“Journaliste. D'abord, il lèche, puis il lâche et il lynche.” [Ft. Charly]
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Dim 26 Déc - 14:06
Elijah Roberts
J'ai 37 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt très bien
à venir
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Ce n’était pas vraiment dans ses habitudes d’offrir le petit-déjeuner à ses conquêtes d’une nuit, mais en l’entendant parler de son travail, il se dit qu’il avait peut-être eu raison d’avoir souhaité boire un dernier café avec sa belle inconnue. Elle était donc journaliste. Tout en prenant un morceau de brioche entre ses doigts, il demanda avec détachement « Et tu es quel genre de journaliste ? Investigation ? ». Oui, elle venait de piquer son intérêt à son vif et il avait envie d’en savoir davantage sur ledit article, plus qu’il souhaitait en apprendre sur elle. La preuve en était, il ne connaissait toujours pas son prénom et n’insistait pas à le lui demander. Bon, en réalité, il trouvait ça plus existant de coucher avec elle sans savoir comment elle s’appelait. « J’ai bien fait alors » rétorqua-t-il concernant le petit-déjeuner avant de se justifier. Il ne commandait pas le petit-déjeuner en général. Non, en général, Elijah se rhabillait pendant que sa conquête d’une nuit dormait encore à poing fermé, puis s’éclipsait comme un voleur avant même le lever du jour. Il faisait une exception avec son amante de cette nuit parce qu’elle avait été le meilleur coup de sa vie, d’après ses souvenirs. Il se mit à sourire de manière plus taquine en entendant son : Oh auquel il réagit aussitôt « Quand tu fait ça, j’ai une soudaine envie de revoir tes lèvres autour de ma … virilité » et glissa sa main sur sa cuisse, trahissant l’envie qu’il avait d’elle, la complimentant pour cette nuit dans son élan « Ne fait pas la surprise ! On sait tous les deux qu’on s’est fait grimper au septième ciel toute la nuit… Et ce matin aussi » tout en remontant sa main sur sa cuisse, lui proposant de réitérer cela une dernière fois avant de se séparer.
Ils finirent leur petit-déjeuner non sans quelques regards qui en disaient long sur l’envie qui les accablait de plus en plus, et filèrent rapidement sous la douche pour la faire taire. Son inconnue s’autorisa une dernière gâterie qui fit presque défaillir Elijah tellement c’était bon et le lui rendit bien en la soulevant du sol, jouant de coups de reins jusqu’à l’orgasme qui le fit crier tout autant qu’elle. Il termina de se laver, puis quitta la salle de bain avant elle, enfilant ses vêtements de la veille dans la chambre. Puis son regard se posa sur le sac à main de son inconnue, puis sur la salle de bain… Il hésita un bref instant, terminant de se sécher les cheveux. Il balança finalement la serviette humide sur le lit encore froissé de leurs ébats et commença sa fouille jusqu’au portable de cette dernière. Il fouilla, non sans quelques regards derrière lui pour s’assurer qu’elle ne le surprenne pas, et trouva ce qu’il lui fallut en quelques minutes. Il remit tout à sa place, reprit la serviette et revint dans la salle de bain, son regard se délectant de la voir encore nue devant le lavabo « Je ne vais pas tarder. Si jamais nos chemins venaient à se recroiser, tu me réserves une nuit entre tes cuisses ? » et jeta un regard à sa montre « Faut vraiment que j’y aille, parce que si je reste encore deux minutes de plus, je te chevauche contre ce lavabo » en esquissant un sourire en coin qui laissait apparaître ses fossettes. Il se recula, récupéra sa sacoche et ses lunettes de soleil « Salut belle inconnue » et quitta la chambre d’hôtel, un sourire satisfait sur les lèvres et pas la moindre culpabilité de lui avoir piqué son article.
Un article qui secoua le monde des Stars, mais qui propulsa rapidement la carrière d’Elijah Roberts qui poursuivit sur sa lancée jusqu’à prendre la tête du département People trois ans après. Il délaissa son ambition de se reconvertir dans la presse mode, se délectant plutôt de sa réussite. Une réussite fondée sur un mensonge, mais dont il n’éprouvait pas la moindre culpabilité. Business is Business après tout. Pourquoi s’en vouloir d’avoir jouer le journaliste avec une consoeur qui n’avait pas su garder sa langue dans sa bouche… Même s’il avait plus qu’apprécier qu’elle ne garde pas sa langue dans sa bouche durant cette nuit-là… Durant ces cinq années, il avait régulièrement repensé à cette nuit d’extase avec son inconnue, surtout lorsqu’il tombait sur des conquêtes qui réduisaient le sexe à la seule position du missionnaire, ou qu’il partait à la volée au petit matin, sans offrir ne serait-ce qu’un café à ces dames.
