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LE TEMPS D'UN RP

"Avec un mensonge on va loin, mais sans espoir de retour" - Ft. Charly

Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Mar 11 Juin - 16:45

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Il y a encore quelques mois de cela, il ignorait jusqu’à l’existence d’Angelica, et aujourd’hui, alors qu’il se trouvait de l’autre côté de l’Atlantique, elle lui manquait au point de le lui avouer sans retenue. C’était déstabilisant. Leur premier baiser ne remontait qu’à quelques heures, et pourtant, c’était comme si leur relation avait débuté il y a des semaines. Il sourit à la précision pertinente d’Angelica. Elle avait raison. Cela faisait des mois qu’ils étaient ensemble aux yeux du monde, et qu’ils cohabitaient. Les sentiments, bien que plus récent, ne datait pas d’hier pour autant. Ils s’étaient peu à peu entremêlaient à leur accord, jusqu’à dissiper la démarcation entre réel et fiction. « Tu as raison » précisa-t-il tout en arpentant le long couloir de l’hôpital romain. C’était pour cela également que sa présence à ses côtés lui manquait, et qu’il aurait aimé qu’elle se joigne à lui. Seulement, la dispute dans la voiture avait confirmé les appréhensions de l’influenceuse et il préférait la savoir à New York qu’à ses côtés, à devoir subir les incessants jugements de son entourage. « Tu n’as pas besoin de lui répondre. Je m’en suis chargé tout à l’heure lorsqu’elle m’a posé la question » précisa-t-il. Le comportement de son père avait été plus parlant que de longues explications.

À force de déambuler dans les couloirs de l’hôpital, Edward parvint à trouver un espace inoccupé dont il prit possession. Assis à même le lino recouvrant l’ensemble du bâtiment, les genoux remontés à hauteur de son torse, il se frotta ses yeux noircis par la fatigue qui l’accablait « Oui » souffla-t-il avec douceur, et émit un petit rire empreint de l’épuisement qu’il éprouvait « C’est déjà le cas la mia luce ». D’autant plus en la sachant à plusieurs milliers de kilomètres de lui. Dans une semaine, il serait de nouveau de retour à ses côtés, et pourrait également pouvoir profiter d’une nuit paisible dans son propre lit. Même à cette distance, la jeune femme parvenait à dissiper l’angoisse qui l’avait étreint tout le long du vol jusqu’à constater que Nonna se portait comme un charme pour une vieille femme ayant subit une crise cardiaque. La couvant tendrement du regard au travers de l’écran de son téléphone qu’il tenait fermement entre ses doigts, il se lança dans une description charmante de ce petit coin de paradis où vivait sa grand-mère depuis toujours, et dans lequel il souhaitait l’emmener le temps de quelques jours. Le cœur du politicien se gonfla en entendant la réponse d’Angelica, et arbora un large sourire « Oui ?! » en voulant être certain que le réseau n’avait pas déformé sa réponse. Ils furent brièvement interrompus par Iris qui décida de leur laisser l’intimité qu’ils méritaient en s’éclipsant de nouveau après quelques banalités échangées. Il reporta son attention sur le visage d’Angelica « Non. Elle a même été d’un soutien sans faille tout à l’heure, face à notre père ».

Pour les dernières minutes qu’il pouvait encore lui octroyer avant de rejoindre Nonna, le politicien l’interrogea sur sa journée, comme il le faisait chaque soir et sourit avec douceur « Tu peux dormir dans ma chambre si tu le désires. Mes draps doivent être imprégnés de mon odeur » et reprit « Une semaine ». Pourquoi ça lui semblait être soudainement une éternité. Finalement, la journée avait été simple pour la jeune femme, qui avait des projets plus lucratifs le lendemain en compagnie d’Adam « Demande-lui un peu plus de temps » proposa le politicien qui échangea encore quelques mots avec cette dernière, puis se redressa sur ses jambes, signant la fin de leur appel téléphonique « Oui » et sourit « Je ne te promets rien », et ajouta « Je t’embrasse aussi » et raccrocha. Il resta une seconde à fixer le portable qu’il glissa dans la poche intérieure de sa veste de costume, et s’avança jusqu’à la chambre de sa grand-mère, frappant deux coups et entra. Elle l’accueillit avec un large sourire « Le fils prodigue. Tes parents et ta sœur sont partis Gattino ». Il la serra dans ses bras, et prit place sur le rebord du lit « Je sais » « Vous vous êtes encore disputés ? » « Oui » « Au sujet de la politique ? ». Il se passa une main dans ses cheveux bruns « D’une femme » « Ohhhh ! Gattino ! Dis-moi tout ! » « Tu dois te reposer Nonna » « Baliverne ! Je veux tout savoir ». Edward sourit et après avoir omis les premiers détails, évoqua son aménagement, les complications qu’ils avaient rencontrés, tout en restant laconique, parce que leur histoire n’appartenait qu’à eux, et que rien ne changerait cela, puis vint le moment des jugements de ses proches, de ses doutes quant à sa carrière politique. La vieille femme avait bu chacune de ses paroles et arborait un large sourire, malgré la fatigue qui tirait chacun de ses traits, la vieillissant d’une dizaine d’année sans ménagement. « Ne les écoute pas Gattino. Écoute ton cœur. Il est le seul à avoir les réponses. Puis je n’ai jamais aimé l’idée que tu te baignes parmi les requins ». Il émit un petit rire « C’est elle qui t’a réappris à sourire comme ça ? » « Oui Nonna » « Je l’aime déjà » « Je lui ai demandé de m’accompagner pour qu’elle te rencontre » « Hum. C’est du sérieux tout ça » « J’ai envie d’y croire avec elle ». Elle lui fit signe d’approcher, le serra dans ses bras « Une femme, c’est comme une fleur. Apporte-lui tout ce dont elle a besoin, et elle s’épanouira de la plus belle des manières, ce qui ne la rendra que plus belle à tes yeux ». Il se recula et lui adressa un sourire « Repose-toi Nonna. Je viendrais te rendre visite demain matin ». Il déposa un baiser sur son front, et quitta la chambre.

