Une patiente pas comme les autres. +18 (âme sensible s'abstenir)
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Edward
Mer 29 Nov - 18:48
Sébastien Meyer
J'ai 36 ans. Dans la vie, je suis Psychologue-clinicien spécialisé dans la dépression et les pathologies chroniques et je m'en sors très bien. Sinon, je suis célibataire et je le vis plutôt moyennement. Tout bon psy gardera un voile pudique sur sa jeunesse, plus particulièrement sur sa relation avec sa mère. La seule chose à savoir, c’est que j’ai eu une enfance heureuse. Après un cursus scolaire classique, j’ai intégré la Fac de médecine pour suivre un parcours en vue de devenir psychologue. Sans me vanter, je n’ai jamais fait moins que major de promotion. Je me suis spécialisé dans la dépression, les chocs post-traumatiques et tout ce qui touche l’affliction quotidienne chronique. J’ai eu la chance d’avoir rencontré un ponte du domaine qui m’a proposé de reprendre son cabinet, à Paris, lors de son départ à la retraite. Je serais incapable cependant de vous dire comment, mais je suis devenu en quelques années seulement, le psy chouchou des stars parisiennes. Du jour au lendemain, ils se sont mis à défiler dans ma salle d’attente sans que je ne comprenne, ce qui à même fini par me propulser en couverture de Voici, Gala et autres magazines du genre. Depuis, mon planning est toujours plein et cela paye bien, même si ce sont souvent les mêmes problèmes d’addictions et de soucis familiaux qui reviennent.
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Telanie
Jeu 30 Nov - 9:07
Katerine Hotwood
Je suis née en Écosse, en l’an 825, et transformée en vampire à l'âge de 23 ans, j’ai parcouru le monde, vu des civilisations naître et s’éteindre, et pour dire la vérité, je me fais gravement chier dans mon éternelle danse. J’envisage d’en finir, un côté dépressif qui ne me quitte pas depuis la fin du vingt et unième siècle. Alors pour ne pas passer à l’acte, j’ai décidé de suivre une thérapie avec un être humain qui soit disant est le meilleur dans son domaine. Le temps nous dira qui de nous deux finira dans le caveau. Moi car il est incompétent, ou lui… car il est complétement incompétent.
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Les directives sont lancés par mon nouveau maître d’un soir, d’abord je dois retirer mes chaussures, une après l’autre. Ce que je fais lentement en gardant ma posture assise, je retire un à un les lacets de mes chaussures noires à talon haut. Je sens alors ma grandeur se réduire sous le commandement de cet inconnu à qui je laisse les commandes de mon avenir. Une fois cette partie effectué, je m’attaque à retirer mes longs bas en dentelle noir. L’une après l’autre, sans me presser et en fixant du regard ces yeux qui sont posés sur moi. Le désir de lui offrir cette vue des plus agréables me titille les sens, mais je suis aussi terriblement joueuse et aguicheuse, alors à chaque bas de cuisse retirer, je ne me gène pas pour lui lancer au visage délicatement avec glamour et séduction. Pour finir, ma culotte une chose des plus personnelles, celle-là je ne lui offre pas à son doux visage, je me lève pour pouvoir la retirer sans qu’il ne puisse me voir, ma robe englobe la plupart de mes mouvements et celle-ci tombe à mes pieds. Avec la grâce d’une lionne je m’évade de l’emprise de son voile de soie sur la pointe des pieds. Le cadavre de mon intimité reste au sol. Je me mets alors à quatre pattes pour la saisir dans ma bouche. La tête bien incliner vers les yeux observateurs de mon interlocuteur je rampe au sol le tissu en proie à ma salive qui commence à humidifier ma proie. Je le fixe dans les yeux, remplis de désir. Une fois à ses pieds, Je retire ses chaussures, une après l’autre lentement. Une fois ma tâche achevée, je me redresse à genou tout en glissant ma tête de chatte en chaleur sur sa jambe pour finalement me caresser à sa virilité. Je relève mes mains pour déboutonner son pantalon et le mettre à ses pieds. Ma tête est alors plaqué sur son sexe caché par son caleçon que je laisse là, par dépit des ordres. Avec mon nez je titille toutefois la protubérance qui doit avoir envie de sortir de ce sous-vêtement. Quand le pénis de celui-ci sera tellement provoqué, et qu’il montre à peine son bout sur la partie supérieure, je pose ma culotte sur son extrémité, comme s’il s’agissait d’un cintre.
