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LE TEMPS D'UN RP

Toutes les histoires ont leur histoire - ft. Clionestra

Clionestra
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Clionestra
Mer 12 Juin - 22:12

Stefan
Whistledown

J'ai 25 ans et je vis à Londres, Angleterre. Dans la vie, je suis duc et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma ruse, mon père n'est qu'un souvenir a oublié, et je vais me marié avec une femme qui devra m'apprendre à aimer convenablement.

Toutes les histoires ont leur histoire - ft. Clionestra - Page 6 2fe1b1a637852c8f417f81f240a554fc→ Il est particulièrement doué en mathématique et retient absolument tout ce qu'on lui dit. Il a la mémoire absolu.
→ Il a une petite soeur qu'il n'a pas vue depuis des années.
→ Et on lui a demandé d'être le chaperon / l'aide pour une fille.
→ Il est ne sait pas montrer ses émotions.
Il avait besoin de s’enfuir, loin. Il avait besoin de se cacher et de ne pas laisser le sang coulait sur les joues propres et pures des jeunes femmes. Katherine, plus si jeune mais l’esprit de Stefan n’en fit pas la mise au point, Eloïse, Clarence –oui, même elle- et surtout Madeleine. L’idée que du sang, le sien ou celui d’un autre, pouvait les souiller, ça le rendait malade. Il se rendait malade d’être ainsi, et pourtant il n’avait pas assez de grandeur d’âme pour laisser la jeune femme partir. Il n’avait pas assez de cœur en lui pour rendre sa liberté à la jeune femme. Cela serait si simple, pourtant. Il n’aurait qu’à la laisser, là. Partir et disparaître comme il avait su le faire une première fois, mais pourquoi ? La première fois, il avait disparu dans l’espoir d’être assez grand et fort pour se protéger lui-même. Il avait été écrasé, souillé, battu, violé, par des personnes qui avaient plus de poids dans la société et dans les muscles que ce qu’ils en avaient dans le cœur. Alors, il avait du devenir pareil. Sans foi ni loi. Sans cœur. Et il avait puni autant pour soulager la colère dans son cœur que pour effectivement se venger d’un affront. Il avait torturé pour le plaisir de voir l’homme le supplier de ne plus lui faire du mal. On l’avait supplié… et il n’avait rien écouté que le sang qui battait dans ses oreilles pour le rendre sourd de la bonté.

On lui avait volé la bonté et la gentillesse dans la rue, ne laissant que haine et colère. Stefan Hartol n’était que ça. La haine et la colère qui pulse telle un bélier contre les portes de la santé mentale. Il n’était que l’instrument de ses sentiments implacables. Et il venait de le prouver à l’instant. Il n’était qu’un monstre capable de briser des os et d’en éprouver le plus grand des soulagements. Si les os se brisent, et que ceux-ci ne lui appartiennent pas, comment ne pas être heureux ? Comment ne pas sentir son cœur se gonfler de bienêtre ? Sauf que Stefan avait bien conscience que ce n’était pas normal. Il était cassé, brisé, détruit par une vie dont il ne voulait pour personne, encore moins les enfants.

Il ne remarque pas tout de suite que la jeune femme lui avait pris les mains. Il ne la sentit pas tout de suite alors que son esprit était embrumé par la haine et la violence dont il venait de faire preuve. S’il n’avait pas entendu la voix de Madeleine, au loin… S’il n’avait pas senti Ethan l’attraper pour le calmer… il l’aurait tué. Il aurait arraché les couilles de cet homme et lui aurait fait bouffer avant qu’il n’expire son dernier souffle. Il finit par voir la jeune femme, plus avec le filtre de la colère qui l’emmène bien loin, il la voit, elle. Il papillonne doucement, revenant sur terre avec une douceur qui n’était amené que par la douce Madeleine.

Cette Madeleine, qui n’avait pas eu d’amour avant aujourd’hui. Amour qu’il ne lui donnait toujours pas. Il ne lui donnait toujours pas alors qu’elle en avait manqué toute sa vie. Il ne voulait pas lui imposer une vie sans amour… mais comment pourrait-il la condamner à une vie avec lui ? Il la laisse le toucher doucement et sent les frissons qu’il aimait tant avec elle. Il sent les caresses, loin du désir sexuel qu’il aurait pu y avoir, il fait remonter de la chaleur dans ce corps froid. Il sent de plus en plus de picotement dans le cœur. Son âme était en train de se purifier. Il n’y avait pas besoin d’eau bénite pour chasser les démons. Il lui suffisait d’elle. Il l’enlaça avec douceur, une douceur infinie. Il planta sa tête dans son cou.

- Ce n’est pas convenable, souffla-t-il en embrassa sa nuque jusqu’à sa mâchoire doucement. Mademoiselle Smith, vous ne devrez jamais laisser un autre homme vous toucher.

