pas à la règle et, même s'il est là avec elle, même s'il lui confirme qu'il ne la laissera pas tomber, elle continue de pleurer. Simplement parce qu'elle en a besoin pour apaiser son cœur, pour se débarrasser de ce trop plein d'émotion qui pèse sur ses épaules, sur sa personne, depuis tout ce temps.

Elle hoquette dans le silence de la nuit, reniflant bruyamment, avant de se tourner entre ses bras pour lui faire face, se blotissant ainsi comme elle peut dans son étreinte rassurante, s'envellopant dans ses propres bras dont elle ne sait que faire, alors qu'elle reste entre ceux de Michael.
Edward
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Edward
Dim 5 Nov - 3:39

Michael Durand
J'ai 34 ans et je vis à Dijon, France. Dans la vie, je suis courtier en assurances et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt pas bien.

Né au Havre, j’ai fait mes études à Paris avant d’enchainer quelques contrats pour finalement être embauché à Dijon. Sportif, je pratique diverses activités comme le footing, la box, l’escalade et je passe pas mal de temps à la salle avec quelques potes. J’ai eu quelques copines, mais nous ne sommes jamais allés bien loin. Ces derniers temps, je suis seul et la seule qui m’attire est, malheureusement, prise.

Je m’étais un peu inquiété de comment elle prendrait le fait que je vienne ainsi contre elle. N’était-ce pas un peu trop ?
Pourtant, elle semblait se laisser aller contre moi, me laissant la soutenir de mon corps pour laisser aller ses larmes.
Un premier sanglot retentit, pareil à celui qui m’a fait la rejoindre.

Laisse aller, les larmes sont toujours mieux dehors ! Murmurais-je en serrant un peu plus encore.

Elle se laisse aller, les sanglots s’enchainent, accompagnés par quelques reniflements. Ce n’est pas gracieux, ce n’est pas beau, c’est impolie… Mais je m’en fous !
Elle en a besoin et je préfère être là pour la soutenir, qu’elle sache qu’elle peut cracher ce qu’elle a sur le cœur, je suis derrière elle pour la retenir et l’empêcher de tomber.
Je partage son chagrin et sa douleur depuis une semaine et cela me fait mal de la voir ainsi. Alors, dans un moment d’égarement, je viens poser mon front contre sa tête, comme pour offrir un autre point de contact, un autre point de sortie pour ce qui la fait souffrir. Ses cheveux me chatouillent le nez alors qu’elle vibre sous ses hoquets.

Lorsqu’elle se retourne, je la laisse faire, l’accueillant à bras ouvert contre moi avant de rebaisser le rempart de mes bras. Alors, je l’attire à moi pour la réconforter, la prendre tout contre moi, un bras toujours au-dessus d’elle, l’autre l’enlaçant alors que ma main trouve sa place dans son dos.

Prends-moi dans tes bras si tu en as envie ! Soufflais-je alors que nos jambes se retrouvaient les unes contre les autres. Alors, je venais poser le menton contre sa tête, la laissant faire à sa guise.

Elsy Lullaby
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Elsy Lullaby
Dim 5 Nov - 21:55

Victoria Beaumont
J'ai 30 ans et je vis à Dijon, France. Dans la vie, je suis courtier en assurance et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt mal.

Spoiler:
Allongée dans le lit de Michael, submergée par un flot de larmes bruyante, la jeune femme laisse aller ses larmes, incapable de les retenir. La semaine écoulée avait été terrible pour elle, éprouvante, épuisante et, si elle avait luté pour garder le cap, pour ne pleurer que dans le silence de la nuit, elle restait désespérée que Paul ait finalement fait le pas de trop, celui qui avait finalement sonné le glas de leur relation. À présent, elle gisait là, dans les bras de Michael, laissant la douleur qui avait empoisonné son âme s'écouler librement.

