"Everyone is given life for a reason. The quest to discover what that is… …is the only freedom us humans have been given" (Charlissa)
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Clionestra
Mer 21 Juin - 14:29
Kimimaro Kaguya
J'ai 20 ans et je vis dans une grotte, entre deux Pays. Dans la vie, je suis déserteur, tueur, en cavale, pas une personne fréquentable et je m'en sors pas bien. Sinon, grâce à ma chance, j'ai rencontré une femme sur un site et je crois que je l'aime même si elle mérite mieux.
Kimimaro avait une capuche sur la tête. Volé. Comme le reste. Depuis sa prétendue mort, il vivait caché dans une grotte entre Oto et Konoha. Il vivait caché de tous. Personne ne l’avait cherché. Puisqu’il était mort. Personne n’avait voulu savoir où il était enterré non plus. Il avait vue Gaara, de Suna, et Rock Lee, de Konoha, venir mettre des fleurs sur cette tombe qu’ils lui avaient fait. Kimimaro se demande toujours pourquoi ils faisaient ça ? Par pitié ? Peut-être. Ils devaient avoir pitié de lui. Pauvre Kimimaro. Il était si stupide. Pauvre de lui. Si bête. Kimimaro secoua la tête. Non. Il ne pouvait pas penser à cela maintenant.
Dans sa main, il avait une fleur dans un pot, volé aussi. C’était une fleur doré. Il ne connait pas du tout le nom de la plante. Il savait juste qu’elle sentait bon la nuit et se cacher la journée en n’émettant aucune odeur. L’odeur était de nuit, elle vibrait dans la forêt. Kimimaro avait fait en sorte de remettre tous ses os en place, préparant un de ses os pour le chien de la jeune femme…
Elle. Il se fige alors qu’il marche vers leur lieu de rendez-vous.
Et il n’avait pas peur qu’elle ne soit pas qui elle dit… mais il avait peur qu’elle ne l’aime pas du tout. Elle avait dit savoir qui il était. Elle devait savoir que son pouvoir était dégoutant et qu’il était considéré comme une arme pour tout le monde. Il soupire. Observe encore cette plante dans ses mains. Si seulement elle pouvait sentir juste en journée, pour une fois. Il avait besoin de l’odeur réconfortant et si sucré qu’elle dégage la nuit. Celle qui l’empêche d’avoir des cauchemars. Il ne sait pas que c’est une plante rare, connu justement pour être protectrice du sommeil et aider aux insomnies comme au cauchemar si on la cultive. Il ne sait pas beaucoup de chose Kimimaro. Il avance à nouveau, évite de se faire remarquer, baisse la tête.
Il ne sait pas du tout ce qu’il se passe dans son cœur. Il avait envie de partir en courant, pour tout avouer. Il avait peur de la situation parce qu’il savait que ce n’était pas comme avec les autres. Pas comme avec sa famille, où il a accepté d’être un monstre pendant des années. Ni comme avec Orochimaru. Le serpent sans nez. Il en aurait sourit, s’il ne savait pas que … deux ans auparavant, il aurait tué la jeune femme pour un pareil blasphème. Il avait été con, très … Et maintenant il allait rencontrer une femme dans un coin magnifique pour … La rendre moins belle ? Elle serait forcément moins incroyable avec lui à ses côtés. Il se dit qu’il va aimer les dango. Puisqu’il l’aime beaucoup elle. Il remonta sa plante, baisse la tête quand quelqu’un passe et suit le chemin qu’il avait trouvé pour se rendre au lieu de rendez-vous. Une cascade dans les pays des cascades. Si jamais, il pourrait se jeter dans l’eau et se laisser mourir. Il pourrait très bien grossir la densité de ses os pour se laisser mourir.
Il s’approche de la grotte sous la cascade et se terre dans les ombres. Pas pour lui faire peur, mais par habitude de ne pas devoir être vue. Il s’assoit sur le sol. Le sweat à capuche toujours sur lui. Il tremble un peu. C’était peut-être une mauvaise idée. Il regarde le téléphone qu’il a honteusement volé et qui fonctionne encore grâce … au destin ? Il faudrait qu’il le jette. Il n’est pas une bonne personne. Alors il plaque ses jambes contre son torse, pose la tête sur ses genoux et il attend. Il écoute le monde extérieur. Attend d’entendre un chien ou une femme. Et il se cache dans les ombres. Dans la peur qui le terrasse. La plante en pot au milieu du passage pendant que lui se terre. Et étrangement, il a l’impression qu’à l’ombre de la grotte, la fleur sent à nouveau. Il veut la sentir, pour ne plus avoir peur.