Charly
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Charly
Mar 11 Juin - 18:31

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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La comportement d’Iris était surprenant. Déstabilisant aussi pour Angie. Elle avait cri comprendre que la jeune sœur d’Edward l’avait mit dans une case et que cela ne plaisait pas. Mais visiblement, elle l’appréciait ? Ou alors elle était heureuse, véritablement heureuse pour son frère ? « -elle t’a posé la question ? » demanda Angie en écho, plus qu’étonnée. En fait elle allait de surprise en surprise. Le message, puis elle comprenait qu’Iris faisait partie de ses followers… Enfin, ce n’était pas le plus important. Ce qu’Angie souhaitait, c’était qu’Edward retrouve un semblant de sérénité. Sa grand-mère allait mieux, il pouvait se détendre un peu. Elle espérait que même à distance et par l’intermédiaire d’un écran, elle était capable d’avoir encore un peu de pouvoir là-dessus. Impossible de glisser ses mains dans ses cheveux et sur ses tempes, mais elle lui envoyait de la tendresse par téléphone.

Elle ne put faire autrement que sourire en le regardant avec tendresse lorsqu’il évoqua ce voyage en Italie, qu’il lui avait déjà proposé. « -oui. » répéta la jeune femme. « -oui, j’ai dit oui. » elle avait la sensation de faire de lui le plus heureux des hommes… ça ressemblait presque à une demande en mariage. Elle avait véritablement envie de faire ce voyage avec lui. De rencontrer Nonna. De découvrir un peu plus l’Italie, avec lui. Son Italie. La comportement d’Iris était tout de même bien surprenant et elle Angie fronça les sourcils en entendant la réponse d’Edward. « -ils sont au courant… » souffla la jeune femme en regardant ailleurs. Et ils ne semblaient donc pas en accord avec ça. Angie n’avait pas envie de parler d’elle et des soucis qu’elle pouvait causé dans la vie d’Edward. Elle espérait seulement que les parents auraient la délicatesse de laisser cela de côté. Ils n’étaient pas là-bas pour se disputer.

« -j’ai piqué ton oreiller… » avoua Angie comme un ado prise en faute. Elle n’avait jamais eu besoin de l’odeur d’Edward pour se sentir bien. Aujourd’hui qu’elle était seule dans l’immense appartement, c’était rassurant. « -je vais essayer de lire ce soir. Si je finis pas, je lui dirais. » Adam n’était pas chiant. Il comprendrait. La conversation toucha à sa fin. Elle ressentie à nouveau ce vide une fois la vidéo coupée. Elle envoya un sms à Flynn, et sortie manger avec lui. Elle n’était pas contre la solitude pourtant…

Le lendemain, elle envoya un sms à Edward pour lui souhaiter une belle journée. J’espère que tu as dormi un peu. J’ai un petit cadeau pour toi. Elle glissa dans le message deux des photos du shooting de la plage. Elle avait eut raison de redouter ces photos, son regard trahissait ce qu’elle ressentait… Mais elle les trouvaient magnifiques. Puis elle se glissa dans sa peau de business woman. Elle s’était vêtue avec élégance, le maquillage et la coiffure eurent lieu sur place. Mise en scène sympa dans un petit bar où Adam avait ses habitudes. Fauteuil vintage… L’équipe était sympa. Elle abreuva ses followers d’image de sa journée. Devinez avec qui je passe la journée ?! Petit selfie avec Adam. Elle raconta les coulisse du shooting, montrant l’ambiance bonne enfant. Un vidéo où elle présentait le livre en riant parce qu’elle s’était royalement planté. Une autre où Adam se cassait la gueule du fauteuil parce qu’il était assis sur le dossier. Bref… une journée qui faisait du bien. Une belle collaboration.

Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Mar 11 Juin - 19:35

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Le comportement d’Iris était surprenant, même pour celui qui avait grandi à ses côtés. Il ne faisait nul doute que ça devait également l’être pour Angelica, de l’autre côté de l’écran. « Oui, lorsque nous sommes arrivés à l’hôpital » et précisa par la suite « Elle m’a demandé de me battre pour toi, parce que tu lui avais rendu son grand-frère » quelque peu timide, gêné par cet aveu à voix haute. Si la jeune femme était parvenue à convaincre sa jeune sœur qu’elle était parfaite pour lui, probablement qu’il en serait de même pour le reste de son entourage. Bien que ces derniers seraient moins facile à convaincre. Il en avait eu un aperçut dans la voiture. « Oui » soupira-t-il, ne souhaitant pas lui mentir à ce sujet. « Mon père maintient sa position. Je suppose. Je ne l’ai pas laissé déblatérer à ce sujet. Son opinion m’intéresse peu » déclara-t-il. Le politicien était heureux avec la jeune femme, il se sentait bien à ses côtés et il espérait qu’il en était ainsi aussi pour elle. Il se moquait bien que son père approuve leur relation. Un jour ou l’autre, il prendrait conscience qu’il avait fait le bon choix en s’attachant à Angelica. En attendant, ce n’était ni le lieu, ni le moment d’évoquer sa vie sentimentale avec ses parents. Ils étaient ici présents pour Nonna, pour veiller sur elle au cours de cette prochaine semaine. « Tout ira bien Angie » précisa-t-il avec douceur, espérant parvenir à la rassurer à des milliers de kilomètres.

