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LE TEMPS D'UN RP

Being happy doesn’t mean that everthing is perfect

Charly
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lune 2
Charly
Mar 30 Aoû - 21:12

Judy Freeman
J'ai 34 ans ans et je vis à Seattle, Pays. Dans la vie, je suis professeur. J'enseigne l'art à des lycéens et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt très mal.

Fille unique, petit trésor de ses parents, Judy n'a pas vraiment coupé le cordon. Elle passe régulièrement les voir. Sa mère est l'une de ses plus proches amies. Judy a grandit dans un foyer plein d'amour, entre ses peluches et ses amis imaginaires. Elle adorait jouer à la maitresse, mais aussi la peinture, le dessin... la voie était toute tracée. Professeure. Aujourd'hui, elle enseigne, elle aime ça, même si clairement les gosses qu'elle a en classe lui font passer l'envie d'en avoir à elle. Pas très organisée, tête en l'air, souvent à côté de la plaque, elle pratique beaucoup l'autodérision. Côté vie sentimentale, elle cherche désespérément un homme qui tombera amoureux d'elle. Elle en veut toujours à son ex, six ans plus tard.  
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« -non. » avait répondu Judy en toute sincérité. « -on a des points communs, on s’entends bien, j’adore son humour mais non. » un haussement d’épaules avant de lui mettre son index sur le front : « -alors ranger vos scénarios de loveur. » elle avait souri : « -ça serait un peu trop facile non ? » tomber sur le type qu’il lui fallait comme ça, sans avoir eut besoin de chercher. Elle n’était pas du genre chanceuse. Mais visiblement elle faisait bonne impression à Caleb et demanda à ce qu’elle lui explique la différence entre son avis de psy et son avis perso. Une fille bien… cela lui fit baisser ses yeux sur ses chaussures, non sans sourire. Pas par gêne ni parce que la définition lui plaisait. On lui avait déjà dit tant de fois. Oui mais toi t’es une fille bien… ça voulait bien dire : toi tu n’as pas le droit de tout faire. Une gentille fille. Tout pour plaire à une homme… elle en doutait. Vraiment. Simplement parce que la plus part des hommes étaient comme Caleb. Un truc d’un soir suffisait. Du sexe, pas de sentiments. Sauf qu’elle, ça ne lui suffisait pas. Elle avait besoin d’un peu plus que quelques verres et un sourire charmeur pour retirer son soutien-gorge. Judy lui demanda d’arrêter parce qu’elle restait convaincue qu’il ne lui aurait pas adressé un regard. « -je te crois pas… » avait elle finit par conclure. Non, elle en était certaine, il ne se serrait pas retourné.

« -parce que c’est la vérité ! » avait répondu Judy en souriant. Mais elle nota dans un coin de son esprit ce qu’il venait de dire sur sa manière de se qualifier. Elle avait même lever les yeux au ciel lorsqu’il avait avancé regarder les danseurs plutôt que les chanteurs. Quoi qu’il en soit, elle accepta de lui offrir un petit cours de danse. Bon, il n’allait pas faire danse avec les stars demain, mais le but n’était pas là. « -il n’y a pas de fierté à avoir. Tu m’as dis directement ne pas savoir danser. Je ne m’attendais pas à voir la réincarnation de Jackson. » mais il avait fait l’effort de bouger plutôt que de rester paralysé par la honte ou la peur. « -merci, j’adore cette musique et pour un début, elle est parfaite. Le tempo est top pour commencer à bouger en rythme. » Elle le guida au mieux, l’encourageant afin qu’il continu et peu à peu, il semblait plus à l’aise.

Un petit rire et elle reprit : « -tes yeux te suffisent à draguer j’imagine. » c’était un peu réducteur mais c’était surement la vérité. « -quoi ? Tu as dis que tu ne discutais pas. » donc c’était le physique son meilleur atout. Elle rit de plus belle lorsqu’il se vanta. « -rien que ça ! » une légère grimace et elle ajouta : « -hum ça… malheureusement ça a certainement pu arriver. » pas forcement avec chaque, mais tout de même. Elle sourit en le voyant se diriger vers un angle de la salle. « -c’est vrai… » et c’était plaisant. « -ça me va. » un hochement de tête et ils se quittèrent le temps d’une douche et de se changer. Elle revint dans une tenue bien moins découverte, son sac sur l’épaule. « -je te laisse gérer. » c’était lui le pro. Lui qui savait comment allait se dérouler les heures à venir. Alors elle suivait tout simplement. Pour le moment elle était tout sourire, mais Judy savait qu’à un moment où à un autre, ça changerait.

Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Mer 31 Aoû - 15:01

Caleb Hamilton
J'ai 37 ans ans et je vis à Seattle, Etats-Unis. Dans la vie, je suis entremetteur et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt très bien.

Caleb a vu le jour et a grandi dans le quartier défavorisé de South Park, à Seattle.  Il s’est toujours considéré comme un privilégié dans le quartier. Son père n’était pas parti chercher un paquet de cigarette à sa naissance, pour ne plus jamais revenir, et sa mère ne cumulait pas trois emplois pour subvenir à leurs besoins. Il avait grandi dans une famille aimante, passant ses dimanches à jouer au baseball avec son père dans le jardin. Cela lui permis d’obtenir une bourse pour étudier la psychologie à l’Université, jusqu’à ce qu’il ne se blesse à l’épaule à sa quatrième année. Ses excellents résultats lui permirent de maintenir sa bourse, et il décrocha son diplôme. Il exerça un moment en tant que thérapeute en Californie à l’issue de ses études supérieures. Finalement, il prit conscience que la problématique récurrente de ses patients, c’était l’amour. Ils souffraient de chagrin d’amour ou encore se sentaient seuls, d’autres n’y croyaient plus, alors que certains espéraient encore, allant de déception en déception. Il décida donc de créer sa société , devenant une espèce de Dr. Love, comme Will Smith au cinéma, mais cette fois-ci, à Seattle.  
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Apparemment Tyler n’était pas le genre d'homme avec lequel Judy souhaitait finir ses jours, et cela, malgré des qualités indéniables. Il se mit à rire alors qu'elle devinait déjà où il voulait en venir avec ce dénommé Tyler « OK ! OK ! » rétorqua-t-il alors en levant les mains « Parfois la bonne personne est à proximité, et on ne s’en rend pas compte ». Son travail était d'envisager toutes les possibilités. Mais avant de commencer à lui trouver un homme, il devait d'abord lui redonner confiance en elle. Il se montra sincère sur la manière dont il percevait la jeune femme, sur le fait qu’elle était une femme bien, qui méritait de trouver un homme qui saurait le voir. Elle resta silencieuse jusqu’au moment où il lui avoua que si leurs chemins s’étaient croisés en soirée, il se serait retourné sur elle. Elle ne le croyait pas « Pourquoi ça ? » Demanda-t-il alors, curieux de connaître sa justification. Judy manquait cruellement de confiance en elle, même lorsqu’elle faisait quelque chose de dingue comme apparaître dans des clips de star, par exemple. Il le souligna, mais elle resta ferme sur ses positions « Non. C’est ta vérité à toi » précise-t-il en pointant son index vers Judy avec douceur.
Cette dernière accepta de lui donner un cours de danse, et Caleb put révéler tous ses talents… De mauvais danseurs. Judy se montra pédagogue avec lui alors qu’elle avait une opportunité en or pour se moquer de lui « Je suis à la réincarnation de Jackson, mais quand il apprenait à marcher » tout en gesticulant comme un nouveau né avant de rire plus timidement, sa main derrière sa tête « Enfin tu as bien vu… ». Ils reprirent la danse, mais cette fois-ci ensemble, sur une chanson d’Eminem , qu’il complimenta « Je ne l’avais pas vu comme ça, mais je te l’accorde, c’est un bon son pour danser » parce ce que c’était l’objectif de la manœuvre et Caleb se montra plus habile cette fois-ci sur les consignes de Judy.

