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La honte n'est pas là où elle devrait être ! [PV Lullaby] +18

Elsy Lullaby
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Elsy Lullaby
Mer 1 Nov - 0:43

Victoria Beaumont
J'ai 30 ans et je vis à Dijon, France. Dans la vie, je suis courtier en assurance et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis en couple et je le vis plutôt mal.

TW violences conjugales physiques/psychologiques

Née à Lyon, elle est fille unique. • Passionnée par la danse, elle a 5 ans quand elle prend ses premières leçons de classique. • Elle découvre l'acrobatique ensuite. • Elle s'y consacre alors exclusivement mais apprend également le violon. • Elle a dix-sept ans quand elle tombe amoureuse de Paul, sur les bancs de l'école. • Un jour, Paul a donné un premier coup à sa partenaire. Il s'est excusé. Elle a pardonné. Il a recommencé. • Elle espère toujours que ça ira mieux, cachant ses hématomes avec du maquillage, des manches longues, tout ce qui lui permet de ne pas dévoiler la véritable nature de son compagnon. • Il l'a éloigné de ses amis et s'il pouvait lui faire quitter son job, il ne dirait pas non.
La plupart du temps, la journée, avec le travail et les occupations que Michael proposait à l’appartement, elle parvenait à ne pas trop penser à sa situation difficile, à sa rupture récente, à la colère que Paul avait eu, aux mots qu’il avait prononcé, aux menaces qu’il avait proféré. Elle parvenait à ne pas trop divaguer, se plongeant dans ses dossiers, s’occupant l’esprit comme elle pouvait par le travail, par les discussions avec les collègues ou avec son colocataire. La nuit, en revanche, c’était autre chose. Chaque fois qu’elle fermait la porte derrière elle, chaque fois qu’elle se retrouvait seule dans cette chambre qui n’était pas la sienne, elle s’effondrait. Elle commençait à vraiment réaliser ce que Paul avait entrepris de faire, ce qu’il voulait lui imposer. Elle commençait vraiment à comprendre qu’il avait essayé de mettre de la distance entre elle et ses amis, ses passions, sa famille, tout ce qui comptait pour elle. Mais ça restait difficile d’encaisser et de digérer tout ça. Difficile d’accepter qu’elle avait pu être si sotte, ne rien voir venir. Difficile d’avancer, considérant qu’elle n’avait pas vraiment eu de fin. Elle ne savait pas trop, mais ne pas avoir pu parler avec Paul, ne pas avoir pu acter leur séparation, pesait dans la balance et continuait de l’attacher, d’une certaine manière, à lui. Elle aurait voulu qu’il en soit autrement, que les choses se passent différemment, mais elle ne savait pas trop comment, en réalité. Tout ça était encore compliqué.

Cela devait faire une semaine qu’elle était là, maintenant, vivant chez Michael, envahissant son espace vital, perturbant son intimité, impactant la vie de ce dernier considérablement, lui donnant conscience d’être un poids, de probablement déranger ses plans. Une semaine de ce rythme à essayer d’être forte en public pour faiblir chaque fois qu’elle était seule. Une semaine qu’elle s’écroulait systématiquement dans la pénombre de la chambre solitaire, dans l’obscurité de la nuit. Comme si elle pensait vraiment que la lune, que les étoiles, pouvaient conserver son secret intact. Comme si elle pensait vraiment que le simple fait qu’il fasse nuit suffise à ne pas se faire entendre. Il n’en était rien, bien sûr, mais elle avait la folie de l’espérer malgré tout.

Quand il entre dans sa chambre, se dirigeant vers le lit pour s’y installer, affirmant que ça allait aller, caressant sa tempe au passage, la jeune femme hoquette, renifle, essaie de calmer ses larmes qui redoublent pourtant, tandis qu’elle reste allongée, désolée. Elle frotte sa joue, son œil, essaie d’essuyer ses larmes tant bien que mal, sans succès, en même temps qu’elle essaie de parler.

