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LE TEMPS D'UN RP

Jusqu'à la fin des temps - feat Nemo

Pyramid Rouge
Messages : 857
Date d'inscription : 23/12/2019
Région : Derrière toi.
Crédits : Jibaro- Love death & robots

Univers fétiche : Silent Hill/ Horreur
Préférence de jeu : Les deux
PYRAMID ROUGE
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Pyramid Rouge
Dim 21 Avr - 12:09
Le contexte du RP
Mise en situation

Jusqu'à la fin des temps - feat Nemo  B53a8c57cdf67a6f13a301fa156a4617f9ee9e9d

La situation
Dans un monde dans lequel la magie prend parfois sens, des portails s’ouvrent à des fréquences totalement aléatoires, sous les nez de personnes elles aussi choisies aléatoirement. Un point commun : chaque portail mène au même endroit, le KnockOut Moon. Un immense bâtiment regroupant le plus grand casino jamais connu, plusieurs boîtes de nuits, salles de concerts, bars et hôtels. En somme, un Las Vegas atteignable uniquement par l’élite. Un seul fait étrange : ceux qui y sont invités n’en sont jamais sortis. Mais, au fond, pourquoi le voudraient-ils ?
Deux personnes se retrouvent tous les soirs au KnockOut Moon, font connaissance, s’amusent et dansent. Tous les soirs, à répétition. Et quand la soirée se termine ? Aucun des deux n’arrivent à se souvenir

Contexte provenant de cette recherche
Pyramid Rouge
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Univers fétiche : Silent Hill/ Horreur
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Pyramid Rouge
Lun 22 Avr - 1:37

Sheva
Banahatti

J'ai 30 ans et je vis à Los Angeles, Etats-Unis. Dans la vie, je suis en première année de spécialisation de médecine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis Célibataire et je le vis plutôt pas bien.

Chanson thème - Sheva


-2 ans plus tôt.

Quelque part dans un amphithéâtre huppé au milieu d’un amas de bâtiment néonisé de jour comme de nuit se battent des foules bruyantes et excitée pour trouver les meilleurs place de cette pièce à la morphologie si singulière. C’était si grand qu’on se croyait dans un mini stade de foot. Celui qui serait au milieu de cette arène d’un autre genre était seule face à plus de 2000 personnes. Il en fallait des couilles pour parler devant un tel public. Assise au milieu du brouhaha  ambient  une jeune femme se distingue un peu de tout le reste. De nos jours, les technologies avait tellement progressée que tout le monde avait cédé à la séduction obscène des implants électroniques en tout genre. Grace à un petit implant – souvent tordu d’un esthétisme de gangster futuriste- on pouvait voir l’heure, ses constantes vitales, appeler n’importe qui et savoir localiser n’importe quoi. Les téléphone n’existait presque plus tout était dans la tête, dans les implants électroniques toujours plus poussé et pervers. Tout le monde en possédait sauf Sheva Banahatti.

- Alors miss pureté tu vas choisir quelle spécialisation ?

La voix nasillarde de moqueries ne remarque pas qu’au contraire de son habitude la jeune femme n’as pas les cheveux attachés en un de ses splendide chignon natté et très soigné. Non, Sheva porte une nattes à moitié défaite qui s’écroule sur ses épaules hâlé de soleil. Le regard fixé sur la tablette en face d’elle ses yeux se gorgerait de larmes mais elle referme le poing. Relevant les yeux sur lui son regard brille d’une nouveauté qui surprend tout le monde. Le fond de ses yeux sont encore rouge et ses yeux brillent dorénavant de lentilles implantées à son orbite.

-Chirurgie viscérale et transplantation.
L’air sévère, le sang gorgé au fond de ses orbites font sourire amèrement ses harceleurs. Elle a l’air d’une déesse de chaos. Le rouge au fond de ses yeux empêche à n’importe qui de voir que ses paupières se gorge de larmes durement retenue.
-Eh bha … Sacré choix, je comprend mieux pour… Il fait un geste désignant ses yeux et les implants.-Les lentilles de sur-précision… Ca dû te couter une fortune.
Une fortune. Oh ça oui. Les yeux dans le vide, cet abrutie n’imagine pas a quel point ce qu’il dit est vrai.

***


-Maman je suis rentrée, j’ai trouvé des crevettes fraichesje vais pouvoir nous faire un curry au lait de coco.

Refermant une porte miteuse aux multiples verrous, c’est en les refermant un a un derrière elle que Sheva s’adresse à sa mère. Mère qui ne répond pas. L’automatisme de rentrer chez soi ne change pas. Elle pose ses clés sur un meuble écaillé et se faufile dans les couloirs fins pour déposer le sac de papiers de courses sur la table. L’appartement n’avait rien de luxueux au contraire et si il ne laissait jamais vraiment entrer la lumière aujourd’hui c’était encore pire.

