Le Temps d'un RP
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LE TEMPS D'UN RP

“Journaliste. D'abord, il lèche, puis il lâche et il lynche.” [Ft. Charly]

Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
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Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien



Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…

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Allez savoir pourquoi Elijah avait quitté son bureau pour la rattraper aux portes de l’ascenseur, mais il l’avait fait. Maintenant qu’il se trouvait devant elle, il lui demanda ce qui la retenait de partir maintenant si vraiment elle souhaitait quitter le magazine. Le journaliste fronça les sourcils en entendant la réponse de Madison. Elle voulait rester. « Tu ne peux pas rester ? Comment ça ? Explique-toi ». Elijah n’y comprenait plus rien. Elle voulait rester, mais ne pouvait pas. Était-ce à cause de lui ?! Parce qu’il ne la voulait pas ici de crainte qu’on apprenne qu’il devait sa réussite à l’article rédigé par Madison et qu’il lui avait dérobé après une nuit de baise comme il n’en avait jamais eu par la suite ? En tout cas, il évoqua cette crainte à voix haute et la réaction de Madison le fit rire doucement tout en haussant les épaules « Comme si tu en doutais, s’il te plaît Madison ». Elle devait bien se douter qu’elle était une menace pour lui. Il suivit le regard de cette dernière sur les chiffres qui défilaient devant eux, puis le détourna pour le poser sur la belle brune « Brittany » la reprit-elle et fit un signe négatif de la tête « Ce n’est pas ça. Je n’ai pas envie qu’on pense que tu es ici parce qu’on a couché ensemble par le passé ». Pour ce qui était de Brittany, il se moquait bien de savoir si elle était jalouse. C’était juste une passade avec la jeune femme qui n’avait pas encore atteint son vingt-septième anniversaire. Il avait trouvé un équilibre entre relation et plan cul sans prise de tête avec la jeune femme, et il n’avait pas envie que la jalousie s’immisce entre eux, sinon le journaliste risquait de prendre rapidement ses jambes à son cou. Elijah lui confia tout de même, tout en retournant à son bureau, qu’il appréciait malgré tout de l’emmerder. Un sourire amusé sur les lèvres à la limite du rire en se retournant vers Madison lorsqu’elle lui répondit, et sans rien ajouter, reprit sa marche jusqu’à son bureau.

Deux semaines plus tard…

Elijah déposa un nouvel ordre de mission sur son bureau « Cadeau ! » et ajouta « Reportage sur un petit salon de coiffure qui lave les cheveux de ses clientes avec du shampoing au CBD. Tu vas nous parler de ces vertus… Enfin je ne vais pas t’expliquer ton job ». Puis il se mit à chercher quelque chose sur les murs, fronça les sourcils, et ajouta « Je suis étonné que tu ne tiennes pas un compteur comme les prisonniers dans les prisons » et se mit à sourire, amusé de sa propre connerie et quitta le bureau de cette dernière, tout en criant « Sur mon bureau demain à la première heure » et retourna dans son antre devant lequel attendait Jeffrey « Tes vacances se sont bien passées ? » « Oui, merci. Je t’ai manqué ? » demanda le bras droit tout en suivant Eli’ dans son bureau « Tu m’expliques pourquoi Madison doit rester un mois ? » « J’ai du travail, je dois y aller. On se revoit plus tard » rétorqua Jeffrey en se levant du siège en toute hâte « Jeffrey ! » « A tout à l’heure ». Un soupir et se laissa tomber dans son siège. Son ami l’épuisait avec ses manigances à la con.



Charly
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Charly
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Madison Carter
J'ai 32 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance , je suis célibataire et je le vis plutôt bien.


Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…

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« -t'es sérieux là ? »demanda la jeune femme en ayant du mal à se dire qu'il ne comprenait pas tout seul. Elle décida de se foutre de sa gueule plutôt que d'être sincère : « - ba à cause de la tension sexuelle ! » elle ouvrit les deux mains comme si c'était évident. « -c'est hyper difficile de résister tu sais… » ça s'entendait qu'elle se foutait de lui.

Mais la sincérité vint ensuite. « -tu penses vraiment que je vais aller chanter sur tous les toits que c'était mon article, mon scoop et que j'ai été assez conne et naive pour te faire une confidence sur l'oreiller ?! » qui la croirait ? C'était cinq ans plus tôt. Depuis il avait fait sa carrière, elle avait fait sa vie en fonction des conséquences de tout ça. L'annoncer haut et fort changerait quoi ? A part détruire une autre carrière. Ça ne la propulserait pas rédactrice en chef. « -ouais peut importe. » un froncement de sourcils : « - tu mens mal. J'ai bien du mal à croire que tu te soucis de mon bien être perso. De ton image par contre… mais sincèrement, si les autres savaient, on ferait des jaloux. » encore quelques mots et elle le quitta pour rentrer chez elle.

