Find your soul before you find your soulmate || Patate Douce
Messages : 547
Date d'inscription : 10/10/2019
Région : IDF
Crédits : Pop-Gun
Univers fétiche : Fantasy / Réel
Préférence de jeu : Les deux
Maddy'n
Ven 18 Nov - 13:57
Lucina Makinen
J'ai 31 ans et je vis à Helsinki, Finlande. Dans la vie, je suis rédactrice en chef d’un magazine de mode et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, à cause de mon travail, je suis célibataire et je le vis bien, n’ayant pas le temps pour ces inepties, me contentant du plaisir brut des relations physiques.
Spoiler:
+ Elle est Alpha. + Elle a trois petits frères, et un grand. + Elle est née d’un père finlandais et d’une mère bolivienne. + Deux de ses frères sont Oméga.+ Elle parle couramment finlandais, espagnol, anglais et italien.+ Sa marque se trouve en haut de sa cuisse droite. + Les mots qui sont inscrits sur sa peau signifient " Et ce que l'amour peut faire, l'amour ose le tenter ". + Elle est du genre acharnée, notamment dans son travail. + Malgré la pression, elle est toujours célibataire, n’arrivant pas à concilier travail et vie sentimentale. + Sa marque a changé il y a environ 4 ans, la rendant encore plus irritable.
Les semaines sont passées depuis notre réconciliation avec Aaron. Des semaines à la fois douce, mais en même temps, étranges. Il est resté ici avec moi, un peu par la force des choses, donnant l’impression de vivre comme un couple alors que nous n’en étions pas un. Rien n’avait été officialisé, et des discussions étaient restées en suspens. Je ne sais pas ce que nous étions mais une chose était certaine, nous n’étions plus des inconnus. Pourtant, il était temps de ramener de l’ordre dans cette relation, et de prendre un peu de distance pour notre bien à tous les deux. J’accuse donc l’annonce ce matin-là sans vraiment un mot, juste avec un regard froncé alors que je sirote mon thé. Il aurait au moins pu y mettre les formes, mais la décision n’était pas des plus insensée. Après tout, je voyais bien qu’il ne se sentait pas vraiment chez lui ici, quand à moi, j’avais du mal à dire adieu à cette indépendance teintée de solitude dans laquelle j’avais vécu si longtemps. Et puis il y avait tous ces petits détails que je me réjouissais déjà de ne plus voir, comme les notifications de la part de Nela lorsque celle-ci lui envoie un message, ou le voir partir chaque matin pour le club alors que je sais de quelle façon il y travaillait encore quelques semaines plus tôt. Ces petites choses qui ne me manqueraient pas, contrairement à la présence de l’homme, que je suppose, aurait l’occasion de voir de bien d’autres façons pour compenser. J’espère… Le doute m'envahit soudainement lorsque ses lèvres se déposent sur ma tempe. Avais-je loupé des signes plus importants ? Ce déménagement annonçait-il plus que ce que j’avais voulu voir jusqu’à maintenant ? Impossible. Je chasse les doutes, volontée de lui faire confiance avant tout. C’était juste trop rapide pour véritablement emménager ensemble, et maintenant que sa convalescence était finie, il voulait juste reprendre le cours de sa vie.
Ma journée ressemble à toutes les autres bien que toutes les lèvres soient animées par un seul et même sujet : le gala. Un évènement incontournable pour toutes les hautes sphères du pays, un évènement auquel je ne peux me permettre d’échapper vu ma position dans la société, et surtout, un évènement auquel, pour la première fois, j’allais être accompagnée. Je ne sais pas bien ce qui m’est passé par la tête à ce moment là, mais j’avais invité Aaron à être mon cavalier alors que la soirée allait certainement rassembler tout ce qu’il détestait : des Alphas, le luxe et l’opulence, mais aussi l’hypocrisie et les faux semblants. Mais les choses avaient changé dans ma vie, et je suppose qu’il fallait bien un jour où j’allais devoir introduire Aaron comme mon compagnon, ou comme quelqu’un de suffisamment important pour partager ma vie d’une façon ou d’une autre. Mon âme-soeur.
En rentrant chez moi, j’apprécie l’agréable surprise de le voir déambuler nu pour m’accueillir, le laisse promener ses mains sur mon corps cherchant presque à en obtenir plus. « Comme les autres, si ce n’est que tout le monde ne parle que de ce soir, des invités prestigieux qui seront présents, et des tenues somptueuses qu’iels vont porter. J’avais presque l’impression d’y être déjà. » Car les discussions étaient vides et plates, et d’un ennui mortel. Mais la vraie soirée n’avait pas encore commencé. Sous les ordres d’Aaron, je pars me doucher, déjà dévêtue lorsque je rentre dans la salle d’eau. De la même façon que j’en ressors. Tenue d’Eve qui, pour mon plus grand plaisir, fait toujours son effet sur Aaron et nous permet d’évacuer la pression alors que cette soirée s’annonce intense. Devant le miroir, je prends le temps de réajuster mes cheveux et vérifier que je suis irréprochable alors qu’Aaron me questionne sur les règles de la soirée. Je fais volte face, m’approchant de lui pour ajuster le col de sa chemise avant de saisir son menton entre mes doigts. « Premièrement, tu ne fous ta tête, tes mains ou ta queue entre aucune cuisses, si ce ne sont les miennes. Ensuite, tu n’insultes et ne te bats avec personne. Beaucoup de personnes vont se questionner sur nous, sur toi, vont chercher à fouiller, à trouver la faille. Tu entendras peut-être des personnes m’insulter, répandre des rumeurs à mon sujet. Je compte sur toi pour être plus malin qu’eux Aaron. Je sais que tu en es largement capable, alors s’il te plait, soit juste au dessus de ça. Et si jamais tu sens que la pression monte trop… Je sais parfaitement où je pourrais t’aider à la soulager, d’accord ? » Des règles arbitraires, que je décide de clarifier avec lui s’il ne veut pas s’attirer mes foudres. Si les choses venaient à virer au drame ce soir, les conséquences sur ma carrière pourraient en être dramatiques. Ma main glisse sur le torse d’Aaron alors que je viens l’embrasser avec fougue. « T’es sublime comme ça. Allez, on y va avant que je ne te réclame un nouveau round. » Parce que clairement, il provoquait des choses à être habillé aussi élégamment.
