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LE TEMPS D'UN RP

Everything is not fine !

Beloved
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Beloved
Jeu 14 Avr - 10:33
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Johan Müller
J'avais 31 ans au moment de ma mort et je vivais dans une petite ville, de Djibouti. Dans la vie, j’étais médecin humanitaire et je m'en sortais bien, je n'y pensais pas en général. Sinon, à cause de mon boulot trop prenant, j’étais célibataire et je vivais pas trop mal.

+ Il a été adopté à l'âge de sept ans alors qu'il tentait de survivre dans un orphelinat en Estonie + Il a grandi en Suisse, à Genève + Il s'est engagé dans l'humanitaire dés qu'il a eu son diplome de médecin anesthésiste, réanimateur. C'était important pour lui de venir en aide aux plus pauvres, comme on lui était venu en aide + Il était trop occupé par son travail pour prendre le temps de construire une vraie relation + Il est mort lors de l'attaque de son dispensaire


Daniel Bederov :copyright:️ bazzart

Il était quand même foutrement doué pour un putain d'homophobe. Il m'avait embrassé avec une fougue que je n'aurais pas cru possible de sa part. Il devait certainement s'imaginer qu'il embrassait une pétasse siliconée. Mais peut importait la façon dont il s'y prenait pour se donner envie, le résultat était franchement pas mal.

Je dus me retenir de soupirer alors qu'il venait finalement mettre fin au baiser. Ce n'était pas une bonne idée. J'étais sur ma faim. J'en voulais encore plus. Je voulais qu'il m'embrasse encore, qu'il retire tous ses vêtements qui étaient en trop, me jeter sur son corps pour le lécher avec avidité et... Ouais bon je voulais coucher avec lui, qu'il me défonce comme jamais personne ne l'avait fait. C'était peut être un peu l'alcool qui parlait pour le coup. Ou peut être que son baiser m'avait complètement retourné la tête. Mais il n'y avait pas que ça. Je l'avais toujours trouvé particulièrement à mon goût physiquement. Juste physiquement hein parce que pour le reste c'était un connard. Ce n'était tellement pas mon genre de vouloir baiser avec un mec juste parce qu'il avait un bon cul tout en le détestant. L'alcool m'aidait vraiment bien à me lâcher il fallait croire.

Je pouffais légèrement en entendant sa réplique sur le fait qu'il devenait gay. J'aurais pu le rassurer, lui dire que c'était l'alcool qui le faisait réagir comme ça. Il y en avait pas mal des mecs qui en embrassaient d'autres bourrés, ça ne faisait pas d'eux des gays. Mais j'avoue, j'avais un peu envie de me venger de lui.

- Bah ouais on dirait. Tu peux plus te mentir maintenant.

Je ris doucement en le regardant. Il n'était pas gay, ça j'en étais quasiment certain. Mais le faire chier ça n'avait pas de prix.

- Allez à ton tour maintenant. J'attends ton prochain défi.

Je n'avais pas envie de m'arrêter. Je m'amusais beaucoup trop ce soir. Si ça devait être ça à l'enfer, alors j'en profiterais de chaque instant et tant pis pour ma conscience.

Maddy'n
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Maddy'n
Mar 19 Avr - 21:59
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Oliver Kõva
J'avais 32 ans au moment de ma mort et je vivais à Tallinn, en Estonie. Dans la vie, j’étais serveur et je m'en sortais mal, obligé de flirter avec l’illégalité pour vivre. Sinon, à cause de mon sale caractère, j’étais célibataire et je suppose que peu de gens regrette ma disparition.

+ Il s’est enfui de chez lui à 18 ans, fuyant ses parents qui le battaient. + Il enchainait les petits boulots pour vivre, notamment ceux de serveurs. + N’arrivant pas à s’en sortir, il a passé un peu de drogue, mais n’en a jamais consommé. + Il n’a jamais vraiment réussi à se sentir intégré où que ce soit. + Il se moque des gens trop intelligents, trop sérieux, mais en réalité, il se sent en position de détresse face à eux. + Il a tendance à justifier ses mauvais choix par son enfance difficile. + Il a prit mille fois des résolutions pour changer, qu’il n’a jamais tenues. + Il est mort renversé par une voiture.


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Je ne sais pas trop ce qu’il s’est passé dans ma tête à ce moment-là, si c’est l’alcool, une envie refoulée depuis longtemps, l’euphorie du challenge, mais je me suis donné à fond lorsque j’ai dû l’embrasser. Et il faut avouer que c’était pas désagréable. Plus surprenant encore j’ai kiffé, parce qu’une forme évidente d’excitation comment à prendre place dans mon pantalon. Alors heureusement que j’étais pas à poil comme Johan, parce que je pense que certains en auraient fait des crises cardiaques. Quoique, si c’était des démons, ils avaient surement vu plus choquant que érection bien tendue dans leur vie. Ou mort. Comment ça naît les démons ? Est ce que si je mettais une meuf enceinte ici, ça donnait un démon ? Je n’ai pas vraiment le temps de réfléchir à la réponse que Johan me parle, captant à nouveau mon attention, facilement volage en raison de l’alcool. Pourtant, je ne perds pas encore complètement le fil de la conversation. Pas encore. « Ca veut dire que je vais devoir coucher avec des hommes ? Merde ! Mais je sais pas comment on fait moi ! » Je ne remarque pas qu’il se fout de ma gueule, je ne remarque pas la stupidité, pourtant véridique de mes propos. Je dis juste ce qu’il me passe par la tête, comme depuis que la moitié de la bouteille a disparu.

