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Préférence de jeu : Les deux
HATAKE
Ven 17 Nov - 19:05
Kyoko Uzumaki
J'ai 26 ans ans et je vis à un peu partout à travers les pays. Dans la vie, je suis samouraï errant, . Et je m'en sors très bein. Sinon, grâce à ma malchance, je suis veuve, mais ça, y a pas grand monde qui soit au courant.
- 1m76 - descendante du clan Uzumaki - a une énorme quantité de chakra - maitrise le fuinjutsu comme personne - a scellée ses armes en elle - a un byakko tatoué dans tout le dos
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Kyoko se calme, se remet doucement de sa crise de rire, tout en gardant son sourire aux lèvres bien qu'il soit nettement plus … malicieux. Monsieur venait de se montrer très appréciateur de son fessier, et ça l'avait faite fort rire, en effet. Mais il était temps de passer à un sujet nettement plus … sérieux. Si l'on peut dire. Même s'ils allaient très certainement beaucoup s'amuser. La jeune femme ne peut s'empêcher de balayer la rue du regard, pour Le chercher. Même si elle ne veut pas le trouver. L’instinct. Un délicieux frisson d'angoisse comme elle l'aime lui remontant la colonne vertébrale. Elle lève à nouveau son téléphone pour lui envoyer un simple message, et se remettre en marche.
Suis-moi alors.
Elle passe en revue rapidement toutes les propositions de son correspondant, qui lui semblent toutes tout à fait appréciables. La forêt, elle aime beeaaaauuucoup l’idée. Mais elle verra plus tard. Pour une autre fois. Cette fois-ci, elle tient à ce petit jeu de mystère entre eux. Et la forêt peut l’interrompre. Par une bande de passants alertés par ses cris par exemple, ahah. “Connaissant” l’Homme qui sera avec elle, si elle le laisse régler ce problème tout seul, ceux qui auraient le malheur de les couper dans leurs amusements risqueraient de se faire découper en rondelles. Donc. Elle aurait certainement à intervenir elle-même. Donc. Ce sera pour une prochaine fois. Parce qu’il y aura une prochaine fois. Sauf si Monsieur ne se montre pas à la hauteur de ses prétentions. Dans ce cas, oust. Mais dans le cas où tout se passerait comme prévu … L’application des 100 km, leur sera de nouveau utile. Et il y aura une prochaine fois, et dans la forêt, cette fois.
Kyoko choisit une rue assez mal fréquentée du quartier, où les filles qui cherchent une chambre d’hôtel en journée en ressorte avec plus d’argent qu’elles n’y sont entrées. Quelque part où elle pourra faire tout le bruit qu’elle veut en paix. Elle prend son temps devant la devanture avant de rentrer. Devant même éconduire un type qui la prend pour une professionnelle. Le kimono ras les fesses, les chaussettes jusqu’à mi-cuisses et les talons, dans ce genre d’endroit, c’est l’effet que ça fait, ahah. Puis la jeune femme entre, prend une chambre avec extras, se dirigeant directement vers le coffre à “jouets” une fois arrivée dans celle-ci. Elle passe en revu rapidement les accessoires en se marrant. Balançant dans un coin de la pièce tous les trucs qui se mettent à l’intérieur d’un orifice quelconque. Dégueu. Les liens, c’est ok. Le reste … s’il est très gentil, elle pourra lui en fournir elle-même, ahah.
Puis Kyoko va ouvrir la fenêtre. Elle jette un regard sur la rue puis se hisse sur le rebord, dos à l’extérieur. Elle détache l’un des rubans du obi qui son kimono, et elle s’en sert pour se bander les yeux. Elle termine le nœud avec application et descend de son perchoir pour faire quelques pas à l’aveugle dans la chambre et laisser la place à Monsieur pour qu’il puisse la rejoindre.
Kaeru lui avait dit que c’était une mauvaise idée. Ou en tout cas une idée à laquelle elle ferait bien de réfléchir à deux fois. D’être certaine de son coup. Qu’il avait l’air dangereux, et que les tueurs de femmes, ça existe. Si Kyoko n’avait pas … les capacités qu’elle a, elle aurait sans doute refusé. Elle avait réfléchi à ce “rencard”, vraiment. Tendues des perches par messages pour voir dans quel sens l’Homme allait les prendre. Et finalement, elle s’était dit que le pourcentage de risque était tout à fait raisonnable par rapport … à la partie de baise incroyable qui se profilait. (Ouais, c’est très bof comme raisonnement, mais c’est Kyoko). Bref. Elle avait pris sa décision en toute connaissance de cause. Elle l’attendait maintenant, tout à fait consciente des risques.
Et puis elle le sent, immédiatement, quand il arrive. Et un frisson la parcourt de la tête au pieds, alors qu’elle se fait envelopper par sa présence, son aura, et la puissance qui en dégage. Ouais. Elle a vraiment bien fait de venir. Au pire, ce sera une très chouette mort. Elle sourit et profite de cette sensation d’infériorité un bref instant avec de se tourner à peine, juste pour qu’il puisse voir son propre sourire carnassier. Et Kyoko laisse sa propre aura de force reprendre la place autour d’elle. Au moins équivalente. Juste pour qu’il comprenne à qui il a à faire.
“Ravie de te sentir près de moi, lapin.”
Kyo laisse l’énorme masse de chakra qu’elle se trimballe (//c’est Samehada qui serait direct amoureuse héhé) planer autour d’elle avant faire demi-tour, face à l’Homme (enfin elle suppose) et de remballer tout ça pour paraître totalement inoffensive. Elle incline la tête sur le côté et croise les doigts dans son dos dans un geste presque innocent.
“Tu vois, je peux être une très gentille fille.”
