Le Temps d'un RP
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LE TEMPS D'UN RP

Une patiente pas comme les autres. +18 (âme sensible s'abstenir)

Edward
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Edward
Mer 8 Nov - 23:20

Sébastien Meyer
J'ai 36 ans. Dans la vie, je suis Psychologue-clinicien spécialisé dans la dépression et les pathologies chroniques et je m'en sors très bien. Sinon, je suis célibataire et je le vis plutôt moyennement.

Tout bon psy gardera un voile pudique sur sa jeunesse, plus particulièrement sur sa relation avec sa mère. La seule chose à savoir, c’est que j’ai eu une enfance heureuse. Après un cursus scolaire classique, j’ai intégré la Fac de médecine pour suivre un parcours en vue de devenir psychologue. Sans me vanter, je n’ai jamais fait moins que major de promotion. Je me suis spécialisé dans la dépression, les chocs post-traumatiques et tout ce qui touche l’affliction quotidienne chronique. J’ai eu la chance d’avoir rencontré un ponte du domaine qui m’a proposé de reprendre son cabinet, à Paris, lors de son départ à la retraite. Je serais incapable cependant de vous dire comment, mais je suis devenu en quelques années seulement, le psy chouchou des stars parisiennes. Du jour au lendemain, ils se sont mis à défiler dans ma salle d’attente sans que je ne comprenne, ce qui à même fini par me propulser en couverture de Voici, Gala et autres magazines du genre. Depuis, mon planning est toujours plein et cela paye bien, même si ce sont souvent les mêmes problèmes d’addictions et de soucis familiaux qui reviennent.

Sa réponse ne tarde pas puisqu’elle se lance à peine ma question posée.
Tout d’abord, elle m’explique en quoi exclure la consommation de sang est une bonne idée, décrivant ensuite les effets que cela procure, mais également l’aspect négatif de la chose. Enchainant sur le sexe, elle fait un parallèle surprenant avec le sang, allant jusqu’à expliquer qu’il arrive d’avoir plus de regrets encore qu’avec l’hémoglobine.
Je l’écoute avec une attention visible et un intérêt totalement sincère, non pas parce qu’elle parle de sexe, mais bien parce que ce sont des points de vue que probablement aucun humain n’a pu partager un jour avec un tel être.

Finalement, elle aborde un élément transgénérationnel que j’ai déjà entendu maintes fois. La musique ! Elle me raconte les frissons qui l’ont transportés lorsqu’elle a pu entendre, de leur vivant, des monuments comme Mozart et Beethoven, avouant un penchant certain pour le classique et une préférence pour Vivaldi. Elle me parle alors d’une reprise de qualité faite par deux guitaristes avant de lancer les quatre saisons sur son téléphone, qu’elle pose sur la table à côté du divan.

J’écoute et il faut admettre qu’il y a un véritable quelque chose d’intéressant. Une nouvelle dimension s’invite à cette musique pourtant prise et reprise avec le temps. Je la laisse m’envahir lorsque sa question à elle tombe.
Surprenante, inattendue, inconcevable, et pourtant… Curieuse et intrigante.

Abasourdie, je l’observe se laisser porter par le son des guitares, les yeux clos, ondulant du corps et de la tête, battant la mesure des mains. J’aurais dû être séduit, immédiatement, sauf que sa question me retourne le cerveau. La peur contre la curiosité, l’infinie contre le cartésien. Je n’arrive pas à décider, pas plus que je n’arrive à la laisser m’emporter dans sa danse lancinante.

En admettant que vous me le proposiez… A ce jour je vous répondrai non ! Tranchais-je finalement. Non, car j’aurais besoin de temps pour y réfléchir. Il y a trop d’inconnue encore pour moi. Non, car je ne peux imaginer que je ne dois rien en retour et je n’aime pas signer sans savoir à quoi je m’engage. Non, puisque vous avez vous-même dit que c’était une malédiction plus qu’un don. Non, pour finir, parce que je ne saurais que faire de ce temps indéfini. Je suis un homme de science et si je suis ouvert d’esprit, je n’arrive pas, à cet instant, à faire confiance à ce que je ne peux maitriser.

J’écoutais la musique s’achever, levant un doigt pour l’accompagner et signaler que je n’avais pas terminé.

D’un autre côté… je suis un grand curieux, je ne pourrais donc garantir que mon avis ne sera pas autre dans un an ou dans une heure…

J’étais aussi honnête que possible. Pourtant, j’étais mal à l’aise de cette réponse qui me donnait l’impression de dire oui sans l’admettre à moi-même. Pourtant, ma réponse était bel et bien négative… En cet instant précis… Et que j’avais bien entendu que c’était “une hypothèse”.

La musique terminée, je sortais mon propre téléphone. Pianotant pour lancer une reprise à mon tour.

