Le Temps d'un RP
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LE TEMPS D'UN RP

"La liberté que nous cherchons n'est pas une contrée lointaine, elle est en nous."

Paddy
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Univers fétiche : Harry Potter | Mythologie | Conte & Disney | Réel & Rantasy
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Tournesol
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Paddy
Mar 8 Aoû - 22:05
Le contexte du RP
Mise en situation

Epoque féodale | Angleterre

"La liberté que nous cherchons n'est pas une contrée lointaine, elle est en nous." Tumblr_p7usu3kQaX1uchv89o1_r1_500

La magie règne en ces terres. Depuis des millénaires, les hommes vivent en parfaites harmonie avec la nature, les éléments, les animaux. Les Dieux étaient vénérés, les druides, appelés parfois Mage étaient considérés comme les messagers, des guides, des guérisseurs. Les Terres Obscures d'où provenait la source de la magie n'étaient accessible que par les Mages, par des portails implantés un peu partout constitués de dolmens et de menhir.

En ces temps là, il n'y avait pas de guerre. Ou très peu. La magie était considérée comme bonne et harmonieuse. Mais, dans ce royaume, le trône fut usurpé par un coup d'état, organisé par le frère du Roi. Jaloux de son pouvoir, il convoitait la couronne. Il obtenu ce qu'il désirait et devint roi à son tour après avoir tué sa propre famille, son propre sang, sa propre chair.

L'histoire aurait pu s'arrêter là, si le faux roi ne commença pas une croisade d'une grande ampleur sur sa propre terre. Il chassa les druides, les sorcières, les mages. Il établit une loi, affirmant que la magie était mauvaise, que sa pratique en était interdite, sous peine de mort immédiate. La répression et la peur gagna rapidement les esprits et tout le monde dénonçait son voisin pour sorcellerie. La terre elle même semblait souffrir de cette annihilation totale du peuple porteur de magie.

Mais dans l'ombre, la rébellion prend marche. Dans l'ombre, on murmure que le vrai roi reviendrait, soutenu par les Mages. On raconte que certains sorciers se retrouveraient dans les bois pour pratiquer des sortilèges interdits, tuant et sacrifiant des humains et des animaux pour maudire le faux roi. Les embuscades explosaient de partout sur les cargaisons et les vivres qui étaient adressés au palais alors que le peuple mourrait de faim. Et la répression était encore plus forte en réaction...

La rébellion arrivera t-elle à détrôner l'usurpateur ? Est ce que le vrai roi se fera connaître un jour ? Qui pourrait sauver le royaume d'une destruction certaine ?

Paddy
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Paddy
Mar 8 Aoû - 23:35

Aëlys
J'ai 32 ans et je vis près de Londinium, Angleterre. Dans la vie, je suis une mage de la nature et une guérisseuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, à cause de ma condition et de mon caractère, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. De toute façon, qui voudrait d'une sorcière ?

"La liberté que nous cherchons n'est pas une contrée lointaine, elle est en nous." 68747470733a2f2f73332e616d617a6f6e6177732e636f6d2f776174747061642d6d656469612d736572766963652f53746f7279496d6167652f69363156394d454f6565503965773d3d2d3534333832323330352e313531393132613739346439386463313539393038333532373830372e676966

Elle a toujours été en Angleterre • Elle est une mage de la nature, appelé druide • Elle contrôle très bien la terre et l'eau, a du mal avec le feu qui a tendance à s'embraser trop rapidement. • Elle perd le contrôle quand elle est en colère • Elle aide en secret les plus pauvres, notamment les femmes • Elle continue toujours de pratiquer la magie • Elle a sa maison dans les bois, pas très loin de Londinium

"La liberté que nous cherchons n'est pas une contrée lointaine, elle est en nous." Int3HZ

« In the waves, I've lost every trace of you »



Ce soir. Je ne devais pas louper ce soir. Je m'étais préparée toute la semaine pour spécialement ce soir. C'était important. Le solstice d'été permettait un passage puissant et consolidait notre pouvoir. Alors je devais y assister. Et pourtant, cette semaine a été particulièrement stressante. Les patrouilles étaient encore plus importantes depuis quelques jours. Et je devais vraiment faire attention.

Ce matin là, pourtant, j'avais fait attention. J'avais enfilé ma cape en laine, trouée par endroit, salie par la terre et l'eau croupie, tâché par la paille et l'herbe, elle donnait plutôt mauvaise mine. J'étais cachée dessous, la cape me recouvrant complètement. Mes cheveux roux était tressée, bien dissimulé sous la capuche. J'étais sortie de chez moi, ma petite maisonnée alors que la lumière du jour pointait seulement le bout de son nez, faisant place à l'obscurité. Je n'avais pas besoin de lanterne, je connaissais le chemin par cœur, jusqu'à l'entrée sud de Londinium. Le chemin était difficile d'accès, caché par les ronces par endroit. Heureusement, j'étais mage. En conséquence, je pouvais contrôler les plantes. D'un geste élégant de la main, je dégageais le passage et me faufila entre les buissons, les arbres, pour rejoindre l'entrée.

La muraille de pierre, lourde, épaisse, puante, se tenait là, devant moi. Le garde à l'entrée me reconnu sous la cape et me lança un sourire. Heureusement, il gardait souvent l'entrée sud et j'avais plus ou moins sympathiser avec lui. Ne jamais sous-estimer un sourire. Gardant la tête légèrement baissée, je m'approchais de la porte, mon sac en toile, en bandoulière, bien vissé sur mon épaule.

« Bon matin Ulrich. »

Il sourit quand je l'appelais par son prénom. Il me répondit avec un enthousiasme certain dans la voix, comme si il semblait heureux que je me rappelle de son prénom. Un sourire se dessina sur ses lèvres. Je passais à côté de lui, de cet homme qui me laissait entrer ni vu ni connu dans Londinium, qui était aux couleurs du foi roi. De l'usurpateur.