"- Je suis... désolé. Je... Je voulais pas te... te réveiller..."
Edward
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Edward
Mer 1 Nov - 1:19

Michael Durand
J'ai 34 ans et je vis à Dijon, France. Dans la vie, je suis courtier en assurances et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt pas bien.

Né au Havre, j’ai fait mes études à Paris avant d’enchainer quelques contrats pour finalement être embauché à Dijon. Sportif, je pratique diverses activités comme le footing, la box, l’escalade et je passe pas mal de temps à la salle avec quelques potes. J’ai eu quelques copines, mais nous ne sommes jamais allés bien loin. Ces derniers temps, je suis seul et la seule qui m’attire est, malheureusement, prise.

Silencieux, je la laisse essayer de calmer ses émotions, se frotter le visage, renifler. C’est certain, je ne la vois pas sous son meilleur jour, mais je ne pouvais plus la laisser seule avec ses terreurs nocturnes.
Que faire ? Que dire ? Je n’en avais aucune idée. Sans doute espérais-je que ma seule présence agisse comme un baume cicatrisant.
Toujours allongée, elle s’excuse de m’avoir réveillé et, dans l’obscurité de la pièce, je lui souris tendrement, caressant toujours sa tempe.

T’inquiète pas pour ça Vicky ! Tu ne m’as pas réveillé, je ne dormais pas. Assurais-je, ce qui était vrai puisque je l’écoutais pleurer depuis un long moment maintenant.

Interrompant mes caresses, je me levais et allais chercher un verre d’eau dans la salle de bain de la chambre pour le lui porter, apportant un cachet de paracétamol en même temps.
Mes yeux maintenant habitués à l’obscurité, aidés par la légère lueur filtrante qui passait par les volets, je pouvais la distinguer dans le lit, comme elle pouvait me voir.
De retour sur le lit, je posais le comprimé et le verre d’eau sur la table de nuit.

Pour éviter le mal de tête, si jamais. Expliquais-je à voix basse en lui caressant le front cette fois. N’oublie jamais que tu ne me déranges pas Vicky. Si tu as besoin de moi, je suis là, même la nuit, ok ? Demandais-je avec douceur.
J’avais envie de la serrer fort dans mes bras pour essayer de la consoler mais déjà, je ne savais pas si elle en avait envie, ensuite…c’est con, mais je n’ai aucune idée de la tenue qu’elle a pour dormir et je ne veux surtout pas commettre d’impair.

Je peux rester un peu si tu veux, si cela te fait du bien. Sinon, je te laisse, mais n’hésite pas à venir me voir si tu en as besoin.


Elsy Lullaby
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Elsy Lullaby
Sam 4 Nov - 13:54

Victoria Beaumont
J'ai 30 ans et je vis à Dijon, France. Dans la vie, je suis courtier en assurance et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt mal.

Née à Lyon, elle est fille unique. • Passionnée par la danse, elle a 5 ans quand elle prend ses premières leçons de classique. • Elle découvre l'acrobatique ensuite. • Elle s'y consacre alors exclusivement mais apprend également le violon. • Elle a dix-sept ans quand elle tombe amoureuse de Paul, sur les bancs de l'école. • Un jour, Paul a donné un premier coup à sa partenaire. Il s'est excusé. Elle a pardonné. Il a recommencé. • Elle espère toujours que ça ira mieux, cachant ses hématomes avec du maquillage, des manches longues, tout ce qui lui permet de ne pas dévoiler la véritable nature de son compagnon. • Il l'a éloigné de ses amis et s'il pouvait lui faire quitter son job, il ne dirait pas non.
Dans les tourments de son existence, la présence de son collègue et ami était des plus réconfortantes et lui offrait un moment de répit dans cette tempête émotionnelle qui la submergeait. Pour autant, elle aurait mieux aimé ne pas le déranger en pleine nuit. S'excusant donc, les joues rougies, elle ne répond rien lorsque Michael affirme qu'il ne dormait pas, ne pouvant s'empêcher de douter de ses mots, d'y voir l'expression de son amitié et l'envie de la mettre à l'aise plus qu'une réalité.