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Clionestra
Ven 17 Nov - 20:19
Kisame Hoshigaki
J'ai 27 ans et je vis dans vos cauchemars, et parfois même juste derrière vous avant de vous tuer. Dans la vie, je suis à la recherche d'un imbécile et de distraction (en plus de chercher mon arme, mais ça me fou les boules j'en parle pas) et je m'en sors. Sinon, grâce à ma chance, je suis inapte à aimer et je le vis plutôt bien. → Surnommé le Monstre du Brouillard Caché → Ancin shinobi du clan Hoshigaki du village de Kiri. → Après avoir rejoint les Sept Épéistes de la Brume, il devint un ninja déserteur de rang S, et était le partenaire d'Itachi Uchiwa quand ce dernier rejoignit l'Akatsuki. → adore se battre mais sait analyser. → A compris qu'il considérait Itachi comme son meilleur ami. → Doté d'une force surhumaine → Réserve exceptionnellement grande de chakra. Kisame peut également absorber le chakra de ses adversaires, même sans l'aide de Samehada. → Gande résistance au poison. → Kisame est un expert dans l'art du Suiton. → Pendant la dernière mission pour l'akastsuki, il se fait passer pour mort alors qu'il s'échappe sous forme de requin. Il finit dans les vapes, récupérant de l'énergie pour ne pas mourir pendant plusieurs jours au fond de l'océan. Quand il se réveille, il cherche à retrouver Itachi, le seul en qui il a confiance, pour avoir les nouvelles ordres.
(crédit sur l'image et je sais pas la seconde)
Il allait se donner des claques. Kisame observe la jeune femme, se pose rapidement la question de comment il pourrait la tuer si elle vient à comprendre qui elle et il le sent … Ce sentiment étrange qu’il avait parfois quand il faisait une mission. C’était comme la culpabilité, mais en plus tenace et profond. Comme un marcage qui aurait trouvé sa place au cœur d’un océan. C’était boueux. Puant. Et il n’aimait pas ça. Il n’aimait pas ressentir de la culpabilité. C’était la raison pour laquelle il avait décidé de faire parti de l’akatsuki, non ? Rendre un monde meilleur pour que plus personne n’eut à faire le sale boulot, comme lui avait dû le faire. Mais voilà, des années et des années à se répéter que l’on devait faire les choses, ça conditionner un homme. Et même s’il n’y avait aucune raison de vouloir tuer la rousse plantureuse, son esprit avait choisi de lui montrer les meilleures manières de la tuer. Quelque part, dans les couches de pensées qui se superposer, il y avait une voix qui remarquait qu’il n’avait utilisé aucune méthode « violente ». Il n’avait trouvé que des méthodes où elle ne comprendrait pas ce qui lui arrive, la tuant sans lui faire de mal. Mais comme elle était étouffée par d’autres, cette voix ne se faisait pas trop entendre non plus.
Il allait se donner des claques. Parce que, aussi, en plus de voir des manières de la tuer, son esprit lui renvoyait quantité de manière à lui faire du bien. Ce qui n’était pas le genre de la maison, il fallait le dire. Kisame était le genre à prendre pour le mieux. Les expériences sexuelles qu’il avait eu n’était pas aussi nombreuse que ça. Lui, il n’avait jamais couché avec plusieurs personnes en même temps. Encore moins avec un autre homme. S’il se posait parfois la question pour Deidara et Sasori pour leur orientation sexuelle, la sienne avait déjà était admise. Il aime les femmes. Il aime les femmes bien courbé. Konan était un sac d’os. Il ne la trouvait pas si jolie. En réalité, il y avait peu de personne qu’il trouvait réellement jolie et en suivant depuis le toit la jeune femme, il se dit qu’elle, elle serait dans la catégorie des jolies. Et pas que pour son cul. Même s’il était joli.
Il allait se donner des claques. Parce que, donc, il pense à la tuer, il pense à la baiser, et le mélange étrange des voix dans son esprit allait le rendre dingue. Il savait qu’il serait à la hauteur. Ne pas avoir milles expériences ne veut pas dire qu’il était un moine non plus. Si l’activité sexuelle était une chose qu’ils ne pouvaient pas faire trop souvent à cause de leur mission, elle n’en restait pas moins un besoin… Kisame était le genre de type qui pourrait se mettre rapidement en colère s’il devait être frustré. Sexuellement ou non. Quand une personne lui échappe, ou que quelqu’un disparait et c’est pas lui qui l’avait supprimé, ou quand justement une personne meurt parce que trop fragile avant qu’il eut ce qu’il veut.
Il allait se donner des claques. Parce que, BREF. Ce n’était réellement pas le propos alors qu’il continue de suivre la jeune femme sans se faire remarquer. Il pouvait sentir, sans avoir besoin de son chakra, qu’elle était véritablement une guerrière. Pas le genre à casser si on lui souffle dessus. C’était bien. Au moins, sur ça, elle n’avait pas menti. Elle semblait parfaitement à l’aise dans le quartier des plaisirs et se posa pour attendre qu’elle finisse de se préparer. Il se sentait fébrile.
Il allait vraiment se donner des claques.
Il était impatient. Au départ, il avait voulu jouer avec la jeune femme, lui faire croire à l’homme idéal. D’ailleurs, il avait donné quantité de mensonge dans les messages échangé … Mais d’ordinaire, il brise les jeunes femmes sur cette application et passe à autre chose. C’était si simple de briser des petits cœurs. Mais pas elle. Elle, même s’il disait toujours vouloir lui briser le cœur, il voulait surtout le récupéré comme un trophée. L’avoir rien que pour lui et se vanter d’avoir pu l’avoir. Et si elle se plaint ensuite qu’il lui avait pris sans lui préciser qui il était, ça sera trop tard, héhé.