La partie chaude est faite, il ne reste plus qu’un dernier détail. Je me relève lentement et l’aide à retirer son haut tout en le mettant au plus près de mes formes délicates... Je le fixe dans les yeux, un court instant je l’allume avec ma bouche qui mordille l’angle droit de ma lèvre inférieure, preuve que j’ai faim de lui. Puis mes longues canines de vampire sortent de ma bouche et je simule que je mord quelque chose dans l’air. Comme si j’avais envie de le dévorer. Je rétracte ensuite mon désir de vampire, en bonne soumise que je dois être et m’installe sur le divan… À quatre pattes. Après tout, il n’a pas précisé la position.
Il ne me reste plus qu' à attendre la suite.
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Edward
Jeu 30 Nov - 19:57
Sébastien Meyer
J'ai 36 ans. Dans la vie, je suis Psychologue-clinicien spécialisé dans la dépression et les pathologies chroniques et je m'en sors très bien. Sinon, je suis célibataire et je le vis plutôt moyennement. Tout bon psy gardera un voile pudique sur sa jeunesse, plus particulièrement sur sa relation avec sa mère. La seule chose à savoir, c’est que j’ai eu une enfance heureuse. Après un cursus scolaire classique, j’ai intégré la Fac de médecine pour suivre un parcours en vue de devenir psychologue. Sans me vanter, je n’ai jamais fait moins que major de promotion. Je me suis spécialisé dans la dépression, les chocs post-traumatiques et tout ce qui touche l’affliction quotidienne chronique. J’ai eu la chance d’avoir rencontré un ponte du domaine qui m’a proposé de reprendre son cabinet, à Paris, lors de son départ à la retraite. Je serais incapable cependant de vous dire comment, mais je suis devenu en quelques années seulement, le psy chouchou des stars parisiennes. Du jour au lendemain, ils se sont mis à défiler dans ma salle d’attente sans que je ne comprenne, ce qui à même fini par me propulser en couverture de Voici, Gala et autres magazines du genre. Depuis, mon planning est toujours plein et cela paye bien, même si ce sont souvent les mêmes problèmes d’addictions et de soucis familiaux qui reviennent.
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Telanie
Ven 1 Déc - 11:19
Katerine Hotwood
Je suis née en Écosse, en l’an 825, et transformée en vampire à l'âge de 23 ans, j’ai parcouru le monde, vu des civilisations naître et s’éteindre, et pour dire la vérité, je me fais gravement chier dans mon éternelle danse. J’envisage d’en finir, un côté dépressif qui ne me quitte pas depuis la fin du vingt et unième siècle. Alors pour ne pas passer à l’acte, j’ai décidé de suivre une thérapie avec un être humain qui soit disant est le meilleur dans son domaine. Le temps nous dira qui de nous deux finira dans le caveau. Moi car il est incompétent, ou lui… car il est complétement incompétent.