Elle hoqueta dans le silence de la nuit, reniflant bruyamment, avant de se tourner entre ses bras pour lui faire face. Elle se blottit contre lui comme elle le pouvait, s'enveloppant de ses propres bras, cherchant désespérément un réconfort qu'elle n'avait jamais vraiment connu ces dernières années et qu'il lui offrait bien volontiers. Les bras de Michael, sa présence, sa tête sur son front, étaient sa seule bouée de sauvetage, une muraille fragile contre les démons qui la hantaient.

Les larmes continuaient de couler, alors qu'elle se sentait assaillie par la culpabilité, celle d'avoir laissé cette relation perdurer comme celle d'être un poids, aujourd'hui, pour l'homme, malgré les dires de ce dernier. C'était plus fort qu'elle. Elle ne parvenait pas à croire, vraiment, qu'elle ne le dérange pas. Elle avait intégré, ces dernières années, l'idée qu'elle l'était bien souvent.

Si elle devait être honnête, elle devrait dire que là, tout de suite, l'avenir l'effrayait. Qu'elle se sentait perdue, sans espoir, n'osant même pas imaginer comment aller de l'avant. Pour l'instant, elle puisait dans la présence de Michael une maigre consolation, une pause dans sa douleur, mais après ? Il faudrait bien un jour qu'elle quitte cette tanière qu'il avait construit pour elle cette semaine et qu'elle affronte la réalité. La solitude. La séparation. Même s'il proposait qu'elle s'agrippe à lui, sans qu'elle n'ose, elle ne pouvait pas continuer à se reposer sur lui.

Victoria tenta de parler, de donner forme à ce tourbillon de sentiments qui la submergeait, mais les mots semblaient inutiles, inefficaces, tout comme sa tentative de trouver un sens à sa vie brisée. Dans le silence de la nuit, les bras de Michael semblaient n'offrir qu'un refuge temporaire, et elle se sentait désespérément seule, comme une naufragée à la dérive, qui se demandait comment guérir de ces blessures émotionnelles, comment se reconstruire après cette période sombre de sa vie, sans trouver de réponse, sans voir de lumière au bout du tunnel. Elle ne savait pas si elle aurait la force de se relever, de se reconstruire, et de tourner la page sur cette relation.
Edward
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Dim 5 Nov - 23:38

Michael Durand
J'ai 34 ans et je vis à Dijon, France. Dans la vie, je suis courtier en assurances et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt pas bien.

Né au Havre, j’ai fait mes études à Paris avant d’enchainer quelques contrats pour finalement être embauché à Dijon. Sportif, je pratique diverses activités comme le footing, la box, l’escalade et je passe pas mal de temps à la salle avec quelques potes. J’ai eu quelques copines, mais nous ne sommes jamais allés bien loin. Ces derniers temps, je suis seul et la seule qui m’attire est, malheureusement, prise.

Elle pleurait et semblait inconsolable. Je la prenais contre moi, une main dans son dos, l’autre au-dessus de sa tête, lui proposant de me prendre dans les siens. Pour toute réaction, elle venait se blottir contre moi, ses bras contre mon ventre, le visage proche de mon torse.
Si, comme le reste, elle n’osait simplement pas m’enlacer, alors je le ferais pour elle.

Je bougeais, doucement, pour soulever l’un de ses bras et le poser sur moi. Alors, avec une tendresse particulière, je passais celui que j’avais sur son oreiller sous elle avant de la ceinturer complètement. Finalement, je la ramenais contre moi pour qu’elle se love contre mon cœur. Je ne pouvais pas lui avouer pour quelle raison elle ne me dérangeait pas, ce serait mal venu. Alors, je ne pouvais que la rapprocher de la vérité.
Je ne pouvais que compatir et lui offrir toute ma chaleur, toute mon affection et tout mon soutien.

Machinalement, je lui caressais le dos tandis que mon autre main lui câlinait la nuque et que mon menton reprenait place sur sa tête.
Dans le silence, ponctué de sanglots et de hoquets, je me mets à murmurer les paroles d’une chanson. Une tentative de la bercer ? Un essai visant à l’apaiser ? Un effort pour lui redonner un peu de moral ? Probablement un peu de tout cela.

