Le Temps d'un RP
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LE TEMPS D'UN RP

Bienvenue à la brigade criminelle de Seattle

Charly
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Charly
Mer 28 Avr - 18:12
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Elisabeth Capplan
J'ai 37 ans et je vis à Seattle, Washington. Dans la vie, je suis lieutenant stagiaire à la brigade criminelle et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt très bien.


Jolie, blonde, sexy... et flic. Elisabeth, puis qu'aujourd'hui elle préférait qu'on l'appelle ainsi, avait finalement réussit à évoluer comme elle l'entendait dans ce monde essentiellement masculin et plein de préjugés vis à vis de son physique.
Concours de Lieutenant réussit, elle avait également suivi une formation pour avec des compétences en profilage, histoire de se donner plus de poids. A fond dans son job, elle vient d'arriver à Seattle.
Depuis trois ans, elle prit son destin en main, mais celui ci semble vouloir jouer les trainées.

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Elle avait passé un tablier et lancer de la musique, histoire de penser à autres chose, non ne fait de ne penser à rien. Ouais c’était mieux. Elle en avait marre de se poser trop de questions sur tout. Tout en remuant la pâte elle se dit que Drew avait peut être raison… Vivre les choses à fond… Elle se prenait trop la tête sur l’avenir. Elle flippait trop pour rien. Avec Ethan ils étaient enfin ensemble alors pourquoi est ce qu’elle avait peur de la suite ?! Peu à peu elle se raccrocha à cette idée, avant de se mettre à chantonner. Un regard pour la porte lorsqu’elle s’ouvrit sur Ethan, suivit d’un sourire. Elle devait finir ce qu’elle était en train de faire, sinon ça serait du gâchis. Elle aimait tellement lorsqu’il venait se coller à elle de cette façon. « -non, ça c’est bien passé. J’ai même pas pleurer ! » s’amusa Lizzy avant d’arrêter de bouger la cuillère dans la pâte. Il la connaissait trop bien. « -j’ai vu... » souffla la jeune femme en se tournant pour lui faire face. « -elles sont très belle, merci... » un sourire, un baiser, elle était heureuse de le retrouver. « -non attends je... » n’ai pas finis… Mais comment dire non.

Elle retira son tablier, la cuisine attendrait. Un froncement de sourcil, il voulait fêter quoi ? Le fait qu’il allait avoir un bébé ? Oh ouf le retour au boulot… Elle préférait ça. « -oh c’est bon le psy à signer le papier ! » Lizzy avait toujours été bonne comédienne, et là elle avait décidé de cacher bien correctement tout ce qui n’allait pas dans sa tête. Le retour au boulot d’Ethan, c’était une nouvelle épreuve du feu ! Mais elle monta les marches en souriant, s’appliquant à suivre le programme qu’il avait établi. Un joli rire alors qu’elle était nue entre ses bras. « -ba quoi c’est bon les pancakes ! » valait mieux ça plutôt que l’odeur de l’hôpital ou le parfum d’un autre homme.

Les yeux fermés, elle laissait courir ses doigts dans les cheveux d’Ethan, ne pensant à rien d’autre qu’à eux. Mais elle se redressa sur les coudes pour le regarder. « -t’es sérieux ? » non parce que ça voulait dire s’éloigner du bébé, de Jess, de son rôle de père. Enfin en même temps c’était pas demain la fin de la formation. Elle se laissa retomber lourdement. La chance d’avoir deux postes c’était… presque impossible. Lizzy fixa son regard au plafond quelques instants avant de tourner la tête pour lui sourire : « -c’est parce que j’étais en train de cuisiner que tu poses la question ? » elle embrassa son épaule en se tournant vers lui : « -j’ai trop de chose dans la tête. » soupira t elle en fermant les yeux son visage coller au bras d’Ethan. Bon autant parler, parce qu’il allait demander de toute manière.

Un soupire en repassant sur le dos, fixant le plafond. « -je me demande ce que ça t’as fais le rendez vous de ce matin, de revoir Jess, de parler du bébé. Je me demande ce que ça va donner au boulot, vu que tu vas reprendre ton poste. Je me demande si si je suis capable d’encaisser de manquer de te perdre une nouvelle fois. Je me demande comment ça va se passer une fois que le bébé sera là. J’ai envie de vacances, de partir loin rien qu’avec toi… » elle se pinça les lèvres avant d’ajouter en tournant la tête : « -j’arrête pas de douter de tout dès que tu es loin. Et puis... » elle caressa sa joue : « -et puis tu arrives avec ton amour, tes fleurs… et tout va bien mieux… » elle baissa les yeux : « -j’avais pas envie de t’en parler parce que tu as déjà bien assez de souci comme ça. »


Manhattan Redlish
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Mer 28 Avr - 18:34
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Ethan O'Connell
J'ai 42 ans et je vis à Seattle, Washington. Dans la vie, je suis lieutenant à la brigade criminelle et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis séparé et je le vis plutôt bien parce que je peux enfin être avec celle que j'aime, sans devoir partager.  


Surnommé « l’Irlandais » par ses collègues du 12th district, Ethan est le genre de flic à la tête dure. Anciennement du groupe d’intervention du SWAT, il s’est retrouvé propulsé dans la rue à la suite du décès brutal de son collègue en intervention. Une nouvelle vie qui ne l’enchante guère. Dopé à l’adrénaline, il n'a aspiré qu'à retourné à la brigade d'intervention. Toutefois, le destin en a décidé autrement en rencontrant Elisabeth. Une recrue bavarde, mais prometteuse, avec laquelle, il a eu une relation adultérine. Puis il a compris que ça ne lui suffisait plus. Qu'elle était devenue bien plus pour lui qu'une simple amante. Alors un matin, il disparu soudainement...

Trois années plus tard, lieutenant à la brigade criminelle de Seattle, il est sur le point de se marier à sa partenaire de la brigade des mœurs. Mais il a fallu que le destin s'en mêle...