« Tu es nostalgique ? » demanda une voix derrière lui qui n’était nulle autre que celle de Jeffrey, son bras droit au sein du département. Elijah se retourna pour faire face à ce dernier, après avoir passé plusieurs minutes à observer les différents articles encadrés au mur derrière lui, dont celui de son inconnue, et se mit à sourire « Un peu… » et ajouta « Tu voulais ? » « J’ai besoin de ton aval pour la première page de cette semaine » tout en lui tendant les documents. Il feuilleta le tout lorsque ce fut son assistante qui le dérangea à son tour « Eli’, tu as une réunion à 9h » « Je sais » « Il est 9h15 » en sachant que ce dernier n’était pas doué pour la ponctualité. Elijah se leva de son bureau, donna une tape dans le dos de Jeffrey « Je regarderais ça après, ça te va ? » « Oui, oui. Au fait, j’ai embauché une nouvelle journaliste. Madison Carter. Canon » « Je m’en fou qu’elle soit canon. Elle sort d’où ? » avant de s’arrêter de marcher et ajouta « Elle est canon comment ? » et obtint une réponse positive de son bras droit qui acquiesça avec enthousiasme « Très canon ! ». Elijah acquiesça et reprit sa marche « Elle a travaillé chez un de nos concurrents. Elle est en salle de réunion avec les autres. Je me suis dit que ça la mettrais dans l’ambiance tout de suite » « Tu as eu raison » et ouvrit la porte vitrée de la salle de réunion vitrée, elle aussi. Sans un mot, le nez dans ses notes, Elijah s’avança jusqu’au bout de la longue table où se trouvait ses collaborateurs « Bonjour à toutes et à … » puis silence quand son regard se posa sur sa belle inconnue.
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Dim 26 Déc - 17:41
Madison Carter
J'ai 32 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance , je suis célibataire et je le vis plutôt bien.
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« -presse people. » avait elle répondu tout en choisissant parmi les brioches et différentes viennoiseries. Elle était tellement sur son petit nuage qu’elle en oubliait sa méfiance. Pourtant d’ordinaire, elle l’était. Mais lui là… il baisait trop bien pour qu’elle s’en méfie. Erreur de débutante. Enfin, pas si débutante que ça. Un joli rire sortie de la gorge de Madison, avant qu’elle ne le pointe de l’index tout en découpant sa brioche : « -heureusement qu’on est pas amené à se voir tous les jours, parce que… parce que je fais ça assez souvent ! On me l’a déjà dit. Enfin, pas que ça donnait des envies de fellation, mais que je faisais cette… enfin ça. » non mais c’était bien qu’ils ne soient pas amené à se voir tous les jours, parce que clairement, elle n’aurait pas juste envie de boire un verre ou discuter. « -ah oui, non, ça je le nie pas du tout. C’était plus que bien. » elle disait cela pour le faire chier. Elle savait parfaitement qu’il avait envie d’entendre qu’il était un super coup. Elle n’avait pas envie de lui faire ce plaisir. Elle décida de lui faire plaisir d’une toute autre façon. Et il lui rendit bien. « -oh putain… que c’est bon... » conclusion de l’acte alors qu’elle n’avait pas encore reposé les pieds au sol.
Toujours dans la salle de bain, elle ne doutait pas une seule seconde qu’il était en train de fouiller son téléphone et de lui voler son article. Trop naïve peut être. Au lieu de ça, elle le regarda par l’intermédiaire du miroir, sourire en coin. « -sans aucun problème. » comme si elle allait dire non à une autre nuit comme celle ci. Un léger rire, un signe de la main : « -salut bel étalon. » avant de le laisser partir. Madison pensa de façon positive à Elijah durant une journée. Ce fut le lendemain, lorsqu’elle fut convoquée par son patron et qu’il lui brandissait un journal concurrent sous le nez que sa façon de penser changea du tout au tout : « oh le fils de pu… l’espèce de petit connard de merde... » elle poursuivit ses insultes jusqu’à ce que son patron lui demande des explications. Forcement elle serra les dents. Le tira de leur journal était prévu pour ce soir. Son article ne valait plus rien ! « -monsieur je... » mais que dire ! Elle n’allait tout de même pas se tirer une balle dans le pieds alors qu’elle était déjà en train d’être crucifiée sur place. « -laisse nous deveniez, tu te l’ai tapé. Et tu lui a tous raconté sur l’oreiller... » elle avait levé les yeux, et ses lèvres étaient restées dans cette position de o parfait en voyant que c’était rivale qui se permettait de lui porter le coup de grâce. Maddy avait plissé les yeux pour lui lancer son regard de pétasse, avant de regarder à nouveau patron : « -monsieur ce n’est pas ce que… pardon ? » il venait de lui dire de rassembler ses affaires. Elle avait tenté de se défendre en le poursuivant dans le couloir mais il lui avait demandé de ne pas aggraver son cas. Comme dans le pire film à l’eau de rose, il s’était mis à pleuvoir lorsqu’elle était sortie du bâtiment avec son carton sous le bras.
