"Avec un mensonge on va loin, mais sans espoir de retour" - Ft. Charly
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Mer 12 Juin - 16:30
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Si l’entendre parler italien l’émoustillait autant qu’elle semblait le prétendre, Edward risquait de lui parler uniquement dans la langue de Dante. Ses dents mordant sa langue inférieure, il la fixait avec une intensité rare et il comptait mentalement les jours qui le séparait d’elle « Tu es belle, et il me tarde de rentrer auprès de toi » traduisit dans les grandes lignes. La manière dont Angelica jouait avec lui ne rendait leur séparation aussi frustrante que grisante « Oh Angie… » clama-t-il d’une voix profonde, laissant sous-entendre la délicieuse promesse qu’il formulait par ces simples mots. Avec Angelica, le politicien découvrait le jeu de la séduction, de l’érotisme. Il se délectait de voir l’envie briller dans ses prunelles émeraudes, malgré les kilomètres qui les séparaient. Bien que profane en la matière, Edward se découvrait un attrait certain pour ce petit jeu qui s’instaurait peu à peu entre elle et lui. Il dégustait cette sensation de désir qui germait en lui, qui mettait ses sens à l’affût et son corps en émoi, bien qu’accompagnée par la frustration de ne pas pouvoir répondre immédiatement à la demande expresse de son corps qui désirait déjà tant celui d’Angelica, alors qu’il n’avait goûté, pour le moment, que ses lèvres. Si la conversation n’avait pas dévié tour à tour sur le travail de l’influenceuse et leurs grand-mères respectives, il aurait probablement demandé à raccourcir son séjour pour rentrer cette nuit et la surprendre au petit matin. La tension redescendit aussitôt qu’ils évoquèrent Nonna et Angelica semblait surprise qu’il ait parlé d’elle à sa grand-mère. Il arbora un sourire attendrie par son étonnement « Oui. Bien sûr. Je lui ai parlé de toi, de nous, de notre relation. De mon envie que notre histoire perdure. Plus j’évoquais notre relation, et plus elle désirait te rencontrer ». Nonna faisait même preuve d’une certaine impatience. « Bien » fut la conclusion de leur conversation concernant Ava, et après quelques mots, elle le laissa rejoindre les bras de Morphée à défaut des siens.
Le déjeuner en présence de ses parents et de sa jeune sœur fut particulièrement intéressant. Non pas par les sujets de conversations abordés, mais par la distraction que lui offrit Angelica en lui envoyant une photo d’elle au petit matin. Elle était délicieuse, et il était si loin … Elle voulait jouer, qu’il en soit ainsi. Il sous-entendit la nature de son rêve et ne put retenir un sourire à sa réponse : Parfaitement bien. Quant à celle de la jeune femme, elle avait été plus paisible : Tu as de quoi agrémenter tes rêves dorénavant, en évoquant à demi-mots la photographie de son torse nu qu’il lui avait envoyé au petit matin. Quant à la photo qu’elle avait osé lui envoyer, elle ne le laissa pas insensible. Bien au contraire. Sa réponse lui donnait des envies qu’il ne pouvait exprimer ici-même. Il lui tardait de rentrer pour combler le désir qu’elle faisait naître chez lui de manière si viscérale qu’il lui était difficile de le contrer. Elle était diabolique, comme il le lui confia lors de leur appel immuable de fin de journée. « Ciao la mia luce » répondit-il également, sans se départir de ce sourire qui étirait ses lèvres de façon espiègle « Non » rétorqua-t-il avec l’une de ses habituelles réponses monosyllabiques « La photo que tu m’as envoyée hier soir … Angie » et prononça son prénom dans un gémissement de frustration. Il avala une gorgée de sa limonade qui trônait sur le rebord de la table de jardin « Oui. Le déjeuner a été particulièrement intéressant » en faisant référence à sa dernière photo « J’en ai avalé mon eau de travers, ce qui a eu pour effet d’intriguer l’ensemble de ma famille à table. Et toi ? ». Un soulagement l’accable quand elle évoqua son après-midi avec Ava « Bien. Aurais-je la primeur de te voir avec la robe avant le gala ? ». Il acquiesça d’un simple « Oui » et ajouta « Souhaite-lui un « bon anniversaire » de ma part » et l’enveloppa de son regard azurien avec douceur « J’aurais aimé être présent aussi la mia luce ».
