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LE TEMPS D'UN RP

Une patiente pas comme les autres. +18 (âme sensible s'abstenir)

Edward
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Edward
Sam 2 Déc - 14:13

Sébastien Meyer
J'ai 36 ans. Dans la vie, je suis Psychologue-clinicien spécialisé dans la dépression et les pathologies chroniques et je m'en sors très bien. Sinon, je suis célibataire et je le vis plutôt moyennement.

Tout bon psy gardera un voile pudique sur sa jeunesse, plus particulièrement sur sa relation avec sa mère. La seule chose à savoir, c’est que j’ai eu une enfance heureuse. Après un cursus scolaire classique, j’ai intégré la Fac de médecine pour suivre un parcours en vue de devenir psychologue. Sans me vanter, je n’ai jamais fait moins que major de promotion. Je me suis spécialisé dans la dépression, les chocs post-traumatiques et tout ce qui touche l’affliction quotidienne chronique. J’ai eu la chance d’avoir rencontré un ponte du domaine qui m’a proposé de reprendre son cabinet, à Paris, lors de son départ à la retraite. Je serais incapable cependant de vous dire comment, mais je suis devenu en quelques années seulement, le psy chouchou des stars parisiennes. Du jour au lendemain, ils se sont mis à défiler dans ma salle d’attente sans que je ne comprenne, ce qui à même fini par me propulser en couverture de Voici, Gala et autres magazines du genre. Depuis, mon planning est toujours plein et cela paye bien, même si ce sont souvent les mêmes problèmes d’addictions et de soucis familiaux qui reviennent.

Ca passe ou ça casse !
Elle m’avait bien prévenu, au début de cette expérience, que cela pouvait être dangereux. Après tout, mon sang avait bien coulé.

Ca passe ou ça casse !
Mon assurance me perturbe autant qu’elle semble la perturber, elle. En témoigne, après que j’ai avoué avoir aimé la dominer et affirmer ne pas avoir peur, le violent coup de poing qu’elle assénait à mon bureau, arrachant des copeaux de bois au meuble qui me soutenait.

Ca passe ou ça casse !
Alors même qu’elle me presse les bourses avec une rage mesurée, mais limite, j’ose lui tenir tête en refusant d’appeler mon assistante, raccrochant le téléphone sous son nez de vampire habituer à asservir.

Ca passe ou ça casse !
Car, le câble du combiné autour de ma gorge se resserre de plus en plus, m’étouffant, me privant d’oxygène, me cisaillant la peau. En réponse, j’emprisonne plus encore cette fesse affolante tout en gardant les yeux rivés sur les siens.

Ca passe ou ça casse !
Car je n’éprouve aucune crainte.

Alors, elle en prend conscience, je le vois dans ses yeux. Je m’en rends compte également, mais les faits sont simples.
Sans user de ses pouvoirs d’hypnose ou autre capacité vampirique, elle n’a aucun moyen de pression, aucune possibilité de me faire réellement peur.
En fait, il est faux de dire que je n’éprouve aucune crainte. Il est plus juste de dire que je n’ai pas peur d’elle. D’aucune façon, pas même d’une molécule.
Elle ne me fait pas peur.

Cette prise de conscience actée, je sens le câble se relâcher et je me précipite à avaler de grandes goulées d’air tandis que mes testicules sont doucement libérés et qu’elle reprend une apparence plus conventionnelle.
J’accueille son baiser avec fougue et passion, pressant son bassin contre le mien pour qu’elle sente bien la réalité et la plénitude de mon attirance. Je suis tombé amoureux d’une vampire et j’ai comme l’impression que je lui ai apporté la surprise et l’intérêt qu’elle recherchait. Aurais-je percé une armure inébranlable ?

Je l’observe un instant tandis qu’elle retourne à ses habits, admirant son dos et ses fesses qui m’aguichent, ses longues jambes musculeuses et à la puissance invisible.
Lorsqu’elle bouge pour se rhabiller, je peux voir les traces de ma jouissance qui, toujours, la souille. La fugace idée qu’en la dominant et qu’en lui tenant tête, je l’ai faite mienne me traverse l’esprit. Bien vite rejetée cependant, cette idée nécessite, pour être validée, qu’elle l’avoue elle-même et pour cela, il est trop tôt.

Une fois habillés tous deux, elle se tourne vers moi et je pense voir de l’espoir et de la perplexité dans son regard. Alors, reprenant le vouvoiement, elle m’annonce que je dois manger de la viande pour contrer le sang qu’elle m’a pris, m’invitant alors à manger chez elle et repoussant la thérapie au lendemain.
Je lui souris.

J’accepte votre invitation avec plaisir, Madame Hotwood ! Dis-je en reprenant également l’utilisation du “vous”. Ses pupilles semblent refléter un tourbillon d’émotions qui semble la noyer et je ne veux pas interférer là-dedans temps qu’elle n’en émet pas la volonté.
Je l’accueille dans mes bras avec douceur, la serrant contre moi et humant son parfum avant de sourire.
Sa dernière question me confirme qu’elle a bel et bien aimé me donner les pleins pouvoirs. Mieux, elle veut que je me perfectionne pour qu’elle en tire encore plus de plaisir.

Je serais toujours d’attaque ! Que ce soit pour vous soumettre ou pour m’offrir à vous, je serais partant ! Soufflais-je chaudement à son oreille. Allons manger, il me tarde que vous m’expliquiez comment vous dominer ! Concluais-je avant de voler ses lèvres avec gourmandise.

Telanie
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Telanie
Lun 4 Déc - 8:54


Katerine Hotwood

Je suis née en Écosse, en l’an 825, et transformée en vampire à l'âge de 23 ans, j’ai parcouru le monde, vu des civilisations naître et s’éteindre, et pour dire la vérité, je me fais gravement chier dans mon éternelle danse. J’envisage d’en finir, un côté dépressif qui ne me quitte pas depuis la fin du vingt et unième siècle. Alors pour ne pas passer à l’acte, j’ai décidé de suivre une thérapie avec un être humain qui soit disant est le meilleur dans son domaine. Le temps nous dira qui de nous deux finira dans le caveau. Moi car il est incompétent, ou lui… car il est complétement incompétent.  







:copyright:️️Pinterest



Je me saisis du combiné téléphonique et compose le numéro de mon chauffeur pour le prévenir de nous prendre à la porte du cabinet. Quand nous descendons ensemble les marches bras dessus, bras dessous, je réalise que l’on forme une sorte de couple étrange qui a bien des choses à définir dans leur relation. Est ce que nous avons seulement le moindre avenir ensemble ?

Une limousine nous attend, le genre extrêmement long, ce qui est plutôt rare à Paris, la voiture est de toute évidence blindée, et même la lumière du soleil ne pourra pas rentrer à l’intérieur. Un homme des plus patibulaires sort du côté conducteur et vient nous ouvrir la porte. Igor est un humain que j’ai habilement docilisé, j’en ai fait une goule, et quand on l’observe de près, on se rend compte qu’il a un côté méchant qui est très macabre. Il ne parle plus, à des dents légèrement plus aiguisées que la moyenne et il cache son visage sous un énorme chapeau rond. Son regard croise celui de sébastien. Igor n’est pas là pour juger qui monte ou non dans la limousine, il attend mes ordres sagement et si je viens à lever le doigt, il est comme un chien de guerre, il fonce et démembre quiconque m’indispose.

Pour l’heure, il nous ouvre la porte de façon grossière, et je monte à l’intérieur en premier en compagnie de mon invité. sébastien me suit et quand il rentre à l’intérieur, il voit le corps d’une femme de vingt six ans que j’ai oublié de me débarrasser et qui a été dévorer sur la banquette. Je le scrute alors pour voir sa réaction, et j’imagine ce qu’il pense alors.
Igor venait de refermer derrière lui et comme à mes habitudes, j’aime que les portes soient verrouillées pour que mes victimes ne puissent s’enfuir, ainsi sébastien n’a plus d’autre choix que de me suivre malgré le cadavre.