Très agréable cette reprise, vraiment. En classique, et ce n’est pas une plaisanterie, j’ai un faible prononcé pour Moonlight Sonata de Beethoven. Vous venez de me faire entendre une version modernisée des quatre saisons, il y a un petit courant musical ces derniers temps qui me plait énormément. Faire l’inverse, transformer en musique classique des morceaux récents. Vous connaissez Boney M et son célèbre Rasputin ? Demandais-je avant de lancer la reprise en version orchestrale.

Je laisse les premières secondes de musique résonner sur les murs, posant les genoux sur mes cuisses et posant le menton sur mes mains jointes.

Étiez-vous sérieuse lorsque vous avez suggéré que je me masturbe devant-vous ? Si oui, regrettez-vous ma réponse ? Questionnais-je alors.
C’était à la fois étrange de poser cette question, mais c’était tellement personnel que j’avais besoin de savoir.

Telanie
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Telanie
Jeu 9 Nov - 6:41


Katerine Hotwood

Je suis née en Écosse, en l’an 825, et transformée en vampire à l'âge de 23 ans, j’ai parcouru le monde, vu des civilisations naître et s’éteindre, et pour dire la vérité, je me fais gravement chier dans mon éternelle danse. J’envisage d’en finir, un côté dépressif qui ne me quitte pas depuis la fin du vingt et unième siècle. Alors pour ne pas passer à l’acte, j’ai décidé de suivre une thérapie avec un être humain qui soit disant est le meilleur dans son domaine. Le temps nous dira qui de nous deux finira dans le caveau. Moi car il est incompétent, ou lui… car il est complétement incompétent.  







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Il ne s’agit effectivement pas d’une proposition, mais au moins je sais qu' en l’état, il ne cherche pas à obtenir de moi quelque chose. C’est désobligeant au possible de voir les humains se déchirer les neurones pour obtenir ma malédiction. Ils ne savent pas à quoi ils s’exposent, et tous ceux qu’ils veulent l’obtenir finissent par le regretter amèrement, même si au début ils pensaient cela comme un cadeau. Pouvoir, force, fascination, mais on oublie souvent qu' au sommet, on est bien seul dans son égocentrisme.

Le docteur est très catégorique, en l’état, c’est non, mais s’il en apprend plus, peut être. Il veut avoir le choix, et le contrôle sur cette possibilité, à son aise, je ne comptais pas le priver de son libre arbitre.

Puis, alors que je me mets à me lever pour continuer à danser dans mon coin, voilà qu’il me propose d’écouter un autre air connu remis au goût du jour mais avant il me parle de beethoven et je suis entièrement d’accord avec lui.

La musique qu’il me fait écouter est d’un genre médiéval fantastique à mes oreilles, bien que je reconnaisse sa beauté, j’ai l’impression d’être à l’époque des princes et princesses, et clairement cela ne se passait pas comme dans un disney, les gens urinés partout dans les couloirs, et la magie du cinéma actuel oublie de retranscrire ce genre de détail dégueulasse parmis tant d’autre.

“Une sonorité qui est à mes yeux bien trop … Utopique. Mais puisque vous aimez moonlight  sonata, cela me fait penser à une musique des années quatre vingt, les musiciens ont subtilement utilisé leur nom de ce titre. C’est bien plus triste,une rencontre impossible entre deux être. C'est bien plus mon genre que les tambours et trompettes fantaisistes de votre air.”

Je reprend mon portable et change donc l’air actuel pour un titre qu’il connaît peut être de Sonata Arctica, Shy.

Alors que l’air s’embourbe dans la pièce, je ne peux m’empêcher de tirer une larme. Combien de fois est-ce que cette musique m’a transporté dans des moments de profonde solitude, je ne saurais les compter.

Finalement il me sort de mon désespoir, en revenant sur le sujet de son poireau. Je me tourne alors vers lui et lui répond sans réfléchir.

“J’aime pousser les gens dans des situations qu’ils n’ont pas l’habitude de vivre, oui, ou non n’avait pas réellement d’importance, je voulais voir votre réaction. On apprend bien plus des autres quand ils sont pris au dépourvu. Cela est encore plus vrai quand la peur monte dans les entrailles. Nous verrons plus tard pour la peur, mais pour l’heure votre réaction dénote que vous avez du caractère et une fierté honorable. Je ne regretterai jamais les choix honorables des gens, ce serait comme cracher sur la croix ou de faire un doigt d’honneur à dieu... Il faut des hommes courageux, sinon on serait entouré de faible et de larbin. Au moins je sais que faire de vous mon esclave serait des plus amusants...”