Il lui avait dit plus ou moins la même chose, la première fois ou ils s’étaient rencontrés. Il lui avait dit qu’elle ne devait pas laisser les hommes l’aidaient à prendre son bain, ou la laisser se coiffer, ou tout autre chose. Mais à ce moment là, elle était Mademoiselle Radcliffe. Il allait l’épouser. Il allait l’épouser de tout son cœur… mais avant, il voulait apaiser ce cœur. Dire enfin des vérités qu’il ne pensait jamais dire. Il l’embrasse doucement, caresse ses lèvres en approchant la jeune femme par la hanche. La jeune femme n’avait pas été aimée. Katherine l’avait aimé, et l’aimé encore, mais elle n’avait pas pu lui prouver. Stefan avait enlevé Madeleine à sa tante avant qu’elle ne puisse être sa mère. Personne n’avait aimé cette femme comme elle le mérite. Son père l’avait haï et continuait à le haïr. Et lui ? Que faisait Stefan pour elle ? Alors, il lui caresse les lèvres et se penche vers elle.

- Madeleine, souffla-t-il avant de prendre une grande respiration comme si ce qu’il avait à dire était la chose la plus difficile du monde, donnant presque l’impression qu’il allait la quitter, mais pas du tout, je t’aime.

Et c’est tout. Il ne la laissa pas répondre ou réagir. Il l’embrassa avec force, comme s’il ne venait pas de dire qu’il l’aimait enfin. Il l’embrasse avec une possession, une envie de l’avoir rien que pour elle, un besoin impérieux. Il faut que la jeune femme sente son amour autant que son désir. Mais il se sentait mal de l’aimer. Il se sentait tellement désolé pour elle. Il n’était toujours pas digne. Il ne serait jamais digne d’elle, elle mériterait mieux, tellement mieux…. Mais en plus de vouloir la posséder, il l’aimait. Il l’aimait tellement qu’il pourrait en mourir. Si quelqu’un venait encore à l’insulter… Son père allait mourir pour toute la souffrance qu’il avait causé à cette incroyablement déesse. Il recula ses lèvres d’elle. Avant de se lever en la gardant dans les bras. Le sang sur ses mains avait disparu et Madeleine l’avait soigné sans qu’il ne sache ni comment, ni avec quoi, mais il pouvait ainsi poser la main sur elle sans crainte. Il ne pouvait plus vivre sans elle. Il l’aimait. Et il n’était pas prêt de l’accepter alors qu’elle méritait mieux. Il posa un regard désolé vers elle. Il allait la posséder avec violence, il y aurait toujours la colère et la haine entre eux, celle qui coule dans ses veines. Il ne savait pas s’il pourrait un jour diminuer les sentiments négatifs qui l’assaillent. La colère, déjà… mais aussi la tristesse. Il finit par ouvrir la porte de l’église en faisant comme si tout ça n’avait pas eu lieu. S’il pouvait cacher ses sentiments dans un masque de cire, il pouvait aussi faire semblant de ne pas être un monstre le temps d’un mariage. Dieu n’avait pas le droit d’aller contre ça. Il fit un sourire désolé à sa sœur avant de se tourner vers Clarence. Stefan savait que la jeune femme était l’amie de Madeleine. Et il comptait la rendre la plus heureuse du monde. Alors, il lui sourit aussi, mais simplement de manière désolée. Puis, vers Katherine.

- La mère de la mariée est-elle prête ? Il serait temps que je la prenne pour femme et que je puisse l’aider à produire vos petits enfants !

Et il ne parlera plus jamais du « Je t’aime » qu’il venait de dire. Il ne comptait pas le dire à nouveau (qu’il croit), parce qu’il ne comptait plus se sentir à ce point mal que son cœur doit gerber cette vérité. Mais il comptait lui prouver, en la possédant, avec un peu de violence mais beaucoup… beaucoup… de plaisir.


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Rein
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Rein
Jeu 13 Juin - 20:55

Madeleine Radcliffe
J'ai 20 ans et je vis à Londres, Angleterre. Dans la vie, je suis un électron libre et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien, car ce beau majordome ne me laisse pas indifférente.

- Elle est la fille illégitime de son père et d'une prostituée française
- Elle n'a que faire de l'étiquette et du protocole et vit à contre-courant de la société
- Elle aime la poésie mais déteste l'arithmétique
- Elle n'est pas du genre à avoir la langue dans sa poche et elle n'hésite pas à en venir aux mains, elle est d'ailleurs très fière de son crochet du droit
Madeleine souriait à Stefan avec bienveillance et elle attendit patiemment qu'il lève enfin un regard vers elle. Le pauvre homme semblait perdu dans un brouillard si épais qu'il peinait à retrouver son chemin vers la tangente réalité. Il ne paraissait pas prêt à laisser sa colère derrière lui.

La jeune femme aux cheveux blonds ne savait pas l'expliquer, mais elle savait que Stefan avait besoin d'elle, sans présomption aucune. Elle avait ressenti le besoin du duc dans le moindre de ses baisers, dans ses gestes d'affection, dans la manière avec laquelle il lui avait fait l'amour cette nuit-là… Il avait averti Madeleine qu'il la ferait souffrir, mais il n'en fit rien. Tout ne fut que plaisir intense et osmose parfaite. Il n'y avait eu aucune douleur, la perte propre de sa virginité mise à part.

