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LE TEMPS D'UN RP

Au coeur de l'hiver, là où la neige ne fond jamais. [Paddy]

Léolyne
Messages : 290
Date d'inscription : 28/09/2022
Crédits : @laetitialacombe [instagram - commission]

Univers fétiche : Fantastique/Fantasy
Préférence de jeu : Les deux
Sabrina
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Léolyne
Dim 8 Oct - 22:44
Le contexte
Mise en situation
Reclus dans un petit village contenant plus d'arbres que d'habitants, Stefan passe l'essentiel de son temps à peindre. Ses œuvres, renommées à travers le pays, se vendent à prix d'or et la demande ne fait que croître, si bien qu'un agent est assigné pour travailler avec lui. Néanmoins le peintre a un sale caractère, n'acceptant guère que qui que ce soit approche de sa maison et tirant à vue même sur les adolescents qui tentent le coup. Son agent démissionne après des années à tenter d'établir un lien, et se voit remplacer par une jeune femme bien plus déterminée que lui... 

Contexte provenant de nos p'tites têtes, mais voilà une jolie image pour illustrer le post parce que c'est jouli.
Au coeur de l'hiver, là où la neige ne fond jamais. [Paddy] Winter10


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Léolyne
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Léolyne
Dim 8 Oct - 23:35
Il y avait tant de bruits dans la ville, tant de stimulus qui irritaient ses sens et lui donnaient de prodigieuses migraines. Lorsqu'il devait se rendre à la supérette en bas de la colline pour réapprovisionner son réfrégirateur, il lui fallait plusieurs jours sans la moindre nourriture pour le motiver à s'y rendre. Il devait néanmoins admettre qu'au fil du temps il avait trouvé sa place au village : il était l'Ermite, l'Ours Bourru qui n'hésitait pas à recourir à la violence pour s'assurer une brève tranquillité. À défaut de réussir à le déloger d'ici, les gens s'étaient simplement accoutumés à sa présence : quand il descendait la rue principale tout le monde s'écartait sur son passage, les enfants se tenaient sagement la main en suivant leurs parents au pas, et les commerçants se contentaient d'acquiescer à toutes ses demandes sans tenter de lui demander s'il allait bien ou ce qu'il pensait du temps dehors. Il n'aimait pas les banalités. En fait, il n'aimait pas parler s'il ne jugeait pas cela utile, et cela se remarquait lorsqu'il s'exprimait d'une voix rauque, presque enrouée tant ses cordes vocales servaient peu. 

Ce jour-là était particulier car il allait devoir faire face à trois situations désagréables sans le moindre répit. Il lui fallait d'abord se rendre à l'établissement Cruzot pour payer le loyer de la seule personne qu'il appréciait dans cet endroit, puis faire un détour par la boucherie pour reprendre un peu de boeuf, et enfin attendre la visite de son nouvel agent. Agente, se souvint-il. Il avait reçu un mail l'informant que Josh Evans avait quitté son emploi pour quelque chose de plus calme, à croire qu'il n'aimait pas se faire tirer dessus comme un lapin lorsqu'il dépassait les limites établies. Stefan eut un bref sourire en repensant à toutes les fois où il avait manqué de retirer un oeil à cet imbécile -il ne l'avait jamais apprécié de toute façon- et à ses petits cris indignés qui précédaient de féroces insultes. Il n'était pas méchant selon lui, il prévenait toujours avant d'attaquer. Personne n'avait le droit de franchir le portail de la clôture entourant sa demeure hormis la demoiselle aux cheveux d'argent, mais ça c'était une autre histoire. Il espérait que le patron ait prévenu sa nouvelle employée, sinon elle risquait une mauvaise surprise en arrivant. Saraya lui disait parfois de mettre un panneau à l'entrée au cas où, malheureusement il considérait que personne ne méritait cette petite attention de sa part. Elle n'insistait pas -elle n'insistait jamais, c'était ça qui lui plaisait chez elle. Elle comprenait ce qu'était le besoin d'avoir sa bulle, son espace privé dans lequel personne n'était admis. 