Une voiture dépêchée pour la soirée afin d'éviter un retour possiblement alcoolisé, nous sommes conduits en quelques minutes jusqu’au palais présidentiel accueillant la réception. Je viens voler un nouveau baiser à Aaron avant de descendre de la voiture avec l’aide du voiturier. « J’espère que tu es prêt à te faire reluquer de haut en bas. » Bras dessus bras dessous, c’est ensemble que nous faisons notre entrée, attirant sur nous bon nombre de regards, pour la plupart curieux, pour certains, envieux. Le show commençait maintenant. Comme je lui avais annoncé, les regards ne tardent pas à se braquer sur nous, lourds d'interrogations. Un serveur passant près de nous, j'attrape deux coupes de champagnes pour en offrir une à Aaron avec un léger sourire et trinquer avec lui. « A cette charmante soirée qui s'annonce. Et le début des problèmes... » Mon verre tinte contre le sien, et je viens en boire rapidement une gorgée en apercevant mon boss, Mr Vertensen accompagné du directeur du Helsingin Sanomat, Mr Erkko, qui se dirige vers nous. Je me pare de mon plus beau sourire alors qu'il nous - ou plutôt me - saluent. « Lucina... Je commençais presque à m'inquiéter qu'il vous soit arrivé quelque chose. Mais c'est parce que je ne m'attendais pas à ce que vous veniez accompagnée. » Curiosité loin d'être subtile, je me prête néanmoins au jeu, restant polie avant tout, même si je sais très bien pourquoi ces deux là s'inquiète que je sois accompagnée. « Je vous présente Aaron, mon... petit-ami. » Hésitation d'une demi-seconde sur le mot choisi pour le qualifier. Peut-être qu'on aurait dû en discuter avant le début de la soirée. Tous les deux le saluent d'une main tendue poliment. « J'espère que votre compagnon ne m'en voudra pas si je vous enlève à lui un peu plus tard dans la soirée. J'ai une offre à vous faire, et j'espérais que vous seriez ce soir plus encline à l'écouter. Les occasions pour vous voir se font désormais de plus en plus rares... » Je regarde Aaron, priant intérieurement pour que, malgré ce que je lui ais dis plus tôt, s'impose et marque un peu de possessivité entre nous. Un troisième homme vient se joindre à nous, co-dirigeant le groupe Sanoma avec Mr Erkko. « Espère t-on vraiment intégrer cette grognasse dans nos rangs ? » Je me force à paraître impassible, affiche un léger sourire sur les lèvres. « Toujours aussi charmant Gunnar. Si vous permettez, nous n'avons pas encore eu l'occasion de saluer nos hôtes. » Que j'affirme poliment pour nous trouver une excuse pour nous éloigner de ces trois là.
Messages : 725
Date d'inscription : 25/10/2019
Région : Basse-Normandie
Crédits : idk
Univers fétiche : Réaliste, Fantastique.
Préférence de jeu : Homme
Patate Douce
Sam 17 Déc - 18:16
Aaron 'Shadow' Taylor
J'ai 30 ans et je vis à Helsinki, Finlande. Dans la vie, je suis ta distraction et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, à grâce de mon travail, je suis à tous ceux qui paient au prix fort et je survis. Enterrant mes espoirs dans ton verre. Ce que tu dois savoir ? Tu paies. Je m'execute. Tu paies. Je te livre. Je sniffe tes billets. Tu te crois au Paradis et ça s'arrête là. Mes proches me connaissent sous le nom d'Aaron Taylor. Et pensent que je passe mon temps à livrer des colis en tout gens. Ah oui, j'allais oublier ! Dans ce bas monde, j'ai été marqué de cette phrase qui m'est si chère : Qui dit art, dit mensonge Stephen James (here)
Spoiler:
Lovely babymamma. Nela.
Mookie. Le Binome.
Maquerelle. La bourse centrale.
Ne pas faire de vagues est le mot d'ordre. Mais je savais à quel point, les femmes Alpha n'étaient pas considérées comme égal des hommes Alpha. Déjà que la race Alpha est une infamie ambulante, ça se bute aussi entre elleux. Mais la dame avait parlé, je me dois d'être calme. Je la suis comme l'Omega bien éduqué. Je ne baisserais certainement pas la tête, quoi qu'il arrive.
J'ai déjà envie d'arracher des têtes quand j'en vois certaines arriver. J'écoute, je souris à l'appellation que me donne Lucina et hoche la tête avant de serrer rapidement les mains qu'on me tend. Pas de vagues.Si ça me dérange sale connard mais je peux pas te le dire. Je ne réagis pas pour autant, vu que de toute façon, on s'en moque de mon avis. Que du paraitre. Mais le visage se mue rapidement à la dernière personne qui se joint à nous, et devient désagréable. Le sourire se perd bien vite. Mais ça me fait rire. Ce monde si petit. Je fais un pas vers .. notre commun ami demandant une mise à l'écart surprenant tout le monde mais qu'importe je devais agir.