Stefan paraissait terrifié à l'idée que Madeleine ne lui tourne le dos, il l'avait presque supplié de ne pas s'enfuir plus tôt et Madeleine avait cillé face à sa requête, confuse. Non, jamais elle ne fuirait loin de lui. Elle fuirait avec lui, à la limite, mais elle ne l'abandonnerait jamais. Stefan ne semblait pas comprendre que Madeleine avait besoin de lui autant qu'il avait besoin d'elle. Elle avait été au plus mal après son départ précipité, non ? Elle avait pleuré, était restée prostrée et s'était langui de lui… avant de le maudire pour l'affront qu'il avait osé lui faire. Elle était alors persuadée qu'il l'avait bel et bien abandonné — comme bon nombre d'hommes le faisaient après avoir obtenu ce qu'ils voulaient d'une femme. Elle n'avait pas regretté de s'être offerte à lui, mais s'était maudite pour avoir espéré monts et merveilles après tout ça. Elle était restée sans nouvelle de lui pendant une bonne semaine et quand elle l'avait revu au bal, Éloïse à son bras… Son cœur avait cessé de battre l'espace d'un instant.

Oui, Madeleine connaissait plus que quiconque cet affreux sentiment qu'était la peur de l'abandon. Enfant, elle pleurait seule, à l'abri des regards dans son lit miteux, tandis que son père hurlait à quiconque qu'il la jetterait sous les ponts à la première occasion. Paniquée à l'idée qu'il la rejette définitivement et la renie, elle avait essayé de plaire à son père désespérément. Elle avait tout fait pour qu'il lui adresse un sourire, un regard tendre ou qu'il lui caresse les cheveux d'un air fier. Alors, elle avait suivi ses cours avec assiduité, n'avait fait aucun caprice et avait fait preuve d'une politesse exemplaire. Mais son père l'avait regardé avec dédain, l'avait insulté et lui avait empoigné les cheveux pour la tirer jusqu'à sa chambre dès qu'elle s'était mise à pleurer. Elle avait compris que jamais, ô grand jamais, il ne l'aimerait de toute sa vie, et ce, en dépit des efforts qu'elle était prête à fournir pour lui plaire.

Lorsque cette sombre réalité s'était imposée à elle, elle l'avait embrassé sans remord et ne s'était plus jamais laissée humilier ou rabaisser sans répondre ou frapper à son tour.

Les bras de Stefan glissèrent autour de sa taille et Madeleine enlaça son cou avant de lui caresser les cheveux avec tendresse. Elle trembla en sentant les baisers du jeune homme sur sa peau et ses jambes fléchirent. Stefan la rendait fébrile. Elle le désirait ardemment à la seconde même où il posait une main ou sa bouche sur sa peau. "Stefan…" murmura-t-elle, le souffle court. Elle inspira brusquement pour réprimer son désir et un sourire espiègle étira ses lèvres rosées. "Je ne laisserai aucun autre homme que mon mari me toucher, compris." souffla-t-elle en écho à la réponse qu'elle lui avait donné le soir de leur rencontre.

Elle lui releva le menton avec délicatesse avant d'embrasser ses lèvres avec tendresse. Elle l'aimait comme elle n'avait jamais aimé. Il lui semblait impossible d'aimer un autre homme autant qu'elle aimait Stefan. Il n'y avait que lui et il n'y aurait à jamais que lui. Son souffle se mêla à celui de son aimé et elle accueillit son baiser avec un soupir d'extase. Une caresse la fit frissonner et Stefan se pencha vers elle. Elle l'observa, les yeux voilés d'amour et de désir, et caressa en silence sa joue pour lui laisser le temps de s'exprimer. Elle n'avait nullement la crainte qu'il la rejette juste avant leur mariage, car elle avait confiance en cet homme plus qu'en quiconque. Cet homme qui avait battu son père pour l'avoir giflé et injurié de mille façons.

Je t'aime.

Elle cilla une seconde et Stefan lui déroba ses lèvres avant qu'elle ne puisse réagir. D'instant, sa bouche trouve la sienne, il mène la danse, comme toujours, et elle sourit tout contre lui. Son cœur semblait déborder d'amour et de bonheur. Elle pleura contre ses lèvres, émue jusqu'aux larmes par ces mots qu'elle avait tant voulu entendre de sa bouche. Elle murmura son nom contre lui avant de lui voler un millier de baisers pour le remercier silencieusement. Oh, elle lui ferait répéter ses mots jusqu'à la fin des temps, elle s'en faisait la promesse.

Stefan se leva d'un bond en soulevant Madeleine dans les airs. Elle encercla ses bras autour de son cou et caressa son nez du sien avec douceur. Elle riait, pleurait et le couvrait de baisers. Elle ignora son air désolé et nicha son visage au creux de son cou. "Je t'aime."  murmura-t-elle à son tour, le corps tremblant sous le coup des émotions intenses qu'elle ressentait face à sa déclaration.