Devant la bâtiment, elle avait le traque. Ça faisait trois ans qu’elle tentait de se remettre en route, trois ans qu’elle voulait relancer sa carrière. Alors lorsqu’elle avait reçu une réponse positive de ce journal, forcement elle avait sauté sur l’occasion. Bon, ça n’était pas tout à fait le poste qu’elle convoitait mais bon, ça n’était qu’un job provisoire de quelques mois. Huit mois. Elle allait survivre. Jusqu’à présent elle avait travaillé de chez elle, rédigée des articles pour les autres, fait des petits boulots d’assistante par ci par là. Mais cette fois, c’était déjà mieux. Un peu mieux. Alors elle prit soin d’essuyer ses mains moites sur sa jupe en sortant de l’ascenseur, avant de serrer la main de Jeffrey. Blabla de base, avant de rejoindre la salle de réunion avec les autres. Elle prit place sur un des fauteuils, croisant les jambes avec élégance, ses mains jointe devant elle. Un regard pour chaque personne ici, avant que l’action ne se passe comme au ralentit. Le type qui venait d’entrer dans la pièce sans prendre le temps de lever les yeux de ses notes, c’était… C’était Elijah. Maddy le suivit du regard tournant le visage avec lenteur pour le suivre des yeux, sa bouche formant avec lenteur ce O qu’il avait commenté à l’époque. Elle s'était imaginée des tonnes de choses à lui dire si jamais elle le recroisait. Ce sale fils de pute de voleur.
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Dim 26 Déc - 18:49
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Elijah cacha sa satisfaction en entendant la réponse de sa jolie inconnue. Que demander de plus ?! Elle baisait plus que bien et en plus, elle avait semblablement un scoop en or. Il nota dans un coin de son esprit de remercier le Ciel à l’occasion. En attendant, il répondit simplement « Donc c’est à toi qu’on doit tous les articles sur les stars de L.A. ? » en se mettant à sourire en coin. Il baissa ensuite sa tasse de ses lèvres tout en riant doucement, relevant ses prunelles claires sur son inconnue « C’est parce que je dois avoir l’esprit mal placé ou c’est parce que tes fellations me manquent déjà » dit-il avec nonchalance, haussant les épaules tout en reprenant un morceau de brioche en reparlant de leurs ébats de cette nuit, puis aussi de ce matin, et se mit à sourire avec espièglerie « Je vois… Tu ne veux pas faire gonfler mon égo masculin en me disant que je suis ton meilleur coup. Je comprends » tout en baissant son regard sur son breuvage brun qu’il porta à ses lèvres, puis reposa sa tasse avant de poursuivre « Mais tes cris et tes réclamations pour qu’on recommence t’ont trahis ». On sentait une certaine fierté masculine dans sa voix qui se voulait plus taquine qu’autre chose. Et parce qu’il tenait vraiment à lui laissait un bon souvenir, il fit en sorte de la faire crier encore sous l’eau chaude « J’allais te dire la même chose » tout en la laissant reposer les pieds au sol. Il s’éclipsa ensuite dans la chambre pour terminer de se sécher et d’enfiler ses vêtements. Ce fut à ce moment-là qu’il s’autorisa à fouiller dans les affaires de sa jolie inconnue, découvrant ainsi le scoop dont elle lui avait parlé, et qui allait sûrement donner un coup de fouet à sa carrière de journaliste. Lorsque ce fut chose faite, il revint vers elle comme si de rien n’était, lui proposant même de remettre cela si jamais leurs chemins venaient à se croiser de nouveau. Un sourire pour seule réponse et la salua avant de quitter la chambre.
Toutefois, ce matin-là, il ne se doutait pas que la prochaine fois que leurs chemins se recroiseraient, ça serait cinq ans plus tard, au sein même de son département. Il eut un moment d’absence en la voyant assise non loin de lui. Elle n’avait pas changé. Toujours aussi attirante. Mais il doutait que leurs retrouvailles allaient se finir par une baise dans son bureau. Il se racla la gorge, regarda ses notes comme pour reprendre contenance et poursuivit « Toutes… » puis fit son pitch de réunion sans un regard pour la dénommée Madison Carter. Maintenant, il pouvait mettre un nom sur un visage et un corps auxquels il repensait régulièrement. Il tapa des mains tout en renvoyant tout le monde à son travail et après un regard pour sa nouvelle recrue, il quitta la salle de réunion pour partir à la recherche de Jeffrey qui expliquait une notion au stagiaire débile qu’ils avaient depuis un mois. Il le saisit par le bras « Faut qu’on parle tous les deux ! » et l’attira légèrement en retrait des oreilles indiscrètes « Tu dois la virer ! » « Qui ça ?![/u] » « Madison Carter, qui d’autres ?! » « [i]Ah ! La fille canon ! Pourquoi ? » « Je ne la sens pas » « Je ne peux pas virer quelqu’un parce que tu ne le sens pas Elijah. On va avoir la RH sur le cul et tu le sais » « Trouve quelque chose, mais je ne la veux pas dans mon équipe ». Jeffrey observa son responsable, le regard inquisiteur, puis un sourire se dessina sur les lèvres de ce dernier « Tu la connais ». Elijah grimaça « Non ! » « Tu mens ! » tout en pointant l’index vers le journaliste « Tu te l’ai faite ! ». Elijah leva son regard sur la dénommée Madison qui apparaissait au loin, puis dévia son regard sur Jeffrey, répondant d’un ton ferme « Non. Vire-là » et s’éclipsa jusqu’à son bureau entièrement vitré et se laissa tomber sur le fauteuil en cuir, poussant un long soupir tout en cachant son visage dans ses mains.