Il reste toujours un fond dans celle-ci, un fond que je ne suis pas décidé à boire, et lui non plus, maintenant que de nouvelles règles ont été établies. Enfin pas réellement, car elles sont susceptibles de changer à chacune de nos envies, surtout maintenant qu’on était bien bourré. Mais bon, tant que ça convient à Johan, moi je m’en foutais. Après tout, c’est comme ça que se terminait les meilleures soirées. Je regarde autour de moi, cherchant à quelle idée à la con il pourrait bien se soumettre, quand je vois deux personnes au bord du lac, debouts, à discuter. « Tu vois les deux personnes là-bas ? » Je les pointe du doigt, légèrement instable, mon bras par-dessus son épaule pour garder un certain équilibre et l’orienter dans la bonne direction. « Tu dois les pousser dans le lac ! Après, à ton tour de me trouver un nouveau défi. » Je lui claque doucement les fesses en riant pour le pousser à avancer, ne me préoccupant plus une seule seconde de mon attitude et de ce qu’on pourrait en penser. J’étais cuit, et j’avais juste envie de m’amuser.
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Sam 30 Avr - 13:08
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J'avais 31 ans au moment de ma mort et je vivais dans une petite ville, de Djibouti. Dans la vie, j’étais médecin humanitaire et je m'en sortais bien, je n'y pensais pas en général. Sinon, à cause de mon boulot trop prenant, j’étais célibataire et je vivais pas trop mal.

+ Il a été adopté à l'âge de sept ans alors qu'il tentait de survivre dans un orphelinat en Estonie + Il a grandi en Suisse, à Genève + Il s'est engagé dans l'humanitaire dés qu'il a eu son diplome de médecin anesthésiste, réanimateur. C'était important pour lui de venir en aide aux plus pauvres, comme on lui était venu en aide + Il était trop occupé par son travail pour prendre le temps de construire une vraie relation + Il est mort lors de l'attaque de son dispensaire


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C'était sûrement l'alcool qui parlait, qui me faisait me sentir dans cet état d'euphorie quasi constant. Je me sentais léger, heureux. J'avais envie de rire bêtement à chaque instant. J'étais vraiment heureux pour la première fois de ma vie. Et dire que je devais ça à une cuite que j'avais pris en enfer, ça avait quelque chose d'ironique quand même et ça en disait long sur la vie que j'avais eu. Je n'étais pas vraiment un petit saint pour autant sur terre. J'avais pris des cuites. Je m'étais envoyé en l'air avec un certain nombre de mecs. Mais jamais je ne m'étais senti aussi libre et insouciant que maintenant. Je ne savais pas vraiment à quoi c'était du. Ce n'était pas juste l'alcool clairement. Ca ne m'avait jamais fait ça. J'avais pris une décision un peu plus tôt et ça devait certainement y jouer. J'avais de vivre mon après vie sans me soucier du lendemain. J'étais mort et déjà condamné à l'enfer alors je pouvais bien faire ce que je voulais ça n'aggraverait pas mon cas.

Alors je ris alors qu'il me donnait son défi ridicule.

- T'as pas plus dur que ça?

Je m'élançais en courant vers les deux personnes, la bite toujours à l'air. Je poussais un cri en arrivant à leur hauteur avant de les pousser d'un grand geste tous les deux dans l'eau. Je riais toujours alors que je venais le rejoindre. C'était peut être des démons ou alors des pauvres personnes torturées comme nous, assorti pour l'éternité à une personne qu'ils détestaient ou qui les détestaient. Je ne savais pas vraiment ce qui était le pire, Oliver qui était avec une personne qui le dégoutait ou moi qui était avec une personne dégoutée par moi? Hmm... question honnêtement philosophique, mais j'étais un peu trop bourré pour réfléchir là dessus.

Je m'arrêtais à sa hauteur, riant alors que les personnes se débattaient encore pour sortir du lac où je les avais viré.

- A ton tour de te foutre à poil. Ce n'est pas juste que tu sois le seul à te rincer l'oeil. Moi aussi je veux pouvoir mater ton cul. Alors à poil!!!



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Jeu 26 Mai - 13:52
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J'avais 32 ans au moment de ma mort et je vivais à Tallinn, en Estonie. Dans la vie, j’étais serveur et je m'en sortais mal, obligé de flirter avec l’illégalité pour vivre. Sinon, à cause de mon sale caractère, j’étais célibataire et je suppose que peu de gens regrette ma disparition.