“Ne porte pas cas aux bouteilles vides, il ne s’agissait pas d’un grand cru.” Lui dis-je sans la moindre culpabilité. Il est vrai que cette jeune femme venait d’un quartier chaud, une putain qui pensait que en montant dans une limousine, elle allait avoir la passe du siècle comme dans pretty woman.

“Igor, amène nous à la maison, et informe Howard, de dire aux jumelles de se tenir, tu veux bien.”
En guise de oui, je n’ai eu qu’un grumf, je sais très bien qu’il ne parle pas, mais il envoie des textos en conduisant, ce qui n’est pas très prudent quand on conduit, je vous l’accorde mais ce genre de chose n’a pas réellement d’importance pour une immortel tel que moi.

Je remonte la vitre qui nous sépare d’igor et pose ma tête sur l’épaule de sébastien tout en fixant la jeune femme. Moi je suis heureuse, mais lui, à quoi il pense en voyant tout ça ?

Edward
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Edward
Lun 4 Déc - 11:17

Sébastien Meyer
J'ai 36 ans. Dans la vie, je suis Psychologue-clinicien spécialisé dans la dépression et les pathologies chroniques et je m'en sors très bien. Sinon, je suis célibataire et je le vis plutôt moyennement.

Tout bon psy gardera un voile pudique sur sa jeunesse, plus particulièrement sur sa relation avec sa mère. La seule chose à savoir, c’est que j’ai eu une enfance heureuse. Après un cursus scolaire classique, j’ai intégré la Fac de médecine pour suivre un parcours en vue de devenir psychologue. Sans me vanter, je n’ai jamais fait moins que major de promotion. Je me suis spécialisé dans la dépression, les chocs post-traumatiques et tout ce qui touche l’affliction quotidienne chronique. J’ai eu la chance d’avoir rencontré un ponte du domaine qui m’a proposé de reprendre son cabinet, à Paris, lors de son départ à la retraite. Je serais incapable cependant de vous dire comment, mais je suis devenu en quelques années seulement, le psy chouchou des stars parisiennes. Du jour au lendemain, ils se sont mis à défiler dans ma salle d’attente sans que je ne comprenne, ce qui à même fini par me propulser en couverture de Voici, Gala et autres magazines du genre. Depuis, mon planning est toujours plein et cela paye bien, même si ce sont souvent les mêmes problèmes d’addictions et de soucis familiaux qui reviennent.

Sans un mot, je l’observe prendre le téléphone pour appeler son chauffeur. L’espace d’une fraction de seconde, je craignais qu’elle n’appelle mon assistante, mais non. Elle demanda à un certain Igor de venir l’attendre en bas de l’immeuble.

C’est ainsi que je fermais tout pour descendre alors qu’elle s’accrochait à mon bras, renvoyant l’image d’un couple, on ne peut plus normal. Une légère rougeur gagnait mes joues alors que je remarquais que, conformément à mes directives, elle ne s'était pas essuyée. Elle arborait encore un peu de moi sur son visage, constat qui réveilla honteusement mon désir. Je me retenais cependant, un ascenseur n’étant guère le lieu, plus encore celui-ci où je suis particulièrement connu et respecté. Je me demandais cependant si c’était qu’elle avait obéi où s’il s’agissait d’un oubli.

La voiture, bien plus longue que tout ce que je pouvais voir à Paris, affichant un aspect sombre et massif, les vitres parfaitement impénétrables. M’y connaissant un peu, je jetais un œil aux pneus et, la pression qu’ils semblaient recevoir pouvait parfaitement annoncer que la limousine était blindée.
Le prénommer Igor s’extrayait alors de l’engin pour nous ouvrir nonchalamment une portière massive, confirment le caractère renforcé de la voiture. Le chauffeur, muet et immense, masquait partiellement son visage peu avenant sous un chapeau rond. Son regard vide me survola alors qu’il me paraissait presque mort.
N’ayant jamais été très porté sur les romans fantastiques, je n’avais qu’une connaissance minimale de l’univers vampirique, à partir du postulat que ces romans étaient fondés sur des faits réels. J’imaginais qu’il était un serviteur hypnotisé ou quelque chose dans ce goût-là.
Il ne sembla pas s’alarmer de ma présence, paraissant même n’en avoir que faire.

Je m’engouffrais dans le véhicule à la suite de ma compagne, pensant à ce moment-là que nous formions un étrange couple. Si tant est que nous en formions un, naturellement. Je ne savais pas vraiment à quoi m’en tenir, ni de sa part, ni véritablement, de la mienne.

L’odeur du sang me prit à la gorge à l’instant où la portière se refermait derrière moi et c’est seulement là que je vis le corps sans vie d’une jeune femme.
Je me retrouvais bloqué l’espace d’un instant, mon regard allant du corps à ma patiente, regard dans lequel elle pouvait voir un trouble certain.
J’étais le premier surpris, mais il n’y avait cependant aucune crainte dans mes yeux, une grande surprise, mais pas de crainte.

En l’entendant me dire de ne pas y prêter attention, je ne pus résister au réflexe de chercher son poul. Elle était bel et bien morte.
Dubitatif, je m’installais sur la banquette après avoir tourné la tête de la jeune femme à l’opposé de là où nous nous trouvions.
J’avais l’esprit vide en cet instant tandis qu’elle demandait au chauffeur de nous conduire à son domicile, donnant d’autres directives concernant trois autres personnes.

Je ne savais pas quoi penser de la situation, incapable de réellement y réfléchir. Finalement, je l’observais remonter la vitre de séparation entre nous et le chauffeur avant qu’elle ne pose la tête sur mon épaule.

Je pourrais mal le prendre de finir comme elle… Lâchais-je finalement avant de passer un bras autour de ses épaules, me trouvant étonnamment calme face à cette situation. Cette phrase résonnait comme le reste de mes propos, plus tôt, avec une pointe d’humour glauque.
J’avais de la peine pour la jeune femme mais… Connaissant la nature de celle à mes côtés et, surtout, les sentiments violents que j’avais pour elle, je faisais étrangement abstraction de cette présence macabre. Je me sentais presque ivre de la proximité de ma compagne, comprenant que rien d’autre ne comptait en cet instant.
Si la présence de ce corps me coupait toute envie charnelle, j’attendais avec impatience d’être arrivé pour la suite du programme.
Cette révélation me dérangera probablement plus tard, mais sur l’instant, j’étais bien trop épris pour porter un quelconque jugement.
N’écoutant alors que mon instinct, je me penchais sur elle pour lui mordiller le cou… Une action ainsi sensuelle que déplacée vu les circonstances et la présence de ce corps.
Le psy en moi me prédit quelques cauchemars dans les jours à venir, mais l’homme brûlant du feu de l’amour n’en a cure.

Telanie
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Telanie
Lun 4 Déc - 12:31


Katerine Hotwood

Je suis née en Écosse, en l’an 825, et transformée en vampire à l'âge de 23 ans, j’ai parcouru le monde, vu des civilisations naître et s’éteindre, et pour dire la vérité, je me fais gravement chier dans mon éternelle danse. J’envisage d’en finir, un côté dépressif qui ne me quitte pas depuis la fin du vingt et unième siècle. Alors pour ne pas passer à l’acte, j’ai décidé de suivre une thérapie avec un être humain qui soit disant est le meilleur dans son domaine. Le temps nous dira qui de nous deux finira dans le caveau. Moi car il est incompétent, ou lui… car il est complétement incompétent.  