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HATAKE
Mer 21 Juin - 15:34
Nakashima Chikara
J'ai 20 ans et je vis aupays du fer. Dans la vie, je suis samouraï et je m'en sors très bien, à vrai dire.
ELLE SE DEMANDE VRAIMENT, VRAIMENT, VRAIMENT, CE QU’ELLE EST EN TRAIN DE FOUTRE !!?? Elle en oublie même les principes de base de politesse, ou le simple fait qu’elle n'aime pas utiliser des mots vulgaires. Comme “foutre”. Burk. MAIS. Elle n’est a pas grand chose de paniquer pour de bon, Chi. Heureusement qu’elle a pris Nobu avec elle. Elle a dû batailler contre ses cinq petits frères et soeurs pour gagner le droit de les priver de leur compagnon à quatre pattes pour quelques jours. Il y a eu des larmes et des cris, enfin surtout de la part des plus jeunes. Et Chi a failli céder plusieurs fois. Mais elle a tenu bon. Parce qu’elle savait que Nobu apaiserait KImimaro. Et ça, c’était important. Et les petits pourront toujours câliner les chats en attendant. Et finalement, Nobu l’aide elle-aussi. A chaque fois qu’elle panique un peu trop, elle siffle, et l’énorme chien blanc revient en trotinnant placer sa grosse tête sous la main de sa maitresse. Chi n’a plus qu’à plonger ses doigts dans l’épaisse fourrure du molosse, et ça la rassure.
Mais oui, elle panique. Pas parce que c’est Kimimaro. Elle est passée aux archives avant de se mettre en route pour le pays des cascades. Relire le rapport à son sujet. Par curiosité. Pour ne pas dire de bêtise. Comme elle a dû le faire en parlant d’Orochimaru, elle le comprend seulement bien avec du retard. Mais ce n’est pas son identité de shinobi hors la loi, ancienne arme de l’autre psychopathe reptilien, ou ses étranges capacités qui lui font peur. C’est juste. Que c’est un homme. Un homme qui se croit amoureux d’elle. Et pour qui … Oui, elle ressent de l’amour, même si elle ne sait pas lequel encore. Alors elle panique, à chaque fois qu’elle y pense un peu trop. Elle siffle. Nobu vient. Elle le caresse. Et elle se remet en route. Jusqu’à la cascade de Nabe.
Elle ne lui a pas donné rendez-vous là-bas pour rien. Elle s’est dit qu’elle n’allait pas venir envahir l’endroit où il se cache, et essaye de trouver un peu de paix, sans doute. Elle s’est bien entendu dit aussi qu’inviter quelqu’un “comme lui” au pays des samouraï pouvait peut-être s’avérer délicat, ahah. De toute façon, ça caille chez eux. Et puis elle s’est dit qu’elle aime beaucoup ce pays, l’eau qui coule, partout, le vert des plantes luxuriantes, partout. Peu de monde. Peu de guerre. Des fleurs et des insectes partout. Et elle a choisi cette cascades-ci parmi toutes les autres parce qu’il y a une grotte. Et elle s’est dit que Kimimaro aimerait bien … une grotte.
“Nobu !!! Soit gentil ! Fais doucement !”
Elle a vu les oreilles du chien se relever, il a accéléré le pas vers la grotte sous la cascade. Alors Chi en déduit que Kimimaro est déjà là. Elle rougit en continuant de s’avancer. Un peu moins vite. La jeune femme croise les bras devant elle pour refermer la veste sur sa poitrine et la dissimuler … autant que c’est possible … Mais à moins de mettre une armure ou un anorak … Enfin bref. Elle est vraiment contente d’avoir pris Nobu avec elle. Il doit être en train de baver sur les vêtements de Kimimaro en lui réclamant des caresses. Ça leur laisse du temps à tous les deux. Lui en caressant le chien, elle en arrivant doucement à l’entrée de la grotte. Toujours dans le soleil, elle lève une main en visière au-dessus de ses grands yeux verts pour voir dans l’obscurité.
“Tu -tu es déjà là ? K-Kimimaro ?”
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Clionestra
Mer 21 Juin - 19:41
Kimimaro Kaguya
J'ai 20 ans et je vis dans une grotte, entre deux Pays. Dans la vie, je suis déserteur, tueur, en cavale, pas une personne fréquentable et je m'en sors pas bien. Sinon, grâce à ma chance, j'ai rencontré une femme sur un site et je crois que je l'aime même si elle mérite mieux.