-Chérie… Viens au salon s’il te plait.

Quant elle s’était approchée du salon elle ne s’attendais pas à voir toute l’assemblé d’un gang de mafia agressif derrière le rideau de perle qui clinquait pour séparer la pièce du couloir. Paralyser un instant son regard se posa sur sa mère, puis son paternel. Son père, le visage tuméfié de douleur, du sang plein son t-shirt, un canon de Glock 26 sur sa tempe transpirante. Sa jugulaire dansait une chorégraphie de stress.  Il ne lui fallu qu’une seconde pour comprendre dans quel merde noir s’était retrouvé sa famille… Les études de médecines après tout n’avais jamais été simple d’accès pour les petits porte monnaie. A cet instant elle ne savait pas ce qui avait retenu ces types aussi longtemps de se déchainer sur eux. Quelles parties de son âme son père avait-il vendu pour pouvoir offrir l’avenir convenable que sa fille souhaitait ? Beaucoup trop, c’était sûr.

Les négociations n’avait pas été longues. Il n’avait fallu que quelques mots pour que la jeune femme comprenne que son père devait beaucoup de fric a l’enfoiré qui l’avait défiguré. Du fric que son père n’avait pas ou plutôt, plus sous la même forme. Et c’est elle qui représentait tout ce paquet de fric qu’il devait. C’est comme ça, comme ça que sa vie avait dérapé sur un chemin glissant qui l’avait poussé à accepter de s’allonger sur la table d’opération d’un sous sol sordide.  Pour porter les derniers implants de précision visuelle permettant de détecter et hacker n’importe quel implants cybernétique. Médecin de mafia. C’est ce qu’elle serait en sortant de ses années de spécialisations.
***

Avec de tels implants de succès à même les yeux comment ne pas réussir en étant major de promotion ? Mais cette réussite n’était plus rien pour la jeune femme car c’était cette foutue cybernétique qui était major de promo, pas sa simple personne. Le boulot était simple maintenant, tenir un poste d’un dispensaire des quartiers miteux de la ville. Et la nuit elle retirait des balles, recousait des plaies, replaçait des épaules, et acceptait par défaut tout travaux médicaux illégaux qu’on lui assignait. Avant ça, jamais elle ne buvait une seule goutte d’alcool, jamais elle ne souillait son sang d’une seule goutte de drogue ou de nicotine… Mais pour tenir dans ce genre d’enfer avec un conscience, il faut la faire taire. Tous les moyens sont bons.

Une flasque dans la poche de son trench long, être une putain de traite ne l’empêche pas d’être classe. Une classe qui se remarque au milieu de la mélasse des quartiers sud. La bouteille de saké bon marché à la main, sa démarche est presque suffocante. Mais avec le temps les mêmes doses ne procure plus les mêmes effets. Maintenant elle n’oubli plus. Plus assez pour pouvoir s’endormir alors les néons sont ses meilleurs amis. Traversant le quartier avec sa bouteille vide il lui en faut plus pour oublier ce putain de boulot qui a bafoué tout ses principes… Mais ce soir rien est ouverte, le béton est noir et les lumières faiblardes.

-Putain de rue de… merde Un hocquet lui prend la gorge tandis qu’en titubant contre un mur elle peste de plus en plus.
Puis, au milieu de cette rue sombre une immense clarté l’appelle avec une musique suave qui lui susurre à l’oreille que l’alcool qu’elle recherche est ici. Totalement high, elle se réveille en sursaut dans un fauteuil de cuir. Sans savoir ou elle se trouve, la lumière rouge et tamisée lui laisse comprendre les gémissements significatifs qu’elle entend. En se relevant. Plus de trench, plus de bouteille, plus de tease dans le crâne. Mais elle ne s’en souviens pas. Ouvrant les rideaux de velours pour suivre un couloir, dans l’entrebâillements d’autres rideaux elle aperçoit toute sorte de scènes qu’elle trouve obscène mais qui ne saurait que faire languir sa curiosité. Pressant le pas pour parcourir les couloirs, le monde et la musique la mène à un bain de foule illuminé par des néons multicolore sur une piste de dance sombre.
Perdue ou bien retrouvée, un sourire lui pavent les lèvres.
Ici, plus rien n’a d’importance. Elle le sait.

