Je n'avais plus de vie... avant toi [ft Clionestra]
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Univers fétiche : Fantastique
Préférence de jeu : Les deux
Clionestra
Mer 1 Nov - 0:46
Leatitia Parker
J'ai 31 ans et je vis dans un trou paumé, en Amérique. Dans la vie, je suis pédopsychiatre et je m'en sors pas bien du tout, je ne travaille plus en ce moment pour rester auprès de James. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple avec un homme parfait et je le vis plutôt bien.
Laetitia, du latin laeta qui signifie la joie. Letty est une femme douce mais forte, joyeuse mais pas idiote, altruiste mais pas soumise. Elle a fait des études de pédopsychiatre et s'est employé à aider le maximum d'enfants qu'elle pouvait. Grâce à l'amour de sa vie, elle a ouvert une association "Far too young" pour aider les enfants en détresse.
Elle ne peut plus avoir d'enfants mais James la rassure, ils adopteront.
- Mhhh, fit-elle dans une moue adorable, entre mon téléphone et toi, je sais clairement vers qui va ma préférence.
Elle sourit, son téléphone pouvait aller se faire empaillé. La sonnerie de Paul, qui était différente de toutes les autres, était identifiable et sonnerait même la nuit ou dans un cinéma. Il était l’urgence dans son téléphone. Paul n’étant pas le genre à téléphoner sans raison. Et ce n’était pas Paul. Donc, pas d’urgence. Elle écoute sa proposition. Elle bougonne de devoir s’occuper de son appel, comme une enfant qui refuse de sortir de son lit pour aller à l’école.
- D’accord, accepta-t-elle tout bas avant de se déplacer pour attraper son téléphone et voir l’appel en absence.
Elle voit le nom de Gordon, encore. Elle ne sait pas ce qu’il veut … Mais l’existence de cet homme avait eu assez de lui pourrir la vie. Elle enlève sa notification, vérifie qu’elle n’a pas de message, parce qu’après tout s’il lui envoie un SMS elle serait ce qu’il veut sans avoir à attendre sa voix de … Elle referme son téléphone et elle le jette encore plus loin sur ses affaires pour grimper à nouveau sur James, passant une jambe en travers des jambes de James, elle se colle à lui sans la moindre gêne. Elle devrait. Non. Elle ne devrait pas. C’était la première fois que, dans une relation, elle se sentait assez à l’aise pour être ainsi. Elle faisait attention à son ventre, logique, mais elle aimait être contre lui. Ne faire qu’un avec lui, en câlin ainsi tendre et doux.
- Si tu veux, je pourrais continuer pendant ta séance de kiné pour prévoir des visites. Tant que je peux être avec toi. Je n’ai aucune envie de te lâcher ce matin, et je ne sais pas si j’arriverais à te lâcher dans l’après-midi… Tu crois que ton kiné accepterait que tu fasses tes exercices en me gardant dans tes bras ?
Bien sûr, elle rigole en disant cela. Elle sait que ce n’est pas possible, et mieux pour l’homme qu’elle ne soit pas en train de le coller… Mais … Elle se relève un peu, toujours clairement sur lui. Elle réfléchit en le regardant. Elle avait envie de … De rester dans ses bras, de vieillir avec lui, de vivre avec lui, de rire, de crier, de chanter. Elle avait envie de tout et de rien. Elle voulait faire plein de chose qu’elle n’avait jamais faite en couple parce que trop occupé à vouloir des enfants. Elle voulait être simplement en sa présence. A force de réfléchir, elle avait franchement monté sa jambe sur lui et l’entourer, à peine relever mais sans s’appuyer sur lui. Elle le regarde et pose son nez contre le sien.
- Parfois, je me réveille dans la nuit… Et j’ai une seconde où je me dis que j’ai rêvé tout ça, que je ne suis pas ta copine, que je ne te connais même pas, que je suis encore seule et triste. Une petite seconde, puis j’entends ta respiration ou ton cœur qui bat … et tout s’envole dans un bonheur que je ne connais pas. Alors je t’aime.
Elle l’embrasse et se recouche sur lui, sans mettre tout son poids ce qui n’était clairement pas la position la plus agréable, avant de rajouter.
- Et ce matin, je te grimpe dessus parce que j’ai envie d’être proche de toi.