+ Il s’est enfui de chez lui à 18 ans, fuyant ses parents qui le battaient. + Il enchainait les petits boulots pour vivre, notamment ceux de serveurs. + N’arrivant pas à s’en sortir, il a passé un peu de drogue, mais n’en a jamais consommé. + Il n’a jamais vraiment réussi à se sentir intégré où que ce soit. + Il se moque des gens trop intelligents, trop sérieux, mais en réalité, il se sent en position de détresse face à eux. + Il a tendance à justifier ses mauvais choix par son enfance difficile. + Il a prit mille fois des résolutions pour changer, qu’il n’a jamais tenues. + Il est mort renversé par une voiture.


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Les bienfaits de l’alcool, l’euphorie générale, toujours un plaisir et c’est encore plus divin quand on sait que l’on aura pas à subir la gueule de bois dans quelques heures. Ni à payer les conséquences de nos actes. Ici, au pire, on risquait quoi ? Que les gens nous regardent de travers, nous détestent ? C’était déjà le cas de mon vivant, mais au moins, on ne se ferait pas arrêter pour atteinte à la pudeur ou pour bagarre. On ne passerait pas la nuit dans une cellule de dégrisement, sombre et froide, ou à l'hôpital, à se faire recoudre l’arcade ou se faire plâtrer la main. Oui, c’était du vécu. Faut dire que j’en avais fait tellement des conneries, comme chacune de celles que je lui faisais faire ce soir. En réalité je n’avais pas besoin d’aller chercher très loin. « Fait et on verra si c’est si facile ! » Je ris bêtement, même si je sais qu’il a parfaitement raison. Il y a juste à les pousser, ils tombent dans l’eau, râlent, mais le temps de sortir de l’eau, Johan serait déjà revenu. A moins qu’il tombe dans l’eau avec eux. Ce qui pourrait être très drôle également. Et même si ce ne sont pas les autres qui l’entrainent avec eux, le pousser n’est pas complètement à exclure. Salaud vous avez dit ? A peine.

Je le regarde donc s’élancer vers les personnes au bord du lac, le cul toujours à l’air et les pousser tandis qu’ils restent bêtes de surprise. Pas sur qu’ils s’attendaient à croiser quelqu’un avec la bite à l’air pour ce soir. J’éclate de rire à en avoir mal au ventre après ce qui me semble être plusieurs minutes. Quand enfin j’arrive à me redresser, Johan est de nouveau prêt de moi, me lançant un nouveau défi. « C’est pas très dur non plus ça ! » Je ris alors que commence à défaire mes vêtements, me trémoussant doucement, comme s’il y avait de la musique pour ambiancer ce moment. Je jette mes vêtements aléatoirement sur les gens autour de nous, sauf mon caleçon, que je jette volontairement sur Johan. Le corps nu, je commence à sautiller légèrement profitant de cette étrange liberté. « Tu vois, ma queue est plus dure que ton défi. » Que je balance, sans honte et mort de rire. Je crois qu’il m’avait vraiment excité ce con.

La fête est pourtant de courte durée. Ding ! Janet apparaît, souriante, calme comme toujours. « Bonjour ! Il semblerait que certains résidents soient dérangés par votre attitude actuelle. Je vais donc vous demander de vous rhabiller. Voilà pour vous ! » Elle nous tend des vêtements. « Et si on refuse ? » Je demande, sans la moindre agressivité, juste par curiosité. Que risquait-on, maintenant que nous étions au bon - ou mauvais, qu’importe - endroit ? Il n’y avait pas réellement de règles, et tout ce qu’on désirait, Janet nous l’apportait. « Et voilà ! » Instantanément, je me retrouve habillé de la tête. Je regarde Johan, lui aussi désormais vêtu. « T’es pas drôle Janet ! On va aller continuer la fête ailleurs puisque c’est comme ça ! Viens ! » J’attrape la main de Johan et l’entraîne avec moi. On traverse le quartier, s’éloignant de son centre pour se retrouver plus prêt de notre maison. Même si je ne sais pas ce qu’on allait faire maintenant. Quoique… « Viens, je vais te montrer un truc. » Idée mesquine qui se dessine dans mon cerveau, je l'entraîne avec moi jusqu’au bord de la piscine dans laquelle je le pousse avant de me plier de rire. A sa tête, il ne s’attendait pas à ça, et c’était hilarant à voir.
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Dim 5 Juin - 8:48
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J'avais 31 ans au moment de ma mort et je vivais dans une petite ville, de Djibouti. Dans la vie, j’étais médecin humanitaire et je m'en sortais bien, je n'y pensais pas en général. Sinon, à cause de mon boulot trop prenant, j’étais célibataire et je vivais pas trop mal.