Je lui fais un clin d'œil puis me met à rire de ma dernière remarque sadique pour finalement reprendre une danse lancinante sur l’air de shy. Encore une fois je me joue de ses émotions, de ses peurs, il sait au fond de lui que je plaisante, mais que si l’envie m’en prend je pourrais très bien lui forcer la main à être cet être soumis, cloitrer dans une cave comme je l’ai décrit plus tôt dans mon histoire. Les enfants refont souvent le schéma de leurs parents , non ?

Comme toujours, je me dois de trouver une question déstabilisante à lui poser, le genre qui va une bonne fois pour toute le faire tomber de sa chaise. Je m’approche de lui l’enlace au niveau du cou pour lui imposer une danse en ma compagnie, le genre exotique et maléfique que l’on ne refuse pas. Après quelque minutes à l'envouter de ma grâce naturel, je lui marmonne à son oreille tandis que mes mains lui caressent les tempes et que mon corps se frotte au sien de façon aguicheuse.

“Aimeriez vous être mon esclave, docteur ?”


Edward
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Edward
Sam 11 Nov - 15:55

Sébastien Meyer
J'ai 36 ans. Dans la vie, je suis Psychologue-clinicien spécialisé dans la dépression et les pathologies chroniques et je m'en sors très bien. Sinon, je suis célibataire et je le vis plutôt moyennement.

Tout bon psy gardera un voile pudique sur sa jeunesse, plus particulièrement sur sa relation avec sa mère. La seule chose à savoir, c’est que j’ai eu une enfance heureuse. Après un cursus scolaire classique, j’ai intégré la Fac de médecine pour suivre un parcours en vue de devenir psychologue. Sans me vanter, je n’ai jamais fait moins que major de promotion. Je me suis spécialisé dans la dépression, les chocs post-traumatiques et tout ce qui touche l’affliction quotidienne chronique. J’ai eu la chance d’avoir rencontré un ponte du domaine qui m’a proposé de reprendre son cabinet, à Paris, lors de son départ à la retraite. Je serais incapable cependant de vous dire comment, mais je suis devenu en quelques années seulement, le psy chouchou des stars parisiennes. Du jour au lendemain, ils se sont mis à défiler dans ma salle d’attente sans que je ne comprenne, ce qui à même fini par me propulser en couverture de Voici, Gala et autres magazines du genre. Depuis, mon planning est toujours plein et cela paye bien, même si ce sont souvent les mêmes problèmes d’addictions et de soucis familiaux qui reviennent.

Si le morceau que je lui fais écouter lui plait, elle me fait rapidement comprendre que ce n’est pas la panacée. Trop “joyeux” et trop “festif” à son goût, là où, justement, c’est ce côté “explosif” et “pétillant” qui me plaît dans cette reprise. Heureusement pour moi, elle est bien plus emballée par Moonlight Sonata qui lui fait penser à un groupe récent, plus récent en tout cas, qu’elle s’empresse de me faire écouter.

Au son de ce chant melo-dramatique mais d’une beauté évidente, elle répond finalement à ma question.
Ainsi, ma réponse ne lui importait en réalité que peu. Les siècles aidant, elle avait appris le fonctionnement des gens. Aussi, elle avait surtout cherché à me mettre dans une situation peu ordinaire afin d’en voir ma réaction. Cette dernière lui semblait convenable car elle appréciait avoir à faire à des personnes avec un peu de caractère. Sur ce point, nous étions totalement d’accord. La faiblesse d’esprit et de caractère des gens peut parfois être fatigante de médiocrité, ce qu’en tant que psychologue, je me dois de taire.

Je hoche la tête avec appréciation à ses dires, gardant une distance avec cette histoire d’esclave et de larbins, notamment en ce qui me concerne. Je l’observe se mettre à danser avec grâce et aisance jusqu’à ce qu’elle m’oblige à me lever en enroulant ses bras autour de mon cou pour m’entrainer dans sa ronde.
Alors, maladroitement, j’essaie de suivre à peu près le rythme, étant piètre danseur, pour ne pas lui écraser un orteil.
Il ne faut guère de temps pour que je sente mes joues se remettre à rosir et à chauffer. La proximité de son corps, allant même jusqu’à se frotter allègrement à moi, fait revenir au galop le désir. Très vite, mon esprit se retrouve englué dans des images délicieusement charnelles, suggérant différentes choses impliquant un certain nombre de vêtements en moins.

Alors, de nouveau, je suis gagné par un léger tournis tandis qu’elle m’entraine d’une façon enjôleuse vers des gestes suggestifs. C’est ensuite, dans un souffle sensuel, qu’elle me pose sa question.
Mon cerveau se retrouve en conflit d’intérêt immédiatement. “Noui” serait la réponse appropriée, mais je ne peux m’en satisfaire. Cela ne sonne pas bien.
C’est cette hésitation qui me permet de conserver un brin de lucidité, même si son charme agi un peu comme un filtre de vérité.

