J'ai 38 ans ans et je vis à New York, Etats-Unis. Dans la vie, je suis à la tête d'un empire Com' et tueur à gages et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je crois que je suis à mon puppy et les courbes féminines et je le vis plutôt bien. Tu veux apprendre à me connaître ? Viens donc me chatouiller et tu retiendras mon nom.
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Les semaines défilent bien trop rapidement jusqu'à la fameuse soirée. Mon costume est prêt. Celui de Puppy aussi. Je me traine devant le miroir, m'observant. La veille, nous étions allés dans un spa pour se faire dorloter. Nous devions être frais quand même. On s'était laissé maquillé pour ne pas être trop reluisant - ou gras, au choix - pour les photos. J'avais préparé le chèque au nom de moi (mais surtout le gang) et de la société. Se montrer généreux et prouver que j'avais une grosse paire à poser sur le front des cons. Parce que, on ne devait pas s'y tromper, repère de malfrats pétant dans des fringues faisant quatre cinq fois le prix d'un salaire modeste, ça pouvait vite faire oublier la crasse. Bref, je n'avais pas le choix d'officialiser mais je ne voulais pas non plus que Puppy se trompe sur la marchandise. C'était une collecte du gala qu'il avait choisi mais aussi un bel avertissement à quiconque voulant s'en prendre à lui. Ce que je ne conseille pas de faire deux fois.
Je siffle dans la baraque pour annoncer notre départ. Et je claque le cul de l'homme quand il apparait. - Je connais un endroit secret réputé pour être insonorisé, tu penses qu'on pourrait tenter ? Parce qu'il était vraiment canon et je re siffle pour le complimenter. Oui, je n'ai pas eu de cours pour être un homme vraiment civilisé. - En route ma beauté, allons charmer les grands méchants de cette ville. Et te mettre une fessée pour t'amuser à m'attendre quand je termine tard. Je n'ai rien dit encore mais je t'assure, que tu vas en recevoir une, un jour. Et ça va grandement te surprise. Je vais te faire passer l'envie de faire des heures supp'. Je tire sur sa veste pour obtenir un baiser. En vérité, je repoussais le moment d'inaugurer ce que nous étions sur mon bureau. L'envie de le résister - oui je me l'impose tout seul - était un besoin pour .. Comme le respecter et souligner que lui pouvait venir et s'imposer. Enfin, je sais pas mais c'était une connerie du genre, lui laisser son espace vital et être sur un même équilibre. Où est-ce que j'avais lu cette merde encore ? Qu'importe, c'était devenu aussi un défi personnel. Il demeurait encore plus bandant au boulot. Mais je ne suis pas certain qu'il le réalise. Tant mieux, après, je serais foutu s'il en joue.
Je pose mon soyeux fessier dans la limousine, donne une coupe de champagne à la moitié et trinque avec lui. - Est-ce que ça va aller ? Surtout, si tu te sens mal, on s'en va. Ne me fais pas le coup du, je suis un homme fort, je veux pas être un boulet ou je sais pas quoi dont tu es capable. T'as rien à prouver, à part dans notre lit à la rigueur et ça s'arrête là. Est-ce que tu veux qu'on revoit les noms ensemble ? J'embrasse sa tempe, profite d'être plus doux en privé avant d'arborer un visage bien plus sérieux publiquement. - Va falloir me faire un résumé de tes inventions douteuses mon ami aussi. Parce que j'étais encore septique sur certains débats.
Le trajet se fait tranquillement, jusqu'à s'immobiliser. - Merci d'être toi, je suis chanceux. Je l'embrasse de nouveau et on quitte l'habitacle. Je prends une grande inspiration, referme mon blaser et je lui offre mon bras pour qu'il pose sa main. - C'est notre moment. N'oublie jamais que je suis fier de toi. Un baiser sur sa joue et on se dirige vers les marches. C'est à son rythme que nous les montions, ignorant les possibles paparazzi. - Je suis là et je ne te lâcherais pas, promis. Pas une fois. Parce que moi aussi, j'avais peur .. De le décevoir, qu'on me l'arrache.
