Le Temps d'un RP
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LE TEMPS D'UN RP

Sweet agony and fascination meeting (ft. Gäa)

Senara
Messages : 698
Date d'inscription : 04/06/2022
Région : J'habite en théorie, parce qu'en théorie tout se passe bien
Crédits : avatar (senara) signature (minori) texte (Ronnie Radke et Andy Black)

Univers fétiche : Réel, urban fantasy, fantastique, jeu vidéo
Préférence de jeu : Les deux
POWER RANGERS 2
https://www.letempsdunrp.com/t5165-my-rainbow-s-dreams https://www.letempsdunrp.com/t5222-les-disgressions-de-senara https://www.letempsdunrp.com/t5157-senara-my-mind-is-up-and-away
Senara
Sam 23 Mar - 13:24

Le contexte du RP

L'agent Doyle, militaire au service des autres durant l'épidémie qui ravage le monde, sacrifie sa vie pour sauver une famille. Laissé pour mort, il est jeté à la mer et abandonné à son sort. A ceci près que, si le virus provoque généralement la rage du contaminé, ce ne sera pas son cas. Non, l'agent Doyle va peu à peu muter. Mais pour devenir quoi ? Quelle sera la finalité de ce processus inattendu et a priori unique ?

En parallèle, il y a une sirène, Callixte, qui est envoyée par sa reine pour comprendre ce qui se passe à la surface. Car si cela fait des siècles que le peuple de l'eau n'a plus aucun contact avec les terrestres, ce qui se passe sur la terre ferme est en train de les toucher. En effet, depuis quelques temps, les rares sirènes qui s'approchent des rivages tombent malades. Certaines sont même devenues incontrôlables au point qu'elles ont dû être enfermées. A terme, elles sont toutes décédées. Callixte a pour mission d'enquêter, une mission qu'elle a à cœur en dépit des dangers qu'elle sait parfaitement encourir. Survivra-t-elle à l'air vicié ? Où dépérira-t-elle à l'instar de ses sœurs ?

Idée tiré du film 28 semaines plus tard et de notre amour immodéré pour les sirènes.


I lost my fucking mind, it happens all the time 'cause I can't stand myself. So please believe me I'm a needy insecure fucking freak and it ain't as easy or as dreamy as you think it would be.
Senara
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Senara
Lun 25 Mar - 19:58

Callixte
J'ai environ 800 ans ans et je vis à Néréyia, au fond de l'océan. Dans la vie, je suis actuellement éclaireuse et guerrière au service de ma Reine et je prends mon rôle avec fierté et sérieux. Sinon, grâce à mes responsabilités, je suis entièrement dévouée envers mon peuple et je le vis parfaitement bien.

Sweet agony and fascination meeting (ft. Gäa) Adv3
en autant de siècles d'existence, Callixte a eu le privilège d'occuper plusieurs rôles au sein de son peuple.
inconsciemment, elle a participé aux mythes et légendes entourant les sirènes, puisqu'elle a déjà été en contact de marins lorsque la scission entre leur deux mondes n'étaient pas encore en vigueur.
est déjà tombée amoureuse d'humains à différentes époques, tout comme elle a déjà participé aux trépas d'autres hommes.
n'a plus aucun contact avec le monde terrestre depuis plus de 200 ans.
A chaque coup de queue, la sirène se rapprochait un peu plus de la surface, ce qui n’était pas une mince affaire pour elle. Car voilà plus de deux siècles qu’elle n’y était pas retournée, qu’elle s’occupait uniquement de la sécurité des fonds marins et qu’elle avait tout simplement tourné le dos au monde terrestre. Elle n’était donc plus habituée à la pression hydraulique allégée qui régnait si près du monde humain.  Mais comme depuis quelques temps des consœurs et autres animaux marins dépérissaient, la Reine avait décidé de l’envoyer en éclaireuse pour comprendre d’où venait cet étrange phénomène alarmant. Certes, des informations provenant de poissons, de cétacés et autres mammifères marins avaient commencé à agiter les profondeurs, mais l’ordre de s’éloigner des rivages et de rester cloisonnés au plus bas des mers et des océans selon les espèces n’avait été donné qu’après la mort de sirènes venues enquêter sur ces rumeurs à la surface. Certaines étaient encore malades, rongées par un mal inconnu qui les rendait parfois incontrôlables, comme frappées de folie. Et les autres, exposées depuis plus longtemps à ce mal incurable avaient purement et simplement fini par dépérir au fil des semaines. Callixte, qui faisait partie des plus anciennes et jouissait donc d’une grande expérience, avait été choisi pour trouver la source du problème et, le cas échéant, pour y mettre un terme avant qu’il n’y ait d’autres victimes dans leur rang. Évidemment, la sirène n’était pas stupide. Elle savait pertinemment qu’en obéissant à sa Reine et en cherchant à venir en aide à son peuple, elle mettait sa propre vie en danger. Mais cela lui importait peu. Elle avait toujours été au service des siens et ce n’était pas aujourd’hui qu’elle allait abandonner ses valeurs. Bien au contraire ! Le monde marin avait plus que besoin d’être soutenu, rassuré et protégé en ces temps difficiles qu’il n’avait plus connu depuis longtemps, et Callixte avait non seulement les épaules pour mener cette mission à bien, mais elle en avait surtout l’inflexibles volonté et témérité. Usant des courants marins, la sirène se laissa porter par eux une bonne partie du chemin, avant de nager avec la rapidité d’un espadon.