Kimimaro reste la tête dans ses jambes. Il respire doucement. Il se dit qu’il devrait se lever et partir en courant. Il devrait lui laisser la fleur. Malgré lui, il s’enfonce dans les ombres un peu plus. Mais qu’est-ce qu’il fait là ? Il devrait courir, loin… Il devrait partir se cacher dans un coin. Il devrait se laisser mourir une bonne fois pour toute…. Une femme veut le câliner, lui. Lui faire un bisou ? Peut-être. Qu’est-ce qu’il dirait de cette proposition ? Il avait envie de dire oui. Il n’avait jamais aimé de femme avant elle. Il n’avait jamais aimé personne comme ça. Le sentiment dans son cœur était incroyable. Si puissant. Et pourtant … C’était comme prendre une rose dans les mains, ça pique, ça rentre dans la peau, mais on a tout de même envie de toucher avec douceur sa tige.
Il respire encore. Il essaie. Il se demande ce qu’il doit faire… et s’il faisait … S’il faisait quelque chose. Il avait l’impression que sa peau s’ouvrait pour rentrer dans le mur. Il allait fusionner avec la pierre et ne plus jamais apparaître… Il ne voulait pas … il ne pouvait pas. Il entendit la voix de la jeune femme avant de la voir. Il sentit la langue du chien avant de la voir. Il la trouvait magnifique sans la voir et il ne savait pas du tout comment il était censé réagir. Il caresse le chien. Il profite et lui envoie un os qui venait de son corps avec douceur. Les os n’étaient pas réellement reliés à lui. Il n’y avait rien … Rien de grave. Il n’y avait rien de … bizarre, à donner son os à un chien. Il se lève, reste dans l’ombre regarde la femme arrivé, son ombre, mais n’ose pas regarder sa tête. Il regarde le sol. Ses pieds. Il savait qu’elle était magnifique mais ne savait pas du tout comment faire pour gérer cette information… alors il se racle la gorge, avance d’un pas vers « la lumière », plisse les yeux et se courbe un peu.
- Je suis là, fit-il de sa voix la plus posée.
Bien que l’intérieur de son esprit soit une véritable fournaise en train d’exploser. Il devait faire quoi maintenant. Il se sentait un peu sale. Il avait volé le sweat sur un étendard mais … il savait aussi que la jeune femme aimait l’honneur et la vertu. Tout ce qu’il avait c’était des habits volés, et noir, qui dissimule son corps en entier. Il n’avait pas encore osé relever les yeux vers elle et prit une respiration pour reporter les yeux sur la jeune femme. Il la regarde et s’immobilise. Elle est belle. Elle est belle comme il s’imaginait qu’elle le serait. Il rougit. Regarde ailleurs à nouveau alors que l’image de la jeune femme reste dans sa rétine. Comment une femme aussi belle, et il ne parlait pas que du physique, il parlait de tout ce qu’elle dégage. Machinalement, il mit la main sur son visage pour se cacher un peu plus.
- Je t’ai apporté une fleur. Il se penche et lui offre la fleur d’or qui sent toujours très bon, je la trouve belle. Comme une fleur. Comme toi.
Bon. C’était bon, maintenant, il pouvait aller se cacher un peu loin … Il ne savait pas trop. Il avait vraiment besoin de savoir quoi faire. Il tremblait un peu alors qu’il lui tendait la fleur d’or.
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HATAKE
Mer 21 Juin - 20:21
Nakashima Chikara
J'ai 20 ans et je vis aupays du fer. Dans la vie, je suis samouraï et je m'en sors très bien, à vrai dire.
Elle n'y voit rien du tout. Elle distingue à peine la masse blanche du chien dans l'obscurité. Mais Chikara a encore les rétines brûlées par la lumière du soleil et il faut que ses yeux s'habituent. Et puis elle entend la voix de Kimimaro. Enfin une voix d'homme. Et elle sent un frisson d'excitation lui couler le long de la colonne vertébrale. Un mélange de peur et d'impatience. La jeune femme se mord l'intérieur des joues, et elle avance dans l'obscurité, pour le trouver. Elle a hâte de le voir. De lui sourire. Et de le toucher aussi. Un peu. (Calme, calme, on se calme Chi.)
Et elle le voit. Un peu. Elle voit sa silhouette surtout. Il est grand ? Peut-être. De toute façon, tout le monde est grand face à elle et son mètre 57. Elle baisse les yeux sur ses propres mains qui tordent ses doigts d'appréhension. Elle siffle tout doucement. Nobu revient à ses côtés avec son os dans la gueule. Et elle lui gratte le crâne deux secondes, pour se rassurer avant de continuer d'avancer vers Kimimaro. Et elle voit les longues mèches blanches sechapper de sa capuche. Elle appréhende oui, mais elle se rend compte qu'il appréhende encore plus qu'elle. Et comprend qu'il a un tas de raisons de plus qu'elle, et plus valables que les siennes, d'appréhender. Et d'avoir peur même. Alors elle sourit doucement. Arrête le tremblement de ses mains en regardant celui des mains du jeune homme.