Je m'approche de son oreille, et murmure. - C'est toujours un plaisir de te revoir Luke. Mais je n'apprécie guère que tu puisses parler de ma .. petite amie de la sorte. Il serait bon ton, que tu deviennes plus agréable. Pour rappel, c'est moi qui te fait couiner pour que tu puisses évacuer la pression et te montrer digne à tes réunions, tu as beau te déverser dans ma bouche, c'est dans ton cul que je le fais. Et même si, personne ne pourrait me croire, juste un seul et unique doute suffira pour faire vaciller ta réputation. J'apprécierais qu'on continue de pouvoir s'entendre encore un peu, toi et moi. Je me recule, lissant sa veste et lui offrant un sublime sourire avant de retourner vers Lucina et enserrer sa taille de mon bras. - Ca ne vous dérange pas, nous allons donc saluer nos hôtes. Et sans laisser à quiconque de nous interrompre, j'emporte ma belle murmurant un pose pas de questions, tandis que je glisse une main sur ses fesses, et la laisse nous emmener où elle le voudrait. - Je ne sais pas si je vais tenir longtemps, avec tous ces clients et clientes autour. Si elle voulait se servir de cette info, c'était cadeau.
Messages : 547
Date d'inscription : 10/10/2019
Région : IDF
Crédits : Pop-Gun
Univers fétiche : Fantasy / Réel
Préférence de jeu : Les deux
Maddy'n
Sam 21 Jan - 17:09
Lucina Makinen
J'ai 31 ans et je vis à Helsinki, Finlande. Dans la vie, je suis rédactrice en chef d’un magazine de mode et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, à cause de mon travail, je suis célibataire et je le vis bien, n’ayant pas le temps pour ces inepties, me contentant du plaisir brut des relations physiques.
Spoiler:
+ Elle est Alpha. + Elle a trois petits frères, et un grand. + Elle est née d’un père finlandais et d’une mère bolivienne. + Deux de ses frères sont Oméga.+ Elle parle couramment finlandais, espagnol, anglais et italien.+ Sa marque se trouve en haut de sa cuisse droite. + Les mots qui sont inscrits sur sa peau signifient " Et ce que l'amour peut faire, l'amour ose le tenter ". + Elle est du genre acharnée, notamment dans son travail. + Malgré la pression, elle est toujours célibataire, n’arrivant pas à concilier travail et vie sentimentale. + Sa marque a changé il y a environ 4 ans, la rendant encore plus irritable.
Le lieu de réception est sublime et pourtant, il ne m’évoque qu’un seul autre endroit : l’enfer. Celui du paraître, celui de la pression sociale et de tout ce qui l’accompagne. Ici, impossible de n’être que moi, Lucina Makinen, impossible de n’être qu’une femme, comme il y en a des milliards d’autres sur cette planète. Ici, je suis une proie, une Alpha. Celle à détruire, celle à posséder. Autant aimée que détestée par tous ces Alphas présents. Malheureusement, je ne peux échapper à ces soirées, ne serait-ce que pour des raisons professionnelles. Ce soir, c’était aussi l’occasion de montrer que la place que j’occupais n’était pas la mienne pour rien. Elle l’était parce que je m’en étais donné les moyens, parce que j’avais bataillé pour. C’est un étrange mélange de dualité qui opère lors de ces réceptions mais je me devais de faire avec.
Aaron à mes côtés, je tente de me convaincre que cette soirée sera moins pire que les autres, grâce à lui. Après tout, sa proximité provoquait ce sentiment de légèreté dans mon âme. Il avait remplacé la mélancolie et la colère par une forme d’apaisement et de douceur imperceptible. De quoi peut-être changer la donne pour cette soirée, et pour toutes celles à venir. S’il acceptait de m’y accompagner le reste du temps.. Pas sûre vu comment certains autres invités le prennent rapidement de haut, même en le voyant accroché à mon bras. Même en sachant qu’il est mon petit-ami. Arrivent-ils seulement à le croire ? Certains, probablement, d’autres, jamais. Car moi aussi je comprends, en voyant Aaron initier un aparté avec le dernier des hommes arrivés, que sa réputation le précède ici aussi. Et j’aurais dû m'en douter. La salle était remplie d’Alpha, plus affamés encore que des requins, je n’aurais pas dû être surprise qu’ils aient déjà succombé au charme de l’Oméga par le passé. « Votre compagnon semble déjà avoir de nombreux contacts malgré ses premiers pas officiels dans la haute société. Même si ce ne sont pas des “contacts” conventionnels. » Un rictus se dessine sur le visage de Mr Erkko, me poussant à froncer le regard à son égard. « Peut-être pourrais-je avoir une proposition à lui faire à lui aussi. » Je me pince les lèvres pour retenir toute insulte liée à ma possessivité. J’étais déjà obligée de le partager avec sa (ex)-fiancée, les autres allaient devoir renoncer à leurs ardeurs. « Vous pouvez toujours perdre votre temps si ça vous amuse, la réponse restera non. » Pour moi, pour Aaron, et ce qu’importe les propositions qu’il aurait à nous faire. Heureusement, la discussion coupe court lorsque Aaron revient vers nous, m’attirant contre lui, prétextant devoir saluer nos hôtes pour nous éloigner. Et sans discuter, je suis, traversant la tête haute la salle, échangeant sur un plateau ma coupe vide - oui, déjà - par une autre. « Et moi donc… Visiblement, tout le monde sait déjà que mon “petit-ami” est un ancien prostitué et certains commencent déjà à me faire comprendre ce qu’ils te veulent… » Une belle soirée en perspective, à le regarder se faire draguer sous mon nez. « Tu refuses toutes les propositions Aaron, sinon on va se retrouver au milieu d’une orgie sans comprendre pourquoi ni comment. » Parce que je savais très bien comment ça allait se finir. « Bon, et quitte à maintenant savoir que tu as baisé la moitié de la salle, y a des informations importantes que je dois savoir sur certain.es ? Parce je t’avoue que je ne serais pas contre faire taire définitivement certains d’entre eux, comme Luke. » Parce que je subissais ses insultes depuis bien trop longtemps, monsieur se pensant intouchable.