Les portes de la chapelle s'ouvrirent et Madeleine cilla, aveuglée par les rayons du soleil. Elle observa son aimé et caressa sa joue. Elle adorait le voir sourire, elle aurait voulu qu'il ne soit plus que sourire jusqu'à la fin des temps. Son cœur se serra à l'idée qu'il ait connu des jours sombres et elle jura de l'aider à lâcher prise, si Stefan acceptait.

"Par tous les saints, Stefan !" s'égosilla Katherine tandis que le prêtre et l'évêque débattaient sur des versets bibliques. "Nous avons bien failli attendre !" fit-elle en levant les yeux au ciel. Son sourire s'élargit lorsque Stefan la désigna comme la mère de Madeleine et elle essuya une larme avec un mouchoir en dentelle. "Un futur gendre ne devrait pas avoir de telles paroles au sujet de sa femme devant sa belle-mère !" s'indigna-t-elle, amusée. "Je ne doute nullement que tu t'appliqueras très sérieusement à me donner des tonnes de petits enfants." Madeleine s'empourpra en lançant un regard gêné à Stefan et Katherine ria à gorge déployée.

Ethan Berrygreen, une couronne de fleurs sur la tête, avait à son bras Éloïse Whistledown qui ajustait sa dernière création avec un visage on-ne-peut-plus sérieux. "Nous sommes prêts, nous aussi !" cria-t-elle en tirant Ethan par la main.

Clarence détourna son regard de Stefan en réprimant un frisson d'effroi. Elle suivit tout le monde dans l'église sans jamais plus regarder le duc de Whistledown dans les yeux.

Stefan s'apprêtait à retourner à l'intérieur avec Madeleine dans les bras, mais Katherine le stoppa d'un geste de canne d'une précision redoutable.

"Un instant, jeune homme ! Stefan, tu dois attendre Madeleine près de l'autel, désormais. Ne tire pas cette tête, voyons, elle sera bientôt entièrement à toi. Allez, ouste ! Lord Berrygreen, Éloïse ! Emmenez ce jeune homme, je vous prie !" Éloïse lâcha la main d'Ethan pour celle de Stefan et le tira jusqu'à l'autel en riant. Ethan, silencieux, fermait la marche tandis que le prêtre prenait place.

Katherine recoiffa habilement sa nièce avant de réajuster sa robe en riant doucement. Elle remit son voile en place et ses yeux brillèrent sous l'émotion. "Mes aïeux, quelle fougue que la jeunesse de nos jours…" Lentement, elle lui embrassa le front avec tendresse. Madeleine ferma les yeux, un air profondément heureux sur le visage, et une larme coula le long de sa joue lorsque Katherine lui remit son bouquet entre les mains. "Sois heureuse avec lui comme je l'ai été avec Bree, mon enfant. Ne laisse personne, pas même lui, te dire que vous n'êtes pas faits l'un pour l'autre." Elle rit tandis que Madeleine passa un bras sous son bras. "J'ai su que vous vous aimiez dès que vous êtes entrés dans mon salon le lendemain de ton arrivée. C'était une évidence qu'on ne pouvait que remarquer." Un sourire narquois naquit sur les lèvres de la vieille chouette tandis qu'elles marchaient toutes deux le long de l'allée de l'église, droit vers Stefan et le prêtre. "J'espère que vous n'avez pas trop souffert lors de cet accident en calèche… Fort heureusement, vous avez passé la nuit dans cette petite auberge bordant la route…" Madeleine écarquilla les yeux d'un air outré en regardant Katherine. Elle s'était même arrêté un instant, mortifiée. Katherine ria une nouvelle fois d'une voix tonitruante et son rire se répercuta contre les murs de l'église. "Ne fais pas cette tête, Madeleine, observe où tout cela t'a mené." Madeleine posa son regard sur Stefan et Katherine tendit au jeune homme la main de sa promise avec un air maternel qui lui était tout autant destiné qu'à elle. "Prenez soin l'un de l'autre, mes enfants." Elle embrassa le front de Madeleine et baisa la joue de Stefan avant d'aller s'asseoir.

Madeleine caressa la paume de la main de Stefan avec d'y effectuer une douce pression. Ils firent face au prêtre, radieux.

Ils y étaient, ils allaient se marier.

