Le Temps d'un RP
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LE TEMPS D'UN RP

say yes to heaven, say yes to me (clionestra)

Gaïa
Messages : 263
Date d'inscription : 25/08/2017
Crédits : ethereal

Univers fétiche : réel
Préférence de jeu : Femme
Sabrina
Gaïa
Mar 30 Jan - 12:25
Le contexte du RP
Mise en situation

La situation
Fin 2023, les autorités redoutent la fin du monde mais communiquent peu sur la situation. Le pire est évité grâce à des sauveurs mystérieux qui, selon les rumeurs, viennent du futur. Les on-dit prennent de l'ampleur et le bruit circulent que ces sauveurs sont coincés en 2024...

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Gaïa
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Date d'inscription : 25/08/2017
Crédits : ethereal

Univers fétiche : réel
Préférence de jeu : Femme
Sabrina
Gaïa
Mar 30 Jan - 12:26

Alba
Garcia Martinez

J'ai 34 ans et je vis à Madrid, Espagne. Dans la vie, je suis serveuse et je m'en sors moyennement bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis divorcée et je le vis relativement bien même si ce n’est pas tous les jours simple de m’occuper seule de ma fille.

Informations supplémentaires ici.
Il y avait longtemps eu un panneau à louer sur la porte de l’appartement qui faisait face à celui d’Alba. Puis un nouvel habitant avait emménagé, discrètement. Son arrivée aurait pu passer complètement inaperçu si le panneau n’avait pas disparu. Alba ne l’avait vu que quelques fois, à peine assez pour être pleinement capable de le reconnaître. Tout juste assez longtemps pour bafouiller un bref bonjour. De cet homme, elle ne savait rien, pas même son nom qu’elle avait pourtant cherché sur les boîtes aux lettres du hall de l’immeuble. Puis les choses étranges s’étaient enchaînées. Deux hommes qui affirmaient travailler pour le gouvernement s’étaient présentés à son domicile pour lui demander de garder un œil sur son nouveau voisin. De demande, cela n’en avait que le nom. Elle n’avait guère eu le choix, Alba. Les deux hommes lui avaient remis un chèque conséquent pour la réalisation de cette mission. Elle voulait refuser, elle n’en avait pas eu l’occasion. Elle avait encaissé la somme en se disant que l’argent serait pour sa fille, pour payer ses études puisque son père refusait de lui verser sa pension alimentaire. Elle ne comptait pas adopter une attitude de délation et de toute façon, elle n’avait rien à dire sur cet insaisissable voisin de palier. Elle doutait, était de plus en plus persuadée que cet homme avait un lien avec les récents événements qui avaient poussé la population à se poser tant de questions restées sans réponse. La perspective de la fin du monde semblait imminente puis s’était éloignée alors que des sauveurs avaient débarqué de nulle part. Comme beaucoup, Alba n’avait pas compris grand-chose à la situation. Le pire avait été évité, c’était apparemment ce qu’il y avait à retenir des dernières péripéties.

Ce matin-là, Alba revenait de l’école où elle avait déposé sa fille. Il lui restait un peu de temps avant de se rendre à son travail. Elle n’avait pas un emploi extraordinaire. Elle travaillait depuis plusieurs années dans une brasserie où chaque jour ressemblait au précédent. Prendre les commandes, servir les clients, débarrasser les tables, encore et encore… Son sac à main sous le bras, elle essayait de faire tourner sa clé dans la serrure de sa porte d’entrée. « Allez… » râla-t-elle. Il fallait vraiment qu’elle appelle un serrurier avant de ne plus pouvoir entrer chez elle. Agacée, elle laissa tomber ses affaires par terre avant d’insister pour faire tourner la clé. « Mais merde ! » Elle s’apprêtait à donner un coup de pied plein de frustration dans le panneau de bois quand elle aperçut son discret voisin. Elle devait avoir l’air complètement folle à s’énerver sur sa porte. « Oh heu… bonjour. » Pas vraiment décidée à engager la conversation, elle se retourna, toujours sa clé en main. Battant finalement en retraite, elle interpella l’homme. « Excusez-moi ? Vous n’auriez pas un talent caché pour ouvrir les portes par hasard ? » Elle souriait, un peu gênée, mais persuadée que cette aide pouvait être la bienvenue.


