Hold me, Thrill me, Kiss me, Kill me ft. Patate Douce
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Dim 25 Oct - 9:45
Dagnir
J'ai 29 ans et je vis à Melehtë. Dans la vie, je suis roi et je m'en sors bien, vraiment bien même. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire, libre de ma vie et je le vis plutôt bien, trouver une épouse n'est vraiment pas ma priorité. .
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Ce qu'il pouvait être agaçant quand il s'y mettait. Le voilà qui revenait avec cette histoire de chouineries autour de sa famille. Pourquoi est ce que je l'avais laissé en vie déjà? Ah oui... pour son cul, pour ses petites mains qui continuaient de me caresser et rendait encore un peu plus agréable cette chevauchée. Mais qu'est ce qu'il pouvait être pénible quand il s'y mettait. Et ses insultes... si on était pas tous les deux entrain de chevaucher je le remettrais rapidement à sa place.
Je soupirais à nouveau alors qu'il me parlait du territoire des bêtes sauvages vers lequel on se dirigeait. L'idiot... il pensait vraiment que mes éclaireurs étaient de complets incompétents et qu'ils ne nous avaient pas signalé tout ça? Il sous estimait donc à ce point mon armée? Comment plusieurs dizaines de milliers d'hommes pourraient ils être effrayé par des bêtes sauvages. J'avais déjà envoyé des hommes en reconnaissance. Nous allions monter le camp à la limite de leur territoire. J'enverrais également mes chasseurs pour éliminer le plus gros de ces bêtes, les effrayer suffisamment pour qu'elles restent à l'écart de nous. Et nous aurions de la viande fraiche au diner ce soir. Sans compter que mes hommes surveillaient le camp en permanence. Nous avions monté notre campement dans des endroits beaucoup plus dangereux que celui ci. Alors qu'est ce qu'il pouvait m'agacer avec ses remarques.
- Il y a un certain nombre de choses que tu devrais comprendre, surtout si tu tiens à rester en vie.
Non parce que à l'allure où il allait, il n'allait pas rester en vie très longtemps. Ses si jolies fesses ne le sauveraient pas longtemps.
- Ne te permets pas de me juger alors que tu ne me connais pas. Je n'ai rien de cordial. Et ne crois pas que tu as une quelconque influence sur moi. Encore moins si c'est pour m'insulter de cette façon. Cordial... et puis quoi encore?
Je levais les yeux au ciel en lâchant un reniflement dédaigneux.
- Ne me prends pas pour un idiot. En règle général, tu sauras qu'il vaut mieux éviter de sous estimer son adversaire. Mais dans mon cas... je n'ai que peu de patience avec les imbéciles qui me prennent de haut et pensent être plus intelligent que moi.
Alors ses petits conseils à deux sous, il pouvait bien se les garder. J'avais des conseils pour me conseiller, lui il n'était pas là pour ça.
- De manière générale évite de te montrer agaçant ou pleurnichard. Je ne supporte pas ça. Je ne t'ai pas tué ce matin uniquement parce que tu m'es encore d'une certaine utilité. Mais fais attention... le jour où tu seras plus agaçant qu'utile, je trouverais une façon particulièrement récréative de te tuer.
J'hésitais encore entre l'écorché vif, l'écartelé ou revenir à la bonne vieille méthode de l'empalement. Mais ça faisait longtemps que je n'avais pas essayé d'écorché entièrement quelqu'un en veillant bien à ce qu'il ne meurt pas avant que je n'ai terminé l'opération.
- Mais parlons de choses plus agréables. Explique moi... Qu'est ce que tu ne comprends pas, dans nos ébats, et que trouves tu agréable? Je pourrais peut être le refaire si tu te tiens bien toute la journée.
Parce que je ne supportais plus ses pleurnicheries sur sa famille. Si il recommençait encore une fois je le faisais tomber de mon cheval et il devrait se débrouiller pour rejoindre le camp à pied.