Ce petit mot gentil
Ce petit mot qu'on dit
Qu'il sonne plus que jamais à vos oreilles
En vous, il sommeille
Voilà qu'il s'éveille :
Espoir, il suffit de penser à lui
Alors tout en nous resplendit.
Espoir, c'est lui qui pénètre en nos cœurs
Pour en prolonger le bonheur.
Espoir, petit feu par moments voilé
Tu allumes le monde entier
Comme un brasier.
Espoir, de toi l'on se nourrit
Bien mieux qu'un rôti.
Que belle, belle est donc la vie
Quand tu fleuris ce que j'écris.
*

Alors, d’un mouvement aussi instinctif qu’imprévu, je venais poser une jambe au-dessus des siennes. Comme pour parfaire le bouclier que j’étais pour elle, comme pour consolider cette muraille, je terminais de m’enrouler autour d’elle. Je l’enveloppais de mon affection tout comme je venais former pour elle une carapace sur laquelle compter tandis que je sentais mon torse s'humidifier de ses larmes.

Tu vas te relever et je t'y aiderai ! Soufflais-je finalement.


*Espoir - Charles Trenet
Elsy Lullaby
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Jeu 9 Nov - 2:09

Victoria Beaumont
J'ai 30 ans et je vis à Dijon, France. Dans la vie, je suis courtier en assurance et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt mal.

Spoiler:
Il lui propose de le prendre dans ses bras si elle en a envie mais la jeune femme n'ose pas. Elle se sent un peu perdue. Si elle s'y risquait, d'un côté, elle aurait probablement l'impression de tromper son conjoint. Conjoint qui ne partage plus sa vie, mais qui continue de la marquer. Qui continue de la diriger encore. Du moins son fantôme. Elle ne peut pas prendre Michael dans ses bras, parce qu’elle ne se sent pas en paix avec elle-même. Parce qu’elle ne se sent pas légitime à le faire. Elle ne peut pas s’empêcher de penser, même de manière fugace, à Paul. Elle ne peut pas s’empêcher de trouver que ce serait mal de faire ça, alors même que Paul… n’est plus à elle. Qu’elle ne lui appartient plus, non plus. Qu’il n’a plus le moindre droit sur elle.

Il n’hésite pas, lui, à prendre ses bras pour les passer autour de lui, comme s’il sentait son hésitation, lui offrant une étreinte aussi rassurante que possible. Elle se laisse faire, ne cherchant pas à s’éloigner quand il la rapproche de lui ou quand il passe une main dans son dos, s’abandonnant au soutien qu’il lui apporte. Elle n’ose pas le serrer plus fort, mais garde ses bras autour de lui, conservant leur proximité, tandis qu’il commence à murmurer dans le silence de la nuit, les vers d’une chanson dont elle se souvient vaguement, pour l’avoir entendu il y a quelques années maintenant. Un moment.

Elle ne parle pas dans le silence de la nuit, mais ses larmes diminuent au fur et à mesure qu’il chante, qu’il frictionne son dos et lui apporte tout son soutien, tout son réconfort. Elle ne s’arrête pas complètement de pleurer pour autant, malgré sa culpabilité en sentant ses larmes inonder le torse de Michael, dont elle réalise à peine qu'il est nu.

Il est là. Elle va remonter la pente, promet-il, et il l’aidera. Ses larmes redoublent, comme ces mots la touchent. Il la couvre d’une confiance qu’elle ne porte pas elle-même et dont elle se sent incapable. Une confiance qui l’enveloppe, tout de même, petit à petit. Elle n’y croit pas, mais il y croit suffisamment pour qu’elle puisse y trouver de l’apaisement, du réconfort, et sombrer dans les limbes du sommeil. Demain serait un autre jour.
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Jeu 9 Nov - 12:37

Michael Durand
J'ai 34 ans et je vis à Dijon, France. Dans la vie, je suis courtier en assurances et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt pas bien.