Un rabat-joie, aka Itachi pour ne pas changer, lui dirait qu’il n’était pas prudent d’aller voir la jeune femme sous sa véritable apparence. Si on départ, il avait eu envie d’avoir l’apparence d’un autre homme, n’importe qui, l’idée du danger avait émoustillé ses sens. Il avait envie que la jeune femme touche son corps, sans la moindre hésitation. Il avait envie que ça soit son corps qu’elle caresse et maltraite. Pas un corps d’emprunt qui, même s’il sentait aussi bien, ne sera pas le sien. Donc, les rabat-joies diraient que ce n’est pas prudent. Les joueurs diraient que c’est amusant. Le frisson d’excitation qui parcouru sa colonne quand elle s’approcha de la fenêtre. Il avoue. Il ne pensait pas qu’elle serait assez folle pour accepter ce jeu. Il pensait qu’il allait devoir tricher, lui aussi, mais elle était maintenant aveugle et ça lui plait. Il croit qu’il aimerait bien ce petit jeu, entre eux.
« Ce n’est pas prudent », entendu-t-il dans le vent qui porter la voix d’Itachi. Qu’il aille se faire foutre ce trou du cul. Il avait perdu son arme et il était mort, de ce qu’il en sait, alors ça le faisait un peu trop chier pour pouvoir l’écouter. Il boude. Ouais. Il boude un mort. Itachi n’avait pas le droit de mourir. Alors, pour la peine, il compte faire mumuse avec la jolie Fraise qui ne se trouve pas loin de lui.
Il passa par la fenêtre, habillé, parce qu’il n’allait pas non plus se promener à oilp dehors alors qu’on aurait pu le reconnaître et l’arrêter pour attentat à la pudeur. La seule modification corporelle qu’il s’était permise était de cacher ses branchies. La jeune femme pourrait sentir des cicatrices sous ses doigts, mais si elle venait à sentir que c’était « normal », elle devinerait rapidement son affiliation avec les requins … Et normalement, elle comprendrait très vite vue comment elle était maline. Ce qui était un compliment venant de lui. Il était habillé donc, et prêt, et se permit de la regarder pendant qu’elle était immobile.
Certes, il sentait sa puissance, ce qui donnait envie de la manger un peu plus, mais il pouvait surtout se permettre de parcourir son corps des yeux avec avidité et désir sans que cela ne soit remarquer. Il se tendit. Son corps était déjà prêt à l’emploi vue le spécimen devant lui. Une fiancée écarlate. Cela lui allait réellement bien. Il ne répond pas à sa phrase, ni à son surnom mignon. Il fait juste un sourire perceptible dans l’aura avant de s’arrêter. Il a dit « pas sourire ». Il n’était pas le genre d’homme qui sourit, sauf pendant un combat. Et là, c’était une autre sorte de combat qui allait débuter, non ? La jeune femme semblait aussi fan de soumission que de domination… Il en frissonne alors qu’il se déplace, enlevant la première couche qu’il avait sur lui, une cape noire, qui n’avait rien de bien intéressant que le fait d’être pratique pour disparaître. Il la laisse dans un sens mais fait assez de bruit pour qu’elle puisse l’entendre. Il sourit. S’arrête de sourire. Fronce le nez, là en silence, avant de décider qu’il s’en fou. Il aime le risque qu’il encoure.
- Les gentilles filles n’ont pas de fessées, fit-il d’une voix grave alors qu’il fait deux pas francs pour se retrouver à quelques millimètres d’elle, quoi que je puisse être le genre de personne à trouver une raison de frapper pour rien.
Il se penche à peine et décidant qu’il n’avait pas besoin de son consentement, puis qu’elle était toute découverte pour lui, et rien que pour lui, il attrapa ses lèvres dans un baiser vorace. Rien de doux là-dedans, ses mains passent sur sa peau pour approcher ses hanches. Pourquoi dire bonjour à une proie quand on peut la dévorer sans attendre ? Il faudrait être stupide pour laisser le temps des commodités. Bwerk. Il n’était pas le genre à l’inaction. Il laisse là à l’autre calme, aka toujours le même, -Kisame a dû mal avec l’idée de sa mort. Il l’embrasse donc bien qu’il vérifie ne pas faire tomber le bandeau. Bah. Deux choses l’un, ou elle le garde et ils baisent, ça l’amuse. Ou ça tombe, ils se battent, ça l’amuse. Pour le coup, il est gagnant dans les deux cas. Il laisse un rire un peu mauvais passer ses lèvres alors qu’il mort la lèvre inférieure de la jeune femme.
- Au moins, tu n’as pas menti, tu es certainement dans le top 5, mon cœur.
Et sa main descendit vers le postérieur de la jeune femme pour lui donner une claque sonore rien que pour illustrer son premier propos. D'un coup, un rire s'échappe de ses lèvres et il se réprimande tout de suite. Se surprenant même que, même si c'est du sexe entre eux, ça lui fasse autant plaisir.
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Ven 17 Nov - 21:57
Kyoko Uzumaki
J'ai 26 ans ans et je vis à un peu partout à travers les pays. Dans la vie, je suis samouraï errant, . Et je m'en sors très bein. Sinon, grâce à ma malchance, je suis veuve, mais ça, y a pas grand monde qui soit au courant.