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Patate Douce
Dim 25 Oct - 12:30
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J'ai 25 ans ans et je vis à Rainë, la Paisible. Dans la vie, je suistout le monde dans la Vie du royaumeet je m'en sors moyennement. Je ne sais pas quoi de ma vie. Sinon, grâce à ma chance, je crois que je suis célibataire au desespoir de mes parents et je le vis plutôt bien. Je ne sais comment me présenter. Mais mon destin n'était promis qu'à ma moitié et non, l'être craint de nos royaumes. Laisse-moi te conter cette histoire.
Et croire que je pensais à mal systématiquement, c’était franchement risible comme réaction. Pour quelqu’un qui se croit supérieur à tout l’univers, il accorde, quand même, assez d’attention à mes propos. Il n’avait toujours pas réagi pour ma famille et on continuait d’avancer et de m’éloigner d’eux. J’en conclue donc que je ne les verrais plus jamais.
Ce constat me compresse le cœur. Je me mords les lèvres pour ne pas pleurer. J’allais crever sur ce cheval sinon. J’étais défait. Je ne savais même plus comment m’exprimer. C’était ma personnalité. Il m’a pris mon corps, je ne comptais pas lui céder ce que je suis. Il balaie définitivement le sujet de ma fratrie. Et je comprends bien qu’il ne valait mieux pas que j’insiste à nouveau, sinon, j’allais connaitre la couleur de mes viscères. Je refreine un soupir, agacé et attristé.
Sujet de nos débats sur le tapis. Ben tiens, Monsieur avait la primeur de nos sujets. Mais je n’avais clairement pas envie d’en parler ici, quand bien même, notre environnement était bucolique. Mais bon, j’étais esclave. Obéir pour survivre, on mettra cette phrase sur ma tombe.
J’étais jetable, il venait de l’exprimer. Et ça me peine davantage. On avançait si lentement. Je m’efforce de répondre à ses questions, de toute façon, ce n’est pas comme s’il allait s’intéresser à autre chose. Mais l’exercice se montre encore plus périlleux quand mes joues rosissent.
- Je ne saurais vous l’explique correctement. Je ne peux nommer ce que je ne sais pas. L’humain stupide et faible que je suis, ne connait rien au fonctionnement du système reproductif. Je sais juste qu’on peut enfanter pour le reste, tout est mystère. Et ce que j’apprécie, je … C’est compliqué à définir ce qui n’est pas palpable, ce sont ses ressentis qui me raidissent, je ne sais pas comment cela se nomme. C’est déroutant. Comme si vous appuyez sur une terminaison nerveuse pour lancer une vague de bien-être qu’on ressent sans vraiment le ressentir. Je dois passer pour fou.
Je ne suis même pas certain qu’il comprenne de quoi je veux parlais. Je suppose qu’il n’a jamais été à ma place et comme, je ne peux rien savoir, je ne le saurais jamais. Cette relation me frustre. Elle n’est rien de ce que j’avais fomenté dans mon esprit. Mais devrais-je baisser les bras ?
- Ce n’est pas mon but de vous insulter. Je n’ai pas été élevé ainsi. Je ne demande qu’à comprendre comment un Sanguinaire fonctionne. Nous sommes en tous points opposés alors jamais, je ne vous jugerais. Mes excuses si ce fut votre ressenti.
C’est lui qui me torture et me menace à tout instant mais c’est moi qui ressens le besoin de m’excuser, c’est hallucinant.
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Dim 25 Oct - 13:49
Dagnir
J'ai 29 ans et je vis à Melehtë. Dans la vie, je suis roi et je m'en sors bien, vraiment bien même. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire, libre de ma vie et je le vis plutôt bien, trouver une épouse n'est vraiment pas ma priorité. .
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Je méditais sur ce qu'il me disait, essayant de comprendre ces paroles. Je voulais le comprendre un peu mieux. Ce garçon et ce peuple tout entier étaient un vrai mystère pour moi. Il semblait ne jamais vouloir se battre, pour rien, pas même pour sa vie ou sa liberté. Il acceptait les reproches, rentrait la tête et s'excusait platement. Je n'avais jamais connu quelqu'un d'aussi... soumis, docile, compliant. Etaient ils donc tous ainsi? Il me semblait l'avoir plus ou moins compris avec ce qu'il m'avait raconté et ce que je savais déjà avant de venir. Ils n'aimaient pas le conflit. Ils préféraient toujours trouver un compromis plutôt que d'affronter la personne en face et tant pis si ils sortaient perdant de cet arrangement, au moins le conflit avait été évité.