Né au Havre, j’ai fait mes études à Paris avant d’enchainer quelques contrats pour finalement être embauché à Dijon. Sportif, je pratique diverses activités comme le footing, la box, l’escalade et je passe pas mal de temps à la salle avec quelques potes. J’ai eu quelques copines, mais nous ne sommes jamais allés bien loin. Ces derniers temps, je suis seul et la seule qui m’attire est, malheureusement, prise.

Elle se laisse faire lorsque je la manipule pour passer ses bras autour de moi, tout comme lorsque j’enroule une jambe autour des siennes ou que je la ramène contre moi pour l’enlacer avec douceur.
Au fur et à mesure que je chante, je la sens se calmer avant que ma phrase d’encouragement ne la fasse craquer de nouveau. Pourtant, chemin faisant, mes mots ont eu l’effet escompté puisque je finis par la sentir s’apaiser jusqu’à s’endormir dans mes bras.

Le sommeil mettra encore un peu de temps à me trouver tandis que je frissonne de sentir son visage, tout contre mon torse rendu humide de larmes. Il m’apparait alors également que, dans ce câlin, il m’arrive de sentir vaguement ses formes. Je tente d’en faire abstraction, ce qui est bien difficile. Malgré tout, je finis par m’endormir à mon tour en lui caressant le dos.

****
A mon réveil, nous n’avons pas bougé. Elle est toujours lovée contre moi, ayant même inconsciemment resserré sa prise autour de mon torse nu. Je m’aperçois, avec horreur, que ma nuit a été habitée de très beaux rêves, rêves ayant laissés une trace qu’elle peut sentir si elle ne dort plus.
Voulant éviter l’embarras de la situation, je me tourne pour me mettre sur le dos. Ainsi, je lui offre toujours ma chaleur et ma présence, mais sans cet intrus.
Alors seulement, je lui caresse la tempe d’une main légère et douce, espérant qu’elle n’ai pas remarqué le volume inhabituel de mon caleçon.
Ce serait particulièrement gênant.

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Ven 8 Déc - 1:12

Victoria Beaumont
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Spoiler:
Victoria s'éveille doucement, sentant la chaleur du corps de Michael tout contre elle. Elle était lovée contre lui, son corps reposant naturellement contre son torse nu. Elle rougit immédiatement en réalisant qu'il ne portait rien, qu'elle pouvait sentir son épiderme contre le sien. Les souvenirs de la nuit précédente s'immiscèrent dans sa conscience alors qu'elle ressentait la douce pression de son étreinte. Il avait accourut auprès d'elle quand elle avait eu besoin d'aide, quand les tourments avaient refait surface, l'entraînant dans une chute devenue habituelle ces derniers temps. Il n'avait pas hésité, ensuite, à rester auprès d'elle toute la nuit. Juste parce qu'elle l'avait demandé. La rougeur sur ses joues d'intensifie.

Maintenant... Elle se sent dans de beaux draps en réalisant ce qu'elle sent contre sa cuisse et qui ne peut-être que... Elle sait que c'est naturel, que cela concerne tous les hommes chaque matin mais... Forcément, elle n'avait pas anticipé ça. Pas réalisé que c'était ce qui pouvait se passer, en demandant à son collègue de rester avec elle, de veiller sur sa nuit.

L'homme, cherchant peut-être à fuir la gêne qui s'installe, la dissiper, se déplace délicatement pour se mettre sur le dos, offrant ainsi à Victoria sa chaleur et sa proximité sans l'embarras de leur position initiale. Peut-être espérait il qu'elle dorme encore, qu'elle n'ait rien remarqué. Mais non, l'affaire ne lui a pas échappé. Au contraire. Elle décide cependant de jouer le jeu de l'ignorance, ne voulant pas lui causer plus de gêne qu'il ne devait déjà en ressentir.