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Nous y voilà enfin, sa main se pose sur mon postérieur et glisse dessus avec fermeté, comme s’il cherchait à rentrer à l’intérieur de mes pores. En fait non, il me prépare une petite fessée qui ne tarde pas à raisonner sur mon arrière train recouvert de ma robe protectrice. La bête en moi sort ses crocs, et mon désir s’intensifie. Il arrive ensuite devant moi alors que j’ai les canines sorties, et il me prend dans ses mains pour me recouvrir d’un baiser ardent. Il me force les lèvres avec sa langue et vient taquiner mes crocs qui sont aussi tranchants qu’une lame de rasoir. J’ai une soudaine envie de le mordre, ma bouche se positionne pour lui arracher la lèvre mais il se rétracte alors comme s’il sentait le danger venir et m’ordonne d’être sage. Je suis alors presque surprise, et amusé, la bête en moi par contre fait des bons et m’ordonne de le dévorer mais je ne l’écoute pas, j’ai envie de voir où va mener ce petit jeu…
Ensuite il se retrouve derrière moi et me touche à nouveau les fesses. Instinctivement j’écarte mes jambes pour lui laisser un accès à mon intimité, je suis terriblement excité et me mord moi même ma lèvre jusqu’au sang pour me calmer. Là encore il me donne des instructions, je ne dois rien dire, et ne pas bouger. Il veut me pousser dans mes retranchements, c’est certain.
Il soulève ma robe pour que je révèle mon intimité à ses attentes. Voilà qu’il se positionne, non pas pour me pénétrer mais pour me donner du plaisir avec sa langue. Comme s’il me devait un prêté pour un rendu. Son plaisir est de me donner envie de m’exprimer, alors que cela m’est interdit. Je renferme donc en moi mon plaisir au plus profond de moi, les vampires ont cette capacité de perdre leur humanité en un claquement de doigt. Sans en arriver à de telles extrémités, j’essaie de rester de marbre. Toutefois je dois bien le reconnaître le plaisir est décuplé ainsi, et cette envie de crier me démange plusieurs fois alors que mon bourgeon arrose librement sa langue de son nectar fleurit. Finalement il s'arrête avant que je doive retenir un orgasme forcé.
Finalement il veut que je puisse m’exprimer, étrange, je pensais qu’il voulait me rendre chèvre par le plaisir, mais en réalité, il veut juste me faire plaisir. Quand au “tu” il ne rentre pas dans mes oreilles comme une chose désagréable, j’imagine qu’il a mérité ce droit maintenant qu’il me fait un cuni.
Je ne dois pas bouger, mais j’ai le droit de ressentir, alors je me replonge dans mon plaisir et progressivement, il peut m’entendre commencer à gémir. Seulement voilà, même s’il est très doué avec moi, l’idée de me retenir m’amuse encore, alors j’évite de faire du bruit, bon parfois c’est inévitable car je monte haut dans les tours, mes crocs se rétractent et je suis sur le point d’avoir un orgasme…
“Mmm….MMmm… Mmm…..Docteur Meyer… MMmm… “ Je n’ai pas vraiment envie de jouir ainsi, j’aurais préféré avoir sa virilité qui me plaque sauvagement sur le divan et qui me baise sauvagement… A croire que mon corps lui voulait autre chose. En tout cas, je sens que je vais pas tarder à émettre un son incontrôlable.
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Ven 1 Déc - 14:28
Sébastien Meyer
J'ai 36 ans. Dans la vie, je suis Psychologue-clinicien spécialisé dans la dépression et les pathologies chroniques et je m'en sors très bien. Sinon, je suis célibataire et je le vis plutôt moyennement. Tout bon psy gardera un voile pudique sur sa jeunesse, plus particulièrement sur sa relation avec sa mère. La seule chose à savoir, c’est que j’ai eu une enfance heureuse. Après un cursus scolaire classique, j’ai intégré la Fac de médecine pour suivre un parcours en vue de devenir psychologue. Sans me vanter, je n’ai jamais fait moins que major de promotion. Je me suis spécialisé dans la dépression, les chocs post-traumatiques et tout ce qui touche l’affliction quotidienne chronique. J’ai eu la chance d’avoir rencontré un ponte du domaine qui m’a proposé de reprendre son cabinet, à Paris, lors de son départ à la retraite. Je serais incapable cependant de vous dire comment, mais je suis devenu en quelques années seulement, le psy chouchou des stars parisiennes. Du jour au lendemain, ils se sont mis à défiler dans ma salle d’attente sans que je ne comprenne, ce qui à même fini par me propulser en couverture de Voici, Gala et autres magazines du genre. Depuis, mon planning est toujours plein et cela paye bien, même si ce sont souvent les mêmes problèmes d’addictions et de soucis familiaux qui reviennent.