C'était l'inverse de ce que j'avais vécu. Ma vie n'avait été qu'une longue suite de bataille. Chaque jour était une véritable lutte. Je devais me battre, jour après jour, pour survivre. Je m'étais forgé ainsi, chaque épreuve que je surmontais me rendant un peu plus fort. Ce qui ne te tue pas te rend plus fort... je l'avais appris à la dure. Mais au final leur façon de faire, toujours se rabaisser, ne jamais se battre, n'avait servi à fabriquer des enfants faibles, sans aucune volonté, aucun désir de survivre. Il était si facile de les briser. Il avait suffi de peu de temps pour qu'il s'effondre, qu'il termine dans la léthargie dans laquelle je l'avais trouvé le matin même. Pas même un mois sans sortir de ma tente avait suffit à le détruire. Il fallait que je prenne garde. Je ne pouvais pas lui faire subir la même chose qu'aux autres. Il n'était pas de taille à le supporter. Il était faible, fragile. Si je voulais en profiter au maximum, je devais faire attention.
- Mais tu peux me poser des questions. J'y répondrais. Nous sommes seuls tous les deux. Ils sont trop loin derrière pour nous entendre. Nous allons chevaucher ainsi toute la journée. Nous avons tout le temps pour discuter.
Il fallait bien passer le temps. En temps général je chevauchais aux côtés d'Aegnor. Nous en profitions pour discuter du bon vieux temps, de notre jeunesse, des plus belles batailles que avions livrées, de nos meilleures fêtes. Mais j'avais décidé de faire une exception aujourd'hui et de passer ce moment avec le gamin. Puis n'avais je pas décidé de le ménager un peu plus afin de le garder plus longtemps?
- Ce que tu décris n'est pas ridicule. C'est le plaisir tout simplement. C'est difficile à expliquer et encore plus dur à faire comprendre à quelqu'un qui n'a jamais à ça, aux plaisirs de la chair. Pourtant... je me retrouve un peu dans ce que tu dis. Cette vague... qui grandit de plus en plus... que l'on éveille d'un simple toucher, d'une caresse à un endroit... une sensation... d'abord légère puis quand enfle petit à petit, qui grandit ensuite avant de nous submerger tout entier.
Je me retournais pour lui sourire avant d'arrêter mon cheval.
- Descends. Viens te mettre devant moi, je vais te montrer.
Je le laissais faire avant de me reculer sur ma selle pour lui laisser la place de monter devant. Je fis un bref à mes hommes derrière pour les rassurer avant de faire repartir ma monture. Je le serrais contre moi d'une main, tenant les rennes en même temps. Mon cheval était assez bien dressé pour que je puisse le mener même sans les mains. Alors ma main libre alla s'insinuer dans son pantalon. J'allais prendre sa virilité dans ma main avant de commencer à la caresser lentement. Je le gardais serrer contre moi, mes lèvres allant baiser délicatement son cou, murmurant sensuellement à son oreille.
- Laisse toi faire... laisse toi aller.... sens le plaisir qui monte petit à petit...
Je souris en le sentant se détendre petit à petit, durcir dans ma main...
- Comme ça oui...
Je souris davantage, appuyant un peu plus mes caresses. Il lui avait fallu un peu de temps pour se détendre mais je le sentais enfin se laisser aller dans mes bras. Le plaisir l'envahissait petit à petit, lui faisant oublier tout ce qu'il y avait autour de nous. Je ne m'arrêtais pas, mes caresses se faisant de plus en plus intense jusqu'à ce que je le sente se libérer dans ma main. Je déposais un dernier baiser dans son cou avant de retirer ma main, un petit sourire vainqueur sur les lèvres.