Nemo
Messages : 509
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NEMO
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Nemo
Dim 21 Juil - 12:03
au paradis
Alex
28 ans
Coincé dans le KnockOut Moon, inconscient qu'il l'est
Célibataire, extrêment volage

Assis derrière un bureau, les mains dures posées sur un clavier, je tapote mécaniquement une phrase sans aucun sens. Je ne regarde même pas les lettres sur l'écran. Mes yeux sont collés sur ces doigts hyperactifs que je ne reconnais pas. Est-ce moi ? J'essaie de bouger mais mon corps refuse, comme s'il était menoté au dossier et aux accoudoirs de ma chaise. Mes paumes sont scotchées au bois du bureau, ne laissant que mes phalanges bouger comme des boudins qui souhaiteraient s'échapper. Je suis totalement bloqué. Où suis-je ? Est-ce que c'est moi ? Est-ce que... Qu'est-ce que je suis en train de faire ?
Je parviens à relever mon visage lourd et le place droit devant l'écran. Il est noir. Je peux me voir au travers aussi bien qu'un miroir. Mes orbites sont creuses et surplombées de cernes noires, mes joues pendent, ma lèvre inférieure pend elle aussi, brillante de salive. Mon teint est atrocement pâle. Je suis mort, je crois. Et je tape encore au clavier comme si ma vie en dépendait. Si je me concentre bien, j'arrive à déceler les mots que mes doigts écrivent dans le vide. C'est un mot qui se répéte à l'infini : F - U - I - S.
Fuis. Fuis. Fuis.

*



La musique respire à travers chaque parcelle de mon corps. Je navigue sur les vagues de sonorités comme un marin expérimenté. Mes bras et mes jambes dansent de leur propre grés, au milieu d'une foule de clones. Les paupières fermées, je ne vois rien. Je n'en ai pas besoin, j'entends les couleurs et ressens les formes. Le sourire béat plaqué sur mes lèvres laisse parfois place à des semblants de paroles chantées ou criées à l'improviste. Des corps nus ou presque me frolent, passent au-dessus des bras levés en l'air. Ce doit faire plusieurs heures que je suis sur la scène avec les autres.  Mes plantes de pieds commencent à se faire entendre, je décide alors de prendre une petite pause et de m'étaler sur un fauteuil préalablement occupé par un couple heureux.

Je soupire de bonheur et sourit en plissant les yeux à une jeune femme qui décide de transformer mes cuisses en une chaise des plus confortables. Elle se déhanche sur le rythme de la musique et je l'accompagne avec mes bras autour de ses côtes et de ses hanches.
Elle sort de son haut échancré une série de petits ronds blancs emballés. Elle en pose un sur sa langue et son regard de feu me le propose. Pour toute réponse je m'approche davantage et l'embrasse fougueusement. La pastille passe de sa langue à la mienne et je l'avale sans attendre. Elle en pose une deuxième sur sa langue qu'elle gardera pour elle cette fois.
Je reste collé quelques instants encore à cette inconnue, profitant des effets lancinants de la musique et de la drogue sur mon corps.

Cela fait une éternité que je suis ici, ou bien est-ce les substances que je prends ? Je vis ma vie ainsi désormais, tuant à petit feu mes tympans et ma pudeur. Je ne changerai ma vie pour rien au monde. Je ne sais même plus à quoi elle ressemblait avant, je ne sais plus qui j'étais. Je dois faire des efforts parfois pour me rappeler qui je suis. Ici, peu importe l'identité, le mental, ne reste que le corps et la déshinibition. L'émerveillement, le rêve. Le Paradis.

Mon regard se pose sur une jeune femme qui semble découvrir ce monde avec des yeux nouveaux. C'est visible, elle n'a pas encore cette lueur de folie dans ses yeux. Elle a un joli visage, encadré par de longs cheveux noirs. Elle regarde l'univers autour d'elle. Je m'approche d'elle le pas trainant et passe ma main sur sa joue, jusqu'à son menton. Il est impossible de s'entendre dans cette salle, alors je me baisse et touche presque son oreille de mes lèvres.

- C'est ta première fois

Je n'attends pas forcément de réponse, je le sais. Ça crève les yeux.

- Viens

Je sais qu'elle viendra, tout le monde vient. Chacun d'entre nous est attiré par ce monde, c'est comme un virus dans le cerveau. Un putain de virus orgasmique.

Je lui prends gentiement le poignet et la tire vers la foule. Elle a besoin de mettre de côté tout le négatif, je vais en prendre soin. Avec moi, elle sera dans un rêve éveillé, au Paradis. Au milieu de la foule, je lui tends une bouteille d'alcool. Autant ne pas commencer trop fort.

- Alex, dis-je à nouveau dans son oreille.

Cette fois il ne m'a pas fallu si longtemps pour m'en souvenir.
@ Nemo


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Jusqu'à la fin des temps - feat Nemo
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