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Clionestra
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CLIONESTRA RANG GAGNE
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Clionestra
Dim 4 Fév - 22:24

Benjamin
Mirono

J'ai 45 ans et je vis à Madrid, Espagne. Dans la vie, je suis sous surveillance du gouvernement espagnol et je m'en sors parce qu'il le faut. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire ce qui me donner tous les critères pour la mission 2024.

say yes to heaven, say yes to me (clionestra) A32e699af56e807f9d1210e1af513d30abc2a300
→ Peut traduire toutes les langues connus de 2024
→ Sniper et plastifieur renommé de son époque
→ Possède des marques de cicatrices qui lui vient de la guerre contre le revenant
→ A été choisi car il ne lui restait qu'une mère dans l'ancien monde
→ Possède une puce dans son cerveau
→ Possède un sang d'un nouveau type, transfusable à tous.
→ Vacciner pour une centaine de maladie prochaine
Benjamin regarda son reflet sur l’écran en veille de son téléphone. Avant qu’il ne puisse s’en empêcher, il écrasa l’écran contre la table pour le briser avant de soupirer de colère comme un taureau en colère. La télévision laissait en continue des informations sur les nouveautés. Lois, traités, guerres, nouvelles ans ou nouvelles réformes. La présentatrice à la télévision gerbait des informations sans s’arrêter. Trop pour son esprit. Il finit par glisser sur le sol. Ses fesses sur le carelage, il prit sa tête entre ses jambes. Comme toujours, il essaya d’utiliser son capteur interne pour trouver un signal et envoyé un message à sa famille. Son esprit ne trouva aucune onde pour transmettre vers eux.

Dans trois cent soixante-dix ans, les hommes n’auront plus besoin de téléphone qui se met en veille. Ils auront une puce implanté dans le cerveau qui leur permet de faire ce que le téléphone pouvait faire. Ils appelaient sans avoir besoin de dire un mot. Ils pouvaient envoyer des images. Il n’y avait plus d’écran. Et maintenant, à cette époque éloignée de la sienne, il n’y avait surtout pas de réseau pour contacter les siens.

Il n’y avait plus aucune onde capable de supporter les informations émissent par son esprit. Il n’y avait plus rien, sauf les neuf exceptions qui l’accompagne. L’année 2024 était une année de pénurie technologique. Comme toutes les autres après elle. La révolution technologique avait eu lieu en 2156. Cela, il pouvait le voir. Même s’il n’avait plus de quoi téléphoner ou se connecter à internet dans son esprit, il pouvait toujours ouvrir des documents qu’il avait conservé hors réseau.

C’était aussi pour ça qu’il était en vie, non ?  Après une guerre contre des revenants, une virus ayant permis aux morts de se relever et des terroristes ayant utilisé  la puce implanté pour les contrôler, l’armée avait choisi une méthode radicale pour que la fin du monde n’arrive pas. Ils avaient été envoyé, lui et une dizaine d’autres comme lui, dans le passé pour trouver la source de l’arghzoium. C’était de cela qu’avait été fait les puces. Cette source avait été détruite. Toutes les sources avaient été détruites. De plus, ils avaient réussi a faire passer dans le passé un vaccin contre le virus qui pouvait ramener les morts à la vie. Son groupe avait été chargé de faire écouler le vaccin auprès de l’humanité, sans qu’il ne le comprenne, et surtout sans que l’armée ne puisse le comprendre.

Avoir un vaccin, c’était comme avoir le virus. C’était dangereux car il n’était pas impossible que les armées se battent pour avoir une arme biochimique pareille. Bref. Plus de sources pour les puces. Plus de virus. Le futur n’aurait donc pas les deux soucis majeurs… Le seul souci ? Les hommes et les femmes qui avaient pris le choix de venir dans le passé ne pouvait pas retourner à leur époque. Ils sont morts. Et les armées de cette époque espéraient glaner des informations qui restent dans leur esprit.