Pour les mêmes raisons que je refuse l'immortalité aujourd'hui, devenir votre esclave, non… Votre amant dévoué éventuellement. Lâchais-je d’un murmure rauque, laissant quelques secondes de temps mort avant de secouer la tête. Pardon… C’est déplacé… !

Pourtant, toujours en proie à ses charmes et, mon esprit ne tournant clairement pas tout à fait rond, ma question est tout aussi déstabilisante que la sienne… Probablement plus pour moi que pour elle.

Nous parlions de plaisir, pensez-vous que vous en prendriez avec moi comme amant ? Soufflais-je avant de trouver que cette question était d’une incorrection maladive.
Telanie
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Telanie
Dim 12 Nov - 4:58


Katerine Hotwood

Je suis née en Écosse, en l’an 825, et transformée en vampire à l'âge de 23 ans, j’ai parcouru le monde, vu des civilisations naître et s’éteindre, et pour dire la vérité, je me fais gravement chier dans mon éternelle danse. J’envisage d’en finir, un côté dépressif qui ne me quitte pas depuis la fin du vingt et unième siècle. Alors pour ne pas passer à l’acte, j’ai décidé de suivre une thérapie avec un être humain qui soit disant est le meilleur dans son domaine. Le temps nous dira qui de nous deux finira dans le caveau. Moi car il est incompétent, ou lui… car il est complétement incompétent.  







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Dans son corps se chamboulent bien des émotions, et quand un humain rougit, c’est tellement limpide pour nous autres vampires que cela en est affligeant. On lit dans leur veine comme dans un livre. Je peux donc ressentir son désir en train de monter en lui.
Mais nous continuons notre danse et surtout mon petit jeu espiègle, j’aime le rendre ainsi, totalement hypnotisé sans que j’utilise aucun de mes pouvoirs magiques sinon mon charisme naturel. Qu’est ce que ce serait si je venais à user de ma sorcellerie sur lui ! Mais non, ce soir j’ai envie de laisser à un humain le libre arbitre. Dans un sens je regrette car il aurait été un meilleur danseur, si je tirais les ficelles dans son dos tel un marionnette.

Puis à nouveau je le piège dans une question des plus oser pour voir si sa volonté ne s’est pas brisé toute seule au soleil. Il y a comme un léger doute en lui, je le perçois car le temps d’attente est bien plus long que d’habitude.

Le grand gaillard refuse en bloc, mais propose l’alternative de l’amant dévoué à demi-mot, à peine audible pour un être non surnaturel. Ironique de sa part car cela paraît évident depuis le début qu’il n’attend que çà. Voulait-il que je l’entende ? En réalité, oui, car le temps d'une seconde supplémentaire il présente ses excuses. Je lui souris alors et pose ma tête sur son épaule en guise de cadeau pour son honnêteté tout en maintenant notre danse dont je ralentis le tempo car la musique à cesser, mais ma danse de vampire demeure éternelle, je pourrais danser ainsi à jamais et souhaite encore lui faire profiter de mon balancier.

J’attend sa question, mais comme je m’y attend, elle ne présente pas réellement un intérêt pour ma thérapie. On se cherche mutuellement, pour moi, il ne  s’agit que d’un réflexe d’araignée qui amène sa proie dans sa toile. J’ai tellement l’habitude dans mettre partout où je vais, que mon comportement est naturel chez moi. Le papillon se brûle et s’englue désormais dans les filaments que j’ai lentement tressés pour lui.

Mais je lui ai promis une vérité absolue. Ainsi vais-je lui répondre sans détour pour ne pas le faire attendre alors qu’il se débat dans mes bras pour me résister.

“Le plaisir sexuel est décuplé en tant que vampire, c’est comme pour le sang, on ressent bien plus de choses quand on est dans mon état que quand on est de simple humain. Cela est dû au fait que l’on active toute les veines, toutes les cellules et toutes les émotions de notre corps en même temps. Cela nous fait dépenser énormément d'énergie, un peu comme si vous cyphoniez l’essence d’une voiture, mais cela nous procure un plaisir sans nom. Seulement y a toujours un retour de bâton à ce plaisir. La soif nous assaille toujours et parfois nous sommes incapables de la contrôler. Alors pour répondre simplement après ce long apprentissage sur la condition sexuel vampirique, la réponse est oui, sans l’ombre d’un doute, à moins que vous soyez le pire amant du monde. Étrangement, j’en ai déjà croisé…”

Je me mets alors à réfléchir un court instant et stoppe notre danse puis je réalise et l’informe.

“En fait  je les ai vidé de leur sang car il avait joui trop vite. Comme quoi vous risquez vraiment votre vie en ma compagnie.”