Elle marchait pieds nus, le froid ne la dérangeait pas. La magie aidait à faire tenir son sang au chaud. Elle s'avança à travers les rues, se faufilant parmi les ruelles pour se diriger vers ceux qui en avait le plus besoin. Sa journée allait être longue ...

J'avais fait en sorte que je ne sois pas suivie. J'avais les mains et le tablier remplie de sang. Je venais d'aider une femme à mettre au monde son enfant, mais il s'était présentée mal. Résultat, j'avait failli perdre les deux. Je me calmais, quelques rues plus loin. Jusqu'à ce qu'un bras me poussa violemment contre le mur de pierre.

Sous la violence du choc, ma tête heurta le mur, j'en eu le souffle coupé, les étoiles dansant devant mes yeux. Je compris alors que la main qui m'avait poussé contre le mur était en train de m'étrangler quand l'air manqua dans mes poumons. J'attrapais son poignet à deux mains, observant alors l'homme qui me tenait. C'était un garde, un de ceux de la patrouille du faux roi. Je paniquais aussitôt.

« Eh bin alors ma jolie... On pratique la magie illégalement ? »
« N...»
« Te fatigue pas sorcière. Essaie de faire le moindre geste et je casse ton cou en deux ! »

C'était à peine si j'arrivais à entendre ce qu'il disait. L'oxygène venait à me manquer mais dans un geste désespérée, l'adrénaline gonfla mes veines alors que la magie bouillonna en moi. Aussitôt, les flammes de la lampe torche du garde s'étendit hors de la lanterne pour passer sur lui. Il brûla comme un brasier. Le choc fit en sorte qu'il me relâche et je m'écrasais au sol, reprenant une bouffée d'air salvatrice. Le hurlement soudain du garde alerta le quartier. Je ne demandais pas mon reste pour fuir d'ici.

Je courrais, passant devant Ulrich et m'enfonça dans la forêt sans ralentir. C'est comme si tout les arbres, les buissons, les branches et les racines s'écartaient sur mon passage pour que je puisse fuir le plus loin possible. J'arrivais en moins de deux à ma maisonnée et attrapa un baluchon. Je pris ce que je pus dedans, la panique et la course, me faisant respirer douloureusement. Le souffle erratique, je fermais le baluchon et quitta sans détour ma maison.

Je savais que ce jour allait arriver. Mais si je perdais le contrôle aussi facilement sur la magie, c'est que le soleil venait de se lever en ce solstice. Je pris la direction du lieu du rendez vous alors que je réussis à me calmer sur le chemin. Plusieurs fois, je vérifiais si je n'étais pas suivie. Apparemment non.

Arrivant aux dolmens, il y avait déjà du monde. Et il y avait surtout mon frère d'arme, mon mentor, mon maitre, mon ami. Je lâchais le baluchon, courant dans ses bras alors qu'il me rattrapait, enfouissant son visage dans mon cou. Nos sourires étaient sincères, rempli d'un amour fraternel.

« Aëlys, c'est bon de te revoir. »
« Sigvard, c'est bon de te revoir aussi. »

Et la cérémonie commença. Un mage, entre chaque dolmen, un mage devant, devant chaque pierre, derrière chaque pierre, formant des cercles fermés. Vu du ciel, c'était un entrelac d'être humains qui tournaient autour de point fixes, comme le flux sang dans les veines. La musique résonnait dans les bois alors que le soleil déjà descendait sa course jusqu'à la porte. Bientôt, le portail s'ouvrirait pour laisser passer la magie, je pouvais déjà la sentir dans mes trippes, devenir plus intense, plus violente, plus pure. Les feux crépitaient jusqu'à ce que sonne une corne.

De là haut, sur la falaise, se tenait les hommes de l'usurpateur. Les hurlements résonnèrent dans l'espace alors que tous tentaient de fuir la charge de cavalerie des soldats. Avec Sigvard, nous étions au centre, le soleil enfin entra en résonnance. Nous usions les deux de notre magie, permettant l'ouverture du portail. Les mages se précipitèrent pour passer. Jusqu'à ce qu'un soldat à cheval ne nous voit faire. Son cheval se cabra et fonça sur nous. Sur moi. Je fus rejetée en arrière par Sigvard et le silence se fit.

Je vis au ralenti, la lame de mon ennemi passer dans le corps de mon mentor, le sang tapissant le sol dans un flots sans fin. Je n'entendis pas mon hurlement. Je n'entendis pas la rage s'exprimer, les racines exploser, le feu tout ravager sur son passage. Jusqu'à ce que je ne vois plus rien et que ma tête tomba lourdement sur le sol. On venait de m'assommer.

Quand je me réveillais, j'étais dans une cage en fer, tiré par des cheveux. Les rues de Londinium. Le ciel était gris et voilé, impossible de connaître l'heure. Je n'étais pas la seule dans la cage. Mais j'étais la seule à avoir les mains liées. Je ne dis rien, repensant à cette nuit où Sigvard avait perdu la vie pour me protéger. Puis à ces hommes qui avaient massacrés mon peuple. Je n'étais plus qu'une poupée de chiffon quand je passais les murs de pierre du château et qu'on m'emmena dans les dédales des cachots.

On me plaça devant une cellule et on me jeta à l'intérieur. Je tombais à la renverse, n'ayant aucun équilibre avec ses mains menottés.

« Demain tu brûleras en place publique sorcière. »

Je me relevais, ma jupe en laine grise, déchirée en bas. Je hurlais de rage en avançant vers la porte alors qu'elle se refermait sur moi. Je ne pouvais rien faire avec ses mains liés. Impossible de bouger correctement et de demander de l'aide. Je reculais pour foncer sur la porte, espérant la faire céder avec mon épaule. Je grimaçais sous l'impact alors que j'entendis les garde rire derrière.