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A mon grand étonnement, pas de cri, ou de morale, une petite frayeur des plus humaines, il vérifie qu’elle est vivante, il ne cherche pas à savoir pourquoi j’ai fais ça, il sait qui je suis désormais et semble l’accepter dans une phrase des plus amusantes. “Je pourrais mal le prendre si je finissais pareil”. Je tourne mon visage vers lui et lui dépose un baiser, avec dans le coin des lèvres un sourire des plus sadiques. De son côté, Igor a démarré et a commencé à rouler.

“De ce que j’entend, cela ne semble pas beaucoup vous déranger… Tant pis, moi qui espérais que tu me donnes une fessée pour me punir !”
Je lui fais alors un clin d’oeil et le véhicule démarre, le cadavre de la jeune femme glisse et avec l’accélération, finit la tête sur le pantalon de mon nouvel amant.

“Oh la garce, on dirait qu’elle veut de vous, elle aussi !” Dis-je sur un ton de jalousie mal placé, alors que la scène est des plus horribles. Je lui attrape les cheveux et la soulève pour qu’il voit ses yeux vitreux. Puis, la rejette sur le côté opposé à nous deux, comme un sac de viande. Je me pose ensuite sur ses jambes et écarte bien les cuisses pour que son sexe sois sur ma culotte par superposition de tissu.

“J’ai un autre plan en ce qui vous concerne…”
je glisse mon doigt sur sa tempe et l’embrasse à nouveau tandis que l’on passe sur un dos d’âne. Mon cul rebondis alors sur son sexe et je gémis un tout petit peu de désir.

Seulement voilà, Igor manoeuvre très vite le véhicule et on arrive en moins de temps qu’il m’aurait fallu pour prendre mon pied en sa compagnie, après quelques chemins de traverse, il met le clignotant et nous fait rentrer dans un parking souterrain d’un immense immeuble qui m’appartient. Un niveau, puis deux, puis trois. On va là où la lumière ne peut pas pénétrer, au plus proche des enfers.

Je le fusille de baiser coquin tout du long, et Igor ouvre finalement la porte pour nous laisser sortir. Il ne semble pas étonné et ne bronche pas d’un pouce ni ne dit mot alors que je continue à rouler un patin du diable à Sébastien. Finalement, le courant d’air me sort de ma crise de jouvencelle en manque et me relève de ses jambes malgré l’inconfort de ma longue robe à manipuler.

Je sors la première dans ce sous-sol sordide, dépourvu d’un éclairage adéquat pour un humain. La zone est terriblement macabre mais on distingue bon nombre de voitures de luxe. Je m’adresse à Igor et lui dit. “Tu peux te débarrasser du corps pour moi s’il te plait ? Mais ne mange pas tout d’un coup, d’accord ? Tu sais que tu as des gaz quand tu te goinfres.”

Igor me fixe et semble avoir le sourire d’un glouton qui peut manger sans s’arrêter, une sorte d’estomac sans fond. Peut il réellement avaler d’une traite cette femme, aussi maigre soit-elle ? Et que fait-il des os ? Il les mange aussi ?

Je tends alors ma main à Sébastien pour qu’il puisse sortir de la voiture avec mon soutien. Je l’attrape au bras après avoir remis en place ses cheveux et sa chemise, et le guide en direction de l’ascenseur. Une fois à l'intérieur, je bloque les portes en appuyant sur le bouton adéquate et pose mon regard sur lui.

“Tu vas rentrer dans le nid d’une vampire, on dit que je suis leur aînée, et que de ce fait je suis à la tête de mon clan, tu comprends ? Je suis peut-être à la tête de ce nid, mais je suis aussi susceptible de tomber de mon trône si on voit que je ne respecte pas mes propres règles, les plus anciens de mes Infants veulent ma couronne, et tous les prétextes sont bons à prendre pour que les jeunes suivent le mouvement révolutionnaire. Seuls, ils ne peuvent rien mais tous unis, ils peuvent mettre fin à ma suprématie, c’est ce que j’ai fait en tuant mon sire, il y a de nombreuses années. ”

Dis-je alors sur un ton des plus sérieux comme pour le préparer à bien des choses qu’il n’a pas une once de conscience. Une chose change également, je me remets à le tutoyer, comme si d’une certaine façon, je le préparais de façon intime à ce qui va se passer, ou bien que je lui offrais un nouveau statut facebook dans le compartiment de mon .

“Un humain n’a sa place dans un nid de vampire que pour plusieurs raisons, la première, tu vas finir en repas, ce que je pense que tu n’as pas vraiment envie, vu ce que tu m’as dit dans le véhicule. La deuxième possibilité, c’est que je t’ai hypnotisé pour faire de toi mon esclave. Au programme, longue séance de torture et de sexe, tu va mourrir dans d’attroce agonie de ma main ou de celle d’un de mes infants. Je peux même te donner mon sang pour que tu sois ma goule, comme Igor. Dans ces deux cas, cela finit mal pour toi, crois moi, tu ne veux pas que je m’amuse ainsi en ta compagnie. La troisième, c’est que tu as pleinement conscience de notre existence, je vais devoir me donner garant de toi et si tu fais le moindre faux pas, ce sera moi la responsable. On dit alors que tu es un calice, tu es ma propriété, je ne te partage pas, et je me nourris de toi, tu dois me donner ton sang délibérément et si je te le réclame, tu devras me tendre ton poignet sagement sans broncher. Les autres doivent l’accepter et te laisser vivre parmi nous si tu agis de la sorte, mais seulement voilà, on va me poser des questions et voir ton degré de fidélité. On va te tester, on va me tester, le but, me faire tomber de mon trône. Un calice sert également d’amant et avec le temps il peut être accepté au sein de notre coterie pour devenir un jour un vampire. C’est la seule et unique voie pour que l’on soit ensemble et pour que l’on puisse être amant, mais cela demande de toi, un énorme sacrifice...”

Je le fixe tout du long pour voir s’il emmagasine bien tout ce que je lui dis.

“Les jumelles vont te pousser dans tes retranchements, elles vont vouloir tester ta fidélité, voir si mon choix est le bon. Ainsi vais-je être clair, si tu veux me suivre dans mon appartement, tu t’engages de façon irrémédiable à être mon calice. Ta vie va changer à jamais Sébastien et chaque choix que tu prendras, mettra en danger ma vie, mais également la tienne…”

Je débloque le bouton de l’ascenseur et je lui dis ensuite.

“Ainsi choisis, soit tu appuies sur l’ouverture des portes et tu cours le plus vite possible avant que l’un des miens apprenne ton existence, soit tu appuie sur le niveau -5 et tu retires ta chemise le temps de la descente. Tu seras alors mon calice et mon amant officiel.”


Il est temps alice, est ce que tu es réellement prête à suivre le lapin blanc dans son terrier ?

Edward
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Edward
Lun 4 Déc - 15:07

Sébastien Meyer
J'ai 36 ans. Dans la vie, je suis Psychologue-clinicien spécialisé dans la dépression et les pathologies chroniques et je m'en sors très bien. Sinon, je suis célibataire et je le vis plutôt moyennement.

Tout bon psy gardera un voile pudique sur sa jeunesse, plus particulièrement sur sa relation avec sa mère. La seule chose à savoir, c’est que j’ai eu une enfance heureuse. Après un cursus scolaire classique, j’ai intégré la Fac de médecine pour suivre un parcours en vue de devenir psychologue. Sans me vanter, je n’ai jamais fait moins que major de promotion. Je me suis spécialisé dans la dépression, les chocs post-traumatiques et tout ce qui touche l’affliction quotidienne chronique. J’ai eu la chance d’avoir rencontré un ponte du domaine qui m’a proposé de reprendre son cabinet, à Paris, lors de son départ à la retraite. Je serais incapable cependant de vous dire comment, mais je suis devenu en quelques années seulement, le psy chouchou des stars parisiennes. Du jour au lendemain, ils se sont mis à défiler dans ma salle d’attente sans que je ne comprenne, ce qui à même fini par me propulser en couverture de Voici, Gala et autres magazines du genre. Depuis, mon planning est toujours plein et cela paye bien, même si ce sont souvent les mêmes problèmes d’addictions et de soucis familiaux qui reviennent.