Le prêtre entama son discours tandis que l'évêque jouait de l'orgue au loin. "Mes chers frères, mes chères sœurs, mes chers enfants…" commença-t-il, les bras tendus vers l'assemblée. "Si nous sommes réunis ici en ce jour…" Il regarda Madeleine, pas trop longtemps de peur d'agacer Stefan, et adressa un regard entendu à ce dernier. "C'est pour unir par les liens sacrés du mariage monsieur Stefan Whistledown, duc, et mademoiselle Madeleine Rad-" Katherine toussa furieusement en fustigeant le prêtre du regard. "... ainsi que mademoiselle Madeleine Smith." reprit-il et une goutte de sueur perla le long de sa tempe. "Avec Madeleine et Stefan, nous avons écouté la parole de Dieu, qui a révélé tout le sens de l'amour humain. Le mariage suppose que les époux s'engagent l'un envers l'autre sans y être forcés par personne, se promettent fidélité pour toute leur vie et acceptent la responsabilité d'époux et de parents." Il posa un regard serein sur le couple devant lui. "Madeleine et Stefan, est-ce bien ainsi que vous avez l'intention de vivre dans le mariage ?" Madeleine sourit et s'écria d'une voix un peu trop enthousiaste, débordante de spontanéité et d'honnêteté. "Oh, oui !" La réponse de Madeleine fit écho dans l'église et Katherine ria. "Afin que vous soyez unis dans le Christ, et que votre amour, transformé par Lui, devienne pour les hommes un signe de l'amour de Dieu, devant l’église ici rassemblée, nous allons procéder à l'échange de vos consentements." Il se tourna vers Madeleine qui trépignait. "Madeleine Smith, voulez-vous prendre pour époux Stefan Whistledown, ici présent, afin de l'aimer fidèlement dans le bonheur ou dans les épreuves, tout au long de votre vie ?" Madeleine tourna son regard vers Stefan et elle lui adressa un sourire resplendissant. Ses yeux débordaient d'un amour que personne n'oserait nier. "Oui, mon père, je le veux." Le prêtre hocha la tête d'un air satisfait avant de se tourner vers le duc.

"Stefan Whistledown, souhaitez-vous prendre pour épouser Madeleine Smith, ici présente, pour l'aimer fidèlement-" Madeleine coupa la parole au prêtre en levant la main sans aucune hésitation pour lui faire part de sa volonté de parler. Elle adressa un regard entendu à Stefan. "pour m'aimer fidèlement…" reprit-elle. "... Et me laisser t'aimer sans retenue aucune, sans aucune honte, ni dénigrement, car j'accepte tout de toi et jure de t'aimer à jamais, dans le bonheur et dans les épreuves, tout au long de notre vie." acheva-t-elle avec un sourire entendu à son aimé.

Le prêtre leva les yeux au ciel et tout le monde attendit patiemment que le duc de Whistledown scelle son destin à celui de Madeleine Smith.
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Clionestra
Jeu 13 Juin - 22:35

Stefan
Whistledown

J'ai 25 ans et je vis à Londres, Angleterre. Dans la vie, je suis duc et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma ruse, mon père n'est qu'un souvenir a oublié, et je vais me marié avec une femme qui devra m'apprendre à aimer convenablement.

Toutes les histoires ont leur histoire - ft. Clionestra - Page 6 2fe1b1a637852c8f417f81f240a554fc→ Il est particulièrement doué en mathématique et retient absolument tout ce qu'on lui dit. Il a la mémoire absolu.
→ Il a une petite soeur qu'il n'a pas vue depuis des années.
→ Et on lui a demandé d'être le chaperon / l'aide pour une fille.
→ Il est ne sait pas montrer ses émotions.
Il allait devenir fou. Il allait devenir fou si le prêtre ne faisait pas rapidement les vœux pour en arriver à la nuit de noce. Oui. Directement dans leur chambre, à se faire des baisers langoureux et sentir le pouls de la jeune femme s’accélérait sous ses coups. Voilà. Il tremblait. Ethan et Eloïse l’avaient enjoins de rejoindre l’autel. Il voulait l’attraper, lui faire l’amour sur l’aller centrale devant tout le monde et ensuite la faire disparaître. Il avait besoin de ça. Il avait besoin qu’elle oublie ce qu’il avait dit. Sa colère était tellement forte contre le monde, contre chaque personne vivante, qu’avouer l’amour qu’il ressentait le rendait faible. Il était faible. Et il ferait en sorte de faire oublier le reste. Il croit pouvoir lui faire oublier son moment de vulnérabilité passager avec du sexe et de l’amour… NON. Non. Pas de l’amour. Juste du sexe. Parce qu’il n’avait pas réellement d’amour. Il devait oublier ça tout de suite et ne surtout plus y penser. Mieux. Il avait la jambe qui tremblait tellement fort. Il se sentait totalement pris dans ses tremblements et l’envie de disparaître avec sa femme.

Madeleine était si belle. Elle était magnifique dans sa robe, mais ce n’était pas ce qu’il remarqua. Il pouvait voir ses yeux, cette lueur incroyable qui luisait toujours au fond de ses prunelles, comme si la jeune femme avait un secret d’elle seule. Un secret qui lui promet le bonheur et l’amour. Et ça lui faisait peur, dans un sens… et ça lui donnait aussi une envie de futur. Est-ce que c’était mal ? De voler une femme à sa vie, son futur, son bonheur, pour le sien ? Il était en train de regarder la jeune femme, pendant qu’elle parlait et disait le vouloir, lui. C’était mal de voler cette femme à ce qu’elle pourrait prétendre. Il était un monstre. Il était un monstre. Le démon. Pourtant, même Dieu ne semblait pas le voir, puisqu’il était dans la maison de Dieu sans se faire foudroyer par sa colère divine.