« VOUS RIREZ MOINS QUAND J'EN AURAIS FINI AVEC VOUS ! FILS DE CHIENS ! »

J'inspirais un grand coup alors que je relevais ma tignasse rousse de devant mon visage. Pour finalement apercevoir que dans la cellule, je n'étais pas seule...
Edward
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Edward
Mer 9 Aoû - 10:51

Arthur
J'ai 31 ans et je vis à Londinium, Angleterre. Dans la vie, je suis brigand et je m'en sors bie. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt pas bien.

De parents inconnus, je vie de rapines et de cambriolages, de vols et de rançonnements. Je cible plus particulièrement les nobles et riches marchants, ceux qui profitent de la pauvreté pour s’enrichir plus encore. Avec ma troupe, on équilibre un peu les richesses, en donnant à ceux qui en ont besoin une partie de notre butin. Cela dit, nous en gardons de quoi profiter de la vie ! Célibataire, je le suis, mais, si ce n’est pas un choix, cela ne m’a pas empêché de vivre quelques aventures *Hum!*
Je suis un bandit !
Un criminel, un voleur, un détrousseur !
J’ai la fâcheuse tendance à voler des choses à des gens qui en ont plein pour en donner, une partie, à des gens qui n’en ont pas.
Sans être le bon samaritain de service, je sais malgré tout partager avec ceux qui en ont besoin.

Avec le temps, c’est toute une petite équipe que j’ai formé autour de moi, des gars fidèles et profondément bons. S’il y a bien une chose pour laquelle nous sommes connus, c’est bien pour notre capacité à utiliser la violence le moins possible.
Si je dis “connu” et non “reconnu”, c’est bien parce que, aux yeux des hommes du Roi Usurpateur, nous n’avons pas de visage. Nous travaillons toujours masqués, ce qui nous offre la liberté d’aller et venir sans trop de problème.

Si mes hommes me sont fidèles, je le suis tout autant à leur égard ! Aussi, lorsque John a été arrêté pour un petit larcin et jeté au cachot, je cherchais immédiatement un moyen de l’en faire sortir. Hélas, l’endroit, trop bien gardé, nous empêchait d’entrer pour le libérer.
Aussi, apprenant que, prochainement, la tête de mon ami serait séparée de son corps pour le vol d’une bourse à peine pleine, j’échafaudais un plan à la hâte.

En ces temps troubles, il n’était guère compliqué de finir au trou. Si vous jouez suffisamment bien l’homme ivre et que vous allez chatouiller convenablement les gardes, vous vous retrouvez rapidement dans le sordide couloir des cachots.
Il m’était alors plus simple de préparer une évasion de l’intérieur !

J’étais là depuis trois jours, ayant brièvement croisé mon ami en arrivant. Il ne semblait pas trop amoché et se trouvait à quelques cellules de moi seulement.
Mon plan était simple !
Dans deux jours, l’Usurpateur ferait une apparition publique. À ce moment-là, le nombre de gardes serait réduit dans les cachots. En orchestrant une habile manœuvre, je pousserais un garde à ouvrir ma cellule pour me molester. A cet instant-là, je saurais l’accueillir convenablement. La suite ne serait alors qu’une balade discrète jusqu’à la sortie.

Un plan parfait jusqu’à aujourd’hui ! En effet, quelqu’un vient de mettre un sacré grain de sable dans ce déroulé simple, complexifiant sérieusement sa réalisation.
Tandis que j’étais activement à une petite sieste, la porte de mon cachot s’ouvrit brutalement et un éclair roux échouait sur le sol de pierre humide.
Une jeune femme, plutôt agréable, se relevait d’un bond, arborant une jupe déchirée et une tenue bien abimée. Le garde, hilare, annonçait à cette pauvre fille le sort qui l’attendait. Folle de rage, cette dernière percuta la porte à grand coup d’épaule avant d’insulter les hommes, visiblement décidée à les faire disparaitre.

J’étais resté immobile sur ma couchette, observant la silhouette assez sympathique de mon invitée, avant de me racler la gorge.

Cette porte n’est en rien responsable de votre malheur ! Laissez là donc en paix avant qu’elle ne se venge sur votre épaule !

A peine eus-je terminé…

Arthur, c’est chez-toi que ça beugle ?

SILENCE ! VOLEUR !

Ouai John, désolé pour ta sieste ! Je vais calmer le chaton.

TA GUEULE L’IVROGNE ! Déjà qu’on t’a filé de quoi t’amuser, ne la ramène pas !

Un large sourire étirait mes lèvres. Il était tout à fait prévisible que la rouquine n’apprécie pas spécialement être surnommée “chaton”, mais j’avais en réserve quelque chose qui, à coup sûr, me permettrait d’être pardonné.

Je levais lentement les mains, de chaque côté de ma tête, en signe d’apaisement… Les menottes n’entravaient pas mes mains puisqu’elles étaient proprement posées à côté de ma couche.

Tout doux ! Dis-je doucement. Il faut donner matière aux gardes pour les convaincre qu’ils font bien leur travail, ainsi, on est en paix. Affirmais-je en braquant mon regard sur le sien.

Je me levais et avançais vers elle tranquillement, lui montrant ses poignets tout en sortant une petite tige de fer d’un repli de mon pantalon de toile grise. M’arrêtant proche d’elle, je me penchais pour chuchoter.

Je vais être honnête avec vous ! J’ai un projet qui demande à ce que je sois ailleurs qu’ici ! Je peux vous détacher, mais ne vous avisez surtout pas de me déranger dans mes affaires, sans quoi je motiverais les gardes à profiter de votre présence ! Nous sommes d’accord ?

