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Préférence de jeu : Les deux
HATAKE
Mar 31 Oct - 0:27
Zabuza Momochi
J'ai 24 ans ans et je vis un peu partout Dans la vie, je suis mercenaire, . Et je m'en sors pas trop mal. Sinon, grâce à ma vie (?), je suis célibataire mais je voue un culte étrange à Kakashi Hatake, qui se prétant être l'homme de ma vie. Pfeuh. (Sans doute a-t-il raison ?). - 1m79 - ninja issue de la brûme rouge de Kiri - a buté l'intégralité de sa promotion de genin, entre autres horreurs - a tenté un coup d'état contre le mizukage, avec les autres épéistes - considérait Kisame Hoshigaki comme un grand frère - vit cachée, toujours comme mercenaires, depuis son "décès" au pont Naruto - n'a plus revu Haku depuis bientôt deux ans - considère de Kakashi Hatake a sauvé le vie de ce dernier, et peut-être un peu la sienne aussi
Faceclaim : jinx (arcane)
Alleezzzzz … Elle en demande pas beaucoup. Même pas de coucher ensemble. Juste un petit effort. Un petit suçon dans le cou. Peu importe qui le donne ou qui le reçoit. Une toute petite pipe, vite fait bien fait (si, si, elle sait faire). Une main dans sa culotte (même si elle a pas de culotte). Un petit truc làààà. Elle papillonne des yeux en essayant de son mieux de se faire passer pour une gentille, ahah la blague. En tout cas, ça “marche” assez pour qu’il cède, et se rapproche, et la déshabille, okkkkkkkkk. Zabuza frissonne et ronronne de joie et de plaisir à cette superbe initiative de la part du ninja copieur. Oh oui. Et encore plus en sentant ses mains sur son corps, son sein. Elle grogne de plaisir en renversant sa tête en arrière pour savourer ce délicieux contact, à deux doigts de gémir quand il la pince, et. Pouf. Maki. (Et pas Maki comme elle voudrait. Genre Maki+Warren=baise sauvageonne, nope. Genre maki = riz entouré dans sa feuille d’algue, là. Vachement sexy et sexuel.)
WTF ?! C’EST TOUT ?!
“NAN ! C’EST C’QU’ON APPELLE UNE ARNAQUE !!! UNE ARNAQUE !! L CHE-MOI ! LAAAAAAAAAAACHE-MOI ! AAAAAAAH !!!”
Elle beugle comme un putois indigné, en se débattant comme une poisson hors de l’eau, coincée entre les draps et les bras de Kakashi. Elle crie et gigote comme une folle dingue, libérant son énergie de frustration, avant de partir dans un fou rire. Un rire qui résonne dans la chambre, tout tordu et dissonant, mais elle se marre vraiment, en essayant encore un petit peu de se défaire, mais sans franchement le vouloir. De toute façon, elle ne l’a jamais vraiment voulu. Elle avait juste besoin … de se défouler. Donc elle rit. Et pleure. Enfin pas vraiment, mais il y a une larme qui perle au coin de chaque œil, avant de rouler sur sa peau et d’aller se perdre sur les draps. Après avoir fini de rire, Zabuza soupire, et tourne la tête comme elle le peut vers Kakashi. Pour croiser à nouveau son regard, dans lequel elle pose un regard intense.
“Si tu savais c’que je te déteste.”
Sauf que ce n’est ABSOLUMENT PAS, ce que disent ses yeux. Nope. Pas du tout. Il y a un mélange de … d’un paquet de choses. Mais pas de haine. Pas maintenant en tout cas, malgré l’intensité de ce regard qui pourrait presque le brûler. De gratitude, d’une sorte de violente douceur, et d’envie. Et pas une envie purement sexuelle, non, c’est beaucoup plus compliqué que ça. Beaucoup plus profond et intime. Zabuza soupire doucement avant de baisser les yeux, de les fermer, et de se recroqueviller contre Kakashi.
“Je te déteste.”
qu’elle bougonne, sa voix à moitié étouffée par les draps, le ninja, et la fatigue. Elle est épuisée. Et chaque secondes qu’elle passe avec lui, à se reposer sur lui, sa présence et son aide, ne fait qu’ébrécher sa résistance contre cette fatigue qu’elle promène depuis bien, bien plus longtemps que ces quatre dernières années. Haku lui avait donné la force de la repousser, cette fatigue, de la tenir à distance et de continuer à tenir debout, et à se battre. Mais avec le ninja de Konoha, c’est autre chose. Elle a l’impression qu’elle a le droit, d’être fatiguée. Même si elle ne veut pas consciemment s’en donner le droit, son subconscient l’a compris. Son subconscient a compris qu’elle peut se reposer, qu’elle peut faire confiance à cet homme qui la tient, et au village dans lequel il va l’emmener le lendemain. Alors, il baisse les armes, et Zabuza s’effondre, petit à petit.
“Je te déteste.”
Qu’elle répète encore faiblement. Réchauffée, confortable et en sécurité dans ses bras. La jeune femme sent le sommeil s’erouler autour de ses chevilles et la tirer vers les abysses d’un très très profond sommeil. Sans cauchemars cette fois, elle en est certaine. Elle en refera d’autres. Mais pas cette nuit. Alors Zabuza cesse de lutter.
“Je t’aime.”
Elle chuchote, sans même s’en rendre compte. Et elle s’endort.
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Clionestra
Mar 31 Oct - 0:53
Kakashi Hatake
J'ai 28 ans et je vis à Konoha. Dans la vie, je suis sensei et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis tombé sur une personne que j'ai tué en draguant sur une application de rencontre et je ne sais pas ce que je ressens sur ça. → Possède le sharingan → A une meute de chien → Aurait tué Haku (mais avait fait en sorte de cautériser la plaie) et Zabusa, y a 4 ans.
Il rit. Derrière son masque, il rit en silence de la situation. Ouais… Cela le fait marrer. Pas sa faute. C’était si drôle. Zabusa qui se dandine comme une chenille dans un cocon… Ou une Zabusa dans un bourito… héhé. C’est drôle. Cela le fait bien marrer. Il la retient pour ne pas qu’elle se venge. Elle le pourrait. Il le savait. Elle savait qu’il savait. Tout le monde savait. Alors il fait en sorte qu’elle ne le puisse pas, bien enfermé dans ses bras. Et quand elle se met à rire, il sait qu’il a gagné cette partie. Héhé. Il se sent fière (//Vue ce qui t’arrive frère, calme toi) d’avoir réussi à maitriser la grande Zabusa, démon de son temps, avec un drap. Personne ne pourrait le croire. Et il ne le dirait à personne. Cette nuit, il lui offrait pour qu’elle puisse avoir un aperçu de ce qui était possible, et de la confiance qu’il lui donnait … mais cette nuit était surtout entre eux. Pas de ninjas pour surveiller, pas de ville à sauver, pas de sale mioche à remettre sur le droit chemin. Juste lui et elle. Quand elle se tourne enfin, calmé, elle lui sort un mensonge et il hausse les épaules. Ouais, c’est ça. Cause toujours. Il raffermit son emprisonne … non pas pour lui faire du mal, mais simplement pour la garder contre lui et qu’elle ressente qu’il était toujours là. Elle répète qu’elle le déteste. Il sait que c’est faux. Elle lui a dit qu’elle le déteste mais il ne ressent pas ce qu’on ressent quand une personne qui nous déteste nous parle. Il ne sait pas le définir, il ne pourrait le définir, mais c’était différent. Il caresse son crâne de son visage alors qu’il dit qu’il sait, quand elle répète pour la troisième fois qu’elle le déteste. Ouais, ouais. Il allait lui dire de dormir quand un murmure s’élève à nouveau de la jeune femme. Différent. Vraiment différent.