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Patate Douce
Dim 25 Oct - 14:25
Calion
J'ai 25 ans ans et je vis à Rainë, la Paisible. Dans la vie, je suistout le monde dans la Vie du royaumeet je m'en sors moyennement. Je ne sais pas quoi de ma vie. Sinon, grâce à ma chance, je crois que je suis célibataire au desespoir de mes parents et je le vis plutôt bien. Je ne sais comment me présenter. Mais mon destin n'était promis qu'à ma moitié et non, l'être craint de nos royaumes. Laisse-moi te conter cette histoire.
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Je crois que les décoctions font effet.
Le Roi Sanguinaire vient de faire un sourire et me parler plus que je ne l’aurais cru. Je suis entrain de perdre la tête. Je cligne des yeux plusieurs fois.
Véritablement choqué.
Il se comporte comme un être humain. J’aurais pu sourire en retour mais je préfère m’entrainer à avoir un visage neutre. Même s’il se radoucissait, je n’oubliais pas qu’il était mon envahisseur dans tous les sens du terme. Je découvre, tout de même, un poète. Ce comportement fait soulever un peu trop fort mon cœur. Et encore une sensation abjecte pour ce qu’il représentait pour mon pays.
Il me faut quelque seconde pour m’exécuter. Je ne sais pas ce qui m’attend mais je me place devant. Pourvu qu’il ne me demande pas de tenir les rênes, il reste de finir sur le cul et pas comme il le voudrait. Mais c’est un tout autre exercice qu’il m’inflige dans un premier temps. J’écarquille les yeux. Par tous les Dieux. Je sias que j’avais fait la même chose plus tôt mais plus discrètement et pas aussi intrusif.
Je deviens pivoine.
Je me raidis, gêné par sa main qui … Je gémis. Je plaque mes mains sur ma bouche. C’est moi qui viens de faire ça ? Ma respiration s’accélère. Bulle de Luxure qu’il tisse. Y’a quand même tout un régiment derrière nous, pour rappel. Je ferme les yeux. Je ne sais pas ce qui m’arrive. Ça gronde en moi. C’est cette sensation. Vague de chaleur, de bien-être mais insaisissable. Mon ventre se contracte. Trémolo dans ma voix. Je tente de me faire discret. Je me mords les lèvres. Comment être dans le contrôle quand un tel … Partenaire se comporte ainsi.
Dagn … Roi … Je … Vais ..
Ma tête rentre dans mes épaules. Je ne sais plus ce que je dis. Ma vue se brouille. Cette électricité me parcourt de la tête à pied. Je serre la main du Roi et un liquide jaillit. Je souffle bruyamment avant de me rendre compte de l’horreur que je venais de faire.
Je suis désolé, je ne voulais pas. Je ne sais pas ce qui s’est passé. Je suis désolé.
Je bredouille, je farfouille dans ma sacoche, à la recherche d’un tissu. Je lui tends, ne sachant plus où me mettre. J’aurais dû me laisser pousser les cheveux pour m’y cacher. C’est ce que je vais faire dès à présent. Je grimace, prêt à me faire violenter, ne sachant d’où le coup va partir.
Je .. Sais pas ce qu’est … Ce qui vient de sortir ? C’est dangereux ?
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Dim 25 Oct - 14:52
Dagnir
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Je devais reconnaitre que ça avait quelque chose d'assez jouissif à agir ainsi. Mes hommes étaient juste derrière nous le regard certainement fixé sur nous. Et il était là, tout contre moi, tremblant et gémissant de plaisir. J'aimais assez le voir perdre pied ainsi, se soumettre complètement au plaisir que je lui procurais. Tout cela rendait définitivement la balade beaucoup plus intéressante. Je le laissais venir dans ma main avant de la retirer, m'essuyant au passage sur son pantalon.
Je repris les rennes de mon cheval à deux mains, me concentrant sur le paysage le temps qu'il reprenne ses esprits.
Je suis désolé, je ne voulais pas. Je ne sais pas ce qui s’est passé. Je suis désolé.
Je levais les yeux au ciel en l'entendant parler ainsi. Je le préférais davantage quand il était entrain de gémir. De quoi s'excusait il au juste? C'était moi qui avait voulu lui faire du bien ainsi. J'avais voulu le faire venir là sur ce cheval, histoire de lui donner une petite leçon. Et j'aimais aussi beaucoup l'idée de le mettre mal à l'aise en le faisant faire ça avec mes hommes juste à côté.