Je lui souriais, attendant sa réponse avant de libérer ses bras
Paddy
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Mer 9 Aoû - 12:27

Aëlys
J'ai 32 ans et je vis près de Londinium, Angleterre. Dans la vie, je suis une mage de la nature et une guérisseuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, à cause de ma condition et de mon caractère, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. De toute façon, qui voudrait d'une sorcière ?

"La liberté que nous cherchons n'est pas une contrée lointaine, elle est en nous." 68747470733a2f2f73332e616d617a6f6e6177732e636f6d2f776174747061642d6d656469612d736572766963652f53746f7279496d6167652f69363156394d454f6565503965773d3d2d3534333832323330352e313531393132613739346439386463313539393038333532373830372e676966

Elle a toujours été en Angleterre • Elle est une mage de la nature, appelé druide • Elle contrôle très bien la terre et l'eau, a du mal avec le feu qui a tendance à s'embraser trop rapidement. • Elle perd le contrôle quand elle est en colère • Elle aide en secret les plus pauvres, notamment les femmes • Elle continue toujours de pratiquer la magie • Elle a sa maison dans les bois, pas très loin de Londinium

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La voix profonde de l'homme qui était couché sur la paille résonna dans la cellule. Je tournais mon regard orageux dans sa direction. Ah ce n'était pas le moment ! Je sentais mon sang bouillonner dans mes veines comme un poison. J'allais me détourner de cet homme quand j'entendis une voix venir d'une autre cellule. JE BEUGLE ? MOI ? J'allais répondre par l'affirmative dans ma colère et mon chagrin quand l'homme qui se prénommait Arthur affirma qu'il allait calmer le chaton.

A ces mots absolument pas élogieux, je sentis mes poils se hérisser sur mon dos. Par Merlin, je pourrais le noyer. Jusqu'à ce que les gardes parlent "d'amusement". Je blêmis quand je vis le sourire sur le visage de l'homme.

Je me plantais sur mes pieds et leva mes deux mains retenues par les chaines alors que je le menaçais du regard.

« Ne me touchez pas ou vous aller perdre l'usage de vos mains ! »

La menace était claire, évidente. Il leva ses propres mains de chaque côté de sa tête comme un signe de reddition jusqu'à ce qu'il se lève et s'avance vers moi. Je reculais laissant une large distance entre nous. Puis il murmura pour que moi seule entende. Je arquais un sourcil, mais cela eu le don de me calmer quand il planta son regard dans le mien. Il y avait de la détermination. Il voulait m'aider ? J'en doutais. Il désigna mes menottes et sortit de son pantalon, doucement, une tige en métal. L'espoir naquit soudainement dans mes yeux jusqu'à ce qu'il me menace. Je serrais la mâchoire, absolument pas satisfaite. Il m'affirmait qu'il allait s'évader et que j'avais pas intérêt à interférer dans son évasion. Je grondais, moi aussi menaçante.

« Osez vous me menacer ? »

Je fixais l'homme dans les yeux à mon tour. Si il pensait que j'allais baisser le regard ! Il pouvait se mettre son pic où je le pensais. Et j'étais véritablement trop en colère pour penser rationnellement. Cependant, je sais que je devais le rassurer si je voulais être libre de cette emprise.

« Ne vous inquiétez pas, j'ai pas l'intention de vous suivre. Ou que vous alliez. »

Je tendis mes mains, menottées, vers l'homme. Il n'avait qu'à me libérer et il verra bien que je ne suis pas du genre à me laisser faire ! Je sentis une vague de magie déferler alors que l'attente et l'espoir d'être libérée naquit au même moment. Mais je ne pouvais pas me permettre de pratiquer librement. Encore moins dans le château à la vue de tous. Je devais attendre le bon moment, pour me venger de l'homme qui a réduit mon peuple en cendres. L'usurpateur mourra, de mes mains si il le faut.
Edward
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Edward
Mer 9 Aoû - 13:14

Arthur
J'ai 31 ans et je vis à Londinium, Angleterre. Dans la vie, je suis brigand et je m'en sors bie. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt pas bien.

De parents inconnus, je vie de rapines et de cambriolages, de vols et de rançonnements. Je cible plus particulièrement les nobles et riches marchants, ceux qui profitent de la pauvreté pour s’enrichir plus encore. Avec ma troupe, on équilibre un peu les richesses, en donnant à ceux qui en ont besoin une partie de notre butin. Cela dit, nous en gardons de quoi profiter de la vie ! Célibataire, je le suis, mais, si ce n’est pas un choix, cela ne m’a pas empêché de vivre quelques aventures *Hum!*

La jeune femme n’était pas contente des différentes réflexions qui fusèrent dans le couloir. C’était parfaitement compréhensible mais passablement gênant. En effet, elle semblait trop hors d’elle pour faire fonctionner complètement sa cervelle.
C’est ainsi, qu’après lui avoir expliqué que j’allais lever le camp et qu’il était préférable qu’elle ne m’en empêche pas, elle prit la mouche.

Nulle menace Chaton, je vous préviens simplement.

J’en rajoutais une couche exprès afin de bien démontrer qu’elle ne m’intimidait pas le moins du monde. Taquin, j’enfonçais le clou en murmurant.

A l’évidence, pour le moment j’ai les mains libres, vous non. Il serait fâcheux que vous m’entraviez, non ?

Finalement, après un affrontement oculaire plein de colère et de détermination de son côté, une certaine nonchalance du mien, elle m’assurait de sa coopération, tendant finalement les mains vers moi.

A la bonne heure !