L'entremetteur lui confia ne jamais danser, même en soirée et se mit à sourire « Oui, assez ». Il fallait être objectif, ses yeux bleus l’aidaient beaucoup avec la gente féminin avant de rire « Je n’ai rien dit ! C’est un fait, mon physique m’aide beaucoup » avoua-t-il, avant de se vanter sur ses promesses sexuelles. Cela eut l’effet de faire rire Judy également « Je plaisante !... enfin pas totalement ». Il était plutôt bon dans la matière. Puis il se mit à imaginer un scénario où les femmes avaient finalement toutes simulés et s’approcha du coin avant de revenir vers Judy « J’en ai conscience et je peux te dire que certaines devraient faire carrière. Parfois, je suis mauvais, j’ai la tête pleine, et je les entends crier. Je me demande pourquoi » en faisant une légère moue « Tu as intérêt à garder ça pour toi. Je tiens à ma réputation de bon… très bon amant » en pointant son doigt vers elle , puis le baissa et se mit à rire avec un regard complice à l’attention de Judy. Ils prirent ensuite une douche et se changèrent. Caleb l’emmena dans un petit café au style bohème parisien caché dans une rue de Seattle et salua la propriétaire et serveuse qui était française. Une bise et présenta Judy en posant machinalement sa main dans son dos « Judy, je te présente Camille qui nous vient directement de Normandie » « Enchanté Judy. Vous venez déjeuner ou petit-dejeuner ? » « Petit-dejeuner » « Je vous laisse vous installer, j’arrive avec la carte ». Caleb la conduisit sur la terrasse et Demanda « Tu aimes ? ».

Charly
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Charly
Mer 31 Aoû - 17:03

Judy Freeman
J'ai 34 ans ans et je vis à Seattle, Pays. Dans la vie, je suis professeur. J'enseigne l'art à des lycéens et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt très mal.

Fille unique, petit trésor de ses parents, Judy n'a pas vraiment coupé le cordon. Elle passe régulièrement les voir. Sa mère est l'une de ses plus proches amies. Judy a grandit dans un foyer plein d'amour, entre ses peluches et ses amis imaginaires. Elle adorait jouer à la maitresse, mais aussi la peinture, le dessin... la voie était toute tracée. Professeure. Aujourd'hui, elle enseigne, elle aime ça, même si clairement les gosses qu'elle a en classe lui font passer l'envie d'en avoir à elle. Pas très organisée, tête en l'air, souvent à côté de la plaque, elle pratique beaucoup l'autodérision. Côté vie sentimentale, elle cherche désespérément un homme qui tombera amoureux d'elle. Elle en veut toujours à son ex, six ans plus tard.  
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Judy ne put s’empêcher un commentaire « -ouais… je l’ai déjà entendu quelque part celle-ci… » peut être qu’il est sous ton nez et tu ne le vois pas. Un ami ? Un collègue ? Les papa solo de ses élèves ?! Elle était peut être un peu pessimiste, mais elle n’y croyait pas. « -il dois faire de demande à sa copine. » avait elle alors ajouté pour faire comprendre à Caleb que ça n’était pas la peine de se faire des idées. « -et il ne m’attire pas. » oui, d’accord la beauté c’était l’âme ou le cœur un truc comme ça. Il fallait tout de même avoir un minimum d’attirance pour l’autre, physiquement sinon… ba non l’humour ça ne faisait pas tout. Elle ne cru pas non plus Caleb lorsqu’il affirma qu’il se serait retourné sur elle en soirée. « -parce que je suis pas votre genre de fille. En soirée, je suis discrète. Si je ne le suis pas c’est que j’ai bien trop bu. Donc sur la piste de danse, et tu ne danses pas. Je parle trop et pour ne rien dire. Un vrai boulet. J’aurai été capable de te dire un truc du genre : je te trouve super canon ! En bavant à moitié avant de m’endormir la tête dans les cacahuètes. » ouais, lui adressa un petit sourire en coin. C’était la stricte vérité. Et cela donnait raison à Amélia. Elle avait besoin d’aide.

Judy était la reine pour se juger dans la norme. Elle ne passait pas son temps à se dénigrer, mais elle était ordinaire. Elle ne faisait selon elle jamais quoi que se soit d’exceptionnelle, et ne valait pas forcement la peine d’être regardé. La belle rousse adorait la danse, mais elle ne se croyait pas au niveau pour être vu à la télé dans un clip. La réponse de Caleb lui fit ouvrir la bouche sans qu’aucun son n’en sorte. Elle baissa les yeux quelques secondes, comme si elle prenait conscience de ce qu’il venait de dire. Puis elle lui adressa un petit sourire en coin. Pas du genre taquin mais plutôt du genre gêné devant ce qu’il venait d’énoncer.