« Je t’aime ».
Il bloque. Il reste proche d’elle mais vérifie qu’elle dort réellement, pose sa main devant ses yeux, vérifie qu’elle respire et cherche à savoir si elle avait fait un AVC en s’assoupissant. Il savait que la jeune femme ressentait pour lui beaucoup de chose. Il savait qu’elle ressentait une certaine sorte de fascination un peu étrange, et beaucoup perverse vue ce qu’elle voulait, mais est-ce qu’elle pouvait l’aimer ? Il passa une main sous sa tête avant de la ramener vers son crâne qu’il caressa doucement. Il ne sait pas comment faire. Il avait l’impression d’avoir une enfant dans les bras… et on n’allait pas expliquer pourquoi il était totalement interdit pour un homme de son âge de désirer une enfant, n’est-ce pas ? Il caresse sa peau avec douceur sans la réveiller. Il l’observe dormir et se demande comment on peut blesser des enfants à ce point. Comment on peut marquer une vie à ce point de malheur et de souffrance … et surtout quelle puissance il fallait donner à son « je t’aime ».
- Bonne nuit, Zabusa, murmura-t-il avant de faire un baiser sur son crâne.
Dans la nuit, impossible de dormir, son esprit n’arrête pas de revenir sur ses deux mots. Il essaie de se relever à peine pour aller boire un coup mais la jeune femme se retrouve dans ses bras. Même saucissonner, elle l’empêche de se mouvoir. Il finit par abdiquer, il allait avoir soif. Il aurait un mois pour être insomniaque à penser ainsi. Il remit sa main contre la jeune femme alors que le drap s’était ouvert pour qu’elle puisse passer ses bras autour de lui. Il repensait à sa manière de caresser ses muscles, avec envie. Est-ce qu’elle confondait désir physique et amoureux ? Est-ce qu’elle savait simplement la différence entre le désir quand on aime et le désir simple ? Kakashi ne l’avait jamais expérimenté. Iruka lui avait simplement expliqué. Iruka, professeur même des adultes handicapés. Cela ne l’étonnerait pas qu’il soit sacré meilleur sensei de Konoha un jour. Il aurait amplement mérité ce statut. Alors qu’il se pose des questions, il observe la jeune femme en train de dormir. Elle était imperturbable dans son sol … et une idée fugace le prend. Il vérifie qu’elle dorme bien avant de baiser son masque et de venir lui voler un baiser. Il n’y avait pas de sensualité dans cet acte, qu’une caresse entre leurs lèvres qu’il vient voler. Il en avait envie. Elle dormait toujours et il se laisse dormir une heure avant de ne plus pouvoir et d’attendre le lever du soleil. Quand le soleil filtre dans cette chambre douteuse … il se dit que cela devait être la première fois que les murs accueillent un sommeil si réparateur (pour l’un) et chaste (pour les deux). Il vint glisser sa main sur la peau nue de l’épaule de la jeune femme pour en faire des caresses circulaires.
- Zabusa, il faut se lever et partir, tu as encore un long chemin à faire pour gagner tes récompenses…
Ouais, il ne dira jamais … JAMAIS… à personne qu’il avait déjà pris quelque chose sans lui dire. Cela resterait entre lui et la nuit noire qui venait de s’écouler. Il la secoue un peu, mais toujours avec une douceur calculé. Il ne voudrait pas qu’elle se réveille en sursaut et qu’elle essaie de le tuer après une nuit pareille…
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HATAKE
Mar 31 Oct - 1:52
Zabuza Momochi
J'ai 24 ans ans et je vis un peu partout Dans la vie, je suis mercenaire, . Et je m'en sors pas trop mal. Sinon, grâce à ma vie (?), je suis célibataire mais je voue un culte étrange à Kakashi Hatake, qui se prétant être l'homme de ma vie. Pfeuh. (Sans doute a-t-il raison ?). - 1m79 - ninja issue de la brûme rouge de Kiri - a buté l'intégralité de sa promotion de genin, entre autres horreurs - a tenté un coup d'état contre le mizukage, avec les autres épéistes - considérait Kisame Hoshigaki comme un grand frère - vit cachée, toujours comme mercenaires, depuis son "décès" au pont Naruto - n'a plus revu Haku depuis bientôt deux ans - considère de Kakashi Hatake a sauvé le vie de ce dernier, et peut-être un peu la sienne aussi
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Elle dort, comme elle l'avait prédit, comme elle a très rarement bien dormi. Ces rêves sont confus, flous, mais calmes. Pas de mauvais souvenirs qui se transforment en cauchemar. Ni de ce jour sur le pont. Ni de son enfance à Kiri. Elle ne saurait même pas dire de quoi elle rêve. Et c'est infiniment reposant. Elle n'a même pas conscience de la présence de Kakashi. Même si elle ne me lâche pas de la nuit, ahah. Son esprit occulte absolument tout. Même lui. Pour la laisser se reposer en paix. A un tel point où la lendemain matin, quand le ninja de Konoha cherche à la réveiller, elle peine fort à émerger. A se souvenir de qui elle est. De où elle est.
"Mmmmmhmmmmmmmm … !"
Elle proteste. Elle dort bien sa mère, wesh ! Qui donc est le malotru (pour rester poli) qui ose troubler son sommeil ?! Encore quelqu'un qui s'est réveillé ce matin avec la ferme intention de mourir. Zabuza grogne encore, se demande comment elle va faire souffrir celui qui la secoue, avant que ses idées ne se remettent brusquement en place.
"OH PUTAIN !" qu'elle crie en se redressant d'un coup. "TOI !"
Elle lance un regard "assassin" (le genre de regard assassin que lancent les gens qui n'ont jamais tué qui que ce soit) à Kakashi avant de se débattre des draps pour cette fois s'en dégager et lui grimper dessus comme pour l'attaquer. Sans l'attaquer. Quoique si. Mais ça il ne s'en rend compte que quand la jeune femme attrape à deux mains la tresse qu'elle a passé autour de son cou, et qu'elle tire à peine dessus pour "l'étranger" avec une certaine douceur. Elle colle son nez et son front contre celui du ninja pour bien planter son regard dans le sien.
"C'était petit et cruel, hier soir. T'as de la chance d'être mignon. Sinon je t'aurais étripé."
Encore cette histoire de tapisser les murs avec son sang qui lui revient en tête, ahah. Zabuza lui mord les lèvres à travers son masque pour se venger, resserrant encore sa natte autour de son cou, avant de tout lâcher, se relever et s'écarter du lit pour s'étirer. Non. Elle n'a absolument pas conscience de ce qu'elle lui a dit la veille. "Je te déteste." Ça c'est bon. "Je t'aime." Aucun foutu souvenir. Sa conscience c'était déjà faite la malle dans les limbes du sommeil quand son subconscient s'était exprimé à travers ses lèvres.