Alors quoi ? Il lui prenait. Il posa un regard sur le prêtre pour les vœux… Et il sentait qu’il était en train de faire une injustice. Il était en train de voler un ange au Seigneur pour l’enfermer dans son Enfer, mais il n’était pas assez grand maître pour s’en empêcher. La jeune femme était à lui. La jeune femme choqua tout le monde en arrêtant le prêtre. Il l’observa avant qu’un grand sourire ne se dessine sur son visage. Non. Même si cela était une injustice, même si le monde venait à imploser, même si la quitter serait la seule méthode pour sauver le monde, il la prendrait pour femme. Elle était à lui. Sienne. Ce n’était pas que l’amour qui le poussait à vouloir la garder. Non. L’amour n’était pas si nocif. L’amour aurait dû être beau et clair, comme Katherine et Bree. Mais il ne pouvait pas s’en empêcher, il fallait qu’elle soit à elle. Il fallait qu’elle soit sienne, devant Dieu, devant le monde, à jamais. Il ne la lâcherait pas. Cette femme si belle croyait qu’il comptait l’abandonner, la laisser, ne plus vouloir d’elle. Elle était sa raison de respirer, sa raison de vivre, la raison de croire encore un peu à Dieu alors même qu’il avait perdu la foi des années auparavant, quand on le prenait de force dans des ruelles. Elle était la prunelle de ses yeux et il tuerait quiconque voudrait les séparer.

Il garda le visage tourné vers sa femme. Il la regardait alors que ses yeux scrutaient le moindre de ses mouvements. Il avait envie d’embrasser ses cils. Etait-ce bizarre ce genre de besoin ? Des cils n’étaient que des petits poils sur une paupière… mais il avait envie de les embrasser, et cette envie était la première pensée tendre, aussi tendre en tout cas, qui le percuta comme un coup de poing.

Il avait le regard vers elle. Le silence se fit alors qu’il ne faisait la regarder avec de l’amour qui transpirait de tous ses pores. Son visage était totalement subjugué par cette beauté. L’aura que dégageait la jeune femme était tel qu’elle irradiait. Elle était un astre qui faisait brûler sa peau, son âme, son cœur. Elle était la seule femme qui arrivait à l’apaiser, même si elle l’ignore totalement. Il y avait tellement de chose qu’il pourrait dire, et pendant qu’il la regardait, le silence continua. Ethan fit un signe au prêtre pour lui dire de lui laisser le temps, sans savoir ce qu’il se passait, mais personne ne pouvait ignorer que cela était d’un positif déconcertant. Le prêtre finit par se racler la gorge et Stefan revient sur terre. Ou plus exactement, dans l’église. Il étire ses lèvres dans un doux sourire avant de s’approcher d’elle pour l’embrasser. Il la prend par les hanches et son nez fait un bisou esquimau, avant qu’il ne lui fasse un bisou papillon. Il se recula à peine.

- Je la veux. Seulement elle. Même si elle mérite mieux. Même si je suis le diable en personne. Même si le monde s’effondre, cette femme est à toi.

Il l’embrasse à nouveau alors que le prêtre continue de parler, sauf que Stefan ne l’entend pas. Il était toujours en train de la tenir, laissant sa langue danser avec celle de la jeune femme, ce n’était pas suffisant. Quand il entendit un « vous êtes mari et femme, vous pouvez embrass… oh et puis j’ai terminé ma journée », Stefan passa la main sous les jambes de la jeune femme, sans quitter ses lèvres, et la porta jusqu’à dehors.

- On a une calèche qui nous attend, fit-il savoir sans laisser personne dire au revoir à la jeune femme.

Il ne lança même pas un regard à Ethan qui prévient devoir retourner avec sa famille. Il garda la couronne de fleur sur la tête, l’ayant totalement oublié pour le moment, Douglas sera lui rappeler. Stefan ouvrit la calèche d’un coup de pied et la posa sur la place avant de donner un coup sur le toit. Ils allaient chez eux. Leur maison. Il attrapa à nouveau la jeune femme et continua à l’embrasser.

- Duchesse Madeleine Whistledown, fit-il en embrassa son cou avec ferveur. Prête à découvrir notre manoir londonienne ? Et demain, que demain, notre duché.

Le duché de Whistledown se trouvait assez loin de Londres. Deux jours de calèches. Ils allaient devoir faire escale dans une auberge… mais il avait prévu des huiles de massage pour que les deux jours dans les taudis lui plaisent aussi. Mais d’abord, il voulait l’honorer toute la nuit, et toute la journée, dans la chambre qu’il avait prévu pour eux dans ce manoir Londonien d’où il avait viré son père. Il allait lui mettre le monde à ses pieds. Il allait lui ouvrir un monde nouveau plein de beauté… et il allait lui donner tout l’amour dont elle a été privée. Il était toujours désolé pour elle, qu’il ait posé un jour les yeux sur elle… mais c’était trop tard. D’une main habituée, il passa les doigts dans sa nuque et fit tomber les épingles pour libérer totalement ses doux cheveux.


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Rein
Sam 15 Juin - 13:36

Madeleine Whistledown
J'ai 20 ans et je vis à Londres, Angleterre. Dans la vie, je suis un électron libre et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis mariée et je le vis comme un cadeau du ciel.