Chi attrape la fleur et la main de Kimimaro entre les siennes. Et prend soin de bien la garder. Pour ne pas qu'il s'enfuit. Même si, bien sûr, elle ne le forcera pas s'il ne veut pas la toucher.
"Oooh waah !! Elle est vraiment jolie ! Je l'aime beaucoup ! Merci Kimimaro ..."
La jeune femme presse doucement ses doigts contre ceux du ninja, et puis elle le lâche. Prend la plante dans son pot. Puis elle retire le sac en bambou qu'elle a dans son dos pour le poser par terre, et pose la fleur dessus avant de se redresser pour faire de nouveau face au jeune homme. Qui a l'air, très très, mal à l'aise. Elle sait pourquoi, elle croit, il lui a souvent dit qu'il risquait de la dégoûter. Alors Chikara s'approche un petit peu plus de lui. Elle lève de nouveau une main pour prendre celle dont il se sert pour dissimuler son visage mais sans l'abaisser.
"Tu sais, je sais à quoi tu ressembles. Les ninjas que tu as affrontés ont fait un portrait robot de toi. C'est qu'un dessin d'accord. Mais je sais que tu as les yeux verts. Et deux points rouges sur le front …"
Elle lui parle avec doucement. Chi a la voix un peu aiguë, alors le ton est presque enfantin. Elle presse sur sa main, cette fois, pour l'inciter avec douceur à la baisser et à lui montrer son visage. Sans le forcer à la faire pour autant. Elle tremble à nouveau un petit peu Chi. Pas de peut du tout. Mais parce qu'elle sait ce qu'elle veut lui dire, et va lui dire dans quelques secondes. Alors elle est fébrile. Elle prend juste une inspiration d'air et de courage avant d'ajouter :
"Et puis tu auras besoin de tes deux mains si tu veux un câlin."
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Clionestra
Mer 21 Juin - 20:54
Kimimaro Kaguya
J'ai 20 ans et je vis dans une grotte, entre deux Pays. Dans la vie, je suis déserteur, tueur, en cavale, pas une personne fréquentable et je m'en sors pas bien. Sinon, grâce à ma chance, j'ai rencontré une femme sur un site et je crois que je l'aime même si elle mérite mieux.
Il se sent entre le marteau et l’enclume. Il sent l’impression que toutes les solutions possibles seront mauvaises … il avait envie de dire … Il avait envie de se cacher encore plus. Il avait envie de baisser la tête, s’enfoncer encore dans la grotte. Il savait nager ? Il essaie de s’imaginer le « meilleur des mondes ». La main de la jeune irradie dans la sienne. Il sent la chaleur de sa peau contre la sienne qui est si froide. Il était aussi froid que les os. Il était aussi froid que la mort. Il se demandait si la jeune femme allait finir par avoir mal. Quand une main est si froide que ça crée des gerçures, ça fait mal. Il a peur de lui faire du mal, simplement avec ça. Il la laisse la toucher. Il n’ose pas bouger.
Il n’ose pas bouger ou faire le moindre mouvement. Il rougit quand elle le regarde. Ouais. Y a ça. La photo qui fait croire qu’il est un monstre. Le dessin qui dit qu’il était un déserteur et un tueur. Il imaginait bien une image caricaturale de lui. Il baisse la main et rougit. Il la regarde et se bloque. Quand elle lui parle de câlin, tout son corps se fige. Même sa respiration s’arrête brutalement. Il se fige. Quoi ? Il faut deux mains pour un câlin. Il penche la tête avec douceur.
- Je … je ne sais pas comment faire. Pour faire un câlin. Je veux dire … on a vraiment besoin de ses mains ? Tu veux … Sortir au soleil ?
Il voulait bien lui, puisqu’il était là pour elle… Il aimait bien être là. Avec elle. Il voulait la toucher. Alors il prend sa main complètement, avec les deux siennes, et touche sa peau délicatement. Touche les phalanges de ses doigts. Puis, il prend la main et sort. Il finit par plisser les yeux devant la lumière. Il se met devant la cascade. Il regarde l’eau coulé. Il regarde ailleurs. Il ne sait plus.
- Désolé. Je suis bizarre.
Il respire à nouveau. Il ne sait pas s'il doit enlever son sweat ... mais il a chaud. Il a vraiment chaud. Il se demande si c'était simplement le climat ... ou bien si c'était aussi la chaleur qui irradiait des doigts de la jeune femme. Il respire, inspire, expire, attends une bonne chose.