En réponse à ma petite remarque à la limite de la provocation, elle m’embrasse avec un sourire dangereux.
Je coulais vers elle un regard sulfureux à sa réaction.

Je ne donne que des fessées cul-nu. Avec tout ça… Dis-je en soulevant un peu sa robe. Ici… Poursuivais-je en indiquant la voiture. Ce n’est guère pratique ! Mais je te fais la promesse de te corriger au moment opportun ! Concluais-je, toujours avec ce détachement vis-à-vis de la situation.

Après l’accélération franche du chauffeur, la tête de la jeune femme décédée se retrouva contre mes jambes. Cette fois, j’eus un peu de mal à déglutir jusqu’à ce qu’elle soulève ladite caboche pour m’en montrer le regard vide. Je n’arrivais pas à savoir si sa jalousie était réelle ou feinte mais la voir agiter ainsi la tête sans vie de sa victime sous mon nez me serrait malgré tout l’estomac. Mon étonnant flegme montrait quelques signes de faiblesse jusqu’à ce qu’elle n’évacue le corps plus loin.
Sans vraiment me laisser le temps de réagir, elle m’enjambe pour s’installer sur moi, faisant en sorte que son sous-vêtement se retrouve au contact direct de mon entre-jambe. Malgré les épaisseurs de tissu, je sentais le feu qui l’irradiait se communiquer pleinement à mon bassin. Le passage sur un dos d’âne la fait rebondir, augmentant furieusement la pression de son intimité sur mon membre, réveillant mille désirs encouragés par son glapissement.

J’ai hâte de découvrir ce que vous avez en tête ! Soufflais-je en réponse à son affirmation. De mon côté, sans ce cadavre, j’aurais très probablement désiré la prendre sue la banquette pendant le trajet, mais, même si sa position réveillait mon désir, la présence de la morte me coupait cet élan de passion.

A notre arrivée, bien trop rapide pour avoir le temps de faire quoi que ce soit de toute façon, elle demande à son chauffeur de faire disparaitre le corps et je ne relève pas lorsque j’entends ses directives quant à la consommation dudit cadavre. Je devrais m’offusquer, rugir, bondir, courir, hurler ! Mais je suis bien trop curieux et avide de la suite pour y penser.
Katerine m’aide à sortir de l’auto, réarrange ma tenue et ma coiffure pour me guider jusqu’à l’ascenseur qu’elle bloque après que l’on y soit entré.

Alors, me toisant d’un regard sérieux, elle repend le tutoiement pour m’informer de la situation. Elle n’est pas seule et si les règles ne sont pas respectées, sa position en serait grandement fragilisée. Ce changement radical entre le trajet en voiture et maintenant, me fait prendre conscience que, si elle est la maitresse, d’autre guettent la moindre erreur pour la remplacer.
A l’annonce de cette situation, devant le sérieux de son expression, je l’écoute avec une attention totale.

Elle énumère alors les différentes raisons pour lesquelles un humain peut-être présent dans un “nid” comme elle l’appel et, comme elle l’a parfaitement compris, les deux premières options ne m’emballent pas des masses. Au fond de moi, j’ai comme la conviction qu’elle ne désire aucune de ces situations, elle non plus.
La troisième possibilité est celle d’être officialisé auprès de tous comme étant sa propriété inaltérable. Cela implique de reconnaitre que j’ai connaissance de cet univers et que mes erreurs seront supportées par elle seule. Par ailleurs, elle me précise que cela implique un sacrifice personnel immense puisque je me devrais alors de lui offrir mon sang de façon volontaire. En entendant cela, un frisson me secoue l’échine même si je soutiens son regard. Cette option offre, contrairement aux deux autres, de faire de moi son amant officiel et unique, apportant une sorte d’assurance-vie… Enfin, vous voyez le concept. Lorsqu’elle annonce cependant que nous seront testés, poussés dans nos retranchements et toute chute sera probablement irrémédiable.

Elle m’assure de l’examen sévère des “jumelles” pour la tester elle avant de reformuler ses dires. Le seul et unique moyen que l’on a d’être ici ensemble est que je devienne son “calice”. Son amant et son fournisseur de sang donc, ce qui nous permettra d’évoluer ensemble. Cependant, le revers de la médaille c’est que l’on risque nos vies et que mon engagement vis-à-vis d’elle se devra d’être sans faille.
C’est sûr, ma vie va changer !

L’ascenseur toujours bloqué, elle m’informe alors que je n’ai finalement que deux options. Cela renforce l’idée que j’ai qu’elle ne veut absolument pas ma disparition. Intérieurement, j’en suis ravi et je meurs d’envie de lui sauter au cou.
Je n’en fais rien et me contente de garder mon regard dans le sien quelques longues secondes.

J’aurais dû t’amener chez-moi, nous autres, humains, sommes bien plus simples ! Lançais-je avec sérieux tout en ayant une étincelle bravache au fond des pupilles.

Alors, après avoir jeté un regard vers la sortie, je me tournais vers elle. J’écrasais le bouton “-5” avant de la pousser contre la paroi pour l’embrasser avec fougue, déboutonnant ma chemise en même temps pour la laisser tomber au sol.

Tu ne te débarrasseras pas de moi aussi simplement… ! Soufflais-je d’une voix rauque de certitude à son oreille, signant ainsi un pacte avec elle qui bouleversera ma vie à tout jamais.
Du moment que tu me veux pour qui je suis et non pour me contrôler… Je te suis ! Ajoutais-je alors en rompant le baiser.
Telanie
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Telanie
Lun 4 Déc - 16:09


Katerine Hotwood

Je suis née en Écosse, en l’an 825, et transformée en vampire à l'âge de 23 ans, j’ai parcouru le monde, vu des civilisations naître et s’éteindre, et pour dire la vérité, je me fais gravement chier dans mon éternelle danse. J’envisage d’en finir, un côté dépressif qui ne me quitte pas depuis la fin du vingt et unième siècle. Alors pour ne pas passer à l’acte, j’ai décidé de suivre une thérapie avec un être humain qui soit disant est le meilleur dans son domaine. Le temps nous dira qui de nous deux finira dans le caveau. Moi car il est incompétent, ou lui… car il est complétement incompétent.  







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Il accepte ma proposition et ne prend pas la fuite, je suis alors toute émoustillé comme si je retrouvais mon humanité perdue depuis si longtemps. Je suis heureuse qu’il prenne ce risque infini avec moi. Dans mon esprit, je me dis, je dois protéger cet humain quoi qu’il m’en coûte désormais ! Il en va de ma responsabilité.

Il se retire après un doux baiser et me dit alors que je ne dois pas le contrôler mais devant les autres, je vais être obligé. Il sentira alors mon hésitation profonde mais je dois le lui dire avant qu’il ne soit trop tard.

“En dehors de cet ascenseur tu dois me considérer comme ta maîtresse, ta domina, les autres pourront nous entendre même s’il ne sont pas dans la même pièce alors ne dit jamais rien dans leur dos qui pourrait nous nuire. Je devrais aussi te mettre à mes pieds… j’en suis désolée … c’est ainsi que l’on fonctionne ici…mais en privée je te rendrais le contrôle, tu as ma promesse…”

Son baisé m’a totalement déstabilisé, étrangement j’aimerais lui dire que je l’aime pour la première fois mais il est déjà trop tard, la porte s’ouvre sur un énorme salon, à l’intérieur trois vampires sont présents. D’une certaine façon, cette idée de lui dire ces mots me déstabilise et je reste à observer mon nouveau calice un instant de trop plutôt que de le présenter à genoux comme je devrais le faire.