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Dire que la journée n’avait pas été éprouvante, serait mentir. Émotionnellement, psychologiquement, ça n’avait pas été de tout repos, mais l’issue était positive pour Ethan qui avait réussi à se réconcilier avec Jessica pour le bébé, mais qui reprenait aussi, officiellement, le chemin du travail. Une nécessité pour le lieutenant qui commençait sérieusement à tourner en rond. C’était donc armé d’un bouquet de fleurs et de son sourire, que le beau brun franchit le seuil de l’appartement de Lizzy, enfin… de leur appartement. Un sourire qui ne resta que brièvement sur ses lèvres alors qu’il la vit cuisiner. Il passa donc ses bras autour de sa taille, parce qu’elle lui avait terriblement manqué durant toute cette journée, et parce qu’il avait aussi besoin de savoir comment elle allait « Je suis fière de toi. Le médecin a été gentil avec toi ? » et signala qu’il lui avait ramené des fleurs, dans l’espoir de la voir sourire « J’avais envie de montrer que j’avais pensé à toi aujourd’hui » et décida de lui proposer un tout autre programme que la pâtisserie « Tu reprendras ça tout à l’heure » et l’entraina jusqu’à la chambre à coucher, bien décidé à fêter son retour au commissariat « Eh oui ! J’ai du marchander un peu, mais j’ai eu le papier » et lorsqu’il fut tout aussi nue qu’elle, qu’il huma sa peau, il remarqua qu’elle sentait le pancake et se mit à rire « Je vais donc te dévorer toute crue, ou toute nue aussi » et lui fit l’amour avec tendresse, avant de poser sa tête entre ses seins, le temps de se reconnecter à la réalité « Oui, pourquoi ?! J’ai envie de retrouver la plage, notre maison et le jardin, de retrouver le soleil et notre restaurant habituel » tout en déposant ses lèvres sur sa peau « Pas toi ? » et décida de poser LA question. Comment est-ce qu’elle allait ?!

Ethan se mit à sourire tout en faisant un petit signe de tête, comme pour lui répondre que oui, c’était à cause de ça. Elle ne faisait pas de la cuisine pour juste le plaisir de cuisiner. La couvant du regard, il resta silencieux quand elle évoqua ses nombreuses interrogations. Elle allait bien finir par se confier à lui. Allongé sur le côté, sa tête prenant appui pour son poing, se retrouvant ainsi un peu au-dessus de Lizzy, il l’écouta avec attention. Il ne put s’empêcher de froncer les sourcils quand elle parla de le perdre, du bébé, du travail… Il sourit en sentant sa main sur sa joue mal rasée ainsi qu’à ce qu’elle ajouta. Il se pencha pour l’embrasser avec amour, et posa son front contre le sien « Parle-moi. Peu importe de ce que je dois gérer, j’ai toujours du temps pour toi » et embrassa son front, avant de poser sa tête contre l’oreiller, passant ses bras autour du corps nu de Lizzy « Mon retour au travail va très bien se passer, on va se montrer discret et tout ira bien. Je continuerais à t’engueuler si tu fais une connerie et tu iras bouder dans la salle de repos. Concernant Jessica, nous sommes officiellement séparés, on s’est aussi mis d’accord sur le fait qu’on va garder une entente cordiale pour le bébé qui va bien et qui grandi bien. Je vais passer de temps en temps chez Jess pour m’occuper de la chambre, mais je serais tout à toi quand je rentrerais. On ne parlera pas du bébé, ni de Jess, je serais juste ton… petit-ami ? » parce qu’il n’avait jamais parlé de ce qu’ils étaient vraiment l’un pour l’autre, alors il prononça ces derniers mots avec une certaine hésitation, puis embrassa son cou et reprit « Ensuite, et c’est le point le plus important, tu ne me perdras pas. Sors-toi ça de la tête tout de suite. Je vais être moins présent les premiers mois du bébé, parce que Jess aura besoin de récupérer, de prendre ses repères, mais dès qu’on aura pris un rythme de croisière, je serais tout à toi. Il faudra juste être patiente à ce moment-là, d’accord ?! » et déposa ses lèvres sur les siennes, passant au-dessus d’elle « Et moi aussi » il déposa un baiser sur ses lèvres « J’ai » un nouveau baiser « Envie » un baiser « de prendre » un baiser « des vacances » un nouveau baiser « Avec toi » et se recula, la fixant droit dans les yeux « Je t’aime ».


Charly
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Mer 28 Avr - 21:02
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J'ai 37 ans et je vis à Seattle, Washington. Dans la vie, je suis lieutenant stagiaire à la brigade criminelle et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt très bien.


Jolie, blonde, sexy... et flic. Elisabeth, puis qu'aujourd'hui elle préférait qu'on l'appelle ainsi, avait finalement réussit à évoluer comme elle l'entendait dans ce monde essentiellement masculin et plein de préjugés vis à vis de son physique.
Concours de Lieutenant réussit, elle avait également suivi une formation pour avec des compétences en profilage, histoire de se donner plus de poids. A fond dans son job, elle vient d'arriver à Seattle.
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« -oui, rassurant. » souffla la jeune femme avant de le remercier pour les fleurs. Comment avoir envie d’une autre vie avec quelqu’un d’autre ? A chaque fois qu’ils se retrouvaient, Lizzy savait que c’était lui qu’elle aimait, lui avec qui elle voulait passer le reste de ses jours. « -marchander ? Tu lui a proposé de faire sauter ses pv ? » s’amusa la jeune femme tout en suivant Ethan jusque dans la chambre. Après l’amour venait les confidences, c’était évident. Elle sourit en répétant : « -notre maison ? » ce futur lui semblait tellement surréaliste. « -oh si bien sur ! Mais ça ne sera pas pour demain. Et je ne pense pas que tu puisses valider mon dossier plus vite, même si je suis super forte et très douée dans mon domaine. » un sourire en coin avant qu’il ne lui demande si ça allait.

Un sourire tendre en sentant son front contre le sien, tout comme ces mots rassurant. « -je fais jamais de connerie et je ne boude pas ! » s’offusqua faussement la jolie blonde sans bouger, comme si c’était un simple commentaire logique. Un hochement de tête en écoutant la suite. C’était tout aussi rassurant. Elle comprenait. Et se sentait d’accord avec tout ça. Elle s’était promis de ne pas être un obstacle entre Ethan et le bébé. Elle le regarda : « -oui, tu pensais à quoi : colocataire ? » son sourire se fut taquin comme ses yeux avant d’écouter la suite. Un simple d’accord pour lui répondre. Ça aussi elle s’y attendait, et comprenait. Puis elle savoura chacun de ses baisers, souriant à ce qu’il dit. « -ça nous fais deux projets en commun. Retour à Los Angeles, et vacances. » beau programme ça aussi. Puis avec un sourire elle ajouta : « -hum… je dirais même trois... » alors qu’elle sentait le membre d’Ethan tendu entre ses cuisses.

