Univers fétiche : Réel, fantasy, fantastique, jeu vidéo
Préférence de jeu : Les deux
Senara
Ven 4 Aoû - 3:06
Le contexte du RP
Mise en situation
Jarod est un jeune loup, fraîchement débarqué du Texas au Groenland. Autant dire que le changement de température et de météo le laissent quelque peu... curieux et maladroit. Et tandis qu'il essaie de se faire à son nouvel environnement, il attire l'attention d'une fée protectrice de la nature. Metsä l'observe ainsi de loin, curieuse elle-aussi de cette présence à laquelle elle ne s'attendait pas.
Et garde tes rêves, tu ne peux jamais savoir à quel moment tu en auras besoin. ♛ by wiise
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Préférence de jeu : Les deux
Gäa
Mer 16 Aoû - 23:57
Jarod Solveig
J'ai 18 ans et je vis à Maniistoq, Groenland. Dans la vie, je suis loup oméga et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, j'ai retrouvé ma mère biologique et je le vis plutôt bien. - Jarod n'est pas doué à la chasse, mais c'est un très bon pêcheur -Son regard d'oméga et d'une couleur argentée -Il aime la nature, se promener en solitaire -Jarod a toujours eu peur de son père -Il veut apprendre la langue de sa mère -Il redevient vite un louveteau dans l'âme
Je voulais rendre la meute fière ! je n'avais pas encore rencontré celle-ci, mais je savais que c'était pour bientôt. Alors j'étais toujours avec mon dictionnaire, pour apprendre à parler la langue de ma mère, je voulais sans cesse améliorer mon accent, et souvent j'allais demander à ma mère si je m'en sortais bien, parfois, j'avais peur qu'elle me dise oui, uniquement par amour, alors je me remettais en question, alors je poursuivais mon apprentissage, tout en restant proche de la meute de loup et de chien. La propriété était immense, et c'était agréable, je n'avais pas non plus les leçons que alpha venait m'imposer, en faite, j'avais même la sensation de vivre dans un tout autre monde. Je pouvais sortir dehors, me retrouver parmi les chiens, ainsi que les loups, puis me regarder le paysage pendant des heures, tout en jouant avec les protéger de ma mère. Pas de leçon, je n'avais pas non plus à avoir peur, ici je ne craignais rien, j'étais libre d'être moi-même, alors oui, je voulais vraiment rendre la meute fière.
Si je prenais mes habitudes, c'est à dire avec ma mère, les chiens, bientôt je ressenti le besoin d'explorer ... La neige avait le don de m'intriguer, le froid aussi, d'ailleurs, je commencé à m'y habituer, même si ma fourrure n'avait pas encore complètement changer de couleur, elle n'était pas non plus encore très épaisse, seulement c'était long, et ma soif d'exploration se faisait bien présente, la propriété de ma mère n'était plus suffisante, j'avais besoin de me dégourdir les pattes.
Aujourd'hui, alors que ma mère était parti travailler à la boulangerie, j'optais pour prendre ma forme de loup, pour enfin élargir mes horizons. Bon, ma fourrure n'était pas encore assez épaisse, par contre, mon pelage commencé à devenir d'un blanc neige, et j'en étais fier ! humant l'air extérieur, je me senti encore plus euphorique, que lorsque j'étais sous forme humaine. Dans ce pays, il n'y avait pas d'odeur à faire fuir, évidemment, je parle surtout de pollution, ici j'avais surtout le droit à la délicieuse odeur des sapins, des pins, de l'air frais, même très frais ce qui me fit frissonner. Puis il y eu cet appel, celui de la nature, alors c'était peut-être des petits pas, mais j'arrivais en forêt, m'amusant du craquement des branches et des feuilles sous mes pattes, les nouvelles odeurs me rendant toujours aussi euphorique. Puis me vint l'idée de courir, je fus pris d'une puissante adrénaline et lorsque je débuta ma course, se fut un véritable plaisir de sentir le vent à travers ma fourrure, comme une douce caresse de la nature, l'odeur du bois, des autres animaux, la faune flore, tout ! j'étais au comble du bonheur, jusqu'au moment ou j'atteignis la poudreuse. Me stoppant devant celle-ci, j'y déposais d'abord une patte, avant de poursuivre, puis sautillant à cause du froid, jusqu'à ce que je finisse par me rouler dans la neige, découvrant que la neige pouvait aussi être une caresse. Voila, je n'étais plus un jeune loup, j'étais plutôt redevenu un louveteau. Plongeant la truffe dans la poudreuse, j'éternuais, m'amusant seul avant de m'élancer dans la neige, courant après une proie imaginaire. C'était ça être libre ? C'était un sentiment puissant, mais j'aurais certainement du mieux écouter ma mère ... C'est une douleur à la patte qui me stoppa net, mais faisant gémir et sursauter, et c'est la que je reconnu un piège de braconnier. M*rde, m*rde pensais je ... Qu'est ce que je devais faire ? Si je faisais du bruit, j'avais bien peur d'attirer l'attention sur moi, mais en même temps, se serait pas mal ? Sauf que je ne voulais pas me retrouver face à un chasseur ... Ma chance ? Tenter de sortir ma patte de la avec mes crocs, mais plus je forcé, plus le piège se venait à se fermer, ce qui me faisait gémir, je commencé à tourner en rond, gémissant, la queue entre les jambes et les oreilles complètement en direction du sol, j'avais peur, je n'aurais pas du aller aussi loin, mais je ne perdais pas espoir pour autant, alors je reniflais les odeurs autour de moi, jusqu'à en sentir une toute nouvelle.