Par chance le bruit de l’ascenseur à cacher nos paroles, je le sais que trop bien, mais à l’intérieur du loft souterrain, chaque pièce est audible. On ne se cache rien au sein de la confrérie.
Howard est assis dans le canapé, avec un verre de sang à la main, il est en train d’observer ses deux propres Infants, les fameuses jumelles. Son regard gris se porte alors sur nous deux, un brin interloqué de la présence d’un humain dans notre souterrain. Il attend que je le présente mais je ne dis rien. Son calme olympien ne doit pas être pris à la légère, il est l’un de mes plus vieux infants, et sans l’ombre d’un doute le plus sournois de tous.

Les jumelles, Béatrice et lydia, deux brunes aux yeux verts dont la beauté me surpasse sans l’ombre d’un doute, sont quand à elle debout, en train de lancer des flèches sur le corps d’un homme attaché sur une croix avec une cible inscrit à l’arrache avec un feutre noir. Trois fléchettes semblent avoir déjà atteint leur cible et le pauvre diable braille de douleur.

Je fixe Howard qui nous regarde puis porte ensuite ma prestance et mon attention sur la scène que j’ai du voir une bonne centaine de fois dans mon appartement.

Je targue alors Howard d’une phrase dominante. “Tu ne lis plus les messages d’Igor ? Est-ce ainsi qu’elles comprennent : “de se tenir” ?”

"Allons bon mère, ne soyez pas aussi soupe au lait, vous savez bien qu’elles aiment se divertir avant de se nourrir, et en plus Lydia est en train de gagner, ce qui change totalement notre intérêt car Béatrice est totalement hors d’elle, elle qui est si calme d’habitude…"

Howard dit cela sur le ton de l’ironie et l’une des deux jumelles se met à prendre une fléchette et à le planter dans le centre du pauvre mâle totalement dévétue en s’approchant de lui au corps à corps, la mauvaise perdante, la fameuse Béatrice dans toute sa splendeur.

Lydia, elle se rapproche telle une panthère en direction de nous et vient se frotter au corps nu de Sébastien. La parade commence, une sorte de jeu de vampire entre elle et moi , et aussi de séduction face à la potentielle proie qui vient de rentrer chez nous.

La suite dépend de moi, est ce une sorte de gâteau que j’apporte à goûter à tous ou bien mon plaisir personnel. Je me saisis alors de Sébastien et le pourfend de mes crocs au niveau de sa gorge sans qu’il ait le temps de réagir, je le vide d'une partie de son sang et je le lèche pour lui fermer sa plaie. Le pauvre est déstabilisé et je l’aide à tomber à mes pieds, puis j’affirme un regard franc à Lydia puis aux deux autres.

“Je vous présente Sébastien, mon nouveau calice.”


Inutile d’en dire plus, cela signifie bien des choses dans notre coterie mais Lydia continue de s’approcher et se met à genoux à côté de Sébastien.

“Il est mignon ton nouveau jouet mère, tu me le prêteras dis ?
Vu dans l’état que tu mets les tiens, je préférais éviter.” Dis-je en fixant la victime clouée dans le salon dont le sang coule sur mon tapis tout neuf.

Jusque là rien d’anormal, mais Howard surenchérit un propos qui me dérange et qui pique mon âme, il a pourtant raison, et je l’avais totalement oublié. Voilà une fâcheuse situation que je n’avais pas anticipé...

Dois-je vous rappeler mère que vous avez déjà un calice et que vous ne pouvez en avoir deux sans vous séparer du premier.

Je regarde alors Sébastien que je n’ai pas prévenu, par négligence, mais la tradition est la tradition.

“Amenez le ainsi que mon épée, comme le veut la coutume, c’est sébastien qui lui coupera la tête. Il est grand tant que je m'en sépare."


Howard ne réfléchit pas plus de cinq secondes et va le chercher, il s'agit d'ivan un homme patibulaire d'origine slave. Une vrai brute que mon Infant n'a aucun mal à mettre à genoux dans la pièce principale Moi je tire Sébastien par le bras et le fait glisser jusqu'à Ivan.

Howard jette alors l'épée sur le torce de seb et le coupe sans que cela ne soit grave, je rugis cependant car je vois bien qu'il cherche mes limites nos regards se croisent et il finit par laisser tomber son arrogance en baissant les yeux.

Je m'approche de mes deux calices et ordonne :

"Tu vas me servir une dernière fois Ivan en mourrant humblement et de façon dévoué pour ta domina. Met toi a genoux et prépare toi... Sébastien, tranche lui la tête, ta domina te l'ordonne."

J'aurais sûrement dû le prévenir aussi de ça... oups ?


Edward
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Lun 4 Déc - 18:45

Sébastien Meyer
J'ai 36 ans. Dans la vie, je suis Psychologue-clinicien spécialisé dans la dépression et les pathologies chroniques et je m'en sors très bien. Sinon, je suis célibataire et je le vis plutôt moyennement.

Tout bon psy gardera un voile pudique sur sa jeunesse, plus particulièrement sur sa relation avec sa mère. La seule chose à savoir, c’est que j’ai eu une enfance heureuse. Après un cursus scolaire classique, j’ai intégré la Fac de médecine pour suivre un parcours en vue de devenir psychologue. Sans me vanter, je n’ai jamais fait moins que major de promotion. Je me suis spécialisé dans la dépression, les chocs post-traumatiques et tout ce qui touche l’affliction quotidienne chronique. J’ai eu la chance d’avoir rencontré un ponte du domaine qui m’a proposé de reprendre son cabinet, à Paris, lors de son départ à la retraite. Je serais incapable cependant de vous dire comment, mais je suis devenu en quelques années seulement, le psy chouchou des stars parisiennes. Du jour au lendemain, ils se sont mis à défiler dans ma salle d’attente sans que je ne comprenne, ce qui à même fini par me propulser en couverture de Voici, Gala et autres magazines du genre. Depuis, mon planning est toujours plein et cela paye bien, même si ce sont souvent les mêmes problèmes d’addictions et de soucis familiaux qui reviennent.

C’est peut-être mon imagination, mais j’ai l’impression que ma décision la rend légèrement fébrile ou, du moins, un peu chose. Le baiser rompu, elle m’explique, après une étrange hésitation, que, malgré mon souhait de rester maitre de moi-même, je devais bien prendre conscience que, devant les autres, je devais la considérer comme ma maîtresse et être dévoué en tous points. Aussi, elle précisait que, de ce fait, elle pourrait être amenée à prendre le contrôle de ma personne pour assurer nos arrières, me faisant toute fois la promesse de me rendre tout contrôle une fois en privé.

Je te laisse juge de ce qui est bon pour notre santé à tous les deux ! Répondis-je avant de me glisser à son oreille. Tu as ma confiance ! Soufflais-je alors qu’elle me paraissait toujours hésitante. J’avais véritablement ce sentiment de l’avoir touchée plus qu’elle ne le laissait paraître.

Ce n’est que lorsque l’ascenseur s’ouvre qu’elle me quitte des yeux, détournant ce regard profond qu’elle avait sur moi, regard que je n’avais pas réussi à sonder.
Les portes s’ouvrent alors sur un univers glacial.