La jeune femme récupère ses vêtements qu'elle avait abandonné par terre, et se rhabille vite fait avant de s'assoit sur la table et tire à elle la nourriture qu'elle n'avait pas pu manger la veille. Même froide et avec une nuit dans le museau, elle restait meilleure que pas mal des trucs qu'elle avait pû manger ces dernières années. Ouais, le poisson, c'est pas toujours de ouf frais. Bref, elle mange.
"Tu manges toujours pas ? Jpeux fermer les yeux si tu veux absolument pas que je vois sans ton foutu masque, tu sais ? Bon … un pipi et go prison, c'est ça ?"
Chouette programme en perspective. Mais elle s'est plus ou moins faite à l'idée. Et pas juste parce qu'il lui a délicieusement caresser le sein la veille. Bien sûr qu'elle se souvient de ça.
"Au fait. Je te verrai pas, ça j'ai compris. Mais on aura un autre moyen de communiquer ou même pas. Genre des lettres ? J'ai hâte de t'écrire des trucs pornos et que tes collègues les lisent avant de te le remettre, ahah."
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Clionestra
Mar 31 Oct - 2:17
Kakashi Hatake
J'ai 28 ans et je vis à Konoha. Dans la vie, je suis sensei et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis tombé sur une personne que j'ai tué en draguant sur une application de rencontre et je ne sais pas ce que je ressens sur ça. → Possède le sharingan → A une meute de chien → Aurait tué Haku (mais avait fait en sorte de cautériser la plaie) et Zabusa, y a 4 ans.
L’attaque se fait rapide, et efficace. Mais, il avait parié sur ça. Il la laisse faire. Se faire étrangler par une femme nue, il y avait clairement pire comme mort. Il pourrait mourir avec un petit sourire pervers aux lèvres… Il pourrait bien finir, ouais… Clairement bien finir au paradis pour ce genre de mort. Il la laisse se calmer alors qu’un sourire, qui pouvait se voir grâce aux reliefs de son visage, apparait. Il n’était pas peu fier de son effet hier… Et si la jeune femme l’avait laissé faire, il en aurait même fait un petit « héhé » tout mignon. Mais non. Elle lui rappelle qu’il est mignon. Cela lui rappelle quand elle parlait de lui, sans savoir qu’elle parlait avec lui, et qu’elle lui disait que c’était le plus mignon de Konoha … haha. Non. Pas mignon. Canon. Ouais. C’était ça. Au moins, sa « belle gueule », que personne ne connaissait apparemment, le rendait canon. La logique n’était pas à débattre pour Kakashi. Si même Anko le dit…Il va partir du principe que les femmes avaient un délire chelou avec les masques. Il ne revient pas sur les paroles d’hier alors qu’elle se lève, se déplace alors qu’il se relève à son tour. Ses affaires sont sèches maintenant et il peut remettre la tenue « officielle » des ninjas de son rang. Il la laisse manger et s’approche. Rien ne le tente. Mais s’il avait réellement besoin de cacher son visage, il mangerait quand elle sera aux toilettes, logique pour lui.
Il oublie encore que les femmes n’avaient pas la même logique. Déjà qu’il avait dû mal à comprendre les gens, si en plus il fallait faire une distinction entre les femmes, les hommes, les enfants, les riches, les pauvres, les biens aimés, les mal aimés, il allait finir par péter une pile, lui aussi. Il réfléchit à sa question alors qu’il s’approche pour se faire couler un café… Un love hotel avec du café, meilleur idée du monde de son point de vue. Il réfléchit.
- Je pense qu’au début, tu ne pourras rien avoir. Déjà j’ai fait jouer mes relations pour que les personnes qui te surveillent et vérifient tes véritables motivations soient des gens sympas. Iruka y a veiller aussi. Pendant les premiers temps, tu ne pourras donc voir qu’eux. Mais dès que Kuro prendre la place, tu pourras lui demander plus de liberté.
Même si Kakashi doute de la santé mentale de Kuro bien plus que celle de la jeune femme… Il n’était pas là tout le temps mais il savait que Kuro avait la fâcheuse tendance à … avoir un pet au casque. Il pouvait parler tout seul, ou à ses papillons, revenir sur une discussion de plusieurs jours et surtout savoir des choses que personne ne sait. Kuro est un des rare à dire qu’il connait le visage de Kakashi et que c’est un visage. Merci à lui. Il s’approche d’elle, se souvient du baiser qu’elle ignore de la veille… Elle ignore qu’elle a embrassé ses lèvres sans masque. Elle ignore qu’elle lui a dit « je t’aime ». Il la regarde avant de faire un autre pas en arrière.
- Va faire pipi, que je t’emmène en prison et que tu retrouves ta liberté pour avoir tes récompenses.
En vrai … Il était sûr que si Kuro arrivait à être certain des motivations de la jeune femme … Elle pourrait avoir bien plus qu’une feuille et un crayon. Il voyait déjà cet abruti d’Aburame avec un sourire qui veut dire « je suis trop fort »… Parce qu’il était le genre.
- Et pendant ce temps là, tu pourras aussi répondre à des questions. Il faudra que tu réfléchisses à ce que tu veux. Ils risquent de te demander ce que tu préfères. Une maison surveillé, mais plus de liberté à l’intérieur ou être avec un ninja supérieur tout le temps, mais moins de personne qui te regarde.
Et un bracelet électrique aussi pour si elle sort de la ville, ou alors simplement être suivi par un insecte des Aburame. Il fallait savoir tout ça… il y avait tellement de possibilité pour elle… Mais il espérait, un peu, secrètement, qu’elle choisisse de se faire surveiller par un ninja … Lui. De préférence. Parce que l’idée qu’un autre la colle le dérange. Sauf Kuro et Iruka. D’eux ils n’avaient pas peur. L’un était un espèce de bisounour clairement terminé à la liqueur arc-en-ciel, on se demande ce que les parents Aburame faisaient à ce moment là, et l’autre était un bisounours déjà pris…
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HATAKE
Lun 6 Nov - 22:56
Zabuza Momochi
J'ai 24 ans ans et je vis un peu partout Dans la vie, je suis mercenaire, . Et je m'en sors pas trop mal. Sinon, grâce à ma vie (?), je suis célibataire mais je voue un culte étrange à Kakashi Hatake, qui se prétant être l'homme de ma vie. Pfeuh. (Sans doute a-t-il raison ?). - 1m79 - ninja issue de la brûme rouge de Kiri - a buté l'intégralité de sa promotion de genin, entre autres horreurs - a tenté un coup d'état contre le mizukage, avec les autres épéistes - considérait Kisame Hoshigaki comme un grand frère - vit cachée, toujours comme mercenaires, depuis son "décès" au pont Naruto - n'a plus revu Haku depuis bientôt deux ans - considère de Kakashi Hatake a sauvé le vie de ce dernier, et peut-être un peu la sienne aussi
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“Des gens sympas ? Des gens de Konoha sympas ? Genre des … bisounours, en gros ? Tu veux le torturer en fait c’est ça ?”
Ca l'inquièterait presque cette histoire, dîtes-donc !! Non parce que bon, le sucre c’est bon mais à petite dose. Et encore, elle n'aime pas le sucre, Zabuza. La jeune femme hausse un sourcil septique, avant de pouffer au chouette emploi du temps annoncé par Kakashi. “Ce programme de folie … Vous savez faire la fête, vous.”