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Dim 26 Déc - 21:15
Madison Carter
J'ai 32 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance , je suis célibataire et je le vis plutôt bien.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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Merde de merde de merde ! Pourquoi est ce qu’elle n’avait pas fait plus de recherche pour ce job ! Enfin si, elle n’avait pas eu le temps. Tout ça à cause de Roy qui l’avait fait chier pour tout un tas de détails à la con. Elle n’avait pas eu le temps de se renseigner. Et puis lorsqu’elle avait été appeler pour une réponse positive, Maddy était vraiment contente ! Hyper contente même d’avoir droit à nouveau à sa chance ! De pouvoir à nouveau mettre les pieds dans son domaine ! Retour à la presse people ! Elle n’allait pas dire non ! Et voilà que… Voilà que le type qui avait ruiner sa carrière semblait être son boss ? Elle était maudite ! C’était ce qui était en train de lui traverser l’esprit. Elle se recula dans son siège, posa son coude et porta sa main devant ses lèvres, faisant mine d’écouter ce qu’il avait à dire. Mais au lieu d’être attentive, elle se disait seulement que ce connard était en train d’occuper une place qu’elle aurait pu avoir s’il ne lui avait pas tirer son article ! Ah ! Elle avait envie de lui arracher la langue ! Et en pensant à sa langue elle repensa à ce qu’il savait en faire, et cela la mis un peu plus en colère.
Lorsqu’il tapa dans ses mains, Maddy cligna des paupières. Elle n’avait rien écouté. Trop concentrée à lui envoyer des insultes mentales. Elle se retint de plisser les yeux lorsqu’il la regarda, et resta quelques secondes de plus que les autres dans la salle. « -chier... » marmonna Madison pour elle même. La jolie brune resta là, se tapotant le menton avec les doigts, méditant sur l’attitude à adopter. Impossible qu’elle travaille avec lui. Impossible parce qu’elle allait finir par lui sauter à la gorge et l’étriper de ses propres mains. Alors elle finit par se lever et quitter la salle de réunion afin de trouver le dénommé Jeffrey. Elle ralentit le pas en voyant Elijah au loin.
Une fois à côté de Jeffrey elle lança directement le sujet : « -écoutez, je ne sais pas si je vais rester finalement. Je ne m’attendais pas vraiment à ça. Je… je n’ai plus l’habitude bosser avec autant de monde, de recevoir des directives… alors... » elle avait joint ses mains comme si elle faisait une prière tout en expliquant cela. Penchant légèrement la tête sur le côté, elle ajouta : « -je pense que ça ne va pas coller, alors je ne vais pas vous faire perdre votre temps. Qui est certainement précieux d’ailleurs. Et donc du coup… et bien… je vais m’en aller. Et heu… encore merci et désolée aussi… et heu... » elle montra l’ascenseur avec ses deux index par dessus son épaule, avant de reculer d’un pas. Ce type était né pour lui bousiller sa carrière ! Elle avait la haine au fond d’elle même. Mais… mais elle se connaissait assez pour savoir qu’elle ne serait pas capable de faire comme si rien ne s’était passé.
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Dim 26 Déc - 21:51
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Installé derrière son bureau en bois, tentant, tant bien que mal, de se concentrer sur les différentes maquettes de première page, Elijah ne put s’empêcher de relever son regard, pour la énième fois, sur le couloir. Il fronça légèrement les sourcils en voyant Jeffrey en pleine discussion avec une Madison qui joignait les mains comme si elle le suppliait. En cet instant, le journaliste aurait aimé être une petite souris pour se faufiler jusqu’à eux et tout entendre. Au lieu de ça, il était cloitré dans son bureau, laissant Jeffrey la licencier pour une excuse bidon. Enfin, c’était ce qu’il lui avait demandé, mais il était bien loin de se douter que son bras droit faisait l’exacte contraire de ce qu’il lui avait demandé. Elijah était bien loin de se douter que Madison ne suppliait pas Jeffrey pour avoir le poste, mais bien au contraire, pour partir de là au plus vite. Quant à Jeffrey, il avait décidé de s’amuser un peu. Le bras droit voulait en savoir davantage sur ce qui liait vraiment son patron à la brune canon devant lui, et décida donc d’y mettre son grain de sel « Restez. Eli’ a laissé sous-entendre que vous aviez un passif commun sans entrer dans les détails. C’est Elijah. Il est comme ça. Et je ne sais pas ce qu’il a pu vous faire, mais il se sent coupable et m’a demandé de vous installer dans un bureau, de faire en sorte que vous vous sentiez bien et que votre arrivée ici se passe pour le mieux ». Jeffrey y allait au bluff. Il savait qu’il y avait quelque chose entre eux, qu’ils se connaissaient, et il avait très envie d’en savoir davantage, et pour cela, il devait les faire travailler ensemble. Puis il n’était pas difficile de voir qu’Elijah avait fait une connerie, sinon pourquoi aurait-il voulu se débarrasser aussi vite de la nouvelle qui était au goût de tout homme hétérosexuel normalement constitué, et sûrement encore plus d’Elijah qui, jusqu’à il y a cinq mois, ne rentrait que rarement seul. « Restez au moins un mois. Si vraiment ça ne se déroule pas comme vous le souhaitez, je vous ferais une lettre de recommandation pour un autre magazine ou journal de votre choix. Ça vous convient ? ».