- Elle est la fille illégitime de son père et d'une prostituée française
- Elle n'a que faire de l'étiquette et du protocole et vit à contre-courant de la société
- Elle aime la poésie mais déteste l'arithmétique
- Elle n'est pas du genre à avoir la langue dans sa poche et elle n'hésite pas à en venir aux mains, elle est d'ailleurs très fière de son crochet du droit
Madeleine Radcliffe n'était plus et, bien que la perspective de devenir une Smith l'ait ravie, devenir Madeleine Whistledown était la plus belle chose que Dieu ne lui ait jamais offerte. Oui, Stefan lui avait ravi son nom. Il avait assiégé le corps et l'esprit de Madeleine avant de la marquer au fer rouge de ses initiales. Madeleine lui appartenait à tout jamais. À dire vrai, la jeune femme lui avait appartenu depuis le premier jour. Stefan et elle n'en avaient simplement pas encore conscience.

Désormais, l'ouragan Madeleine balayerait tout sur son passage sous la bannière des Whistledown. Elle protégerait son mari contre vents et marées et terrasserait quiconque tenterait de les séparer. Oui, rien, ni personne, ne les séparerait jamais plus. Stefan s'approcha d'elle après la déclaration qu'elle avait volée au prêtre et elle hoqueta en sentant ses doigts agripper ses hanches. Merde, elle aurait tellement voulu qu'il la possède à même l'autel. Elle aurait montré à Dieu à quel point ils s'aimaient, à quel point leurs corps étaient faits l'un pour l'autre. Elle sourit contre son nez et accueille ses lèvres avec joie. Son souffle chaud caressa sa peau tandis que Stefan lui déclamait ses vœux. "Si tu es le diable en personne, je me damnerai volontiers pour toi." murmura-t-elle et le prêtre blêmit en toussant furieusement. "Je t'appartiens." réitéra-t-elle avec un sourire espiègle devant les blasphèmes qu'ils n'avaient de cesse de commettre.

Stefan se pencha vers elle et prit possession de sa bouche avec avidité. Elle soumet alors sa langue à la sienne en gémissant contre ses lèvres au moment où le prêtre les déclare mari et femme. "Stefan, de grâce." geint-elle entre deux baisers passionnés. Ils devaient partir. Elle ne pouvait plus attendre. Elle avait atteint ses limites. Elle le voulait tout entier, aux yeux de tous ou à l'abri des regards. Elle n'en avait rien à foutre, mais elle le voulait. Il le fallait, elle en avait désespérément besoin. Il la souleva dans les airs et elle encercla ses hanches de ses jambes après avoir jeté son bouquet sans même regarder la direction dans laquelle il allait. Ce dernier atterrit dans les mains d'Ethan Berrygreen, mais elle ne le vit pas.

La calèche, oui, vite. Au diable, les invités. Katherine riait à gorge déployée et Rose avait détourné les yeux pour réarranger la couronne d'Ethan. Clarence, elle, s'était mise à prier à genoux en pleurant.

Madeleine cilla une fois à l'intérieur de la cabine et le regarda d'un air hagard en peinant à déchiffrer ses mots tant son désir bouleversait tout son être. "Monsieur le duc... Stefan Whistledown, mon mari." murmura-t-elle en réponse à son nouveau titre. Elle gémit en le sentant assaillir son cou et sourit en lui couvrant la mâchoire de baisers. "Je me fiche royalement de notre destination. Je ne compte pas visiter le manoir ce soir, à moins que tu n'aies la ferme intention de me prendre dans chacune des pièces de ta demeure." Elle déboutonna lentement la chemise du jeune homme tandis qu'il passait une main dans ses cheveux. Elle fit attention de ne pas lui arracher ses boutons cette fois. Ses cheveux tombèrent en cascade sur sa poitrine et elle secoua légèrement la tête pour remettre en place certaines de ses mèches rebelles qui lui obstruaient la vue. "Je pense que cette calèche fera amplement l'affaire pour le moment. Je ne peux pas attendre plus longtemps."


Clionestra
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Clionestra
Sam 15 Juin - 20:01

Stefan
Whistledown

J'ai 25 ans et je vis à Londres, Angleterre. Dans la vie, je suis duc et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma ruse, mon père n'est qu'un souvenir a oublié, et je vais me marié avec une femme qui devra m'apprendre à aimer convenablement.

Toutes les histoires ont leur histoire - ft. Clionestra - Page 6 2fe1b1a637852c8f417f81f240a554fc→ Il est particulièrement doué en mathématique et retient absolument tout ce qu'on lui dit. Il a la mémoire absolu.
→ Il a une petite soeur qu'il n'a pas vue depuis des années.
→ Et on lui a demandé d'être le chaperon / l'aide pour une fille.
→ Il est ne sait pas montrer ses émotions.


I'm born again.
I'm on the mend
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Dim 16 Juin - 12:40

Madeleine Whistledown
J'ai 20 ans et je vis à Londres, Angleterre. Dans la vie, je suis un électron libre et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis mariée et je le vis comme un don du ciel.