Elle passa ses jambes autour de sa taille pour l’attirer en elle, avant de l’embrasser avec une envie certaine. Ce fut plus fougueux, mais tout autant jouissif. Ça allait être tellement compliquer de se passer de lui lorsque le bébé serait né. Elle savait d’avance qu’il serait fatigué. Elle passerait sa vie au boulot, histoire de penser à autre chose. Une douche commune et Lizzy retourna dans la cuisine pour finir ses gâteaux. Et elle décida de lui dire la vérité : « -t’avais raison pour le médecin. » elle leva les yeux pour le regarder : « -son message l’autre soir, c’était un semblant de technique de drague. » Lizzy annonçait ça d’un ton neutre. « -j’ai déjeuner avec lui. Et j’ai mis les choses au claire. » elle posa la cuillère pour approcher d’Ethan : « -il est sympa, mais moi celui que je veux c’est toi. » en passant ses bras autour de son cou. « -maintenant que je t’ai, je te laisse plus partir. » elle espérait vraiment que ce qu’elle venait de lui confier ne réveillerait pas une jalousie déplacée.

Manhattan Redlish
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Mer 28 Avr - 21:33
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Ethan O'Connell
J'ai 42 ans et je vis à Seattle, Washington. Dans la vie, je suis lieutenant à la brigade criminelle et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis séparé et je le vis plutôt bien parce que je peux enfin être avec celle que j'aime, sans devoir partager.  


Surnommé « l’Irlandais » par ses collègues du 12th district, Ethan est le genre de flic à la tête dure. Anciennement du groupe d’intervention du SWAT, il s’est retrouvé propulsé dans la rue à la suite du décès brutal de son collègue en intervention. Une nouvelle vie qui ne l’enchante guère. Dopé à l’adrénaline, il n'a aspiré qu'à retourné à la brigade d'intervention. Toutefois, le destin en a décidé autrement en rencontrant Elisabeth. Une recrue bavarde, mais prometteuse, avec laquelle, il a eu une relation adultérine. Puis il a compris que ça ne lui suffisait plus. Qu'elle était devenue bien plus pour lui qu'une simple amante. Alors un matin, il disparu soudainement...

Trois années plus tard, lieutenant à la brigade criminelle de Seattle, il est sur le point de se marier à sa partenaire de la brigade des mœurs. Mais il a fallu que le destin s'en mêle...


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« Non. Je dois poursuivre ma thérapie encore quelques semaines, juste au cas où » avait-il répondu en haussant les épaules, sans se départir de son sourire. Ce n’étaient pas les craintes de son psy sur son retour au travail qui le faisait sourire, mais de retrouver Lizzy après ces quelques heures loin d’elle. En arrivant à l’étage, ils firent l’amour avec douceur, avant de se mettre à parler d’eux deux, de leurs vies, comme s’ils profitaient de cette petite bulle de quiétude pour communiquer, se confier l’un à l’autre. Allongé sur elle, il sourit tout en acquiesçant d’un signe de tête « Oui ». Maintenant qu’ils étaient ensemble, ou tout du moins, dans une relation qui y ressemblait beaucoup, Ethan considérait que ce qui était à lui, était aussi à elle, et sa maison à Los Angeles en faisait partie. C’était modeste, mais ils avaient des souvenirs entre ses murs et le beau brun y tenait tout particulièrement. Un petit rire en entendant sa réponse « Non, je n’ai pas ce pouvoir-là ». Toutefois, il savait que quelque chose n’allait pas, qu’elle était préoccupée par quelque chose. Et il avait eu le nez fin en entendant sa réponse.

Après un baiser, Ethan posa son front tout contre le sien, et tenta de trouver les mots pour apaiser ses inquiétudes. Il esquissa un sourire amusé en l’entendant souligné un seul point « Mais bien sûr » en n’étant peu convaincu. Il en profita pour lui demander s’il étai son petit-ami, et baissa la tête en riant presque lorsqu’il se rendit compte de l’ineptie de sa question « Je ne savais pas trop, mais petit-ami, ça me va » et poursuivit sa tirade, en espérant rassurer sa petite-amie. Ethan savait que ça allait être difficile, mais ils étaient capables de surmonter tout cela. Le bébé était venu chambouler leurs plans, et le beau brun ne pouvait pas laisser bébé dans un coin. Il se mit à l’embrasser entre chaque mot et sourit « Oui » et pencha la tête de droite à gauche quand elle évoqua un troisième projet lorsqu’elle sentit sa virilité durcie. Ils refirent l’amour, mais avec plus de fougue, dans l’unique but de faire taire cette envie primale en eux, et ce qu’ils parvinrent à faire sans mal. Ils réitérèrent leurs ébats dans la douche, puis Ethan enfila une tenue décontractée en attendant le restaurant, suivant plutôt Lizzy dans la cuisine pour se servir un café en la regardant finir de préparer les pancakes. Appuyé contre le comptoir à ses côtés, il fronça les sourcils en l’entendant lui parler du médecin. Ce qu’elle ajouta ne fut pas vraiment à son goût, et lorsqu’elle évoqua le déjeuner, une petite crainte se mit à émerger en lui, mais elle fit tout taire en quelques mots. Elle avait mis les choses au clair.
Ethan passa ses bras autour de la taille de sa petite-amie en souriant « Ça tombe bien, parce que je ne compte pas te laisser partir de toute manière. J’ai des menottes et j’ai vu avec le propriétaire pour louer une cave si besoin » et déposa ses lèvres sur les siennes, puis reprit un air plus sérieux « Je sais que ça n’a pas dû être simple de me le dire du fait bah… de ma jalousie, alors je t’en remercie» et déposa un nouveau baiser sur ses lèvres « Je peux te poser une question, mais je ne veux pas que tu le prennes mal, d’accord » avant de rire nerveusement « Vu comme ça, tu dois commencer à t'inquiéter, je suis débile… » et inspira profondément avant de se lancer « J’ai trompé Jessica avec toi, parce que je suis dingue de toi, mais pourquoi tu as trompé Tony avec moi ? Je veux dire, tu étais en couple avec lui depuis des années et tu ne m’aimais pas à l’époque, enfin à moins que je ne m’en suis pas rendu compte » et tout en gardant un bras autour d’elle, posa son autre main sur sa joue « Je n’ai pas peur que tu me trompes, attention. J’ai confiance en toi et j’espère que c’est réciproque. Je veux dire, je ne compte pas te tromper » puis remarqua qu’il était en train de s’embourber dans une explication qui laissait place à une interprétation risquée. Il enfoui son visage dans ses mains en riant nerveusement « Mon dieu, dans quoi je me suis lancé » et entoura le visage de Lizzy « Je m’emmêle les pinceaux. Je voulais juste te demander pourquoi tu avais trompé Tony avec moi ? Et pourquoi moi ? C’est tout. C’est pour ça que je ne suis pas loquace, je ne suis pas doué avec les mots » tout en faisant une légère moue coupable.