Quant à Elijah qui restait cloitré dans son bureau à les observer, il tentait de discerner le sujet de leur conversation. Est-ce qu’elle allait prendre ses affaires et partir en le fusillant du regard ?! Allait-elle jouer les désespérées qui avait besoin d’un emploi ? Il fut perturbé dans le fil de ses pensées par l’arrivée de son plan cul régulier ou plutôt par ce qui était en train de devenir sa petite-amie officielle depuis cinq mois. Une jolie blonde de tout juste vingt-sept ans, vêtu d’un tailleur ajustée, et avec qui, ça avait commencé par une partie de jambes en l’air sur son bureau, et qui s’était poursuivi ainsi durant quelques mois avant qu’elle ne décide à l’inviter à dîner. Et une chose en entraînant une autre, leur relation vacillait dorénavant entre le plan cul et la relation officielle. « Je te dérange ? » « Non, c’est bon. Tu voulais ? » tout en se forçant à poser son regard sur la dénommée Brittany « J’ai l’air de te déranger. Je peux revenir si tu veux » « Je t’écoute » « Je sors avec des copines en boite de nuit ce soir et je voulais savoir si tu voulais nous accompagner ? » « Pas vraiment » alors qu’il se recula dans son siège pour mieux observer ses jambes interminables qui s’avançaient vers lui. Il sourit en la voyant se pencher vers lui, ses lèvres contre son oreille et sa main vers son entre-jambe « On s’enverra en l’air avant alors » « Je serais au rendez-vous » et la laissa partir tout en la déshabillant du regard. Il se pencha pour prendre son café et croisa le regard de Madison. Il se leva de son bureau, ouvrit la porte et siffla pour appeler Jeffrey, avant de lui faire signe de venir. Ce dernier ferma la porte derrière eux « Qu’est-ce qu’elle fait encore là ? » « Oh ! » et tourna la tête vers l’intéressée avant de reporter son attention sur son chef « Elle m’a dit qu’on ne pouvait pas la licencier de la sorte, qu’elle était journaliste et qu’elle nous ferait une publicité d’enfer en nous emmenant en procès si on la dégage sans aucune raison valable ». Il haussa les épaules, comme s’il était tributaire des lois « Je suis désolé Eli’… Elle commettra bien une erreur tôt ou tard. Faut pas perdre espoir » tout en donnant une tape dans l’épaule d’Elijah qui ne desserrait pas les dents, les mains sur les hanches « Bon, tu as choisi la première de couverture ? » demanda Jeffrey qui avait changé de sujet comme si de rien n’était.
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Madison Carter
J'ai 32 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance , je suis célibataire et je le vis plutôt bien.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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« -quoi ?! » Maddy avait laissé passer ce mot presque comme un aboiement. Non pas pour le restez, mais pour le passif commun. En plus d’être un connard, il était con ! Non mais il ne savait pas mentir ?! Comme si ça allait lui facilité la tâche ça ! « -oh il se sent coupable ? » demanda Maddy en plissant les yeux, sentant toute sa colère remonter d’un coup. Coupable mon cul oui ! Elle avait bien du mal à croire à ça. « -un mois ? » demanda la jeune femme sans quitter des yeux Jeffrey. « -je saurais vous rappeler vos mots. Pour la promesse de lettre de recommandation. » elle venait de lever son index entre eux comme pour bien lui faire comprendre qu’elle n’allait pas se laisser berner. Non, ça c’était arrivé cinq ans plus tôt et elle s’était jurée que ça n’arriverait plus jamais. Elle croisa les bras et fit bouger ses lèvres de gauche à droite. Puis elle finit par répondre : « -un mois. Pas plus. Et une lettre de recommandation en béton à la sortie. » marché conclue. Si elle pouvait pourrir la vie d’Elijah durant un mois, elle prenait ça comme une sorte de revanche. Ou de vengeance.