Edward était parvenu à obtenir une place sur un vol retour direction New York pour samedi soir. Toutefois, il savait que la jeune femme souhaitait l’appeler, et il allait devoir œuvrer d’ingéniosité pour qu’elle ne remarque pas qu’il se trouvait actuellement dans l’aéroport de Rome. Il avait alors fait enregistrer ses bagages, puis avait quitté de nouveau l’aéroport pour un café à proximité et l’appela en visioconférence, comme chaque soir depuis son arrivée en Italie « Ciao la mia luce. Comment vas-tu ? Parle-moi de ta journée ». Plus que quelques heures, et il serait rentré chez eux. Il s’était excusé auprès de Nonna d’anticiper ainsi son retour, et elle lui avait donné une tape sur l’épaule, qu’elle avait ponctué d’un « Rentre retrouver ta petite-amie ! Je serais toujours là quand tu reviendras ». Ses parents n’avaient pas partagé l’enthousiasme de sa grand-mère, lui valant un « Tu n’es pas à un jour près » « Ne peut-elle pas patienter encore quelques heures ? » ce à quoi il avait répondu avec son aplomb naturel « C’est moi qui ne peut pas attendre. Elle me manque », ce qui avait engendré un bref silence brisé par Nonna, avec son franc-parler légendaire « Il est heureux ce petit. Laissez-le être heureux avec sa délicieuse petite-amie, bon sang ! Le bonheur, c’est tout ce qui importe dans la vie. Le reste n’est que fioriture. Va Gattino. Va la rejoindre et salue-là pour moi ». Il avait déposé un baiser sur la joue de sa grand-mère, et avait prit le premier taxi pour l’aéroport. « Tu es prête pour ta soirée d’anniversaire ? » demanda-t-il à l’attention d’Angelica.
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Charly
Mer 12 Juin - 17:31
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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« -ah non ! Pas d’accord. Tu m’avais déjà vu en maillot de bain. Il n’y avait rien de… » elle baissa le ton de sa voix au cas où il ne serait pas seul : « -déplacé. » bien entendu elle jouait toujours. Elle se mit à rire : « -tu étais à table… oh mince… » elle l’imaginait au milieu de sa famille de coincé. Le jeu n’en était que plus grisant. Rapidement, elle le rassura sur son après midi en compagnie d’Ava. Elles s’étaient plus ou moins expliquée. Angie avait souhaité remettre les choses dans leurs contextes. Ava savait parfaitement qui elle était, les valeurs qu’elle prônait, son mode de vie… elle la suivait depuis quelques années sur les réseaux maintenant. Alors Angie lui avait fait comprendre gentiment qu’elle n’avait fait qu’être elle-même avec Edward. Et que oui, elle considérait qu’il avait le droit de vivre sa vie comme il l’entendait et de s’accorder un peu de temps libre. Ava s’était excusée et avait avouée que c’était assez déstabilisant pour elle de voir Edward changer lentement. Angie avait souri. Si elle savait… Edward ne laissait encore rien voir… Peut-être qu’il ne le ferait jamais… Mais il avait changé… il avait envie de changer en tout cas. Et selon Angie, c’était une bonne chose. « -bien sûr, puisque c’est avec toi que j’y vais. » répondit la jeune femme comme si sa question était stupide.
« -j’ai hâte de te voir… » murmura la jeune femme avec tendresse, sans arrière-pensée. Puis elle évoqua l’anniversaire de son meilleur ami. Elle appela Edward dans l’après-midi. « -coucou, ça va et toi ? Tu profites de ta dernière journée ? » elle parla de la sienne qui n’avait pas été d’un grand intérêt. Elle avait passé le plus claire de son temps le nez plongé dans le roman d’Adam. « -non pas encore, il est encore tôt ici. Je sais pas encore comment je vais m’habiller. Je vais rentrer aux alentours des minuits. » Lorsqu’elle passa la porte de l’appartement, il était plus dans les une heure du matin. Elle déposa ses affaires dans l’entrer et retira ses talons assez rapidement. Puis elle colla son dos contre la porte. Deux verres de trop… oui… elle avait un peu trop bu. Chose qui ne lui arrivait que rarement. Mais c’était l’anniversaire de son meilleur ami, alors ils avaient fêté ça. Les yeux fermés, elle sourit bêtement, ivrement… Est-ce que c’était son esprit, l’alcool, le manque de lui… elle avait la sensation que le parfum d’Edward était partout… « -demain… demain il sera là… » et elle se redressa pour avancer vers la cuisine en chantonnant : « -tu sera bientôt là, je s’rais bientôt dans tes bras, je te veux que pour moi… » tout en se dandinant au passage. Angie, se laissa tomber sur le canapé et tendit son bras pour faire une photo. Elle l’envoya à Edward avec un : je suis rentrée. J’ai un petit peu trop bu… hâte de te voir… Lorsqu’elle entendit la son d’un notification de téléphone, elle tourna la tête. C’était quoi ce délire ? Elle avait vraiment trop bu…