En attendant son retour, Edward lui proposa d’occuper sa chambre si elle le désirait. Son odeur avait imprégné la moindre parcelle de tissue qui recouvrait son lit. Elle aurait ainsi la sensation d’être auprès de lui durant son absence. Il ne put retenir un petit rire attendrie en entendant l’aveu d’Angelica. Elle avait prit en otage son oreiller pour les prochains jours. Sans parvenir à le justifier, il aimait l’idée qu’elle avait besoin de son odeur pour mieux dormir la nuit. « Tu m’auras pour toi seule dans une semaine » précisa-t-il, avant qu’ils n’évoquent l’emploi du temps du lendemain d’Angelica. Elle passait la journée avec Adam, pour la promotion de son prochain roman qu’elle n’était pas parvenue à terminer « Il comprendra ». Adam n’avait pas hérité de l’égo surdimensionné qui accompagnait généralement les auteurs à succès à l’issue de leur premier best-seller. Il était parvenu à rester humble et il ne faisait aucun doute qu’il ne se vexerait pas pour si peu. Il la laissa raccrocher, non sans une sensation de manque en voyant un écran noir remplacer le visage d’Angelica, et décida de rejoindre Nonna.

Au déjeuner, le politicien terminait sa seconde tasse de café sur la terrasse de Nonna, seul avec le journal local, profitant de la chaleur de l’Italie et du chant des oiseaux qu’il affectionnait tant, quand son regard se posa sur son portable. Un sourire étira aussitôt ses lèvres tandis qu’il se saisissait du petit appareil. Il s’attarda sur les photos issues de la séance sur la plage, et il ne faisait nul doute qu’ils avaient été aveugles tous les deux pour ne pas envisager l’attirance pourtant flagrante qu’il y avait entre eux deux. Il pianota sur l’écran : Bonjour toi. Ces photos sont parfaites. J’aimerais en garder un exemplaire pour l’appartement, si cela te conviens. Passe une bonne journée. Il photographia la vue qu’il avait de sa petite chaise de jardin, et ajouta : Un avant-goût. Il termina la lecture de son journal, et rejoignit ses proches pour rendre visite à Nonna qui grondait contre la télévision, n’étant aucunement satisfaite des programmes diffusés. Ils passèrent le reste de la journée en sa présence, puis dinèrent en extérieur. Ses parents avaient tenté, à maintes reprises, d’aborder de nouveau le sujet de la jeune femme, mais il avait mit un terme à chacune de leurs tentatives. Ils ne parleraient pas d’elle en son absence. La nuit tombée, de nouveau sur la chaise de jardin, un verre spritz devant lui et son portable dans les mains, il défila les stories d’Angelica qui semblait s’être amusé en compagnie de l’auteur à succès « Ils ont l’air de bien s’entendre » commenta Iris en passant derrière lui, posant ses mains sur les larges épaules de son frère « Oui. Ils collaborent ensemble pour la promotion de son prochain roman » « Tu devrais leur parler d’elle » « Nous sommes fatigués Iris. Elle est fatiguée d’être constamment jugée pour ce qu’elle fait et non pour ce qu’elle est. Elle ne fait pas le trottoir sur Hollywood Boulevard. Elle est influenceuse et elle aime son métier ». Edward chercha la photo du shooting photo sur la plage et la lui montra en glissant le petit appareil jusqu’à elle « C’était pour la promotion d’une collection de maillot de bain » « Tu es devenu mannequin ? » le taquina-t-elle « Iris » et observa la photo « Vos regards. C’est … Tu devrais la montrer aux parents. Si après ça, ils doutent de la sincérité de vos sentiments, je … Je ne sais pas ce que je fais, mais tu as l’idée ». Il récupéra le portable et sourit avec douceur « Plus tard. Peut-être » « Je te laisse appeler Angie, je vais me coucher. Bonne nuit » « Bonne nuit Iris ».

Edward attendit qu’elle quitte le jardin qui se laissait doucement envelopper par la pénombre et appela en visio la jeune femme. Un sourire étira aussitôt ses lèvres « Bonsoir » et jeta un coup d’œil à sa montre. Il était tout juste seize heures à New York « Bonjour. Comment vas-tu ? J’ai vu que tu avais passé une bonne journée avec Adam. Raconte-moi ». Il voulait qu’elle lui parle de sa journée, qu’il n’ait pas la sensation d’être pratiquement à l’autre bout du monde, mais dans le salon, avec elle.


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Mar 11 Juin - 21:37

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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Angie s’était mordue les lèvres en entendant les mots qu’avait prononcé la petite sœur d’Edward. « -on dirait que nous avons une alliée finalement… » souffla la jeune femme, vraiment touchée. Angelica était le genre de femme qui aimait voir les gens heureux, qui aimait rendre ses proches heureux. En rencontrant Edward, elle ne s’était pas attendue à ce que leur relation prenne une telle tournure. Savoir qu’Iris soutenait leur couple, même s’il était tout récent, lui faisait chaud au cœur et lui donnait encore plus envie d’y croire. Iris avait émit des réticences, mais visiblement, elle avait changé d’opinion au sujet d’Angie et cela faisait vraiment du bien à l’influenceuse. Visiblement, les parents d’Edward étaient maintenant également au courant. Et encore une fois, c’était un jugement hâtif et infondé qui était prononcé. « -je les ferais changer d’avis. » avait elle ajouté avec aplomb. « -tout ce que je veux, c’est que tu sois heureux. » elle lui avait déjà dit, il le savait. « -je sais… » elle voulait y croire autant que lui. Et elle ferait tout pour que cela fonctionne.

Elle aima sa proposition de dormir dans ses draps et avoua qu’elle avait kidnappé son oreiller. C’était assez étrange et amusant à la fois. Ils n’avaient dormi qu’une fois ensemble. Elle n’avait jamais eu besoin de son odeur pour se rassurer. Seulement, elle se sentait bien seule dans l’immense appartement… Sous sourire s’étira un peu plus. « -j’ai hâte que tu rentres, mais ta place est auprès de ta grand-mère pour le moment. Angie connaissait la douleur de perdre une telle femme. Elle savait également que les années de vie qui restait à Nonna, étaient précieuses. Elle lui parla d’Adam qu’elle devait voir le lendemain, et puis ils finirent par raccrocher, à contre cœur.