- 1m76 - descendante du clan Uzumaki - a une énorme quantité de chakra - maitrise le fuinjutsu comme personne - a scellée ses armes en elle - a un byakko tatoué dans tout le dos
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Kyo ouvre bêtement la bouche à la remarque de l’Homme. Pas de fessées pour les gentilles filles. Ah. Merde alors. Franchement. C’est dommage. Et puis elle met un petit temps avant de réagir. Surtout prise un moment par le soudain rapprochement de cette puissante aura. Et puis il affirme qu’il peut aisément trouver une raison pour lui claquer le cul. Enfin ne pas en trouver du tout et quand même le faire. Ce qui est encore mieux. Alors elle pouffe en hochant la tête.
“Ouf, nous sommes sauv-.”
Non mais c’est vrai que ça aurait été très très con. Mais Kyoko n’a pas le temps de finir cette phrase de “soulagement” que monsieur capture ses lèvres d’un geste autoritaire qui la fait grogner d’appréciation. Ok, ok, très bien. Elle pose ses mains sur les avant-bras de l’Homme pour se stabiliser et lui rend son baiser avec une voracité toute contenue. Encore un peu quand même. Mais oui, elle aime beaucoup beaucoup ce baiser, l’autorité dans son attitude, la prédation dans son rire et la morsure sur ses lèvres. Putain ça va être bien.
Le “mon coeur” dit à voix haute la perturbe un petit peu. Mais ses pensées sont vite remises sur le rail de la meilleure des manières, alors que la main de monsieur vient s’abattre sur son cul. Elle rit. Il rit aussi, et elle entend, sent, sa retenue aussitôt arrivée. Mais elle ne se retient pas. Elle ne s’est jamais empêchée de rire, Kyoko.
“Ahahah ! Je ne mens jamais, mon ange.”
Mon ange. Sachant ce qu'il va lui faire, ce petit nom l'amuse tout à fait. Kyo fait passer sa langue sur sa lèvre inférieure, comme pour y chercher les marques de la morsure de l'Homme, en réveiller la sensation. Elle émet un bruit d'appréciation de fond de gorge et termine de rapprocher leurs corps. Elle le fait encore avec une certaine mesure. En premier parce qu'elle a envie de lui laisser le plein contrôle de la situation, et que si elle prend trop de place, trop d'initiative, … elle ne veut pas casser leur petit jeu. Alors elle fait quand même la gentille. Même en levant tranquillement les mains pour les poser sur ses épaules. Il est grand. Très grand. Son cou est large. Ses épaules sont larges. Kyo fait glisser ses doigts le long de ses bras. Ses biceps puis ses avant-bras. Elle apprécie la musculature qu'elle ressent et va pour lui tâter le ventre. Directement sous son haut. Pourquoi perdre du temps et de pas pouvoir directement profiter de ses pectoraux et de ses abdominaux sous la pulpe de ses doigts.
“Mmmh. Semblerait que tu sois aussi à la hauteur de tes prétentions.”
Kyoko glisse ses mains dans le dos de l'Homme pour le rapprocher encore plus d'elle et elle cherche doucement l'os de sa mâchoire pour le mordiller.
“Tu peux rire si tu veux, tu sais. C'est marrant le sexe.”
Ça lui arrive assez fréquemment de se marrer au lit. Surtout quand les fessées sonnent aussi clairement que là. Où qu'elle se casse la gueule depuis des positions improbables, ahah. Bref. Comme pour ponctuer cette phrase, elle débarrasse monsieur de son haut pour pouvoir profiter des muscles de son torse sans entraves.
“Mais si tu préfères, tu peux me mordre aussi. Ou me mettre une autre fessée. Ou … ce que tu veux.”
Des fois que ça ne soit pas assez clair par messages. Autant le dire une autre fois. Bien sûr qu'elle ne parle que de sexe. Ou presque. Ouais, presque. Elle frissonne violemment d'appréhension et d'excitation en se blottissant contre le corps massif de monsieur. Putain ce qu'elle aime ça. Se sentir petite. Ça la change. Alors ouais, elle s’amuse à caresser et griffer les sillons de ses muscles. Du torse, des bras, du dos. Elle remonte dans sa nuque pour se hisser jusqu’à ses lèvres. Mais elle n’en fait rien du tout, ce n’est pas elle la maîtresse du jeu, ahah. Alors elle reste juste à un demi-millimètres des lippes de l’homme et ne faisant rien d’autre que profiter de leurs souffles qui se mélangent.
“Dis-moi ce que tu veux. Ou prend-le.”
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Ven 17 Nov - 22:36
Kisame Hoshigaki
J'ai 27 ans et je vis dans vos cauchemars, et parfois même juste derrière vous avant de vous tuer. Dans la vie, je suis à la recherche d'un imbécile et de distraction (en plus de chercher mon arme, mais ça me fou les boules j'en parle pas) et je m'en sors. Sinon, grâce à ma chance, je suis inapte à aimer et je le vis plutôt bien. → Surnommé le Monstre du Brouillard Caché → Ancin shinobi du clan Hoshigaki du village de Kiri. → Après avoir rejoint les Sept Épéistes de la Brume, il devint un ninja déserteur de rang S, et était le partenaire d'Itachi Uchiwa quand ce dernier rejoignit l'Akatsuki. → adore se battre mais sait analyser. → A compris qu'il considérait Itachi comme son meilleur ami. → Doté d'une force surhumaine → Réserve exceptionnellement grande de chakra. Kisame peut également absorber le chakra de ses adversaires, même sans l'aide de Samehada. → Gande résistance au poison. → Kisame est un expert dans l'art du Suiton. → Pendant la dernière mission pour l'akastsuki, il se fait passer pour mort alors qu'il s'échappe sous forme de requin. Il finit dans les vapes, récupérant de l'énergie pour ne pas mourir pendant plusieurs jours au fond de l'océan. Quand il se réveille, il cherche à retrouver Itachi, le seul en qui il a confiance, pour avoir les nouvelles ordres.