Deux semaines plus tard…
« -dis moi que c'est vraiment pour me faire chier des sujets pareil, et que si ça n'était pas pour moi, c'est genre de merde n'existerait pas dans ton magazine. » elle était désespérée de voir des trucs pareil. De la merde ! Rien d'autre. Et cela commençait à la blazer. Plus qu'une semaine et elle quitterait ce job. Elle grimaça en le regardant partir. Leva rapidement les yeux en voyant son échanges avec Jeffrey. Au bout d'une heure, elle se pointa dans le bureau d'Elijah, ne tenant plus : « -je le ferais pas. » et elle rendit l'ordre de mission. Enfin claqua la feuille sur le bureau, avant de se pencher en avant les deux mains sur le bois. « -j’en ai ma claque de ces reportages de merde. Je vaux mieux que ça, et ce magazine aussi. Tu as peur de quoi que j'en fasse un aussi bien que celui là ? » elle montra l'article au mur. « -je vais pas rester, donnes moi l'occasion de faire un putain d'article. Je crois que tu me dois bien ça. »

Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
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Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien



Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…

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Elijah fronça les sourcils alors qu’il ne parvenait plus vraiment à suivre le fil de la conversation. Avait-il perdu son sens de la perspicacité entre temps ?! Il se mit à esquisser un sourire en coin tout en levant la tête vers le plafond. Voilà qu’elle se foutait ouvertement de sa gueule maintenant. Il poussa un soupir et baissa la tête à sa hauteur « C’est ça oui… Vas-y, fou-toi de ma gueule » tout en la désignant de la main, sans la moindre animosité dans la voix. Après tout, il l’avait bien cherché. Quant elle reprit la parole avec davantage de sérieux, le sourire du journaliste disparu tout et la regarda fixement tout le long de sa tirade avant de lui répondre « Tu pourrais. Après tout, rien ne t’empêche de m’entraîner dans ta chute » et ajouta « Tu sais, tu n’as pas été conne ou naïve. Tu ne pensais pas que le mec qui était en train de te baiser, le ferais jusqu’au bout », puis esquissa un petit sourire en coin « Ne crois pas que je culpabilise, ce n’est pas le cas. Je dis juste que ça aurait pu arriver à n’importe qui ». Après tout, Madison avait dû se sentir en confiance avec lui pour accepter de rester au petit matin et même prendre le petit-déjeuner avec lui. Il était donc normal qu’elle parle de son travail. Comment aurait-put-elle savoir qu’en fait, elle parlait à un autre journaliste qui était prêt à tout pour réussir dans le milieu ?! Elijah continua de la fixer de ses prunelles claires « Je n’ai pas précisé que je me souciais de ton bien-être. Je pense au mien. Je n’ai pas envie qu’on pense qu’il suffit d’écarter les jambes pour avoir un job ici » et c’était vrai. De toute manière, c’était Jeffrey qui l’avait embauché, pas lui « C’est notre petit secret » et après quelques mots rapides, ils se quittèrent devant les portes de l’ascenseur, chacun retournant à ses occupations.

Deux semaines plus tard…

A peine avait-il expliqué le sujet du prochain reportage que Madison éclata. Il aura fallu tout de même plus de deux semaines pour la faire sortir de ses gongs avec ses reportages à la con. Il glissa les mains dans son jean, haussa les épaules tout en faisant une petite moue « Peut-être bien » et ajouta aussitôt « J’essaie de t’occuper. Tu pars dans peu de temps, je ne vais pas te donner un article intéressant qui pourrait te donner envie de rester plus longtemps » et quitta le bureau après une légère remarque sur l’absence de compte à rebours dans son bureau. Jeffrey se pointa au bon moment mais l’échange fut bref car ce dernier se déroba face aux interrogations de son supérieur. Super ! Il se laissa tomber dans son siège en cuir et alors qu’il positionna ses mains sur son clavier, il vit l’ordre de mission revenir à son bureau. Il observa la feuille quelques secondes, puis releva son regard sur elle « Comme tu veux » et se reconcentra sur son travail. Mais Madison n’en avait pas fini avec lui apparemment. Il poussa un soupir et s’appuya contre le dossier de son siège. Elijah tourna la tête vers l’article encadré derrière lui, puis reporta son attention sur elle et se mit à rire doucement, ouvrit le tiroir de son bureau et sorti un autre ordre de mission qu’il lui tendit « Cadeau ! Apparemment, un de nos chers acteurs de la côte Californienne doit se rendre à une fête ce soir et il est connu pour ses nombreuses infidélités. Je te laisse faire ton travail ». Il garda la feuille avec lui quelques secondes et ajouta en s’approchant sur le rebord de son siège pour être plus proche de Madison « Je ne te dois rien du tout. Tu es ici pour faire ton travail. Si ça avait été un autre chef, tu aurais fermé ta gueule et fait ton boulot en attendant qu’on t’offre mieux… » et lui donna l’ordre de mission sans la quitter du regard « Je ne fais pas ça parce que je t’ai baisé dans tous les sens du termes cinq ans auparavant, mais parce que ça pourrait donner un petit coup de main pour ton prochain job. Evite de te le faire piquer cette fois-ci. Si tu dois ouvrir ta bouche ce soir, essaie de faire en sorte qu’elle soit continuellement occupée. Si tu te fais voler cet article, tu devras te résoudre à faire de la pige pour un journal minable ». Il détourna son regard sur son ordinateur, reprenant son travail comme si de rien n’était.