Dans ce silence paisible, elle se rapproche doucement de lui, gardant les yeux clos, faisant mine de dormir encore quelques instants avant de se décider à battre des paupières, faisant semblant de s'éveiller. Elle s'étire, pour de vrai, baillant légèrement au passage en couvrant sa bouche de sa main, avant d'agripper la couverture pour la ramener sous son menton.

"- Coucou..." souffle-t-elle pour le saluer. "Tu as bien dormit ?"
Edward
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Ven 8 Déc - 10:05

Michael Durand
J'ai 34 ans et je vis à Dijon, France. Dans la vie, je suis courtier en assurances et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt pas bien.

Né au Havre, j’ai fait mes études à Paris avant d’enchainer quelques contrats pour finalement être embauché à Dijon. Sportif, je pratique diverses activités comme le footing, la box, l’escalade et je passe pas mal de temps à la salle avec quelques potes. J’ai eu quelques copines, mais nous ne sommes jamais allés bien loin. Ces derniers temps, je suis seul et la seule qui m’attire est, malheureusement, prise.

Une fois sur le dos, je sens la belle bouger doucement, revenant contre moi, m’arrachant un frémissement de plaisir. Je passe un bras avec douceur autour de ses épaules pour la maintenir contre moi, sentant son souffle contre mon flanc tandis que je caresse doucement son épaule et son bras.
Finalement, après un petit moment, je la sens s’étirer contre moi en baillant avant qu’elle ne ramène la couette jusqu’à son menton. Alors, sans s’écarter de moi, elle me salue doucement avant de me demander si j’ai bien dormi.

Coucou à toi ! Répondis-je, maintenant persuadé qu’elle n’avait pas remarqué la situation gênante de mon bas-ventre. J’ai très bien dormi et toi ? Demandais-je en retour sans arrêter de flatter son bras, mes doigts glissant sur la manche du t-shirt et sur sa peau. Je peux sentir la chaleur émaner de son corps, aussi douce qu’alléchante, imposant à mon esprit l’image de Vicky dans un câlin peau à peau. Merde ! C’est pas le bon plan d’imaginer ça alors que je suis déjà en délicate position…
Je resserre tendrement mon emprise, tant pour lui exprimer mon affection que pour suggérer de profiter de ce moment de douceur entre nous. Je n’ai, il faut l’avouer, aucune envie de m’éloigner d’elle. A bien y repenser, j’ai envie d’hurler ma passion pour elle. Sans réfléchir, en plus de mon étreinte, je déposais un baiser sur son front, comme la veille.

Si tu me veux la nuit prochaine, c’est sans problème… Soufflais-je, me demandant immédiatement si ce n’était pas déplacé. Poursuivant mes câlineries, je délaisse son bras pour poser mes doigts sur son flanc. Rapidement, sentant la peau à cet endroit, je recule ma main.
Désolé ! Murmurais-je en remontant sur son bras. Tu veux que je te laisse ou tu veux que je reste encore un peu ? Demandais-je après un petit silence.

Elsy Lullaby
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Dim 24 Déc - 14:49

Victoria Beaumont
J'ai 30 ans et je vis à Dijon, France. Dans la vie, je suis courtier en assurance et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt mal.

Spoiler:
Victoria se retrouve dans une situation délicate, ses sens captant les subtils signaux d'embarras que Michael manifeste, comme les petits signes masculins dont il était la victime ce matin. C’est naturel, elle le sait. Mais ça reste embarrassant, aussi bien pour elle que pour lui, alors qu’ils sont amis, collègues, rien de plus. Du moins, pas dans son esprit. Un esprit déjà suffisamment embrumé et pertubré, ces derniers temps, par son ex compagnon.

Appréciant la douceur et la chaleur de son étreinte, elle remarque cependant l’incongruité de tout ceci en réalisant que les doigts de Michael glissent sur son bras, allant de son t-shirt à sa peau nue. Ce contact, bien qu’innocent, induit une réalité qui l’est un peu moins, que son cerveau n’analyse pas complètement, encore focalisé sur les récents événements, mais qu’il relève, tout de même.