Elle commente avec un brin de moquerie dans la voix, en se dirigeant vers la salle de bain pour se poser sur les toilettes. Et ouais, faire pipi pendant qu’il continue de parler, forcément la porte ouverte parce que sinon elle l’entend pas. La logique. Heureusement que le chiotte n’est pas en face de la porte. Quoique, elle, ça l’aurait fait rire de lui causer en le regardant se taper son café, en même temps qu’elle pisse. La pudeur, nan, elle ne l’a toujours pas rencontrée depuis hier. Alors elle est à peine en train de se relever des toilettes quand elle lui répond, la voix suffisamment élevée pour qu’il l’entende, malgré la chasse d’eau suivie de l’eau qui coule alors qu’elle se lave les mains, toujours en causant.
"Aaaah un seul ninja supérieur tout le temps, ça me plait bien. Genre … on peut même faire un roulement entre plusieurs. T'as pas un catalogue que je choisisse les plus canons ??? … Attends que je me souvienne des têtes de gars de chez toi dans notre bingo book à nous. Mmmh … le bardu. Quelque chose Sarutobi comme l'ancien hokage. Ou celui avec la giga balafre. Raido quelque chose. Je veux bien lui croquer le cul à celui-là."
Et pouf ! La tête de Zabuza dépasse de la porte, ses deux tresses se balançant sous elle, pour qu’elle puisse adresser un grand sourire de requin à Kakashi.
"Enfin sauf si tu es libre et que tu proposes ta personne, bien entendu."
”tu proposes”. Cette petite garce qui veut lui faire dire que c’est lui qui a envie de s’occuper d’elle. Et ne pas dire que c’est elle qui a envie qui s’occupe de lui. (On se croirait presque dans un épisode de Kaguya love is war !!) Zabuza disparaît à nouveau dans la salle de bain, où elle profite d’avoir de l’eau claire et de la crème hydratante (c’est quoi ce love hôtel de folie, wsh ?!) pour s’occuper un peu de la peau de son visage. Y a un moment où c’est plus de la coquetterie, mais plutôt de la nécessité. Donc elle se nettoie la tronche et y ajoute une petite couche de crème avant de sortir de la salle de bain. Zabuza a un petit sourire en coin et un regard de faux reproche à Kakashi en constatant que sa tasse de café est vide. Tsss. Elle a raté l’enlevage de masque. Choquée et déçue, voyez-vous. Enfin bref. “On est partis ?”
Ouep. Ils sont partis. Et pendant la journée que leur prend le trajet pour Konoha, Zabuza ne décroche plus le moindre mot. Plus la moindre moquerie ou menace envers qui que ce soit. Son regard dévie à peine de devant elle, même quand Kakashi lui explique encore quelques règles de bases, et la vie qui l'attend maintenant, en tout cas pour les jours à venir, à Konoha. Même pas un petit sourire quand il lui rappelle que c'est interdit de tuer. Rien qui pourrait même montrer qu'elle l'écoute. Même si elle le fait, hein, c'est pas comme si elle avait le choix. (L'inverse total de Kinoe qui hoche presque perpétuellement de la tête pour que son interlocuteur se sente toujours considéré quand il lui parle.) (Rien à f', Zabuza.) Elle marche stoïquement. Les mains dans les poches. Jusqu'à ce qu'elle entraperçoive les portes de Konoha entre les arbres.
La jeune femme s'arrête. Sort son téléphone explosé pour envoyer le même message à trois personnes. J'arrive à Konoha. Elle l'envoie à Koeda, à Sphinx, et à une série de trois émoticones fraises. Et puis elle le refile à Kakashi en soupirant. Elle le regarde quelques secondes, tourne à nouveau vers les portes et soupire à nouveau avant de demander : "Pourquoi j'ai la sale impression que c'est la fin ?"
Presque cette même sensation que quand elle avait cru mourir. C'est lourd, doux, triste, amer, un peu déchirant, et ça fait sonner des alarmes de fuites dans son esprit en même temps que ça la résigne à son sort. Zabuza se retourne pour voir le gamin aux longs cheveux bruns qu'elle est la seule à voir. Moche d'être hantée par un vivant. "J'aurai peut-être dû faire ça avant ..."
Quelle chuchote pour le "fantôme" d'Haku, qu'elle aurait bien vu grandir dans ce genre de village de bisounours. Plutôt qu'avec elle.
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Clionestra
Sam 18 Nov - 0:56
Kakashi Hatake
J'ai 28 ans et je vis à Konoha. Dans la vie, je suis sensei et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis tombé sur une personne que j'ai tué en draguant sur une application de rencontre et je ne sais pas ce que je ressens sur ça. → Possède le sharingan → A une meute de chien → Aurait tué Haku (mais avait fait en sorte de cautériser la plaie) et Zabusa, y a 4 ans.
Il sourit un peu. Ouais. Pour lui aussi, se retrouver coincer avec Kuro Aburame était apparenté à de la torture (il n’imaginait pas un instant qu’il puisse y avoir quelqu’un capable de supporter ça … HEIN KINOE ?). Mais il savait aussi que c’était la meilleure solution. Si Kuro savait quelque chose, il l’affirmait. Il n’était pas le genre à balancer quelque chose qu’il ne savait pas en faisant semblant d’être sûr. C’était pour ça qu’il était un ninja reconnu. Mais parfois, on le prenait pour un fainéant. Il y avait même une rumeur comme quoi il était plus lié au Nara. Rumeur démenti quand on regardait la tête des Aburame côte à côte mais bon. Il n’avait pas répondu pour les ninjas, n’avait même pas été jaloux. Il doute que Kurenaï laisse Asuma avec une folle perverse. Et Raido … il serait le genre, mais serait-il l’arrêter ? Rien n’était moins sûr. Puis… non. Il n’avait pas envie de laisser la corvée à un autre. Après tout, c’était lui qui l’avait ramené, il devait en prendre la responsabilité (l’excuse, oui, y a quoi ?). Donc, il n’avait rien répondu. Cela n’aurait servi à rien. Tout le monde savait déjà que c’était lui qui s’y collerait. Iruka l’avait même précisé. Bon. C’était pour Tsugumi quand on avait émis l’hypothèse de la laisser à Anko ou Kinoe…. Mais c’était autre chose. Iruka avait refusé en bloque qu’on le sépare de Tsugumi. Il ne fallait pas oublié, il était fait à la liqueur d’arc-en-ciel. Non. Ça c’était Kuro. Kakashi se perdait avec les adorables ninjas pas méchants pour deux sous. Il continuait à penser à cela dans la journée. Au fait que la jeune femme allait devoir supporter bien pire que des ninjas d’élite adorable, mais aussi des enfants ninjas adorables. Il la laisse dans son silence, pas contre de le laisser planer pour la laisser réfléchir. Il fallait un temps pour tout. Il reprit la parole en arrivant à proximité, simplement pour rappeler. Comme une enfant, Zabusa avait besoin de mise au point.
- Parce que c’est la fin d’une vie. Et le commencement d’une autre.
Sur le téléphone, un message de Sphinx disait « Nooooooooooooon, je suis en mission et j’ai dû partir. C’est trop naze ! On se capte plus tard ». Et Koeda … il est occupé là, hein. Il n’allait pas s’occuper d’elle. Bref. En tout cas, Kakashi rentre le téléphone, l’éteint même pour ne pas avoir envie de fouiller à l’intérieur et le range. Kakashi regarde la direction que la jeune femme regardait, mais ne voyait rien. Il ne savait pas comment l’aider … Alors, doucement, il prit sa main dans la sienne, enroula ses doigts et murmura un :
- Vaut mieux tard que jamais.