La journée lui sembla plus longue qu'à l'accoutumée. Ses deux premières épreuves avaient été passées avec succès, il ne lui restait plus qu'à attendre son rendez-vous professionnel avant de pouvoir retrouver sa tranquillité d'esprit. Il échangea sa tenue de ville contre quelque chose de plus confortable, un pantalon treillis tâché de peinture ainsi qu'un débardeur ample qui ne le gênerait pas dans ses mouvements. Il s'équipa d'une hache, de son carquois et de ses flèches, puis sortit par la face avant de sa cabane pour aller couper un peu de bois. Il vivait reclus en dehors du village, en haut d'une pente escarpée qui lui donnait une superbe vue en contrebas. Il avait construit lui-même son chalet au milieu des pins quelques années en arrière, avait installé tout le matériel nécessaire pour vivre comme cent ans auparavant, avec l'électricité en petit plus pour favoriser son confort. Cela ne l'empêchait guère de chauffer son eau grâce au poêle à bois, de chasser ou cultiver la majeure partie de sa nourriture et de favoriser tout ce qui lui permettait de vivre sans dépendre de qui que ce soit. D'ailleurs son électricité venait de générateurs qu'il rechargeait par d'obscures moyens car il vivait trop loin du village pour profiter des installations modernes. Il aimait ce style de vie, il aimait se sentir occupé à toute heure du jour et pouvoir vivre par lui-même. Stefan vérifia l'heure sur son téléphone tout en ramenant un tas de petites bûches près de celle qu'il utilisait pour ses coupes, vérifia que sa hache était bien aiguisée et se mit au travail. Son corps s'était adapté à la vie sauvage au fil du temps : plutôt grand par nature, il était svelte et musclé à la fois. Sa peau était sèche, ses mains abîmées, quelques cicatrices ornaient sa peau un peu partout... Il ne craignait pas le froid qui mordait sa peau, coupant du bois dans la fraîcheur de l'hiver sans même un pull ou des chaussures fourrées. Il avait tout de même engoncé un bonnet de laine noire qui dissimulait ses cheveux, ainsi que des lunettes transparentes pour se protéger. Ses yeux étaient d'un vert aussi profond que les pins autour de sa cahutte, ce qu'il avait pris comme un signe pour s'installer ici. Il eut un bref sourire aux lèvres en imaginant l'esquisse d'un nouveau tableau et se promit de se mettre au travail dès que l'agente serait passée le rencontrer.
Paddy
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Tournesol
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Paddy
Mer 11 Oct - 0:46

Cassandra Hawk
J'ai 28 ans et je vis à la capitale. Dans la vie, je suis galeriste et conservatrice et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.

(c) avatar : Pandaziozka

Au coeur de l'hiver, là où la neige ne fond jamais. [Paddy] Tumblr_inline_o1m6yawwHJ1qlt39u_250

Elle a vécue à la campagne mais à du s'installer à la capitale pour poursuivre ses études • Elle a toujours voulu travailler dans le domaine des arts • Elle a fait des études en histoire de l'art, et en sciences pour devenir restauratrice • Elle a un chatte qui se nomme Artemis en l'honneur de la déesse de la chasse • Elle a un faible pour la période de l'antiquité • Elle est hypersensible • Elle fait beaucoup de randonnée

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«Je ne crains pas le rien, Je crois même que je le préfère»



Je fixais la toile, restaurée, belle, majestueuse, authentique, colorée, émouvante, vibrante, passionnante. Elle était là, dans toute sa beauté, étendue devant mon regard d'enfant, ne cherchant pas l'analyse, contemplant simplement l'œuvre dans sa forme la plus pure, le sujet et ce qu'il est. J'ai eu la chance, de pouvoir restaurer une des plus belles œuvres réalisées au cours de l'histoire de l'art, la lourde tâche de restaurer Le Verrou de Fragonard, la plus célèbre peinture du XVIIIe siècle.