❝ Hold my hand ❞ Hold my hand, everything will be okay I heard from the heavens that clouds have been grey Pull me close, wrap me in your aching arms I see that you're hurtin', why'd you take so long To tell me you need me? I see that you're bleedin' You don't need to show me again But if you decide to, I'll ride in this life with you I won't let go 'til the end
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Senara
Ven 1 Sep - 22:25
Metsä
J'ai 220 ans et je vis à Qinngua, Gröenland. Dans la vie, je suis une fée protectrice de la nature et ça me tient particulièrement à cœur. Sinon, grâce à mon statut de fée, je suis libre comme l'air et je le vis très bien.
Cela faisait des dizaines d’années que Metsä observait, apprenait et voyageait dans la Vallée de Qinngua. Elle en connaissait chaque recoin, chaque animal qui y était né, avait vécu puis était mort. Elle avait eu la joie d’assister à la croissance de buissons et d’arbres qui étaient passés de petits arbrisseaux fragiles à de magnifiques bouleaux pubescents et de saules gris. Elle aimait aussi sentir les changements de saisons, bien que le réchauffement climatique ait un impact sur cette vallée qu’elle protégeait, et sur elle-même. Néanmoins la jolie et délicate fée parcourait quotidiennement ce terrain qui était sous sa surveillance, et elle le faisait avec entrain et joie à chaque jour renouvelé. Aujourd’hui n’échappait pas à cette règle, et Metsä virevoltait comme une enfant entre les troncs et les feuilles. En dépit de la neige qui avait commencé à tomber et à recouvrir le paysage, certains arbres jouissaient toujours de leur apparat verdoyant. La fée, ou esprit de la forêt, n’oubliait cependant pas sa mission et ses responsabilités. Elle détestait en particulier les chasseurs et les braconniers, tous comme ceux qui utilisaient la nature comme une poubelle publique. Aussi gracile puisse-t-elle paraître, sa fonction de gardienne et d’esprit de la forêt pouvait la rendre particulièrement redoutable. Si elle décidait de s’en prendre à un humain salissant sa magnifique vallée ou pire, à un être répugnant venu attaquer ses amis les animaux, il ne serait jamais retrouvé. Les pouvoirs conférés par son statut lui permettraient de faire un véritable carnage si elle le désirait. Un juste châtiment pour la souffrance qu’on infligeait à ce lieu. Mais voilà, le mentor de Metsä lui avait enseigné la patience et la fragilité des humains. Elle représentait la vie, la protection et le bonheur d’être en contact avec la faune et la flore. Ainsi, elle ne devait pas céder à des pulsions punitives qui ne feraient que la transformer en ce qu’elle détestait. La violence et la destruction, c’était l’apanage des hommes et de certaines créatures magiques, pas celui des gardiens de la nature. Et surtout, il ne fallait pas oublier que tous ne partageaient pas cette mentalité. On comptait nombre d’humains qui passaient leur vie à justement protéger la faune et la flore. Là-dessus, Metsä ne pouvait qu’être d’accord. Elle avait déjà croisé la route de tels individus, et pour les en remercier, elle les avait même aidés et pris sous sa protection le temps de leur périple en ces terres. Elle devait trouver le bon équilibre et ne pas oublier que personne de magique ne devait apprendre leur existence. D’ailleurs, les fées et autres esprits ne se mêlaient guère des histoires des autres races, à tel point que pour la majorité ils n’étaient que mythes et légendes. Certains croyaient en eux, d’autres étaient indécis sur la question, et d’autres encore n’accordaient aucun crédit à leur prétendue existence. Il ne fallait pas s’en offusquer, bien au contraire. Leur présence sur cette planète n’avait jamais été dans l’optique de diriger les humains, juste de limiter les dégâts et de rendre encore plus belle la nature. Mais effectivement, avec le temps, ils se faisaient de plus en plus rares. Un jour peut-être, ils disparaitraient car ils n’auraient plus d’utilité. En attendant, Metsä était