Et puis, vue la force de la jeune femme, elle sera encore en vie à 120 ans, au moins. Donc elle avait assez de temps pour faire en sorte d’être plus une habitante de Konoha que quoi que ce soit d’autre. Pas que cela importe, le temps. Pour Kakashi, à partir du moment où Tsunade acceptera la jeune femme dans leur rang, avec ou sans bandeau, alors il n’y aura plus rien à dire. Il fit un pas en avant et pouvait déjà sentir plusieurs ninjas autour d’eux qui les épier. Certaines personnes étaient clairement hostiles. Mais pas tout. Il pouvait sentir Iruka au-dessus de la porte, les pieds dans le vide. Ouais. Qui ose dire qu’il n’y avait pas un air de Naruto, là ? Bref. Il avance pour voir un groupe de ninja, dont Ibiki Morino et Tsunade alors qu’il s’approche avec Zabusa. Il ne lui lâche la main qu’au dernier moment alors qu’il fait en sorte de capter son regard. Il s’approche et lui murmure à l’oreille.
- Souviens toi de ce que tu gagneras, pas de ce que tu penses perdre.
Elle aura certainement l’impression de perdre la notion de liberté, ainsi attraper par des menottes qui bloque le chakra. Mais ce n’était qu’au début. Il lâche un regard à Iruka, debout maintenant au-dessus de la porte. Il n’était pas un ninja des renseignements, ni même un anbu en l’instant. Il était là en tant que soutien. Il montrait qu’il venait de choisir de soutenir Zabusa. Et il le prouvant en souriant avant de parler.
- J’ai hâte de lui faire découvrir l’école !
Bien sûr, cette annonce stupéfia une partie des ninjas présents contre Zabusa, et une autre partie eut simplement un hoquet de surprise. Ibiki, lui, releva simplement le regard vers lui avant de faire un léger sourire.
- Le message est passé, souffla-t-il à son encontre avant de prendre Zabusa par le bras pour la conduire dans la prison qu’il avait exprès pour elle.
Certifié par Iruka 100% confortable et sans risque. L’idée de la mettre en cellule d’interrogatoire avait été proposé, mais là encore … il n’y avait pas plus têtu qu’un bisounours… Et Kakashi. Ibiki lança un regard pour essayer de voir de l’émotion dans le visage presque invisible du loup de Konoha. Mais rien du tout. Il ne pouvait rien voir qu’une neutralité presque affligeante. Heureusement qu’Iruka était là. Ibiki pensa un instant à sa jeune recrue… Ou plutôt celui qui refuse encore de venir travailler avec lui, et qui travaille normalement à la porte de Konoha. Ouais. Il avait compris le message. Kuro aurait été du même avis.
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HATAKE
Sam 18 Nov - 21:40
Zabuza Momochi
J'ai 24 ans ans et je vis un peu partout Dans la vie, je suis mercenaire, . Et je m'en sors pas trop mal. Sinon, grâce à ma vie (?), je suis célibataire mais je voue un culte étrange à Kakashi Hatake, qui se prétant être l'homme de ma vie. Pfeuh. (Sans doute a-t-il raison ?). - 1m79 - ninja issue de la brûme rouge de Kiri - a buté l'intégralité de sa promotion de genin, entre autres horreurs - a tenté un coup d'état contre le mizukage, avec les autres épéistes - considérait Kisame Hoshigaki comme un grand frère - vit cachée, toujours comme mercenaires, depuis son "décès" au pont Naruto - n'a plus revu Haku depuis bientôt deux ans - considère de Kakashi Hatake a sauvé le vie de ce dernier, et peut-être un peu la sienne aussi
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Le début d’une autre vie, ouais. Mieux vaut se concentrer là-dessus. Même si pour l’instant, elle s’attend surtout à entrer dans une sorte de stase, pendant un moment. Mh. Bon. Elle sent la main de Kakashi glisser dans la sienne et elle tourne à peine le regard vers lui.
“Ouais. C’est pas pour moi que je disais ça. Moi j’men fous. Et pour lui, ce sera jamais.”
Lui. Elle dit juste “lui” parce qu’elle sait de qui il parle, puisqu’il est toujours là. Maintenant planté pas loin d’eux, dans cette forêt encerclant Konoha. Et toujours à la limite de son champ de vision, même s’il disparaît à chaque fois qu’elle essaye de le regarder. Donc elle si parfaitement de qui elle parle quand elle dit “lui”. Kakashi … et bah il n’est pas idiot. Il sait qu’il n’y a pas grand monde dans la vie de Zab. Il y a son ancien … “partenaire”, disparu. La gosse, déjà à Konoha. Une folle furieuse rousse partie à la recherche de son épée. Et eux deux. Kakashi. Et Lui. Alors le ninja de Konoha n’a pas besoin d’être un génie pour savoir qu’elle parle d’Haku. Bref. Zabuza soupire, le regarde encore une seconde avant de se détourner de cette illusion qu’elle s’auto-inflige. Avec son image de gosse, pas celle qu’il a maintenant. Et puis elle suit Kakashi vers le village. Ignorant les présence autour d’elle avec la lassitude du rottweiler qui se fait crier dessus par des bichons frisés. Elle lève les yeux vers celui au-dessus de la porte, puis les baisse vers la Hokage.
“Putain c’est quoi c’est paire le loches ?”
Ça lui échappe avec un dégoût blasé. Elle zieute les nibards de Tsunade un moment avant de tourner les yeux vers Kakashi d’un air quasi accusateur. Qu’il ose dire qu’elles sont bien ses miches, et elle l’assassine ici et maintenant, tant pis si elle se fait zigouiller par les autres ninjas dans la foulée. Mais au lieu de commenter les seins de son commandant en chef (et heureusement erm) le ninja lui donne un dernier conseil qui tire un sourire en coin à Zabuza.
“Quoi ? Toi ?”
Elle n’est pas encore franchement certaine de la suite des événements. Tout simplement parce que même si elle en a fort envie, elle s’interdit formellement d’y placer un réel espoir, ou de s’y projeter sérieusement. Alors forcément, elle doute. Elle préfère. Le ninja perché cause école et Zabuza sursaute, tirée un peu violemment de ses pensées.
“AH NON HEIN !! LE SEUL PUTAIN D’AVANTAGE D’AVOIR GRANDIT A KIRI C’EST DE PAS AVOIR FOUTU LES PIEDS A L’ECOLE ! TU ME LAISSES TRANQUILLE TOI LA-HAUT !”
Non mais il est ouf, lui !!! Zabuza lui gueule dessus et hausse les épaules juste après. Elle pouffe vaguement et puis réprime un mouvement de fuite quand elle sent la main du balafrer se refermer sur son bras. A la place, elle frissonne juste méchamment et grogne en lui lançant un drôle de regard qui traduit son conflit intérieur. Ses réflexes ancrés à lutter envers et contre tout, prête à le latter même sans l’usage de ses bras. Comme elle l’avait fait sur ce fameux pont plus de quatre ans plus tôt. Et sa conscience qui la retient de lui sauter à la gueule pour y ajouter d’autres cicatrices à la force de ses dents. Elle doit se répéter qu’elle est ici de son plein gré. Qu’ils vont l’aider (normalement fgyhjkuhjiko). Et que si elle les attaque maintenant, ça ne va pas DU TOUT arranger son cas. Alors Zabuza se contente de cet étrange regard, d’un autre grognement, avant de le suivre. Elle se retourne une dernière fois pour lancer encore un regard et une menace à Kakashi.