Et elle, ce n’était pas du tout un sous-entendu … C’était juste qu’elle était littéralement grimpé sur lui…
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Beloved
Mer 1 Nov - 16:10
James Baker
J'ai 34 ans et je vis dans un trou paumé, quelques part aux Etats Unis. Dans la vie, je suis auteur/compositeur et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple avec une femme merveilleuse et je le vis plutôt bien, je n'ai jamais été aussi heureux de ma vie.
Je fronçais un peu les sourcils en voyant qu'elle regardait à peine son téléphone avant de le reposer pour retourner se blottir contre moi. Ca ne devait pas avoir bien grande importance pour qu'elle le laisse de côté ainsi. J'étais quasiment certain, qu'à moins qu'il n'y ait une grande urgence, elle ne quitterait pas le creux de mes bras de la journée. Je ne m'en plaignais pas. J'aimais l'idée de l'avoir comme ça contre moi. Qui que ce soit, j'étais heureux de passer avant lui, ou elle. C'était égoïste mais j'étais ravi de savoir que j'étais celui qui avait la place la plus importante dans son coeur et dans ses priorités.
- Je crois que j'aurais beaucoup de mal à faire mes exercices avec toi dans mes bras. On est déjà pas mal limité par la cicatrisation de mon ventre. Si tu me colles, je ne pourrais plus rien faire.
Je ris doucement en disant ça. L'idée de rester collé à elle était plaisante mais je ne voulais pas négliger pour autant ma récupération. Je me défonçais lors de mes séances de kiné mais je savais pourquoi. Plus je bosserais là bas et plus vite je pourrais récupérer. J'étais tellement heureux des progrès que je faisais, je ne voulais pas m'arrêter en si bon chemin. Et même si j'aimais l'avoir dans mes bras, je n'allais pas mettre de côté ma récupération pour ça. L'espoir de pouvoir remarcher un jour était trop important.
- Tant que c'est dans ce sens là ça va. Que tu te réveilles triste et qu'ensuite tu réalises que ce n'est pas un rêve, qu'on est réellement ensemble.
J'inspirais doucement avant de me lancer dans mon douloureux récit.
- Les premiers temps... après l'accident... il m'arrivait de me réveiller en pensant que j'avais tout rêvé. Que mon accident n'était qu'un mauvais rêve dont je venais de me réveiller. Puis je tentais de bouger un bras et... et je me rendais compte que ce n'était pas un rêve, que c'était bien la réalité.
Je me tournais un peu, venant embrasser son front tendrement.
- Mais maintenant, grâce à toi, c'est réellement un mauvais rêve. Je me réveille le matin. Je te sens contre moi. Et je ne pense plus un seul instant au passé. Je me réveille heureux et plus vivant que jamais.
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Clionestra
Sam 4 Nov - 0:43
Leatitia Parker
J'ai 31 ans et je vis dans un trou paumé, en Amérique. Dans la vie, je suis pédopsychiatre et je m'en sors pas bien du tout, je ne travaille plus en ce moment pour rester auprès de James. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple avec un homme parfait et je le vis plutôt bien.
Laetitia, du latin laeta qui signifie la joie. Letty est une femme douce mais forte, joyeuse mais pas idiote, altruiste mais pas soumise. Elle a fait des études de pédopsychiatre et s'est employé à aider le maximum d'enfants qu'elle pouvait. Grâce à l'amour de sa vie, elle a ouvert une association "Far too young" pour aider les enfants en détresse.
Elle ne peut plus avoir d'enfants mais James la rassure, ils adopteront.
Sur lui, elle profite de sa chaleur, de son contact, de son cœur qui bat. Elle est attentive à sa douleur, elle n’avait aucune envie de lui faire mal … mais elle était aussi diablement contente de pouvoir être ainsi proche. Elle avait envie de passer sa main sous son t-shirt depuis si longtemps qu’une petite voix lui dit qu’elle pourrait essayer … il n’a plus ce qui le gêne. Elle s’arrête juste avant. Elle laisse le temps à James de le faire comme il l’entend. Parce qu’elle l’aime et qu’elle veut qu’il soit à l’aise avec son corps. Même si elle a diablement envie de le toucher. Alors, elle lui grimpe dessus. Une méthode comme une autre pour avoir ce qu’elle veut sans prendre quoi que ce soit à son homme. Elle sourit un peu. « Son homme ». Cela lui plait bien. Elle aime bien. Ça sonne bien. Elle fait une fausse moue boudeuse quand James lui dit qu’il ne pas la garder dans ses bras pendant le kiné, avant qu’elle ne se tende encore pour embrasser sa joue. OK. Pas de soucis. Tant qu’elle peut le coller là, prendre son énergie pour recharger ses batteries, elle le fera alors ! Elle l’écoute parler, continue à caresser son cœur avec une douceur infini. Ce n’était pas grâce à elle. Si elle devait expliqué cette situation à quelqu’un, elle avait été le coup de pied dans la machine à snack pour faire tomber son dû. Elle n’était pas le moyen, ni l’outil, ni la personne qui avait le droit à son gain à la fin. Elle n’était qu’un coup de pied mit comme il faut, où il faut, et cette image l’a fit sourire un peu plus. Maintenant, il était heureux. Il pouvait la sentir. Il pouvait la tenir et l’embrasser. Il pouvait la réchauffer.