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J'ai 37 ans et je vis à Seattle, Washington. Dans la vie, je suis lieutenant stagiaire à la brigade criminelle et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt très bien.


Jolie, blonde, sexy... et flic. Elisabeth, puis qu'aujourd'hui elle préférait qu'on l'appelle ainsi, avait finalement réussit à évoluer comme elle l'entendait dans ce monde essentiellement masculin et plein de préjugés vis à vis de son physique.
Concours de Lieutenant réussit, elle avait également suivi une formation pour avec des compétences en profilage, histoire de se donner plus de poids. A fond dans son job, elle vient d'arriver à Seattle.
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Oh bordel, rien qu’à voir le regard d’Ethan, la jeune femme était en train de se dire qu’elle venait de faire une connerie en avouant qu’elle avait déjeuné avec Drew. Peut être que garder ça pour elle, aurait été une meilleure solution. Mais c’était venu tout seul, comme si c’était logique qu’elle ose lui dire la vérité. « -ya une cave qui va avec l’appart ? » demanda Lizzy en voulant paraître sérieuse. Elle se pinça les lèvres en l’écoutant. Ouais non ça avait été facile, c’était le maintenant qu’elle redoutait quelque peu. Mais il ne semblait pas se laisser dominer par sa jalousie. Ce qui était bien. Très bien même. Une preuve de confiance. « -rassurant... » souffla la jeune femme en se demandant ce qu’il allait lui dire. -ba va s’y arrête le suspens ! » s’amusa la jeune femme qui n’avait pas envie d’attendre plus longtemps. Elle haussa les sourcils en baissant le visage. Sacré question… Rapidement une idée fit son chemin dans son esprit, et il la chassa aussi vite en posant sa main sur sa joue. « -tu lis dans mes pensées depuis quand toi ? » demanda la jeune femme en plissant les yeux. Bien sur qu’elle s’était dit ça ! Elle venait de lui avouer qu’elle s’était fait ouvertement draguer par un autre homme, alors oui forcement elle en venait à se dire qu’il avait peur de sa fidélité. Ça se tenait, ça pouvait même se comprendre.

« -trop tard, maintenant tu vas jusqu’au bout. » commenta Lizzy en le voyant s’enliser. La jolie blonde décida de reculer jusqu’à sa pâte à gâteau, un peu pour le faire chier, un peu pour le faire flipper. Elle garda le silence volontairement quelques secondes, cherchant aussi une réponse. « -je sais pas... » ah ba oui ça c’était de la réponse ! Elle brassa la pâte en la fixant du regard avant d’ajouter : « -je crois que… » pff mais c’était quoi cette question… « -je l’ai dis quand on jouait au billard, j’ai toujours été attiré par le mauvais garçon. » un haussement d’épaule en le regardant enfin : « -tu m’as embrassé et… et je sais pas ça a été plus fort que moi. » ça c’était la pure vérité. « -je savais que c’était une connerie mais j’en avais envie… Et... » c’était difficile d’expliquer vraiment pourquoi. « -j’avais peut être besoin de ça… » comme si ça allait le rassurer. « -c’était peut être le destin ? » ajouta Lizzy avec une petite grimace. « -j’ai pas pas amoureuse de toi, c’était de l’attirance, y’avait beaucoup de choses qui m’attirait. Si tu m’avais pas embrassé j’aurai peut être jamais céder. Je… Je peux pas vraiment te donner de vraie réponse. » elle cligna plusieurs fois des paupières et ajouta en le regardant à nouveau : « -je sais que ça dois pas te rassurer. Mais je sais pas comment répondre. J’étais bien avec Tony, mais il manquait un truc. Et ce truc toi tu l’avais. Je sais même pas dire ce que c’est ! » c’était à son tour de s’enfoncer. « -mais je te jure que j’ai vraiment mis les choses au clair avec Andrew, c’est le nom du doc. » elle posa la cuillère et revint vers Ethan. « -j’ai jamais dis à Tony que je l’aimais. Et pourtant je pensais que c’était le cas. Avec toi c’est… c’est tellement différent. C’est tellement unique et mieux et… » elle baissa les yeux en se mordant les lèvres. « -je compte pas aller voir ailleurs. Vraiment. Faut que tu me fasses confiance là dessus d’accord ? » un léger sourire presque timide. « -tu le sais très bien, d’ordinaire je m’entends bien mieux avec les hommes que les femmes. Ce médecin, c’est le genre de type avec qui je pourrais être ami. Il est sympa, il a de la conversation, de l’humour. Et puis à part toi ici j’ai personne. Alors… lors si jamais je le revois un jour, je veux pas que tu te fasses de fausses idées. Mais si tu veux pas que je le revois t’as juste à le dire et j’efface son numéro, on en parle plus. »

Manhattan Redlish
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Jeu 29 Avr - 12:50
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Ethan O'Connell
J'ai 42 ans et je vis à Seattle, Washington. Dans la vie, je suis lieutenant à la brigade criminelle et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis séparé et je le vis plutôt bien parce que je peux enfin être avec celle que j'aime, sans devoir partager.  


Surnommé « l’Irlandais » par ses collègues du 12th district, Ethan est le genre de flic à la tête dure. Anciennement du groupe d’intervention du SWAT, il s’est retrouvé propulsé dans la rue à la suite du décès brutal de son collègue en intervention. Une nouvelle vie qui ne l’enchante guère. Dopé à l’adrénaline, il n'a aspiré qu'à retourné à la brigade d'intervention. Toutefois, le destin en a décidé autrement en rencontrant Elisabeth. Une recrue bavarde, mais prometteuse, avec laquelle, il a eu une relation adultérine. Puis il a compris que ça ne lui suffisait plus. Qu'elle était devenue bien plus pour lui qu'une simple amante. Alors un matin, il disparu soudainement...

Trois années plus tard, lieutenant à la brigade criminelle de Seattle, il est sur le point de se marier à sa partenaire de la brigade des mœurs. Mais il a fallu que le destin s'en mêle...


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Ethan n’avait pas sauté de joie en apprenant que sa petite-amie avait déjeuné avec le médecin qui avait tenté de la séduire quelques jours plus tôt. Pour autant, il n’avait pas fait la moindre remarque. De toute manière, son regard parlait pour lui. Ça ne lui plaisait pas, mais il savait aussi que sa jalousie risquait de leur faire plus de mal que de bien. Il tenta de faire un peu d’humour et se mit à sourire, amusé par le ton employé par Lizzy à l’égard de la cave « Apparemment ». En tout cas, c’était ce que le lui avait dit le propriétaire en le croisant dans les couloirs. Toutefois, Ethan avait une question qui le taraudait et il ne se montra pas vraiment rassurant dans sa manière d’aborder le sujet, et se lança, mais de manière maladroite. Un petit sourire, presque rassuré en voyant qu’elle n’était pas offusquée par sa question, et haussa simplement les épaules pour seule réponse. Il tenta de se démêler les pinceaux dans ses explications, et ses interrogations. On aurait pu lui donner une pelle pour qu’il continue de creuser son trou en cet instant.