Le lendemain, elle écrivit un rapide message à Edward, incluant quelques photos de leur shooting à la plage. J’ai refusé qu’elles soient exploiter. Elles seront uniquement pour nous. Je t’embrasse. Elle regarda la photo en pièce jointe et sourit : je pensais que ça serait ton torse avec un emoji les yeux en l’air, totalement innocent. Un autre message plus sérieux : j’ai hâte de pouvoir le découvrir. Un autre message : je parle du paysage évidement… Sourire aux lèvres, comme une ado, elle alla se préparer pour sa séance de yoga matinale. La suite de la journée fut différente mais elle apprécia vraiment les lieux, l’équipe, le shooting tout comme la bonne entente et les rires avec Adam.

Elle rentrait à pieds à l’appartement lorsqu’Edward appela. Elle décrocha et clama un : « - Ciao amore moi ! » avec un immense sourire. "-c'est la seule chose que je sais dire..." avoua Angie en riant. « -ça va, je rentre à l’appartement là… » elle souriait rien qu’à le voir. « -oui, une très bonne journée. En gros aujourd’hui, c’était la production images. Shooting photo, dans un endroit très sympa. Quelques prises de vidéo… On a bien rigolé parce que je suis assez nulle face caméra. » elle sourit et ajouta : « -ça m’a fait du bien. Et toi ça va ? Tu as encore les traits tirés. » elle ajouta : « -et Nonna ? »


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Mar 11 Juin - 22:09

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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« Oui » avait-il rétorqué avec un sourire satisfait par ce soudain constat. Contre toute attente, et malgré ses réticences premières, Iris avait finit par être charmée par Angelica. Sa jeune sœur avait su s’intéresser à son travail, et passer outre les clichés inhérents à ce métier, pour finalement découvrir que la jeune femme prônait de belles valeurs par le biais de son réseau, et que son investissement était réel. Probablement que les photos d’eux deux avaient terminé de la convaincre, constatant qu’elle tenait tout à lui, qu’il pouvait tenir à elle. Quant à ses parents, le politicien saurait tout mettre en œuvre pour les amadouer, et dans le cas contraire, il ne les laisserait pas interférer dans leur relation. Edward ignorait si c’était le soudain ralliement d’Iris à leur cause, ou les quelques heures de réflexion en solitaire dans leur appartement, mais Angelica semblait soudainement plus convaincue que jamais. Elle était prête à les convaincre, eux aussi. Il ne pouvait qu’en sourire, et confirmer également ses dires par un « Je sais » confiant. Son sourire se dissipa, son regard se fit brusquement plus soucieux, et l’interrogea « Angie, tu dis toujours que tu veux que je sois heureux mais… Est-ce que je te rends heureux moi aussi ? », avant de venir préciser « Je ne veux pas que tu donnes plus que ce que tu reçois… Je veux te rendre tout autant heureuse ». Edward savait que c’était ce qui avait brisé la jeune femme au cours de sa relation passée. Elle avait aimé, de manière inconditionnellement probablement, et il n’avait jamais su lui rendre la pareille. Il ne souhaitait pas de cela entre eux. Il voulait lui donner tout autant, si ce n’était plus, pour qu’elle ne regrette pas un instant de l’avoir accepté dans sa vie. Il voulait croire qu’ils pouvaient être heureux ensemble, et convaincre chaque membre de leur entourage de cela. Tout irait bien. Elle le savait. Cela le fit sourire, mais pas autant que lorsqu’Angelica lui avoua avoir récupéré son oreiller pour dormir en présence de son odeur. Plus qu’une semaine, et il serait de nouveau à ses côtés. « Même si je suis un homme, je suis capable d’avoir envie de te retrouver au plus vite, et profiter de chaque instant avec Nonna » rétorqua-t-il sur un ton taquin, qu’il ponctua d’un clin d’œil.

Le décalage horaire perturbait quelque peu Edward, et pas uniquement son sommeil. Lorsqu’il reçut le message d’Angelica, il était encore tôt pour elle, elle démarrait seulement sa journée, alors que la sienne était d’ores et déjà bien entamée. La réponse de la jeune femme ne le surprit pas outre mesure : La marque n’a pas été mécontente de ta décision ? Je t’embrasse aussi. Il lui envoya une photo du paysage, lui donnant ainsi un avant-goût de leur prochain séjour. Il ne put retenir un petit rire devant l’écran de son portable : Bien évidemment que tu parlais du paysage. Comment ne pas succomber ?! Il passa le reste de sa journée auprès de Nonna et de sa famille. Après quelques mots échangés avec Iris, il appela Angelica. Elle lui manquait et il avait envie de savoir comment s’était déroulée sa journée. « Délicieux » rétorqua-t-il face à ces quelques mots d’italien « Mi piace quando mi chiami così, mia luce » et traduisit aussitôt « J’aime quand tu m’appelles ainsi ». Un petit résonna dans le jardin, le sien « Je pourrais t’apprendre quelques mots si tu le désires ». Il l’écouta évoquer sa journée, bien qu’il en ait eu un aperçut en story « C’est presque ironique en sachant que ton métier est d’être devant une caméra » répliqua-t-il avec légèreté et reprit « Nonna se porte suffisamment bien pour exaspérer le personnel médical » et réprima un bâillement « J’espère que je te plais quand même avec toutes ces cernes sur les yeux. Si tu veux, j'éviterais la visio demain pour ne pas t'effrayer » répliqua-t-il en se frottant les yeux, non sans réprimer un petit rire fatigué « La nuit a été courte. Je dormirais mieux à mon retour ». Il prit une gorgée de sa limonade et reprit « Qu’as-tu de prévu pour demain ? ».