Le cours de danse se passa dans la bonne humeur. Elle apprécia qu’il se prête au jeu et elle fit son possible pour lui faciliter la tâche. « -ça nous laisse de l’espoir du coup ! » renchérit Judy sur le sujet Jackson, souriante et réellement amusée par tout cela. « -elle est aussi super pour la course à pieds, pour se motiver la matin, pour n’importe quel entrainement. » ouais vraiment elle l’utilisait pour tout. « -roh non… » elle trouvait ça navrant. Un joli rire : « -à qui veux tu que j’aille en parler ? » puis avant de partir se doucher elle demanda : « -et hum… encore une fois je vais jouer les rabat-joie mais… » elle coupa la musique et récupéra son téléphone. « -c’est pas un peu frustrant parfois ? Tu n’es pas qu’un physique agréable. » c’était une affirmation. Il était aussi très intéressant à connaitre.

Judy se laissa guidé par Caleb et elle fut agréablement surprise par l’établissement dans lequel il l’emmena. Elle ne le connaissait pas. « -wahou… j’adore… » souffla t elle sur le pas de la porte avant de glisser un regard dans son dos lorsqu’elle sentit la main de Caleb, puis de vite se reconcentrer sur la jeune femme qu’il lui présentait. Elle sourit et ne dit rien, avant de s’asseoir. « -elle vient d’où ? » question énoncée en montrant ses dents. Elle était prof d’art, pas de géo. « -et oui, j’aime beaucoup. C’est… tu viens souvent ? » il avait tout de même fait la bise à la serveuse. Soudainement elle se demanda si Camille savait qui il était vraiment et surtout ce qu’il faisait dans la vie. Si c’était le cas, elle avait sans doute classé Judy en cas désespérée, pauvre fille, voir même frigide… La jolie rousse se massa quelques instants entre les deux yeux, paupières fermées. No stress… Elle regarda quelques secondes le tableau qui se trouvait derrière le comptoir. Elle savait déjà ce qu’elle allait prendre… un truc qu’elle adorait et qui n’était pas servit partout. Un chocolat viennois… Grande fan de chantilly elle adorait cette boisson.

Manhattan Redlish
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Mer 31 Aoû - 19:11

Caleb Hamilton
J'ai 37 ans ans et je vis à Seattle, Etats-Unis. Dans la vie, je suis entremetteur et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt très bien.

Caleb a vu le jour et a grandi dans le quartier défavorisé de South Park, à Seattle.  Il s’est toujours considéré comme un privilégié dans le quartier. Son père n’était pas parti chercher un paquet de cigarette à sa naissance, pour ne plus jamais revenir, et sa mère ne cumulait pas trois emplois pour subvenir à leurs besoins. Il avait grandi dans une famille aimante, passant ses dimanches à jouer au baseball avec son père dans le jardin. Cela lui permis d’obtenir une bourse pour étudier la psychologie à l’Université, jusqu’à ce qu’il ne se blesse à l’épaule à sa quatrième année. Ses excellents résultats lui permirent de maintenir sa bourse, et il décrocha son diplôme. Il exerça un moment en tant que thérapeute en Californie à l’issue de ses études supérieures. Finalement, il prit conscience que la problématique récurrente de ses patients, c’était l’amour. Ils souffraient de chagrin d’amour ou encore se sentaient seuls, d’autres n’y croyaient plus, alors que certains espéraient encore, allant de déception en déception. Il décida donc de créer sa société , devenant une espèce de Dr. Love, comme Will Smith au cinéma, mais cette fois-ci, à Seattle.  
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Un regard pour la femme face à lui et se mit à sourire « Tu sembles sceptique, je me trompe ? ». Pourtant, l’expérience professionnelle de Caleb attestait cette théorie. Plus d’une fois, il n’avait pas eu à chercher bien loin pour trouver un homme ou une femme qui n’attendait que cela. Un geste, un regard, une invitation à boire un verre ou une invitation à dîner. Pour Judy, ça ne semblait pas être une évidence, alors que, de son côté, il envisageait Tyler comme un futur candidat. Enfin… Jusqu’à ce qu’elle lui confie que ce dernier allait se marier prochainement « Oh ! Monsieur a déjà le cœur conquis » rétorqua-t-il avec un sourire, ravi pour ce dernier et releva son regard sur elle « Il fallait commencer par-là ! ». Ce n’était pas Caleb qui allait lui vendre la beauté intérieure comme argument. Généralement, il prenait l’exemple du vase. Il avait beau être utile pour y ranger des fleurs, il fallait qu’il attire l’œil, qu’il soit agréable à regarder. Lorsque l’on rencontrait quelqu’un, il fallait un minimum d’attirance. Et si Judy n’en éprouvait pas pour les hommes qu’elle allait lui présenter, il ne la pousserait pas dans leurs bras. Néanmoins, en ce qui le concernait personnellement, il se serait retourné sur elle dans une soirée. Ce que ne semblait absolument pas croire l’intéressée. L’entremetteur se mit à rire devant la liste d’arguments et acquiesça avant de répondre « Je note que tu me trouves canon » et ajouta « Mais tu te trompes. Je n’ai pas dit que je t’aurais draguée. Je t’ai dit que je me serais retournée sur toi. Contrairement aux idées reçues, les femmes discrètes se remarquent tout autant que les autres. Elles dégagent seulement un charme différent » et ajouta dans un haussement d’épaule « Puis, je ne t’aurais pas laissé t’endormir dans les cacahuètes. Je t’aurais ramené vers tes amies en leur demandant de prendre soin de toi. Je ne suis pas un connard », et ses parents l’avaient bien éduqué.

Le lendemain, dans le studio de danse, Caleb s’était prêté au jeu. Il partait du principe que le ridicule ne tuait pas, d’autant plus qu’il était parfois le roi des gaffes. Il se compara même à Michael Jackson lors de ses premiers pas, et il se tapota la tempe avant de la désigner du doigt tout en lui faisant un clin d’œil « Exactement ! » et se mit à rire avant d’évoquer la chanson d’Eminem « Elle est parfaite en toute circonstance » et la preuve en était, il apprenait à danser dessus. Lorsque Judy cita le film Hitch en assimilant la danse au sexe, Caleb fit une petite révélation sur ce point « Heureusement que mon égo n’est pas trop sensible » alors que certaines femmes avaient simulé sans raison, dans le seul but de flatter son égo masculin, alors qu’il avait conscience de ne pas être au mieux de ses capacités, bien au contraire « Je ne sais pas. A tes amies ». Après tout, elle allait sûrement évoquer leur collaboration lors d’une soirée entre filles. Enfin, il n’en savait trop rien en réalité. Tout en se dirigeant vers les douches, Judy revint sur le sujet de ses coups d’un soir et étonnamment, l’entremetteur se mit à sourire avec douceur « Pour le moment, non » et ajouta, tout en ouvrant la porte du vestiaire « Mais merci… », touché par le compliment. Ce n’était pas souvent qu’on appréciait ses qualités humaines.