Le visage hors de l’eau, la sirène toussa et cracha, devant se réhabituer à l’air qui emplissait à nouveau ses poumons après plus de deux siècles d’immersion totale. Elle dut ainsi refaire plusieurs essais en replongeant la tête sous l’eau, puis de la faire rejaillir. Et même alors, elle ne se sentit pas au mieux de ses capacités. Cela faisait trop longtemps qu’elle ne s’était pas prêtée à cet exercice. Puis, au bout de ce qui lui parut durer une éternité – et pour une sirène de huit cent ans ce n’est pas peu dire – Callixte finit par retrouver la quasi-totalité de ses forces. Regardant autour d’elle, le monde ne semblait pas avoir changé tant que cela. Mais elle était encore loin du rivage, et savait que l’époque qu’elle avait connu devait désormais être révolue. A quoi ressemblait-il maintenant ? Elle l’ignorait, bien que des rumeurs et diverses informations finissaient invariablement par circuler jusque dans les profondeurs. Mais peu intéressée par ce qui se déroulait au-delà des vagues et de la houle, la sirène n’écoutait que d’une oreille distraite les commérages du moment. De toute façon, d’ici quelques décennies à peine, elle entendrait un tout autre discours. Alors pourquoi s’en préoccuper ? Sa place était au fond des océans de toute façon. Son devoir l’appelait ailleurs, tout comme sa maturité, tandis que ses années de curiosité et de charme étaient désormais passées. Suivant un courant, Callixte prit la direction de la terre ferme et fut surprise le silence qui régnait en ces lieux. Cela faisait peut-être longtemps qu’elle n’avait pas sorti la tête de l’eau, elle gardait néanmoins parfaitement le souvenir du chant des oiseaux et le vacarme des activités humaines. Ici, rien. Comme si eux-aussi avaient déserté la zone. Pas d’humain, pas d’animaux, juste un calme surnaturel qui n’augurait rien de bon. Mais n’ayant pas vraiment de point de départ, Callixte décida de rester ici et de partir à la recherche de premiers signes suspects qui pourraient lui donner une direction, ou déjà quelques éléments de réponses sur ce qui se passait. Même si, clairement, elle ne s’attendait pas à des miracles. Les contrées humaines n’étaient pas aussi vastes que les océans, elles n’en demeuraient pas moins immenses pour autant. Réfléchissant si elle devait oui ou non sortir de l’eau ou simplement faire le tour de l’endroit à la nage, elle se rapprocha de la berge. Là, à moitié étendu sur la terre ferme et les jambes flottant dans les hautes herbes entremêlées, un homme gisait, comme mort. Peut-être que son enquête allait débuter ici, finalement. Par prudence, elle prit le temps d’écouter les environs durant une poignée de secondes, vérifiant qu’il n’y avait aucun danger potentiel, avant de rejoindre le corps sans vie de l’humain. S’il n’était plus de ce monde, les siens avaient dû l’abandonner. Elle trouva juste étrange qu’on ne lui rende pas les honneurs, alors qu’elle se souvenait que les humains le faisaient toujours lorsqu’elle parcourait encore les mers et foulait la terre, il y a des siècles de cela. Peut-être était-ce le signe qu’il était mort seul, ou que les coutumes des humains avaient changé. A moins que ce ne soit le résultat d’un problème qui touchait aussi le monde marin ? Callixte n’aura peut-être jamais la réponse à cette question.

Toujours à moitié dans l’eau, elle attrapa la cheville de l’homme et l’attira légèrement vers elle, de manière à pouvoir l’étudier sans devoir se hisser sur la terre ferme. Elle le retourna, lui enleva la boue et les herbes qui barraient son visage et l’observa attentivement, à la recherche d’une trace, d’un coup ou d’une blessure qui expliquerait son état. Prenant sa main dans la sienne pour l’inspecter, ses sourcils se froncèrent alors que la perplexité la gagnait. Ne devrait-il pas être complètement froid, maintenant qu’il était décédé ? A moins que sa mort ne soit récente ? Étrange... ou pas ! Car le prétendu cadavre émit un soupir, signe qu’il n’en avait pas encore fini avec la vie. Surprise, Callixte plongea aussitôt sous l’eau pour cacher sa présence et pour se protéger. S’étant persuadée que l’humain n’était plus qu’une dépouille vide, elle n’avait pas jugé utile de le vérifier. Une erreur de débutante... Ça commençait mal. Attendant quelques instants, elle finit par réapparaître. L’homme n’avait pas bougé, mais la sirène pouvait désormais constater qu’il respirait si elle en jugeait à sa cage thoracique qui se soulevait et s’abaissait dans un rythme régulier. Que faire ? Il était sa meilleure chance – et surtout une chance inespérée alors qu’elle venait à peine de débuter son investigation – d’avoir des réponses. Mais lui en donnerait-il ? Était-il contaminé ? Si oui, le deviendrait-elle aussi et finirait-elle par devenir aussi malade et incontrôlable que ses sœurs ? Peut-être. Peut-être pas. Dans tous les cas, ça n’avait guère d’importance. Elle était là pour le bien commun, et si le sacrifice de sa vie profitait au reste des sirènes, alors c’était avec joie qu’elle acceptait la sentence. Approchant son visage de celui de l’homme, des gouttes d’eau salées tombèrent sur lui. Elle scruta son visage, perplexe quant à la démarche à suivre, puis finit par le toucher du bout de l’index. S’il était vivant, il finirait par se réveiller, non ? D’un autre côté, elle n’avait pas le temps d’attendre... Callixte poussa un soupir et décida finalement de l’asperger d’eau froide. Elle avait un lointain souvenir que c’était ainsi que les humains réveillaient leur contemporain lorsqu’ils avaient un peu trop forcé sur une boisson alcoolisée. Qui sait ? Peut-être que ça fonctionnerait aussi dans son cas ?


I lost my fucking mind, it happens all the time 'cause I can't stand myself. So please believe me I'm a needy insecure fucking freak and it ain't as easy or as dreamy as you think it would be.
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