- Je dois enlever mon sweat pour un câlin ? Je veux dire ... je dois être ... Je dois être plus à l'aise ? Je peux... je peux embrasser ta joue, aussi ?
Il avait un peu de jalousie face aux personnes qui avait le droit à une telle tendresse. Il voulait vraiment essayer, un bisou sur la joue. Cela doit être mignon.
- Et pas parce que je suis un homme bizarre qui ne voit ton visage ! Je voulais t'embrasser avant de ... de voir ton visage !
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HATAKE
Mer 21 Juin - 21:50
Nakashima Chikara
J'ai 20 ans et je vis aupays du fer. Dans la vie, je suis samouraï et je m'en sors très bien, à vrai dire.
"Eh bien on a surtout besoin de ses bras, mais les mains c'est bien aussi."
Chikara répond en riant doucement à la question innocente du jeune homme, courant ses lèvres de sa main libre.
"On peut sortir si tu veux, oui. J'aime bien le soleil, mais on peut rester là aussi."
Elle se dit qu'il préférera sans doute rester dans l'ombre de la grotte. Parce qu'il est habitué à vivre dans l'une d'elle, alors ça doit être familier pour lui, et plus rassurant. Surtout s'il préfère se cacher un peu. L'ombre, ça aide. Mais Kimimaro l'entraîne à l'extérieur, et la jeune femme le suit avec plaisir, en riant toujours. Tout doucement.
"Bah ! Ne t'inquiète pas. Moi aussi je suis bizarre dans mon genre."
On lui avait déjà dit qu'elle était trop souriante. Trop gentille. Trop jolie (oui oui). Qu'elle était trop de bonne humeur tout le temps pour être normale. Sans doute qu'elle n'est pas normale. Toujours dans son petit monde. Ou en tout cas, filtrant celui qui l'entoure avec beaucoup de rose, de petits cœurs volants et de papillons imaginaires. Bref. Elle aussi elle est bizarre.
"Ah oui ! C'est mieux d'être à l'aise ! Et puis tu pourras oui. Enfin pas tout de suite, tout de suite. Mais tu pourras si tu veux. Et je t'en ferai peut-être un aussi."
Elle répond en riant toujours de son léger rire en son de clochette.
"Je ne me moque pas, hein. Quand je ris. C'est juste. Que je suis contente de te voir."
Et qu'elle le trouve très mignon. Dans son attitude. Mais elle va éviter de le lui dire tout de suite pour ne pas être flippante.
"Ahah ! T'inquiètes pas. Je sais que. Que tu n'es pas comme ça."
Elle lui sourit. Et puis se rend compte qu'elle est trop habillée elle-aussi. Elle a chaud. Mais elle a mis une veste par-dessus sa robe. Juste pour pouvoir cacher sa poitrine. Parce que ?? Elle a eu peur. Pendant un moment, elle a eu peur à nouveau. De Kimimaro cette fois, mais pas à cause de ce qu'on dit de lui. Elle a eu peur de voir le même regard dans ses yeux à lui que celui qu'elle voit chez beaucoup d'hommes. Et c'est pas juste. Parce que non, il n'est pas comme ça. Alors elle hoche la tête pour acquiescer à sa propre réflexion. Et elle recule d'un pas pour retirer sa propre veste.
"Mais oui, c'est vrai que c'est mieux d'être à l'aise pour un câlin. Alors moi j'enlève ma veste. Et si tu préfères enlever ton sweat, tu peux le faire, oui. Tu dois le faire même. Peut-être."
Enfin. En espérant qu'il a quelque chose en dessous, parce que ce serait fort bizarre de faire un câlin à un homme torse nu, ahah. Déjà qu'elle n'a jamais fait de câlin à quelqu'un qui ne soit pas de sa famille … ou un ami proche. Alors déjà ça, ce sera bizarre. Évitons qu'il soit à moitié nu, héhé. Chi plie sa veste et la pose sur une pierre, puis revient vers Kimimaro en écartant un peu les bras.
"Dis-moi quand tu es prêt !"
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Clionestra
Mer 21 Juin - 22:27
Kimimaro Kaguya
J'ai 20 ans et je vis dans une grotte, entre deux Pays. Dans la vie, je suis déserteur, tueur, en cavale, pas une personne fréquentable et je m'en sors pas bien. Sinon, grâce à ma chance, j'ai rencontré une femme sur un site et je crois que je l'aime même si elle mérite mieux.