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Mer 12 Juin - 18:01
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Le ciel étoilé surplombé Tivoli en cette fin de soirée, Edward était installé dans le jardin, comme chaque soir, avec pour seule compagnie un verre de limonade et son portable qui affichait le visage d’Angelica qui lui manquait un peu plus chaque jour qui passait. Bien que cette distance éveillait entre eux un petit jeu de séduction pour le moins grisant. « Oh Angie… Tu n’imagines pas la lutte intérieure que je mène depuis la première fois que je t’ai découverte en maillot de bain ». Probablement que pour Angelica, ce n’était qu’une tenue comme une autre, mais pour Edward, c’était avant tout deux infimes morceaux de tissus qui dévoilaient parfaitement chacune de ses courbes, ne faisant que la désirer davantage. « Tu n'es pas la moins désolée du monde » déclara-t-il en arborant ce petit sourire espiègle qui n’était réservée qu’à elle seule. Après ce bref échange séduisant et plus que grisant, qui ne laissait pas insensible le politicien qu’il était, Edward fut soulagé d’apprendre que son assistante, qui était plus aie son amie, avait su se montrer cordiale avec la jeune femme. Elles étaient également parvenues à trouver la robe parfaite pour le gala. Il ne put retenir un petit sourire face à l’innocence de l’influenceuse « Je parlais de la découvrir avant. Bien avant. Le gala », comme par exemple à son retour. Mais il avait la sensation qu’il n’aurait d’autres choix que de patienter le soir de l’évènement pour la découvrir probablement aussi somptueuse qu’il l’imaginait d’ores et déjà dans son esprit. « Moi aussi… » avait-il par la suite murmurer, sans parvenir à l’avouer plus fort encore, au risque de sentir l’envie irrépressible de la retrouver s’accroître.
Parce que le manque commençait à se faire de plus en plus ressentir, devenant péniblement surmontable, Edward avait décidé de programmer son retour un jour à l’avance. Il avait pour objectif de faire la surprise à sa dulcinée lorsqu’elle rentrerait de l’anniversaire de son meilleur ami. Il aurait souhaité être présent pour l’évènement, mais il n’était pas parvenu à trouver un vol plus tôt dans la journée pour être à ses côtés le soir venu. Ils devaient donc s’accommoder des vols restants. « Je vais bien et oui. J’attends qu’ils aient tous finis de passer commander » mentit-il ouvertement à Angelica, alors qu’il avait trouvé place dans un petit café à proximité de l’aéroport. Il ne souhaitait pas laisser transparaître qu’il rentrait finalement dès aujourd’hui. Il souhaitait lui faire la surprise de son retour inopiné. « Appelle-moi quand tu seras rentrée ». L’avion s’était posé sur le tarmac de l’aéroport JFK aux alentours de vingt-deux heures. Il avait récupéré son unique bagage, puis avait fait appel à son chauffeur qui le conduisit jusqu’en bas de son immeuble. Le brouhaha de la vie citadine lui avait presque manqué, elle aussi. Le penthouse était plongé dans la pénombre à son arrivée, et prit la décision de n’allumer aucune lumière pour ne pas éveiller les soupçons d’Angelica à son retour, qui ne saurait tarder. Il s’était glissé sous l’eau chaude, et avait prit la décision de revêtir une tenue plus décontractée que le costume qui se trouvait dorénavant au fond de la corbeille à linge. Il avait porté son dévolu sur un jean sombre, un t-shirt et une veste de blaser. Par habitude, il s’était parfumé de nouveau et tendit l’oreille en entendant la porte s’ouvrir.
À pas de loup, Edward se dirigea jusqu’à la pièce de vie, non sans sourire en l’entendant chantonner. Il ne faisait aucun doute que la jeune femme était ivre. Son cœur se gonfla de tendresse en écoutant les paroles. Elle l’attendait avec impatience. Il suivit le bruit de ses pieds sur le parquet, et la talonna silencieusement, jusqu’au salon. Il appuya son épaule contre le mur, ses bras croisés contre son torse et l’observa tout en arborant un sourire aussi doux qu’amusé en la contemplant. Elle lui avait tant manqué, que c’était une lutte de tous les instants de ne pas se précipiter jusqu’à elle pour la serrer dans ses bras « Bonsoir la mia luce. Tu es ivre, mon amour » lui fit-il remarquer avec amusement.