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Mar 11 Juin - 22:41

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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Elle avait vu son sourire disparaitre petit à petit. Elle avait légèrement froncé les sourcils en se demandant ce qui lui passait par la tête. Edward lui apporta la réponse rapidement et elle pencha la tête sur le côté. « -je vais mettre cette question idiote sur le compte de la fatigue et du décalage horaire. » commença la jeune femme avant d’ajouter parce qu’il avait besoin d’être rassuré. « -la réponse est oui Edward. Je suis heureuse avec toi. Encore un peu plus depuis hier… » elle lui sourit et ajouta : « -je ne cherchais pas à avoir une nouvelle relation de cet ordre-là, et pourtant, je suis tombée sous ton charme sans vraiment m’en rendre compte. Je n’ai pas de regrets et je laisse mes appréhensions au placard parce qu’elles n’ont pas lieu d’être. Le jour où je perdrais mon sourire, tu pourras t’inquiéter d’accord ? » ce qui n’était pas du tout le cas aujourd’hui. Il lui manquait, et c’était vraiment agréable de pouvoir échanger avec lui, le voir aussi même si s’était différent en visio. Angie était quelqu’un qui était habituée au bonheur, elle passait chaque jour de sa vie à le chercher, à le chérir. C’était une notion qui était encore bien étrangère pour le politicien. Si elle disait cela, c’était parce qu’il savait qu’il avait besoin d’être heureux. Enfin heureux.

Les petits déjeuner en solitaire ne lui plaisait plus. L’absence d’Edward dans l’appartement se faisait sentir et elle n’aimait pas ça. Cette distance lui faisait réalisé qu’elle tenait véritablement à lui, peut-être bien plus qu’elle ne l’avait imaginé. Elle avait envie de le voir revenir, de pouvoir lui sauter et cou et l’embrasser de nouveau. Elle n’avait pas encore eu assez de lui. Alors elle se bornait à se dire qu’une semaine, cela passait vite. Que bientôt il serait de retour et qu’ils pourraient à nouveau la serrer dans ses bras. Au matin, elle lui avait envoyé quelques photos de la plage et lui avait fait par de sa décision. Ces photos resteraient intimes. Ils ont trouvé ça dommage. Mais je m’en fou. Je veux que ce moment de bonheur reste privé. Elle enchaina ensuite les messages et la réponse d’Edward le fit sourire jusqu’aux oreilles.

En fin de journée, elle le retrouva en visio et se lança dans un peu d’italien. « -je suis pas certaine d’avoir un très bel accent… » elle ferma les yeux comme pour savourer les mots qu’il venait de dire à son tour, même si elle ne les comprit pas. « -ton accent à toi par contre… » oui, ça faisait son petit effet. « -merci pour la traduction. Je prends note. » un clin d’œil et elle hocha la tête : « -avec plaisir… » même si dans sa tête elle entendait des : c’est toi que je désire… Elle lui raconta sa journée dans les grandes lignes et répondit en riant : « -mais totalement ! Je suis meilleure en impro. Après trois prises ratées, j’ai décidé d’oublié le texte imposé et finalement, c’était beaucoup mieux. » elle lui demanda des nouvelles de Nonna et sourit un peu plus encore. « -elle aurait sans doute pu être amie avec ma grand-mère. » une grimace suivit en le voyant bailler. « -hors de question, cernes ou pas, je veux te voir. » elle sourit de nouveau : « -la prochaine fois, je glisserais quelque chose à moi dans ta valise… » en référence à cet oreiller sur lequel elle dormait et qui ne lui appartenait pas. « -demain, je dois voir Flynn pour qu’on fasse un point sur les collaborations en court et celles à venir. Et dans l’après-midi, Ava m’emmène faire des essayages pour le prochain gala. » elle redoutait un peu de se retrouver uniquement avec l’assistante d’Edward, vu leurs derniers échanges. « -va te reposer. Tu tombes de sommeil. » elle grimpa dans l'ascenseur qui montait à l'appartement. "-je t'envoi une photo dans dix minutes. Elle t'aidera à dormir, j'en suis certaine." elle lui sourit, l'embrassa à distance avant de lui souhaiter une bonne nuit. Quelques minutes plus tard, elle lui envoyait une photo d'elle en maillot de bain, joli sourire et clin d'œil coquin en prime, accompagné d'un: fais de beaux rêves.



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Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Angelica n’avait de cesse de scander qu’elle souhaitait le voir heureux, mais qu’en était-il d’elle ?! Edward perdit aussitôt son sourire en réalisant qu’elle ne l’était probablement autant qu’elle pouvait le laisser paraître. Il connaissait son histoire, et il ne souhaitait pas qu’elle se répète, une fois encore. Son bonheur à elle lui était tout aussi primordial. Malgré le sérieux de leur conversation, l’entrée en matière d’Angelica lui tira un petit sourire timide « Probablement un peu des deux » murmura-t-il, la laissant poursuivre par la suite. Pourquoi soudainement, ces trois petits mots qu’il n’avait jamais prononcé jusqu’alors, pour quiconque, lui brûlaient soudainement les lèvres ?! Parce que la réponse d’Angelica venait probablement de le rassurer tout autant que de croître son affection à son encontre. « D’accord » répliqua-t-il tel qu’elle venait de lui demander, et reprit « Ton bonheur m’importe tout autant. Mais tu arbores le plus beau des sourires, alors je suppose que tout va bien » conclut-il avec douceur. Il n’aurait pas envisagé jusqu’alors qu’une personne pouvait tant lui manquer. Son absence avait laissé un vide qui lui tardait de combler en rentrant à New York. En attendant son retour, il devait s’occuper de Nonna et de profiter de chaque instant à ses côtés, comme le lui demandait également Angelica qui avait perdu sa grand-mère par le passé et qui connaissait la douleur que ça représentait.