Pour un câlin, il faut les deux bras et les deux mains. Il faut les deux. Ok. Les gens qui n’ont qu’un bras, ou quatre comme il avait connu, ça devait être plus compliqué alors ? Il se demande comment ils font. Les câlins … il ne connait vraiment pas ça. Personne ne l’avait jamais pris dans ses bras. Il la sort au soleil. Il aime bien la regarder au soleil. Il aime la couleur rose de ses cheveux et sa pointe différente. Il aime la couleur de ses yeux. La rondeur de son visage. Son nez en trompette. Sa peau si lisse. Tout ça, il aimait le regarder. Il aimait voir la jeune femme en couleur. Pas dans le noir. Il était fait pour être dans l’ombre, et elle dans la lumière. La différence était tellement forte… Est-ce qu’il pouvait vraiment être avec elle ?
Il ne voyait rien de bizarre en elle. Il voyait de la puissance, de l’incroyable beauté de la jeune femme. Il ne voyait rien de trop. Il y avait quelque chose de magnifique dans la manière qu’elle avait de rire. Il aimait son rire aussi. Il avait l’impression de devenir fanatique, maintenant. Il avait l’impression, à nouveau, qu’il pourrait faire n’importe quoi pour elle. Et ce n’était pas bien. Il la connaissait à peine. Il ne connaissait à peine la jeune femme mais il savait être prêt à tuer pour elle. Parce qu’il était un putain de fanatique en manque d’amour. Il se bride pour cacher ça. Il fait confiance à la rose, stupidement certainement, de ne pas utiliser ses capacités pour la mort. A la lumière, il la regarde encore, rougit quand elle lui dit que ça sera plus tard. Un baiser. Il veut l’embrasser. Sur la joue, lui. Il ira jamais plus loin sans aide.
- J’aime ton rire, alors moque toi si tu en sans le besoin.
Il se tourne quand elle enlève sa veste. Il enlève son sweat, il n’avait qu’un t-shirt simple dessous. Un t-shirt blanc. Il n’y avait rien dessus. Il se retourne et sourit en regardant la robe. Ouais, lui, il ne remarque même pas sa poitrine alors qu’il fait un sourire.
- Il fait moins chaud.
Son sourire étira ses yeux et les plissa de manière adorable. Il se demanda quoi faire. Il la regarde. Sa main, ses bras, ses épaules, son visage. Il voit bien sûr sa poitrine, mais ne reste pas dessus. Il se demande ce qu’il doit faire. Il écarte les bras. La regarde avec une nouvelle intensité. Mais pas sexuelle. Plus de peur.
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HATAKE
Mer 28 Juin - 21:28
Nakashima Chikara
J'ai 20 ans et je vis aupays du fer. Dans la vie, je suis samouraï et je m'en sors très bien, à vrai dire.
“Qu-oi ?! Mais non, mais non ! Jamais je me moquerais de toi enfin !”
Chikara panique presque juste à l’idée. Et proteste en agitant ses mains ouvertes devant elle et en secouant la tête. Jamais. Jamais, jamais. Elle ne se moque de personne Chi. Pas même des gens qui pourraient, peut-être, le mériter. Ce qui ressemble le plus à une moquerie de la part de la jeune femme, c’est quand elle rit, une fois, en posant les doigt sur sa bouche, quand ses benjamins se retouvent dans une situation bancale ou grotestque. Et ce seulement une fois après s’être assurée qu’ils vont bien. Elle est comme ça, Chi. Mais elle rougit quand même, parce que avant de dire qu’elle peut se moquer de lui, Kimimaro a dit qu’il aime son rire. Alors ça lui fait, très très très plaisir. Pour une fois qu’on ne lui dit pas qu’elle est jolie. Oui elle est jolie; C’est un état de fait. La neige est froide. Le feu brûle. Chikara est jolie. Cependant, qu’il aime son rire … c’est autre chose. Plus personnel. Et peut-être plus vrai aussi.
Enfin elle attend sagement que le jeune homme se mette plus à l’aise. Qu’il enlève son sweat, et elle regarde ailleurs quand il le fait, parce qu’elle a vu un bout de la peau de son ventre. Et ça ne se fait pas de regarder. Même si elle a envie de regarder. C’est exactement pour ça qu’elle regarde ailleurs, justement. Et puis c’est l’heure du câlin. Elle hésiterait, elle pourrait être mal à l’aise, s’il n’était pas plus hésitant, ou plus mal à l’aise qu’elle. Et tellement adorable. Elle a envie de rire encore, parce qu’il est trop chou. Et Chi se mordille la lèvre inférieure pour ne pas le faire.
“Ça va aller. Fais moi confiance, Kimimaro. Viens.”