+ Il a été adopté à l'âge de sept ans alors qu'il tentait de survivre dans un orphelinat en Estonie + Il a grandi en Suisse, à Genève + Il s'est engagé dans l'humanitaire dés qu'il a eu son diplome de médecin anesthésiste, réanimateur. C'était important pour lui de venir en aide aux plus pauvres, comme on lui était venu en aide + Il était trop occupé par son travail pour prendre le temps de construire une vraie relation + Il est mort lors de l'attaque de son dispensaire


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Quelle espèce de vieille rabat joie!!! Est ce qu'elle était vraiment vieille d'ailleurs? Elle avait quel âge au juste? Elle n'était pas humain ça c'était sur, elle ne ferait pas cette espèce de magie sinon. C'était quoi au juste la Janet? Un ange? Un démon peut être vu qu'on était apparemment en enfer. Et j'y croyais de plus en plus au fait qu'on soit en enfer parce qu'elle venait juste de gâcher notre fête!!! Je m'amusais bien moi. Les choses commençaient à devenir vraiment intéressantes. Il était à poil devant moi et je pouvais le mater tant que je voulais sans qu'il ne dise rien. Et en plus il bandait à cause de moi. J'avais envie d'aller plus loin et tant pis si Môsieur devait me faire la gueule le lendemain parce qu'il s'était fait baiser par un mec. J'aurais pu le faire chier avec ça, genre "tu t'es fais baiser par un mec et t'as adoré ça, t'es pas hétéro arrêteuuuh". J'étais certain que je pouvais lui faire prendre son pied. J'étais même prêt à me mettre à genoux et à le sucer là maintenant sur cette place. Mais elle avait tout gâché... Elle nous avait rhabillé pour mon plus grand déplaisir. Enfin, au moins Oliver semblait aussi mécontent que moi. Je me laissais entrainer par lui, souriant et narguant Janet alors qu'il m'entrainait vers notre maison. Je ne savais pas ce qu'il comptait me montrer mais moi j'étais partant, encore plus si on devait être à nouveau à poil.

Je poussais un cri en tombant dans l'eau. Ok celle là, je ne l'avais pas vu venir. Je ressortis de l'eau en riant, secouant ma tête pour faire tomber l'eau qui avait imprégné mes cheveux.

- Ok... elle est pas mal celle là j'avoue. Mais puisqu'on est seuls et que plus personne ne peut protester de nous voir à poil, on devrait reprendre là où on en était.

Je me tortillais pour retirer mes vêtements et les balancer sur le rebord de la piscine. C'était un peu compliqué et chiant vu qu'ils étaient trempés à cause de cet abruti mais je finis par y parvenir. Je nageais un petit peu avant d'aller m'adosser à un rebord de la piscine, le regardant en souriant doucement, le narguant un peu je devais l'avouer. Si mes baisers lui faisaient de l'effet peut être que la vue de mon corps allait faire de même. Je ne bandais pas, pas encore, mais je savais qu'il ne faudrait pas grand chose pour que cela arrive.

- Alors... il me semble que c'est à toi de me donner un défi. Vas y je t'attends. Je suis prêt à tout.

Je passais lentement ma langue sur mes lèvres dans une pose que je voulais suggestive. Je n'avais jamais fait ça et j'espérais ne pas être trop ridicule. Je voulais l'exciter, lui faire oublier toutes ses croyances à la con sur son hétérosexualité. Je le faisais bander et je voulais lui montrer que j'étais capable de faire bien plus que ça...



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Sam 11 Juin - 18:32
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J'avais 32 ans au moment de ma mort et je vivais à Tallinn, en Estonie. Dans la vie, j’étais serveur et je m'en sortais mal, obligé de flirter avec l’illégalité pour vivre. Sinon, à cause de mon sale caractère, j’étais célibataire et je suppose que peu de gens regrette ma disparition.

+ Il s’est enfui de chez lui à 18 ans, fuyant ses parents qui le battaient. + Il enchainait les petits boulots pour vivre, notamment ceux de serveurs. + N’arrivant pas à s’en sortir, il a passé un peu de drogue, mais n’en a jamais consommé. + Il n’a jamais vraiment réussi à se sentir intégré où que ce soit. + Il se moque des gens trop intelligents, trop sérieux, mais en réalité, il se sent en position de détresse face à eux. + Il a tendance à justifier ses mauvais choix par son enfance difficile. + Il a prit mille fois des résolutions pour changer, qu’il n’a jamais tenues. + Il est mort renversé par une voiture.