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Mer 12 Juin - 20:06
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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« -et bien comme ça tu sais ce que je ressens face à ton torse… » avait elle clamé avec un sourire plus qu’amusée, adorant ce qui se développait entre eux peu à peu grâce à cette distance. « -non, c’est vrai. » avoua la jeune femme en prenant un petit air innocent. Elle avait vraiment hâte de le retrouver. Pas seulement parce qu’elle avait envi de lui. Non, c’était la totalité d’Edward qui lui manquait au quotidien depuis presque une semaine. Sa présence au matin, sa voix, leur conversation… Elle était heureuse de le savoir au près de sa grand-mère, c’était important, mais Angie se languissait tout de même de le retrouver.
Un rapide appel avant de se préparer pour la soirée d’anniversaire de Flynn. Une soirée à l’image de son meilleur ami. Pleine de rire, de danse… Angie avait passé un très beau moment et avait légèrement trop bu. C’était assez rare chez elle de boire ainsi en soirée. Généralement, il y avait deux occasions dans l’année. Le nouvel an et l’anniversaire de Flynn. Elle aimait le wiskey mais n’en abusait jamais. Ce soir, c’était des cocktails qu’elle avait abusé. Parce que ça se buvait trop facilement. Elle en était consciente en passant la porte de l’appartement. Elle se sentait bien, ce n’était pas non plus le point de non-retour. Elle avait su dire stop. Elle était ivre. Joyeusement ivre. Assez pour sentir le parfum d’Edward dans l’appartement alors qu’il ne devait rentré que le lendemain.
Elle avança pour prendre une photo et lui envoyer, chantonnant en pensant à lui, heureuse de le revoir bientôt. Message envoyé. Sonnerie de notification… Elle était vraiment bourrée ou quoi ? Un hurlement passa sa bouche alors que la voix d’Edward se fit entendre. Elle venait de sursauter, posant une main sur son cœur. « -ça va pas ! » puis elle ouvrit des grands yeux et un sourire immense illumina son visage : « -oh mon dieu c’est toi ! » elle sauta sur ses pieds et couru vers lui, rejouant le scénario de la plage mais sans le sable et mer. Elle lui sauta au cou, entourant ses hanches de ses jambes. Sauf que cette fois-ci, elle colla ses lèvres aux siennes. Puis elle le parsema de plein de petit baiser : « -je suis… » un baiser « -trop contente.. » un baiser : « -pourquoi tu… » un baiser « -m’a rien dit ? » elle descendit sur son menton, puis son cou. « -tu m’as manqué… » elle huma son cou : « -je me disais aussi que j’avais sentit ton parfum… » elle l’embrassa à nouveau avant d’avouer en reculant son visage : « -t’es beau… » avec un sourire béat.
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Mer 12 Juin - 20:33
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
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Un seul être vous manque … Edward aurait pu patienter une journée de plus et rentrer à bord du jet de famille Wyler le lendemain soir. Toutefois, l’absence de la jeune femme devenait de plus en plus pesante au fil des jours, de telle sorte qu’envisager une journée de plus loin d’elle ne lui était pas supportable dans l’immédiat. Il savait Angelica à l’anniversaire de son meilleur ami, lui offrant ainsi le temps pour rentrer à l’appartement, se délecter d’une longue douche chaude et troquer son costume pour une tenue plus en adéquation avec une fin de soirée, et des retrouvailles tant désirées. Il sortait seulement de la chambre lorsque la voix d’Angelica lui parvint. Elle chantait. Pour lui. Tout en ignorant qu’il était rentré inopinément ce soir afin de lui faire la surprise. Il la suivit à distance raisonnable pour ne pas éveiller ses soupçons, luttant pour ne pas signaler sa présence et enfin la serrer dans ses bras. La laissant s’affaler dans le canapé du salon, Edward appuya son épaule contre le mur qui séparait les deux pièces de vie du penthouse, les bras croisés sur son torse. Il osa un coup d’œil en direction de la cuisine, remarquant la faible lumière de son écran sur le marbre du comptoir, et reporta aussitôt son attention sur Angelica, décidant de prendre la parole, signalant ainsi sa présence.
Probablement qu’il aurait été plus pertinent d’allumer la lumière de la pièce de vie avant de prendre la parole dans la pénombre, afin de ne pas effrayer la jeune femme qui poussa un hurlement de peur en entendant sa voix résonner. Il ne put retenir un petit rire silencieux tandis qu’il se détachait du mur, laissant retomber ses bras le long du corps, en confirmant à voix haute « Oui, c’est moi ». La réaction d’Angelica ne se fit pas attendre et se rua aussitôt jusqu’à lui, sautant dans ses bras. Il enserra sans délai sa taille de ses bras, la blottissant tout contre lui et lui rendit chacun de ses baisers, non sans émettre un petit rire face à l’ivresse de sa petite-amie « C’était… » un baiser « Une… » un baiser « Surprise », et ferma les yeux sous la caresse de ses lèvres dans son cou « Tu m’as terriblement manqué toi aussi » et sourit en apprenant le détail qui avait trahis sa présence entre ces murs « Je n’ai pas réfléchit en le mettant » et lui rendit son baiser, jusqu’à ce qu’elle y mette un terme pour le complimenter « Merci. Tu es belle aussi la mia luce » tout en l’observant, comme si cela faisait une éternité qu’il n’avait pas pu apercevoir son visage.