En sortant du studio de danse, Caleb savait d’ores et déjà où emmener la jeune femme pour prendre le petit-déjeuner. Il connaissait un petit café français style bohème et envahi de végétation. Au commentaire de la jeune femme, il comprit qu’il avait fait le bon choix. Il salua la propriétaire avant de lui présenter Judy, puis se rendirent sur la terrasse afin de profiter de ce début d’été « Du nord de la France » précisa-t-il et acquiesça « De temps en temps, oui. Camille est une amie à ma sœur. Elles sont allées au lycée ensemble, puis Trish, ma sœur, est allée à l’Université alors que l’autre cumulait les petits jobs par-ci, par-là jusqu’à ouvrir son propre café ». La dénommée Camille arriva à leur table et Caleb laissa Judy passer commande avant d’en faire de même. Lorsqu’elle s’éloigna, Caleb posa ses coudes sur le rebord de la table « Et non, on n’est jamais sortie ensemble. Tu n’as pas posé la question, mais elle t’a sûrement traversée l’esprit. Elle est mariée à Helen qui est en cuisine » avant d’ajouter « Est-ce que tu as un maillot de bain ? Et est-ce que tu aimes l’eau ? ».

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Mer 31 Aoû - 21:18

Judy Freeman
J'ai 34 ans ans et je vis à Seattle, Pays. Dans la vie, je suis professeur. J'enseigne l'art à des lycéens et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt très mal.

Fille unique, petit trésor de ses parents, Judy n'a pas vraiment coupé le cordon. Elle passe régulièrement les voir. Sa mère est l'une de ses plus proches amies. Judy a grandit dans un foyer plein d'amour, entre ses peluches et ses amis imaginaires. Elle adorait jouer à la maitresse, mais aussi la peinture, le dessin... la voie était toute tracée. Professeure. Aujourd'hui, elle enseigne, elle aime ça, même si clairement les gosses qu'elle a en classe lui font passer l'envie d'en avoir à elle. Pas très organisée, tête en l'air, souvent à côté de la plaque, elle pratique beaucoup l'autodérision. Côté vie sentimentale, elle cherche désespérément un homme qui tombera amoureux d'elle. Elle en veut toujours à son ex, six ans plus tard.  
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« -oui. » avait simplement répondu Judy. Que dire de plus de toute façon ? Les coups de foudre devant la boite aux lettres avec un voisin ou bien en ouvrant les yeux sur un ami connu de longue date, nope elle n’y croyait pas. A l’heure d’internet et des rencontres en ligne, c’était encore plus complexe de rencontrer quelqu’un. Sans compter les copines qui tenaient à la caser en présentant tout et n’importe quoi, croyant au miracle. Enfin… en acceptant la collaboration de Caleb, elle imaginait bien qu’elle allait avoir droit également à ce genre de truc pas du tout naturel et totalement arrangé. Le genre de rendez vous qui ne mettait pas du tout à l’aise. « -à oui, pardon, désolée… » avait répondu après avoir évoqué que Tyler était déjà engagé avec une autre femme. De plus, il ne lui plaisait pas. Physiquement. « -je serais bien compliquée si ça n’était pas le cas non ? » bien sur qu’il était canon. Elle n’était pas aveugle. Il était bien foutu, musclé, sans compter ses yeux bleus qui lui donnait un charme particulier. Il avait également un sourire charmant en plus d’avoir de la conversation et de l’esprit. Dans le genre parfait, il se posait là. « -très touchant. » avait elle répliqué avec un sourire en coin.

Caleb s’était prêté au jeu, dansant malgré le fait qu’il était totalement conscient que ça n’était pas son point fort. Elle apprécia cela, n’aimant pas les gens qui se prenaient trop au sérieux. Elle était la reine des boulettes alors Judy aimait d’autant plus l’autodérision dont faisait preuve le beau brun. Un petit rire : « -à mes amies ? Certainement pas ! » puis elle réalisa que le ton employé pouvait être blessant alors elle se reprit : « -encore une fois, ne va pas croire que j’ai honte de toi. Loin de là ! Si jamais je te présentais, il y en aurait plus d’une volontaire pour une nuit avec toi. » elle roula des yeux et ajouta : « -c’est juste que… j’ai pas envie qu’elles soient au courant. Parce qu’elles vont vouloir tout savoir et ça va me mettre la pression. Et je me connais je vais laisser tomber. » elle perdait ses moyens dans ces cas-là, et elle avait vraiment envie de faire ce travail sur elle. Mais en prenant son temps et en gardant cela pour eux. Et puis elle revint sur les histoires de plan d’un soir, elle qui d’ordinaire ne parlait pas de sexe, ça faisait beaucoup en une seule conversation. Un sourire pour seule réponse, avant d’aller se changer.

« -non sérieux ? Elle est française ? Enfin, d’origine. J’adore la France ! Enfin la culture, l’art et les monuments ! » wahou, rencontrer quelqu’un qui venait de là-bas c’était… wahou… « -et bien c’est réussi. J’adore cet endroit ! Enfin mon opinion compte pas vraiment mais l’ambiance c’est… reposant ? » elle ne savait pas vraiment décrire cela. Judy fronça les sourcils avant de répondre : « -oh non, je n’ai pas pensé à ça. » en toute franchise. Mais oui, elle aurait pu. Elle avait surtout pensé à elle pour le coup. Bonjour l’égoïste… « -hum… pas sur moi là tout de suite. Mais oui. Et oui. Moins à l’aise que dans un salle de danse mais je me débrouille. Pourquoi ? » elle avait du mal à imaginer le rapport entre piscine et ce qu’ils étaient censés travailler chez elle. « -si c’est pour tester ma confiance ne moi… » elle grimaça : « -je ne suis pas des plus à l’aise sur le bord de la piscine. » elle était du genre à rentrer très vite dans l’eau, et à se débrouiller pour qu’elle monte jusque sous son menton assez rapidement.