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Janet ayant mis précipitamment fin à notre soirée, nous n’avons pas d’autre choix que de rentrer. Enfin, si, on avait d’autres choix, mais comme visiblement on gênait, si on voulait tranquillement continuer cette soirée, nous n’avions plus qu’à le faire ailleurs, et donc rentrer. Ca me fait chier, parce qu’on s’amusait bien, mais je me dis que l’on pourrait certainement tout autant s’amuser juste lui et moi. Même si voir les têtes d’ahuris de certains résidents face à nos bétises était à mourir de rire. Alors je le ramène jusqu’à chez nous, titubant par moment à cause de l’alcool et la précipitation. Enfin en privé, les choses peuvent reprendre, mais avant, je devais absolument faire quelque chose. Quelque chose que j’avais rêvé de pouvoir faire un peu plus tôt. J’attire Johan dehors avec moi, nous arrêtant au bord de la piscine pour lui montrer quelque chose, d'après mes dires, avant de l’y pousser d’un geste sec. Fier de ma bêtise, je me mets à rire à pleine gorge.J’en avais eu tellement envie quand je l’avais vu au bord du lac, à oilpé, mais en réalité, ça avait valu le coup d’attendre. Car sa tête était hilarante, et le voir galérer avec ses vêtements, c’était encore plus amusant.

Il se déshabille, et je ne tarde pas à l’imiter, avec plus d’aisance. « T’as raison, ici on peut bien faire ce qu’on veut. » Personne ne pourrait se plaindre de quoi que ce soit, et puis, y' a pas, se balader à poil, s’était tellement agréable. C’est vrai, après tout, pourquoi faire tant d’histoires pour quelques fesses aperçues au détour d’une rue. Ils devraient essayer, peut-être que ça leur retirerait le balai qu’ils ont dedans. « Hé, tu crois qu’il y a des quartiers de nudistes au paradis ? Genre tout le monde serait à poil toute la journée ? Putain ça serait le kiff en fait ! » Ce qui était paradoxal, car ici, les vêtements nous allaient parfaitement. Pas de pantalon trop serré, d’étiquettes qui grattent, ou je ne sais quelle connerie. Et pourtant ça n’égalait pas le plaisir de se balader sans rien.

Mes vêtements retirés, je plonge à mon tour dans la piscine avant de remonter la tête à la surface et observer Johan qui s’en est enfin sorti avec ses fringues. Il prend place caler contre les parois, avec une lueur de malice dans le regard. A quoi il pense ? Je le détaille alors qu’il dégage que chose d’assez érotique comme ça. Faut dire qu’il était à poil, dans la piscine, et moi aussi, au milieu de la nuit. Si ça avait été une meuf, je lui aurais sûrement déjà sauté dessus. Ce que je ne fais pas, alors qu’il semble pourtant me faire autant d’effet. J’en suis pas sûr, mais il m’a quand même fait bander. Est ce qu’il était capable de plus ? « Ok, alors ton prochain défi… C’est de réussir à me faire t’embrasser sans utiliser un défi cette fois ! Tu vas devoir me convaincre. »
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Beloved
Mer 22 Juin - 14:37
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J'avais 31 ans au moment de ma mort et je vivais dans une petite ville, de Djibouti. Dans la vie, j’étais médecin humanitaire et je m'en sortais bien, je n'y pensais pas en général. Sinon, à cause de mon boulot trop prenant, j’étais célibataire et je vivais pas trop mal.

+ Il a été adopté à l'âge de sept ans alors qu'il tentait de survivre dans un orphelinat en Estonie + Il a grandi en Suisse, à Genève + Il s'est engagé dans l'humanitaire dés qu'il a eu son diplome de médecin anesthésiste, réanimateur. C'était important pour lui de venir en aide aux plus pauvres, comme on lui était venu en aide + Il était trop occupé par son travail pour prendre le temps de construire une vraie relation + Il est mort lors de l'attaque de son dispensaire


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Je devais le reconnaitre un quartier nudiste ça pourrait être fun. Il faudrait peut être qu'on soumette l'idée à Michael. Bon j'espérais juste qu'il ne viendrait pas se balader à poil avec nous. Je préférais ne pas le voir nu... berk... En fait il ne faudrait que des gens beaux dans ce quartier. Je n'avais pas envie de voir un mec obèse, son ridicule petit pénis caché perdu sous les plus de graisse. Non non, non merci. Oui je sais en tant que médecin j'avais vu mon lot de personne à poil et pas que des canons. Puis j'avais vu des trucs dégueulasses aussi dans ma vie. Mais maintenant que j'étais mort j'avais quand même gagné le droit de m'épargner ce genre de spectacle non? Au moins que ça ne soit une façon de nous punir. Oui les mecs vous avez le droit à un quartier nudiste mais il n'y aurait que des mochetés dedans et ils passeront leur temps à vous reluquer parce que vous serez les deux seuls mecs baisable du lot. Oh non... l'horreur...

Mais pour le moment il valait mieux laisser ces questions de côté. J'avais plus intéressant à faire et à mater aussi. Il s'était décidé à se mettre à poil pour me rejoindre dans l'eau. Je ne me gênais absolument pas pour le mater. Si je m'écoutais je lui demanderais bien de faire un petit tour sur lui même, histoire de pouvoir contempler sa jolie petite paire de fesse.