Messages : 725
Date d'inscription : 25/10/2019
Région : Basse-Normandie
Crédits : idk
Univers fétiche : Réaliste, Fantastique.
Préférence de jeu : Homme
Patate Douce
Dim 19 Mar - 3:28
Aaron 'Shadow' Taylor
J'ai 30 ans et je vis à Helsinki, Finlande. Dans la vie, je suis ta distraction et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, à grâce de mon travail, je suis à tous ceux qui paient au prix fort et je survis. Enterrant mes espoirs dans ton verre. Ce que tu dois savoir ? Tu paies. Je m'execute. Tu paies. Je te livre. Je sniffe tes billets. Tu te crois au Paradis et ça s'arrête là. Mes proches me connaissent sous le nom d'Aaron Taylor. Et pensent que je passe mon temps à livrer des colis en tout gens. Ah oui, j'allais oublier ! Dans ce bas monde, j'ai été marqué de cette phrase qui m'est si chère : Qui dit art, dit mensonge Stephen James (here)
Spoiler:
Lovely babymamma. Nela.
Mookie. Le Binome.
Maquerelle. La bourse centrale.
Je n'aime pas cet endroit. Il pue la supériorité. Il pue ces hypocrites. Il pue la quête de cul, et d'écraser toujours plus faible. Le visage reste stoïque. Chaque regard en dit long sur leurs intentions. Merdiques comme toujours. Posséder ou se faire posséder. C'est ce que crie leur visage. Et moi, je suis là dans cette fourmilière. J'écoute Madame, hochant la tête, à une autre consigne. Encore. Ca me fait rire. Parce que oui, ça finira mal mais on sera déjà parti. Loin. Je ne sais pas où exactement mais clairement pas dans cet amas de pourritures.
Ma tête pivote, et je la regarde, un peu désabusé mais je reprends contenance, souriant doucement. - Je suis ton petit ami ou ton indic ? Parce que je comprends que tu veuilles avec la main sur ces gros porcs mais je suis quoi là ? Ton outil ou ton mec ? Effectivement, j'ai blinde d'informations. Que je ne te partagerais pas parce que même si je suis un ancien prostitué selon toi, j'ai une éthique et une confidentialité à respecter. Je ne vais pas m'en aller pour ne pas te mettre dans la merde. Mais je te conseille pas de recommencer. A la rigueur, tu me dis qui attaquer et je le fais à ma façon. Ce que je sais, ne sortira pas de ma bouche. Je veux bien être ton bras armé mais pas ta pute Madame Makinen. Est-ce compris ? Je me rapproche d'elle, attrapant son menton, venant l'embrasser pour éteindre toutes rumeurs nous concernant.
Personne ne sait à quel point, elle venait d'avoir un plus grand prédateur que ses collègues. J'ai mes limites mais je les tiens tout autant par les couilles. Aucun ne lui manquera de respect, et j'agirais si elle m'en donne l'ordre. - Mais si je peux te donner un conseil, tu es chez les Alpha, si tu veux montrer à qui j'appartiens, ça ne dépend que de toi. Je ne suis qu'un simple oméga. Je .. t'appartiens. Au sens propre, comme au figuré. M'oblige pas à te donner un orgasme devant tout le monde. Ce n'est pas ce qui me dérangerait. Redresse le menton et imposte toi. T'as un cul parfait.
Messages : 547
Date d'inscription : 10/10/2019
Région : IDF
Crédits : Pop-Gun
Univers fétiche : Fantasy / Réel
Préférence de jeu : Les deux
Maddy'n
Lun 10 Avr - 21:17
Lucina Makinen
J'ai 31 ans et je vis à Helsinki, Finlande. Dans la vie, je suis rédactrice en chef d’un magazine de mode et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, à cause de mon travail, je suis célibataire et je le vis bien, n’ayant pas le temps pour ces inepties, me contentant du plaisir brut des relations physiques.
Spoiler:
+ Elle est Alpha. + Elle a trois petits frères, et un grand. + Elle est née d’un père finlandais et d’une mère bolivienne. + Deux de ses frères sont Oméga.+ Elle parle couramment finlandais, espagnol, anglais et italien.+ Sa marque se trouve en haut de sa cuisse droite. + Les mots qui sont inscrits sur sa peau signifient " Et ce que l'amour peut faire, l'amour ose le tenter ". + Elle est du genre acharnée, notamment dans son travail. + Malgré la pression, elle est toujours célibataire, n’arrivant pas à concilier travail et vie sentimentale. + Sa marque a changé il y a environ 4 ans, la rendant encore plus irritable.