Je .. Sais pas ce qu’est … Ce qui vient de sortir ? C’est dangereux ?
Mais là pour le coup j'explosais vraiment de rire. Passé les quelques instants où je l'avais fixé en me demandant si il se moquait de moi ou pas. Mais son air affolé alors qu'il regardait son membre devenu flasque suffit à me confirmer que non il ne plaisantait pas.
- Tes parents ne t'ont donc rien appris?
C'était absolument effrayant, que de voir l'étendue des choses qu'il ignorait en matière de sexe. C'était même surprenant qu'il y ait encore des enfants pour venir au monde dans leur pays quand on voyait le gouffre effrayant d'ignorance qu'ils avaient en matière de sexe. Par quel miracle aurait il réussi à mettre une fille enceinte alors que... il ne savait décidément rien de rien.
Je secouais doucement la tête, calmant mon fou rire, avant de lui répondre.
- C'est ta semence. C'est ce qui arrive quand tu prends du plaisir. Cette... vague dont on parlait. Elle monte, monte et finit par exploser. Et quand elle explose... et bien, ce que tu viens de faire, c'est tout simplement la manifestation physique de ce que tu ressens dans ton corps.
Je haussais vaguement les épaules. Ca avait toujours été évident pour moi. Je ne savais pas trop comment expliquer ces choses là. Ca m'avait toujours semblé logique. Et je n'avais jamais pensé à me préoccuper de tout ça avec mes enfants. Leur mère se chargerait de leur éducation et pour mes fils, j'aurais bien trouvé les mots le moment venu. Mais éduquer à ce point mes amants, je n'aurais jamais cru le faire.
- Maintenant dis moi, est ce que cela t'a plu au moins? Est ce que ça fait partie des choses agréables pour toi?
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Dim 25 Oct - 15:09
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Rire moqueur qui raisonne, bien trop fort, en moi. Moue boudeuse qui réalise l’étendue de son ignorance. Qu’importe, le savoir s’acquiert avec l’âge. Je me rassure ainsi pour ne pas me sentir encore plus idiot. Nous n’étions pas portés sur les plaisirs de la chaire. Pas tant que nous étions promis à une personne. Mais je peux aisément deviner que cela l’affolerait d’être pur pour un autre. On pouvait risquer le châtiment pour avoir gouté l’interdit avant le mariage.
Il m’explique. Un oh s’échappe de ma bouche. Et j’étais véritablement soulagé. C’était normal ! Je n’allais pas mourir. Que de mensonges entendus !! Je prends le temps de la réflexion, et j’avoue que ça me gêne de révéler la vérité. Étais-je entrain de trahir mon éducation ? Je vais devoir prier. Ça m’inquiète. Je ne pouvais pas remettre en cause tous mes principes, parce que je respirais contrairement à mes parents.
- Je vous mentirais de dire que ça me déplait. Cela reste une sensation étrange. C’est comme une houle qui ravage tout sur son chemin. Comme si, on ne pouvait lutter. C’est effrayant mais enivrant, je dois bien l’avouer. Et je peux dire que ce sentiment de bien-être fait partie des choses que j’aime bien. Mais, les Dieux ne vont pas nous châtier de n’être pas liés devant eux ? Quoi que … Est-ce qu’il existe des Dieux chez vous ? Le mariage existe ? Vous avez un harem ?
Et je redeviens le moulin à paroles, avide d’information pour mon nourrir mon carnet que j’ai bien trop longtemps délaissé. Tant de questions qui se bouscule dans ma tête, dont une plus qu’importante.
- Je ne sais pas trop si j’ai le droit de la poser et j’espère qu’elle ne vous mettra pas en colère. Je m’en excuse d’avance si cela vous offense mais … Vous avez déjà été à ma place pour être aussi adroit ?
Je retiens ma respiration. Pourquoi, je m’étais ma Vie en danger à chaque fois alors que tout allait pour le mieux ?