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Caleb Hamilton
J'ai 37 ans ans et je vis à Seattle, Etats-Unis. Dans la vie, je suis entremetteur et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt très bien.

Caleb a vu le jour et a grandi dans le quartier défavorisé de South Park, à Seattle.  Il s’est toujours considéré comme un privilégié dans le quartier. Son père n’était pas parti chercher un paquet de cigarette à sa naissance, pour ne plus jamais revenir, et sa mère ne cumulait pas trois emplois pour subvenir à leurs besoins. Il avait grandi dans une famille aimante, passant ses dimanches à jouer au baseball avec son père dans le jardin. Cela lui permis d’obtenir une bourse pour étudier la psychologie à l’Université, jusqu’à ce qu’il ne se blesse à l’épaule à sa quatrième année. Ses excellents résultats lui permirent de maintenir sa bourse, et il décrocha son diplôme. Il exerça un moment en tant que thérapeute en Californie à l’issue de ses études supérieures. Finalement, il prit conscience que la problématique récurrente de ses patients, c’était l’amour. Ils souffraient de chagrin d’amour ou encore se sentaient seuls, d’autres n’y croyaient plus, alors que certains espéraient encore, allant de déception en déception. Il décida donc de créer sa société , devenant une espèce de Dr. Love, comme Will Smith au cinéma, mais cette fois-ci, à Seattle.  
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Caleb avait conscience de ses atouts physiques et il faisait en sorte de les entretenir en pratiquant du sport régulièrement. C’était la raison pour laquelle il n’avait pas besoin de converser longtemps pour les entraîner dans son lit. Il était avant tout un bel homme. Le reste, les femmes s’en moquaient. Pas que ça le chagrinait. Caleb entretenait cette image superficielle pour les gens qui l’entouraient. Ça lui permettait de maintenir tout un pan de sa vie rien que pour lui. Son jardin secret. Toutefois, au fur et à mesure qu’il discutait avec Judy, il prenait conscience que c’était bien la première fois qu’une femme s’intéressait à lui sincèrement, sans arrière-pensée. Elle souhaitait simplement le connaître lui. À noter qu’elle appréciait tout de même son physique et il se mit à rire en entendant sa réponse lorsqu’il le souligna « Au vu du succès que j’ai auprès de la gente féminine, je dirais que « oui », peut-être bien un peu » en esquissant un sourire satisfait de voir que même Judy n’était pas insensible à son charme naturel. Ce n’était pas pour autant qu’il en allait en jouer. Elle était sa cliente, et elle n’était pas ce genre de femme. Le genre qui passait dans son lit pour disparaître au petit matin, et qui, parfois, simulait au milieu de ses draps alors qu’il était toujours bon sexuellement parlant. Il lui demanda de ne pas aborder ce point-là avec ses amies. Sa manière de répondre fit légèrement disparaître le sourire de Caleb. Ce n’étaient pas vraiment les mots en tant que tel qui le dérangeait, mais sa manière de les prononcer. Soudainement, il avait l’impression d’être la personne à cacher au fond du placard. Semblablement, Judy remarqua elle-même son impair et se rattrapa « Ce n’est pas un souci. Ça restera entre nous » et précisa « Et au fait, je ne coucherais pas avec tes amies, même si elles en crève d’envie et que ça serait facile. Par respect. Pour toi ». Il y avait un certain respect mutuel qui se tissait entre eux, une certaine complicité, et avant tout, ils étaient liés par le travail. Il ne comptait pas saisir l’opportunité pour s’envoyer en l’air. Il n’avait aucun mal pour ça en sortant en boite de nuit ou dans un bar « Et dernière précision : Hors de question d’abandonner. Si tu as des doutes, des interrogations, tu viens m’en parler. On en discute ensemble. Pas de décision hâtive, compris ? » répliqua-t-il avec douceur.

Après la douche, Caleb entraîna dans un petit café dans une ruelle de Seattle. Ce n’était pas un lieu touristique, mais ça n’enlèverait rien à son charme naturel, bien au contraire. Il précisa d’où provenait précisément la propriétaire et sourit face à l’enthousiasme de Judy en apprenant qu’elle était française « Oui, oui, c’est sérieux ! Tu n’es jamais allée en France ? » et expliqua comment il l’avait rencontré, avant de froncer les sourcils « Pourquoi ton opinion ne compte pas ? » et ajouta « Oui, c’est reposant. Je n’emmène jamais personne ici » rétorqua-t-il en levant les yeux vers la devanture du petit café. Ce n’était pas un lieu de rendez-vous pour ses clients. C’était son petit coin de paradis à lui. Là où il venait lorsqu’il avait besoin de calme ou de travailler entouré de nature et d’ondes positives. Il précisa, également, qu’il n’avait pas couché avec l’amie de sa sœur, qui était devenue la sienne par la force des choses « Je devance, parce que c’est généralement l’une des questions que les gens me posent quand je croise la route d’une amie ». Il avait une image de tombeur de ces dames qui lui collait à la peau et qui parfois l’irrité, donc il avait pris l’habitude de devancer la question. Changement radical de conversation et sourit « On va travailler ta confiance en toi, ta relation avec ton corps » et se mit à sourire « Eh bien nous irons à la mer. Là où tu ne pourras pas te cacher. Dans un endroit où ne seras que tous les deux si tu le souhaites. Tu verras ce que j’ai prévu au moment venu » et leva les yeux vers Camille qui leur apporta le petit-déjeuner « Bon appétit » « Merci » et versa le sirop d’érable sur les pancakes « Bon appétit ! Tu vas voir, c’est délicieux ! » et prit une bouchée avant de demander « Que font tes parents dans la vie ? ». Oui, il passait du coq à l’âne, mais il avait envie d’en apprendre plus sur elle.


Charly
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Charly
Jeu 1 Sep - 12:04

Judy Freeman
J'ai 34 ans ans et je vis à Seattle, Pays. Dans la vie, je suis professeur. J'enseigne l'art à des lycéens et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt très mal.