Comme il quitte la chambre, la laissant seule quelques minutes, elle s'arrange dans le lit, se redressant dans les couvertures, s'appuyant contre la tête de lit et attend patiemment qu'il revienne. Il ne tarde pas à le faire, lui portant un verre d'eau et un cachet dont elle ne comprend pas tout de suite ce que c'est.

"- Merci..." chuchote-t-elle, l'homme expliquant que c'est pour prévenir un éventuel mal de tête, sentant la gratitude l'envahir.

Elle prend le verre d'eau et avale le comprimé de paracétamol, fermant les yeux en même temps. Le verre vidé, elle le repose sur la table de chevet. Les caresses de Michael sur son front sont douces, presque apaisantes, et elle se laisse aller à leur réconfort.

"- Merci..." dit-elle encore. "Je ne sais pas comment je ferais sans toi en ce moment..." avoue-t-elle, la gorge serrée par l'émotion.

Lorsqu'il propose de rester un peu plus longtemps, elle hésite. D'un côté, elle apprécie réellement sa compagnie et la sécurité qu'il lui offre. D'un autre, elle ne veut pas abuser de sa gentillesse. Elle ne veut pas continuer d'empiéter sur le temps qu'il lui offre et la bienveillance salvatrice dont il la comble.

"- Je ne veux pas te déranger davantage, Michael." dit-elle doucement. "Je... je ne veux pas être un fardeau pour toi... Le simple fait de savoir que tu es là est déjà réconfortant. Je vais essayer de me rendormir..."

Elle lui adresse un petit sourire reconnaissant dans l'obscurité.
Edward
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Edward
Sam 4 Nov - 19:00

Michael Durand
J'ai 34 ans et je vis à Dijon, France. Dans la vie, je suis courtier en assurances et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt pas bien.

Né au Havre, j’ai fait mes études à Paris avant d’enchainer quelques contrats pour finalement être embauché à Dijon. Sportif, je pratique diverses activités comme le footing, la box, l’escalade et je passe pas mal de temps à la salle avec quelques potes. J’ai eu quelques copines, mais nous ne sommes jamais allés bien loin. Ces derniers temps, je suis seul et la seule qui m’attire est, malheureusement, prise.

Dans la pénombre, je l’observe boire son verre d’eau et gober son comprimé après qu’elle m’a remercié pour ensuite reprendre mes douces caresses sur son front.
Alors, elle me remercie encore, d’une voix fébrile et reconnaissante, m’honorant de sa gratitude alors même que je ne fais pas tant de choses que cela. Je n’en ai du moins pas l’impression.

Tu y arriverais, ce serait peut-être un peu plus compliqué, mais tu y arriverais. L’assurais-je, doutant moi-même de lui être aussi utile que ce qu’elle disait.
Alors qu’elle est redressée dans le lit, je lui demande si elle souhaite que je reste un peu ou que je la laisse dormir. Après une petite hésitation, sa réponse est dans la lignée de ses remerciements précédents, ce qui me tire un fin sourire.

Tu ne me déranges pas le moins du monde Vicky ! Je t’assure ! Annonçais-je d’une voix assurée et tranquille en reprenant mes légères caresses sur son front. Tu n’es pas non plus un fardeau, au contraire, je suis heureux de pouvoir être là pour toi. Avouais-je tandis que je me relevais. Si ma présence t’aide, alors je reste, ce n'est pas plus compliqué. Concluais-je en faisant le tour du lit pour venir m’asseoir de l’autre côté afin d’être mieux installé qu’au bord du matelas. Je restais sur la couette, lui laissant l’intimité nécessaire, tout en lui permettant de se blottir si elle le souhaitait.

Aller, essaye de te rendormir, je suis là ! Dis-je doucement en posant une main apaisante sur son crâne.