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Telanie
Ven 1 Déc - 14:57
Katerine Hotwood
Je suis née en Écosse, en l’an 825, et transformée en vampire à l'âge de 23 ans, j’ai parcouru le monde, vu des civilisations naître et s’éteindre, et pour dire la vérité, je me fais gravement chier dans mon éternelle danse. J’envisage d’en finir, un côté dépressif qui ne me quitte pas depuis la fin du vingt et unième siècle. Alors pour ne pas passer à l’acte, j’ai décidé de suivre une thérapie avec un être humain qui soit disant est le meilleur dans son domaine. Le temps nous dira qui de nous deux finira dans le caveau. Moi car il est incompétent, ou lui… car il est complétement incompétent.
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On y était, le moment que j’attendais tant, ce petit moment où le mâle rentre dans la fleur de sa partenaire, on se sent alors si sale, mais quel plaisir de se laisser aller à la déchéance. La bête en moi déteste cette domination que l’on lui impose, il voudrait que je me retourne et que je prenne les rênes, mais je me retiens de toutes mes forces pour ne pas le faire. Il n’est pas aisé de lâcher prise quand on a passé plusieurs centaines d'années à commander, diriger, imposer aux autres ses propres désirs. Là je ne sais pas du tout ce qui m’attend, peut être finira t-il dans mon cul, qui sait ? A moins qu’il préfère me tirer les cheveux sauvagement et éjaculer à nouveau sur mon visage. Osera t-il seulement ? Est ce le genre de risque qu’un médecin en psychologie prendrait avec une vampire ?
Son choix est plus charnel, il m’impose de retirer ma robe tandis qu’il me prend en levrette. La démarche est loin d’être aisée avec ce genre de tenue, je tente toutefois ma chance et essaie de la passer par-dessus mon visage mais très vite je sens que cela va être sportif. Il y va de bon cœur et me ramone de façon puissante, je sens son désir grossir en moi, et moi disons le ouvertement, je galère ! Cette robe me donne du fil à retordre, et je sens mon plaisir s’évanouir pendant qu’il croit me faire du bien. Son ordre est très difficile à effectuer en une seule fois, il faut que je m’y prenne à plusieurs reprises et mon vagin broie à plusieurs reprises sa verge de façon disproportionné, il va éjaculer ? Cela ne m'étonnerait pas.
Finalement me voilà entièrement nue, cette fichue robe au sol m’a complètement retiré le désir ardent de m’envoyer en l’air. Je suis déconcentré, mais je demeure sa soumise. L’envie n’est plus là, du moins l’envie de prendre mon pied, mais j’ai toujours envie de lui plaire. Cette partie de moi est à jamais acquise.
Je tourne donc mon visage pour le regarder du coin de l'œil, il s'essouffle mais n’a pas encore craché son nectar, incroyable, peut être que mes mouvements pour m’extraire de cette robe, l’ont aussi déranger finalement. Je dois retrouver ma concentration alors je le fixe et lui dit sans détour de façon taquine.
“Cela fait longtemps que tu as pas dominé une femme toi…hein ?” Le ton est provocateur, et un peu justifié, tout cela est assez simple en réalité, il n’y a rien de chaud bouillant et ni de totalement déplacé, on ne peut pas réellement dire que je suis sa “chose”. Je suis juste son amante.