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Dim 25 Oct - 15:54
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Que des questions qu'il posait... mais je ne pouvais pas l'en blâmer. Je l'avais autorisé à en poser. Il fallait bien qu'on discute un peu, ça me permettait de faire passer le temps pendant que nous chevauchions vers notre destination. Le soleil montait de plus en plus haut dans le ciel. Midi approchait. Je fouillais dans mes sacoches avant de prendre deux rations de viande séchée et de lui en tendre une. Ca nous calerait un peu l'estomac en attendant de diner le soir venu.
Encore une fois je méditais ses paroles. Il semblait aimer ça, c'était déjà un bon point. Je me fichais de savoir si il prenait ou non du plaisir. Si il en prenait, tant mieux pour lui. Mais il y avait toujours cette fichue histoire de culpabilité vis à vis de ses dieux. Ridicule... aucun dieu ne me dicterait jamais ce que je ferais de ma vie et encore moins la façon dont je devais vivre celle ci.
- Nous avons un dieu oui. Un dieu de sang et de guerre. Il récompense les hommes qui se montrent braves sur le champ de bataille et puni les faibles. Il n'a que faire de ce que nous faisons de nos corps. Mais de toute façon je me fiche de savoir ce que les dieux peuvent penser de la façon dont j'ai choisi de vivre ma vie. J'ai décidé que je ne laisserais personne me dicter mes actes, dieu ou homme.
Je préférais mourir plutôt que de me soumettre à la volonté de qui que ce soit.
- On se marie oui. Mais ce n'est pas mon cas. Je préfère me concentrer sur mes conquêtes. Un jour peut être, je songerais à prendre femme pour assurer ma descendance. Pour le moment, je profite d'inviter qui me plait dans mon lit. Je n'ai pas vraiment de harem, juste des hommes et des femmes restant plus ou moins longtemps dans ma couche.
Pour le moment c'était lui mais ça pourrait changer à plus ou moins long terme. Je ne m'étais pas encore décidé.
- Et qu'entends tu exactement par être à ma place? Si tu parles d'être celui du dessous, celui qui se fait prendre, alors la réponse est non. Personne ne m'a pas possédé ainsi et personne ne le fera jamais. Mais j'ai eu suffisamment d'hommes et de femmes dans mon lit pour savoir comment prendre et donner du plaisir.
Je laissais mes mains repartir effleurer doucement son corps, ne touchant pas à sa virilité cette fois. Je voulais juste jouer avec lui, comme il l'avait fait un peu plus tôt.
- N'ai pas peur. Tu peux me demander ce que tu veux. Je ne te tuerais pas pour une question déplacée rassures toi.
Tant qu'il ne me parlait pas encore de son frère et de sa soeur, ça me convenait.
- Je trouve que c'est tellement du gâchis que tu ai attendu si longtemps pour te faire plaisir. Avec un corps comme le tien... tu devais en faire tourner des têtes dans ton pays.
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Dim 25 Oct - 16:38
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Sa façon de vivre est à l’opposé de la mienne. Bon, on avait un Dieu en commun mais ce sont eux qui régissent nos Vies, au travers des célébrations. Ça a toujours été. On vivait d’épreuves et de sérénité. Me savoir qu’il prenait sa Vie en main, ne me choque pas. Cela se voit, rien ne le fait plier. Telle la foudre, il frappe l’ennemi pour le foudroyer. J’avais presque de l’admiration pour cet homme. Mais j’aimais trop mes Dieux pour les abandonner. Ou probablement la peur de délaisser ce que je savais déjà.
Ça me serre le cœur de l’entendre dire que j’étais là, pour une courte durée. Qu’adviendra-t-il de moi après ? Me tuer. Je doute qu’il accepte de me laisser à une autre après ça. Pas de harem, c’est déjà des concurrents en moins. Pourquoi je pense comme ça ? Je secoue la tête. T’es un esclave Calion !