Je souris en entendant son défi. Monsieur voulait être séduit... voilà qui était intéressant. Si il n'y avait que ça pour lui faire plaisir. Je me sentais d'humeur joueuse ce soir. J'avais décidé de me lâcher et ça faisait du bien. Je m'amusais, je vivais, comme si je me foutais complètement du lendemain. Et c'était le cas. Je ne savais pas ce qui arriverait demain. Peut être que je finirais dans le vrai enfer, à souffrir pour de bon pendant des siècles. Mais pour le moment je m'amusais.

- Que j'arrive à te convaincre... hmm... et bien il me semble que tu as adoré ça la première fois. Je revois encore la bosse déformant ton pantalon, ton érection qui avait l'air si dur rien que pour un petit baiser. Et ce n'était qu'un petit baiser de rien du tout. Imagine ce que ce sera si je t'embrasse vraiment, ma langue jouant avec la tienne, mes mains allant caresser ce joli petit fessier que tu t'amuses à me cacher.

Je me décollais du bord de la piscine pour venir m'approcher de lui. Je posais un main sur son torse, la laissant glisser doucement dessus alors que je venais lui tourner autour. Je laissais trainer mes lèvres contre son oreille, chuchotant doucement tout contre lui.

- Imagine tout ce qu'on pourrait faire, le bien que je pourrais te faire si tu me laissais t'embrasser...

Je me mordis la lèvre gémissant doucement. J'étais passé derrière lui. Ma main continuait de se balader sur ses épaules. Je m'étais laissé aller à regarder ses fesses et c'était cette vue qui avait déclenché ce gémissement d'envie.

- Un petit cul beaucoup trop beau... mais je le laisserais en paix... Je te laisserais me prendre là dans cette piscine... je te laisserais satisfaire tout les fantasmes inavoués que tu peux avoir... tu pourrais faire tout ce que tu veux de mon corps... si tu te laissais aller à m'embrasser...

Je déposais un léger baiser sur son épaule avant de venir me mettre face à lui. J'étais tout contre lui, mes lèvres frôlant les siennes sans oser les toucher. C'était lui qui devait faire le premier pas, pas moi...



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J'avais 32 ans au moment de ma mort et je vivais à Tallinn, en Estonie. Dans la vie, j’étais serveur et je m'en sortais mal, obligé de flirter avec l’illégalité pour vivre. Sinon, à cause de mon sale caractère, j’étais célibataire et je suppose que peu de gens regrette ma disparition.

+ Il s’est enfui de chez lui à 18 ans, fuyant ses parents qui le battaient. + Il enchainait les petits boulots pour vivre, notamment ceux de serveurs. + N’arrivant pas à s’en sortir, il a passé un peu de drogue, mais n’en a jamais consommé. + Il n’a jamais vraiment réussi à se sentir intégré où que ce soit. + Il se moque des gens trop intelligents, trop sérieux, mais en réalité, il se sent en position de détresse face à eux. + Il a tendance à justifier ses mauvais choix par son enfance difficile. + Il a prit mille fois des résolutions pour changer, qu’il n’a jamais tenues. + Il est mort renversé par une voiture.


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Je me perds quelques minutes à imaginer divers quartier du paradis, à imaginer comment ils pourraient être conçus, et pour quel type de personne. Si ici, la nudité semblait être un problème, je me dis qu’ailleurs, peut-être, ce n’était pas le cas. Peut-être qu’il y avait des quartiers entiers, où tout le monde se baladait le cul à l’air toute la journée. Ca pourrait presque me tenter en toute honnêteté. Bon, peut-être parce que j’étais bourré. Si ça se trouve, demain je finirais par me dire que c’est la pire idée du monde, j’en sais rien. Mais pour le moment, ça me tente grave. De toute façon, si ça me permettait de quitter ce quartier de coincés prétentieux, je dis oui à tout. Ou presque. Parce que si y avait un quartier d’échangistes quelque part, ça me tentait pas trop. J’avais quelques limites quand même. Des limites qui n’inclueaient pas la nudité. Alors sans gêne, je me déshabille et plonge, rejoignant Johan dans la piscine pour nager avec lui.

Quelques mouvements dans l’eau, et Johan me réclame un nouveau défi. Cette fois, il sonne comme quelque chose de déjà vu, mais je tente de complexifier un peu sa réalisation. C’est moi qui doit l’embrasser, parce qu’il m’aurait convaincu de le faire, et non parce qu’il m’aurait défié de le faire. Une difficulté autre, quasi-impossible. Pourtant, ça ne semble pas le décourager. Au contraire, il a l’air plutôt content. Son regard croise le mien alors qu’il évoque ce qu’il s’est déjà passé ce soir. Notre premier baiser, ma réaction physique à celui-ci et tout ce que je pourrais ressentir si je me laissais aller, si je me laissais tenter et que je cessais de le repousser.