“Tu veux que je te montre comment on fait ?” Dis-je à nouveau sur un ton déstabilisateur pour l'entraîner dans une toile d’araignée des plus torrides, s’il se laisse prendre au piège, il est évident que sa vie sera à jamais changée…
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Edward
Ven 1 Déc - 16:35
Sébastien Meyer
J'ai 36 ans. Dans la vie, je suis Psychologue-clinicien spécialisé dans la dépression et les pathologies chroniques et je m'en sors très bien. Sinon, je suis célibataire et je le vis plutôt moyennement. Tout bon psy gardera un voile pudique sur sa jeunesse, plus particulièrement sur sa relation avec sa mère. La seule chose à savoir, c’est que j’ai eu une enfance heureuse. Après un cursus scolaire classique, j’ai intégré la Fac de médecine pour suivre un parcours en vue de devenir psychologue. Sans me vanter, je n’ai jamais fait moins que major de promotion. Je me suis spécialisé dans la dépression, les chocs post-traumatiques et tout ce qui touche l’affliction quotidienne chronique. J’ai eu la chance d’avoir rencontré un ponte du domaine qui m’a proposé de reprendre son cabinet, à Paris, lors de son départ à la retraite. Je serais incapable cependant de vous dire comment, mais je suis devenu en quelques années seulement, le psy chouchou des stars parisiennes. Du jour au lendemain, ils se sont mis à défiler dans ma salle d’attente sans que je ne comprenne, ce qui à même fini par me propulser en couverture de Voici, Gala et autres magazines du genre. Depuis, mon planning est toujours plein et cela paye bien, même si ce sont souvent les mêmes problèmes d’addictions et de soucis familiaux qui reviennent.
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Telanie
Ven 1 Déc - 18:11
Katerine Hotwood
Je suis née en Écosse, en l’an 825, et transformée en vampire à l'âge de 23 ans, j’ai parcouru le monde, vu des civilisations naître et s’éteindre, et pour dire la vérité, je me fais gravement chier dans mon éternelle danse. J’envisage d’en finir, un côté dépressif qui ne me quitte pas depuis la fin du vingt et unième siècle. Alors pour ne pas passer à l’acte, j’ai décidé de suivre une thérapie avec un être humain qui soit disant est le meilleur dans son domaine. Le temps nous dira qui de nous deux finira dans le caveau. Moi car il est incompétent, ou lui… car il est complétement incompétent.
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Le coït était fini, il avait largué en moi sur moi et contre moi sa purée de jouvenceau afin de marquer son territoire. Je le vois se retirer alors que j’ai pris également un plaisir intense, seulement voilà, il me prend pour sa larbine tout en se tenant face à moi avec le membre qui commence à se réduire. Soudainement, alors que j’ai encore les jambes bien écartées , je glisse mes quilles de gazelle derrière ses jambes d’homme virile et avec une force des plus surnaturelles, je bondis sur lui et l’entoure tel un illithid qui dévore la cervelle de ces victimes. Le genre, poulpe en furie qui se saisit de sa proie. Je l’emprisonne de mes bras, de mes jambes. Mon visage se met à changer, des veines sortent de mes orbites, mes dents sortent encore plus que d’habitude et je m’approche dangereusement de sa nuque en lui faisant plier la tête avec virulence sur le côté.
Mes dents se plantent dans sa chair sans pour autant la perforer, je veux lui faire vivre le moment le plus horrible de sa vie, lui infliger une terreur de mort. La pièce se refroidit soudainement alors qu’il faisait pourtant si chaud. J’instaure la panique dans son regard, je veux qu’il tremble alors que juste avant il était si heureux. Je veux qu’il passe d’un extrême à l’autre, qu’il sache ce que signifie voir la mort en face.
Je lui tire vigoureusement les cheveux pour le maintenir, mes jambes le broient au niveau du bassin, mon autre main le griffe dans le dos et lui bloque le bras droit. Je serre ma mâchoire sur sa nuque mais me ravise de le perforer jusqu’au sang. Je glisse une dent qui déchire très légèrement sa chair mais pas au point de le faire saigner encore une fois, juste de quoi provoquer un frisson de peur, certain homme se pisse dessus quand il ressente ainsi la porte de la mort, ma bouche remonte sur son oreille et je marmonne dans son creux.