Fille unique, petit trésor de ses parents, Judy n'a pas vraiment coupé le cordon. Elle passe régulièrement les voir. Sa mère est l'une de ses plus proches amies. Judy a grandit dans un foyer plein d'amour, entre ses peluches et ses amis imaginaires. Elle adorait jouer à la maitresse, mais aussi la peinture, le dessin... la voie était toute tracée. Professeure. Aujourd'hui, elle enseigne, elle aime ça, même si clairement les gosses qu'elle a en classe lui font passer l'envie d'en avoir à elle. Pas très organisée, tête en l'air, souvent à côté de la plaque, elle pratique beaucoup l'autodérision. Côté vie sentimentale, elle cherche désespérément un homme qui tombera amoureux d'elle. Elle en veut toujours à son ex, six ans plus tard.  
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La reine de la boulette… Et bien voilà, elle venait d’en faire une. Elle le constata rapidement en voyant le visage de Caleb changer en un instant. Alors elle s’empressa de se reprendre et de préciser qu’il ne devait pas mal interpréter ses paroles. Parler trop vite, pas assez réfléchir… Malheureusement ça lui arrivait assez souvent. Et généralement elle s’en voulait, elle rougissait, elle s’excusait platement puis elle culpabilisait. Tout simplement parce qu’elle ne voulait pas le blesser. Elle baissa les yeux quelques instants, mal à l’aise. Puis elle osa le regarder à nouveau et lui adressa un petit sourire. « -merci… » son sourire s’élargit pour la précision qu’il apporta. Pour cela, il faudrait encore qu’il rencontre ses amies. Et ça n’était pas du tout au programme. « -ok… » avait elle soufflé ensuite, appréciant ces mots. Pour la première fois, elle ne pensa pas qu’il faisait cela pour l’argent à la fin du contrat, mais seulement pour l’aider. C’était agréable.

Assise en face de Caleb sur la terrasse du restaurant, elle était envoutée par les lieux. Elle était enjouée de comprendre que Camille était française. « -heu… non. » souffla t-elle, sa joie retombant d’un coup. Bam : Pas de voyage, pas intéressante, pourtant elle est prof, elle a le temps ! « -hum… et bien parce que… que j’apprécie ou non, ça ne change pas grand-chose. » un froncement de sourcils : « -c’est vrai ? Pourquoi on est là alors ? » demanda Judy qui pensait déjà des trucs du genre : oui, c’est vrai que moi je ne suis personne… « -non, alors non, je n’ai pas du tout pensé à ça. Je… » elle se pinça les lèvres et reprit en regardant ses mains sur la table qui faisait des petites boulettes avec la serviette en papier : « -je me suis demandée si elle connaissait ton métier et par reparution, l’image qu’elle devait avoir de moi. » adieu la conversation sur la France. « -je sais, c’est un peu auto centrée. » ajouta Judy avant de passer commande, un sourire gênée sur les lèvres.

« -à la piscine ? » elle angoissait d’avance. « -on peut pas trouvé une façon de faire ? » ba quoi elle pouvait toujours demander ! « -je… je ressens un mélange étrange de curiosité et d’appréhension… » avoua t elle avant de prendre une première cuillère de chantilly. Elle savoura la crème, le gout, la légèreté. Elle avait toujours été une adepte des petits plaisirs. Même coupable. Puis elle regarda la pile de pancakes qu’avait apporté Camille. Accompagné de tout un tas de fruits. Fraise, myrtille. Mais aussi sucre, chocolat, sirop d’érable dont s’empara Caleb. « -hum ? » elle n’avait pas totalement écouté. « -ah oh ! J’en doute pas une seule seconde ! » Elle prit une première bouchée avant de répondre : « -mon père est expert-comptable et ma mère était professeur. De math… ce qui m’a valu des heures et des heures de cours particulier pour tenter de me faire comprendre quelque chose. » un petit haussement d’épaules : « -deux parents dans les chiffres et moi j’ai choisi l’art… » elle mangeait tout en lui expliquant, se régalant du petit déjeuner. « -enfin au départ je ne voulais pas faire prof. Mais ça les rassurait alors… » alors elle avait prit la même voix que sa mère, mais en gardant l’art comme matière.

Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Jeu 1 Sep - 18:43

Caleb Hamilton
J'ai 37 ans ans et je vis à Seattle, Etats-Unis. Dans la vie, je suis entremetteur et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt très bien.

Caleb a vu le jour et a grandi dans le quartier défavorisé de South Park, à Seattle.  Il s’est toujours considéré comme un privilégié dans le quartier. Son père n’était pas parti chercher un paquet de cigarette à sa naissance, pour ne plus jamais revenir, et sa mère ne cumulait pas trois emplois pour subvenir à leurs besoins. Il avait grandi dans une famille aimante, passant ses dimanches à jouer au baseball avec son père dans le jardin. Cela lui permis d’obtenir une bourse pour étudier la psychologie à l’Université, jusqu’à ce qu’il ne se blesse à l’épaule à sa quatrième année. Ses excellents résultats lui permirent de maintenir sa bourse, et il décrocha son diplôme. Il exerça un moment en tant que thérapeute en Californie à l’issue de ses études supérieures. Finalement, il prit conscience que la problématique récurrente de ses patients, c’était l’amour. Ils souffraient de chagrin d’amour ou encore se sentaient seuls, d’autres n’y croyaient plus, alors que certains espéraient encore, allant de déception en déception. Il décida donc de créer sa société , devenant une espèce de Dr. Love, comme Will Smith au cinéma, mais cette fois-ci, à Seattle.  
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Caleb avait choisi un petit café intimiste et duquel il était familier pour prendre le petit-déjeuner avec Judy. L'endroit était à son goût et le fait que la propriétaire soit française l’enthousiasmait. Ce fut donc tout naturellement que Caleb lui demanda si elle était déjà partie en France. Sa réponse fut négative, presque avec déception « Moi non plus. Je n’ai jamais quitté les États-Unis en réalité », comme pour la rassurer sur le fait qu'elle n’était pas seule à ne pas avoir eu l’opportunité d’appréhender d’autres horizons, d’autres cultures. Un regard pour Judy concernant le fait qu’elle considérait que son avis n’avait pas d’importance « Bien sûr qu’il compte. Il est important pour moi. Ça m’à fait plaisir de savoir que l’endroit te plaisait ». Elle avait une réelle opinion négative d’elle-même. Peut-être plus que ce qu’il aurait soupçonné jusque-là… Caleb trouva donc utile de lui préciser qu’il n’emmenait jamais ses clients ici, et sourit « Eh bien pour prendre le petit-déjeuner rétorqua-t-il comme si c’était l’évidence même. Et pour éviter une nouvelle évidence, il précisa qu’il n’avait jamais couché avec la propriétaire « Tu es bien la première à ne pas faire de plan dans la comète concernant ma vie sexuelle » et c’était agréable. Un petit rire suivit quand elle lui confia la première pensée qui lui avait traversée l’esprit « Tu as conscience que je suis seulement entremetteur et pas escorte boy ?! » et ajouta « Tu te soucies trop de l’avis des autres. On va y remédier. Et pour ton information, Camille sait ce que je fais dans la vie, mais elle doit être à milles lieux de penser que tu es une cliente, donc détends-toi et profite de l’instant présent, OK ?! » Tout en tapotant la main de Judy.