Edward la laissa reposer pied au sol, entourant son visage de ses mains et l’embrassa de nouveau avec plus de profondeur, et se recula avec lenteur, soufflant un « Tes lèvres ont le goût d’un cocktail… Le nom m’a échappé ». Il lui sourit, glissant ses doigts dans ses cheveux roux « Tu as bu combien de verres ce soir, Angie chérie ? » tout en arborant un sourire amusé. Il avait la sensation que la jeune femme avait l’alcool joyeux. Il l’embrassa une fois encore et se rendit dans la cuisine pour servir deux tasses de thé chaud « L’anniversaire s’est bien passé, je présume ? » demanda-t-il tout en s’affairant en cuisine, dos à Angelica.
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Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Si elle n’avait pas trop bu ce soir-là, Angie aurait sans doute vu les chaussures dans l’entrer. Elle aurait pu apercevoir le portable dans la cuisine ou encore la veste qui avait été suspendu, juste à côté de la sienne, juste où elle avait posé la sienne. Mais elle avait l’esprit un peu embrumé, la joie de vivre dans le sang suite à cette belle soirée. Elle savait qu’Edward allait rentrer le lendemain, et ça l’a mettait en joie. Elle le chanta même en ondulant son corps comme s’il y avait encore de la musique. Photo, texto et le mieux serait sans nul doute dodo… à la place se fut sursaut. Et hurlement de frayeur par la même occasion. Une voix grave qu’elle ne connaissait que trop bien avait résonné dans l’appartement. Effet de surprise garantie. Mais il ne fallu pas longtemps à la jeune femme pour se redresser et s’élancer pour sauter au cou d’Edward. Elle l’embrassa avec envie, souriant contre ses lèvres, hachant sa phrase par ses baisers. « -ah… ba… c’est… réussit… » commenta Angie sans arrêter pour autant de poser ses lèvres sur la peau d’Edward.
La jolie rousse reposa les pieds au sol, savourant le baiser qu’Edward lui donna. Il était là… enfin… « -margarita. On a bu des margarita toute la soirée… Flynn adore ça. » expliqua la jeune femme. En soit, ça voulait dire que ses lèvres avaient bon gout… Elle sourit à nouveau béatement et répondit avec une légère grimace : « -je dirais… quelques-uns… et sans doute un ou deux de trop… mais ça va ! Je me sens bien ! » voulant dire par là qu’elle n’avait pas du tout envie de vomir. Non, elle était en forme. Seulement plus que joyeuse. « -tu vas où ? » demanda Angie en agrippant l’arrière de son t-shirt. « -non reste là… » elle le suivit et vint se coller dans son dos, glissant ses mains sous son t-shirt. Oh god ce torse… Angie roula pratiquement des yeux de satisfaction. « -on va mettre de la musique… hein… ouais ça va être top. » elle sautilla sur place, embrassa Edward et retourna vers son téléphone. Elle chercha quelques secondes puis lança Be Mine de Ofenbach. Elle avait toujours trouvé cette chanson sensuelle. « -Edward… viens danser avec moi… » le supplia la jolie rousse alors qu’elle se déhanchait avec sensualité. Lorsqu’il fut proche d’elle, elle sourit, venant de coller à son corps. Lentement elle lui retira son blazer. « -on a pas besoin de ça… » elle l’envoya valser sur le canapé. Puis glissa de nouveau ses mains sous le t-shirt d’Edward. « -je suis tellement contente que tu sois rentrée. » puis elle sourit toujours avec cette étincelle d'ivresse: "-tu vois que je te disais que je savais pas danser." lança la jeune femme avant de rire joyeusement.