Le beau brun sentit l’angoisse monter en lui quand elle retourna à sa pâte à pancakes. Ce n’était jamais bon signe, et il commençait réellement à appréhender sa réponse. Les premiers mots qu’elle prononça ne répondaient pas le moins du monde à sa question, et souffla un « Ok ». Mais, contre toute attente, Lizzy poursuivit en tentant de lui donner une véritable réponse. Bon, elle aurait pu trouver mieux comme explication, parce que de se dire qu’il était le genre d’homme avec qui elle faisait n’importe quoi, ça ne le rassurait pas du tout. Le genre mauvais garçon, brun aux yeux noirs et tatoués, n’avait pas été fait en un seul exemplaire, malheureusement. Ethan baissa la tête, fixant la pâte, sentant l’angoisse s’accroître en lui. Ça ne le rassurait pas du tout, et souffla un « Ça ne me rassure pas du tout là, Lizzy » en relevant lentement son regard sur elle, en esquissant un petit sourire « Ça, un peu plus » lorsqu’elle évoqua le destin. Un hochement de tête à ce qu’elle ajouta. Après tout, au moment où il l’avait embrassé, il n’éprouvait pas non plus d’amour pour elle, alors il ne pouvait pas vraiment juger. Ça avait été physique entre eux, comme deux aimants qui s’attirent, sans comprendre pourquoi.

Toujours silencieux, son regard vacillant entre la pâte et la jolie blonde, et haussa simplement les épaules, avant tout pour la faire chier, parce que ça l’avait amusé quand il s’était embourbé dans ses explications, et que c’était à son tour. Son sourire se dessina lentement sur ses lèvres, et encore plus lorsqu’elle précisa que c’était unique et mieux avec lui. Un hochement de tête, sans mot dire, parce qu’il sentait qu’elle n’avait pas encore fini. Et lorsqu’elle arrêta de parler, il la couva du regard avec tendresse « J’ai confiance en toi. En ce qui concerne Andrew… » Il l’observa en réfléchissant et poursuivit « Je préfères savoir que tu le vois pour déjeuner ou boire un verre en simple amitié, plutôt que tu le croises dans mon dos, par hasard et que tu n’oses pas m’en parler en craignant ma réaction » en glissant ses mains dans les poches « Mais je sais aussi que les mois qui arrivent vont être difficiles pour nous deux, mais encore plus pour toi. Et si jamais, tu te sens délaissée, que tu es tentée de trouver du réconfort chez un autre, parce qu’il t’apporte ce que moi, je ne t’apporte plus parce que je suis occupé… Je veux que tu m’en parles et je ferais des efforts. Peu importe si je suis submergé de soucis, de travail, je ne veux pas te perdre. Compris ? » tout en retirant ses mains des poches pour saisir les mains de Lizzy, entrelaçant ses doigts aux siens « Et puis la première fois que je t’ai embrassé, c’était en espérant qu’on baise, soyons clairs » en riant de sa révélation « Donc je comprends. Mais je veux être le seul type avec qui tu fais n’importe quoi. Si tu t’ennuies avec moi, tu me le dis et on s’arrange. Ça ne me dérange pas de te prendre sur un billard devant toute une assemblée, ou dans un avion, ou une voiture, ou une cave, un parking, sur un toit, dans les escaliers… Je me tais » en riant et posa son regard sur la pâte à pancakes « On pourrais continuer de pâtisser tous les deux, non ? » avant de glisser un « Par contre, si Andrew t’embrasse, je lui met mon poing dans la gueule ».


Charly
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Elisabeth Capplan
J'ai 37 ans et je vis à Seattle, Washington. Dans la vie, je suis lieutenant stagiaire à la brigade criminelle et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt très bien.


Jolie, blonde, sexy... et flic. Elisabeth, puis qu'aujourd'hui elle préférait qu'on l'appelle ainsi, avait finalement réussit à évoluer comme elle l'entendait dans ce monde essentiellement masculin et plein de préjugés vis à vis de son physique.
Concours de Lieutenant réussit, elle avait également suivi une formation pour avec des compétences en profilage, histoire de se donner plus de poids. A fond dans son job, elle vient d'arriver à Seattle.
Depuis trois ans, elle prit son destin en main, mais celui ci semble vouloir jouer les trainées.

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« -oui non mais je sais ! » répliqua Lizzy qui semblait presque souffrir de ne pas trouver de réponse parfaite à donner à Ethan. Elle le lui avait confié avant même que tout dérape entre eux. Il était clairement le genre de type avec qui elle faisait n’importe quoi. Le genre de mec qui lui plaisait trop alors qu’au final… elle finissait par souffrir. Elle avait eu raison. Lorsqu’il était parti, elle avait vraiment eut mal. Et pourtant, elle lui avait donné une autre chance. Et aujourd’hui elle était capable de dire qu’elle avait de vrais sentiments forts pour lui, qu’elle l’aimait. Ça n’était pas rien. « -je sais pas c’était une alchimie dès le départ toi et moi. Ça à collé tout de suite, même sans sexe c’était une super amitié. Les trucs simple et tranquille c’est peut être pas mon truc… enfin non, c’est pas ce que je veux dire. Oh merde tu fais chier avec ta question tu sais. » maintenant c’était elle qui était en train de s’embrouiller. Elle leva le visage vers le plafond en râlant : « -tu veux qu’on s’engueule ? Non parce que c’est bien le genre de conversation qui peut mal finir. » déclara Lizzy en plissant les yeux, un poing sur le hanche, l’autre main tenant toujours la cuillère.