Charly
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Madison Carter
J'ai 37b> ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.

Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…

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« -et ça changerait quoi ? » il avait raison, elle pourrait ouvrir sa grande bouche et aller crier au voleur ! Mais aujourd'hui c'était trop tard. Il ne lui restait que sa rancœur et ses regrets. Enfin son regret. Celui d'avoir parlé, d'en avoir trop dit ce jour là. Parce qu'en soit, la nuit en elle-même, Maddy ne l'avait jamais regretté. « -si j'ai été conne et naïve. Tu as été et reste un salopard, mais j'aurai dû être méfiante ou voir le coup venir. Je savais que tu étais la pour le film, on s'est recroisé à la soirée. Le dire aujourd'hui ne changera rien. » elle avait été naïve de croire aussi qu'il y avait un truc sympa entre eux. Une osmose ou quelque chose dans ce genre là. Un sourire avec un léger haussement de sourcils devant l'évidence de ces mots. Oui, ça aurait pu arrivé à n'importe qui. « -oh je vois… parce que tu imagines que c'est pas déjà ce que pensent les gens… » sous entendu gratuit pour sa blonde.

Deux semaines plus tard, elle en avait sa claque des articles pourris. Pourtant elle s'était jurée de la fermer, de prendre son mal en patience. Mais c'était plus fort qu'elle. Maddy refusa de faire ce qu'Elijah lui demandait, réclamant mieux. « -ok ça me va. » Maddy se saisit de la feuille mais il ne voulait pas la lâcher : « -si tu n'étais pas mon patron j'aurai le droit de faire mon travail convenablement et on ne m'aurait pas confier dossier de merde sur dossier de merde. » répondit Madison en approchant un peu plus son visage, parlant à voix mesurée. Elle plissa les yeux lorsqu'il évoqua sa bouche. « -c'est petit ça, tu peux faire mieux j'en suis sûr. » elle parla en même temps que lui et conclue : « -parfait je vais peut être pouvoir rester alors vu la qualité des articles du magazine ! » il ne comprenait pas. Ça n'était pas une histoire d'égo. Mais une histoire de qualité de boulot. « -tu penses vraiment que tes lectrices ne sont pas en train de se lasser ? Les sujets sont classique, vu et revu. Enfin laisse tomber, démerde toi. Salut. » et elle quitta son bureau pour rejoindre le sien, prendre ses affaires et se tirer, non sans un index de menace à Jeffrey passant par là : « -j'espère que ma lettre est prête. » et elle quitta la bâtiment.

Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
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J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien



Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…

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Elijah la regarda fixement, presque surpris par sa question, et répondit comme si ça coulait de source « Tu aurais ta vengeance ». Après tout, c’était légitime que Madison souhaite l’entraîner avec elle dans sa descente. Il n’avait pas eu le moindre état d’âme à lui voler son article et à construire sa réussite actuelle dessus. Alors pourquoi s’abstiendrait-elle de tout dévoiler au grand jour, le faisant passer pour un usurpateur de première ?! Mais apparemment, ils ne réfléchissaient pas de la même manière… Même lorsqu’il tentait de trouver une justification à la naïveté de la belle brune, dont elle ne mit pas longtemps à tout démonter avec rationalité. En effet, il y avait plusieurs indices qui auraient dû la conduire à penser qu’il était aussi présent pour le travail. Il ne répondit rien, restant là, à l’observer simplement en repensant à leur rencontre cinq ans auparavant. Lui-même n’avait pas pensé un instant, alors qu’ils buvaient encore un verre au bar, que l’issue de leur rencontre allait être celle-ci. Il se mit à esquisser un sourire en coin « Brittany a eu le poste avant qu’on s’envoie en l’air et c’est elle qui m’a courue après pendant des mois avant que je n’accepte de me la faire ». Elle n’avait pas eu de promotion canapé ou de traitement de faveur.