Je reprend notre danse et avec un sourire sans nom, une marque de bonté démoniaque sur mon visage et d’ange des enfers je pose à mon tour la fameuse question sans filtre et sans détour qu’il attend avec impatience.

“Pourquoi ? Vous voulez prendre le risque ?”


Edward
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Edward
Mar 14 Nov - 21:03

Sébastien Meyer
J'ai 36 ans. Dans la vie, je suis Psychologue-clinicien spécialisé dans la dépression et les pathologies chroniques et je m'en sors très bien. Sinon, je suis célibataire et je le vis plutôt moyennement.

Tout bon psy gardera un voile pudique sur sa jeunesse, plus particulièrement sur sa relation avec sa mère. La seule chose à savoir, c’est que j’ai eu une enfance heureuse. Après un cursus scolaire classique, j’ai intégré la Fac de médecine pour suivre un parcours en vue de devenir psychologue. Sans me vanter, je n’ai jamais fait moins que major de promotion. Je me suis spécialisé dans la dépression, les chocs post-traumatiques et tout ce qui touche l’affliction quotidienne chronique. J’ai eu la chance d’avoir rencontré un ponte du domaine qui m’a proposé de reprendre son cabinet, à Paris, lors de son départ à la retraite. Je serais incapable cependant de vous dire comment, mais je suis devenu en quelques années seulement, le psy chouchou des stars parisiennes. Du jour au lendemain, ils se sont mis à défiler dans ma salle d’attente sans que je comprenne, ce qui a même fini par me propulser en couverture de Voici, Gala et autres magazines du genre. Depuis, mon planning est toujours plein et cela paye bien, même si ce sont souvent les mêmes problèmes d’addictions et de soucis familiaux qui reviennent.

Doucement, la musique s’arrête alors que je viens de répondre à sa question. Sa réaction me surprend autant qu’elle me fait vibrer. Doucement, elle pose la tête sur mon épaule tandis qu’elle continue de nous faire danser tranquillement. Ses cheveux dans mon cou, le poids de sa tête sur moi, ses bras autour de moi et son corps, proche du mien, tant de proximité qui me ferait tourner la tête si je n’étais pas autant que possible accroché à mon esprit.

Il est évident qu’elle me voit rougir, pas besoin d’être autre chose qu’un humain pour le constater. Toujours est-il que j’ignore si elle cherche à entretenir le feu qu’elle fait brûler en moi ou si c’est purement involontaire. Alors, je suis sa ronde, lente et tranquille.
Finalement, je pose ma question, profitant que son visage soit loin du mien, que nos regards ne puissent se croiser. Je ressens coup sur coup de la honte, de l’excitation et de la crainte, le tout ponctué d’une bonne dose de désir.
Sa réponse vient rapidement et sans qu’elle ne cherche un seul instant à quitter mes bras. Ainsi, elle m’explique que les sensations sont bien plus présentes chez les vampires, que l’acte en lui-même leur procure un plaisir bien supérieur à celui des humains.
Elle précise cependant que cela draine leur énergie également bien plus, ce qui peut déclencher une soif de sang parfois incontrôlable. Si je trésaille à cette précision, je ne l’interromps pas, attendant sa réponse plus que ses explications…Même si ces dernières ont le mérite d’être instructives. C’est ainsi qu’elle conclue que oui, il est fort probable qu’elle prenne du plaisir avec moi, ajoutant que je serais sinon parmi les pires amants qu’elle ai pu avoir.

A ces mots, elle réfléchit un instant après avoir arrêté de danser, avouant avoir asséché les derniers mauvais qu’elle a croisé du fait qu’ils n’aient pas tenu la distance, concluant sur le fait que l’on risquait réellement sa peau avant de me rembarquer dans cette danse lente et à la proximité déconcertante. Son sourire indéchiffrable me laisse entre-voir la question qui ne tarde pas.
Je concentre toute ma volonté, je mets en œuvre tout ce que je peux pour sauvegarder mon libre arbitre alors que je plonge mon regard dans ses deux prunelles bleues.

Oui ! Répondis-je alors avec une assurance qui me surprend moi-même. Je n’avais pas cessé de suivre son rythme, continuant de tournoyer dans le cabinet. J’approche alors mes lèvres de son oreille, humant son parfum.

Et vous, voulez-vous prendre le risque d’aimer cela ? Soufflais-je doucement.

Telanie
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Mer 15 Nov - 2:52


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Je suis née en Écosse, en l’an 825, et transformée en vampire à l'âge de 23 ans, j’ai parcouru le monde, vu des civilisations naître et s’éteindre, et pour dire la vérité, je me fais gravement chier dans mon éternelle danse. J’envisage d’en finir, un côté dépressif qui ne me quitte pas depuis la fin du vingt et unième siècle. Alors pour ne pas passer à l’acte, j’ai décidé de suivre une thérapie avec un être humain qui soit disant est le meilleur dans son domaine. Le temps nous dira qui de nous deux finira dans le caveau. Moi car il est incompétent, ou lui… car il est complétement incompétent.