Elsy Lullaby
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Dim 5 Nov - 0:14

Victoria Beaumont
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Spoiler:
Victoria était allongée dans son lit, ou plutôt celui de Michael, qui était le sien depuis quelques jours, le regard perdu dans la pénombre de la pièce. S’il affirmait que, même sans lui, elle arriverait à surmonter tout cela, que ce serait peut-être seulement un peu plus long, elle esquisse une petite moue peu convaincue par son propos. Si elle ne devait pas faire bonne figure tous les jours, si elle ne s’astreignait pas à maintenir un rythme professionnel, elle n’est pas certaine qu’elle s’en sortirait aussi bien. Le fait de partager provisoirement le même toit lui permettait de ne pas se laisser totalement sombrer, de réserver sa détresse pour la pénombre et l’obscurité de la nuit.

Elle ferme les yeux, comme il affirme qu’elle n’est pas un fardeau, qu’elle ne le dérange pas le moins du monde, et une larme roule sur sa joue alors qu’elle peine à se convaincre de la véracité de ses mots. Elle n’en est peut-être pas un selon lui, mais elle se sent comme telle. Elle se sent d’autant plus mal, d’ailleurs, qu’elle empiète sur son espace vital, sur sa vie. Il était chez lui sans y être depuis plusieurs jours déjà, n’étant pas même libre de dormir dans son propre lit, puisqu’elle l’occupait.

Il contourne le lit, affirmant qu’il resterait si sa présence était réconfortante pour elle, s’installant plus confortablement alors, de l’autre côté du lit, l’encourageant à se rendormir. Elle pousse un soupir, se glisse sous sa couverture un peu plus franchement. Pour se rendormir, encore faudrait-il qu'elle ait dormi… C’était loin d’être le cas, naturellement.

"- Tu... Tu restes avec moi ?" demande-t-elle finalement, doucement.
Edward
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Dim 5 Nov - 0:48

Michael Durand
J'ai 34 ans et je vis à Dijon, France. Dans la vie, je suis courtier en assurances et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt pas bien.

Né au Havre, j’ai fait mes études à Paris avant d’enchainer quelques contrats pour finalement être embauché à Dijon. Sportif, je pratique diverses activités comme le footing, la box, l’escalade et je passe pas mal de temps à la salle avec quelques potes. J’ai eu quelques copines, mais nous ne sommes jamais allés bien loin. Ces derniers temps, je suis seul et la seule qui m’attire est, malheureusement, prise.

Il peut être terriblement difficile de convaincre quelqu’un qu’il ne vous dérange pas. Dans mon cas, ça l’est encore plus, car je peine à trouver des mots qui ne trahissent pas l’affection que j’ai pour elle. Depuis une semaine, je m’efforce de taire l’attirance que j’ai pour elle depuis que l’on travaille ensemble et je vous assure que tout ce que je fais pour elle, je le fais sans chercher à atteindre un objectif “personnel” dirons-nous.
Alors, oui, je lui viens en aide par amour et par amitié, mais je m’oblige à rester l’ami.

Là où c’est compliqué, c’est dans des moments comme celui-ci. Dans un couple, lorsque l’un des deux ne va pas bien, l’autre le prend dans ses bras, l’embrasse. Si je me permets, car elle ne me repousse pas, de la toucher et quelques fois de lui faire une accolade, je dois réfréner le désir naturel d’embrasser celle que j’aime.
Mais ça, c’est mon problème et tout tenter pour l’apaiser me permet, étrangement, de moins penser à tout cela.

De fait, à défaut de mots pour la convaincre, je prends le parti de venir m’installer sur le lit, à côté d’elle pour câliner doucement sa tête. Alors, après un soupir assez vague, elle s’enfonce sous la couette avant de me demander si je restais avec elle. Au ton employé, aucun doute n’était permis, elle ne voulait pas que je parte.
Mon cœur fait un bond dans ma poitrine avant de rater un battement. Je suis assis sur la couette sous laquelle elle se trouve, couchée. Je me penche sur elle pour déposer un petit baiser sur sa tête, un geste automatique qui a réussi à passer le barrage.