heureuse de vivre et prenait sa mission très à cœur. C’était une jeune fée pleine de bonne volonté, encore curieuse des rencontres qu’elle pouvait faire sur son terrain de jeu. Par exemple, entre arbres qui poussaient et animaux qui gambadaient, Metsä était parfaitement au courant de la présence d’une meute de loups ici. Et elle aimait leur rendre visite sous sa forme de petite fée ailée. Mais elle ne s’était jamais montrée sous sa forme habituelle, c’est-à-dire celle qui faisait qu’elle ressemblait davantage à une humaine, une fois ses ailes rendues transparentes. Tous les jours, ou tout du moins une fois par semaine selon les soucis ou les dangers que pouvaient rencontrer la Vallée, Metsä volait jusque là-bas et observait tous ses loups avec plaisir et curiosité.
Aujourd’hui n’échappait pas à la règle. Après être partie du côté ouest, puis vers le nord, la fée s’était dirigée du côté des loups où elle en avait aperçu un qui s’amusait avec la neige. Elle sourit, amusée par cette douce innocence, et l’observa pendant un temps, avant de le laisser à ses découvertes et à ses péripéties. Elle s’envola alors vers le sud et décida de se poser au pied d’un sorbier pour profiter d’un moment de répit. Là, elle joua avec ses pouvoirs, faisant tantôt apparaître des fleurs ou des animaux en glace dans sa main, tantôt s’allonger les racines de l’arbre auprès duquel elle se reposait. Jusqu’à ce qu’un « clank ! » suivi de gémissements plaintifs se fassent entendre. Fronçant les sourcils, elle sut immédiatement ce que cela signifiait : un piège et un animal qui venait de tomber dans cette machination. Se relevant aussitôt, elle reprit sa petite taille et s’envola en direction des plaintes. Arrivant sur place, elle aperçut le jeune loup qui se débattait pour sortir sa patte de là. Elle prit alors une taille plus grande et s’approcha de lui.
« Hé, doucement petit loup. Je vais t’aider à sortir de là. » déclara-t-elle sur un ton doux et calme. « Je sais que c’est contre-intuitif, mais bouge le moins possible, sinon tu vas davantage te blesser. »
Et tout en parlant, elle avait appuyé sur les bords métalliques du piège pour l’ouvrir. Une fois que sa patte fut libre, elle le relâcha et le piège se referma à nouveau. Mais à présent, il ne ferait plus de mal à un autre animal. Avisant ensuite sa blessure, elle lui laissa le temps de retrouver un semblant de quiétude.
« Bonjour ! Je suis Metsä, gardienne de la nature du Groenland et de cette Vallée en particulier. Si tu n’y vois aucun inconvénient, j’aimerais bien soigner ta blessure. Elle n’est pas très grave, mais ce sera toujours plus agréable de la soulager. » sourit-elle amicalement, dégageant une aura fiable, rassurante et protectrice.
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Gäa
Ven 15 Sep - 22:29
Jarod Solveig
J'ai 18 ans et je vis à Maniistoq, Groenland. Dans la vie, je suis loup oméga et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, j'ai retrouvé ma mère biologique et je le vis plutôt bien. - Jarod n'est pas doué à la chasse, mais c'est un très bon pêcheur -Son regard d'oméga et d'une couleur argentée -Il aime la nature, se promener en solitaire -Jarod a toujours eu peur de son père -Il veut apprendre la langue de sa mère -Il redevient vite un louveteau dans l'âme
Ma mère m'avait dit qu'il y avait des braconniers, mais je n'aurais jamais cru, que certains viennent poser des pièges, aussi près de notre demeure ... Enfin je n'avais qu'à regarder derrière moi, je mettais bien éloigner du domaine familial, seulement lorsque j'étais dans la nature, surtout avec cette découverte de la neige, je redevenais comme un louveteau assez insouciant. J'étais allé assez loin, sans même m'en rendre compte, et à présent je ne savais plus quoi faire ... Tentant de retirer le piège, disons que je n'avais que empirer les choses ... Gémissant, j'espérais une aide, j'avais peur, j'étais même affolé, je voulais rentrer chez moi, pensais je tout en baissant les oreilles.