Lui saisissant doucement un poignet, je fis cliqueter aussi silencieusement que possible la tige dans la serrure. J’étais presque venu à bout de la première lorsqu’un bruit m’alerta.
Aussitôt, je la repoussais contre le mur de la cellule sans trop de précaution, plaquant ses mains contre son ventre et me pressant à elle. Dans ma hâte, je marchais sur sa jupe, aggravant nettement la déchirure.

Alors ! Tu vas te laisser faire sagement Mignonne ? Lançais-je à voix haute.

Mon regard était planté dans le sien, froid et attentif. D’un geste des pupilles, je lui indiquais l’ouverture dans la porte, ouverture par laquelle elle pourrait distinguer les yeux voyeurs d’un garde.

M’oblige pas à être vilain la pouliche ! Grognais-je d’une voix mauvaise avant de caler mes lèvres à deux doigts de son oreille. Jouez le jeu bon sang !

Hilare, la garde refermait la petite ouverture. Il n’a pas perdu de temps le soulard ! HAHAHA !

Clic ! Fit faiblement la première serrure. Tandis que je prenais son second poignet entre mes doigts pour recommencer l’opération, je chuchotais de nouveau.

Désolé de vous avoir brusqué. Sachez que s’ils vous ont mis ici, c’était bien dans l’espoir d’assister à ce genre de scène.

Clac ! Fit la dernière entrave avant que je ne fasse glisser ses chaines de ses bras.

Voilà, gardez toujours un oeil sur cette trappe… Sait-on jamais.

Je lui rendais son espace vital, en lui lançant un sourire. Je vous promets que je ne procède pas ainsi avec les femmes d’habitude !

Ceci dit, je prenais appui contre le mur qui jouxtait la porte afin de ne pas être dans le champ de vision des gardes.

Alors, on vous accuse de sorcellerie ? Chuchotais-je. Est-ce fondé ou bien est-ce un excès de zèle des hommes de l’Usurpateur ?
Paddy
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Lun 14 Aoû - 22:19

Aëlys
J'ai 32 ans et je vis près de Londinium, Angleterre. Dans la vie, je suis une mage de la nature et une guérisseuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, à cause de ma condition et de mon caractère, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. De toute façon, qui voudrait d'une sorcière ?

"La liberté que nous cherchons n'est pas une contrée lointaine, elle est en nous." 68747470733a2f2f73332e616d617a6f6e6177732e636f6d2f776174747061642d6d656469612d736572766963652f53746f7279496d6167652f69363156394d454f6565503965773d3d2d3534333832323330352e313531393132613739346439386463313539393038333532373830372e676966

Elle a toujours été en Angleterre • Elle est une mage de la nature, appelé druide • Elle contrôle très bien la terre et l'eau, a du mal avec le feu qui a tendance à s'embraser trop rapidement. • Elle perd le contrôle quand elle est en colère • Elle aide en secret les plus pauvres, notamment les femmes • Elle continue toujours de pratiquer la magie • Elle a sa maison dans les bois, pas très loin de Londinium

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« In the waves, I've lost every trace of you »



Encore ce surnom. Je lui lançais un regard glacial mais je compris bien vite que sans son aide, nulle magie. Aussi, je préférais garder le silence pour la suite et lui tendis mes poignets attachés. Il saisit un de mes poignets avec douceur, chose qui me surpris, je dus l'admettre. Je l'imaginais plutôt rustre au vu de ses habits, apparemment je me trompais. Cependant je ne disais rien alors qu'il s'afférait à la tâche. Il tournait la tige de métal dans le trou de la serrure pour tenter de la déverrouiller. J'étais trop concentrée sur ce qu'il faisait que je ne compris pas immédiatement ce qui m'arrivais.

Soudainement, il attrapa mes deux poignets pour les plaquer sur mon ventre et me plaquer contre le mur de la cellule.

« Qu'est ce que... »

Je le fusillais du regard alors que le bruit du déchirement de ma jupe résonna. Je vis rouge et tenta de me débattre mais il avait la poigne dure. J'allais l'insulter et lui cracher au visage le fond de ma pensée mais son regard et ses paroles me firent comprendre que quelque chose clochait. Son regard froid ne collait absolument pas avec son attitude et les mots employés. Cherchant à comprendre ce qui se passait il m'indiqua d'un regard la porte. Je pus voir, là dans la trappe, une paire d'yeux qui nous fixait. La jupe déchirée, son corps contre le mien, il était clair que cela donnait vite l'illusion d'une agression. Il se pencha vers mon oreille pour me dire de jouer le jeu.

Je suis Mage. Les mœurs entre mon peuple et la religion humaine étaient complètement différentes. Disons que nous étions plus libres et libérés. Alors quand bien même, cet homme tentait de me sauver en faisant croire quelque chose aux gardes, j'ignorais comment réagir tout simplement. Alors, je fis à mon instinct. Et comme j'avais de la colère, je la laissais éclater de nouveau. Il voulait que je joue le jeu ? Très bien !

« LACHEZ MOI ! » commençais-je à hurler. « Ne me touchez pas ! »

Je tentais de me débattre faussement alors que je tournais la tête sur le côté, comme si j'étais dégoutée de sa vue. C'est là que la voix du garde résonna pour annoncer qu'il n'avait pas perdu de temps. Même si mon jeu de théâtre ne devais pas être très bon, il y avait assez de colère dans ma voix pour que cela paraisse vrai. Aussitôt le clic de la trappe résonna il reprit sa tâche de libérer mes poignets. Une première serrure. Je soufflais sous la morsure du métal et me rendis compte que mes poignets avaient été blessés par les fers. Il s'excusa cependant de cette scène et aussitôt ma colère disparu. Effectivement, j'avais bien compris le problème. Je hochais la tête et grinça des dents, dégoûtée par l'obscénité des gardes. J'étais peut être plus libérée mais là, c'était trop.