« Non, nous irons à la mer » précisa-t-il et ajouta « Non. Laisse-toi guider sans crainte pour une fois ». Elle appréhendait beaucoup de choses. Trop de choses. Elle s’inquiétait trop. Parfois, il fallait apprendre à se laissait guider par la vie et les rencontres « Garde la curiosité et jette l’appréhension » tout en souriant avec amusement. Camille leur apporte leur commande et Caleb ne se fit pas prier pour commencer tout en demandant des informations sur les parents de Judy… il resta interdit un instant « Je suis désolé… ça fait longtemps que ta mère est décédée ? » Et ajouta « Qu’est-ce que tu voulais faire ? ». Oui, ça l’intriguait. Il prit quelques fruits et continua de manger « Mon dieu ! C’est vraiment bon ! » Et reprit la conversation « Tu aimes ce que tu fais ? »

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Jeu 1 Sep - 19:12

Judy Freeman
J'ai 34 ans ans et je vis à Seattle, Pays. Dans la vie, je suis professeur. J'enseigne l'art à des lycéens et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt très mal.

Fille unique, petit trésor de ses parents, Judy n'a pas vraiment coupé le cordon. Elle passe régulièrement les voir. Sa mère est l'une de ses plus proches amies. Judy a grandit dans un foyer plein d'amour, entre ses peluches et ses amis imaginaires. Elle adorait jouer à la maitresse, mais aussi la peinture, le dessin... la voie était toute tracée. Professeure. Aujourd'hui, elle enseigne, elle aime ça, même si clairement les gosses qu'elle a en classe lui font passer l'envie d'en avoir à elle. Pas très organisée, tête en l'air, souvent à côté de la plaque, elle pratique beaucoup l'autodérision. Côté vie sentimentale, elle cherche désespérément un homme qui tombera amoureux d'elle. Elle en veut toujours à son ex, six ans plus tard.  
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Bon… Elle se trouva un peu ridicule du coup… Caleb ne cessait de lui montrer qu’elle pensait mal à longueur de temps. Qu’elle faisait trop de supposition, qu’elle se montait trop de film sur ce que pouvaient penser les autres d’elle. C’était déstabilisant. Vraiment. « -et tu aimerais ? » lui demanda Judy qui avait toujours cette tendance à s’intéresser aux autres plus qu’à apprécier les questions à son sujet. Ok pour la suite elle se mis à rougir. Ce qui était totalement idiot parce qu’il n’était pas en train de la draguer. Mais c’était la gentillesse de l’intention qui la touchait. « -il faudrait être difficile pour ne pas aimer passer du temps ici. » commenta la jeune femme en levant les yeux sur les lieux. Elle le fixa ensuite en se demandant ce qu’il faisait là en sa compagnie si c’était son petit coin de paradis perso, et qu’il n’utilisait pas cet endroit pour le travail. Un sourire en coin pour réponse, avant qu’il ne précise que la serveuse n’était pas son ex. « -j’imagine que tout Seattle n’est pas passé dans ton lit. » et puis, elle n’allait pas le dire mais Camille l’avait bien plus regardé elle que lui à leur arrivé. Sans compter que rester en bon terme avec une ex… elle l’imaginait mal avec des ex officielles. Des femmes qui étaient restées plus d’une nuit. A nouveau le rouge lui montant aux joues. Prise en faute, elle baissa de nouveau les yeux et souffla un : « -je sais… » puis un nouveau : « -je sais… » elle en avait conscience mais elle ne parvenait pas à faire autrement. Elle n’était pas comme ça avant… Six ans plus tôt… « -attends, si elle ne pense pas que je suis une cliente, et pas non plus un date, elle pense que je suis quoi ? » il lui avait dépeint une vie assez solitaire et elle l’imaginait seulement avec des amis masculin. Mais elle se plantait peut être. Un petit haussement de sourcils, comme pour signifier plus facile à dire qu’à faire.

La Judy qui se trouvait en face de Caleb, était bien différente de celle de la salle de danse. Elle n’était pas dans son univers. Elle était déjà redescendu de son petit nuage de bien être et du coup, le stress et certain mal aise reprenait le dessus. La veille ils étaient en terrain inconnu mais il ne connaissait personne aux alentours non plus. « -t’es sérieux ? Elle est pas un peu froide en ce moment ? Je suis pas hyper fan de la plage. J’aime autant la piscine. » question de praticité. Là-bas elle pouvait se changer comme elle le voulait. A la plage c’était… différent. « -je sais pas faire ça… » Ouais non, elle allait angoisser jusqu’à ce qu’elle sache vraiment ce qu’il lui avait préparer. Elle inspira et ajouta : « -je vais essayer… » elle ne savait pas encore vraiment pourquoi mais elle lui faisait confiance. Enfin elle voulait lui faire confiance. Alors oui, elle allait essayer.

La bouche pleine, Judy sourit, portant une main devant sa bouche : « -ma mère n’est pas décédée. » d’où il avait comprit ça. « -non, elle a arrêté l’enseignement. » elle prit une gorgée de chocolat et ajouta : « -elle a fait une dépression. Et du coup, ça fait six ans qu’elle n’exerce plus. » ça collait avec le départ de Jeffrey. Et étrangement Judy savait que c’était lié. Voir le bonheur de sa fille chérie voler en éclat, la voir si mal, si… elle n’avait même pas de mot. Sa mère ne l’avait pas supporté. Sans compter bien entendu les conditions des travails qui ne lui allaient également. « -je voulais faire danseuse… » déclara Judy avec un petit sourire nostalgique. « -je suis totalement d’accord ! Je me régale. Merci de m’avoir fait découvrir l’endroit. » Vraiment tout était délicieux. « -oui… oui pourquoi ? Je ne vais pas te dire que c’est tout les jours faciles ou la joie. Les lycéens c’est… c’est parfois bien compliqué. Mais j’aime enseigner oui. »

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Manhattan Redlish
Jeu 1 Sep - 20:32

Caleb Hamilton
J'ai 37 ans ans et je vis à Seattle, Etats-Unis. Dans la vie, je suis entremetteur et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt très bien.