Humant l'air, je pouvais sentir une douce odeur, ce n'était pas un animal, ni même un humain, c'était autre chose ... Il y avait une présence, je pouvais à présent la ressentir, et j'eu un léger sursaut, en voyant une jeune femme rousse, apparaître assez soudainement. Elle avait une voix douce, une visage doux, ainsi qu'une délicieuse odeur sucrée et de fleurs ... Voyant celle-ci s'approcher de moi, j'hésitais ... Un piège ? Non elle n'était pas humaine, ce piège venait d'un humain, mais alors qui était-elle ? Observant celle-ci, j'étais tout de même prêt à attaquer, les oreilles aplatis, je mettais mis en position d'attaque, pas que j'étais en condition d'attaque, c'était surtout pour faire passer un message, je serais prêt à me défendre si besoin. Seulement voila, il y avait ce ton à la fois doux et calme, puis tout en continuant de regarder le moindre de ses gestes, celle-ci réussi à me libérer. Mon instinct me disait de fuir, seulement j'avais toujours cette curiosité en moi, qui était-elle ? Pourquoi ? Alors je mettais contenter de reculer, tout en ne la lâchant pas du regard, puis je trébucha ... Oui en même temps fallait sans doute, le museau dans le neige, j'aurais pu grimacer si c'était possible, mais à la place je gardais mon calme, léchant ma patte blessée, avant de laisser échapper un petit éternuement ... Ma mère n'allait plus jamais me laisser sortir en voyant ça ... La douce voix de la rousse me fit pencher la tête sur le côté, une gardienne de la nature ... Voila pourquoi elle avait cette douce odeur, voila aussi pourquoi, je me sentais bien en sa présence. Metsä venait de me proposer de soigner cette blessure ... Encore une fois, je penchais la tête sur le côté, mais après tout, je n'y connaissais rien en "gardien" de la nature, alors je me rapprochais de la rousse, pour la laisser faire. Voyant celle-ci utiliser sa magie, la blessure laissant place à une patte neuve, j'avais déjà envie de montrer ma joie, me secouant comme ci je venais de sortir d'un bain, puis sautillant dans la neige en jappant de contentement, seulement ce ne serait jamais suffisant pour la remercier, je devais lui en offrir plus, je le voulais aussi, elle m'avait sauver ! pensais je tout en lui redonnant un petit coup de museau, frottant ma tête contre elle. Puis lui donnant à nouveau un petit coup de museau, je lui fis signe de me suivre (si tourner sur moi même, avait pour sens de dire suis moi), je venais de commencer à prendre le chemin du retour, et je ne cessais de me retourner, tout en jappant, pour inviter Metsä à me suivre. En aucun cas je ne pouvais reprendre forme humaine ici, je n'avais pas de vêtements à proximité et même en loup, j'avais froid, alors humain, je ne voulais même pas imaginer ce que ça pouvait donner. Est-ce que ma mère savait qu'il y avait des gardiens ? Est-ce que Metsä avait déjà rencontrer la meute ? J'avais tellement de questions, mais est-ce qu'elle voudrait y répondre ? Est-ce qu'elle pouvait ? Si la rousse ne venait pas, tant pis, je reprendrais tout de même forme humaine, et je ferais tout pour la retrouver, il y avait quelque chose chez elle ... Je ne serais dire, mais voir une autre personne en dehors de la meute, ça me faisait du bien, surtout que j'étais en train de découvrir, qu'il n'y avait pas que les loups dans cette forêt, jamais je n'avais rencontrer de gardien au Texas.
❝ Hold my hand ❞ Hold my hand, everything will be okay I heard from the heavens that clouds have been grey Pull me close, wrap me in your aching arms I see that you're hurtin', why'd you take so long To tell me you need me? I see that you're bleedin' You don't need to show me again But if you decide to, I'll ride in this life with you I won't let go 'til the end