Oh. Elle l’aurait aimé sans tout ça. Elle l’aimait en entier pour sa tête et son cœur. D’ailleurs en pensant à ça, elle passe son doigt du torse jusqu’au cou de James avant de passer par sa joue pour caresser ses lèvres, remonter le long de son nez pour en brosser en sourcil avec délicatesse. Elle aimait tout de cet homme. Mais elle aimait surtout les choses invisibles. Les choses que personne n’avaient vue avant. Si une autre personne qu’elle l’avait vue, il ne serait pas célibataire, il n’aurait pas été seul, il y aurait toujours eu quelqu’un à sa place. Elle caresse ce visage qu’elle aime tant, voulant incruster ses reliefs dans la pulpe de ses doigts.
- On va construire notre propre rêve et personne ne nous réveillera. Je te le promets.
Elle pense à Gordon. Elle ne sait pas ce qu’il veut, toujours, mais il ne pourra jamais briser le bonheur qu’elle ressent. Elle continue de faire courir ses doigts sur James, le toucher, le caresser, suit des lignes imaginaires qu’elle seule peut voir. Elle aimerait pouvoir faire ça toute sa vie. Le toucher dans le lit, le long de lui, le jour à peine levé sur une nouvelle journée. Le monde dehors. Eux, ici. Et le reste elle s’en fou. Elle s’en fou de tout. Même si elle était le genre à se battre pour la veuve et l’orphelin, là, elle s’en fou. Ils finirent par mettre un film sans bouger du lit, ou à peine pour des besoins vitaux et des changements de place. Quand le matin laissa place à l’après-midi, qu’il fallait manger et se lever pour se préparer, elle se releva. Elle baragouina des choses incompréhensibles sur l’additivité d’un corps d’homme parfait. Elle se lève et sans la moindre hésitation, elle commence à se déshabiller avant d’arriver à la douche en pliant les habits de James. Elle voulait rien faire de la journée elle. Elle plie tout se douce et revient à midi pour revenir contre James et le prendre dans ses bras. Elle cache sa tête dans son cou.
- Voilà, on se lève on se prépare, je te fais un câlin et j’ai juste envie de rester comme ça le reste de ma vie. Tu es addictif mon cher James. Un danger pour les frêles et jeunes femmes comme moi.
Elle embrasse son cou avant de finir de se préparer et qu’il fasse les appels qu’il voulait faire avant de partir. Elle attrape son téléphone et voit un SMS de Gordon. « Rappelle-moi ». Plutôt se faire arracher les dents sans anesthésie et avec une pince à épiler. Elle ne répondrait pas. S’il veut dire quelque chose, il le dira. Cela faisait un moment qu’il essaie mais elle ne voulait surtout pas savoir pourquoi. La justice la préviendrait s’il y a quelque chose à savoir d’important. Elle prépare le repas, faisant réchauffer des restes et mettant la table alors qu’elle se mit à chantonner doucement. Elle chantonnait la chanson de James de la veille. Elle était toujours dans sa tête. Elle n’avait jamais quitté son cœur. Alors pendant que James s’occupait elle chantonnait même si elle n’avait retenu que trois ou quatre phrases dans tout ce qu’il avait dit. Elle n’avait jamais été super intelligente. Pourtant, elle aimerait tellement connaître cette chanson là par cœur, sur le bout des doigts.
- D’ailleurs mon amour, réalisa-t-elle d’un coup alors qu’elle s’arrêta de chanter subitement, tu as choisi une ville ? Que j’ai regardé les maisons mais je n’ai pas pensé à la ville.