Jeffrey appela une jeune femme et lui demanda de montrer son bureau à Madison. Elle la suivit non sans jeter un regard noir à l’homme de l’autre côté de la vitre. Forcement du bureau où on l’installa, elle pouvait voir celui d’Elijah. « -vous avez rien d’autre ? » l’autre femme la regarda sans comprendre, détaillant la pièce. C’était mieux que le placard à balais. « -j’aurai préféré avoir la vue sur l’extérieur, mais laissez tomber. » elle n’allait pas lui expliquer qu’elle ne voulait pas voir la tête de con de l’autre côté du couloir. Surtout qu’elle était prête à parier qu’elles étaient toutes fans de lui. « Il se sens coupable… nianianiania… » marmonna Maddy en déposant ses affaires. Puis elle se laissa tomber dans le fauteuil, pas vraiment confortable. Elle jeta un œil à l’ordinateur, puis au tiroir du bureau. Puis elle vis passer une jolie blonde. Pas belle, simplement jolie. Enfin d’après elle. Celle là même qui était dans le bureau d’Elijah quelques minutes plus tôt. « -toi et moi, on va pas être copine. » murmura Maddy pour elle même. Quoi que… ça pouvait être drôle…
Rah non, il ne fallait pas qu’elle rentre dans ce jeu là ! Sinon c’était le début de la guerre ! En même temps c’était lui qui avait lancé les hostilités. Maintenant c’était clair et net que c’était un terrain ennemi qu’il avait en face de lui. Quel connard… Elle consulta ses mails, on lui avait dit que c’était par ce biais qu’elle aurait ses missions. « -quoi ? » souffla t elle en grimaçant. Horoscope et réponse aux courriers des lectrices ?! Non mais non ! Elle allait passer des heures à lire toutes ces merdes ! Elle ferma les yeux quelques secondes avant de décider d’aller chercher du café. Une grande tasse. En croisant les doigts pour qu’il ne soit pas dégueulasse. Quelle ne fut pas sa surprise de voir une machine à café de dingue en salle de pause, le genre de truc avec percolateur et tout le bazar pire que dans un bar. « -ok très bien… et ça fonctionne comment cette merde... » elle voulait seulement une tasse de café ! Pas un double crème pépite de chocolat, éclat de caramel et paillettes ! Juste un café pour y trouver un peu de courage. Elle dût se battre durant dix bonnes minutes avant de donner un coup dans la machine. « -aller fais pas ta garce. J’en ai vraiment besoin... »
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Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
crédit : :copyright:littlewildling-rpg
Elijah était à mille lieux de savoir que son bras droit avait conclu un accord avec sa belle inconnue, lui promettant une lettre de recommandation en béton en échange d’un unique mois au sein de l’agence. Et tout cela dans l’unique but de satisfaire sa curiosité maladive et en apprendre davantage sur le lien qui les unissait. Ça allait sûrement coûter sa carrière, mais Jeffrey était bien loin d’y penser au moment où il répondit à la jolie brune « Il n’en a pas dit plus ! » et acquiesça ensuite, sous le regard d’Elijah qui tentait de comprendre ce qui se passait à quelques mètres de son bureau « Oui, il se sent coupable pour une raison que j’ignore ». Un nouvel hochement de tête de la part du bras droit et un sourire satisfait qu’il cacha à son supérieur qui était bien trop occupée avec la midinette qui lui avait mis le grappin dessus quelques mois auparavant. Il arbora ce même sourire en sortant du bureau de ce dernier après lui avoir menti ouvertement et avant de détourner son attention avec le magazine qu’ils devaient clôturer au plus vite pour le lancer à l’impression. Au départ de son bras droit, Elijah se laissa tomber sur son fauteuil en cuir et fixa la jeune femme de l’autre côté du couloir, et cela, pendant de longues minutes. Puis un sourire se dessina sur ses lèvres et se redressa sur le rebord de son fauteuil et rédigea un mail avec les missions principales qu’il lui confia. Horoscope et réponses aux lectrices. Un travail normalement réservé aux stagiaires, mais il était temps de le confier à une professionnelle digne de ce nom. Il appuya sur « entrer » sans se départir de son sourire, et se mit ensuite au travail. Finalement, cette collaboration pouvait être intéressante.
Après quelques minutes à fixer son écran, il porta sa tasse de café à ses lèvres, mais ce fut un fond de café froid qu’il avala et qui le fit grimacer. Un soupir et il se leva jusqu’à la salle de repos. En voyant la jeune femme frappait la machine de torréfacteur, il se mit à sourire tout en baissant la tête et se décida à aller à sa rencontre « Ne te venges pas sur la machine, elle ne t’a rien fait » et posa sa tasse, puis se saisit du porte-filtre, le rempli avec les grains fraichement moulu à côté, et réenclencha l’outil dans la machine « Ensuite tu appuies ici » et appuya sur le bouton au même moment, laissant le café couler dans sa tasse « Le sucre se trouve à côté et pour le lait, il est dans le frigo et il faut appuyer sur ce bouton pour le faire chauffer une bonne minute ». Il reprit sa tasse de café, la porta à ses lèvres et tourna les talons « Je veux ton travail sur mon bureau avant demain matin » et retourna à son bureau comme si de rien n’était. Pas d’excuses ou de : Bienvenue dans le département. Il n’en avait pas envie. Il voyait Madison Carter comme un caillou dans sa chaussure, et tôt ou tard, il allait devoir s’en débarrasser.
« Encore ! Oh oui ! Encore ! Mon dieu ! Oui ! » cria son amante de vingt-six ans dont les jambes entouraient la taille du journaliste et il la sentit se contracter tout contre sa virilité, alors qu’il ne parvenait pas à jouir de son côté. Il se laissa tomber sur le côté du lit, frustré et fixa le plafond alors qu’il entendait la blondinette tentait de reprendre ses esprits. Il tourna la tête vers elle lorsqu’elle posa sa main sur son torse et qu’elle l’embrassa « Tu m’as vidé la tête ! Je dois y aller ! A ce soir » et elle quitta le lit pour partir se préparer pour sa soirée entre copines. Elijah posa ses mains sur son visage tout en soupirant, avant de jurer entre ses dents « Fait chier ! » en maudissant le retour de Madison dans sa vie. Il se leva du lit et termina de s’habiller quand son amante sortie de la salle de bain « Tu vas où ? » « Au travail. Le magazine n’est pas encore terminé » « Soit rentré quand j’arrive, pour qu’on remette ça » et l’embrassa avant de quitter l’appartement. Elijah en fit de même et retourna au bureau.