(crédit sur l'image et je sais pas la seconde)
- Ne jamais mentir, est-ce un bien ou un mal ? Je me pose la question… Cependant nous nous sommes mis d’accord, je suis le démon de notre duo.
Les anges, c’était, apparemment, la meilleure amie de la jeune femme et son propre meilleur ami, bien qu’il ne sache toujours pas s’il pouvait considérer Itachi comme tel. Chelou la situation. Surtout chelou de penser à lui alors qu’il avait une femme en feu, ou enflammable, ou inflammable (la différence étant de qui prends le feu dans cette nuance). Il la laisse parcourir son corps, juste pour la laisser tâter la marchandise comme on dit. Il frissonne des mains qu’elle pose sur lui. Elles sont douces, calmes, presque tendres. Ce n’était pas ce qui était prévu dans le contrat … mais c’était étrangement …bon. Il ne voyait pas d’autres termes à utiliser que cela. C’était bon de sentir ses mains qui le cherchent, qui essaie de le façonner dans son esprit. Lui, même s’il la toucher aussi, n’avait pas besoin de visualiser quoi que ce soit. Il pouvait voir la teinte rose de sa peau qui se faisait plus prononcé après un baiser. Il avait à peine mordu. Il se demandait si elle marquait vite et avait bien envie de marquer son territoire sur tout le corps de la jeune femme. La mordre aussi. La sucer. Aussi. Il avait envie de la rendre un peu plus bleu (//Warren, sort de là). Alors qu’il se laisse rapprocher, passe les mains clairement sur ses fesses, elle lui parle de lire. Il se fige un instant avant de reprendre le doux frisson des baisers sur son menton. La jeune femme savait elle qu’elle donnait quelque chose de bien plus précieux que de la baise ? Il n’avait jamais eu ça, Kisame. De la tendresse dans le sexe. Parce qu’il n’avait pas le temps, et que bon … Il n’avait pas le droit de s’attacher aux gens. Pourquoi faire ami-ami avec des gens que l’on risque de devoir tuer ensuite ? Le sexe tendre était dans la même idée … Bien que toutes les idées qu’il avait d’elle n’étaient pas tendre du tout. Autre histoire. On n’y pense pas tout de suite. Il la laisse profiter, un peu absent. Rire. Il n’avait pas envie de rire alors qu’il sentait clairement déjà une érection face à cette Vénus qui ne demande qu’à combler ses caprices. Elle est petite. Il ne pense pas fragile, ce qui d’ordinaire va avec petite. Juste plus petite et ça lui donne d’autres idées. Alors, de sa main qu’il avait immiscé sur le postérieur de la jeune femme en se penchant un peu, il attrapa la peau de ses grandes mains et la soulève d’un mouvement rapide, l’obligeant à « sauter » sur lui si elle ne voulait pas que la gravité l’emporte.
- Ne fais pas tomber ton bandeau, ordonna-t-il alors qu’il remonta une main dans son dos.
Parce qu’il serait obligé de la tuer et maintenant que le désir avait pris le pas sur tout le reste, il ne pourrait pas s’imaginer la tuer sans lui faire des choses perverses … Ce qui ferait de lui un être bien trop immonde. Il avait beaucoup de défaut, mais il n’avait jamais pris plus que ce qu’on acceptait de lui donner. Il la remonte donc, pour qu’il puisse à nouveau prendre sa bouche en otage. Impérieux. Il se déplace de deux pas pour la coller contre le mur. Directement sur le mur. Il se fou si elle à mal. Un peu. Non. Complètement. Il s’en fou. Elle lui dira, au pire. Et il verra ce qu’il change. Peut-être rien. Ou pas. Bref. Il la coince contre son corps et le mur alors qu’il se sentait prêt à lui faire des choses. Lâchant ses fesses, il lui donna une nouvelle tape pour qu’elle se cambre sous la douleur, en arrière, il voulait qu’elle se cambre en arrière, et quand elle le fit sous la douleur, il fit glisser ses lèvres le long de sa clavicule pour lui faire un chemin de baiser avant de la mordiller avec une certaine force érotique. Il mordait et il aimait le goût de sa peau sur sa langue qu’il laissait parcourir la peau. Elle avait le goût de fraise. Elle était délicieuse. Il réalise quelque chose. Il se fait appeler comment déjà sur cette appli de merde ? Un truc très con. Il n’aime pas ça. Si elle doit jouir ou même le supplier, elle pourrait dire « maître » mais un prénom plus « lui » que « AwesomeMan » serait pas mal aussi. Il finit par lui faire un suçon alors que ses mains caresser son corps plaquait avant de se reculer à peine pour la « regarder dans les yeux ». Disons plutôt que leurs yeux sont au même niveau, mais qu’elle ne pourrait pas le voir.
- Same, souffla-t-il contre elle alors qu’il se sentait trembler de passion pour elle, je m’appelle Same. Mais tu peux continuer à m’appeler « Maître ». Quel nom vais-je devoir utiliser ?
Il s’approchait dangereusement de ses lèvres, s’amusant à nouveau à la mordre, mais sans l’embrasser, juste en prenant la peau pour tirer à peine dessus avec une semi tendresse étrange, mais un peu douloureuse parce qu’il mord tout de même, pour l’empêcher de parler.
- J’ai envie de t’attacher pour mordre la moindre parcelle de ton corps jusqu’à ce que tu ne puisses plus supporter et que tu me supplies de m’occuper d’un endroit que j’aurais, sans le vouloir (#sarcasme), oublié.