Un homme, installé dans un sofa, buvait du vin (ou peut-être du sang ?) tandis que deux sublimes créatures jouaient aux fléchettes sur un homme nu, crucifié. L’homme croise mon regard, plongeant ses pupilles d’acier dans les miennes un court instant avant de s’intéresser à Katerine.
Cette dernière le réprimande sur le comportement des jumelles, l’autre se défendant en les trouvant presque calmes. C’est alors que la perdante s’approche de l’homme qui hurle de douleur pour lui planter une flèchette sans même la lancer, comme s’il s’agissait d’un poignard.
Si tout ce que je vois devrait me faire hurler, je n’en fais rien, retournant en boucle les injonctions de ma compagne vampirique.

Je ne bouge pas d’un orteil lorsque la jumelle gagnante s’approche pour se frotter contre moi, féline et tentatrice. Pourtant, même s’il faut lui reconnaître une beauté à nulle autre pareille, elle ne me détournera pas de Katerine.
Elle non plus ne se détourne pas de moi.

Devant cette aguicheuse brune, elle me saisit pour me tirer à elle avant de planter ses crocs dans mon cou, m’arrachant un jappement de surprise. Si j’ai le réflexe de lever les bras comme pour me défendre, je suis immédiatement submergé, comme au cabinet, par une sensation grisante.
Il va me falloir un peu de temps pour m’habituer à cela, pensais-je en frissonnant tandis qu’elle léchait la plaie. Je n’avais aucune idée de la quantité de fluide qu’elle m’avait prélevé en deux morsures aussi peu espacées, mais je me sentais légèrement chancelant.

Toujours est-il qu’elle m’accompagne au sol pour que je ne m’écroule pas, revendiquant alors publiquement ma personne comme étant sa propriété personnelle. J’entends Lydia demander si elle pourra m’emprunter, ce que décline vivement Katerine.
Là où les choses se corsent, c’est lorsque l’homme rappel à ma compagne qu’elle ne peut avoir qu’un seul calice. Je comprends alors que mon arrivée va signer le départ de quelqu’un d’autre et je ne me fais guère d’illusion quand à l’aspect probablement définitif de ce “départ”.

On échange un bref regard et je vois dans le sien comme un “oups” silencieux. Le mien semble demander “quand est-ce qu’on mange ?” tellement j’ai le sentiment de planer.
Des ordres sont alors donnés et un colosse arrive alors qu’elle me traine vers lui. A peine arrivée à la hauteur du futur ex calice, je reçois une épée de plein fouet qui me coupe, provoquant la colère de la maitresse de maison.
C’est alors seulement, le gaillard à genoux devant nous et l’épée à mes côtés, que je comprends les paroles prononcées par la vampire.

Alors, je blêmis.
Elle donne ses directives à Ivan avant de m’ordonner d’exécuter cet homme.

Alors je pâlis.
Relevant les yeux vers elle, elle pourra voir, cette fois, une crainte réelle dans mon regard. Moi, médecin devant donner la mort. Il y a conflit là ! De nouveau, je vois ce “oups” dans son regard alors que je suis en proie au doute.
Suis-je prêt à tuer par amour ?

Je suis contraint d’utiliser l’épée pour me redresser, m’appuyant dessus comme s’il s’agissait d’une canne avant faire face à la vampire, une belle estafilade sur le torse.
Je la toise d’un regard égaré à l’image du conflit intérieur qui faisait rage en moi.

Pour ou contre ?
Est-ce l’heure pour moi de confronter mon serment d’Hypocrate d’un regard hypocrite ?
Bien ou mal ?
Quand deux cultures s’affrontent en un seul être, où donc se situe la limite ?
Risqué ou dangereux ?
Si l’un est hypothétique, l’autre est certain, il faut être pragmatique.

Mon cœur se serre alors que mes lèvres silencieuses délivrent un message inaudible.

Chlack ! Fait l’épée en s'abattant sur le cou.
Sprotch ! Fait la tête en tombant, seule.
Brouf ! Fait le corps en s'effondrant de son côté.
Je t’aime ! Ont préalablement dessiné mes lèvres avant que je ne lui tourne le dos pour prouver définitivement, aux autres comme à elle, la valeur de mon engagement.
C'est bel et bien pour faire partie de la sienne que j'ai pris une vie d'un coup d'épée.
C’est probablement un trait de ma personnalité que ma belle découvre. De toute ma vie, jamais je n’ai reculé.

Gling ! Fait l’épée alors que je me retourne pour la regarder avant de me laisse glisser au sol de nouveau.
Bon sang, qu’est-ce que j’ai faim !
Telanie
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Telanie
Mar 5 Déc - 6:25


Katerine Hotwood

Je suis née en Écosse, en l’an 825, et transformée en vampire à l'âge de 23 ans, j’ai parcouru le monde, vu des civilisations naître et s’éteindre, et pour dire la vérité, je me fais gravement chier dans mon éternelle danse. J’envisage d’en finir, un côté dépressif qui ne me quitte pas depuis la fin du vingt et unième siècle. Alors pour ne pas passer à l’acte, j’ai décidé de suivre une thérapie avec un être humain qui soit disant est le meilleur dans son domaine. Le temps nous dira qui de nous deux finira dans le caveau. Moi car il est incompétent, ou lui… car il est complétement incompétent.  







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Et c’est alors qu’un cri se fit entendre dans la pièce, celui de l’homme accroché sur la croix, je l’avais presque oublié celui là en fixant la tête qui roule et qui n’amasse pas mousse. Je ne savais pas que j’avais mis une alarme à humanité dans la pièce. Igor allait me manquer, mais en vérité, je me moquais pas mal de lui en l’état, la seule chose qui m’inquiétait vraiment, c'était Sébastien. Comment allait-il gérer cette situation ? Lui qui n’avait jamais voulu faire de mal à la moindre mouche. Lui qui avait fait ce serment d’hypocrate de sauver les vies au péril de la sienne. Je n’osais imaginer sa réaction à froid quand il réalisera que je l’avais précipité au bord du gouffre et que à cause de moi il avait sauté. Son humanité est à jamais brisée, dois je m’en vouloir ? Non, bien entendu, car ce genre de chose ne m’atteint pas, mais aussi étrange que cela puisse paraître, j’ai peur de le perdre. Mon cœur se saisit en fixant Sébastien qui commence à dessiner de ces lèvres des mots inaudibles, est ce qu’il a perdu la tête pour de bon. Il est au bout de ses forces et ne tient plus debout mais il doit encore me laisser quelques minutes pour l’aider.

J’attrape donc les jumelles au bras, l’une après l’autre, et les réunis devant l’homme sur la croix.

“Les filles, vous savez que je n’aime guère ce genre de tableau dans mon salon, alors vous allez le mettre dans votre chambre et dire à Igor de nous débarrasser d’Ivan. Oh et baillonnez-le. J’ai pas envie de l’entendre.”

Pas de merci, mais si Sébastien est encore conscient, il pourra remarquer que je leur roule un patin à toutes les deux. Suite à cela, il entendra raisonner un “bien domina”, ensuite je me dirige vers Howard, il est toujours assis et je me pose sur ses jambes pour l’embrasser lui aussi d’un baisé encore plus long.

“Et bien mon fils, tu en fais une tête, est ce parce que je ramène un nouveau calice parmis nous sans te prévenir ? Tu es jaloux ?”

- Il a fait ses preuves, je n’ai rien à dire s’il vous plaît mère.
- C’est un bon amant et il a une très bonne conversation, tu verras il te plaira beaucoup plus que Ivan.
- Ivan entretenait son corps mais pas son esprit, espérons que celui-ci ne fasse pas l’inverse.
- Oui, il semble assez fébrile quand on le regarde ainsi, mais je lui ai pris deux fois de son sang et je ne l’ai pas préparé à tuer Ivan, donc c’est assez normal qu’il soit un peu KO. Et si tu lui faisais ton steack grillé afin qu'il puisse se remettre ? Tu le fais si bien.
- J’imagine qu’il le mérite…
- Tu es mon amour éternel Howard, qu’est ce que je ferais sans toi.
- Bien des bêtises mères, bien des bêtises…
- Il est vrai, mais n'en profite pas trop, je te garde à l'oeil.”