Mon regard ne le quitte pas des yeux lorsqu’il se décolle du bord, s’approche de moi. Sa main vient effleurer mon torse, et pour une fois, je ne recule pas, ne tente pas non plus de le stopper. De mon vivant, il aurait pris une droite directement pour cela, mais là, je me laisse faire. Peut-être parce que j’avais besoin de faire flatter mon égo après tout ce temps. Ou alors parce que j’étais en manque ? Je ne sais pas trop les raisons, mais je le laisse faire. Il tourne autour de moi, tel un prédateur, et je sais très bien pourquoi. Je faisais pareil avec les meufs sur Terre. Je l’écoute attentivement, frissonne en sentant son souffle contre ma peau. Ca me fait un peu bizarre d’être la proie dans cette histoire, mais c’est moi qui l’avait voulu. Ne pas l’oublier. Et puis, au final, c’était à moi de décider de la suite. Quelque part, je restais le prédateur dans cette histoire.

Il revient face à moi, après un petit tour autour de moi, et je dois avouer, que je préfère quand même l’avoir face à moi que dans mon dos. Surtout quand on est à poil. Je n’avais pas été complètement serein quand il avait commencé à parler de mon cul, c’est vrai. Nos corps affreusement proches, il me suffirait de me pencher très légèrement pour l’embrasser, ce que j’hésite à faire. Je suis pas gay, mais faut avouer qu’il est bon séducteur. Je me rapproche, vient effleurer ses lèvres avant de me reculer. Putain mais qu’est ce que je fais ? « Et puis merde ! » L’hésitation n’est pas longue, et cette fois, c’est franchement que je viens presser mes lèvres contre les siennes, ma langue venant jouer avec sa jumelle. Inconsciemment, j’en viens même à le pousser jusqu’au rebord de la piscine, contre lequel je le coince, mes mains glissant doucement de son torse vers son entrejambe.
Beloved
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Beloved
Mer 13 Juil - 9:26
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Johan Müller
J'avais 31 ans au moment de ma mort et je vivais dans une petite ville, de Djibouti. Dans la vie, j’étais médecin humanitaire et je m'en sortais bien, je n'y pensais pas en général. Sinon, à cause de mon boulot trop prenant, j’étais célibataire et je vivais pas trop mal.

+ Il a été adopté à l'âge de sept ans alors qu'il tentait de survivre dans un orphelinat en Estonie + Il a grandi en Suisse, à Genève + Il s'est engagé dans l'humanitaire dés qu'il a eu son diplome de médecin anesthésiste, réanimateur. C'était important pour lui de venir en aide aux plus pauvres, comme on lui était venu en aide + Il était trop occupé par son travail pour prendre le temps de construire une vraie relation + Il est mort lors de l'attaque de son dispensaire


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J'avais gagné. J'avais réussi à faire craquer monsieur le grand hétéro. Je pouvais sentir son envie dans son baiser, dans ses mains qui m'avaient plaqué contre la paroi de la piscine et qui partaient à la découverte de mon corps. J'étais bien décidé à le faire craquer complètement, à lui faire découvrir les plaisirs du sexe entre hommes. On disait bien que ceux qui criaient le plus fort leur hétérosexualité étaient les plus gros refoulés. Oliver ne faisait pas exception à la règle, j'en avais la preuve là maintenant. Ca ne me ressemblait pas à moi par contre, à détourner un hétéro, à le pousser à venir me baiser comme ça. Mais ce soir j'avais décidé d'être un autre homme et de simplement m'amuser. L'ancien Johan n'aurait pas fait ça. Il se serait inquiété pour Oliver. Il se serait dit que ce ne serait pas juste de lui faire ça, de le forcer grâce à l'alcool, qu'il regretterait le lendemain. Et l'ancien Johan se serait senti mal rien qu'à cette idée. Mais le nouveau Johan s'en foutait complètement des états d'âme d'Oliver. Il voulait juste profiter et s'envoyer en l'air.

Je remuais contre lui, frottant mon érection contre son bas ventre. Je n'arrivais plus à cacher mon excitation. J'étais tendu, plus que tendu, et cela dans tous les sens du terme. Je le voulais là maintenant et il était hors de question que je m'en passe.

- Ok... nouveau défi pour toi... vu que j'ai gagné le mien.

Je lui souriais malicieusement. Oh oui j'avais gagné. Il avait résisté de toutes ses forces. Je pouvais le deviner à son petit et merde quand il avait fini par rendre les armes. Il avait voulu me résister. Peut être parce qu'il ne voulait pas s'admettre qu'il était un peu gay. Ou peut être juste pour me faire chier aussi. Peut être même les deux à la fois. Mais l'important restait que j'avais gagné et que je voulais bien en profiter maintenant.

Je me collais contre lui, allant mordiller son cou. J'avais posé mes deux mains sur son torse, le caressant doucement. J'avais encore assez de présence d'esprit pour ne pas aller m'aventurer sur ses fesses. Je me doutais que ce serait le geste de trop, celui qu'il ne pourrait pas supporter. Il serait beaucoup plus à l'aise si il restait au dessus, si il gardait le rôle du "mec" dans notre échange. Moi je m'en foutais, je voulais juste m'envoyer en l'air.