Caleb a vu le jour et a grandi dans le quartier défavorisé de South Park, à Seattle.  Il s’est toujours considéré comme un privilégié dans le quartier. Son père n’était pas parti chercher un paquet de cigarette à sa naissance, pour ne plus jamais revenir, et sa mère ne cumulait pas trois emplois pour subvenir à leurs besoins. Il avait grandi dans une famille aimante, passant ses dimanches à jouer au baseball avec son père dans le jardin. Cela lui permis d’obtenir une bourse pour étudier la psychologie à l’Université, jusqu’à ce qu’il ne se blesse à l’épaule à sa quatrième année. Ses excellents résultats lui permirent de maintenir sa bourse, et il décrocha son diplôme. Il exerça un moment en tant que thérapeute en Californie à l’issue de ses études supérieures. Finalement, il prit conscience que la problématique récurrente de ses patients, c’était l’amour. Ils souffraient de chagrin d’amour ou encore se sentaient seuls, d’autres n’y croyaient plus, alors que certains espéraient encore, allant de déception en déception. Il décida donc de créer sa société , devenant une espèce de Dr. Love, comme Will Smith au cinéma, mais cette fois-ci, à Seattle.  
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Le voyage n’avait jamais fait parti des rêves de Caleb. En grandissant dans des quartiers comme South Park, il y a d’autres préoccupations, d’autres rêves que celui de voyager dans d’autres pays, comme sortir du quartier sans passer par la case prison ou cimetière. Et même si aujourd’hui il avait un train de vie paisible, qui lui permettait de diversifier ses loisirs et ses sorties, le voyage n’avait jamais fait parti de ses objectifs, alors il répondit « Non, pas vraiment. Et toi ? ». Il aimait les États-Unis, la diversité que ce pays pouvait offrir, et il aimait également Seattle qui l’avait vu grandir. Il aimait venir dans des endroits atypiques comme le café de Camille. Il aimait les plaisirs simples de la vie, comme prendre un petit-déjeuner après dix heures en centre-ville, ou encore lire un livre dans un parc. Un regard pour la devanture du café et se mit à sourire en regardant Judy « Tu as raison ». La Française avait su apporter de la verdure en plein centre de Seattle, avec goût, et donnant l’impression de quitter le bitume et les bouchons pour un petit havre de paix. Caleb trouva ensuite pertinent de préciser qu’il n’avait eu de liaison avec Camille. Ce qui n’était pas vraiment intéressant pour Judy qui ne s’était pas interrogée sur ce point, mais qui était devenu une habitude avec ses amis. A chaque fois qu’il rencontrait une femme, qu’il la saluait, il devait se justifier sur le fait que, oui ou non, il avait couché avec. Cela lui faisait du bien de ne pas être perçu comme le tombeur de ces dames avec Judy et se mit à rire à sa remarque « Non ! Parfois je peux cumuler les conquêtes, mais je peux aussi avoir personne pendant un mois ou deux, voire plus selon mon état d’esprit ». Parfois, il travaillait jusqu’à tard le soir, et lorsqu’il décidait de rejoindre son lit, il n’avait qu’une idée en tête, celle de dormir jusqu’au lendemain matin.

Lorsque Judy évoqua ses craintes vis-à-vis de Camille, et plutôt l’opinion que pourrait avoir cette dernière d’elle, Caleb se sentit obligé de lui rappeler qu’il n’était un escorte boy, mais seulement un entremetteur. Il n’était pas un secret. Elle devait apprendre à s’émanciper du regard des autres, et il allait l’aider pour cela « Eh … » et se baissa pour chercher son regard « On va travailler dessus… ensemble. Ok ?! » et lui sourit avant de redresser la tête et haussa les épaules avec une certaine nonchalance « Je ne sais pas » et fit signe à Camille « On va lui demander ». La Française arriva tout sourire à leur hauteur « Oui, besoin de quelque chose ? » « Tu penses que Judy est qui pour moi ? ». Elle la regarda un instant et répondit simplement « Une amie ou ta petite-amie, ou une cousine du côté de ton père. Je n’ai pas encore décidé. » « Merci bien. Je te laisse retourner à tes occupations » « Tu veux dire à la préparation de ton p’tit déj’ » « Exactement ! » rétorqua Caleb en souriant et faisant signe de la main de s’éloigner, et regarda Judy « Tu as ta réponse » avec un petit sourire en coin. Caleb préférait demander lorsqu’il n’avait pas la réponse. Ça évitait les quiproquos et de se tordre le cerveau pour des inepties.

La jeune femme ne montra pas plus d’enthousiasme au moment de l’inviter au bord de mer « Bon, eh bien nous irons à la piscine » rétorqua-t-il. Caleb s’adaptait aux demandes de ses clients et Judy ne faisait pas exception. Il se mit à rire doucement et acquiesça « Bon, eh bien appréhende alors ». Il n’allait pas l’empêcher d’être elle-même non plus. Son rire s’estompa et lui sourit avec plus de douceur « Merci » et changea de sujet en évoquant les parents de cette dernière. En entendant le temps utilisé pour parler de sa mère, Caleb se senti soudainement désolé pour la perte de cette dernière. Toutefois, il fronça les sourcils en la voyant sourire « Ah… Mais tu as dit… » et elle justifia son choix du temps et cacha son visage en riant « Je suis vraiment maladroit » et laissa retomber lentement ses mains sur la table « Je pensais… Pardon » et il reprit son sérieux quand Judy lui expliqua ce qui l’avait poussé à quitter l’enseignement, et souffla juste un « Six ans… » comme si ces deux mots voulaient tout dire. Apparemment, il s’était passé beaucoup de choses il y a six ans… Cela n’avait pas empêché Judy de faire professeure, même si elle aurait souhaité embrasser une autre carrière « Tu pourrais devenir professeure de danse, non ? » et complimenta le petit-déjeuner, suivi par Judy qui en fit de même « Je t’en prie ! » alors qu’il avait un morceau de pancake dans la bouche. Il continua de manger en écoutant la réponse de la jeune femme « Finalement, c’est un mal pour un bien si tu aimes ce que tu fais ». Oui, il préférait voir l’aspect positif à certains moments.

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