Elle aime bien dire son prénom. Il sonne bien. Et puis. Elle sait à quoi il est rattaché dans les rapports ninja. Dans la réputation et la légende qui s’est construite autour de lui après cet affrontement légendaire contre Rock Lee et la Kazekage. Et toute l’ombre d’Orochimaru qui y est accrochée. Alors ça lui donne envie de la dire, avec des petits rires de clochettes autour. Pour qu’il soit plus joli. Pour qu’il se trouve plus joli.
Chikara attrape les mains du jeune homme, tout doucement. Et puis elle s’approche de lui, aussi lentement. Guidant les mains de Kimimaro dans son dos, derrière ses reins. Elle les y laisse et pose les mains sur ses bras. Les fait glisser sur ses épaules, puis derrière sa nuque. Enfin, elle fait encore un pas pour les rapprocher encore l’un de l’autre, les faire entrer en contact, faisant passer son visage par-dessus son épaule. Chi bascule la tête pour l’appuyer contre celle du jeune homme.
“Ça va ?”
Qu’elle demande avec une toute petite voix. Se demandant aussi si elle même va bien. Il est tout chaud. Elle sent ses os contre elle. Il est si fin. Elle sent aussi son propre cœur qui part en cacahuètes. Elle respire aussi doucement qu’elle le peut. Elle se rend compte qu’elle le serre un peu fort. Elle voulait éviter de trembler contre lui. Alors elle a serré un peu plus fort. Chi desserre son emprise et recule à peine le buste et le visage. Pour pouvoir observer celui du Kimimaro du coin de l’oeil.
“Je t’ai pas fait mal ?”
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Mer 28 Juin - 23:10
Kimimaro Kaguya
J'ai 20 ans et je vis dans une grotte, entre deux Pays. Dans la vie, je suis déserteur, tueur, en cavale, pas une personne fréquentable et je m'en sors pas bien. Sinon, grâce à ma chance, j'ai rencontré une femme sur un site et je crois que je l'aime même si elle mérite mieux.
Kimimaro, ça ne le dérange pas qu’on se moque de lui. Encore moins si c’était Chi. Chi pouvait réellement se moquer, de tout. Il ne voyait pas d’inconvénient. Si elle voulait se moquer, de sa peau blanche, de son corps fin, de ses cheveux trop fins, elle pouvait. Elle pouvait tout faire. Autant qu’elle le veut. Elle pouvait se moquer, tant qu’elle continue à rire. Il aimait ce son, ce sourire, ce doux son qui cristallise dans ses oreilles. Il l’observe et se laisse faire. Elle pouvait se moquer de lui, il s’en fiche, tant qu’il a son câlin. Et l’idée lui fit étrange. L’idée était si étrange d’avoir le droit à un câlin.
Ses parents ne lui en avaient jamais fait. Orochimaru non plus. Personne ne le prenait dans ses bras. Pourquoi l’aurait-il fait ? Il était une arme. Il était une putain d’arme et il faisait du mal aux autres. Mais… Il avait confiance en la jeune femme. Il lui faisait réellement confiance. Aveuglément. Parce qu’il était comme ça. Dépendant. Affectivement. Il pouvait tout donner pour la personne qu’il aime. Pour la personne qu’il décidait. Et là, la personne qui était le plus important pour lui, c’était cette fille qu’il avait dans ses bras. Il se laissa insérer ainsi. Il se laissa prendre dans les bras. Et il suivit le mouvement. Il avait les bras contre la jeune femme. Il se laissa contre elle. Posa sa tête dans son cou, il toucha les cheveux de sa rose avec douceur.
- Tu ne me feras jamais mal, je n’ai pas mal, répondit-il en la regardant avec attention.
Elle avait des yeux si clairs, si doux, comme si elle n’était pas capable de faire du mal. Comme si elle n’était pas capable de blesser. Et Kimimaro avait envie d’être celui qui protège ça, ses yeux. Cette aura qui semble la transpercer, la traverser, comme son sang mais n’étant plus son sang. C’est quelque chose de plus. Quelque chose de mieux encore. Il remonta sa main vers le visage de la jeune femme, touche sa joue doucement, l’observe, cherche une réponse.
- C’était chaud. Et c’était doux. C’était … J’aime bien tes câlins.
Il avait senti quelque chose de chaud, de doux. Il y avait quelque chose … d’incroyable. Son sang était chaud aussi. Il se sentait bien. Alors il fait un nouveau pas, la reprend dans ses bras, l’enserre à nouveau et pose sa tête à nouveau dans son cou.
- Tu sens bon, aussi, fit-il remarqué avant de réaliser et de s’écarter avec un pas complet, pardon ! Cela ne doit pas être mon cas ! Je ne dois pas sentir bon. J’ai essayé mais je vis … dehors.