Toutefois, le manque était bel et bien présent, et il le constata en arborant aussitôt un sourire en remarquant un message de la part d’Angelica. C’étaient les photographies à la plage. La jeune femme avait pris la décision qu’elles resteraient du domaine privé, et qu’elles n’appartenaient qu’à eux deux. Probablement en raison du regard qu’ils arboraient l’un et l’autre : Autoritaire. Sexy. Osa-t-il lui répondre, et lui partagea une photo de la vue que le jardin de Nonna lui offrait, lui offrant un avant-goût de leurs prochaines vacances. Il ne put retenir un rire devant son écran. Elle aurait probablement plus appréciée une photo de son torse nu. Toutefois, il était d’ores et déjà vêtu de son costume trois pièces et était attendu à l’hôpital pour rejoindre sa grand-mère et le reste de son entourage. Il n’avait pas suffisamment de temps pour lui offrir un tel plaisir.

Le soir venu, tandis que la résidence dormait probablement à poing fermé, il chercha Angelica dans ses contacts et la retrouva en visioconférence. Ce n’était que la fin d’après-midi à New York, alors que la nuit avait déjà enveloppé l’Italie de ses bras depuis bientôt une heure maintenant. Elle le salua en italien, tout en lui accordant ce petit surnom qu’il aimait tant. « C’était un très bel accent » la rassura-t-il et se prêta au jeu à son tour, pour finalement traduire par la suite « Hum… S’il suffit que je parle italien pour te conquérir, je le ferais à longueur de temps ». Il sourit tout en se mordant la lèvre inférieure à son clin d’œil. Elle prenait note. C’est toi que j’ai envie de prendre, murmura sa petite voix intérieure. Il préféra dévier la conversation sur sa journée passée avec Adam. L’influenceuse n’avait pas été particulièrement à l’aise devant les caméras. C’était presque ironique comme situation, lui fit-il remarquer. « Aurais-je la primeur de visualiser ta vidéo ? ». Son travail l’intéressait toujours autant. Ça n’avait pas été un subterfuge pour l’amadouer. Il aimait l’écouter parler de son métier, et découvrir ce qu’elle était capable de créer pour ses followers. Quant à lui, sa journée se résumait à Nonna dont ils prenaient soin, bien qu’elle n’attendait qu’à sortir de sa chambre de l’hôpital. « Parce qu’elle avait aussi mauvais caractère ou que les médecins lui déplaisaient à elle aussi ? ».

Ses cernes noircies sous les yeux et ses traits tirés n’échappèrent pas à Angelica qui le lui fit remarquer. Probablement qu’il opterait pour un appel simple le lendemain afin qu’elle ne s’inquiète pas, mais elle déclina avec véhémence sa proposition, le laissant échapper un petit rire coloré par la fatigue « Bien. Bien » répondit-il et renchérit par un « TU te glisseras dans la valise la fois prochaine ». Il dormirait ainsi bien mieux en sentant son corps chaud dans le creux de ses bras. Il lui tardait de rentrer, d’autant plus en apprenant qu’elle allait passer une partie de sa journée en compagnie de son assistante, qui ne s’était pas montré particulièrement cordiale à son encontre au cours de leur dernière rencontre. Sa mâchoire se crispa à cette information « Appelle-moi si Ava devient trop pesante. Peu importe l’heure ». Ce n’était pas une demande, c’était une directive qu’il ne lui laissait guère le choix de respecter. Un nouveau bâillement le prit par surprise, alors qu’il se frottait les yeux « Tu as raison » et se leva de sa chaise, puis fronça les sourcils, ce qui contrastait avec le petit sourire en coin qu’il affichait malgré lui, et qui trahissait le fond de ses pensées. « Rappelle-toi que je suis à des milliers de kilomètres de toi Angie, chérie » et lui rendit son baiser à travers l’écran, lu souhaitant un bonne nuit, puis se rendit jusqu’à sa chambre. La serviette nouée autour de la taille tandis qu’il sortait de la douche, il entendit la petite sonnerie de notification et resta sans mot devant la photographie dont il prit le temps d’observer en détail. Mon dieu. : Je connais d’ores et déjà la nature de mes rêves de cette nuit. Bonne nuit la mia luce. Il était resté à fixer la photographie quelques minutes, allongé sur son lit, et avait décidé de tout éteindre, pour rejoindre les bras de Morphée à défaut de ceux d’Angelica.

Le bruit de pas de ses parents et de sa jeune sœur eurent raison de son sommeil, l’extirpant brusquement de son étreinte avec Angelica. Il poussa un grognement de frustration, et jeta un coup d’œil à l’heure. Sept heures. New York dormait encore à poing fermé à cette heure-ci. Il hésita un instant, n’étant pas certain que l’idée soit pertinente, puis retira son débardeur, non sans sentir le rouge lui monter aux joues à la pensée de ce qu’il allait faire, baissa suffisamment son pantalon de pyjama pour laisser apparaître le V du bas de son torse, puis tendit le bras au-dessus de lui, photographiant son torse tout en arborant un petit sourire espiègle. Il eut seulement le temps d’appuyer sur le bouton en bas de l’écran, qu’Iris tambourina à sa porte « Tu es réveillé Edward ? Le petit-déjeuner est servi » « Une minute » « Pire qu’une femme celui-ci » l’entendit-il commenter, avant que le bruit de ses talons sur le sol ne l’informe qu’elle s’éloignait de sa chambre. Il avait retenu sa respiration durant les quelques secondes leurs échanges, et remplit de nouveau ses poumons en happant l’air, tel un poisson hors de l’eau. Il envoya la photographie à Angelica, avec pour message : Je laisse ton esprit se souvenir de la sensation de tes mains sur ma peau. Passe une belle journée. Je t’embrasse.