« Je comprends. »

Il libéra mon deuxième poignet et aussitôt, je soufflais, soulagée. Enfin. ENFIN ! Un sourire trôna sur mes lèvres alors que je pouvais bouger librement. Je tournais mes poignets pour vérifier que rien n'était cassée. Heureusement ce n'était pas le cas. Mais j'ignorais pourquoi cet homme était en prison. Alors, je préférais ne pas utiliser de magie tout de suite. Il s'éloigna de moi après avoir résolu mon problème et se plaça contre le mur qui longeait la porte pour ne pas être vu des gardes. Il m'expliqua avec un demi sourire qu'il ne procédait pas ainsi avec les femmes. Je arquai un sourcil alors que je le regardais, méfiante mais sans colère.

« Ah oui, et vous procédez comment d'habitude ? »

Il reprit en murmurant et je le rejoignit contre le mur, le mettant entre moi et la porte. Je lui répondis en murmurant, toujours en observant la porte. De toute façon, elle n'avait pas à lui mentir. Maintenant que j'étais libre de mes entraves, je pouvais facilement nous libérer de la prison. Je pourrais ravager la prison. Mais cela demanderait beaucoup de concentration.

« Oui, c'est fondé. Ce faux roi a massacré mon peuple. Si je dois tuer pour qu'il disparaisse, je le ferai de mes mains. »

La menace était évidente, comme une affirmation sur le futur. Je ferais tout pour que mon peuple vive. Sans nous pas de magie, pas de vie, pas de plantes. Tout était équilibre et nous veillons à cela. On me l'avait suffisamment enseigné. Sigvard me l'avait enseigné... La tristesse reprit le dessus dans mon esprit et je fermais les yeux un instant pour chasser ce sentiment. Le temps du chagrin n'était pas venu. Je sais que la vengeance ne faisait pas partie de nos valeurs. Mais quelqu'un devait le faire. Quelqu'un devra mettre un terme à ses agissements. Mais je n'attendrais pas le bûcher.

« Si ça vous gêne pas, je vais sortir aujourd'hui. Je n'attendrais pas l'appel pour mon exécution. Si vous voulez rester là pour mettre votre plan à exécution, cela vous regarde. »

Je tournais mon visage vers l'homme alors que je l'interrogeais du regard. Même si il m'avait aidé, maintenant que j'étais libre, je ferais ce que ma conscience me dicte. Je devais retourner sur les lieux du portail. Je devais retrouver les autres qui avaient réussis à s'échapper et les convaincre de mener la bataille avec moi.
Edward
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Edward
Mar 15 Aoû - 11:35

Arthur
J'ai 31 ans et je vis à Londinium, Angleterre. Dans la vie, je suis brigand et je m'en sors bie. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt pas bien.

De parents inconnus, je vie de rapines et de cambriolages, de vols et de rançonnements. Je cible plus particulièrement les nobles et riches marchants, ceux qui profitent de la pauvreté pour s’enrichir plus encore. Avec ma troupe, on équilibre un peu les richesses, en donnant à ceux qui en ont besoin une partie de notre butin. Cela dit, nous en gardons de quoi profiter de la vie ! Célibataire, je le suis, mais, si ce n’est pas un choix, cela ne m’a pas empêché de vivre quelques aventures *Hum!*

L’espace d’un court instant, je crains qu’elle ne comprenne pas ce que j’attends d’elle. Puis, réflexion faite, je me dis que toute personne normalement constituée, dans sa situation, se mettra à crier…
Voilàààà, exactement, impeccable, bravo !
Je me retiens de sourire devant cette splendide interprétation avant de la libérer pour lui donner quelques explications. Naturellement, si sa réaction aurait pu me faire rire, la raison de tout ce cirque me dégoute profondément.

La donzelle libérée, je m’adosse au mur pour lui laisser de l’espace après ce rapprochement qui n’a guère dû lui convenir. Elle affirme cependant avoir compris ma réaction et, j’espère, a-t’elle compris que j’avais agi ainsi pour lui éviter de finir entre les griffes des geôliers.
En effet, il y avait fort à parier que si je n’avais pas contenté leurs esprits tordus, ils se seraient fait un devoir d’effectuer eux-mêmes ce travail.

Je lui sers un sourire charmeur, largement exagéré et d’une désinvolture flagrante.
Je suis bien plus poétique et autrement plus doux voyons ! Lançais-je. Puis je choisis un peu mieux l’endroit aussi ! Avouais-je, comme si nous étions simplement dans une auberge bondée.

Finalement, nos échanges reviennent rapidement à la situation et elle ne met guère de temps à lever le mystère. Il semblerait que ce soit réellement une mage et elle a visiblement une petite dent contre celui qui se dit Roi.
Immédiatement, le sourire que j’arborais jusque-là fait place à bien plus de sérieux, la donzelle devient encore plus intéressante !

Oh ! M’exclamais-je sobrement à cette information alors qu’elle prenait place contre le mur, non loin de moi. Finalement, elle affirma qu’elle allait quitter cet endroit le jour même, me laissant libre de sortir avec elle ou bien grâce à mon propre plan.
Le regard braqué sur celui de la jeune femme, une détermination furieuse s’empare de mes pupilles.

Je te trouve de plus en plus intéressant, Chaton ! Lançais-je d’une voix qui ne comprenait aucune nuance d’humour. Finalement, je tournais mes yeux bleus droits dans les siens.
Du moment que tu m’aides à sortir John de sa cage, considère-moi comme un allié ! Comment puis-je t’aider ?

Paddy
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Mer 16 Aoû - 22:59

Aëlys
J'ai 32 ans et je vis près de Londinium, Angleterre. Dans la vie, je suis une mage de la nature et une guérisseuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, à cause de ma condition et de mon caractère, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. De toute façon, qui voudrait d'une sorcière ?