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Charly
Lun 27 Déc - 10:56
Madison Carter
J'ai 32 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance , je suis célibataire et je le vis plutôt bien.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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Encore heureux qu’il n’en avait pas dit plus ! Comment travailler ici si ils avaient mis tout le monde au courant de leur partie de jambes en l’air qui datait de cinq ans. Et qu’il lui avait fait une réputation de super coup à se faire obligatoirement ! Non, parce qu’elle se doutait bien qu’il n’était pas aller chanter sur tout les toits leur autre point commun. C’est à dire l’article qu’il lui avait volé. Il avait visiblement un bon poste aujourd’hui, un beau bureau, une belle blonde aussi. Tout semblait lui réussir. Et elle était persuadée que son vol y était pour quelque chose. L’article avait fait du bruit. Beaucoup de bruit. Elijah avait récolté la gloire qu’elle aurait du avoir ! Certainement aussi les procès venant de la star. Ça c’était le point positif. « -et moi je ne pense pas une seule seconde que vous disiez la vérité. » avait coupé Maddy. Impossible qu’il se sente coupable. D’autant plus qu’il ignorait totalement l’impacte que tout cela avait eut sur la vie et la carrière de Madison.
Néanmoins, elle conclue un arrangement avec Jeffrey, lui faisant promettre une lettre de recommandation pour la suite. Hors de question qu’ils s’en tirent à si bon compte. Elle aurait au moins ça. Maintenant, c’était un mois à tirer. Pas grand-chose en vérité. Même si son bureau permettait de voir celui d’Elijah. Elle fermerait la porte et le store, comme ça elle ne subirait pas son tête de petit con à longueur de temps.
Un café, il lui fallait un café pour affronter le reste de la journée. Une dose de caféine avant de mettre le nez dans les lettres des lectrices. Elle n’était pas psychologue. Et généralement elle n’était pas de bons conseils. On lui avait déjà dit et re dit. Rien qu’à voir sa propre vie… mais on lui avait confié cette tache, elle allait faire profil bas durant un mois et se barrer d’ici avec une belle lettre. Elle lui cracherait surement au visage en partant, quoi que un coup dans les parties ça pouvait être vraiment tentant aussi.
La machine à café n’était pas décidé à lui donner un café. Et de son côté elle n’était pas d’humeur à être patiente et à lire le mode d’emploi. Un léger sursaut lorsqu’elle entendit sa voix, avant de tourner le visage dans sa direction. Pas un sourire, pas un salut, pas un comment ça va. Elle mourrait plutôt d’envie de lui dire d’aller se faire foutre. Elle le regarda faire, serrant les dents pour éviter de faire sa langue de vipère. Ses poings aussi était serré, et elle l’insultait mentalement de nouveau. Avant demain matin ? Ça voulait dire quoi ça ?! Dans la nuit ?! Ah et pourquoi est qu’elle venait de regarder ses fesses !!! Elle déclara forfait au bout de cinq minute pour le café, n’ayant seulement récolté qu’une tache sur son chemisier.
Elle était passée la tête haute devant le bureau d’Elijah, sans le regarder. Elle ferma la porte du bureau, et tira le store. Parce que non, c’était haut dessus de ses forces de voir sa tronche toute la journée. La première heure, elle eut bien du mal à se concentrer. Et puis peu à peu, elle se prit au jeu des lettres. Elle y alla de ses critiques. « -non mais ma pauvre s’il veut pas de toi, faut te poser les bonnes question : est ce que c’est un connard ?! » « -heu non chéri, si ça fait trois mois que vous que êtes ensemble, crois moi, ne lui fais pas d’enfant… ça fou le bordel... » « -oh putain t’as jamais eu un orgasme de ta vie… ma pauvre chérie, je vais te donner la marque de mon vibro. » Soulagement lorsqu’elle constata que la bureau d’Elijah était vide. Elle mourrait de faim. Et si elle devait rentre cette merde pour avant cinq heure du mat, et bien il fallait qu’elle mange.
Alors après avoir commandée à mangé, elle continua sa rédaction, avant un peu de musique en fond sonore. Mise en page, relecture, tout en mangeant ses nouilles chinoise les deux pieds sur le bureau, elle trouvait ça plutôt pas mal. Ouais, elle trouvait ça vachement bien vu le peu de temps qu’on lui avait laissé. Faire une sélection au milieu de toutes ces lettres, c’était loin d’être simple. Éviter de leur dire d’aller se pendre ou se faire prendre un bon coup, l’était d’autant plus.
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Manhattan Redlish
Lun 27 Déc - 14:10
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Elijah aurait pu rester à son appartement en attendant patiemment le retour de sa jeune petite-amie qui souhaitait abuser de son corps à son retour de boite de nuit, mais au lieu de ça, le journaliste préféra se rendre au bureau et travailler un peu. Peut-être pour se changer les idées et ne plus penser à Madison ou au fait qu’il n’était pas parvenu à prendre son pied avec son plan cul régulier quelques minutes auparavant. Son retour dans sa vie lui rappelait que c’était juste satisfaisant le sexe avec Brittany, mais pas exceptionnel comme cela avait pu l’être avec son inconnue qui répondait maintenant au nom de Madison Carter. Le travail allait donc lui occuper l’esprit et l’empêchait de penser au corps nu de la jeune femme. Le nez dans son portable, il le releva presque soudainement en voyant une lumière qui perçait dans l’obscurité. Tout le monde était rentré à l’exception de sa nouvelle recrue. Il s’était arrêté au milieu du couloir, son portable toujours en main, puis se mit à sourire et glissa le petit appareil dans la poche intérieure de sa veste de costume qui contrastait avec le sweat à capuche qu’il portait dessous. Un regard pour son propre bureau, puis vers celui de Madison.