“Si t’es pas là quand je ressors, je te retrouve et je t’arrache les couilles, c’est clair ? Ca me fera un chouette trophée.”
Bon, les menaces, c’est pas hyper bon plan non plus. Mais elle ne peut pas se transformer en ange instantanément. Et puis même si c’est une menace, ça veut dire autre chose au fond. Ça veut dire qu’elle veut le revoir. Et être avec lui, d’une façon ou d’une autre. Et ouais, pour ça, il faut qu’elle se comporte bien. Donc c’est plutôt une bonne chose finalement, non ? La présence de Kakashi la quitte, et la jeune femme se refroidit instentanément. Elle soupire et se referme comme une huître, allant se réfugier au fond de son cerveau, laissant le balafré faire bien ce qu’il veut de sa carcasse. Littéralement. Elle ne se rend compte qu’il l'a laissée dans sa cellule que quand ses jambes commencent à lui faire mal à rester debout depuis ... elle ne sait absolument pas quand. Et puis Zabuza va s’asseoir sur le lit, dos contre le mur, et puis elle arrête de bouger. Tout simplement. Elle se met en veille. Ça lui rappelle son enfance, tiens.
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Clionestra
Sam 18 Nov - 23:38
Kuro Aburame
J'ai 27 ans et je vis à Konoha. Dans la vie, je suis ninja supérieur et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux mais d'une femme qui semble bien supérieur à moi. → Grand frère de Torune et Shino → Utilise les papillons. → Adore observer les gens et compter
- Il faut que quelqu’un fasse quelque chose, gémit Iruka alors qu’une citronnade était en train de réchauffer dans ses mains. Cela fait presque deux semaines et elle est devenue une coquille vide … - C’est une technique de Kiri pour subir les interrogatoires, précisa Genma avant de se prendre un coup dans le tibia risquant de faire tomber sa bière, aïe ! - Ce n’est pas un interrogatoire, précisa Iruka avant de revenir faire un regard larmoyant à Kuro puis à Genma. Tu ne peux pas faire quelque chose ? - Quoi ? Salut maître Hokage, vous ne le savez pas mais moi et Kuro on discutait aussi avec une psychopathe sur un site de rencontre, ça vous tente j’essaie de tailler la bavette avec elle, mima Genma avant de soupirer.
Lui aussi … Il voudrait aider un peu Zabusa. Simplement pour se donner l’impression d’aider Anko par la même occasion. Oui, aucun rapport avec la choucroute. Mais il s’est prit trop de fois le mur avec Anko pour ne pas y penser. Il avait envie d’aider Zabusa, surtout parce que l’âge et la raison de son enferment mentale étaient les preuves suffisantes pour savoir qu’il aurait fallu mettre le feu à Kiri avec les rebelles. Mais ça Genma ne le dit pas. Il releva les yeux vers Kuro qui avait capté son regard avant de le reposer sur Iruka.
- Tu es au courant que si je demande un service, on risque de me coller encore plus au cul pour que je fasse parti des renseignements ? Ibiki m’a déjà renvoyé trois lettres de propositions de recrutement ce mois-ci. Trois ! - Il te veut, sourit Genma en pensant à un petit secret qui le faisait rire. - Argh ! Et puis, pourquoi c’est toi qui prêche pour la paroisse de Zabusa ? Il est où le Kakashi ?
Kuro avait toujours un peu de mal à se faire à l’idée que son rival était simplement le mec le plus « canon de Konoha »…En tout cas selon un récent sondage avec ses espions … Alors bon. Il n’était pas réellement jaloux, plus conscient que Kakashi ferait bien de s’occuper de Zabusa et d’oublier Kinoe … il n’était pas sûr de pouvoir gagner contre lui, et cela même si Yamato semblait vraiment l’aimer.
- Il ne dit rien. Il est comme elle, sauf qu’il fait les missions. Un vrai petit soldat. Comme à son ordinaire quoi. - Kakashi et la fille du démon …, murmura Genma avant de faire un sourire, Iruka et la fille du serpent…. - Elle n’est pas la fille d’Orochimaru, pesta Iruka mais se faisant ignorer. - Kuro et la fille sans chaleur, Kuro releva un sourcil pour spécifier sa désapprobation, et moi et la fille … mhhh … parfaite. C’est drôle.
Il eut un élan de désapprobation sur qui était réellement la fille parfaite entre les quatre énoncés. Il va s’en dire que personne ne vient prendre la défense de Zabusa. Il ne fallait pas abuser non plus. Genma sourit encore plus, content de son petit effet avant de se remettre sur la table, la bière mit à côté de la citronnade et du … jus de chaussette de Kuro.
- Blague à part, Kuro, tu comptes faire quoi ? - Non, mais je rêve ! Je jure que si Ibiki ou le maître Hokage me renvoie en mission à l’extérieur, vous serez victimes avec moi. Je le jure !
*
Après une discussion avec l’Hokage et Ibiki, et la promesse de Kuro qu’il fera plus de missions à l’extérieur pour permettre à Konoha d’utiliser son plein potentiel de commérage (il aimait bien Mononoke, mais là, il avait tout de même envie de bouder), il finit par se rendre dans la cellule de la jeune femme. Comme l’avait prévu Iruka, la cellule avait tout le confort d’une chambre d’hotel. Rien de pointu cependant, pas de chaise non plus. C’était tout de même une prison. Dans un coin, il y avait Zabusa. Il savait que cela faisait deux semaines qu’elle était là. Répondant par oui ou par non, ou de manière rapide. Elle semblait honnête, mais pas là. Pas présente. Or, ce que voulait Konoha c’était la certitude qu’elle pouvait être un atout pour la ville, pas un danger et surtout pas une menace … encore moins un robot. Cette technique de se dissocier de la réalité pratiquement à en être qu’un fantôme, ça ne lui plaisait pas à Kuro. Il fit mettre une chaise, pas question qu’il reste debout comme un imbécile, au milieu de la pièce et il fit sortir tout le monde. Il avait réussi, avec une certaine habilité qui rajouterait encore des raisons à Ibiki de le vouloir dans son équipe –fichtre, il n’avait pas prévenu Kinoe de sa décision d’aider Kakashi- à ne pas parler de son lien avec Mononoke. Rien du tout. En faite, il espérait que la connivence et la taquinerie viendrait d’elle-même. Il se présenta, lui demande de faire de même. Ce qu’elle fit comme un soldat. Il essayait plusieurs questions sans réponse valable. Mouais … Mouais …. Il finit par se rabattre sur la chaise. Il savait que tout ce qu’il disait et faisait dans la pièce était filmé. Peut-être même que Genma et Iruka étaient en train de le regarder. Ce n’était pas impossible s’ils avaient réussi. Bon. Il fit une première journée normal, mais reviens trois jours de suite sans avoir une nouvelle réaction de Zabusa.