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Bon et bien la réponse était des plus limpides, et ma réaction des plus appropriées. Je retire mon visage de son épaule, le fixe un instant dans les yeux et dépose un baisé tendre sur ses lèvres, mon venin de vampire allait désormais rentrer dans ses veines et l’endoctriné sur la route qu'alice emprunta en suivant le lapin blanc dans le terrier.

Il était désormais à moi, ma salive s’en était chargé. Une proie idéale, finement ficelée à ma toile. Un pas puis deux en sa compagnie que je guide avec soin dans une dernière valse, puis je le fais tourner et le voilà soudainement assis sur le divan. Je me fixe au-dessus de lui tel un rapace, prête à porter mes griffes sur cette petite souris des champs. Je lève un doigt vers ma bouche et lui intime l'ordre de se taire, et de ne rien dire.

Ensuite, je déplie ma robe sur le sol et m’assoit comme le ferait une chinoise sur ses jambes, les pieds parfaitement à l’horizontale, les pointes bien droite. Je me retrouve ainsi à genou devant cet homme que je ne connais pas vraiment, cela me rappelle un vieux travail que je faisais jadis. Je commence délicatement à déboutonner son pantalon et le glisse le long de ses genoux, puis fait de même avec ses dessous masculins.

“Bien, détendez vous et ne dites plus rien désormais, je m’occupe de vous.”

J’ai faim de manger son poireau, et je ne me gène pas un instant de le faire, le mettant bien en bouche. L’accueillant avec le plus de salive hypnotisant que possible. Il n’a pas voulu se purger tout à l’heure et je compte bien le faire pour lui.

Ainsi sans perdre de temps, tout d’abord d’un mouvement régulier et lent, j’entame ma pipe nonchalante que j’accompagne de mon regard hypnotique, les yeux dans les siens. Je sais qu’il préfèrerait profiter de mes formes mais pour l’heure, c’est moi qui décide de ce qu’il a droit, et ce sera uniquement une pipe. Qu’il ne lui en déplaise, je ne bougerais pas de là tant que je n’aurais pas récupéré le nectar dans ma bouche ou sur mon visage, qu’il cache au fond de ses parties intimes.

Progressivement ma langue entre en jeu et lui lèche l’ensemble du secteur, de haut en bas et de bas en haut. Je veux qu’il prenne un plaisir sans faille, qu’il s’abandonne à moi sans qu’il est besoin de penser le moindre instant qu’il me doit un coit ou autre chose. Je veux qu’il se lâche en mon être que son jus de poireau coule dans ma bouche et que j’aspire la moindre goutte de sa tige végétale. Tel une huile de palme que j’extrais ardemment avec mes lèvres de déesse.

Il ne pourra pas résister longtemps, et j’ose croire qu’il n’en sera pas le moins du monde déçu. Finalement les premières gouttes jailliront sur le bout de mes lèvres. J'incline son engin pour que le reste finisse sur mon visage et le branle fermement pour ne pas en oublier une seule miette.

Une fois le travail fini et l’homme libéré, je caresse délicatement mon visage avec sa queue pour étaler sa sauce sur mon visage et ainsi pouvoir ouvrir de nouveau les yeux, je le fixe encore, d’une neutralité sans pareil, et pourtant j’ai adoré lui servir de plat à salade.

“Vous ne vouliez pas vous astiquer le manche, alors je m’en suis chargé, c’est bien plus sûr que de pratiquer le coït, je peux plus aisément résister à l’envie de vous manger ainsi. et pour répondre à votre question, j’adore faire ça.”

Je me relève, sort de mon sac un mouchoir en tissu et commence à retirer le sperme sur mon être souillé.

“Bien, nous aurions dû faire cela depuis le début, maintenant mettez votre pantalon aller boire un verre d’eau et à votre retour on reprendra la séance. Vous serez bien plus détendu, vous verrez !”


Alors que ce dernier sera encore sous mon influence le temps de boire son verre d’eau, je lui lancerais la fameuse question que je lui dois pour qu’il me réponde à son retour. Le ping pong n’est pas fini.

“ Vous me direz si vous avez aimé être sous mon emprise à votre retour. Je comprendrais que vous m’en vouliez, mais je voulais que vous sachiez malgré votre désaccord ce que cela représente d’être mon esclave un court instant. J’adore le BDSM, et parfois les liens n’ont pas besoin d’être en cuir, cela peut être une hypnose... Je suis sure et certaine que même si vous vous sentez violer, vous avez adoré ça, je me trompe ? C'est un plaisir coupable, mais je vous apprendrais rien sur le sujet docteur.”