Il sentait la nature, l’air, les arbres et l’écorce. Il ne sentait pas réellement bon. Il sentait la nature mais ce n’était pas forcément une odeur agréable.
Univers fétiche : réel, hp, cyber, anime, dark et fluffy
Préférence de jeu : Les deux
HATAKE
Mer 12 Juil - 10:36
Nakashima Chikara
J'ai 20 ans et je vis aupays du fer. Dans la vie, je suis samouraï et je m'en sors très bien, à vrai dire.
Il est important, ce câlin. Chikara le sent. Elle a un petit peu la même impression qu'avec les bêtes blessées qu'elle doit apprivoiser pour pouvoir les soigner correctement. Ce moment où la confiance va s'installer. Ou sa briser. Alors elle fait très attention aux réactions de Kimimaro. Elle sourit quand il lui touche la joue. Davantage quand il lui dit qu'il aime ses câlins et encore plus quand il en prend un deuxième qu'elle lui offre avec plaisir. Elle sent bon aussi ? Oui, elle a fait exprès de mettre un léger parfum à la vanille … chut.
Chi se fait légèrement surprendre par le mouvement de recul du jeune homme avant de rire doucement, une main toujours devant ses lèvres.
"Ah ! Oh ! T'inquiètes pas ! Entre lhygiene douteuse en mission et les bébés à la maison je suis habituée à des odeurs moins agréables que ça."
Le vomi. Depuis qu'elle est née presque, ça sent le vomi au moins une fois tous les deux jours à la maison. Ok, ok, elle exagère … à peine. Les bébés ça pue. Y a des gens qui disent que ça sent bons. Bah oui comme tout ce qui est propre. Par contre trente minutes plus tard, ça pue. Chikara fait un pas en avant pour combler la distance que Kimimaro a créée entre eux, sans pour autant le forcer à reprendre contact physique. Même si elle approche son visage de lui, les narines fretillantes.
"Tu sens la terre, la mousse, l'orme et le peuplier. Y en a beaucoup à la frontière entre Konoha et Oto …"
La jeune femme se tait. Son cerveau faisant la liaison entre cette infirmation et une autre. Qu'elle a lu dans un rapport il y a quelques jours de cela. Elle tend les doigts pour récupérer ceux du jeune homme entre les siens.
"Tu es resté là-bas ? Tout ce temps ?"
Elle essaye de ne pas avoir l'air triste, Chikara. Parce qu'elle n'est pas très certaine de comment il pourrait le prendre. Elle n'aime pas que les gens pense qu'elle prend pitié d'eux, non. Elle est sincèrement triste pour les gens quand elle l'est. Et là, imaginer Kimimaro vivre autant de temps près de l'endroit où il a failli se faire tuer … et bah oui. Ça lui fait mal au cœur.
Enfin elle ne veut pas non plus installer une ambiance lourde entre eux non plus. La porte est ouverte s'il veut parler de ça, mais Chi tient aussi à en ouvrir une autre s'il préfère aborder un autre sujet. Alors elle referme ses doigts sur ceux du jeune homme pour lui attraper la main et la lever à hauteur de son visage pour en renifler la paume.
"Ah tu sens Nobu aussi !! Et … toi. Je suppose que c'est toi l'autre odeur derrière."
Chikara sourit. Encore et toujours, c'est son mode par défaut et certains trouve ça chelou ou idiot ou hypocrite. Mais ceux qui la connaissent, connaissent aussi les fines nuances de chacun de ses sourires. Les degrés de douceur, d'amusement, de joie ou d'amour qui les dessinent. Et pour Kimimaro, c'est énormément de douceur, un peu de joie pour lui offrir la sienne et de l'amour aussi. Oui. Elle la dit. Il y a beaucoup de sortes d'amour.
Comme celui de la grosse bête blanche qui a entendu son nom et qui vient donc cogner la main libre de sa maitresse avec son crâne pour qu'elle y fasse des gratouilles.
"Oh ? Jaloux mon toutou ? T'inquiètes pas mon chien tu seras toujours le plus beau des plus beaux."
Semblerait que le chien comprenne puisqu'il remue gaiement sa queue. A moins que ce ne soit le câliné que Chi vient lui faire en s'accroupissant pour passer ses deux bras autour de l'encolure de la bestiole qui se laisse faire. La jeune femme reste assise sur ses talons en caressant l'animal et lève un regard amusé vers Kimimaro.
"Tu veux essayer ? Tu vas voir c'est plus chaud qu'avec moi. Et plus poilu aussi !"
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"Everyone is given life for a reason. The quest to discover what that is… …is the only freedom us humans have been given" (Charlissa)