Finalement, deux semaines plus tard, Elijah n’avait pas changé sa manière de procéder et lui avait confié articles sans intérêt sur articles sans intérêt. C’était une distraction comme une autre… Non, en fait, c’était sa distraction favorite. Il attendait le moment où elle sortirait de ses gongs et viendrait se plaindre à son bureau, comme en cet instant précis. Il lui tendit alors un nouveau sujet d’article, sans pour autant relâcher son emprise sur la feuille « Ce que tu crois. Le métier a bien changé depuis tes débuts » et fit une allusion vulgaire à la bouche de Madison qu’elle devrait garder occupée si elle ne voulait pas se faire voler un article à nouveau. Pas de sourire sur les lèvres d’Elijah qui ne la quitta pas du regard alors qu’elle se rapprochait de lui, tout en continuant de lui faire un serment sur ce qui risquait d’arriver si jamais elle venait à perdre cet article comme elle a perdu celui qu’elle avait rédigé cinq ans auparavant. Il se mit à rire presque ironiquement « Pourtant tu as voulu travailler ici. C’est que ça ne doit pas être si merdique que ça ! ». C’était elle qui le lui avait confié. Il fronça les sourcils à ce qu’elle ajouta et n’eut le temps de rétorquer quoi que ce soit qu’elle quitta son bureau avec hâte. Même Jeffrey se retourna sur lui-même lorsqu’elle lui adressa la parole, bafouillant sans parvenir à prononcer la moindre parole audible, puis entra dans le bureau de son boss, désignant Madison du pouce derrière lui « Euh… Tu m’expliques ? » « Toi d’abord. C’est quoi cette histoire de lettre ? ». Jeffrey prit place dans le siège face à son supérieur « Je lui ai promis une lettre de recommandation si elle restait un mois. Je pensais que tu allais changer d’avis à son encontre et accepter qu’elle reste. Je me suis trompé apparemment » « Je t’ai dit que je voulais qu’elle parte ». Jeffrey acquiesça lentement, baissant son regard, pour le relever quelques secondes après sur son chef « Tu sais Eli’, parfois tu peux être un vrai connard » et leva les mains devant lui « Et je te dis ça avec toute l’affection que j’ai pour toi. Elle ne t’a rien fait et tu lui pourris la vie comme si elle avait tué ton chien… » et quitta le bureau du journaliste sur ces mots.

Elijah poussa un soupir en cachant son visage de ses mains, puis les laissa tomber sur son bureau, posant son regard sur les portes de l’ascenseur qui s’étaient fermées depuis un moment sur Madison… Il tourna la tête vers le cadre derrière lui contenant l’article à la base de tout ça et se leva pour s’en approcher, le relisant une énième fois. Il l’avait tellement fait qu’il connaissait par cœur chaque mot, chaque point de cet article. Il s’approcha de son bureau, griffonna un rapide mot et le déposa sur le bureau de Madison : On doit parler. Il eut à peine le temps de déposer le papier sur le bureau de la belle brune que Brittany l’interpella « Tu ne devais pas essayer un costume pour demain ? » « Oui, à 15H » « Il est 15h30 Eli’ » « Merde ! » et se hâta de quitter son bureau, faisant tomber le papier au sol avec le courant d’air lorsqu’il referma la porte du bureau à la va-vite.



Charly
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« -le simple fait que tu te justifies à son sujet prouve que tu es conscient que cette rumeur circule déjà. » clairement quand on arrivait, ça donnait cette impression là. « -on dirait presque que tu as dû te sacrifier. » grimaça Madison en entendant les explications au sujet de la petite amie. Pour que j’accepte de… genre comme si la blonde l’avait supplié à genou de coucher avec elle. Ça faisait un peu gourou de secte. Maddy le dévisagea en l’imaginant quelques secondes dans ce rôle. Avant que la conversation ne reste stérile et que la jeune femme ne rentre chez elle.