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J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Edward ignorait encore tout de la Angelica ivre, mais elle semblait avoir l’alcool joyeux. Ce qui ne le surprenait pas particulièrement, à vrai dire. Cette femme était si bienveillante et pétillante au quotidien, qu’il y avait une certaine cohérence à ce qu’elle le reste même en étant ivre. La surprise passée, cette dernière s’était ruée dans ses bras comme à la suite d’une longue absence et il l’avait accueillit dans ses bras sans ménagement, lui rendant ses baisers les uns après les autres. Durant le vol, il avait eu le temps d’envisager leurs retrouvailles, mais pas une seconde il n’avait songé à la possibilité qu’elle soit ivre à la suite de la fête d’anniversaire de son meilleur ami. Cela chamboulait quelque peu les plans préétablis dans son esprit. Pour autant, cela n’ôta pas une once de bonheur à leurs retrouvailles et se délectait même de découvrir la jeune femme dans cet état second. Il avait l’étrange sensation que la soirée allait être singulièrement intéressant. Le politicien la laissa reposer pieds au sol afin d’entourer son visage de ses mains et l’embrassa de manière plus profonde, comme pour exprimer tout le manque d’elle qu’il avait ressenti ces derniers jours. Il se recula avec lenteur et trouva pertinent de commenter le goût de ses lèvres qu’il trouvait particulièrement agréable et sourit « C’est ça. Margarita » et reprit « Moi aussi ». Il n’en buvait jamais, mais il aimait le goût sucré que ça avait laissé sur les lèvres d’Angelica ce soir. Il était si heureux d’être de retour à ses côtés, que ça pouvait presque paraître indécent. Son sourire ne quittait plus ses lèvres depuis que la porte d’entrée s’était ouverte sur elle, et il en faisait que s’accroître à chaque fois qu’elle parlait. Elle était si délicieuse. « Je le constate » répliqua-t-il tout en s’éloignant vers la cuisine.
Néanmoins, Angelica ne souhaitait pas le laisser s’éclipser aussi facilement et se saisit de son t-shirt « Je vais faire du thé » répliqua-t-il dans un léger rire. La jeune femme n’usa pas de toute sa force pour le retenir à elle, et prit la sage décision de l’accompagner jusqu’à la cuisine. Debout devant le comptoir de la cuisine, il prit le temps de récupérer deux tasses pour y verser l’eau qui actuellement bouillait à proximité. Il récupéra deux sachets dans la boite prévue à cet effet et les disposa dans les deux récipients, mais ne put retenir un soupir de bien-être en sentant la caresse des doigts sur son torse. Elle est ivre. Tu dois résister, martela sa petite voix intérieure. Mais que la tentation était grande. Il fit couler l’eau dans les deux tasses tandis que la jeune femme s’occupait de la musique. Ofenbach. Il osa un coup d’œil en sa direction, avant de retirer les deux sachets de l’eau chaude stagnante, puis se retourna face à Angelica, dos contre l’établi en marbre. À sa demande, il se détacha et s’avança jusqu’à elle d’un pas trainant. Il sentait sa virilité réagir alors que ses yeux se délectait de la danse sensuelle qu’elle n’offrait qu’à lui. S’il devait donner une nouvelle définition à la torture, il choisirait probablement celle-ci.
Un petit rire résonna à la jonction entre sa cuisine et son salon, tandis qu’Angelica retirait son blazer, considérant le vêtement comme devenu brusquement inutile. Il suivit le morceau du tissu du regard, jusqu’à ce qu’il atterrisse nonchalamment sur le canapé, puis reporta son attention sur la femme devant lui, au moment où elle glissa ses mains sur ce torse qui la faisait semblablement fantasmer. « Moi aussi » précisa-t-il, tout en constatant qu’il appréciait également l’influenceuse ivre. Elle était tout aussi amusante que l’Angelica du quotidien, bien qu’un tant soit peu plus entreprenante. À son grand damne, car il ne donnerait aucune suite à ses avances. Ivresse et consentement étaient intrinsèquement liés, et il considérait qu’une femme qui avait bu suffisamment d’alcool n’était jamais consentante, bien qu’elle prétende le contraire. La jolie rousse avait beau être sa petite-amie, que ça soit par contre ou depuis quelques jours maintenant, il résisterait à la délicieuse tentation à laquelle elle le soumettait ce soir. « Je trouve que tu danses parfaitement bien » et posa ses mains sur les siennes « On va boire notre thé et on va ensuite faire dodo. Tu viens mon ange » tout en se reculant un pas après l’autre jusqu’à la cuisine.
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Charly
Mer 12 Juin - 22:05
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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« -ba oui mais bon c’était la fête… Et je te jure que c’est super rare que je sois comme ça… » est ce qu’elle était en train de se justifier ? Edward ne semblait pas en colère ou contrarié de la voir ainsi. Et puis, il était au courant que c’était l’anniversaire de Flynn. « -il m’a obligé à boire, c’est de sa faute. » elle éclata de rire en disant cela. « -bon d’accord, c’est un peu le piège ce truc… t’en bois un et puis deux et après ba… » elle grimaça avant de le voir partir vers la cuisine. Ho non, hors de question qu’il s’éloigne. Angie le talonna et glissa ses mains sur sa peau, collant son corps au sien. Il lui avait tellement manqué. Elle n’avait pas imaginé une seule seconde qu’il puisse rentrer plus tôt. « -du thé ? Pourquoi du thé ? » s’étonna la jeune femme. Elle n’avait pas la moindre envie de boire un thé. C’était de lui dont elle avait envi… vraiment très envie.