Puis elle la posa, et déclara qu’à lui elle avait été capable de lui dire je t’aime, et qu’avec lui c’était bien différent. Elle lui demanda sa confiance, même si elle comprenait qu’il ait du mal à lui accorder maintenant qu’il tenait le rôle officiel de petit ami. Elle en vint à parler de Drew, et laissa même Ethan choisir l’avenir de cette relation. S’il ne tenait vraiment pas à ce qu’elle le revois, alors ok. La jeune femme fixa Ethan du regard, qui prenait son temps pour répondre. Bon d’accord c’était de bonne guerre. « -si je le croise par hasard, je te le dirais. Regarde là je te l’ai dis. » ce qui pouvait prouver sa bonne volonté et sa sincérité. Roh le vieux MAIS qui arriva ensuite la fit reculer jusqu’à sa pâte à gâteaux. « -non mais attends, je t’ai dis que je redoutait l’arrivée du bébé, mais c’est pas parce que tu vas être crevé et peut être pas dormir là tout les soirs que je vais te trouver un remplaçant ! Roh j’aurai mieux fais de la fermer, maintenant tu vas flipper. C’est… c’est des idées confuses, parce que je penses trop. Mais on le sais, y’a pas de raison que ça merde. Si on s’est retrouvé au bout de trois ans et que je t’ai pas collé ma main dans la figure c’est bien parce qu’entre nous y’a un truc fort. » elle regarda leurs mains avant de sourire à la connerie d’Ethan. « -on se confiait nos soucis de famille et toi tu pensais seulement à mon cul ! » et elle ça la faisait rire.

Un nouveau rire lorsqu’il fit une liste. Elle avait seulement envie de lui dire qu’elle l’aimait. « -je crois que j’ai compris... » avant de regarder aussi la pâte à gâteau. « -si tu veux... » pourquoi pas après tout. « -t’es mignon... » souffla la jeune femme en sortant des moules. « -ça me fait toujours sourire quand je repense à notre rencontre. T’étais un beau baratineur quand même. Un uniforme, une recrue, une collègue. Mais bien sur ! » elle poussa le saladier vint se glisser entre Ethan et le plan de travail. « -trop de blabla pas assez d’action… ça ne va pas du tout ça Lieutenant ! » en disant cela elle avait commencer à lui retirer son t shirt. « -oui je sais ça fais à peine deux heures, mais j’ai encore envie de toi… » un sourire en coin qui en disait long. « -on a besoin d’un gros rouleau pour faire de la pâtisserie. Et d’un peu de glaçage. » elle grimaça à ses propres paroles avant d’en rire.

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Ethan O'Connell
J'ai 42 ans et je vis à Seattle, Washington. Dans la vie, je suis lieutenant à la brigade criminelle et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis séparé et je le vis plutôt bien parce que je peux enfin être avec celle que j'aime, sans devoir partager.  


Surnommé « l’Irlandais » par ses collègues du 12th district, Ethan est le genre de flic à la tête dure. Anciennement du groupe d’intervention du SWAT, il s’est retrouvé propulsé dans la rue à la suite du décès brutal de son collègue en intervention. Une nouvelle vie qui ne l’enchante guère. Dopé à l’adrénaline, il n'a aspiré qu'à retourné à la brigade d'intervention. Toutefois, le destin en a décidé autrement en rencontrant Elisabeth. Une recrue bavarde, mais prometteuse, avec laquelle, il a eu une relation adultérine. Puis il a compris que ça ne lui suffisait plus. Qu'elle était devenue bien plus pour lui qu'une simple amante. Alors un matin, il disparu soudainement...

Trois années plus tard, lieutenant à la brigade criminelle de Seattle, il est sur le point de se marier à sa partenaire de la brigade des mœurs. Mais il a fallu que le destin s'en mêle...


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Ethan était partagé entre son envie de sourire en la voyant ramer dans ses explications pour tenter de la rassurer, et son incapacité à le rassurer au fur et à mesure qu’elle parlait. Finalement, il se mit à sourire de tendresse en la voyant se battre avec ses propres explications, et cela dans l’unique but d’apaiser ses craintes « Je sais » rétorqua-t-il et fit un signe négatif de la tête « Je prends le risque. Ça m’excite quand tu me cries dessus de toute manière ». Ethan ne voulait pas qu’ils s’engueulent. Même s’il était inquiet parce ce qu’elle avait pu dire, il savait aussi qu’elle devait sacrément l’aimer pour continuer à ramer de la sorte dans l’unique but de le rassurer. Il trouvait ça adorable, et fut touché par ce qu’elle ajouta à la suite. Après tout, il n’était pas Tony et leur histoire n’était pas semblable, elle était unique, elle leur appartenait et ils pouvaient faire en sorte que ça dure. Et pour cela, le beau brun savait qu’il devait apprendre à faire des efforts en la laissant voir cet Andrew, parce qu’il avait confiance en elle. Il sourit tout en acquiesçant « J’ai vu ». Toutefois, Ethan avait besoin de savoir que la jeune femme saurait communiquer avec lui si jamais, elle se sentait délaissée ou prête à trouver du réconfort et de la tendresse auprès d’un autre homme. Après cinq ans, il ne voulait pas la perdre. Pas maintenant qu’ils étaient enfin heureux tous les deux. Ses doigts entrelacés à ceux de sa petite-amie, il rétorqua « Je ne vais pas flipper Lizzy et… Attends ?! Tu m’aurais mis ma main dans la gueule le premier jour ? Moi ? Ton patron ? » en affichant un sourire espiègle « Je te fais confiance, je nous fais confiance ». Puis, pour alléger tout cela, Ethan avoua que, de toute manière, s’il l’avait embrassé, c’était dans l’unique but de s’envoyer en l’air avec elle. Il se mit à rire de nouveau « Ça faisait des mois qu’on jouait avec le feu, j’avais vraiment envie de te la mettre et je trouvais que l’ambiance était sympa avec cette plage » avec son franc-parler qu’elle connaissait si bien.

Ethan se mit à faire une liste non-exhaustive des endroits où ils pourraient faire l’amour afin de pimenter leur vie sexuelle, et savoura son rire « Tu me dis sinon, j’ai d’autres idées » et posa son regard sur la pâte à pancake un instant, avant de lui proposer de participer, hochant de la tête. Il en profita aussi pour prévenir qu’il n’hésiterait pas à frapper Andrew s’il se montrait trop entreprenant et ça ne semblait pas déranger Lizzy. Parfait. Il se leva les mains et rejoignit la jolie blonde près de l’établi, riant doucement « Je n’ai jamais couché avec une collègue de travail, promis » tout en levant les mains « Je ne sais pas ce que tu m’as fait, tu m’as complètement retourné, moi et mes principes. Je n’ai jamais été jaloux non plus. Bon coup, ça par contre… » tout en lançant un regard taquin à la jeune femme qui se glissa entre lui et le comptoir « Oh ! Mon lieutenant-stagiaire a besoin d’un fusil d’assaut ? » tout en la laissant retirer son haut « J’ai eu le temps de recharger et si ce n’était que de moi, on baiserait toute la journée et la nuit aussi » avant de rire à ce qu’elle ajouta « Grande classe ! Respect » et lui retira son haut à elle aussi « Tu veux que je te retourne toi aussi ou on garde ça pour la pâte à pancakes ? » et retira ses chaussures, puis son pantalon qu’il jeta dans un coin de la cuisine, suivi de son boxer « Le glaçage est fin prêt » en désignant sa virilité tendue et embrassa la jeune femme avec envie, avant de la tourner dos à lui, la pénétrant dans un soupir de plaisir, lui murmurant « On va faire les deux, pile et face. Il n’y a jamais trop de glaçages » et ondula langoureusement le bassin tout en soupirant, puis se retira, la souleva et la laissa prendre place sur le comptoir, la pénétrant de nouveau, la fixant avec envie alors qu’il donna de long coups de reins « C’est bien mieux que la pâtisserie » et nicha son visage dans son cou tout en accélérant les coups de reins et cela, jusqu’à la jouissance. Il resta un moment immobile, le temps de reprendre ses esprits après l’orgasme, puis embrassa son cou et prit possession de ses lèvres, cherchant sa langue avec envie, et mit lentement fin au baiser en souriant « Finalement, pas besoin de me gueuler dessus pour m’exciter » et l’embrassa de nouveau avec plus de douceur « Va falloir se préparer pour le restaurant. Promis, en rentrant, je te fais crier de nouveau » et récupéra ses affaires qu’il mit en boule dans ses bras, restant complètement nu « Je ne suis pas contre une nouvelle douche, je dois avoir un peu de farine sur moi, si ça te dit ».