Elle avait tenu bon, avait encaissé un maximum de sujet pourri rien que pour le faire chier, pour lui éviter cette satisfaction de la voir s’énerver. Mais là, c’était le sujet de trop. Elle n’en pouvait plus. Tenant la feuille du bout des doigts, défiant Elijah du regard, lui répondant à mesure qu’il parlait en lui coupant la parole, Maddy enchaina : « -oh arrête on dirait que tu as soixante dix ans ! » ça n’était pas lui qui l’avait recruté, il n’avait pas la moindre idée de ce qui se trouvait dans son cv. « -non, j’ai pas voulu travaillé ici : il y avait un poste, j’ai postulé, je l’ai eu. » tout comme elle avait postulé à plein d’autres offres. A la base elle ne rêvait pas de venir bosser ici. Mais c’était mieux que rédiger des articles de merde pour les autres de chez elle. Maintenant elle ne faisait d’ici ! Et elle devait se farcir ce con en prime ! Elle coupa court et se tira, non sans agresser Jeffrey au passage. Une semaine. Il restait une semaine. Ça ne l’empêcha pas de rayer la voiture d’Elijah avec ses clés en passant à côté.

« -merci bien. » déclara Madison en récupérant la lettre qu’avait rédigé Jeffrey. Elle prit le temps de la lire, les jambes croisées avec élégance. « -parfait. Sur ce, je m’en vais. » elle se leva et tendit la main au bras droit d’Elijah. « -c’est vraiment dommage que vous ne restiez pas. Vous avez le temps pour un dernier petit café ? Du temps vous en avez plein maintenant… » Maddy lui lança son regard de : arrête ton drama, ça ne prends pas. Mais elle le suivit jusqu’en salle de pause après avoir rangé avec soin la lettre dans son sac à main. Elle ne s’attendait pas à tomber sur ses collègues tous rassemblé autour d’un gâteau. « -qu’est ce que c’est que… » elle allait dire cette connerie, mais Brittany vint s’accrocher à son cou. « -tu vas vraiment nous manquer. On t’adorait déjà tous. » oh bordel mais celle là… depuis deux semaines elle se prenait pour sa meilleure amie ! Tous ça à cause d’un fucing mal entendu à la machine à café. Maddy s’était retrouvée embarqué dans un truc entre filles sauna, massage et champagne… Elle n’avait rien vu venir, et rien compris. Elle avait eut droit à des détails sympa sur Eli, et bien entendu elle avait gardé tout cela pour elle, et surtout évité de donné sa version sexuelle de l’homme en question.

« -oh non mais c’est quoi ça ? Un arbre? » « -non chérie c’est un bonsaï. » avait répondu Mick. Peut être le seul qu’elle appréciait vraiment. Le meilleur en matière de conseil vestimentaire. Et très bon aussi en matière de maquillage. « -fallait pas. Et heu… c’était qu’un mois. Donc vous allez vous en remettre… » elle était gênée par tout ça.

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Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien



Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…

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Avec ce dernier article, Elijah avait déposé la dernière goutte d’eau sur un vase bien trop rempli. Madison avait laissé exploser sa colère au grand jour, exprimant sa lassitude face au travail confié par l’homme qui se trouvait face à elle. Le journaliste aurait pu tout faire pour tempérer la situation et apaiser la colère de la femme devant lui, mais il n’en fit rien. Bien au contraire. Ce dernier se montra vulgaire et même acariâtre avec la belle brune qu’il souhaitait voir disparaître du paysage pour des raisons qui n’étaient, pourtant, plus d’actualité. Elle avait été claire avec lui, elle ne voyait pas l’intérêt de l’entraîner dans sa chute. Malgré cela, Elijah n’avait pu s’empêcher de jouer au salopard de première avec la belle brune. Même le regard assassin qu’elle pouvait lui lancer n’y changeait rien. Il avait décidé de rester cloitrer sur ses positions jusqu’au bout en répondant du tac ô tac à chaque fois « Et toi vingt ans. On fait la paire » avant que ne s’en suive un « Tu aurais pu t’abstenir de postuler aussi. Tu étais donc aussi désespérée pour accepter de venir dans ce magazine que tu trouves si merdique ? ». Une conversation stérile qui ne faisait qu’envenimer les choses entre eux. Toutefois, après une brève discussion avec Jeffrey, il avait décidé de déposer un mot sur son bureau sans savoir qu’elle ne l’aurait jamais en sa position, et pensant à tort, qu’elle ne souhaitait plus adresser la parole à nouveau après cet épisode houleux dans son bureau. La rayure sur sa voiture confirma son hypothèse et il maugréa contre cette dernière, se retenant de lui balancer la facture du garagiste dans la gueule à son retour…