“Ta soumise a décidé de reprendre les rênes…” Je prends alors avec vigueur sa main droite et la soulève pour qu’elle se retrouve non loin de ma bouche. Je déchire alors son poignet avec mes dents, cette fois-ci pour atteindre les veines.
La douleur est violente, vive mais soudainement après ce choc j’inocule ma salive en lui, pour le contrôler, il ne ressent plus la douleur, simplement un doux cocktail puissant d’aphrodisiaque. Je le bois avec intensité, mais pas assez pour le tuer, je veux le garder en vie. Je lèche sa plaie pour la refermer. La magie des vampires est extraordinaire, il n’en gardera aucune cicatrice. Je me saisis à nouveau de ses cheveux et incline à nouveau sa nuque pour le sortir de cette drogue que je viens de lui donner. Je veux déclencher à nouveau son instinct de survie, ma langue ensanglantée glisse sur sa nuque puis vient lui voler un baiser. La bête en moi s’est réveillé, j’ai envie de jouer avec lui comme une mouche que j’ai attrapé dans ma toile. Je viens alors lui dire dans le creux de l’oreille.
“Tu as aimé me dominer pas vrai… qu’est ce que cela te fait de ne pas avoir le moindre contrôle sur moi… ? Tu as peur … ? “
Je le laisse répondre puis d’une main je lui impose de se mouvoir en direction de son bureau et l’étale dessus, c’est comme si je volais dans les airs et que je pouvais le déplacer de force sans me servir de mes jambes. Je me saisis de son téléphone fixe et lui pose sur le côté de l’oreille alors qu'il est bloqué sur le bureau de ma force surnaturelle.
“Appelle ta secrétaire, dis lui de venir sur le champ, dis lui que c’est une urgence, une question de vie où de mort… je vais t’apprendre à dominer une femme…”
Ma langue glisse sur son visage, je le mordille partout, “Tu as une minute pour l’appeler, et la convaincre de venir, ce délais passé, je te vide de ton sang jusqu'à la dernière goutte..” je me remets sur son cou et lui fait un suçon…et de ma main qui a lâché mon combiné je lui attrape les testicules et les serrent à la limite du raisonnable…Cela t’apprendra à vouloir dominer une vampire…
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Edward
Ven 1 Déc - 20:45
Sébastien Meyer
J'ai 36 ans. Dans la vie, je suis Psychologue-clinicien spécialisé dans la dépression et les pathologies chroniques et je m'en sors très bien. Sinon, je suis célibataire et je le vis plutôt moyennement. Tout bon psy gardera un voile pudique sur sa jeunesse, plus particulièrement sur sa relation avec sa mère. La seule chose à savoir, c’est que j’ai eu une enfance heureuse. Après un cursus scolaire classique, j’ai intégré la Fac de médecine pour suivre un parcours en vue de devenir psychologue. Sans me vanter, je n’ai jamais fait moins que major de promotion. Je me suis spécialisé dans la dépression, les chocs post-traumatiques et tout ce qui touche l’affliction quotidienne chronique. J’ai eu la chance d’avoir rencontré un ponte du domaine qui m’a proposé de reprendre son cabinet, à Paris, lors de son départ à la retraite. Je serais incapable cependant de vous dire comment, mais je suis devenu en quelques années seulement, le psy chouchou des stars parisiennes. Du jour au lendemain, ils se sont mis à défiler dans ma salle d’attente sans que je ne comprenne, ce qui à même fini par me propulser en couverture de Voici, Gala et autres magazines du genre. Depuis, mon planning est toujours plein et cela paye bien, même si ce sont souvent les mêmes problèmes d’addictions et de soucis familiaux qui reviennent.