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Mer 12 Juin - 14:24

Angelica Gordon
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Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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Edward lui avait demandé du temps. Il ne voulait pas gâché, selon lui, leur première fois. Angie avait accepté, même si pour elle, tout se passerait bien. Mais elle pouvait comprendre qu’il ait des appréhensions ou des peurs. Avoir accepté d’attendre un peu, ne voulait dire qu’elle n’avait pas le droit de faire monter un peu la température. Chose qu’elle fit avec ses messages au sujet du torse d’Edward. Elle l’imagina sourire à tout cela… En fin de journée, Edward n’eut probablement pas conscience de l’effet qu’il avait sur elle. L’entendre parler italien… wahou c’était presque envoutant. « -oh non… ne fait pas ça… sinon je ne réponds plus de rien ! » répondit la jeune femme en riant. L’alchimie physique était déjà présente entre eux avant qu’ils ne s’embrassent. La distance imposée par le problème de santé de Nonna, semblait accroitre leur envie physique. Angie ne pouvait que s’en réjouir… Mais ils étaient loin, et elle décida de ralentir les choses en évoquant sa journée. « -bien sur oui, si tu veux. » les images devaient être monter, mais comme pour les shootings, elle demandait toujours à voir avant les résultats. Elle l’écouta lui parler de sa grand-mère et sourit : « -les deux. Elle détestait qu’on lui dicte ce qu’elle devait faire ou penser. Et pour elle, la santé c’était la nature, rire et boire un petit verre de temps en temps. » Angie savait que sa grand-mère avait tout comprit à la vie. « -si tu… si tu veux tu peux lui dire que je suis contente qu’elle aille déjà mieux. » c’était sans doute présomptueux ou déplacée. Edward n’avait sans doute pas touché un mot sur elle à sa Nonna. Il en faisait ce qu’il voulait.

« -ah parce que le voyage en Italie je dois le faire en soute ? » répliqua Angie comme si elle était outrée, cherchant à le faire rire. « -je vais me charger de son cas personnellement ne t’en fais pas. » souffla Angie avec un petit ton menaçant et amusée à la fois. « -on va faire une sortie entre filles. Ça va bien se passer. Ne te stress pas. » avait elle ajouté avec plus de sérieux. « -et elle va m’aider à trouver LA robe… » un clin d’œil sexy avant de lui dire d’aller dormir. « -oh crois moi, j’en suis consciente… » gémit Angie comme si c’était insupportable de le savoir si loin. Un baiser à distance, puis elle se changea pour lui envoyer une photo d’elle en maillot sur le bord de la piscine. Lorsqu’il répondit à son message, elle sourit et ajouta : j’espère qu’elle te plait, mon téléphone à faillit finir dans l’eau au moins trois fois… Je t’embrasse. A demain…

Lorsqu’elle ouvrit les yeux le lendemain, elle chercha rapidement son téléphone sur la table de nuit. Elle ouvrit la bouche de surprise en voyant la photo qu’Edward avait envoyé. Puis elle posa une main devant sa bouche, sans quitter l’image des yeux. Il se prenait au jeu… Elle allait finir plus frustré que lui la fin de la semaine avec tout ça… Elle lu les quelques mots qui allaient avec la photo et ferma les yeux avec force. Elle n’avait aucun problème pour se souvenir de ce qu’elle avait ressenti. Elle répondit : c’est pas très gentil de me torturer… A son tour, elle fit une photo, cheveux en bataille, allongée sur le ventre, le soleil lui offrant une lumière parfaite. Elle ajouta un : tu as bien dormi ? avant de l’envoyé en souriant jusqu’aux oreilles.

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Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Parce que la jeune femme comptait plus qu’aucune autre avant elle, Edward souhaitait patienter avant leur première fois ensemble. Il appréhendait leur première étreinte, n’étant pas certain de parvenir à la satisfaire comme il le désirait et comme elle le méritait. Toutefois, il n’avait pas envisagé que la santé fragile de Nonna ne l’éloigne d’Angelica durant plusieurs jours. Il n’était plus possible de succomber si l’envie était trop intense. Il n’aurait d’autres choix que de prendre son mal en patience jusqu’à son retour. Néanmoins, c’était sans compter sur le petit jeu qu’enclenchait vicieusement la jeune femme, à son détriment. Il n’était qu’un homme. Un homme qui désirait Angelica bien avant leur premier baiser échangé, et qui menait une lutte de tous les instants pour résister depuis. Toutefois, au cours de leur conversation, Edward prit conscience qu’il disposait lui aussi d’arguments pour la mettre en émoi, notamment sa manière de parler italien « Sei così bello. Non vedo l'ora di rivederti (Tu es si belle. J’ai hâte de te retrouver)» renchérit-il en la fixant avec une intensité non dissimulée « Peut-être que j’ai envie que tu ne répondes plus de rien » avoua-t-il d’une voix profonde qu’il ne se connaissait pas. Il se mordit la lèvre inférieure, puis laissa la conversation dévier sur sa journée. Ils étaient à des milliers de kilomètres l’un de l’autre. Ils ne pouvaient pas succomber. « J’aime te voir travailler » lui avoua-t-il en prenant un ton plus léger qui contrastait avec leur précédente conversation. Évoquer Nonna annihila la moindre envie qu’il avait pu éprouver pour le corps d’Angelica. Il était surprenant de constater que la défunte grand-mère de la jeune femme ressemblait en tout point à la sienne. Il sourit à la confidence de la jeune femme, appréciant qu’elle se livre ainsi à lui « Tu as raison. On dirait Nonna ». Il ne faisait aucun doute que les deux femmes s’entendraient à merveilles le jour de leur rencontre. La précision qu’apporta Angelica lui réchauffa le cœur « Je lui dirais demain matin. Elle est impatiente de te rencontrer » lui avoua-t-il. Probablement que la jeune trouverait sa démarche trop précipité, mais Edward s’était laissé dictée par son envie de lui dévoiler sa relation avec l’influenceuse, et lui confier qu’elle était l’unique responsable du sourire qu’il arborait un peu plus aujourd’hui.