Durant toute la semaine qui suivit leur prise de bec, Elijah n’adressa pas le moindre mot à la belle brune, déléguant cette partie du travail à Jeffrey qui avait tant voulu la garder à ses côtés durant ce mois. Si elle ne prenait pas l’initiative de venir lui parler après son pas en avant en déposant le mot sur son bureau, alors c’était qu’il n’y avait plus rien à dire. Ce fut pour cela qu’il resta un moment à son bureau alors que le reste de l’étage s’était retrouvé en salle de repos pour le pot de départ de Madison. Il aurait pu rester là jusqu’au bout, mais Jeffrey et Brittany en avaient décidé autrement en venant ensemble à son bureau « Madison part aujourd’hui » souffla son bras droit, ce à quoi Elijah répondit sans même relever son regard de son ordinateur « Je sais ». Oui. Il le savait parce que Brittany avait décrété que la belle brune était sa nouvelle meilleure amie et ne cessait de lui parler d’elle à longueur de journée, ou plutôt de soirée. Madison par ci. Madison par là. Ce qui faisait qu’ils s’envoyaient en l’air deux fois plus que d’habitude, dans l’unique espoir de la faire taire. « Viens au moins lui dire au revoir » ajouta la jolie blonde « C’est son dernier jour. Ensuite, tu seras débarrassée » « Après le mois que tu lui as fait vivre, tu pourrais au moins faire ça » renchérit Jeffrey. Elijah délaissa son PC quelques secondes pour les regarder tour à tour « Vous n’allez pas me lâcher, c’est ça ? ». Un signe négatif de la tête en chœur et le journaliste décida de se lever pour aller en salle de repos. Un silence pesant enveloppa la pièce, puis des murmures, et ensuite les conversations revinrent comme quelques minutes avant son arrivée. Elijah resta tout de même en retrait, une tasse de café fraichement versée par l’une de ses collaboratrices. Il l’observa de son coin et lorsqu’elle fut enfin seule, ou tout du moins, aussi seule que l’on pouvait l’être au milieu d’une salle bondée, il s’avança jusqu’à elle à pas de loup « On pourrait parler quelques minutes avant que tu ne partes ? » tout en lui faisant un signe de tête vers l’extérieur de la salle de repos.



Charly
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Charly
Lun 3 Jan - 22:05
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Madison Carter
J'ai 37b> ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.

Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…

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« -je t’ai dis que tu avais déjà fais de ma vie un cauchemar connard ! Tu ne sais rien de ma vie alors ne te permets pas de me juger ou de te t’imaginer savoir ! »
elle avait voulu faire un pas en avant, à sa façon, lui faire comprendre qu’elle pensait que sa magazine méritait mieux que des articles de merde. Mais il semblait trop buter ou trop con pour comprendre. Il avait tapé là où ça faisait encore mal. Où ça ferait toujours mal. Et elle préféra se tirer plutôt que de lui en coller une. Même si elle avait bien du mal à faire avec, il était son patron. Encore pour une semaine. Une toute petite semaine de merde. Une fois dans l’ascenseur, elle se demanda pourquoi est ce qu’elle avait eu envie de lui retirer sa chemise. C’était n’importe quoi ! Alors pour soulager sa colère, elle avait rayé sa voiture. Réaction de gamine, mais elle n’avait jamais été très mature. Son ex le lui rappelait à longueur de temps.

Le jour J était enfin arrivé ! Enfin elle allait se tirer d’ici, avec une belle lettre bien écrite, qui ventait ses qualités et qui l’aiderait à trouver un autre job. Enfin, elle allait quitter ce bâtiment, et tirer un trait sur tout ça. Elijah pourrait à nouveau aller se loger dans ses souvenirs, et surtout aller se faire foutre ! Mais c’était sans compter cette… cette fête surprise de merde ! Elle avait toujours trouvé ça super nul. Le royaume des faux culs et de la lèche ! Comme s’ils n’étaient pas tous ici pour manger du gâteau ! Rah et puis Brittany quoi ?! Mais comment… pourquoi ? Pourquoi elle surtout bordel ?! Elles n’avaient rien en commun à part… non en fait non, elle n’avait rien en commun. Maddy s’était laissée piégée. Mais Brittany adorait son franc parlé, sa façon de la remballer. Pourquoi est ce qu’elle n’était pas partie en courant !

« -non, non, c’est bon, pas besoin de musique... » ils n’allaient pas faire une soirée mousse non plus ! Si elle était restée dix ans ils lui auraient offert un château ?! Enfin d’un certain côté s’était flatteur, ça voulait dire qu’elle était appréciée. Et ça devait bien faire chier Eli. Et ça c’était fun. « -hein ? Heu non.. je vais pas faire de discours. Hors de question. » non mais sérieux ?! « -n’importe quoi ?! Je risque pas d’en manquer comme ça ! » ils venaient de lui offrir un énorme paquet de sucettes. A croire que ça avait choqué tout l’étage qu’elle en fasse une grosse consommation.