C’est une réalité alternative qui se dessine tout autour de nous. Une réalité dans laquelle chacun joue un rôle à la perfection. Les Alphas sont des Alphas, et les Omegas des Omegas. Comme tous, Aaron et moi jouons nos rôles à la perfection, ou presque. J'avais déjà du mal à tenir ce rôle en temps normal, et ça devenait encore plus compliqué avec tous ces charognards autour d'Aaron. J'aurais dû me douter qu'il ne serait pas inconnu à tous, mais quoiqu'il en soit, j'aurais été loin d'imaginer cette avalanche de sous entendus et de regards lubriques adressés en sa direction. Je commence à être en proie à l'inquiétude, et ce n'est pas un bon signe. Encore moins ici. Surtout pas ici. Heureusement pour moi, Aaron maîtrise très bien la situation, ne me laisse pas la possibilité de faiblir. Ni de faire la moindre connerie. « Il me semble que tu n'es réellement ni l'un ni l'autre. » J’ironise un peu, mais ça aussi, ça fait partie du jeu. On n'en avait toujours pas parlé et si toute la soirée j'allais prétendre être celle qui partageait sa vie, la réalité était quelque peu différente. Malgré tout, je saisissais bien le message qu’il tentait de me faire passer. Je n’étais pas là pour courber l’échine, ni pour le traiter comme tous les autres le traitaient. Il était ma moitié, mon égal, et je devais le traiter comme tel. Ses lèvres qui s’écrasent contre les miennes, je ne me fais pas prier pour lui rendre son baiser, à la vue de tous. Tout le monde allait devoir se plier à une règle simple: Aaron était à moi désormais. Le regard dans le sien, se glisse un pouce sur le bord de ses lèvres pour effacer une légère marque de rouge à lèvres, restée sur les siennes. « C’est on ne peut plus clair même. » Je continue de l’écouter, hoche la tête à ses propos. « C’est peut-être moi qui devrait te donner un orgasme devant tout le monde pour qu’ils comprennent. » Un sourire vient étirer mes lèvres. Aucun doute, il m’a redonné la pêche pour le reste de la soirée. Mes mains s’attardent encore sur son corps lorsqu’un toussotement nous rappelle à l’ordre.« Si on vous dérange, dites-le, on vous laisse. » Je souris en apercevant Roy, qui semble dépité d’être là. « Un peu, mais tant pis, on se trouvera une chambre ailleurs. » Je remets une distance raisonnable entre Aaron et moi avant de me tourner vers mon frère. « On peut faire quelque chose pour toi ? » Il opine du chef. « Etant donné que les dons reviendront à une association qui milite pour l’éducation des jeunes filles à travers le monde, le maire aimerait que ce soit toi qui annonce le montant total des dons à la fin de la soirée. » Je fronce le regard, un peu sceptique face à cette annonce. « Je ne sais pas si on tiendra jusque là. » Son regard se fait plus intense. « Il faudra, car ce n’est pas vraiment une demande. » Autrement dit, je n’avais pas le choix et tout le monde ici s’attendait à ce que je le fasse. Par dépit, je hoche la tête avant de reporter mon attention sur Aaron. « J’espère que tu es prêt pour une longue soirée. Car on n'est visiblement pas prêt de rentrer. » Je viens l’embrasser doucement avant de glisser mes lèvres à son oreille. « Mais si tu as besoin d’un regain d’énergie, on peut s’arranger ça.» Le sous-entendu est évident, et bien que la soirée ne venait de commencer, j’avais du mal à résister à son charme dans cet environnement.
Messages : 725
Date d'inscription : 25/10/2019
Région : Basse-Normandie
Crédits : idk
Univers fétiche : Réaliste, Fantastique.
Préférence de jeu : Homme
Patate Douce
Sam 19 Aoû - 20:36
Aaron 'Shadow' Taylor
J'ai 30 ans et je vis à Helsinki, Finlande. Dans la vie, je suis ta distraction et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, à grâce de mon travail, je suis à tous ceux qui paient au prix fort et je survis. Enterrant mes espoirs dans ton verre. Ce que tu dois savoir ? Tu paies. Je m'execute. Tu paies. Je te livre. Je sniffe tes billets. Tu te crois au Paradis et ça s'arrête là. Mes proches me connaissent sous le nom d'Aaron Taylor. Et pensent que je passe mon temps à livrer des colis en tout gens. Ah oui, j'allais oublier ! Dans ce bas monde, j'ai été marqué de cette phrase qui m'est si chère : Qui dit art, dit mensonge Stephen James (here)
Spoiler:
Lovely babymamma. Nela.
Mookie. Le Binome.
Maquerelle. La bourse centrale.
- Je retiens que je ne suis pas ton petit ami. Tu ironises mais tu perds un bout de ton sourire. Parce que cette étiquette ne te dérangeait pas tant que cela. Et tu pouvais même t'en accommoder et te présenter de la sorte à qui voulait bien y croire. C'est peut-être le plus étrange que tu puisses l'accepter d'ailleurs. Enfin bon, les termes sont clairs pour Lucina : tu n'es rien. Tu gardes cette désillusion pour toi. Tu ne pouvais pas flancher dans cette fosse aux lions.
Elle est en proie à l'angoisse, tu peux le ressentir dans tes veines. T'es prêt à jouer son armure pour elle, et l'Alpha s'il le faut. Tu pues l'Omega mais t'as l'âme de ces batards. T'en as baisé suffisamment pour les tabasser dans leur propre cours. Maintenant que t'avais éclairci la situation, vous deviez mener le change. Ca te gavait franchement de perdre ton temps ici. De voir des visages qui t'ont possédé ou inversement, que tu as souillé selon leurs désirs. Mais c'est aussi ce qui te plait. Bien des gens coincés dans leur froc sont se mis à chialer avec toi. Et ca t'anime de plus belle. Et ton moment favori, c'est quand tes iris croisent les leurs et blêmissent quelques secondes. Vas-tu ouvrir ta grande gueule ? Jamais, tu respectes les règles du club. Et tu comptais bien y retourner de surcroit. Fallait juste prévenir la dame présente à tes côtés.