On fait une pause, puis se laisse guider vers le spot shooting. Je pose aussi sobrement que possiblement, plaçant ma main dans le bas du dos de mon partenaire. Un sourire subtil mais le regard froncé. Quelques crépitements et on se dirige vers l'entrée. On se fait alpaguer par une potin chieuse - que j'appelle comme ça. - Oui nous sommes ensemble, non on n'a pas encore prévu de se marier, ni d'avoir des enfants. Oui c'est surprenant Sullyvan Andrews est bisexuel mais je suis bien dans mes baskets et ça ne change strictement rien qui je suis, vous en faites pas. Bonne soirée. Je peux encore buter des gens de sang froid et manger des céréales, sans problèmes ! Voila, elle va pouvoir se torcher le cul maintenant. Et enfin, nous entrons, et découvrons une immense salle teintée de violet, bleu et de blancs et de musiques assez basses pour s'entendre parler. Je chope deux coupes et donne la seconde à Puppy. - Comment te sens tu ? Es-tu prêt à faire sensation ?
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Univers fétiche : fantasy, science-fi, réel.
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Selenaë
Dim 6 Nov - 19:59
Louis Dumas
J'ai 28 ans et je suis à New York, ville des USA. Dans la vie, je suis développeur web pour l'entreprise de Mr Andrews. Je suis fou amoureux et, coup de bol, il m'aime aussi, nous formons donc un couple au yeux de tous depuis peu.
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Il sait, évidemment qu'il sait. C'est son entreprise, il sait toujours tout. Je suis resté tard, plusieurs fois, à l'attendre, malgré moi, malgré son avertissement, malgré son refus. Je ne l'ai pas aperçu, il finit plus tard, il s'en va par d'autres sorties, il s'échappe quand je suis concentré. J'hoche d'un signe de tête pendant que je savoure la caresse de sa main sur ma fesse. « Donc tu m'évitais bel et bien. » Je le taquine avant de répondre à son baiser. Notre relation évolue, elle change, je ne dis rien, je ne demande rien, mais j'apprécie de voir combien il est naturel pour lui de se tenir près de moi. Combien il m'accepte entièrement, je ne crois toujours pas en mon propre bonheur, mais je sens que cette soirée marque un tournant. La représentation officielle me fait peur, évidemment, mais je suis aussi excité comme une puce de voir ce qui nous attend. « Très bien, je serais sage pour quand tu rentreras ces soirs-là. » soufflai-je avant de l'embrasser à mon tour pour lui passer l'envie de répondre. Je ne veux pas le faire culpabiliser, parce que je sais combien c'est dur pour lui de tout concilier et c'est bien normal que je ne suis pas en haut de sa liste de priorité, mais parfois, le temps est long loin de lui, et bosser me donne au moins l'impression d'être utile.
Dans le limousine j'attrape une coupe de champagne et trinque avec lui, mais je ne fais que tremper les lèvres, je n'ose pas boire. J'ai trop peur de perde le peu de contrôle, pourtant ses mots... qu'est-ce qu'ils me font du bien. Je respire plus sereinement, je sais déjà que je vais faire tout mon possible pour cacher mes véritables sentiments, mais qu'il en ait conscience et qu'il veuille me protéger me fait quelque chose. Je souris et savoure la douceur de notre étreinte. « Ouais, j'veux bien. » Je passe en revue les noms que je connais en fonction des visages qui apparaissent sur son téléphone, je me suis entraîné. « L'accent français ne me sauvera pas tu penses ? Je suis sûr que j'peux les éblouir par mon passé mystérieux de français exilé loin de chez lui pour me sortir des situations. » Je comprends ses doutes, je ne suis pas convaincu par mes propres arguments, je tente toutes les échappatoires possibles.