Oui Vicky, je reste dormir avec toi ! Répondis-je à voix basse. Je soulevais minutieusement un morceau de couette pour qu’elle la voie.
Je peux ? Demandais-je alors avant d’y prendre place. Encore une fois, je ne sais pas dans quelle tenue elle se trouve, alors je préfère éviter les impairs. En attendant sa réponse, je retire mon t-shirt, la situation me donnant déjà chaud, si je finis sous la couette, elle va se réveiller contre un mec trempé de sueur.

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Dim 5 Nov - 0:59

Victoria Beaumont
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Spoiler:
VIl se permet de venir déposer un baiser sur le sommet de sa tête et elle ne réagit pas vraiment, restant sous la couette, quoique son cerveau cherche naturellement à analyser cette initiative, avant de concéder qu’il ne pouvait s’agir que d’un geste de pure amitié, de pur soutien, dans un moment de détresse. Oui, voilà, c’était ça. Exactement. Une tentative pour la réconforter. Une tentative pour lui montrer qu’il était là. Qu’elle pouvait compter sur lui. Qu’elle n’était pas seule. Rien de plus. Elle tâche de s’en convaincre, même si ça n’est pas des plus évidents.

Il confirme qu’il reste dormir pour la nuit et elle esquisse un fugace sourire de reconnaissance, avant de retrouver la neutralité de son visage, fermant déjà les yeux comme il s’inquiète de savoir s’il peut se glisser sous les couvertures. Elle acquiesce, portant un bas de pyjama qu’il avait acheté pour elle parmi quelques autres affaires, plus tôt dans la semaine, avant de se tourner pour rester dos à lui. C’est encore un peu difficile, pour elle, de songer que ça n’est pas Paul avec elle et l’idée qu’elle est en train de le tromper, alors même qu’elle ne l’a pas touché, traverse son esprit. Ils ne sont pourtant plus ensemble, Paul et elle, sans même l’avoir verbalisé. Sans même l’avoir établie. Cocktail détonnant de pensées, d’émotions, contradictoires, alors qu’elle se sent nécessiteuse de la présence de Michael, de son soutien, tout en culpabilisant de cette pensée. Si Paul savait… Elle ferme les yeux, grimace. Paul n’est pas là. Paul n’est plus là. Paul ne sera plus jamais dans sa vie. Paul n’a rien à dire sur les personnes avec qui elle choisit de dormir, mais c’est plus fort qu’elle. Alors elle se détourne, pour ne pas le voir. pour sentir sa présence et cacher sa détresse en même temps. Mais elle recule, rien qu’un peu, un tout petit peu, pour sentir sa proximité rassurante.
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Dim 5 Nov - 1:51

Michael Durand
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Né au Havre, j’ai fait mes études à Paris avant d’enchainer quelques contrats pour finalement être embauché à Dijon. Sportif, je pratique diverses activités comme le footing, la box, l’escalade et je passe pas mal de temps à la salle avec quelques potes. J’ai eu quelques copines, mais nous ne sommes jamais allés bien loin. Ces derniers temps, je suis seul et la seule qui m’attire est, malheureusement, prise.

Mon t-shirt au sol, je la vois acquiescer silencieusement à ma demande à venir sous la couette avec elle. Aussi, je me glisse dessous en veillant à laisser une distance acceptable. Une fois couché à côté d’elle, je lui lance un petit bonne nuit avant de poser la tête sur l’oreiller, lui tournant le dos.

Après quelques minutes de silence, j’entends Vicky bouger tandis qu’elle se recule un peu vers moi. Mon cœur s’affole alors que je finis par sentir sa présence à quelques centimètres à peine de moi. Je me sens rougir de cette proximité alors que nous partageons mon lit. Alors, sans vraiment réfléchir, je me retourne lentement pour faire face à son dos.
Là, je viens poser une main sur son épaule d’un geste doux. Finalement, je me rapproche encore un peu pour venir l’enlacer.