Mais elle décida de lancer de la musique et elle l’invita à venir la rejoindre. Il était sans doute fatigué mais elle n’avait pas la lucidité d’esprit pour s’en inquiéter. Elle voulait seulement danser avec lui, retrouver sa présence qui lui avait tant manqué. Elle commença à danser, et rapidement se colla de nouveau à lui. Elle lui retira son blazer, et glissa ses mains sur sa peau. « -j’adore les surprises mio amore, mais si j’avais su… » elle l’aurait clairement attendu en petite tenue dans son lit comme un paquet cadeau à déballer en express ! « -c’est vrai tu trouves ? » demanda Angie en riant toujours, ses hanches contre les siennes. Puis elle ouvrit la bouche en s’immobilisant. « -quoi ? Tu veux aller te coucher ? » la déception s’entendait dans sa voix. « -c'est super gentil, mais j’ai pas envie de boire du thé… » grimaça Angie avant d’ajouter en souriant : « -encore moins de dormir… » libérant sa main pour la faire grimper le long du torse d’Edward.
Elle s’immobilisa et se fut comme si elle venait d’avoir une révélation. « -ou sinon ! » elle leva son index : « -on fait un bain de minuit… » elle souriait jusqu’aux oreilles. « -ou de deux heures je sais pas trop… » elle le traina par la main : « -aller viens… la piscine est chauffée… » elle lâcha sa main et fit glissa sa robe le long de son corps. « -promis on va se coucher après… » ajouta Angie comme si ça pouvait le décider à la suivre.
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Mer 12 Juin - 22:35
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Plus Angelica parlait et plus il souriait à l’instar de ces idiots qu’Adam passait son temps à décrire dans ses romans à l’eau de rose, et dont la jeune femme raffolait. Sa main sur sa joue, il inclina légèrement le visage de la jeune femme en sa direction, tandis qu’il la dominait d’une vingtaine de centimètres et déposa ses lèvres sur les siennes à seule fin de la faire taire. Il se recula sensiblement « Arrête de te justifier » et l’embrassa de nouveau, puis se mit à sourire alors qu’elle rejetait la faute de son ivresse sur les épaules de son meilleur ami, et l’embrassa une dernière fois « Tu es drôle quand tu es soule ». Il retira sa main dans une caresse, tout en se dirigeant jusqu’à la cuisine « Pour t’aider à t’endormir » s’était-il justifié tout en se rendant la cuisine où il s’affaira à préparer ledit thé. L’accalmie ne fut que de courte durée lorsqu’il sentit les mains de cette dernière s’aventurer sur son torse, réprimant un frisson sous ses caresses. Par chance, Angelica était à l’image de toute autre personne pris de boisson, elle avait l’esprit chancelant et jeta bien vite son dévolu sur son portable afin de diffuser une musique pour le moins entrainante et sensuelle.
À sa demande, Edward délaissa les deux tasses de thé fumante sur le comptoir de la cuisine et s’approcha de l’influenceuse qui se déhanchait d’une manière particulièrement enivrante et qui mettait son corps à rude épreuve. Elle le délesta de son blazer, considérant le vêtement inutile, et glissa de nouveau ses mains sur sa peau. Enivrée, Angelica ne prenait pas conscience de la lutte intérieure qu’il menait pour ne pas succomber, alors que pourtant, elle n’attendait que cela. Qu’il capitule face à la tentation… Diabolique. Cette femme était délicieusement diabolique. Il déposa ses mains sur les siennes, afin qu’elle cesse ses caresses sur son torse, tout en exhortant sa virilité ne pas réagir davantage au contact des hanches d’Angelica contre les siennes. Il parvint malgré tout à articuler un « Oui » pour répondre à sa question, et glissa ensuite sa main dans la sienne, bien décidé à la mettre au lit avant qu’elle ne devienne une véritable tentatrice à qui il serait difficile de refuser la moindre des avances. Sa question lui serra le cœur. Angelica souhaitait profiter de son retour et lui ne demandait qu’à mettre un terme à cette délectable torture « Oui. Avec toi ». Il désirait qu’elle dorme avec lui afin de la surveiller au cours de la nuit pour s’assurer qu’elle ne serait pas malade. Il baissa les yeux sur la main qu’elle glissait de nouveau le long de son torse. « Bien » fut la seule réponse qu’il parvint à lui donner, sans se départir d’un petit sourire amusé. La Angelica soule était plus obstinée que celle qui ne l’était pas.