Il était en vie parce que les gouvernements voulaient les informations qu’il possède. Ils ne pouvaient pas leur arracher la puce. Elle s’autodétruit quand elle n’était pas enlever comme il faut. Lui et son équipe savaient le faire. Mais ils ne le feront pas. Il envoya une image à ses coéquipiers. L’image de l’écran brisé. Trois autres images suivirent de la même manière. Dix personnes du futur. Dix personnes qui, en venant sauver le futur, avait détruit leur histoire. Ses parents ne naîtront peut-être jamais. Ses amis ne respireront jamais. Et surtout, dans cette époque, il était seul.

Le gouvernement les avait explosés. Comme ils avaient tous la capacité Babel dans leur cerveau (capacité à pouvoir comprendre et parler toutes les langues répertorier), ils avaient été envoyés aux quatre coins du monde pour éviter qu’ils n’en prennent le contrôle… comme si cela pourrait les arrêter. Il laisse son téléphone et soupira. Les dix soldats envoyaient été dans la même situation… et ils savaient que même si on leur offrait un nom, une adresse et même de l’argent pour vivre en tant que sauveur de l’humanité, ils étaient surveillé… Il ne se sentait tellement pas à l’aise dans ce monde, dans cette époque, qu’il s’enfermait dans l’appartement et passait son temps à faire de l’exercice. Il reçu un message de la mécanicienne en chef de leur groupe. Elle explique comment ils pouvaient connecter leur téléphone à leur puce pour pouvoir utiliser l’objet dans sa tête. Il n’y avait qu’elle pour réussir à se faire à l’idée et à trouver des moyens de survivre ainsi.

2024. Pourquoi avoir choisi cette année là ? Simplement car un tremblement de Terre dans la préfecture autonome kirghiz de Kizilsu, Xinjiang en Chine avait créé une série de tremblement de Terre en chaine. La population aurait drastiquement diminué… et c’était proche de ce tremblement de Terre qu’avait été la source du virus. L’année 2394 avait été sa dernière année dans son époque avant de revenir. Il soupire et finit par se lever pour faire la solution de Mercy pour la mise à jour. Il arriva enfin à avoir une carte maps plus ou moins potable et sortit de son appartement, sans fermer à clé… il n’y avait rien à voler et son argent était comme le reste dans sa puce. Alors qu’il allait traverser le couloir, comme il le faisait souvent –comme un fantôme dont les pieds ne touchent pas le sol-, il tomba sur sa voisine. Il la regarde sans rien dire alors qu’elle le remarque. Il fait un signe de tête tranquille pour saluer avant de tourner les talons… avant qu’elle ne l’interpelle. C’était la première fois qu’elle le faisait.

Maintenant qu’il avait connecté sa puce avec son téléphone dans sa poche, il pouvait faire des recherches internet et le fit rapidement avant de s’approcher. Il posa son sac qu’il avait sur le dos et en sorti un tournevis qu’il utilisa pour enlever la poignée de la porte en silence, permettant à la jeune femme de rentrer. Si on laissait les porte ouvertes en 2394, ce n’était pas parce qu’il n’y avait plus de voleur, mais simplement parce que tout le monde avait compris la futilité d’une poignée qui était simplement visé sur un cadre en bois. Leur maison était protégé de capteur relier, là encore, à leur puce. Il lui ouvre et se pousse avant de la regarder. Il se rappela qu’il faisait peu cas de la politesse, ça aussi c’était quelque chose qui se faisait mentalement dans son époque. Il se redresse avant de se racler la gorge peu habitué à parler, en réalité.

- Bonjour. Voilà pour vous. Je pense qu’il serait préférable de changer la serrure. Si vous attendez, je devais aller faire une course dans un brico marché et pourrait vous la remettre avant votre départ.

Il ne savait pas exactement le travail de la jeune femme mais il avait pris qu’elle ne restait pas en journée. Tout comme il savait que le mec de la troisième porte à gauche fumait. Il savait les choses pour les avoir observés. Il ne parlait pas avec un accent, semblant parfaitement hispanique dans l’accent. Il finit par faire un sourire et lui tendre la main.

- Je suis Benjamin Mirono.

Il avait dû réfléchir une seconde sur le nom de famille qu’on lui avait donné. Quand ils étaient arrivés, il y avait eu plusieurs règles… dont celle de ne pas chercher sa famille. Ils avaient perdu leur nom de famille, leur prénom, leur travail, leur époque. Il ne restait plus rien.  


I'm born again.
I'm on the mend
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