Cependant, le sourire qu’il arborait à chaque fois qu’il sortait dissuader les ninjas du renseignement de se poser de questions. Ouais. Les ninjas du renseignement étaient renseigner sur Kuro … et une grande partie le trouver plus flippant encore qu’un espion normal. Parce que lui, il arrivait à savoir des choses que personne ne sait, mais les apprenait pour le plaisir, par la déduction et l’observation. Il n’avait même pas dit beaucoup plus de mot que Zabusa dans la pièce. A l’issu du quatrième jour, alors qu’il s’assit sur la chaise, il ne dit rien du tout. Il enleva sa veste. Une couche de veste puis une autre, finissant en débardeur. Il ne regardait plus la jeune femme mais lui demanda.
- Tu m’écoutes ?
Oui. Elle l’écoutait. Même si elle ne bougeait pas, Kuro avait compris comment savoir si elle était attentive ou pas. Il sourit simplement, de la même manière que les autres jours. Il finit par s’approcher et faire suivre la chaise pour qu’il puisse s’assoir très proche d’elle. Depuis le temps Kinoe avait dû apprendre qu’il se trouvait dans la gueule du loup, mais rien sur le visage de Kuro ne laissait croire qu’il avait peur. Au contraire. Il avait hâte.
- Je vais te toucher le bras, prévient-il parce qu’il ne voulait pas qu’un reflexe inconscient ne vienne déranger la jeune femme et faire croire à une agression.
Il touche son bras, comme il l’a dit. Rien de sexuelle. Il fait juste en sorte que son bras se trouve aligner au sien. La main de Kuro était sur son épaule et il posa la main de Zabusa sur la sienne dénudé. Il fit un autre sourire tout content, comme s’il était en train de jouer à « Je te tiens par la barbichette » et pas faire quelque chose de trop bizarre. Kuro avait compris que parler permettait à l’esprit de Zabusa de se dissocier du reste, de n’être pas réellement présente. Avec ça, elle ne pourrait pas faire autrement. Alors qu’il la regarde, lui parle du beau temps. Il lui parle de Konoha. Il lui parle de Kinoe, mais personne ne pourrait savoir qu’il parle d’elle puisqu’il l’englobe dans des statistiques qu’il avait faites. Pendant ce temps, son bras se craquelait doucement sous lui. La jeune femme pourrait sentir de petits mouvements sur les zones qui étaient en contact de leurs peaux. Il continue de parler, laissant les chenilles sortir de sa peau pour commencer à se répandre sur les deux bras, se mouvement de leur petit mouvement du fessier. D’abord, l’avant avance, puis le cul rejoint l’avant et l’avant se laisse glisser pour avancer, et ainsi de suite. Les chenilles grouillent se dispersent, une petite centaine qui se protégea de la lumière par l’ombre des deux bras pour devenir plus lourd, plus chaud, plus dur. Ils se changèrent tout de suite en cocon qui attendait. Qui rendait la peau légèrement rougi là où ils se posaient pour faire leur transformation. Puis, un nouveau craquement, mais tout petit, juste un murmure dans la nuit alors que Kuro parle maintenant du statistique des hommes qui mettaient deux chaussettes différentes le matin. Les cocons bougent, tremblent entre leurs bras avant d’exploser. Minuscule explosion tout aussi chaleureuse et déversant dans la cellule une vingtaine de petit papillon noir tâché de blanc. Pour le moment, leurs ailes ne ressemblent pas à une tête de mort, juste à des points qui ne pourraient rien dire.
- Hé, Mononoké, fit-il par dire en tournant la tête vers elle avec une franche camaraderie, je te l’ai dis… Tu es un papillon, pas un cocon. Me fait pas attendre pour voir tes ailes.
Et il sourit, de toutes ses dents alors qu’il la regarde reprendre petit à petit pieds dans le monde. Il se doutait qu’il fallait quelque chose de doux et fort. Quelque chose qui la réveille comme une parole qu’ils avaient échangée et la chaleur du chakra qui coule dans ses veines. Il ne bouge pas Kuro. Il attend qu’elle revienne parfaitement vers lui. Et quand il pense que c’est réussi, il fait un nouveau sourire.
- Tu sais que Koeda m’a littéralement saoulé avec toi. Tu dois être la nouvelle recrue de Konoha la plus protégé du moment. Moi, Kakashi, Koeda, Iruka, et bien sûr d’autres qui seront des fervents admirateurs de ta réussite, si tu veux bien arrêter de te la jouer perso.
Les papillons continuaient de voler autour d'eux, surtout autour de lui pour tout dire, collant leur corps à la peau de Kuro comme si c'était leur arbre rien qu'à eux. Ce qui était le cas. Papillons, cocons, chenilles, oeufs, il possédait tout ça en lui. Et ils avaient besoin de son sang pour survivre, aussi simple que ça. Heureusement pour Kuro, ils n'en prennent jamais trop.
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HATAKE
Dim 19 Nov - 0:33
Zabuza Momochi
J'ai 24 ans ans et je vis un peu partout Dans la vie, je suis mercenaire, . Et je m'en sors pas trop mal. Sinon, grâce à ma vie (?), je suis célibataire mais je voue un culte étrange à Kakashi Hatake, qui se prétant être l'homme de ma vie. Pfeuh. (Sans doute a-t-il raison ?). - 1m79 - ninja issue de la brûme rouge de Kiri - a buté l'intégralité de sa promotion de genin, entre autres horreurs - a tenté un coup d'état contre le mizukage, avec les autres épéistes - considérait Kisame Hoshigaki comme un grand frère - vit cachée, toujours comme mercenaires, depuis son "décès" au pont Naruto - n'a plus revu Haku depuis bientôt deux ans - considère de Kakashi Hatake a sauvé le vie de ce dernier, et peut-être un peu la sienne aussi
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“L’école” des ninjas de Kiri était une prison à l’envers. Un internat où tout le monde s’enfermait à double tour dans sa cellule chambre. Ils le savaient, tous, peu importe qu’ils aient dix ans, qu’au bout du compte, ils devraient s’entretuer en guise d’examen scolaire. La légende disait qu’il n’y avait qu’un seul diplômé par “promo”. C’était faux. Parfois, il n’y en avait qu’un, mais souvent, il y en avait plusieurs. Tout dépendait de quand les ninjas supérieurs interrompaient le massacre final. Si plusieurs gosses leurs plaisaient, ils les gardaient tous en vie. Il arrivait cependant qu’aucun ne leur plaise. Et qu’ils achèvent eux-même les gamins restants pour abréger un combat qui ne servait à rien. Bref. Tout ça pour dire qu’ils le savaient. Alors quitte à devoir s'entretuer à la fin, autant commencer dès le début. Et après quelques bagarres dans les couloirs, et une brosse à dent plantée dans la carotide d’un jeune un peu trop téméraire qi s’était introduit dans sa chambre, Zabuza avait fini par faire comme tous les autres, s’enfermer à double tours. Et une fois enfermé, ils n’avaient plus rien d’autre à faire que se retrouver seuls. Avec eux-même. Et leurs pensées. Alors à ce moment-là, ils développaient des techniques d’auto-hypnose ou de transe, inconsciemment, pour éviter d’avoir à faire face à l’horreur de leur situation et de leur personne. Ils se mettaient en veille, jusqu’à ce que l’alarme du réveil sonne, et que les voix des ninjas supérieurs résonnent dans les couloirs. Et qu’ils sortent de leurs chambres pour survivre à une journée de plus.