Je tremblais encore, les gants encore sur mes mains, la blouse et le masque couvrant ma bouche dans l'atelier du musée. Mais je devais m'arracher à la vivacité si parfaite de cette peinture pour terminer ce travail car déjà, je commençais une nouvelle vie dans le monde de l'art. J'étais désormais chargée d'une galerie, gérant plusieurs artiste dont un qui était connu mais dont personne n'avait vu le visage. On m'avait déjà prévenue sur le personnage. Un ermite à ce que l'on disait, vivant dans son chalet au milieu des montagnes. Je soupirais car évidemment, cela voulait dire le rencontrer dans la montagne car elle ne voulait pas le faire descendre en ville. Il était du genre à ... faire le strict nécessaire dans la ville et retourner dans sa forêt.

Dans un sens, je le comprenais bien. La forêt était un univers que j'appréciais beaucoup, que je trouvais ressourçant. Un endroit qui semblait si calme et pourtant beaucoup de choses s'y passait. Un endroit magique où les contes ont prit vies. Oui, j'aimais les forêts et les randonnées, la bouffée d'air frais du weekend après une semaine derrière un tableau ou derrière un ordinateur en fonction de mon travail du moment. La lumière du soleil jouant à travers les feuilles des arbres, les bruits des branches balancés par le vent, le craquement du bois mort sous les chaussures, l'odeur de l'humus et de la végétation... tous les sens étaient en éveils. Un vrai cocktail de nature !

Aussi, je filais chez moi, dans mon appartement pour passer une tenue plus appropriée à la montagne et repris ma voiture pour filer à l'adresse indiquée par l'ancien contact. Au pied de la montagne, je profitais du beau temps malgré la neige et le froid et entrepris l'ascension à pied, admirant la vue à chaque fois qu'un espace entre deux pins me le permettait. Je n'avais pas d'heure pour me présenter, simplement une date. Aussi, il devait être la fin d'après midi quand j'arrivais enfin en haut, vers le chalet. J'entendis qu'on fendait du bois, bien avant de voir l'armoire à glace, en débardeur avec pour simple protection contre le froid un bonnet noir sur la tête. Ce mec ne craignait pas le froid de l'hiver ?

Je haussais un sourcil m'arrêtant à moitié dans ma marche mais me secoua la tête et continua à marcher dans sa direction. M'arrêtant à une distance raisonnable, je l'interpellais.

« Bonjour ! »

Je sais que de visage, je faisais juvénile et cela me décrédibilisait souvent. Mais mon assurance et ma droiture ne trompait pas quand à ma maturité. Je lui lançais un sourire bienveillant.

« Je m'appelle Cassandra Hawk, je suis votre nouvelle galeriste ! »

Une veste sur le dos, une écharpe enroulé autour de mon cou, un bonnet sur la tête, couvrant une partie de mes cheveux blonds, des gants pour les mains les protégeant du froid mordant, il semblerait que je sois plus sensible que lui aux températures ! Je grelotais de froid rien qu'à l'idée de devoir retirer tout ce que j'ai sur le dos aussi, je préférais rester sur place, à admirer chaque parcelle de forêt qui passait sous mon regard. Ou peut être était ce ce regard sans analyse qui faisait que beaucoup pensait que je n'étais qu'une enfant. Moi je pense différemment. C'était peut être ces pensées sans filtre, de pure émotion qui me rendait bien plus sage et vivante que la plupart des êtres humains sur cette terre. N'est ce pas ?
Léolyne
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Léolyne
Mar 14 Nov - 0:43
D'aussi loin qu'il se souvienne, il n'avait jamais aimé le changement. Déjà enfant il avait pris le goût de la routine, redoutant avec effroi toute modification de son quotidien. Après de violents imprévus qui l'avait contraint à quitter son territoire initial il avait atterri ici, s'était installé dans le chalet le plus éloigné de la ville et s'était créé une nouvelle bulle de tranquillité. Entretenir la propriété, peindre, prendre des nouvelles de Saraya, encore peindre... Il s'accordait tout de même quelques moments libres, choisissant parmi un éventail restreint d'activités possibles pour que ses journées ne soient pas totalement similaires. Bien qu'il n'ait jamais apprécié le dénommé Josh Evans, il faisait partie de sa routine. L'idée d'avoir quelqu'un d'autre, de devoir réexpliquer les règles, impliquant donc de prononcer plus de mots que prévus, le dérangeait foncièrement. Certaines bûches furent hachées avec plus de véhémence qu'à l'ordinaire, signe de sa nervosité. Ne pas avoir d'horaire précis le contrariait plus qu'il ne l'admettait, il s'accorda une pause pour contempler avec plus d'attention le paysage. Il associait la montagne à l'immuabilité, quand bien même celle-ci évoluait, car bien que certaines arbres tombent tandis que d'autres naissaient, la forêt restait la forêt, la neige restait la neige. Il espérait de tout son coeur que l'agente soit plus docile que Josh, la période n'était pas propice à accepter quelqu'un de trop... énergique.
Il avait presque terminé de couper son bois lorsqu'il perçut le bruit d'un moteur dans le lointain ; l'agente avait probablement décidé de le rejoindre à pieds. Il ne pouvait savoir si elle le faisait par prudence ou par envie, mais elle avait gagné plus de points avant même de le rencontrer que ne l'avait fait Josh Evans en plusieurs années de pseudo-collaboration... restait à savoir si elle continuerait sur cette voie ou non. Il releva la tête lorsqu'elle le salua, ne prit pas la peine de lui répondre, mais se mit à la détailler sans la moindre gêne. Elle lui parut jeune, mais il ne se fiait pas à ce genre de choses... Elle se tenait bien et le regard droit dans les yeux -autant qu'elle le pouvait à cette distance, du moins. Elle n'avait pas encore tenté de franchir le portail, un autre point appréciable. Il reposa délicatement sa hache et équipa son carquois, l'arc restant posé dans la neige. Elle ne méritait pas encore ses menaces.