- Je ne veux pas d'une chambre moi que tu lances, tout en dévisageant l'homme qui vous a interrompit. Puis ton visage te radoucit en réalisant qui c'était. Tu fais une moue faussement boudeuse. Tu te mords la langue durement quand tu apprends que vous étiez coincé.es jusqu'à l'annonce des dons. Tu te fais violence pour ne pas t'en prendre à son frangin. Il n'y était pour rien. Tu glisses tes mains dans tes poches, jouant avec un briquet dedans. Une aide refuge quand tu commençais à t'agacer. T'avais envie de provoquer. Mais tu avais interdiction de faire grabuge. Tu voulais pas mettre Lucina dans la merde à cause de ton caractère. Mais que faire pour t'occuper dans ce cas ?
C'est ta moitié "ni l'un ni l'autre" - oui tu l'as dans la gorge, maintenant - qui te donne une solution. - Canalise moi, je vais éclater. C'est comme un appel à la violence. Ca boue dans ton être. Frapper pour t'occuper, pour soulager l'impatience. Tu fais quelques pas en arrière pour lui prouver que tu rigoler pas. C'était urgent pour votre survie.
Messages : 547
Date d'inscription : 10/10/2019
Région : IDF
Crédits : Pop-Gun
Univers fétiche : Fantasy / Réel
Préférence de jeu : Les deux
Maddy'n
Sam 19 Aoû - 21:25
Lucina Makinen
J'ai 31 ans et je vis à Helsinki, Finlande. Dans la vie, je suis rédactrice en chef d’un magazine de mode et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, à cause de mon travail, je suis célibataire et je le vis bien, n’ayant pas le temps pour ces inepties, me contentant du plaisir brut des relations physiques.
Spoiler:
+ Elle est Alpha. + Elle a trois petits frères, et un grand. + Elle est née d’un père finlandais et d’une mère bolivienne. + Deux de ses frères sont Oméga.+ Elle parle couramment finlandais, espagnol, anglais et italien.+ Sa marque se trouve en haut de sa cuisse droite. + Les mots qui sont inscrits sur sa peau signifient " Et ce que l'amour peut faire, l'amour ose le tenter ". + Elle est du genre acharnée, notamment dans son travail. + Malgré la pression, elle est toujours célibataire, n’arrivant pas à concilier travail et vie sentimentale. + Sa marque a changé il y a environ 4 ans, la rendant encore plus irritable.
Pendant un instant, j’ai presque l’impression que ça le dérange Aaron, que je ne le vois pas comme mon petit-ami. Pourtant, c’était lui qui restait engagé à une autre, lui qui attendait un enfant avec cette même personne. Lui qui avait tout construit avec une autre, qui avait tout, et moi qui devait me faire une place dans tout cela. Celle qu’il aime, sa fiancée, la mère de son enfant à naître, tout cela, ce n’était pas moi. Moi, je n’étais rien de plus que son âme-soeur, celle qui allait l'enfermer dans une vie qu’il n’a pas choisi. L’envie de clarifier les choses sur le champ me brûle les lèvres, mais je sais que cela provoquerait bien trop d’émotions pour l’Alpha que je suis, que je me dois d’être, au milieu de tous les autres. Les lèvres restent pincées alors qu’il ironise. Ca me brûle dans la poitrine, me donnant la sensation d’étouffer dans ma robe, mais je n’étais pas en position de clamer quoique ce soit. Mais ce soir, c’est le jeu des apparence qui l’emporte, et si dans l’intimité, je ne savais toujours pas ce qu’il en était de notre relation, ici, j’allais faire passer un message très simple. Aaron est à moi.
Mes lèvres contre les siennes, je viens puiser cette force dont j’ai besoin pour les prochaines heures, jusqu’à ce qu’on nous interrompe. Je ne suis pas surprise de voir Roy ce soir, connaissant également sa place dans notre société. Alpha, chirurgien, et beau gosse. Beaucoup de femmes en rêvaient, et pas que. Pourtant, il n’était pas toujours aussi charmant que d’autres se l'imaginaient. Surtout quand il venait avec des annonces comme celle de ce soir. Une annonce dont je me serais volontiers passée, bien plus encline à rentrer qu’à prolonger la soirée. Mais je ne peux pas disparaître quand tous s’attendent à me voir d’ici quelques heures, un chèque énorme dans les mains, pour annoncer la somme récoltée ce soir. Alors oui, j’allais prendre sur moi pour survivre tout le reste de la soirée, même si ça allait me coûter. Mais cette annonce n’implique pas seulement ma présence pour les prochaines heures, mais aussi celle d’Aaron. Impossible pour lui de partir sans moi. On était coincé ensemble ce soir. On était coincé ensemble pour le reste de nos vies. Sans difficultés, je sens bien que sa patience vient d’être mise à rude épreuve. Alors discrètement, j’attrape ses doigts, l’entraine avec moi en dehors de la salle de réception. Par chance, j’ai suffisamment fréquenté les lieux pour savoir quelle direction prendre pour nous isoler. Je l’entraine dans un bureau, un peu à l’écart, refermant la porte à clé derrière nous. Je passerais bien ma soirée ici pour esquiver tous ces chien qui ne cessent de me déshabiller du regard. Même si actuellement, je souhaite être nue pour un homme. Je viens m’asseoir sur le bureau, regarde Aaron sans la moindre once d’hésitation ou d’appréhension. “ Prends moi Aaron. Ici, et maintenant, fais moi tienne. “ A défaut d’être la seule dans son coeur, je pouvais encore espérer être peut-être la seule dans ses draps désormais.