Il avait tellement d’envie avec ce corps tentateur qu’il pourrait continuer plusieurs jours d’affilé à la torturer pour ce plaisir. Comme il l’avait précisé, pour lui la torture était physique, et il n’avait jamais utilisé le sexe comme torture …. Mais là… Il avait bien envie d’apprendre des méthodes pour faire demander grâce à la jeune femme. Jusqu’à ce qu’elle n’ose plus lui mentir sur la moindre chose. Cette puissance qu’il avait senti en elle, déversé dans un corps pareil, utiliser pour se faire du bien… Elle était une déesse sensuelle et perverse. Ce qui était, comment dire ?, la chose la plus parfaite pour lui. Athée depuis toujours, il pouvait prendre une déesse et la ramener sur Terre, lui prouver qu’on avait tous un seigneur et maître. Et dans son cas. C’était lui.
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Ven 17 Nov - 23:56
Kyoko Uzumaki
J'ai 26 ans ans et je vis à un peu partout à travers les pays. Dans la vie, je suis samouraï errant, . Et je m'en sors très bein. Sinon, grâce à ma malchance, je suis veuve, mais ça, y a pas grand monde qui soit au courant.
- 1m76 - descendante du clan Uzumaki - a une énorme quantité de chakra - maitrise le fuinjutsu comme personne - a scellée ses armes en elle - a un byakko tatoué dans tout le dos
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Mmmh. Oui c'est vrai que c'est la dessus qu'ils étaient tombés d'accord. Tous les deux le démon de leur duo d'amis. Mais entre eux, il était plus maléfique qu'elle. C'est ça. Kyoko hoche à peine la tête, pas franchement intéressée par cette réflexion. Surtout quand elle a un corps pareil à découvrir avec les doigts. Elle a envie de le lècher. Elle a super envie de le lècher. Laisser sa langue prendre le chemin que celui de ses doigts le long de ses muscles. Oouuaaiiiiis. C'est assez difficile de se soumettre complètement à quelqu'un pour Kyo. Mais elle fait l'effort. Attendant, quémander, la suite des événements. Alors elle saute sans hésitation sur monsieur quand celui-ci la pousse à le faire.
“Bien maître. Je l'ai bien serré. Et s'il tombe je garderai les yeux fermés. Vous n'aurez qu'à le remettre. Plus serré.”
Elle s'amuse des formulations. Le vouvoie parce que ça l'amuse. Ça l'excite même. Enfin pas autant que le mur contre lequel l'homme l'écrase. Kyoko émet un bref gémissement directement dans sa bouche, de plaisir surpris. Peut-être un poil de douleur. Mais elle s'en fout. Elle aime les murs. Surtout être coincée entre un mur et un homme aussi massif. Qui lui claque les fesses. Le même gémissement en plus fort lui échappe et elle se cambre et se tend sous la morsure. Elle jure un ”putain” de satisfaction pure en plantant ses ongles dans les épaules de monsieur.
Same. Il se présente. Ça la surprend. Kyoko entrouvre les lèvres d'étonnement, et hoche la tête pour signifier qu'elle a compris. Elle ne s'attendait pas à ce qu'il lui donne un prénom.
“Kyo-”
Elle s’interrompt avant de donner son prénom en entier. Elle ne sait pas pourquoi elle pourquoi elle n’a pas envie de lui donner son véritable prénom. Sans doute parce que c’est tout ce qui reste hors de la portée de l’Homme. Same. Il a son corps. Il a son cerveau qui vient de sauter, lâchant un prénom qu’elle voulait pourtant gardéner, avant d’avoir le temps d’y réfléchir. Il a la plupart des informations importantes sur sa vie. Sur qui elle est. Il ne lui reste que le “-ko” de son prénom, et son clan. Bref. Elle se tait avant de terminer. Un surnom, c’est très bien aussi. Et puis de toute façon, elle ne peut plus vraiment se corriger, de nouveau à la mercie de Same et de ses dents qu’elle ressent pointues contre sa lèvre. Oui, mais oui bien sûr. C’est pour ça que ses mordures sont si exquises. Elle gémit à peine, de plaisir dans cette douce douleur. Et surtout envoûtée par cette puissance contre elle. Monsieur lui fait part de ses désirs, et Kyoko rit gravement, de joie et d’impatience.
“C’est diabolique. Mais ça me donne vraiment très envie, maître.”
La jeune femme pousse son bassin contre celui de l’Homme et se raccroche à ses épaules pour pouvoir onduler à loisir entre lui et le mur, malgré la lourde pression de son corps sur le sien. Ce qui rend le mouvement entre plus délicieux. Elle le sent déjà tendu entre ses jambes et soupire de bien-être en retournant lui picorer la mâchoire.
“S’il vous plaît, maître … Attachez-moi. Et mordez-moi.”
Qu'elle soupire contre sa peau avant d'avancer son visage, joue contre joue. Elle sent des traces sur la peau de Same mais ne relève pas. Ce un détail qui ne lui importe pas beaucoup pour le moment. Son visage. Ses dents, ses lèvres et sa langue, oui. Mais le reste. Elle s'en moque pas mal. Bref. Kyo s'approche de l'oreille de l’Homme pour y glisser :
“Sans vouloir te donner d'ordre… bien entendu.”
Ouaaaiiiiis, c'est dur dur de lutter contre ses réflexes de sale gosse quand on en est une jusqu'à la moelle. Kyoko donne un coup de langue baveux de casse pieds sur la joue de monsieur, sentant à nouveau les traces, et se recule crâne contre le mur pour lui adresser un grand sourire plein de vice.