Oh ! Le pire risquait de se produire quand il sentit qu’une idée probablement fantastique, mais également redoutable venait de germer dans son esprit. Elle lui donna rapidement raison. Un bain de minuit. « Deux heures, oui » confirma-t-il avec un petit rire après un rapide coup d’œil à la montre de son poignet. Il se laissa conduire sur quelques mètres, et déglutit avec difficulté en s’enivrant de la vue qu’elle lui offrait. Cette manière si délicate qu’avait sa robe de glisser le long de son corps pratiquement nu, dévoilant chaque parcelle de sa peau, de ses formes. Sa virilité était plus dure que les murs qui soutenaient leur appartement. Edward leva les yeux au ciel, entendant sa petite voix intérieure, Mon dieu. Je mérite la plus belle des récompenses pour résister à ta création. Il reporta son attention sur Angelica qui se baignait en sous-vêtements, et se rapprocha du bord « L’eau est bonne ? » lui demanda-t-il « Tu ne m’en veux pas si je reste là ? » et se justifia comme il put « Le vol m’a fatigué ». Il ne pouvait pas lui avouer qu’il était incapable de retirer le moindre vêtement, sans prendre le risque de fléchir. Elle est ivre. Elle est ivre. Elle est ivre, se martela-t-il inlassablement. Mais qu’est-ce qu’elle est belle, aussi… Et si sensuelle, et si… Tais-toi. Elle est ivre. Elle est ivre. Angelica n’avait pas la moindre idée du combat qui se menait à l’intérieur de son esprit, tandis que sa virilité faisait monde à part la concernant.
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Charly
Jeu 13 Juin - 14:30
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Alors qu’Angie tentait tant bien que mal de faire comprendre à Edward que ce n’était pas dans ses habitudes de boire ainsi, il lui coupa la parole pour l’embrasser. Baiser auquel elle répondit avec délice, fermant les yeux pour mieux le savourer. Lorsqu’il recula, elle les garda fermé encore quelques secondes. « -je veux pas que tu crois que… » mais à nouveau, il l’embrassa et elle comprit qu’il n’était pas en colère, qu’il ne prenait pas mal le fait qu’elle ait un peu trop bu. Après tout, elle était partie en soirée, avec des amis, elle avait bu… tout en sachant qu’il était loin… Plus d’un homme aurait pu voir ressurgir de la jalousie ou de la peur vis-à-vis de la confiance accordé. Angie n’était pas assez claire dans sa tête ce soir pour voir les choses jusque-là. Tout ce qu’elle souhaitait, c’était qu’il ne lui en veuille pas d’avoir un peu trop bu. « -hoho… » rigola Angie. « -je connais d’autres trucs pour bien dormir… » roh qu’est ce qu’il était sexy. Qu’est ce qu’il lui avait manqué… Qu’est ce qu’elle avait envie de lui…
Angie n’avait pas envie d’aller se coucher, ni de boire du thé. Elle voulant danser et profiter du reste de la soirée. En tout cas c’était ce que l’alcool dans son sang la poussait à faire. Ses hanches contre celles d’Edward… lorsqu’il prit ses mains, elle ne manqua pas de lui montrer sa déception. Un nouveau petit rire : « -avec moi… » elle haussa les sourcils. Mais avant qu’il n’ait prit les tasses en main, elle changea d’idée. La piscine ! Oh oui ! Un bain de minuit ! En quelques minutes, elle était en sous vêtement, et plongeait dans la piscine en riant. L’eau était chaude, c’était hyper agréable. Angie se rapprocha du bord de la piscine où était resté Edward. « -viens et tu le saura toi-même. » avait elle répondu alors qu’il s’approchait. « -t’as vraiment pas envie ? » demanda Angie en parlant de la baignade, son regard laissant penser autre chose. Sans attendre plus, elle lui saisi une main et le fit chuter dans l’eau dans un bel éclat de rire. Tout aussi rapidement, elle se rapprocha de lui, passa ses bras atour de son cou pour l’embrasser avec envie. Angie moula son corps au sien, avant de décréter, dans sa tête, qu’il devait retirer son t-shirt. Elle s’y employa et jeta le tissu mouillé sur le rebord de la piscine. « -j’aurai pas dû faire ça… » souffla la jeune femme en voyant apparaitre le torse nu d’Edward. A nouveau elle posa ses lèvres sur les siennes avant d’articuler quelques mots entre deux baisers : « -j’ai envie de toi… » un baiser. « -je sais que tu es fatigué… » un nouveau baiser. « -et que tu veux attendre… »
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"Avec un mensonge on va loin, mais sans espoir de retour" - Ft. Charly