Lorsqu'il dépose un baiser sur son front, elle sent son cœur s'accélérer légèrement. Le geste semble spontané. Il l’est sûrement. Simple envie de la réconforter, la soutenir ? C’est ce que son cerveau essaie de croire et, en même temps, il se crée une proximité qu’elle n’a pas vu venir, qui ne fait qu’embrumer un peu plus un esprit déjà bien trop préoccupé.

La proposition de passer la nuit prochaine avec lui la surprend un peu, provoquant une rougeur sur ses joues. Ce n’est rien en comparaison de la suite comme il perd ses doigts sur son flanc, s’excusant immédiatement en retirant sa main. Confuse, elle ne dit rien dans un premier temps, n’osant pas même le regarder. S’il n’était pas torse nu, elle disparaîtrait sous la couette pour se cacher quelques minutes mais l’idée de finir nez-à-nez avec son buste… Non.

"- Je… enfin… on… on verra ce soir je… je ne vais pas… t’imposer de telles conditions tout… toutes les nuits…"

Elle apprécie sa présence, mais souhaite aussi éviter toute confusion dans leurs sentiments respectifs. Un joyeux bordel qui s'est déjà bien trop installé.
Edward
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Edward
Mar 26 Déc - 15:42

Michael Durand
J'ai 34 ans et je vis à Dijon, France. Dans la vie, je suis courtier en assurances et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt pas bien.

Né au Havre, j’ai fait mes études à Paris avant d’enchainer quelques contrats pour finalement être embauché à Dijon. Sportif, je pratique diverses activités comme le footing, la box, l’escalade et je passe pas mal de temps à la salle avec quelques potes. J’ai eu quelques copines, mais nous ne sommes jamais allés bien loin. Ces derniers temps, je suis seul et la seule qui m’attire est, malheureusement, prise.

Il m'apparaît bien vite qu’elle semble aussi gênée que moi. Aussi, soit elle à remarqué ma situation, soit elle ne se sent pas aussi bien en ma présence ce matin que la veille.
Cette seconde hypothèse est particulièrement crédible puisque, après tout, elle était en proie à un chagrin particulièrement fort cette nuit. Ainsi, après une bonne nuit de sommeil, l’esprit peut-être un peu plus alerte, cette proximité pouvait l’incommoder.

En fait, au fur et à mesure que je parle et que je gaffe avec mes doigts, me corrigeant immédiatement, je peux voir ses joues rougirent doucement. Finalement, je ne sais plus quoi penser.
Est-ce qu’elle apprécie ma présence ? Est-ce que la prendre dans mes bras l'apaise ou, au contraire, cela la dérange-t-elle ?
Je commence à penser que je suis un poids plus qu’autre chose, que je la mets mal à l’aise et ce n’est clairement pas ce que je souhaite. Alors, je finis par maîtriser mes mains pour ne plus faire que la serrer contre moi, cessant toutes caresses.

Si elle ne répond pas à ma question qui est de savoir si elle souhaite que l’on reste là encore un peu ou que je la laisse, elle évoque en revanche ma proposition de l’accompagner la nuit prochaine. Bredouillante, elle suggère d’attendre le soir, affirmant ne pas vouloir m’imposer de partager toutes ses nuits.
A ces mots, l’idée même de dormir avec elle chaque nuit m’arrache un frisson qui vient donner un léger spasme à mes bras, refermant presque imperceptiblement mes bras autour d’elle.

On verra, oui… Mais, tu… Tu ne m’impose rien… C’est avec plaisir Vicky… Affirmais-je avec un aplomb un peu malmené par mon état précaire et mes incertitudes.
Finalement, je décidais de la laisser tranquille puisque, ses joues rouges pour preuve, elle semblait perturbée par ma présence.
Je retirais donc doucement mes bras d’elle avant de me pencher pour attraper mon t-shirt. Je n’avais pas envie du tout de m’éloigner d’elle, mais c’était probablement le mieux à faire.