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Clionestra
Sam 18 Nov - 0:32
Kisame Hoshigaki
J'ai 27 ans et je vis dans vos cauchemars, et parfois même juste derrière vous avant de vous tuer. Dans la vie, je suis à la recherche d'un imbécile et de distraction (en plus de chercher mon arme, mais ça me fou les boules j'en parle pas) et je m'en sors. Sinon, grâce à ma chance, je suis inapte à aimer et je le vis plutôt bien. → Surnommé le Monstre du Brouillard Caché → Ancin shinobi du clan Hoshigaki du village de Kiri. → Après avoir rejoint les Sept Épéistes de la Brume, il devint un ninja déserteur de rang S, et était le partenaire d'Itachi Uchiwa quand ce dernier rejoignit l'Akatsuki. → adore se battre mais sait analyser. → A compris qu'il considérait Itachi comme son meilleur ami. → Doté d'une force surhumaine → Réserve exceptionnellement grande de chakra. Kisame peut également absorber le chakra de ses adversaires, même sans l'aide de Samehada. → Gande résistance au poison. → Kisame est un expert dans l'art du Suiton. → Pendant la dernière mission pour l'akastsuki, il se fait passer pour mort alors qu'il s'échappe sous forme de requin. Il finit dans les vapes, récupérant de l'énergie pour ne pas mourir pendant plusieurs jours au fond de l'océan. Quand il se réveille, il cherche à retrouver Itachi, le seul en qui il a confiance, pour avoir les nouvelles ordres.
(crédit sur l'image et je sais pas la seconde)
Il espère qu’elle dise vrai. Qu’elle fermera les yeux. Même si le danger lui donnait toujours de délicieux frisson dans le dos… Il n’avait pas réellement envie de la tuer pour ça. Après tout, ce qui était sympas dans le fait de coucher dans un lieu public, c’était de ne pas se faire prendre. Quand on se faisait pincer, on se sentait mal et honteux des regards qu’il s’y trouver. Faux. Pas Kisame. Lui, il s’en tape copieux tant que personne ne touche que lui. Mais bon, il avait entendu dire que… Et c’était exactement le sentiment qu’il avait à l’instant. Il se sentait fiévreux qu’elle puisse découvrir qui il était… mais ne voulait pas que ça arrive. Il aimait assez l’idée d’être le maître et de pouvoir le serrer, mais là encore, il préférait ne pas tenter le diable. Ou la diablesse dans ce cas là.
- Kyo, il avait très bien compris qu’elle n’avait pas tout dit, mais c’était de bon guerre et continua de lui prendre des bouts de peau sur lesquels il tire, lèche, suce ou embrasse selon ses envies.
Il aimait bien Kyo. Même si le nom n’était pas fini. Kyo. Kisame. Il y avait quelque chose de destinés. Cela le fait à peine sourire mais il le ressent comme un sourire dans son corps. Pas son cœur. Il n’a pas de cœur. Mais son corps. Ouais son corps c’est mieux que le cœur. Bref. Alors qu’il la tient encore contre le mur, il passe ses mains sur ses fesses pour la « remonter » vers lui, passant ses lèvres vers d’autres zones en inexplorées de son corps. Il voit la courbure parfaite de ses seins. Il pousse le tissu qui le gêne de la langue. Il aurait pu la déshabiller tout de suite, mais comme lui qui avait encore son bas, c’était le bonheur de pouvoir déshabiller sa partenaire comme une papillote à Noël. Pas qu’il eut déjà mangé papillote, ni même fêté Noël. Il attrape la peau au-dessus de sa poitrine et lâche à peine un rire quand elle lui ordonne de la torturer. Une fille bien sage, en effet. Il aime tellement pourtant l’avoir compresser contre lui. Cela lui plait tellement. Son sourire vicieux après son léchage aussi. Il continue de malaxer ses fesses, et oui, il aime ses fesses, et l’attrape pour la plaquer contre lui alors qu’il vole à nouveau ses lèvres comme un bandit. Il la porte, fait le chemin jusqu’au lit pour la lancer dessus avant de se relever pour la regarder. Ainsi, elle ne pouvait plus le sentir. Il se déplaça pour se mettre à sa gauche, attrapa sa main en mordant un doigt pour continuer à mordiller sa main, son poignet, son avant-bras, son bras, son épaule et la faire lever le membre en embrassant la zone sous son bras, la peau légèrement sous le bras mais pas encore assez. Il mort à puissance diverse. Parfois fort, parfois à peine une caresse. Parfois il lèche. Il attrape cette main qu’il a fait levé et finit par l’attacher avec des menottes qui sont, par besoin scénaristique, déjà accroché à la tête de lit. Il ne dit rien en continuant de faire la même chose de l’autre côté, profitant de sa peau contre ses lèvres, de la sensation qu’il pourrait la manger toute crue. Comme un sushi. Exactement comme un putain de sushi. Il éventrait cette peau délicieuse pour la mettre sur un tapis de riz. Ou alors il l’étalerait sur le tapis qui en avait la même couleur pour l’aplatir ou alors. Il la sent sous ses mains, cette peau tendue et les veines qui laissent parcourir le sang. Il revient sur elle, plantant son genou entre ses jambes pour qu’il puisse en toucher la chaleur. Il remonte vers elle, alors qu’elle a les bras écartés et il l’embrasse, mange sa bouche dans un mélange étrange entre voracité et sensualité. Il attrapait sa langue de la sienne, il la faisait jouer alors que des mains il finit par la déshabiller toute entière.
- Tout ça, rien que pour moi ? fit-il avec humour alors que ses mains se pose sur le ventre de la jeune femme, à égal distance entre ses seins et son entre jambes (sur son nombril quoi) et qu’il fait des caresses.