En entendant que la jeune femme ne se prépare, Ethan avait décidé de faire un effort en enfilant un pantalon de costume, une petite chemise ouverte au col et dont, il avait retroussé les manches, ainsi qu’un gilet de costume, et une paire de baskets blanches, gardant ainsi le côté décontracté qu’elle aimait tant. Puis il patienta dans la pièce principale.

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J'ai 37 ans et je vis à Seattle, Washington. Dans la vie, je suis lieutenant stagiaire à la brigade criminelle et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt très bien.


Jolie, blonde, sexy... et flic. Elisabeth, puis qu'aujourd'hui elle préférait qu'on l'appelle ainsi, avait finalement réussit à évoluer comme elle l'entendait dans ce monde essentiellement masculin et plein de préjugés vis à vis de son physique.
Concours de Lieutenant réussit, elle avait également suivi une formation pour avec des compétences en profilage, histoire de se donner plus de poids. A fond dans son job, elle vient d'arriver à Seattle.
Depuis trois ans, elle prit son destin en main, mais celui ci semble vouloir jouer les trainées.

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« -je savais que tu mentais l’autre jour quand tu m’as dis que c’était plus le cas. » commenta Lizzy avec un petit sourire. Elle avait presque été déçue d’ailleurs. Parce que c’était un peu leur truc. Son truc à lui en tout cas de la faire taire ou crier autrement. Elle, elle adorait ça. Ce genre de réconciliation, ça lui allait parfaitement. Enfin de toute façon c’était pas le sujet. Ça faisait bien longtemps qu’elle ne s’était pas sentit aussi nulle en argumentation. Heureusement qu’elle était plus douée en interrogatoire ! Pourtant elle ne lâchait pas l’affaire, elle voulait le rassurer, se rassurer aussi d’ailleurs. « -oh ba oui bien sur tu vas pas flipper, c’est bon les mensonges c’est finit Ethan. En plus t’es nul à ça. Et oui, franchement quand je suis arrivée, j’aurai été capable de t’en coller une, simplement pour soulager la douleur que j’ai ressenti quand tu t’es barré. Mais c’est un autre sujet. » le sujet devint bien plus léger et elle se mis à rire de plus belle. « -ok j’t’ai jamais avoué que j’en avais rêvé. Pas de la plage, mais qu’on baisait. » oui le sujet déviait totalement.

« -gardes quelques surprises, j’adore ça... » un sourire et un petit haussement de sourcils qui laissait sous entendre qu’elle ne disait pas non à toutes ces idées. « -oh mon dieu j’étais ta première ! C’est chou ! » s’amusa Lizzy en riant, se foutant de sa gueule. Elle avait soudainement l’impression de revenir quelques années en arrière, et ça faisait un bien fou. « -techniquement si je me souviens bien c’est toi qui m’a retourné... » ou là oui elle avait l’impression que ça faisait des années qu’ils n’avaient pas fait l’un comme l’autre de sous entendu de la sorte. Peu à peu, Ethan redevenait vraiment lui. Et elle adorait ça. Non en fait c’était con mais ça l’excitait. « -non… je vais pas n’importe quel fusil d’assaut. C’est le tien qui m’intéresse... » un petit sourire en coin avant de rire au commentaire d’Ethan. « -oui je sais... » répondit Lizzy sans se démonter, assumant totalement. Elle se déshabilla aussi et ajouta en riant : « -et moi je suis prête à être fourrée. » elle se marra contre ses lèvres tellement ça partait loin en conneries.

Les deux mains contre l’établis de la cuisine, sur la pointe des pieds, elle soupira en le sentant entrer en elle. « -oui je suis d’accord... » gémit Lizzy. Une fois assise sur le comptoir, elle le fixa du regard, souriant encore presque aguicheuse. Wahou… ça faisait un moment qu’ils n’avaient pas fait l’amour de cette façon. Vraiment elle avait l’impression de revenir quelques années en arrière. Quand ils avaient bien moins de souci. « -c’est vrai que ça évite de penser aussi... » souffla la jeune femme avant d’ajouter un : « -t’arrêtes pas... » en agrippant ses épaules. Elle cria sa jouissance sans se soucier du voisinage, et finit par laisser glisser ses mains dans le dos d’Ethan. Lizzy lui rendit son baiser, mêlant sa langue à la sienne. « -c’était trop bon... » souffla t elle en souriant. Elle plissa ensuite les yeux : « -tu n’imagines pas ma déception si ça n’était pas le cas. » avant de récupérer à son tour ses affaires. « -et moi je dois en avoir plein les fesses ! » s’amusa la jeune femme en passant devant lui, le poussant de l’épaule au passage pour arriver la première sous la douche.

Lizzy sortie en serviette de la salle de bain et chercha Ethan. « -oh mince mais c’est genre super resto classe ?! » demanda la jeune femme en voyant sa tenue. « -restes loin tu veux, parce que sinon on risque pas d’y aller. » ouais il était tellement beau comme ça. La jeune femme se retrouva devant sa garde robe et chercha un moment ce qu’elle décida de porter. Puis elle finit par choisir une petite robe noir, simple mais élégante. Elle se coiffa et maquilla rapidement avant de descendre rejoindre Ethan. Elle tourna sur elle même et demanda : « -ça c’est bien ? » avant de sourire : « -je serais descendue nue tu m’aurais dis oui de toute façon. » avant de mettre ses talons. Elle embrassa Ethan et lui dit : « -je suis prête ! »

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J'ai 42 ans et je vis à Seattle, Washington. Dans la vie, je suis lieutenant à la brigade criminelle et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis séparé et je le vis plutôt bien parce que je peux enfin être avec celle que j'aime, sans devoir partager.  