Edward
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Lun 20 Nov - 19:13

Sébastien Meyer
J'ai 36 ans. Dans la vie, je suis Psychologue-clinicien spécialisé dans la dépression et les pathologies chroniques et je m'en sors très bien. Sinon, je suis célibataire et je le vis plutôt moyennement.

Tout bon psy gardera un voile pudique sur sa jeunesse, plus particulièrement sur sa relation avec sa mère. La seule chose à savoir, c’est que j’ai eu une enfance heureuse. Après un cursus scolaire classique, j’ai intégré la Fac de médecine pour suivre un parcours en vue de devenir psychologue. Sans me vanter, je n’ai jamais fait moins que major de promotion. Je me suis spécialisé dans la dépression, les chocs post-traumatiques et tout ce qui touche l’affliction quotidienne chronique. J’ai eu la chance d’avoir rencontré un ponte du domaine qui m’a proposé de reprendre son cabinet, à Paris, lors de son départ à la retraite. Je serais incapable cependant de vous dire comment, mais je suis devenu en quelques années seulement, le psy chouchou des stars parisiennes. Du jour au lendemain, ils se sont mis à défiler dans ma salle d’attente sans que je ne comprenne, ce qui à même fini par me propulser en couverture de Voici, Gala et autres magazines du genre. Depuis, mon planning est toujours plein et cela paye bien, même si ce sont souvent les mêmes problèmes d’addictions et de soucis familiaux qui reviennent.



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Je suis née en Écosse, en l’an 825, et transformée en vampire à l'âge de 23 ans, j’ai parcouru le monde, vu des civilisations naître et s’éteindre, et pour dire la vérité, je me fais gravement chier dans mon éternelle danse. J’envisage d’en finir, un côté dépressif qui ne me quitte pas depuis la fin du vingt et unième siècle. Alors pour ne pas passer à l’acte, j’ai décidé de suivre une thérapie avec un être humain qui soit disant est le meilleur dans son domaine. Le temps nous dira qui de nous deux finira dans le caveau. Moi car il est incompétent, ou lui… car il est complétement incompétent.  







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Je crois qu’il a aimé, son corps frissonne encore de plaisir alors qu’il dit ne pas regretter de ne pas s’être astiqué tout seul. Je suis alors assez directive avec lui et il finit après avoir retrouvé ses esprits par remonter son pantalon. Je lui fais encore de l’effet, le désir n’est pas totalement envolé, normal vu que d’une certaine façon, il n’a pas obtenu tout ce qu’il veut, c'est-à-dire me prendre sur le divan. Mais en bon petit soldat, il va chercher ce verre que je lui ai presque ordonné de prendre.

Suite à cela vient mes aveux sur l’hypnose, et pour une raison qui lui incombe, il ne semble pas m’en vouloir. Après tout, c’est ce qu’il voulait au fond de lui.. alors tant mieux. Après, c’est normal qu’il ne se sente pas violé, l’hypnose à cet effet également d'endoctriner la victime et lui faire passer l’illusion que c’est ce qu’il désire au fond de lui. Mais je ne vais pas débattre de cela avec lui.

“Il y a toujours des failles à ce système, mais là je crois qu’il a fonctionné au-delà de nos espérances réciproques .” Dis-je la bouche en coeur, espiègle en guise de rappel de la gourmandise que je viens de manger.

Et comme toujours, il me pose une question, et comme toujours je l’écoute avec grand intérêt. Je remet un peu en place ma coupe de cheveux d’habitude si carré et lui dit sans sourcier.

“Les vampires ont toujours des aînés, des êtres plus anciens qui les transforment. En général, l'aîné domine son infant, et ils baisent ensemble comme des castors pendant un à deux siècles avant que le plaisir liée au sang ne s’estompe. Je n’ai jamais connu ça, mon sire n’avait aucun penchant sexuel. Par contre, quand j’étais humaine et une courtisane, j’étais souvent attachée, pour le plaisir exclusif de mes clients.”

Je m’approche de lui et lui saisit la main pour finalement porter son doigt dans ma bouche, j’ai peut être encore envie de le manger… peut-être que j’ai aussi envie de le pousser encore dans ses désirs inachevés, peut-être que je ne fais que remettre ma toile d’araignée en place alors que j’ai déjà mangé une partie de son aile avant qu’il ne s’envole de mes bras.