Lorsqu’on lui lâcha enfin la grappe, s’apprêtant à partir en douce pour éviter un câlin général, Eli lui barra la route. Rah mais qu’est ce qu’il foutait là lui ?! Elle lui fit les gros yeux et lui fit signe de sortir. Hors de question pour elle de rester plus longtemps, encore moins de discuter avec Elijah. Elle rangea vite fait bien fait les sucettes dans son sac, et regarda le bonsaï entre ses bras. Qu’est ce qu’elle allait faire de ce truc ?! Eli commença à parler et elle lança un : « -ouais c’est ça, salut ! Tu fais un bisou de ma part à Brittany, en espérant que je lui brise pas son petit coeur, et tu dis salut aux autres de ma part. Tu leur dis que je suis partie pour pas qu’on vois mes larmes.» et elle s’éclipsa par les escaliers le plus vite possible. Rien à foutre de ce qu’il pouvait vouloir lui dire. Rien à foutre de lui. Rien à foutre de son magazine de merde !

Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Lun 3 Jan - 22:33
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Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien



Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…

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A l’origine, Elijah n’avait pas souhaité se présenter à ce pot de départ pour Madison. Elle partait. Tant mieux. En ce qui le concernait, il avait du travail par-dessus la tête et il devait aussi chercher une remplaçante à la belle brune. Cette fois-ci, il n’allait pas réitérer l’erreur de confier cette tâche à Jeffrey. Mais voilà, on ne lui avait pas laissé vraiment le choix d’assister à la petite sauterie dans la salle de pause. Café en main, épaule contre le mur, le journaliste était resté en retrait, l’observant du fond de la salle. Il se rendit compte alors de l’affection que lui portait tout le département et réalisa que l’unique ombre au tableau, c’était lui-même. Même Brittany s’était prise d’affection pour la belle brune. Il baissa son regard sur sa tasse de café fumante qu’il porta lentement à ses lèvres, puis déposa le récipient dans un coin et se dirigea vers Madison qui s’apprêtait à partir, lui barrant le chemin. Il voulait lui parler. Pas elle. C’était de bonne guerre. Il l’avait mérité. Il resta donc là, interdit, après qu’elle l’eut laissé en plan en lui demandant de broder une excuse bidon pour ses collaborateurs. Le regard dans le vide quelques secondes, il tourna la tête vers Madison qui s’éclipsait sans attirer l’attention, puis tourna la tête vers Jeffrey qui n’avait rien raté du bref échange et lui fit les gros yeux. Ce qui voulait dire, en langage de Jeffrey, qu’il devait la rattraper au plus vite.

Elijah tourna de nouveau la tête vers la porte derrière laquelle la belle brune venait de disparaitre, puis se décida à la rattraper. Il appuya inlassablement sur le bouton de l’ascenseur, et se décida finalement à prendre les escaliers, les dévalant à toute vitesse jusqu’à apercevoir la jeune femme qui atteignait le rez-de-chaussée de l’immeuble « Madison ! » et lui barra la route une fois encore, mais cette fois-ci, essoufflé et la main tendue devant lui, comme pour lui demander une seconde « On doit parler » et baissa lentement « Je sais, je ne mérite pas d’avoir ton attention, mais je te demande seulement cinq minutes de ton temps. Tu as plein de temps libre maintenant, tu n’es plus à ça près » et grimaça « Désolé. Mauvaises habitudes ». Il se passa une main dans ses cheveux mi-long et posa ensuite ses mains sur ses hanches, regardant fixement la belle brune devant lui « Je suis un connard. Ce n’est pas nouveau, c’est un fait. J’ai conscience que je t’ai fait vivre un enfer pendant un mois alors qu’en réalité, tu étais la seule en droit de le faire. Après tout, j’ai brisé ta vie professionnelle en te volant cet article. C’est moi le fautif dans toute cette histoire… » et leva son doigt pour lui demander de se taire « Laisse-moi finir s’il te plaît » et reposa sa main à hauteur de sa ceinture de jean « Je suis comme je suis. Je suis charmant, mais pas sympa pour autant. Je baise aussi bien les gens dans un lit que dans la vie. C’est ainsi. On ne me changera pas. Mais j’ai pu voir que j’étais le seul à ne pas te voir comme les autres de ce département te voyait. Ils t’aiment tous. Brittany et même ce con de Mick. Qui pourrait le croire ?! » en levant une main, comme si c’était irréel que ces deux-là puissent l’apprécier. « Reste. Je ne te promets pas que tu n’auras pas envie de rayer encore une fois ma voiture. Oui, je sais que c’est toi et ta connerie m’a coûté 1400$ en passant, mais je vais faire des efforts. Tu as besoin d’un job et je n’ai pas envie de faire passer des entretiens à des abrutis sans la moindre compétence. Je sais comment tu travailles et je suis sûrement le seul patron à qui tu pourras faire des doigts d’honneur en l’envoyant aller se faire foutre sans qu’il te vire du jour au lendemain » rétorqua-t-il en riant presque à cette pensée. « Qu’en penses-tu ? ».