Je te laisse te réveiller, je vais me doucher. Annonçais-je avec un petit sourire aux joues légèrement rosées.

Je me glissais hors de la couette pour me lever, veillant à bien lui tourner le dos et prenant la direction de la salle de bain. A peine avais-je fait un pas que je laissais tomber mon t-shirt sur le lit pour me pencher et ramasser mon téléphone. L’esprit un peu ailleurs, j’avais abandonné là mon habit comme s’il m’était impossible de le porter en même temps que mon téléphone. Lui lançant un sourire aussi chaleureux que sincère, j’étais sorti de la chambre en faisant en sorte de masquer l’état de mon caleçon. J’espérais avoir réussi à lui cacher ce désagrément et, si ce n’était pas le cas, au moins eut-elle la courtoisie de ne rien m’en dire.

J’expédiais ma douche rapidement avant d’enfiler un sous-vêtement et un pantacourt propres, affublant mon torse d’un débardeur bleu sombre. Une notification sur mon mobile me rappela alors la visite, chez-moi, du médecin de Vicky. Les services sociaux avaient exigé qu’elle soit auscultée et j’avais donc, avec l’accord de ma collègue, fait venir son médecin chez-moi.
Je toquais à la porte de la chambre avant de passer la tête pour lui rappeler la venue du doc d’ici une heure, lui promettant que j’allais faire du café et que je lui laissais ma chambre pour les besoins des examens.
En me dirigeant vers la cuisine, je me faisais la réflexion qu’il me semblait que mon t-shirt, abandonné sur le lit, avait bougé. Si je pensais l’avoir laissé sur la couette de mon côté, lors de mon passage, il m’avait parut être plus au niveau des jambes de la jeune femme. J'ai probablement mal regardé en le déposant. Qu’aurait-elle pu faire de mon t-shirt ?

Le doc arrivé, il m’annonçait en avoir pour une heure. Je décidais donc de laisser Vicky seule avec lui pour aller courir. Je croisais l’homme, sympathique, dans les escaliers à mon retour. Je lui demandais donc comment elle allait

Votre amie est en arrêt pour un mois minimum. Je la reverrai à ce moment-là. Elle a besoin de calme et de sérénité. Elle semble plutôt bien chez-vous, au vu des circonstances. Alors, si vous pouvez continuer de l’accueillir, je pense que cela ne peut que l’aider. Idéalement, il faudrait qu’elle puisse s’échapper quelques jours, pour changer d’air, alors si vous avez des idées, n’hésitez pas. J’ai pris la liberté de vous faire un arrêt de travail à vous aussi, que vous puissiez l’accompagner au besoin. Pas d’obligation, naturellement, mais cela lui permet de pouvoir compter sur vous.


Très bien docteur. Soyez assuré qu’elle peut rester ici aussi longtemps qu’elle en aura besoin. Je vais voir pour l’éloigner un peu de la ville, surtout par ce temps magnifique. Merci d’être venu !


Alors que l’on reprenait chacun notre marche, moi vers le haut, lui vers le bas, il s’arrêta pour l'interpeller.

Ah ! Au fait, il lui fallait déclarer une personne de confiance. Vous savez, en cas d’hospitalisation ou de tout autre problème. Vous pouvez refuser, mais elle vous à déclaré à ce titre.

Je restais interdit une petite secondes, abasourdi. Je… D’accord, cela ne me pose pas de problème. Bonne journée Docteur.

Refermant la porte de mon appartement derrière moi, je trouvais ma collègue sur le canapé. Si elle ne paraissait pas particulièrement enjouée, au moins semblait-elle soulagée. Je pris place à côté d’elle. Je gardais le silence un instant avant de me tourner vres elle.

J’ai croisé le doc dans les escaliers… Merci Vicky ! Dis-je doucement avant de chercher son regard. Merci pour la confiance que tu me fais.

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