A son bras, devant les paparrazis, au niveau des photos, devant les journalistes, j'essaie d'égaler son calme. Il est fier de moi, il l'a dit. Voilà à quoi je me raccroche, à lui. Il est fort et doué, j'espère ne pas le mettre dans l'embarras, je reste silencieux autant que je le peux. Je souris faiblement, mais ne peux m'empêcher de sourire plus largement à ses mots. « T'es vraiment un bon orateur, j'ai cru qu'elle allait se pisser dessus » je murmure sans trop me pencher vers lui. Je songe à cette femme pour éviter de penser à ce qui m'attend concrètement. Pourtant, notre bulle se perce et nous entrons dans la salle. Je ne peux plus échapper. « Pas vraiment prêt, non, mais allons-y. » Je ne serais jamais prêt, j'aime pas les projecteurs, j'ai rien d'une star, c'est vraiment un univers qui ne m'a jamais fait rêver... mais bon, voir Sullyvan dans un costume fait sur mesure le rend encore plus sexy, alors je continuerai à jouer le jeu juste pour lui. J'avance, d'un pas, puis deux. La coupe de champagne en main. Je boirai peut être, plus tard, pour l'instant, j'essaie de mener la danse.
Je regarde et certains visages me reviennent, certains noms jaillissent dans mon esprit, je suis bien préparé. « Ah, messieurs Andrews et Duma quel plaisir de vous accueillir ici. » Mon nom français est écorché, et je tremble. Je n'étais pas prêt du tout. Je souris. « Monsieur Bentley » le saluai-je poliment. « La soirée s'annonce grandiose. » annonçai-je, incapable de savoir quoi dire. J'ai envie de me serrer contre Sullyvan, j'ai envie qu'il parle, qu'il prenne la conversation en main, j'ai envie qu'il me serre la main, qu'il me murmure les phrases à dire dans l'oreille. J'inspire, je dois jouer le jeu. « La généreuse donation nous permettra d'investir dans de grands projets scientifiques très bientôt, je voudrai vous présenter ce jeune homme, tout juste sorti d'Havard qui semble très prometteur. » Et voilà, c'est lancé, sitôt arrivé, je ne veux pas me séparer de Sullyvan, j'acquiesce alors puis je tente. « C'était un honneur pour nous » j'essaie d'inclure Sullyvan au milieu pour qu'il vienne à ma rescousse « de participer à votre gala, je suis fasciné par les progrès scientifiques qui vont toujours plus vite de nos jours, je travaille dans la branche informatique, mais je suis persuadé que tout va ensemble. » Je ne vais pas survivre longtemps à cette vitesse là. Je sens déjà que je sue.
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Patate Douce
Dim 22 Jan - 19:21
Sullyvan Andrews
J'ai 38 ans ans et je vis à New York, Etats-Unis. Dans la vie, je suis à la tête d'un empire Com' et tueur à gages et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je crois que je suis à mon puppy et les courbes féminines et je le vis plutôt bien. Tu veux apprendre à me connaître ? Viens donc me chatouiller et tu retiendras mon nom.
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Je suis surpris de l'aisance que Louis déploie durant cet échange. Et il le fait avec brio, ça le rendait vraiment très sexy. Je pensais qu'il allait se recroqueviller mais non, au contraire, il se pose comme élément de la soirée. A juste titre, de toute manière. Même s'il ne le ressentirait probablement pas tout le temps de la soirée mais il peut être assuré qu'on allait retenir ses faits et gestes. Alors s'il arrivait à paraitre détendu, c'était une bataille de gagnée. Et ça me plait beaucoup. Je me dis qu'il est capable de nagouiller dans ce monde de requins. Pas questions d'être loin de lui, évidemment mais je suis un peu plus rassuré sur ses capacités. Je n'interviens que pour saluer et confirmer les dires de mon partenaire avant de les laisser discuter entre eux, et siffler gentiment des coupes. Puis enfin, on se retrouve tous les deux.
Je le taquine sur leur discussion, un peu puérilement, faut avouer. - Il te plait ce vieux monsieur ? Ca sort de nulle part, mais j'ai envie de le provoquer, de voir s'il saura se tenir bien droit en public. - T'as déjà tenté les orgies ou les plans à trois ? Je le regarde du coin de l'œil, amusé par ce que j'étais entrain de faire. Je glisse ma main dans la sienne, l’amenant vers ce qui semble être une expérience. C’est à haute voix que je lis les consignes, faire dévier le champ de force d’une balle. On se met face à face, et on doit appuyer sur un bouton pour émettre du vent ou de la pression pour que la ladite balle aille dans un camp ou dans l’autre. Pourquoi pas. Je vide ma coupe et le laisse lancer le go.