Il hésita un moment et décida de se rendre dans son propre bureau, se saisit de sa tasse et se rendit dans la salle de repos pour se servir un café, puis un autre, et entra dans le bureau de sa belle inconnue avec les deux tasses, déposant celle qui lui était destinée à côté de l’ordinateur « Tu me hais parce que je t’ai volé ton article, je le conçois » et fit tourner le fauteuil pour qu’elle lui fasse face, et se pencha en prenant appui avec une main sur le rebord du bureau et l’autre sur le repose-bras du siège, son visage près de celui de Madison « Mais si les rôles avaient été inversés, tu en aurais fait autant. On le sait tous les deux. On est aussi pourri l’un que l’autre, on n’a pas de tabou et de limites. C’est pour ça que le sexe a été aussi génial ». Il approcha ses lèvres de son oreille « Je ne regrette rien. Maintenant, soit tu acceptes le fait que je sois un salaud de première, soit je vais faire de ta vie un cauchemar » et embrassa son cou, jouant de sa langue tout contre sa peau, et se recula, tout sourire, prenant sa tasse de café qu’il avait posé non loin et s’approcha de la porte du bureau « Les cartes sont entre tes mains belle inconnue » et lui fit un clin d’œil, avant de retourner à son bureau en toute décontraction, prenant place dans son fauteuil, allumant sa lampe de bureau à son tour, et après un regard pour Madison de l’autre côté, il se décida à mettre son nez dans ses papiers. Il n’aurait aucun état d’âme à lui pourrir son existence, à la cloîtrer à son bureau jusqu’à tard dans la nuit, en lui proposant de s’occuper de sujets ennuyeux et sans le moindre intérêt. La culpabilité n’était pas un sentiment qu’il avait l’habitude d’éprouver.
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Charly
Mar 28 Déc - 21:33
Madison Carter
J'ai 32 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance , je suis célibataire et je le vis plutôt bien.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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Maddy pensait être seule. Elle avait vu ses nouveaux collègues partir un à un, s'était sentie mieux respirer lorsqu’Elijah avait également quitté son bureau. Pff un mois, ça allait tout de même être compliqué à gérer. Mais elle repensa à cette promesse de lettre de recommandation et se remis au travail. Elle se croyait seule et ce fut pour cela qu'elle sursauta et laissa passé un petit cri de surprise en entendant la porte s'ouvrir et la voix de son nouveau boss retentir dans la pièce. « -putain mais on t'as jamais appris à frapper ! » claqua la jolie brune en reposant les pieds au sol avant qu'il ne fasse pivoter son fauteuil. Ce qu'il venait d'annoncer paraissait presque faible aux oreilles de la jeune femme. « -ah ba tant mieux t'as compris tout seul comme un grand ! » répondit elle avec ironie. Elle recula la tête dans son siège. Trop prêt, beaucoup trop prêt. Il ne connaissait pas la notion d'espace vital ? Puis elle plissa les yeux, un petit sourire sur les lèvres qui voulait dire : n'importe quoi !! « -non, ça a été bon parce que je suis bonne. » en insistant sur le je. Rien avoir avec ce qu'il venait de dire. Elle évita de répondre à ce qu'il dit ensuite, restant de marbre face à ce baiser qu'il déposa dans son cou. Elle leva les yeux au ciel lorsqu'il sortie. Le mec il se croyait dans une pièce de théâtre. « -tu veux pas ajouter un petit rire démoniaque tant que tu y es ? » elle avait une grande envie de lui faire un doigt d'honneur mais elle trouverait bien mille autres occasions de le faire.
Elle se remis au boulot et vers les 3h du matin, Maddy déboula dans le bureau d'Elijah avec ce qu'elle avait rédigé. Elle déposa le tout devant lui, se penchant en avant les deux mains sur le bureau. « -voila c'est terminé. Je ne ferais pas de retouche ni de correction. Et pour l'horoscope je pense que tu devrais aimé le signe balance ascendant connard. » un petit sourire forcer avant de se diriger vers la porte. « -ah et au fait : rassure toi, ça fait bien longtemps que j'ai assimilé que tu es un connard. Ensuite crois moi, pas la peine de te fouler, parce tu as déjà fais de ma vie un cauchemar. Et enfin, évites de refaire ce que tu as fais dans mon cou si tu veux pas prendre au cul une plainte pour harcèlement sexuelle. » il voulait lui pourrir la vie ? Il était mal tombé. « -bonne nuit ! » chantonna t elle avant de quitter le bureau pour prendre son sac avec la ferme intention de rentrer chez elle.
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“Journaliste. D'abord, il lèche, puis il lâche et il lynche.” [Ft. Charly]