"Stefan Norvak."

Elle devait déjà connaître son nom, néanmoins il s'assurait ainsi qu'elle en ait la bonne prononciation. Le "a" se prononçait comme un "e", il tenait particulièrement à ce que cela soit respecté.

"Vous n'êtes pas autorisée à entrer."

Elle s'était montrée plus respectueuse que son prédécesseur, cependant il ne comptait pas lui ouvrir sa porte et lui proposer une boisson chaude au coin du feu. De plus, emmitouflée comme elle l'était, elle pouvait bien survivre un quart d'heure dans la neige. Il s'assit sur la souche qui lui servait à couper du bois, récupéra sa hache, une pierre, et se mit à aiguiser le tranchant de sa lame.

"J'ai moins de peintures que d'ordinaire à vous remettre, décembre va bientôt commencer. Je ne vends pas ce que je créé en décembre."

Bien qu'il supposait que Josh Evans l'ait mise au courant, il préférait le rappeler. La règle était immuable depuis la signature du contrat qui le liait à la galerie, et il était courant qu'il se montre moins productif en novembre, bien qu'il n'ait jamais expliqué ses raisons. Il n'avait pas d'amis ou de famille connus, aucune raison d'être indisponible pendant la période des fêtes. Il restait silencieux jusqu'à avoir fini sa tâche, indifférent à l'inconfort que pouvait ressentir la demoiselle. Il reposa ensuite l'outil avant de contourner sa maison, disparaissant momentanément de la vue de la demoiselle avant d'en revenir en portant trois toiles enroulées dans des tubes de protection qu'il vint déposer de l'autre côté de la clôture, s'éloignant de quelques pas pour rester à distance comme s'il craignait qu'elle ait une quelconque affliction à lui transmettre. Il n'était pas hypocondriaque, il était simplement plus à l'aise pour lancer une flèche au loin -même à main nue- plutôt que de la planter comme un vulgaire couteau de chasse. Il lui laissait une chance de s'en sortir si elle venait à commettre une faute.

"Montez avec votre véhicule si vous vous en sentez capable la prochaine fois, les toiles sont lourdes."

Comme elle l'avait fait l'effort de venir ici à pied plutôt que de troubler la tranquillité ambiante, il lui accordait la possibilité de faire au plus simple une prochaine fois. Il n'allait quand même pas l'aider à faire son boulot... Stefan retourna en arrière afin de ramasser sa production qu'il se mit à charger dans une petite brouette, n'ayant visiblement plus rien à dire à la demoiselle.





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[i]-HRPG- Heya ! Salut et désolée, j'ai été vraiment malade dernièrement + soucis persos, j'essaie de faire au mieux...
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