La discussion se poursuit et ça me plait. Il n’a jamais été à ma place. Et je doute qu’il le voudrait. Et puis même, qui voudrait embrocher un Roi autrement que par l’acier. Je crois que je pourrais plus le regarder dans les yeux. Mon cœur loupe – encore – un battement. Il vient de me faire un compliment là ? Mes joues se teintent. Je me comporte comme une donzelle avec son chevalier. Ça ne va pas du tout. C’est un tyran, qui m’a possédé de force. Ses caresses ramollissent mon esprit et m’hérisse l’épiderme. Reprends-toi Calion !
- Vous savez, quand on ne connait pas une sensation, on ne peut pas en devenir accro donc être en manque ou vouloir recommencer. Je ne me suis jamais sentie privé de ce genre de relation chaste. On a toujours appris que c’était un mari honorant sa femme, le moment venu. Et on apprend tout le fonctionnement à la veille du mariage. Et la première nuit se fait sous le regard des deux familles. Pour s’assurer que l’époux ne présente aucune anomalie. J’ai assisté deux fois, c’est assez malaisant. C’est bien pour cette intrusion dans l’intimité que j’ai toujours repoussé le mariage.
Je suppose que je ne le connaitrais jamais ce que ça fait d’être marié à présent. Je ne sais pas si je le regrette. Maintenant que mon destin ne m’appartient plus et je crois que je n’ai plus le droit de rêver à une indépendance. Je soupire avant de regarder devant moi. Profiter de chaque minute, c’est un bien étrange mode de Vie. Pas de planification ni de projets. Il m’a tout ôté et pourtant, je suis en train de gesticuler doucement sous ses mains. Je suis … Faible.
- Je ne sais pas si je faisais tourner des têtes, c’était le cadet de mes soucis. Je voulais acquérir des connaissances. Être riche du Savoir. Comment faire gémir une femme, n’était pas dans mes desseins. Mais le soir de votre … invasion Venue, je comptais trouver une future épouse. Mes parents comptaient là-dessus. Je suppose que je vais devoir faire une croix, définitivement, sur ma mie. J’ai encore une question. Vous aviez quel âge, quand vous avez gouté à la chair pour savoir être … Comme vous êtes.
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Dim 25 Oct - 17:20
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Je ne comprenais décidément rien à ce peuple. Ils avaient des pratiques tellement étranges, tellement peu logiques. Je ne comprendrais jamais le principe de se livrer à des sacrifices humains. Gâcher ainsi des vies qui avaient de la valeur me semblait tellement stupide. Et quand je les prenais pour des prudes, des personnes vivant beaucoup trop chastement, que je m'interrogeais sur leur reproduction. Ils parvenaient à me surprendre en jouant les voyeurs au mariage de leurs enfants. J'allais certainement abandonner toute idée de trouver une raisonnement logique à ces personnes.
Il fallait croire que oui, j'avais légèrement bousculé ses plans en envahissant son pays. Je ne comptais pas le laisser prendre un jour une épouse. Il était à moi désormais. Jamais je ne le laisserais partir, encore moins pour aller prendre une femme ailleurs et vivre sa petite vie tranquille.
Je secouais la tête en pensant à leurs pratiques.
- Vous êtes un peuple décidément très étrange. Vous jouez les prudes, refusez d'avoir des relations charnelles avant le mariage. Mais en même temps vous vous livrez à des séances de voyeurisme. Je comprends que ça t'ai mis mal à l'aise. Je ne suis pas un voyeur non plus. Je préfère grandement pouvoir participer. Oh il y a des voyeurs aussi dans mon pays. Mais en général si j'en surprends un alors que je ne l'ai pas autorisé, je lui donne ses couilles à bouffer.
Bien sur il m'était arrivé plus d'une fois d'être à une soirée qui dégénérait en orgie. Dans ces moments là il y en avait toujours pour se contenter de regarder, se faisant du bien seul. Ils me dégoutaient bien sur mais je ne disais rien. J'avais beaucoup mieux à faire en général dans ces moments là. Mais on m'avait déjà espionné dans ma tente, et les rares personnes à avoir fait ça l'avaient regretté. Ils avaient réellement bouffé leurs couilles.
- Au moins je t'ai épargné l'épreuve de devoir copuler pour la première fois devant tes parents.