Un rire franc s’échappa de la gorge du politicien malgré la fatigue qui l’accablait « Il me semblait te l’avoir précisé pourtant » Quoiqu’elle était suffisamment petite pour entrer dans l’une de ses valises sans mal. Mais son rire se dissipa au moment où Angelica lui confia passer la majeure partie de sa journée en compagnie d’Ava. Il appréhendait la prochaine rencontre des deux femmes et exigea de la jeune femme qu’elle le contacte si elle rencontrait des difficultés. « Je ne peux rien te promettre à ce sujet Angie ». Il risquait de s’en inquiéter jusqu’au soir venu, jusqu’à ce qu’il entende de la bouche de la jeune femme que tout s’était déroulé à merveilles et qu’elle avait trouvé la robe parfaite pour leur prochain gala. « C’est toi qui sublime la robe, et non l’inverse ». Il n’éprouvait donc aucune inquiétude qu’elle sera magnifique dans toutes les tenues qu’elle pourrait choisir pour l’évènement. Quant à la photo que cette dernière souhaitait lui envoyer, il lui rappela qu’il se trouvait sur un autre continent. Un rappel qui fit gémir la jeune femme qui était tout autant frustré de le savoir que lui « Quatre jours et environ dix heures à patienter » déclara-t-il après un coup d’œil à sa montre. Ils échangèrent un baiser par écran interposé, et il rejoignit sa chambre. En recevant la photographie d’Angelica, en maillot de bain, il ne put que maudire la distance : Me plaire, est un mot trop faible pour décrire l’effet qu’elle produit sur moi. A demain, je t’embrasse.

Le lendemain matin, Edward décida de jouer lui aussi et s’octroya quelques minutes pour prendre une photo de son torse nu, jusqu’à la frontière de son intimité sans la dévoiler, et laissant apparaître un petit sourire espiègle, qui contrastait la gêne qu’il éprouvait à se lancer dans ce genre d’échange avec la jeune femme. Il n’avait jamais fait cela auparavant, et trouvait cela étrangement grisant. Il sut qu’elle s’était réveillée en entendant la notification de son portable pour l’informer d’un nouveau message : Je dispose des mêmes armes que toi la mia luce, répondit-il, avant de passer commande auprès du serveur. Il avala une gorgée d’eau au moment d’apercevoir la nouvelle photo. Il manqua de peu de s’étouffer avec l’eau qui avait emprunté le mauvais chemin. Une quinte de toux l’accabla, et Iris lui tapota le dos tout en souriant « Que se passe-t-il ? » avec un soupçon de curiosité « Rien. Rien du tout ». Une nouvelle toux, et osa rallumer l’écran de son portable : Un avant-goût de la nuit que je désire te faire passer. Et toi ? en sous-entendant son rêve érotique. Et reprit : Tu n’as pas le droit d’être aussi belle le matin. « Tout va bien mon fils ? » demanda son père « Parfaitement bien » et reposa son portable, reprenant une longue gorgée d’eau, espérant que ça lui suffirait pour reprendre contenance. Le soir venu, assis sur la même chaise, à la même table de jardin, Edward attendait patiemment que le visage d’Angelica ne s’affiche sur son écran et sourit aussitôt en l’apercevant « Tu es diabolique ! » déclara-t-il immédiatement.

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« -je n’ai… aucune idée ce que tu viens de dire… j’ai compris bello… mais ton regard traduit pour toi… » elle sourit avant d’ouvrir la bouche en entendant la réflexion suivant. « -tu m’en diras tant… » ajouta Angie avec un sourire en coin et une étincelle d’envie dans les yeux. Ils étaient en train d’enclencher un petit quelque chose qu’elle appréciait vraiment beaucoup. Cela faisait des années qu’elle n’avait pas joué ainsi avec un homme. Avec un homme pour qui elle avait des sentiments. Mais elle ne perdait pas de vu qu’ils étaient loin l’un de l’autre… alors elle parla boulot et sourit alors que son esprit avait pourtant bien du mal à rester sage : tu apprécieras encore plus me voir nue dans tes bras. Elle parla de Nonna et ça eut pour effet de les calmer l’un comme l’autre. « -tu… tu lui as parlé de moi ? Enfin de nous ? » demanda Angie, agréablement surprise par cette révélation. Un peu plus encore de savoir que cette femme souhaitait la rencontrer. Au final, l’avis des autres ne comptaient pas. Si Nonna validait, Angie serait heureuse. « -je t’écris pour te dire comment ça se passe. » à la base, elle avait une belle relation avec Ava, elle ne souhaitait pas la gâcher. Alors, elles allaient discuter et tout irait bien.

Après avoir envoyé Edward se coucher, Angie reprit leur petit jeu. Et elle se fit bien avoir au petit matin en posant ses yeux sur cette photo d’Edward à moitié nu. Roh et ce regard… Elle était surprise, et ravie qu’il joue aussi. Elle plissa les yeux en voyant sa réponse. Armes égales. Très bien. Nouvelle photo. Elle se mordit la lèvre inférieure en lisant la second message. J’en conclue que tu as très très bien dormi… Un autre message : ma nuit a été paisible. Elle n’avait pas encore reçu cette photo alors son cerveau l’avait gentiment laissé se reposer cette nuit, sans penser au corps d’Edward prenant possession du sien. Elle répondit un : oups… au message suivant.

Durant l’après-midi, elle lui avait envoyé un message pour lui signifier que tout se passait bien avec Ava. Elle appela dès qu’elle put, elle savait qu’il était tard en Italie. « - Ciao amore moi… » souffla Angie avec un sourire qui illuminait déjà son visage. « -c’est toi qui a commencé. » oui, elle considérait que sa photo en maillot de bain n’était pas osé. Celle qu’il avait envoyé ce matin par contre, c’était d’un tout autre niveau. « -tu as passé une belle journée ? » plus que trois… « -j’ai trouvé la robe parfaite et ça c’est très bien déroulé avec Ava. » elle tenait à ce qu’il soit rassuré sur ce point. « -tu rentres bien dimanche en fin de journée n’est-ce pas ? » demanda la jeune femme. "-samedi soir, on fête l'anniversaire de Flynn... Je t'appellerais avant de partir. J'aurai aimé que tu puisses venir."


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