- Elle est la fille illégitime de son père et d'une prostituée française
- Elle n'a que faire de l'étiquette et du protocole et vit à contre-courant de la société
- Elle aime la poésie, mais déteste l'arithmétique
- Elle n'est pas du genre à avoir la langue dans sa poche et elle n'hésite pas à en venir aux mains, elle est d'ailleurs très fière de son crochet du droit

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Dim 16 Juin - 15:03

Stefan
Whistledown

J'ai 25 ans et je vis à Londres, Angleterre. Dans la vie, je suis duc et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma ruse, mon père n'est qu'un souvenir a oublié, et je vais me marié avec une femme qui devra m'apprendre à aimer convenablement.

Toutes les histoires ont leur histoire - ft. Clionestra - Page 6 2fe1b1a637852c8f417f81f240a554fc→ Il est particulièrement doué en mathématique et retient absolument tout ce qu'on lui dit. Il a la mémoire absolu.
→ Il a une petite soeur qu'il n'a pas vue depuis des années.
→ Et on lui a demandé d'être le chaperon / l'aide pour une fille.
→ Il est ne sait pas montrer ses émotions.


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Sam 22 Juin - 19:52

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J'ai 20 ans et je vis à Londres, Angleterre. Dans la vie, je suis un électron libre et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis mariée et je le vis comme un don du ciel.

- Elle est la fille illégitime de son père et d'une prostituée française
- Elle n'a que faire de l'étiquette et du protocole et vit à contre-courant de la société
- Elle aime la poésie, mais déteste l'arithmétique
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Clionestra
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Sam 22 Juin - 23:58

Stefan
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J'ai 25 ans et je vis à Londres, Angleterre. Dans la vie, je suis duc et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma ruse, mon père n'est qu'un souvenir a oublié, et je vais me marié avec une femme qui devra m'apprendre à aimer convenablement.

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→ Il est ne sait pas montrer ses émotions.


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Dim 23 Juin - 14:03

Madeleine Whistledown
J'ai 20 ans et je vis à Londres, Angleterre. Dans la vie, je suis un électron libre et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis mariée et je le vis comme un don du ciel.

- Elle est la fille illégitime de son père et d'une prostituée française
- Elle n'a que faire de l'étiquette et du protocole et vit à contre-courant de la société
- Elle aime la poésie, mais déteste l'arithmétique
- Elle n'est pas du genre à avoir la langue dans sa poche et elle n'hésite pas à en venir aux mains, elle est d'ailleurs très fière de son crochet du droit

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Satisfait, ou presque, Stefan s'écroule finalement sur elle. Grands dieux, son endurance était tout bonnement effrayante. Madeleine se savait incapable du moindre mouvement. Elle se niche contre lui, fébrile et pantelante, alors qu'il l'attire à lui. Elle n'était clairement pas en état de faire quoi que ce soit, quant à essayer de marcher, elle pouvait oublier pour aujourd'hui.

La nouvelle femme du duc cilla contre son torse tandis qu'il lui confiait ses craintes à demi-mots. Elle caressa chastement sa peau avant de parsemer sa clavicule de baisers. "Pourquoi penses-tu être un monstre ?" murmura-t-elle contre sa peau reluisante de sueur. Madeleine releva un regard doux et empli d'amour vers son mari. "Tu es mon mari, l'homme que j'ai choisi, l'homme que j'ai épousé. Tu es l'homme que j'aime et qui, je le sais, m'aime aussi." Doucement, elle entrelaça ses jambes avec les siennes et se colla un peu plus contre lui. "Non, tu n'es pas un monstre, mon amour. Je t'ai vu saigner, nous partageons tous deux le même sang. Tu n'es qu'un homme." lui répéta-t-elle avant de nicher son visage dans le creux de son cou. "J'ai conscience que je ne peux pas te forcer à me raconter tous tes secrets, et je respecte ton intimité, Stefan." Ses doigts tracèrent de douces arabesques sur ses abdos, remontant sur ses pectoraux à l'occasion. "Alors, je t'attendrai." murmura-t-elle contre lui avant de lui baiser la joue. "J'attendrai que tu sois à l'aise à l'idée de me raconter ton histoire, je t'écouterai à toute heure du jour et de la nuit, sans jamais te juger. Rien de ce que tu me diras ne sortira d'ici." Son regard bleu hypnotisant plongea dans les iris mal assurés de Stefan. "Je ne m'enfuirais pas, je t'en fais le serment. Tu ne me fais pas peur." La jeune femme aux boucles blondes se pencha pour baiser chastement les lèvres de son mari avant de les effleurer des siennes. "Je t'aime, Stefan."

Oui, Madeleine attendrait la vérité toute la vie s'il le faut. Elle ferait preuve de patience, sans jamais presser son mari de questions. Elle l'épaulerait et l'aiderait à combattre ses démons autant de fois qu'il le faut.

Rien ne pourra les séparer.
Madeleine ne le tolérerait pas.
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