Nous nous mirent à rire en coeur, à glousser tel des dindes, mais les directives étaient lancées, le steak allait être cuit, les filles allaient mettre ailleurs les corps dérangeant et moi je pouvais enfin m’occuper de Sébastien qui changeait à vue d’oeil sur le sol.

Je me pose sur le sol à ses côtés sur le tapis et l’enlace dans mes bras. Un réconfort maigre pour ce qu’il vient de faire, je pourrais lui dire des mots réconfortant mais les murs ont des oreilles donc à la place je lui marmonne comme si personne ne pouvait entendre mais je sais que c’est tout l’inverse.

“Tu m’as bien servi, te voilà mon calice désormais.”
Et je glisse ma main sur son visage comme une femme caresserait un chat où bien un chien. Comme je le pensais, mes mots sont écoutés, et quelques minutes plus tard, alors que Howard vient poser l’assiette au pied de Sébastien comme s’il s’agissait d’une gamelle pour chien que l’on pose sur le sol. D'ailleurs, il n’y a pas de couvert, il va devoir manger directement la viande comme un sauvage. Il dit sans détour.

“Pas tout à fait mère, il faut encore le marquer au fer rouge pour que personne ne vous le vole.”

Je lève les yeux au ciel et je pourrais lâcher un autre “oups” mais cette fois-ci je ne me laisse pas faire.

“Allons Howard, plus personne ne fait cela, je ne l’ai même pas fait avec Ivan, tu sais bien que je dois juste lui faire un tatouage sur le cou. Cela fait quoi trois siècles que l’on ne les marque plus comme du bétail ? Crois tu que je déraille à ce point sur nos traditions pour faire faire des choses qui n’ont plus court ? LES FILLES !”

Alors que je crie, Béatrice et Lydia se ramènent, elles ont écouté la conversation et ont ramené une sorte de mallette noire qui dans son contenant dispose de tous le nécessaire pour faire des tatouages.

“Bien, vous lui dessinerez le symbole de la maison, mais avant, laissez-le se remettre et manger son steack, il a perdu beaucoup de sang ce soir.”

Je glisse alors ma main sur sa tempe dans l’espoir de déclencher son retour parmi nous et de faire redémarrer la machine. L’odeur du steack l’a peut-être déjà ramené à lui.

“Tu peux manger mon beau, tu es à moi désormais, maman va bien s’occuper de toi, tu verras…”

Edward
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Mar 5 Déc - 10:56

Sébastien Meyer
J'ai 36 ans. Dans la vie, je suis Psychologue-clinicien spécialisé dans la dépression et les pathologies chroniques et je m'en sors très bien. Sinon, je suis célibataire et je le vis plutôt moyennement.

Tout bon psy gardera un voile pudique sur sa jeunesse, plus particulièrement sur sa relation avec sa mère. La seule chose à savoir, c’est que j’ai eu une enfance heureuse. Après un cursus scolaire classique, j’ai intégré la Fac de médecine pour suivre un parcours en vue de devenir psychologue. Sans me vanter, je n’ai jamais fait moins que major de promotion. Je me suis spécialisé dans la dépression, les chocs post-traumatiques et tout ce qui touche l’affliction quotidienne chronique. J’ai eu la chance d’avoir rencontré un ponte du domaine qui m’a proposé de reprendre son cabinet, à Paris, lors de son départ à la retraite. Je serais incapable cependant de vous dire comment, mais je suis devenu en quelques années seulement, le psy chouchou des stars parisiennes. Du jour au lendemain, ils se sont mis à défiler dans ma salle d’attente sans que je ne comprenne, ce qui à même fini par me propulser en couverture de Voici, Gala et autres magazines du genre. Depuis, mon planning est toujours plein et cela paye bien, même si ce sont souvent les mêmes problèmes d’addictions et de soucis familiaux qui reviennent.


Dans la nébuleuse qui s’empare doucement de moi, je crois voir un air dubitatif sur les traits de Katerine. Comme si, sous un certain aspect, la situation lui échappait ou, plus probablement, comme si elle s’inquiétait de quelque chose.
De mon côté, je suis à terre, faiblement appuyé sur mes bras pour ne pas m’étaler complètement et, après avoir donné ses ordres aux deux belles brunes, je la vois les embrasser toutes deux. Si je ne comprends pas bien ce que je vois, la réponse des deux jumelles ne laisse aucun doute sur le fond. Cela semble être parfaitement normal puisqu’elles se contentent d’acquiescer devant la maîtresse des lieux.

Les jeunes femmes ayant emporté le pauvre homme hurlant, je vois ma belle s’installer sur les genoux d’Howard et emprisonner ses lèvres avec plus de ferveur encore. Leur échange, pleinement orienté sur ma personne, ne m’échappe pas. L’homme semble accepter ma présence et mon nouveau statut tandis que Katerine vante mes mérites, allant jusqu’à excuser la faiblesse que j’expose lamentablement.
Ah ! Oui, c’est vrai ! Elle a bu mon sang par deux fois… Quelle quantité ? Est-ce pour cela que je me sens aussi faible et pourtant, aussi léger ?
Mon esprit est embrumé et mon corps réclame pitance à un point tel que je me mets à saliver immédiatement à l’évocation d’un steak. Je visualise une belle pièce de bœuf tandis que les deux vampires gloussent non loin.

Finalement, sans que je ne puisse vraiment archiver les choses dans un ordre précis, le corps froid et celui hurlant furent éloignés, pour mon plus grand soulagement. Ma belle vient alors me prendre tendrement dans ses bras, murmurant une phrase qui m’emplissait de joie tandis que je fermais les yeux pour apprécier sa caresse. Je suis bien trop satisfait pour faire un parallèle quelconque avec un chien, même lorsque, après un moment, une assiette est posée sous mon nez.
En revanche, les mots d’Howard arrivent bien à se frayer un chemin jusqu’à ma conscience et je blêmis plus encore, levant un regard interloqué sur les deux vampires.

Mon estomac se sert tandis que je me sens faiblir plus encore à l’annonce d’un possible marquage au fer. Je commençais à sentir que j’allais tourner de l’œil si cela se poursuivait dans cette direction. Fort heureusement, Katerine s’y oppose fermement, pour mon plus grand soulagement. Argumentant sans faillir que cette coutume était bien trop vieille et désuète, un simple tatouage suffirait. Les filles arrivèrent rapidement avec une mallette contenant vraisemblablement le nécessaire.
Je ferme les yeux en sentant sa main se poser sur ma tempe, laissant un léger grondement de plaisir s’échapper alors qu’elle me permet de manger avant que les jumelles ne s’occupent de me tatouer.

Je ne fais dès lors guère prier et saisis le steak à pleines mains pour mordre dedans. Je suis bien trop affamé pour prêter attention à la situation et, le fait d’être servit comme un chien et de ne pas avoir de couverts ne me préoccupe guère. Ma faim est bien trop grande.
Je mange donc ce délicieux morceau de viande, m’asseyant contre les jambes de Katerine.
Sous l’effet de sa main et de la viande qui me rempli le ventre, j’ai l’impression de me réveiller doucement. Plutôt, de redescendre tranquillement, un peu comme une gueule de bois qui s’estompe à vue d’œil.
Alors, je suspends mon geste au moment où j’allais croquer dans le steak, lançant un regard circulaire aux quatre vampires non loin de moi, debout, alors que je suis assis sur le tapis. Je me sens telle une proie et, l’espace d’un instant, un nouveau tournis s’empare de moi. Je sais que, plus tard, j’aurais probablement des haut le cœur en repensant à ce que j’ai fait ce soir, mais pour l’heure, je me raisonne à plus court terme.
J’ai réussi à faire valider ma place auprès de ma compagne et c’est bien tout ce qui compte.