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Telanie
Sam 2 Déc - 7:10
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Je suis née en Écosse, en l’an 825, et transformée en vampire à l'âge de 23 ans, j’ai parcouru le monde, vu des civilisations naître et s’éteindre, et pour dire la vérité, je me fais gravement chier dans mon éternelle danse. J’envisage d’en finir, un côté dépressif qui ne me quitte pas depuis la fin du vingt et unième siècle. Alors pour ne pas passer à l’acte, j’ai décidé de suivre une thérapie avec un être humain qui soit disant est le meilleur dans son domaine. Le temps nous dira qui de nous deux finira dans le caveau. Moi car il est incompétent, ou lui… car il est complétement incompétent.
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Le docteur est maintenant ma petite chose, je l'ai bloqué sur la table avec mes membres féminins les plus arachnoïdes, je lui demande s'il a aimé me dominer et si maintenant il a peur de moi. En guise de réponse il me promet bien plus de passion et de domination et affirme n'éprouver aucune peur. Son aplomb m'étonne effectivement, peut-être n'a-t-il pas peur de la mort simplement car il n'y a pas lieu d'avoir peur de moi ? Cela est presque insultant vis-à -vis d'un vampire de ne pas effrayer les autres. Sur le coup là bête en moi est folle de rage et d'un coup de poing, je frappe le bureau et en arrache une partie qui part en copeau de bois. Je lui somme ensuite de téléphoner à sa consœur pour que je lui montre comment on domine une femme et là encore il se refuse à se prêter au jeu que je lui impose de force en reposant le combiné. Ma rage s'intensifie et l'envie de le couper en deux me démange, je me saisis du fil du combiné du téléphone et le passe autour de son cou pour l'étouffer. Je l'étrangle petit à petit pour qu'il cède à la pression mais rien à faire, je le vois dans ses yeux, il n'a pas peur de moi, je crois même qu'il est amoureux de moi. Ce fichu regard, je le connais bien, je l'ai déjà vu dans tant de couples amoureux. Il ne le sait peut être pas encore mais il est tellement épris de moi que ce n'est plus de la simple hypnose.
C'est pour cela qu'il n'a pas peur de moi, c'est aussi pour cela… que je cesse de l'étrangler… je me fixe, car je ressens des émotions que je n'ai jamais ressenti pour personne, la bête me force à faire des choses horribles, mais je n'en ai pas la moindre envie. Peut être que finalement, il a bel et bien réussi à me dompter…
Mes dents se rétractent, ma main cesse de lui broyer les testicules, ma douceur remplace le mauvais traitement que je lui fais subir, et je pose mes lèvres sur les siennes amoureusement et de façon passionné. Je me dis alors que demain vaut peut être la peine d'être vécu… s'il veut encore me voir…
Je me retire de lui et de la table, sans aucun mot, pas même une excuse. Je retourne à mes habits et me remet ma belle tenue sur le dos.
La scène est assez longue et je ne sais pas trop ce qu'il fait tout ce temps mais moi de mon côté, je lui propose une chose que je n'ai jamais proposé à un être humain.
“Maintenant que je vous ai bu, il vous faut manger de la viande, il n'est pas trop tard, je vous invite à manger chez moi… je reporte notre thérapie à demain soir… si cela vous convient docteur ?”
J'ai repris le vous, est ce pour prendre de la distance auprès de lui ou me protéger de ces sentiments qui sont en train de me submerger et qui me rendent si humaine pour le coup ? Des sentiments que je ne comprends pas et que je n'ai pour l'heure pas envie de débattre en thérapie…
Finalement je me retourne une fois prête et m'approche de lui pour l'enlacer tendrement sans arrière pensée ni désir de le manger. La femme fatal à changer et cela se sent.
“Si vous vous sentez encore d'attaque, je vous expliquerais chez moi comment me dominer… si vous êtes toujours partant, bien sûr… ?”
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