Je passe un bras au-dessus de sa tête, allant chercher l’une de ses mains de celle qui était sur son épaule pour former comme un cocon protecteur autour d’elle. D’instinct, j’aurais fait pareil de mes jambes, mais je parviens à réprouver cette idée. Je suis déjà torse nu à quelques centimètres de son dos à l’envelopper de mes bras, plus, je ne suis pas certain qu’elle approuverait.
Déjà que maintenant j’attends de savoir ce qu’elle pense de ce câlin…

Elsy Lullaby
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Dim 5 Nov - 2:13

Victoria Beaumont
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Spoiler:
S’étant reculée dans sa direction, cherchant sa proximité sans toutefois vouloir l’atteindre, le toucher, elle l’entend rapidement bouger dans le lit, comme s’il se retournait entre les draps, ce qu’elle ne peut confirmer toutefois comme elle lui tourne le dos et n’ose pas regarder derrière elle, ne voulant pas lui laisser croire qu’il pouvait la déranger d’une quelconque manière. Ce serait le comble alors même qu’il était dans son propre lit pour la première fois depuis des jours, après avoir passé un certain temps à dormir sur son canapé.

Sentant sa main se poser sur son épaule elle se raidit un peu, alors même que ce serait mentir d’affirmer qu’elle n’avait pas désiré, même un fugace instant, le réconfort d’une étreinte bienveillante qu’il finit d’ailleurs par lui offrir, se rapprochant d’elle pour l’envelopper de ses bras, l’enlacer. Elle se recroqueville alors sur elle-même, contre lui, profitant de la présence rassurante de ses bras.

Dans son dos, elle sent qu’il n’a pas de t-shirt, bien qu’il ne se soit pas collé à elle. Les bras qui l’enveloppent sont nus. Immédiatement, de fait, elle songe à Paul de nouveau, visualisant sa colère, sa réaction, s’il avait vent de cette situation qu’il ne peut pourtant pas apprendre. L’image est suffisante pour la bouleverser, pour lui arracher quelques larmes qui se répandent sur son visage, sans pourtant souhaiter qu’il se retire, au contraire, se laissant aller à pleurer de nouveau dans ce cocon réconfortant, profitant de se sentir soutenue, protégée.
Edward
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Dim 5 Nov - 2:47

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Né au Havre, j’ai fait mes études à Paris avant d’enchainer quelques contrats pour finalement être embauché à Dijon. Sportif, je pratique diverses activités comme le footing, la box, l’escalade et je passe pas mal de temps à la salle avec quelques potes. J’ai eu quelques copines, mais nous ne sommes jamais allés bien loin. Ces derniers temps, je suis seul et la seule qui m’attire est, malheureusement, prise.

A part un léger raidissement après que j’ai posé ma main sur son épaule, elle ne proteste pas. Au contraire, lorsque je l’enlace complètement, je la sens qui se met en boule, se rapprochant encore un peu de moi, se refermant comme si mes bras étaient une armure sous laquelle elle désirait disparaitre complètement.

Durant quelques instants, il n’y a rien de plus que le silence dans la chambre, silence pendant lequel je profite de cette proximité, les joues brûlantes. La main qui est posée à côté de l’une des siennes frôle cette dernière et je n’ose plus bouger. La distance qui nous sépare est maintenant presque anecdotique et le moindre mouvement se traduirait presque obligatoirement par plus de contact. Alors je reste immobile, me satisfaisant de ce câlin qui se veut rassurant et protecteur.

Puis, dans le calme de la pièce, un léger soubresaut de la jeune femme me fait relever la tête. Sa respiration se fait par saccade, expulsant son souffle sur ma main. Alors, je comprends qu’elle pleure. Et cela me serre le cœur.
Ainsi, dans un geste purement affectif, je viens resserrer mon étreinte, comme j’ai pu le faire debout dans le salon. Je viens poser mon torse contre son dos, saisissant sa main de la mienne pour la prendre contre moi, sous mon aile.
Que cela apaise son cœur et son esprit et qu’elle trouve le sommeil dont elle a cruellement besoin.

Je suis là ! Je ne le laisse pas Vicky ! Soufflais-je doucement, le visage non loin de sa tête.

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