Je reste placide tandis que les jumelles me font le tatouage commandé par la patronne du lieu, frissonnant légèrement par moment sous l’impact de l’aiguille. Je n’ai qu’une chose en tête, que l’on puisse enfin se retirer en privé, elle et moi.
Je n’ai pas dit un mot depuis notre arrivée, préférant toujours me taire que de dire une bêtise qui pourrait nous couter cher. Maintenant, j’aspire à profiter de cette place durement gagnée…
Très durement gagnée, même !

Telanie
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Mar 5 Déc - 12:07


Katerine Hotwood

Je suis née en Écosse, en l’an 825, et transformée en vampire à l'âge de 23 ans, j’ai parcouru le monde, vu des civilisations naître et s’éteindre, et pour dire la vérité, je me fais gravement chier dans mon éternelle danse. J’envisage d’en finir, un côté dépressif qui ne me quitte pas depuis la fin du vingt et unième siècle. Alors pour ne pas passer à l’acte, j’ai décidé de suivre une thérapie avec un être humain qui soit disant est le meilleur dans son domaine. Le temps nous dira qui de nous deux finira dans le caveau. Moi car il est incompétent, ou lui… car il est complétement incompétent.  







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Les filles sortent le matériel de tatouage, et après que Sébastien se met à finir la dernière gorgée de son steack, voilà que les filles s’empressent de le poser au sol et à lui tomber dessus avec leur pistolet. On voit un petit côté sadique dans le regard, on voit aussi l’état de la pointe, a-t-elle seulement été désinfecté ces dernières années…? Décennie ?

L’une des deux jumelles lui tient les mains virilement sur le sol pour qu’il ne bouge pas tandis que l’autre plaque son visage sur le sol, il s’agit de son profil gauche qui profite de la poussière et la douceur de mon tapis. Avec l’arme de mort à retardement, elle s’empresse avec une délicatesse des plus inexistantes à faire le symbole de leur clan sur le cou du nouveau calice. Une petite coupe est alors dessinée sur sa peau, elle ressemble fortement à un graal brisé. Leur travail dure cinq minutes et pendant ce temps moi je vais auprès d’Howard pour retourner sur ces jambes.

Tout du long de l’opération aiguille putride, je marmonne avec Howard sur un ton inaudible pour Sébastien qui doit pas prendre son pied. Les filles se mettent à rire car elles nous entendent préparer la suite des événements.

Une fois qu’elles ont terminé leur œuvre, elles prennent chacune un bras de Sébastien pour le remettre sur une posture assise. Elles sont bien collées à lui et semblent le tenir.

“Il parait que tu aimes les spectacles mon petit steevy, oh oui je vais t'appeler steevy. Tu seras mon nouvel ami Steevy, dis tu veux bien être mon ami Steevy.” lui dit Lydia. De son côté Béatrice commence à lui lécher le cou qui n’a pas été perforé par l’aiguille coloré. Un long suçon.

“Veuillez cesser les filles, s’il vous plaît, il paraît évident ce soir, que votre mère a été une très très très vilaine fille.”
se met à dire Howard qui fait monter la pression avant de continuer son monologue des plus flippants.

“Et quand un membre de notre confrérie fait une chose indigne de nous, que faisons nous les filles ?”
On la punit !

Dirent-elles en cœur alors que moi je regarde Sébastien sans dire un mot, tout en demeurant stoïque.

“Ainsi, avec bien entendu l’accord des anciens de notre congrégation, nous avons décidé de punir notre mère, pour s’être laissée souiller par son calice. On peut d'ailleurs sentir son odeur sur elle. Mère, voulez vous bien vous positionnez pour montrer à notre nouvel invité, comment on s’occupe d’une femme qui se laisse prendre de la sorte ?”


Je souris alors à Howard, et me lève pour retirer ma robe dans son intégralité, ensuite la culotte et pour finir je remet mes cheveux en place afin de conserver ma coupe cintrée. Ensuite je m’allonge le long des jambes d’Howard de façon perpendiculaire, afin que mon cul soit positionné en direction de son visage. Il pose alors sa main sur mon cul sous les yeux de Sébastien.

“Mère vous êtes vraiment dégoûtante.” Dit il en touchant ma peau. “Vous ne vous êtes même pas essuyer.”
J’acquiesce alors d’un regard soumis envers Howard qui ne réfléchit pas et fait claquer mes fesses avec sa main.

Les filles sursautent autour de Sébastien, Béatrice cesse de lécher son nouveau jouet pour dire. “Oh j'ai loupé le début que je suis distraite.” Elle pose alors sa main sur la queue de Sébastien et Lydia vient à son tour marmonner à l’oreille du nouveau. “Prend ton pied à regarder, c’est notre cadeau de bienvenue.”

Howard glisse son doigt sur ma chatte et me positionne pour que Sébastien ne manque rien du spectacle tandis qu’il me touche. Puis il sort une griffe de son doigt et me pénètre sauvagement, je me met à saigner et à gémir. Je suis dos à Sébastien et ne puis regarder sa réaction. Il retire ensuite son doigt qui saigne légèrement d’un liquide plus épais que celui des êtres humains. Il sort toutes ses griffes et me racle le dos jusqu’au sang. Je me met à gémir de douleur, mais étrangement je me cambre, j'adore ça que l’on me maltraite. Mon corps semble se régénérer juste après son passage, en somme la douleur et les plaies ne sont que éphémères, d’où la violence de ces gestes.

Il recommence ses fessés, puis à nouveau il me doigte avec son ongle qui me griffe de l’intérieur, puis il change en me claquant le clitoris et en insérant son ongle dans mon autre orifice. Tout du long je gémis de douleur, tout du long je semble prendre mon pied, je crois que j’adore l’idée de savoir Sébastien en train d’apprendre comment me dominer. D’une certaine façon, je lui avais promis.

Finalement mes deux sœurs soulèvent sur ces jambes, le pauvre pantin. Et font ensuite tomber son pantalon. “Tu dis rien et tu observes, tu te souviens ?” dit à nouveau Lydia à ses oreilles. Je me tourne alors pour regarder ce qu’elles font mais je sais qu'elles ne lui feront pas de mal, bien au contraire…

En deux temps trois mouvements, les voilà à nouveau à genoux en train de le sucer ensemble pour faire démarrer son engin.

Howard observe le pénis de Sébastien qui grossit à vue d'œil et continue à me donner du plaisir en me doigtant avec sa griffe. Il sait comment s’y prendre pour me faire du bien, tout en me faisant du mal. Une chose que Sébastien croyait être le seul en mesure de faire en ce monde, comme quoi son analyse de ma psyché n’était pas totalement vrai.

Voilà qu’il me tire ensuite les cheveux et me tourne de force pour que je ne puisse plus voir Sébastien. Les filles tirent sur la queue avec leur bouche pour forcer Sébastien à avancer d’un pas vers Howard et moi. Elle le lâche  finalement après avoir bien bavé dessus.

“Encule là, petit, je tiens à te voir en action.” Il présente alors mon cul devant sa bite tout en restant dessous. Moi je ne dis rien, je garde ma posture bombée et soumise.

“Tu voulais la soumettre à toi, non ? Alors vas y… Hésite pas à la frapper et à la griffer, on veut te voir faire…”

Les deux jumelles se relèvent et se mettent à côté de Sébastien pour le pousser vers moi.
“Montre nous que tu es un mâle alpha, on adore les mâles alpha.” Dire t’elles toutes les deux  en cœur en posant une main sur tes fesses. L’une d’elle ose mettre même un doigt dans ton cul ! Mais jusqu’où vont elles aller avec toi !  

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