Je fixe l’objet puis le questionne innocemment. - T’aimerais échanger les rôles au lit ? Oui j’ai décidé que ça serait le thème de notre soirée. Et j’en fais exprès, le cramoisi, c’est mignon sur un visage non ? Je me fais plus silencieux et faussement concentré quand on passe à cote de nous. Puis je reprends. - Tu t’ennuies pas ? T’as pas des fantasmes ? Les intentions sont luxueusement diaboliques mais la moue se fait souriante. Je jubile.
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Selenaë
Mar 28 Fév - 17:07
Louis Dumas
J'ai 28 ans et je suis à New York, ville des USA. Dans la vie, je suis développeur web pour l'entreprise de Mr Andrews. Je suis fou amoureux et, coup de bol, il m'aime aussi, nous formons donc un couple au yeux de tous depuis peu.
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Si je perds moins pied et semble correct en public, je n'en suis pas moins mal à l'aise. Toute cette attention, tous ces regards, c'est un peu trop pour moi, mais j'ai la main de Sully dans la mienne alors je continue. Je souris, je parle, j'essaie et je fais de mon mieux. Vraiment. Pour l'instant, je ne suis pas certain de faire les choses bien, mais je suis sûr que demain je me rendrais compte que je ne suis pas si mauvais. Puis Sullyvan trouve une manière bien à lui de détourner mon attention de mon stress et, si je manque de m'étouffer, je rougis tellement fort que j'ai l'impression d'avoir un panneau indicateur sur moi qui brille à la ronde. J'essaie de blaguer mais je suis certain que ça tombe à plat. « Hum, il est moins sexy que toi, mais de peu. » Mes joues ne veulent pas changer de couleur et j'ai si chaud. « Jamais. » avouai-je à mi-mot, même s'il doit s'en douter. Je suis particulièrement novice dans plein de domaine et il s'amuse à me les faire tous tester.
On continue vers une sorte d'expérience et je le suis avec plaisir, tout pour quitter les regards en coin des jeunes femmes présentes. Est-ce que ça leur faire plaisir de me voir si gêné ? Qui sont ces personnes si malveillantes. J'observe le mécanisme et comprend en même temps que Sullyvan comment ça marche, je m'installe juste à côté de lui pour tenter l'expérience quand il reprend la parole. Il veut me tuer ? Mon coeur bat à tout rompre, il a choisi son moment pour avoir une discussion du genre ! Comment fait-il ? Il ne songe plus du tout à la soirée ou à ce qu'on doit faire ! Il est diabolique. Mes joues continuent de me brûler alors je prends quelques secondes pour respirer avant de lui répondre. « Je ne m'ennuie pas du tout, mais je suis prêt à tester toutes les expériences que tu voudras faire. » Ma voix n'est qu'un murmure, parce que je n'ai jamais parlé sexualité à voix haute, mais pourtant, c'est si vrai. Je veux tenter de nouvelles expériences, parce que je suis certain d'être entre de bonnes mains. « Echanger ça me plairait. » J'ai du mal à le regarder dans les yeux, j'aurai jamais osé proposer ça, mais en vérité, oui, cette idée me donne le vertige. Et de l'entendre parler si crûment, je me sens tout excité. « Bien joué, tu as réussi à échanger mon stress contre de l'excitation, je ne vais jamais tenir jusqu'à la fin. » Je voulais être blasé, mais mon ton est une supplique. Il continue de me faire un effet monstrueux, chaque jour passé à ses côtés, chaque instant ne le rend que plus désirable à mes yeux. Et j'ai bien peur d'être incapable de me contrôler, surtout quand il me regarde et me parle de cette manière-là. Je me sens serré dans mon pantalon et lui qui n'arrête pas. « J'ai, j'ai peut être un fantasme. » Et voilà, c'est certain, mes joues vont désormais être rouges pour l'éternité. Je m'approche pour parler le plus doucement à ses oreilles. « Tu le sais déjà, mais bon dieu, que tu me prennes dans ton bureau. » L'excitation, l'envie, tout ça, c'est pas à la bonne place, mais est-ce de ma faute si Sullyvan me rend fou ?