Messages : 725
Date d'inscription : 25/10/2019
Région : Basse-Normandie
Crédits : idk
Univers fétiche : Réaliste, Fantastique.
Préférence de jeu : Homme
Patate Douce
Sam 19 Aoû - 21:44
Aaron 'Shadow' Taylor
J'ai 30 ans et je vis à Helsinki, Finlande. Dans la vie, je suis ta distraction et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, à grâce de mon travail, je suis à tous ceux qui paient au prix fort et je survis. Enterrant mes espoirs dans ton verre. Ce que tu dois savoir ? Tu paies. Je m'execute. Tu paies. Je te livre. Je sniffe tes billets. Tu te crois au Paradis et ça s'arrête là. Mes proches me connaissent sous le nom d'Aaron Taylor. Et pensent que je passe mon temps à livrer des colis en tout gens. Ah oui, j'allais oublier ! Dans ce bas monde, j'ai été marqué de cette phrase qui m'est si chère : Qui dit art, dit mensonge Stephen James (here)
Spoiler:
Lovely babymamma. Nela.
Mookie. Le Binome.
Maquerelle. La bourse centrale.
C'est docilement que tu la suis. Tu ne te fais pas prier. Tu reprends contenance à mesure que vous vous eloignez de l'agitation. T'es de ce genre là, quand tu ne sais pas quoi faire, tu frappes. Tu dois faire une connerie. Comme si ton esprit hurle : fais de la merde, et tout ira mieux. Mais dans ce lieu, il y avait bien trop d'enjeux pour provoquer une esclandre. Tu aurais accepté n'importe quoi tant que Lu captait ton attention. Même si le sexe t'avait traversé, tu aurais accepter une simple promenade. Mais la femme avait visiblement besoin de ton contact. Prédateur qui sort de sa cage. S'il y avait bien une chose que tu adorais entre vous, c'était vos ébats. L'avantage de baiser son ame-soeur, c'est que tout ce que vous ressentiez étaient decuplés jusqu'à son paroxysme. Cela ne veut pas dire que la petite mort vous happait à chaque fois mais vous ressortiez facilement repu.es de vos actes. Ne faire qu'un prenait tout son sens à cet instant précis. Tu n'es toujours pas fan de te retrouver comme un drogué qui a besoin d'elle mais tu l'acceptes. Oui ça a foutu en l'air mariage et vie de famille et tu ne sais toujours pas comment tu vas gérer mais tu es résolu à trouver un équilibre. Ca n'a pas réglé ton contrat avec Lucina, et tu vas devoir la rembourser pour ta liberté. Elle reste ta maitresse. Et si, elle a bien compris l'erreur qu'elle avait commise en pensant te sauver, le contrat perdure et les règles avec. Tu étais sa propriété. Et ça te donnait la gerbe de te savoir enchainé. Oui, c'était à ses côtés, c'était une douce sanction mais tu étais esclave quand même. Prisonnier d'une Alpha aux yeux de votre société. C'était inacceptable pour toi. Et tu allais œuvrer pour tout détruire. Tu allais être père également, ce qui te retourne l'estomac, tu allais devoir gérer tout un pan de ta vie jusqu'à lors inconnu. Mais pour l'heure, c'est sur le plaisir de l'Alpha que tu te concentres. Détruire sa patience minutes par minutes jusqu'à éclore l'ultime félicité. Myriade de baisers avant de t'allonger à même le sol, fixant le plafond. - Comment as-tu vécu ton enfance en tant qu'alpha ? Fenêtre de sensibilité où tu te mets à causer, l'attraper pour la coller contre toi. Visage niché dans ses cheveux. Tu somnoles doucement, attendant la réponse
Messages : 547
Date d'inscription : 10/10/2019
Région : IDF
Crédits : Pop-Gun
Univers fétiche : Fantasy / Réel
Préférence de jeu : Les deux
Maddy'n
Sam 19 Aoû - 22:54
Lucina Makinen
J'ai 31 ans et je vis à Helsinki, Finlande. Dans la vie, je suis rédactrice en chef d’un magazine de mode et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, à cause de mon travail, je suis célibataire et je le vis bien, n’ayant pas le temps pour ces inepties, me contentant du plaisir brut des relations physiques.
Spoiler:
+ Elle est Alpha. + Elle a trois petits frères, et un grand. + Elle est née d’un père finlandais et d’une mère bolivienne. + Deux de ses frères sont Oméga.+ Elle parle couramment finlandais, espagnol, anglais et italien.+ Sa marque se trouve en haut de sa cuisse droite. + Les mots qui sont inscrits sur sa peau signifient " Et ce que l'amour peut faire, l'amour ose le tenter ". + Elle est du genre acharnée, notamment dans son travail. + Malgré la pression, elle est toujours célibataire, n’arrivant pas à concilier travail et vie sentimentale. + Sa marque a changé il y a environ 4 ans, la rendant encore plus irritable.