“Pourquoi docteur, vous vous croyez assez fort pour me dominer ?” Lui dis-je d'un ton assez provocateur, le désir me monte, ce qui n’est pas sage du tout, car si je perds mon contrôle, ma proie pourrait en subir les conséquences. Seulement voilà, à force de jouer avec le feu, les humains se brûlent…

Je me retire alors de lui et retourne m'asseoir sur le divan. “Comment vous y prendrez-vous pour tenir une vampire à votre botte ? Cela n’est pas une chose aisée, vous savez ? Ce sont des créatures particulièrement vindicatives quand elles sont contraintes à ne pas faire ce qu'elles souhaitent… ”

Je souris alors et lui montre mon désir de me faire diriger à la baguette par lui d’un sourire qui en dit long. “Si vous vous en croyez assez digne, tentez votre chance…” Je remue alors les sourcils, pour l’attirer dans mes filets…
Edward
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Mer 22 Nov - 10:37

Sébastien Meyer
J'ai 36 ans. Dans la vie, je suis Psychologue-clinicien spécialisé dans la dépression et les pathologies chroniques et je m'en sors très bien. Sinon, je suis célibataire et je le vis plutôt moyennement.

Tout bon psy gardera un voile pudique sur sa jeunesse, plus particulièrement sur sa relation avec sa mère. La seule chose à savoir, c’est que j’ai eu une enfance heureuse. Après un cursus scolaire classique, j’ai intégré la Fac de médecine pour suivre un parcours en vue de devenir psychologue. Sans me vanter, je n’ai jamais fait moins que major de promotion. Je me suis spécialisé dans la dépression, les chocs post-traumatiques et tout ce qui touche l’affliction quotidienne chronique. J’ai eu la chance d’avoir rencontré un ponte du domaine qui m’a proposé de reprendre son cabinet, à Paris, lors de son départ à la retraite. Je serais incapable cependant de vous dire comment, mais je suis devenu en quelques années seulement, le psy chouchou des stars parisiennes. Du jour au lendemain, ils se sont mis à défiler dans ma salle d’attente sans que je ne comprenne, ce qui à même fini par me propulser en couverture de Voici, Gala et autres magazines du genre. Depuis, mon planning est toujours plein et cela paye bien, même si ce sont souvent les mêmes problèmes d’addictions et de soucis familiaux qui reviennent.


Telanie
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Telanie
Mer 22 Nov - 12:16


Katerine Hotwood

Je suis née en Écosse, en l’an 825, et transformée en vampire à l'âge de 23 ans, j’ai parcouru le monde, vu des civilisations naître et s’éteindre, et pour dire la vérité, je me fais gravement chier dans mon éternelle danse. J’envisage d’en finir, un côté dépressif qui ne me quitte pas depuis la fin du vingt et unième siècle. Alors pour ne pas passer à l’acte, j’ai décidé de suivre une thérapie avec un être humain qui soit disant est le meilleur dans son domaine. Le temps nous dira qui de nous deux finira dans le caveau. Moi car il est incompétent, ou lui… car il est complétement incompétent.







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De nombreuses années en effet que je contrôle mon monde à la baguette, mon sire est mort il y a fort longtemps. Est ce donc cela la fameuse solution miracle, se laisser aller au point de s'abandonner à cet humain sans réfléchir au conséquence, aussi funeste qu’elle puisse être.

Il n’a pas réellement conscience du danger qu’il prend en me proposant de telles choses, pourtant je dois bien le reconnaître l’idée m’amuse au plus profond de mon être de vampire dominant. Donner l’illusion à la bête qui est en moi que je suis servile, c’est totalement contre sa nature, cela ne lui plaira pas, et moi ?

Il souffle à mon oreille et me fait frémir de désir, un plaisir que je n’avais pas désiré depuis des siècles… Je pense qu’il a touché quelque chose en moi qui pourrait me redonner le goût de vivre encore un peu plus longtemps…

“Fort bien humain, vous avez mon accord, mais je tiens à vous prévenir, que de trop jouer avec la queue de la bête et vous risquez de finir dévorer tout cru...”
Dis-je sur un ton un peu provocateur mais aussi menaçant. Un étrange juste milieu qui invite à un danger plaisant.

Je le laisse entrouvrir ma robe et ne fait rien pour l’empêcher, après tout, c’est le principe de la domination se laisser totalement faire et ne rien dire...

Il réitère sa proposition de me dominer en soufflant dans mon oreille et là je sens le désir brûlant se glisser entre mes jambes, un désir de jeune pucelle qui va enfin découvrir le plaisir du loup… Je me met alors à balbutier fragilement.

“Oui…je vous donne tout contrôle… et je veux que vous décidiez de ce qui m’arrivera ce soir…” Il n'a pourtant encore rien fait, mais je me sens déjà fragilisé et atteinte par ce désir potentiel de me retrouver dépourvu de tout contrôle, de ressentir la fragilité de l’humanité.

Est ce que le monstre qui sommeille en moi le laissera faire ? Nous allons vite le savoir, en tout cas, le jeu est que j’apprenne à me laisser aller, tout en me contrôlant, quel drôle de défi que voilà.

J’ai hâte qu’il commence !


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