Surnommé « l’Irlandais » par ses collègues du 12th district, Ethan est le genre de flic à la tête dure. Anciennement du groupe d’intervention du SWAT, il s’est retrouvé propulsé dans la rue à la suite du décès brutal de son collègue en intervention. Une nouvelle vie qui ne l’enchante guère. Dopé à l’adrénaline, il n'a aspiré qu'à retourné à la brigade d'intervention. Toutefois, le destin en a décidé autrement en rencontrant Elisabeth. Une recrue bavarde, mais prometteuse, avec laquelle, il a eu une relation adultérine. Puis il a compris que ça ne lui suffisait plus. Qu'elle était devenue bien plus pour lui qu'une simple amante. Alors un matin, il disparu soudainement...

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« On se serait sauté dessus sinon » avait-il alors répliqué, comme si c’était une évidence. Sans savoir réellement pourquoi, il avait toujours eu envie de lui faire l’amour lorsqu’elle se mettait à lui crier dessus. Peut-être pour la faire taire, pour lui faire comprendre que leur dispute était superflue et qu’il voulait se réconcilier avec elle, parce qu’il n’aimait pas être en froid avec elle. Tout ce dont il était sûr, c’était que ça avait toujours caractérisé leur dispute, ainsi que leur relation. Dans tous les cas, Ethan avait toujours ça attendrissant de la voir batailler avec elle-même pour le rassurer et sourit « Et je n’aime pas mentir » surtout à elle et baissa les yeux, toujours aussi désolé de l’avoir fait souffrir en partant ainsi du jour au lendemain « Il faudra qu’on en parle un jour, mais pas aujourd’hui ». Ils avaient eu leur quota de sujets sérieux pour la journée, voire la semaine. Pour le moment, Ethan avait envie de changer de sujet en évoquant le fait qu’il l’avait embrassé, en espérant pouvoir s’envoyer en l’air avec elle. Il haussa les sourcils devant l’aveu de la jeune femme « Oh ! Longtemps avant que tu viennes chez moi ? » et ajouta « Après le barbecue, et notre bataille d’eau, j’ai fantasmé sur toi ensuite, et tu avais aimé ça, mais tu m’as tiré de mes pensées et tu as tout gâché » en souriant taquin. Que c’était bon de délaisser les sujets sérieux pour revenir à cette légèreté. Pas besoin de surveiller leurs paroles, leurs sous-entendus ou leurs regards. C’était comme à Los Angeles et Ethan aimait ça !

« J’espère que tu as noté mes idées dans un coin de ta tête, parce que je ne suis pas sûr de me souvenir de toutes » tout en se mordant la lèvre inférieure alors qu’il la dévorait du regard un instant. Il plissa les yeux « Tu devrais en être flattée au lieu te de foutre de ma gueule » tout en pointant son index sur elle. Il se mit à rire doucement, et répondit « Plus d’une fois même » alors qu’il sentait l’envie monter crescendo en lui, et il n’était pas le seul. Il retira ses fringues tout en la dévorant littéralement du regard « Ça tombe bien, il t’est réservé » et la complimenta sur sa manière de parler de sexe et de pâtisserie en une seule phrase. Il se mit de nouveau à rire « Tu vas l’être ! » alors qu’il l’embrassa, riant comme deux abrutis de leurs conneries, mais c’était bon. Il prit possession d’elle une première fois, dos contre son torse, puis la souleva pour la faire prendre place sur l’établi, retournant en elle en la fixant tout du long. Le sexe, c’était tout aussi bien que de pâtisser finalement et elle semblait d’accord avec elle, avant qu’elle ne lui demande de continuer. Ses mains sur ses hanches, il accéléra les coups de reins, et cela jusqu’à gémir de plaisir, savourant de l’entendre crier. Il aimait la voir à sa merci et sans retenue. Il voulait la savoir libre d’exprimer ce qu’elle voulait pendant qu’il lui faisait l’amour. C’était aussi ce qui faisait le charme de leurs ébats. Il l’embrassa avec envie et sourit à l’issue « Très » et se mit à rire « J’ai tout le temps envie de toi » et récupéra ses affaires, l’invitant à réitérer sous la douche « Je vais m’occuper de ton cul alors » et se mit à courir avec elle jusque sous la douche.

Ethan avait pris le temps de se faire beau, en attendant que Lizzy ne sorte de la salle de bain « Non, pas plus que ça. Je voulais juste me faire beau pour toi » puis regarda sa tenue « C’est trop ?! » et releva ses yeux bruns sur elle, et apparemment, c’était parfait au vu du commentaire de Lizzy « Ne me dis pas des choses comme ça » alors qu’il s’approcha de cette dernière pour embrasser son épaule encore humide, et s’éloigna pour rejoindre l’étage inférieur le temps qu’elle ne se prépare. En entendant ses pas dans les marches, Ethan se retourna et sourit avec tendresse « C’est… Tu es superbe » et se mit à rire « Non, on aurait baisé dans les escaliers. Là, on va attendre la fin du restau » et lui rendit son baiser « Parfait » et lui offrit son bras.
Le beau brun n’avait réservé dans aucun restaurant, mais avait trouvé un coin de plage à Seattle où il avait fait déposer une table pour eux deux, avec bougie et un repas traiteur pour eux deux. Le tout, sous la surveillance de Wyatt, son complice. En arrivant, il remercia son jeune frère, lui donna un peu d’argent et lui promis que la fois prochaine, ils dineraient tous les trois à l’appartement. Il tira la chaise pour laisser Lizzy prendre place, et prit s’assied en face d’elle, servant le vin avant de prendre sa main « Tu aimes ? Je sais, ça vient du restaurant où bosse Wyatt et il n’y a pas de serveur, donc je vais assurer le service. Le vin n’est pas une grande bouteille, mais je me suis dit que ça serait un peu comme Los Angeles… Mais on peut aller au restaurant aussi ? Tu trouves peut-être ça trop romantique, non ? Un peu niais ? Je n’ai pas l’habitude de faire ça… ». Bon, Ethan n’était pas du tout le mec assuré et confiant en cet instant. Avec ses ex, il ne s’était jamais montré vraiment romantique, enfin pas dans ce genre-là et il craignait que Lizzy ne trouve ça trop niais, pas assez lui.

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