Il y en avait plusieurs à proximité de l’agence, des villes, ou des villages, ou des hameaux, même quelques lieux dits, habitables ou constructives. Elle doute qu’il ait envie de faire une maison sur plan. Cela repousserait de beaucoup leur aménagement ensemble. Et rien que l’idée de se prendre la tête sur des plans données une migraine à cette chère Letty. Elle, elle voulait une maison où elle pourrait entrer en courant, sauter dans les bras de son James et l’embrasser sans aucune pensée pour les voisins. Ouais. Elle devrait parler du vis-à-vis avec James … mais le connaissant, lui et sa quête de la tranquillité, il devait déjà y avoir pensé sans elle.
Univers fétiche : City, dérivé de films/séries/livres
Préférence de jeu : Homme
Beloved
Sam 4 Nov - 11:18
James Baker
J'ai 34 ans et je vis dans un trou paumé, quelques part aux Etats Unis. Dans la vie, je suis auteur/compositeur et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple avec une femme merveilleuse et je le vis plutôt bien, je n'ai jamais été aussi heureux de ma vie.
C'était une matinée peut être simple de base. Nous étions simplement resté dans le lit à nous faire des calins. Nous avions regardé un film, toujours l'un contre l'autre. C'était simple, mais c'était des moments que j'avais cru ne jamais pouvoir vivre, ou du moins pas comme ça. Rien ne m'empêchait de rester dans le lit à regarder un film avec elle. Mais je n'aurais pas senti sa main parcourir mon torse et me caresser doucement. Ca aurait été horrible. Ca l'était pour moi. Je ne supportais pas de vivre comme ça, de l'avoir contre moi sans pouvoir la sentir. J'aurais préféré mourir que de continuer à vivre ça. Alors cette matinée pourtant toute simple avait une importance toute particulière pour moi. Je n'aurais jamais cru pouvoir vivre ces moments là. Cette épreuve m'avait au moins permis ça. Je savourais davantage ces moments simples. Je ne les considérais plus comme acquis comme autrefois. J'avais conscience qu'ils étaient précieux.
On finit par faire une pause en début d'après midi pour aller nous préparer. Je ne devais pas oublier que j'avais ma séance de kiné qui approchait dans l'après midi. Je l'avais laissé se doucher la première avant d'y aller à mon tour. Elle profita de ma douche pour préparer le repas. Je la rejoignis, un petit sourire aux lèvres. C'était ça que je voulais tous les jours. La retrouver dans la maison, comme maintenant, s'activant et chantonnant doucement. Ces petits moments du quotidien qui me donnaient envie de venir l'embrasser et la serrer dans mes bras.
- J'ai surtout regardé qu'on ne soit pas trop loin du siège de ton association. On est à moins de 20min de route de ton association et à peu près autant de mon kiné. Et ce sont des endroits assez sécurisé et isolé. Ce n'est pas parce que toi tu ne m'as pas reconnu que c'était le cas pour tout le monde.
Je lui fis un petit sourire malicieux en disant ça. J'avais toujours eu ce problème avec toutes les filles qui étaient venu travailler pour moi. Elles n'avaient pas tardé à me reconnaitre et ça avait rapidement posé problème. Je détestais déjà l'idée d'avoir quelqu'un s'occupant de moi au quotidien, c'était encore pire quand la personne en question était une fan limite hystérique. Letty avait gagné pas mal de point déjà en agissant normalement avec moi.
- Je n'ai pas envie d'être embêté. Je veux que ce soit notre petit cocon à nous.
Je m'installais à table, la remerciant pour le repas avant de commencer à manger.
- C'est vrai que j'aurais du en parler dans mes critères mais ça me semblait évident. Depuis que je suis connu c'est un peu un critère obligatoire.
Je ne pouvais pas me permettre de vivre collé aux autres.
- Je termine de manger et j'appelle les agences justement. Et après direction le kiné.
Un programme bien rempli pour l'après midi mais elle allait me suivre et j'étais heureux de pouvoir rester avec elle encore un peu plus.
- Tu restes ici aussi ce soir? Ou tu préfères rentrer chez toi?
L'option une étant bien sur ma préférée. J'étais peut être addictif mais elle l'était tout autant.
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Je n'avais plus de vie... avant toi [ft Clionestra]