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Mar 4 Jan - 9:38
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Madison Carter
J'ai 37b> ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.

Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…

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Partie en douce, sans avoir à faire un câlin à chacun d’entre eux, c’était le plan. Mais Elijah s’était pointé, lui avait demandé de lui parler. Mais elle n’avait pas la moindre envie de l’entendre encore une fois y aller de ses critiques et de ses sous entendus mal déguisés. Non, ce qu’il avait dit vis à vis de sa bouche la dernière fois, n’était toujours pas passé. C’était trop facile de retourner ça contre elle, alors qu’à l’époque il en avait bien profité. Trop facile de la mettre plus bas que lui. Forcement c’était plus facile, c’était une femme. Si les collègues apprenaient leur nuit de folie, elle passerait pour une chienne en chaleur, lui seulement pour un bon baiseur. Alors elle avait balancé des excuses bidons pour ses collègues justement, avant de se tirer. Au milieu des escaliers qu’elle descendait aussi vite que possible, comme si elle prenait la fuite, Maddy s’arrêta pour regarder le minuscule arbre qu’elle tenait entre ses bras. Un sourire en coin s’afficha alors sur son visage. Mine de rien, elle était toute même un peu déçu de devoir partir. Elle avait toujours tendance à afficher une attitude de pétasse, mais dans le fond…

Elle avait reprit sa pseudo course en talons haut dans les escaliers en entendant la porte se fermer. Mais trop tard. Elle n’eut pas le temps d’atteindre le parking qu’Elijah l’interpellait. « -merde... » marmonna la jeune femme avant de retourner. « -quoi ? » lâcha t elle comme souvent, sous une forme de petit aboiement. « -faut reprendre le sport. » trop facile. Mais il était là à reprendre son souffle. « -non. On a rien à se dire. » elle n’avait vraiment pas envie de partir sur une nouvelle prise de tête. Elle avança, passant devant lui mais elle se retourna les yeux plissés, le regard mauvais devant sa petit blague. « -je te donne deux minutes. » mais pourquoi est ce qu’elle faisait ça ?! Sa voiture était là, juste là pas loin.

« -ça je suis au courant. » ça devenait presque une habitude de parler en même temps que lui. Mais peu à peu elle ouvrit la bouche, faisant se O parfait avec ses lèvres. Qu’est ce qu’il était en train de lui faire là ? « -attends tu… tu veux t’asseoir ? Boire peu d’eau ou je sais pas… tu te sens bien t’es sur ? Brittany t’as fais des menaces de grêves du sexe pour que tu te montres humain avec moi ? Arrêtes tout de suite, j’ai pas…" mais elle se pinça les lèvres pour le laisser finir. « -ya trop de voir dans ta phrase... » ironisa la jeune femme, son pot de plante sur la hanche. Ça commençait à peser. « -oh molo ! Ils m’apprécient. C’est totalement différent. Et ta blonde, j’avoue que je préférerais un peu moins. C’est gênant. » elle recula le visage : « -et Mick est pas un con, retire ça ! » à chaque fois qu’ils se parlaient leur phrase s’entremêlaient, ça devenait le bordel.

Mais il la scotcha en lui demandant de rester. Un petit rire alors pour avaler tout ça et démentir : « -c’est pas moi ! T’as aucune preuve ! » elle écouta pourtant la suite, n’en revenant pas de ce qu’elle entendait. Il allait faire des efforts ?! « -j’en sais rien. » claqua t elle alors. « -je vais prendre une semaine de vacances, voir si tu me manques et si mon majeure me démange au point d’être obligé de revenir te le montrer. » elle remonta le pot de fleur sur sa hanche et ajouta : « -et puis tu aura peut être trouvé les vrais raisons qui font que tu veux que je reste. Parce que celle que tu me donnes là, elles sont bidons. » ce fut son tour de lever sa main pour le faire taire : « -donc… on se vois dans une semaine et on en reparle. » il fallait vraiment qu’elle se pose avant de rendre une telle réponse. « -et puis je peux pas revenir là tout de suite, vu qu’ils m’ont fait des cadeaux et gâteau ! »

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