"La liberté que nous cherchons n'est pas une contrée lointaine, elle est en nous." 68747470733a2f2f73332e616d617a6f6e6177732e636f6d2f776174747061642d6d656469612d736572766963652f53746f7279496d6167652f69363156394d454f6565503965773d3d2d3534333832323330352e313531393132613739346439386463313539393038333532373830372e676966

Elle a toujours été en Angleterre • Elle est une mage de la nature, appelé druide • Elle contrôle très bien la terre et l'eau, a du mal avec le feu qui a tendance à s'embraser trop rapidement. • Elle perd le contrôle quand elle est en colère • Elle aide en secret les plus pauvres, notamment les femmes • Elle continue toujours de pratiquer la magie • Elle a sa maison dans les bois, pas très loin de Londinium

"La liberté que nous cherchons n'est pas une contrée lointaine, elle est en nous." Int3HZ

« In the waves, I've lost every trace of you »



Je crois qu'il ne comprends pas le sarcasme. Je lève un sourcil face à sa réponse. Je roulais des yeux, les levant aux ciels. Ah les hommes ! Elle finit par répondre, en chuchotant et s'approchant de la cachette du prisonnier, contre le mur.

« J'espère pour ces pauvres dames que vous choisissez un meilleur endroit ! »

Je souris tout de même en coin avant de reprendre une attitude plus sérieuse. A peine ai-je informée que j'étais une Mage que l'homme porta son attention et sa concentration sur moi. Cela semblait le surprendre mais je ne voyais aucune trace de peur. Cela me rassura dans un sens. La magie était considérée comme mauvaise parce que le faux roi l'avait déclarée ainsi. Mais en vérité, ce n'était que ce qu'on en faisait qui pouvait être mauvais. Elle était une force, une énergie. Et pouvait aussi bien servir le mal que le bien. Je pus voir une détermination dans ses yeux. Et il passa au tutoiement. Je grognais cependant au surnom qu'il semblait s'obstiner à utiliser.

« Ne m'appelle pas Chaton ! »

Mais elle fut surprise de trouver du courage, de la volonté dans son regard qu'il planta dans le sien. C'était un marché, elle pouvait le sentir. Aussi, elle sourit, cette fois ci plus doucement et ce Arthur pouvait surement lire la même détermination dans mon regard. Je lui tapotais l'épaule.

« Ca marche ! »

Puis je me mis à observer la pièce du regard. Il n'y avait que de la pierre. La seule chose que je voyais de naturel était le bois de la porte. Le foin était trop mort pour la magie. Mais le bois lui, restait vivant. Bien après qu'on l'ai coupé. Je le dépassais pour m'approche de la porte. Je posais ma main dessus et me concentra un instant. Dans la magie, il y a plusieurs affinités. Moi, je possédais celle des éléments de la nature. D'autres avaient des dons avec les animaux quand d'autres encore, était doué avec les potions et les sortilèges. Je soufflais un instant, concentrant mon énergie. Je pouvais entendre alors les gardes de l'autre côté dans le couloir. Je pouvais sentir leurs présence. Il n'y en avait pas beaucoup. Je revins à la réalité du moment et reprit un souffle normal.

Je tournais mon attention vers Arthur en chuchotant dans sa direction.

« Il n'y a pas beaucoup de garde. La relève est pour bientôt. On aura pas beaucoup de temps mais cela devrait le faire pour s'enfuir. Quel était ton plan à toi ? »

En vérité le mien était très simple. Faire sauter la porte, celle de son ami et s'enfuir en brûlant tout ceux qui se dressait sur mon passage. Peu conventionnelle, mais simple et efficace.
Edward
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Edward
Sam 19 Aoû - 13:46

Arthur
J'ai 31 ans et je vis à Londinium, Angleterre. Dans la vie, je suis brigand et je m'en sors bie. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt pas bien.

De parents inconnus, je vie de rapines et de cambriolages, de vols et de rançonnements. Je cible plus particulièrement les nobles et riches marchants, ceux qui profitent de la pauvreté pour s’enrichir plus encore. Avec ma troupe, on équilibre un peu les richesses, en donnant à ceux qui en ont besoin une partie de notre butin. Cela dit, nous en gardons de quoi profiter de la vie ! Célibataire, je le suis, mais, si ce n’est pas un choix, cela ne m’a pas empêché de vivre quelques aventures *Hum!*

Jouant la carte de la comédie, je lui lance un sourire taquin lorsqu’elle dit espérer que je choisis d’autres endroits pour charmer les demoiselles.

J’ai une grande préférence pour les tavernes ! Dis-je d’un air presque sérieux. Même si parfois, il m’arrive de céder à un petit coin de rivière en pleine forêt, lorsque l’eau est translucide et que l’endroit est éloigné des routes. Cherchant toujours à me montrer provocateur… Vous, je suis sûr que vous adorez les tavernes du port ! Concluais-je avant de lui lancer un sourire niais.

Ensuite, après qu’elle m’ait confié être accusée à raison d’exercer quelque forme de magie que ce soit, je l’informe la trouver de plus en plus intéressante. Volontairement, je suis passé au tutoiement, afin de marquer un réel changement d’attitude. Si mes phrases restent joviales et décalées, il n’en demeure pas moins que mon état d’esprit, lui, change.
Le fait que le surnom dont que je m’acharne à lui donner ne lui plaise pas, je m’en fiche.

Un bref silence s’opère tandis que l’on s’observe et après que je lui ai proposé un marché. Si elle nous fait sortir, John et moi, nous l’aiderons à quitter cet endroit. Elle semble aussitôt oublier son petit nom, confirmant notre accord.
Elle observe la pièce et je fais silence. C’est maintenant à elle de reprendre la parole pour me dire comment je peux l’aider. Je la regarde poser sa main sur la porte, me retenant de lui indiquer que “C’est une porte !”
Oui, je sais parfois me tenir !