Alors c’était facile, pour Zabuza, de supporter un enfermement. Elle avait plus que l’habitude. C’était programmé, presque devenu génétique. Une facilité atroce qu’on tous les survivants de Kiri, de s’évader de leur propres corps. Encore plus pour les survivantes de Kiri, qui comme elle pouvaient recevoir des visites pas franchement sollicitées de leurs ninjas supérieurs masculins. Et ici, il n’y avait pas de ça. Alors elle peut rester amorphe à loisir Zabuza, être tout juste assez présente pour … “répondre”. Ou se rendre compte que ce n’est jamais Kakashi qui vient. Oh, elle sait qu’il ne viendra pas. N’empêche qu’elle vérifie à chaque fois. Au cas où.
Oh, tiens, un nouveau. Super. Elle ne retient pas son nom, même si elle donne le sien en échange. C’est le minimum syndical. Et puis il reçoit le même traitement que les autres. Oui. Non. Regard blasé. Soupire. La seule question c’est de savoir dans combien de temps il va se lasser. Visiblement moins vite que les autres vu qu’il sourit mais … Bah. Grand bien lui fasse. C’est pas ses oignons à Zabuza. Elle s’en contre-fout de si ça l’amuse ou pas.
Le troisième jour, elle fixe son regard absent dans sa direction. Parce que le gars à commencé à se dissiper quand même, et elle se demande si, finalement, ils font ça à Konoha aussi, et si elle va devoir lui arracher le zgeg avec les dents. Ou pas. Elle sait pas. Elle soupire à peine et attend. Ah. Au moins il prévient qu’il va al toucher le boug. Trop aimable. Son regard vitreux suit les mouvements du ninja même si elle le laisse faire. Ouais. Non. Définitivement rien de sexuel là-dedans finalement. Tant mieux. Pas envie de devoir expliquer pourquoi elle a dû le tuer.
Bon. Bah voilà, hein. ELle ne sait pas trop ce qu’il fout, et à vrai dire, tant qu’il se contente de lui toucher le bras, elle s’en cogne un peu. Alors elle repart plus loin, mentalement, avant que les sensations sur son bras ne raccrochent son attention. Puis les papillons. Elle les regarde. Elle regarde les sphinx. Et le puzzle se fait doucement dans sa petite tête alors qu’elle revient peu à peu parmi les vivants. Un tout petit sourire nait sur le coin de ses lèvres et elle tourne un regard un peu plus clair vers Sphinx.
“Si tu me traites encore une fois de papillon, je t’écrabouille.”
Ouais. Bon. C’est ENCORE une menace. Mais c’est son principal moyen de communication. Et au moins, ce n’est ni “oui”, ni “non”, ni un soupire. Ni oui, ni non, ahah. Comme le jeu de gosses, là. Cette idée la fait sourire un peu plus, et Zabuza tourne la tête vers le ninja.
“Tu veux quoi ? Tu viens me fournir une tenue sexy pour appâter Kakashi ?”
Elle “plaisante”. Fait surtout référence aux derniers messages qu’ils se sont échangés avant qu’elle ne décide de se rendre au ninja copieur.
“Si t’as ton tel on peut même lui envoyer des photos ambiguës pour le faire chier.”
Ouaaaiiiis. Enfin une activité qui pourrait lui plaire depuis deux semaines qu’elle s’oublie dans sa cellule-là. Un peu de fun. Zabuza bouge enfin, bascule sur ses genoux et glisse sur les draps pour faire face à Sphinx, Kuro, il a dit, à genoux sur le lit. Elle plante ses yeux nettement plus réveillés dans les siens et fait un bref mouvement de provocation du menton, qui s’avère être le signe qu’elle l’écoute pour de vrai cette fois et qu’elle l’invite à dire un truc qui vaille le coup d’être écouté. (Attention qu’il dise pas n’imp’, sinon elle retourne dans son “mutisme”.)
“Tu veux quoi ?”
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Dim 19 Nov - 22:35
Kuro Aburame
J'ai 27 ans et je vis à Konoha. Dans la vie, je suis ninja supérieur et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux mais d'une femme qui semble bien supérieur à moi. → Grand frère de Torune et Shino → Utilise les papillons. → Adore observer les gens et compter
Il fait un sourire aimable. Un sourire d’amitié et content de voir qu’elle était parmi eux. Il fit un sourire encore sans avoir à se forcer. Il n’allait pas la traiter –tout de suite- de papillon … Mais il allait clairement l’appeler encore ainsi. Elle était un papillon. Point. Et dans ses yeux, et surtout dans sa bouche, être un papillon était le compliment ultime. Kinoe était la femme la plus belle du monde, la reine des papillons. Mais Zabusa, par son histoire et son besoin d’évolution, était clairement un joli papillon. Un démon papillon. Mais tout de même… Alors il ne dit rien, mais ses yeux rieurs parlaient pour lui. C’était aussi simple que ça. Et puis, en effet, il avait réussi à avoir une réaction bien plus importante que tous les autres avant lui… Héhé. Merde. On allait encore dire qu’il pouvait faire plus. Pas cool. Il n’avait aucune envie que l’on remarque qu’il pouvait faire plus. Sur ça, il était un Nara. Mais en plus doué puisque Shikaku et Shikamaru s’était fait chopé, héhé. Pas bête, la bête. Il se rassoit, lâche enfin son bras alors que les papillons continuent de faire leur petite vie.
- Je sais absolument tout ce que pourrait aimer Kakashi en termes de tenue. Ne me demande comme je le sais, les gens parlent. Mais après, ça serait encore mieux que tu le découvres par l’expérimentation. Mais pour ça, faut que tu sortes.
Héhé. C’était si logique. Vraiment logique. Si elle voulait s’amuser avec des tenues affriolantes… avec Kakashi (non sérieusement ? Pourquoi toujours Kakashi, il n’était clairement pas si beau !) il fallait qu’elle sorte de là. Parce que lui, il était terriblement sérieux. Cela pourrait donner de bonnes idées, non ? Et puis, si le blanc l’écoute comme il faudrait, il serait qu’il serait temps de bouger son cul pour faire les bonnes choses. Pour la photo … Il sourit, se tourne, dos à la jeune femme pour lui montrer totalement ça confiance avant de sortir son téléphone et de faire la photo la moins bien cadré de l’univers. Il s’amuse avec l’angle, de façon à les voir de « haut » et il l’envoie à Kakashi avec un petit message. « Sérieux la prochaine fois, fait ton taff ». Il revient vers elle et hausse les épaules. Il fait un sourire avant de la regarder … Puis, il continue de marcher pour s’assoir à côté d’elle sur la paillasse, se mettant proche d’elle.
- Tu me manquais. Et puis j’avais envie de t’aider. C’est ça, être ami, répondit-il avec un large sourire.
Il ne la touche pas réellement, mais il reste assez proche d’elle pour qu’elle puisse le sentir comme une présence rassurante. Après tout, c’était le pouvoir de l’amitié, en plus d’être celui de Kuro … Alors être Kuro + son ami, ce n’était vraiment pas mal.
- On va commencer alors, dit-il en tournant la tête vers elle et faire ce nouveau sourire qui était réellement remplit de joie, si on parlait de tout ce qu’on va faire alors. J’ai tellement hâte que tu sortes et que tu les laisses tous sur le cul.
Parce que beaucoup pense que ça n’arrivera pas. Beaucoup pense que Zabusa allait les trahir dès qu’elle le pourrait, faire un coup d’état ou tenter de tuer l’Hokage … mais pas le trio. Cela suffit. Le trio étant les plus casse-couille au monde.