Des caresses qui ressemblent presque à des griffures… Pas que presque en réalité, mais il teste. Il attend de voir que la douleur ainsi lui plait. Comme il l’avait précédemment pensé, il n’était pas le genre à prendre du plaisir en forçant, ce qu’il aimait, et il ne l’avouerait à personne, c’était de trouver la délicieuse caresse qui faisait frémir et le faire frémir. Qu’avait-il de plus érotique qu’une femme qui se tortille sous son corps pour demander plus, plus et encore plus. Il l’embrassait donc et commença exactement la tortue qu’il avait prévue. Il se mit à la mordre, la lécher, l’embrasser, comme il l’avait fait sur ses bras, sur toutes les zones pas intimes. Il ne toucha pas sa poitrine, ni le triangle humide entre ses jambes. Il tortura tout le reste en la laissant se tortiller, en la laissant gémir ou émettre des réprimandes. Il avait conscience que les menottes n’étaient pas utiles pour une fille de cette valeur, mais qu’importe.
- Supplies-moi Kyo. Supplie-moi, ordonna-t-il
Il finit par approcher sa bouche de ses seins. Il souffla sur ses tétons désireux et il sourit. Il y avait tellement de chose à mordre et tellement de chose à prendre… Ses fesses aussi avaient eu le droit à quelques morsures pendant la torture, mais rien d’assez poussé pour qu’elle se tortille. Cela l’amuse. Ouais. Cela l’amuse beaucoup. Et quand il souffla sur le second pour lui dire exactement sa position, il oublia totalement qu’il n’avait pas l’habitude de sourire. C’était peu commun, mais elle ne pouvait pas le voir. Que risquait-il à sourire quand personne ne pouvait le voir ? Alors il attend et se demande … Que risque-t-il vraiment ?
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HATAKE
Sam 18 Nov - 22:20
Kyoko Uzumaki
J'ai 26 ans ans et je vis à un peu partout à travers les pays. Dans la vie, je suis samouraï errant, . Et je m'en sors très bein. Sinon, grâce à ma malchance, je suis veuve, mais ça, y a pas grand monde qui soit au courant.
- 1m76 - descendante du clan Uzumaki - a une énorme quantité de chakra - maitrise le fuinjutsu comme personne - a scellée ses armes en elle - a un byakko tatoué dans tout le dos
Faceclaim : erza scarlet (fairy tail)
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Clionestra
Lun 20 Nov - 1:01
Kisame Hoshigaki
J'ai 27 ans et je vis dans vos cauchemars, et parfois même juste derrière vous avant de vous tuer. Dans la vie, je suis à la recherche d'un imbécile et de distraction (en plus de chercher mon arme, mais ça me fou les boules j'en parle pas) et je m'en sors. Sinon, grâce à ma chance, je suis inapte à aimer et je le vis plutôt bien. → Surnommé le Monstre du Brouillard Caché → Ancin shinobi du clan Hoshigaki du village de Kiri. → Après avoir rejoint les Sept Épéistes de la Brume, il devint un ninja déserteur de rang S, et était le partenaire d'Itachi Uchiwa quand ce dernier rejoignit l'Akatsuki. → adore se battre mais sait analyser. → A compris qu'il considérait Itachi comme son meilleur ami. → Doté d'une force surhumaine → Réserve exceptionnellement grande de chakra. Kisame peut également absorber le chakra de ses adversaires, même sans l'aide de Samehada. → Gande résistance au poison. → Kisame est un expert dans l'art du Suiton. → Pendant la dernière mission pour l'akastsuki, il se fait passer pour mort alors qu'il s'échappe sous forme de requin. Il finit dans les vapes, récupérant de l'énergie pour ne pas mourir pendant plusieurs jours au fond de l'océan. Quand il se réveille, il cherche à retrouver Itachi, le seul en qui il a confiance, pour avoir les nouvelles ordres.
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HATAKE
Dim 26 Nov - 15:40
Kyoko Uzumaki
J'ai 26 ans ans et je vis à un peu partout à travers les pays. Dans la vie, je suis samouraï errant, . Et je m'en sors très bein. Sinon, grâce à ma malchance, je suis veuve, mais ça, y a pas grand monde qui soit au courant.
- 1m76 - descendante du clan Uzumaki - a une énorme quantité de chakra - maitrise le fuinjutsu comme personne - a scellée ses armes en elle - a un byakko tatoué dans tout le dos
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Clionestra
Lun 27 Nov - 0:59
Kisame Hoshigaki
J'ai 27 ans et je vis dans vos cauchemars, et parfois même juste derrière vous avant de vous tuer. Dans la vie, je suis à la recherche d'un imbécile et de distraction (en plus de chercher mon arme, mais ça me fou les boules j'en parle pas) et je m'en sors. Sinon, grâce à ma chance, je suis inapte à aimer et je le vis plutôt bien. → Surnommé le Monstre du Brouillard Caché → Ancin shinobi du clan Hoshigaki du village de Kiri. → Après avoir rejoint les Sept Épéistes de la Brume, il devint un ninja déserteur de rang S, et était le partenaire d'Itachi Uchiwa quand ce dernier rejoignit l'Akatsuki. → adore se battre mais sait analyser. → A compris qu'il considérait Itachi comme son meilleur ami. → Doté d'une force surhumaine → Réserve exceptionnellement grande de chakra. Kisame peut également absorber le chakra de ses adversaires, même sans l'aide de Samehada. → Gande résistance au poison. → Kisame est un expert dans l'art du Suiton. → Pendant la dernière mission pour l'akastsuki, il se fait passer pour mort alors qu'il s'échappe sous forme de requin. Il finit dans les vapes, récupérant de l'énergie pour ne pas mourir pendant plusieurs jours au fond de l'océan. Quand il se réveille, il cherche à retrouver Itachi, le seul en qui il a confiance, pour avoir les nouvelles ordres.