Je me reculais au bout d'un moment, le regardant avec un sourire empli d'envie.

- Je veux que tu me prennes, là maintenant dans cette piscine et que tu me fasses crier de plaisir...





Maddy'n
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Maddy'n
Ven 29 Juil - 15:35
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Oliver Kõva
J'avais 32 ans au moment de ma mort et je vivais à Tallinn, en Estonie. Dans la vie, j’étais serveur et je m'en sortais mal, obligé de flirter avec l’illégalité pour vivre. Sinon, à cause de mon sale caractère, j’étais célibataire et je suppose que peu de gens regrette ma disparition.

+ Il s’est enfui de chez lui à 18 ans, fuyant ses parents qui le battaient. + Il enchainait les petits boulots pour vivre, notamment ceux de serveurs. + N’arrivant pas à s’en sortir, il a passé un peu de drogue, mais n’en a jamais consommé. + Il n’a jamais vraiment réussi à se sentir intégré où que ce soit. + Il se moque des gens trop intelligents, trop sérieux, mais en réalité, il se sent en position de détresse face à eux. + Il a tendance à justifier ses mauvais choix par son enfance difficile. + Il a prit mille fois des résolutions pour changer, qu’il n’a jamais tenues. + Il est mort renversé par une voiture.


Theo James :copyright:️ Sweet Disaster
Je sais pas trop ce qu’il me prend ce soir, à vouloir tester les limites de mon hétérosexualité, même si cela prend la forme d’un jeu, de défis. L’alcool y est très certainement pour beaucoup, l’ensemble de mes capacités cognitives ayant rendu l’âme. A ce stade, je ne suis plus qu’un fantôme de moi-même, obéissant à mes instincts les plus primaires. Non vraiment, comment qui que ce soit a pu penser que ma place était ici alors que cet état était celui dans lequel je me trouvais presque un samedi soir sur deux. Vraiment, les gens devaient apprendre à faire leur boulot correctement, parce que là c’était pas possible. Tout comme mes lèvres contre celles de Johan. Comment, pourquoi, je ne sais pas, mais sur le moment, j’en avais très envie. Peut-être parce qu’il avait vraiment réussi à m’exciter, peut-être parce que je n’avais pas fait ça depuis mon arrivée ici. Tout le monde ici avait son âme-soeur, alors forcément, personne ne cherchait à aller voir ailleurs. A part moi, parce que mon âme-soeur était un mec. Mais comme j’étais tout seul, j’étais quand même coincé avec lui. La preuve ce soir. On était censé s’amuser, trouver notre bonheur chacun de son côté, mais finalement, on était revenu l’un vers l’autre, parce que nous étions les deux seuls à connaitre la définition du mot fun dans ce putain de quartier.

Le corps de Johan ondule contre moi, ce qui m’oblige à rassembler le peu d’esprit qu’il me reste pour comprendre. Je rêve ou il était en train de frotter sa queue contre moi ? La confusion est grande, et il ne tarde pas à en rajouter une couche lorsqu’il ouvre la bouche. De quoi il p…. Ah ! Le défi. Je l’avais complètement oublié, j’avais complètement oublié que si je l’embrassais, je perdais à mon propre jeu. Le con ! Son sourire n’annonce rien de bon à mes yeux, d’autant plus que comme j’avais perdu, il allait certainement faire en sorte d’en rajouter une couche pour rendre ma défaite encore plus écrasante.

Ses lèvres viennent effleurer ma peau, ses mains caressent doucement mon torse. Cette fois c’est sûr, c’est lui qui me fait bander, dans ses gestes, dans sa sensualité. Et à sa place j’aurais, tout comme lui, cherché à tirer profit de la situation. Mais là, j’ai vraiment l’impression qu’il me demande l’impossible. « Nooon, je peux pas faire ça ! Je sais pas comment on fait crier un mec de plaisir. » Il n’était pas sans savoir que c’était la première fois pour moi que je m’aventurais si loin avec un mec. « En plus y a ta queue qui arrête pas de chatouiller la mienne depuis tout à l’heure. C’est trop bizarre. » Que je confesse à moitié hilare, mais ouais, ça faisait bizarre. C’était pas particulièrement désagréable, mais c’était juste étrange de me dire que les parties intimes d’un mec étaient en train de me toucher, ou que j’allais devoir toucher les siennes. Mes mains s’étaient arrêtées sur ses hanches, n’osant pas aller plus loin. Vraiment, c’était un terrain inconnu pour moi à partir de maintenant, et j’étais pas certain de réussir à prendre les choses en mains. Encore moins dans mon état actuel. Et même si dans tout autre état, je n’aurais jamais envisagé la chose. « Si tu que je te prenne, va falloir me donner des leçons. Enfin, pas de trucs BDSM chelou là, mais m’expliquer comment tu fais avec un mec. »
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