Je le laisse s'occuper de moi, presque complètement soumise, docile. Nous avions tous les deux besoins de ça, alors je ne boude pas mon plaisir, lui rend chaque caresse, chaque baiser alors que mes cuisses commencent à l'éteindre doucement. C'est le seul moyen que j'ai trouvé pour que nous puissions survivre tous les deux à cette soirée. Le seul moyen pour lequel nous ne nous ferions pas remarquer, ou, à défaut pour laquelle je me fichais bien qu'on nous remarque. Après tout, dans le pire des cas, ça enverrait un message fort sympathique à tous ceux qui s'intéressaient un peu trop à Aaron. Ou moi. Surtout que cet instant était toujours aussi fabuleux, qu'importe le temps qui passait, qu'importe depuis combien de temps nous nous fréquentions. Il était sans aucun doute mon âme soeur. Et pas seulement parce que deux phrases s'étaient échangées sur nos corps, mais parce qu'il apportait la félicité, même dans les climat de tempête.
Allongée contre lui, je reprends mon souffle, effleure sa peau de mes doigts. J'aimerais parfois que ce moment ne prenne jamais fin, qu'il reste une bulle douce et délicieuse, mais la paix n'était pas pour les gens comme nous. Surprise par sa question, je reste un moment silencieuse, comme si je réfléchissais, bien que je n'ai pas à le faire. " Mal." Le mot sort seul, comme une vérité qui m'a si longtemps écorchée. Je suis une Alpha, tout m'est dû, et pourtant, plus que n'importe qui d'autre, j'ai du me battre pour obtenir ce que je voulais. " Les Alphas sont une goutte d'eau dans notre société. Je suis une goutte d'eau dans une goutte d'eau. Tu sais comment sont les Alphas, je prenais exemple sur Roy, mais je n'étais jamais assez bien. J'étais trop bagarreuse, trop hargneuse pour une petite fille, trop girly pour une Alpha. Si la société avait pu me faire choisir entre être une femme et une Alpha, elle l'aurait fait. Ca semblait si incompatible, si compliqué. Aujourd'hui encore... Mais c'était tellement de pression pour une enfant. " Ce n'était pas une expérience que j'avais apprécié, et même si beaucoup diraient que ça a forgé mon caractère, je ne souhaitais ça à aucun enfant. "Et toi ? " Je n'ignore pas que la vie des omega pouvait être toute aussi oppressante, pourtant, lui aussi dans cette minorité semblait tout à fait à part.
Messages : 725
Date d'inscription : 25/10/2019
Région : Basse-Normandie
Crédits : idk
Univers fétiche : Réaliste, Fantastique.
Préférence de jeu : Homme
Patate Douce
Sam 19 Aoû - 23:51
Aaron 'Shadow' Taylor
J'ai 30 ans et je vis à Helsinki, Finlande. Dans la vie, je suis ta distraction et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, à grâce de mon travail, je suis à tous ceux qui paient au prix fort et je survis. Enterrant mes espoirs dans ton verre. Ce que tu dois savoir ? Tu paies. Je m'execute. Tu paies. Je te livre. Je sniffe tes billets. Tu te crois au Paradis et ça s'arrête là. Mes proches me connaissent sous le nom d'Aaron Taylor. Et pensent que je passe mon temps à livrer des colis en tout gens. Ah oui, j'allais oublier ! Dans ce bas monde, j'ai été marqué de cette phrase qui m'est si chère : Qui dit art, dit mensonge Stephen James (here)
Spoiler:
Lovely babymamma.Nela. Mookie.Le Binome. Maquerelle.La bourse centrale. Mère Omega morte flutiste Père Omega Redacteur pour un journal politique 3 Soeurs omega mariées
- Mes parents étaient de nobles de notre société. Omega tous les deux mais bien placés pour être suffisamment dans les petits papiers de la haute sphère. Grace à leur magouille, ils avaient reussi à arranger un mariage avec une Beta de bonne famille. S'ils l'avaient pu, ça aurait été une Alpha .. Ils auraient été fiers de moi tiens. J'ai été choyé, aimé. Je ne manquais de rien en réalité. Ma mère était flutiste. Mon père rédacteur pour la Politique. Je grandissais pour devenir le meilleur ami pour ma Beta. Puis un jour, la milice est arrivée chez nous et a embarqué ma mère. Elle a été condamnée à mort pour trahison et espionnage. Jusqu'à présent, je ne sais pas si c'est vrai ou non. Mon père a continué de se la jouer l'air de rien mais il y a eu de la défiance envers lui. Tout a commencé à s'écrouler. Ma famille n'était plus en vogue, les dettes ont commencé à s'accumuler. Mon père a commencé à marier mes sœurs aux premiers venus. Il a tenté avec moi mais j'ai fugué avant qu'il finisse par me vendre aussi. J'ai erré partout jusqu'à rejoindre le Club. Comme mon père, j'ai eu des problèmes d'argent et d'addiction mais comme j'étais adulé, je m'en foutais. Puis Nela est entrée dans ma Vie, j'ai commencé à vouloir être clean pour elle. J'ai été violent physiquement et verbalement avec elle. Surtout quand la colère me submergeait mais elle n'a jamais eu peur de me confronter. On s'est déjà battu. J'en ai honte. Mais elle ne m'a jamais abandonné. Puis, il y a eu toi .. Et maintenant, je ne sais pas trop comment gérer. Je n'aime pas notre lien mais d'un sens, il me procure beaucoup de bien-être. Et puis .. Il y a un nous indissociable. C'est à la fois rassurant et effrayant. Enfin voila.. Rien d'incroyable me concernant.. Je suis rien après tout. Fin de la fenêtre, il est temps de retourner batailler.
Contenu sponsorisé
Find your soul before you find your soulmate || Patate Douce