Je laissais échapper un petit rire alors que mes mains continuaient de le caresser. Je les remontais sous sa chemise, caressant la peau nue de son ventre. Mes lèvres repartirent dans son cou, mordillant légèrement sa peau.
- Et j'aime assez l'idée d'être celui qui t'éveille à ce genre de plaisir. Je te promets que jamais personne ne viendra nous regarder.
Je le gardais pour moi. Je n'avais aucune envie de partager mes jouets. En général, ceux avec qui je couchais à plusieurs n'avaient pas la moindre importance ou le moindre intérêt pour moi.
- J'avais quinze ans. Une esclave que mon père avait envoyé pour ça, pour qu'elle m'apprenne.
Et j'avais eu la sottise d'en tomber amoureux. J'avais cru que parce qu'elle me portait de l'attention elle avait des sentiments pour moi. Mais j'avais fini par comprendre qu'elle n'était qu'une pute. Je l'avais surprise un jour sortant de la cuisine, le cuisinier sortant après elle en remontant son pantalon. Elle me trompait. Pas même avec un homme d'un rang équivalent au mien. Non, elle s'était vendu au premier venu. Alors le soir quand elle était venue dans ma chambre, qu'elle avait recommencé à me murmurer des mots doux, je l'avais laissé faire. Je l'avais possédé, la laissant hurler de plaisir, ou le simuler. Puis alors qu'elle me regardait en souriant, je l'avais transpercé de mon poignard. Je l'avais regardé alors que la vie la quittait, qu'elle perdait son sourire. Je m'étais baigné dans son sang, me délectant de son dernier regard.
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Univers fétiche : Réaliste, Fantastique.
Préférence de jeu : Homme
Patate Douce
Dim 25 Oct - 18:03
Calion
J'ai 25 ans ans et je vis à Rainë, la Paisible. Dans la vie, je suistout le monde dans la Vie du royaumeet je m'en sors moyennement. Je ne sais pas quoi de ma vie. Sinon, grâce à ma chance, je crois que je suis célibataire au desespoir de mes parents et je le vis plutôt bien. Je ne sais comment me présenter. Mais mon destin n'était promis qu'à ma moitié et non, l'être craint de nos royaumes. Laisse-moi te conter cette histoire.
Gijs Blom by Blimey! on Bazzart
Je ne sais plus quoi penser lorsqu’il se confie à moi, tout en me caressant. Je sens mon corps gesticuler. Comme s’il attendait plus. Tentant de faire frôler sa main contre mon entrejambe. Je me transforme en chienne en chaleur. C’est infâme. C’est frustrant et grisant. Je voulais me libérer de cet étau qui ceignait mon bas ventre. De simples caresses pour embraser mon être. Les minutes passent mais je n’arrive plus à l’écouter. Je suis bien trop concentré sur ses mains tentatrices. Je retiens juste quinze et esclave. J’ai chaud. Affreusement chaud. Je me sens étroit. Reprends-toi, tu n’es pas une bestiole. Tes dieux vont te punir. Je me flagelle mentalement. J’avais honte. Honte de ce désir pour l’envahisseur.
Il se confiait à moi, et voilà que je papillonne, faisant des actes obscènes en sa compagnie. Trouble perçu, il me le confirme en murmurant dans mon oreille. Qu’il me libère de ce mal pardi ! Il ne cesse de frôler mon intimité. Ça m’énerve. J’attends plus. Je souffle d’agacement. Il s’amuse. Et je quémande pour le moment silencieusement. Je ferme les yeux, pour me reprendre. Je suis un être humain, réfléchi, en quête de savoirs.
- Elle est devenue quoi cette esclave ? Elle vient toujours dans votre lit ?
Je le questionne plus sèchement, bouche pâteuse. Je réclame de l’eau. Je me plains d’une chaleur que seul moi pouvait ressentir. Ce n’était pas normal de torturer les gens de la sorte. Je me concentre pour continuer la conversation.
- Et à quel âge, êtes-vous dirigé vers les hommes ? Cela s’est fait naturellement ? Vous n'avez aucune préférence entre les deux genres ?
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Hold me, Thrill me, Kiss me, Kill me ft. Patate Douce