Finalement, elle se tourne vers moi pour chuchoter sa vision des choses avant qu’elle ne me demande mon plan. Je lui souris d’un air malin…qui pourrait l’inquiéter.

Mon plan a récemment changé, j’ai une clé !

Alors, sans prévenir, je me place devant la porte, la poussant sur le côté. Je tambourine alors, afin d’alerter le garde.

Heyyy ! J’ai terminé ! Sérieux les gars, faut que vous en profitiez ! Beau morceau ! Beuglais-je alors.

Je lui lance un regard avant de murmurer. Garde ton énergie pour plus tard…

Putain ! Pas besoin de brailler ivrogne ! J’arrive, si elle est si bonne que ça, j’vais pas me priver !

La clé pénètre la serrure, elle tourne dans un cliquetis rouillé jusqu’à ce que le verrou saute. Je recule d’un pas lorsque le battant s’ouvre. Appâté par un projet charnel savoureux, endormie par l’ivrogne que j’interprète depuis mon arrivée et, persuadé que nous sommes toujours menottés, l’homme n’est pas méfiant et passe la porte.

Je lui fracasse alors la porte sur la tronche dans un grand bruit avant de le saisir et, profitant qu’il soit sonné, de le balancer au sol. Immédiatement, je lui abats un violent coup de pied dans la face. Sa tête prend un angle étrange et il ne bouge plus, alors je m’empare de son épée avant de me tourner vers la mage, lui montrant la porte.

Si vous voulez vous donner la peine ?

Déjà, le bruit des pas rapides des autres gardes, alertés, remplissent le couloir dans des cliquetis de cotte de maille.

Paddy
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Paddy
Lun 28 Aoû - 1:16

Aëlys
J'ai 32 ans et je vis près de Londinium, Angleterre. Dans la vie, je suis une mage de la nature et une guérisseuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, à cause de ma condition et de mon caractère, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. De toute façon, qui voudrait d'une sorcière ?

"La liberté que nous cherchons n'est pas une contrée lointaine, elle est en nous." 68747470733a2f2f73332e616d617a6f6e6177732e636f6d2f776174747061642d6d656469612d736572766963652f53746f7279496d6167652f69363156394d454f6565503965773d3d2d3534333832323330352e313531393132613739346439386463313539393038333532373830372e676966

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Alors que je m'avançais vers lui contre le mur, il eut un regard joueur alors qu'il m'expliquait qu'il préférait les tavernes ou les coins en forêt. Puis, il paria que je préférais les tavernes des ports. J'eus un sourire en coin et lui répondit, murmurant.

« Je préfère les coins en forêt et une eau claire. »

Après tout, elle était une mage. Elle avait reprit volontairement les termes de ce Arthur. Puis, quand finalement, j'avais cherché à voir ce qu'il y avait de l'autre côté de la porte et que j'avais repris ma place au côté du brigand, je lui demandais son plan. Un sourire malin traversa son visage. Son plan avait récemment changé parce qu'il avait une clé ? Il me poussa sur le côté, m'écartant complètement de la porte alors qu'il se place devant la porte. Et qu'il commence à hurler. Je comprends alors son plan et me met dans un coin de la pièce pour ne pas le gêner dans ses mouvements. Il me murmure que je devais garder mon énergie pour plus tard alors que le garde, alléchée par l'appel de la chair, de MA chair, tomba dans le piège directement.

La clé entra dans la serrure, le cliquetis se fait fort dans mon esprit alors que j'étais complètement concentré dans l'instant et le présent de l'action. Préparée mentalement à une possible attaque, je sentais l'énergie se développer autour de moi. Le garde n'était pas méfiant jusqu'à ce que Arthur lui éclate la tête contre la porte de bois. Sonné, il attrape le garde pour le jeter au sol et de lui donner un coup de pied sur son visage. Je détourne le regard sous le choc et le crac étrange que ses os ont fait. Puis je retourne mon regard vers Arthur qui prend l'épée du soldat. Il se tourna vers moi pour me désigner la porte. C'était le signal.

Je passais devant l'homme. Arrivée dans le couloir, j'observais à droite puis à gauche avant de prendre la direction de la cellule de l'ami de Arthur. Je pousse le loquet d'observation de la porte et cherche l'homme du regard. Je le trouve et lui parle assez fort. De toute façon, d'autres soldats, alertés par le bruit s'approchaient déjà. Je pris un ton autoritaire.

« Eloignez vous de la porte ! »

Je m'écartais, traversant la largeur du couloir et se fut moi qui poussa Arthur sur le côté. Je tendis la main vers la porte. Puis les deux. La magie m'aida. Je pouvais la sentir vibrer, gronder. Je cherchais la colère et l'injustice des évènements passés. Tout explosa dans mes trippes. Et la porte de la cellule vola en éclat.

Mais c'est là que les gardes arrivèrent. Je ne les laisserai pas s'en tirer cette fois. Trop énervée par la mort de mon maitre, par l'emprisonnement, le massacre de mon peuple, je finis par passer devant Arthur pour me placer face aux gardes. Heureusement pour moi, le couloir était fait en pierre, et les joints en chaux retenaient tout ce que les bottes transportaient. Notamment des graines. Je me tournais vers Arthur et John.

« Sauvez vous ! Je vais les retenir ! »

Puis, tournant mon poignet gauche, je demandais aux plantes de pousser. Les racines explosèrent le sol, alors que des tiges jaillissaient du sol. Un quadrillage de ronce épaisses étaient à présent entre nous et les gardes. Et le temps qu'ils arrivent à traverser cela, on avait largement le temps de fuir. Je me retournais et me mis à courir pour rejoindre les deux hommes.
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