Univers fétiche : J'suis ouverte à toutes suggestions.
Préférence de jeu : Femme
Babydoll
Ven 2 Avr - 0:49
Mise en Situation
Deux âmes sœurs qui s'ignorent, c'est sans doute ce qui pourrait le mieux les définir. A l'époque en couple avec son frangin, Maya est attirée par les charmes d'Avery. Elle finit par succomber et prend peur de trop s'attacher. Pourtant son cœur a déjà choisi et le temps que son cerveau prenne en compte l'information, un accident anéanti tous ses espoirs. Perte de mémoire. Avery a oublié de sa famille, à ses amis jusqu'à elle. Il enchaîne les conquêtes sous ses yeux meurtris. Le myocarde en lambeaux, elle rompt avec son frère et s'éloigne de la famille pour leur bien, pour son bien après un an à souffrir en silence. Lorsqu'elle s'en va, Avery semble recevoir comme un électrochoc et commence à se souvenir de tout. Il décide alors de la retrouver coûte que coûte.
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Date d'inscription : 16/09/2018
Région : Bretagne
Crédits : icon : pretty young thing
Univers fétiche : J'suis ouverte à toutes suggestions.
Préférence de jeu : Femme
Babydoll
Ven 2 Avr - 0:56
Maya Mitchell
J'ai 23 ans et je vis à New-York, USA. Dans la vie, je suis en fac de psycho et je m'en sors pas vraiment bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt mal.
Abigail Cowen :copyright: ALCUNA LICENZA
Les cours, ça fait un moment que tu les as abandonnés en même temps que ta sobriété depuis qu'il t'a oublié. Il était devenu ton équilibre et sans lui tout ton monde a basculé beaucoup trop vite. Il a débarqué dans ta vie tel un ouragan et en est reparti en emportant également tout sur son passage. Déjà brisée par une vie de famille néfaste, tu t'es promis de ne plus jamais t'attacher. Et il est arrivé et il a tout changé. Puis y a eu l'accident. Cet appel qui a sonné le glas de tes repères. Le long coma et le réveil douloureux puisqu'il n'avait plus aucun souvenir. La gifle est monumentale mais tu l'encaisses dans le vain espoir que sa mémoire lui revienne. Pourtant, plus les mois passent et plus le désespoir t'accapare. Les nombreuses conquêtes qui défilent chaque semaine lacèrent ton palpitant déjà meurtri. Et après un an à essayer de lui faire se rappeler, tu t'enfuis. C'est là que tout s'écroule. T'enchaînes les soirées juste pour l'oublier. Juste pour te sentir exister. Et ce soir n'échappe pas à la règle. C'est un de vos amis en commun qui organise la fête. Il y a une chance sur deux que tu le croises mais t'auras qu'à l'éviter. De toute façon, il ignore qui tu es et l'alcool plus un plan cul t'aideront à ne pas t'effondrer en sa présence. Tu commences à enchaîner les verres en prévision de sa possible venue et tu cherches une compagnie pour la nuit, histoire de parfaire le tableau. Après une heure ou deux à danser collé/serré, tu abandonnes quelques secondes ta nouvelle conquête pour te rafraîchir. Tu passes de l'eau sur ton visage et en avale quelques gorgées. Lorsque tu redresses la tête, tu remarques -du coin de l’œil- dans le miroir une silhouette dans l'embrasure de la porte. Tu ne prêtes pas vraiment attention à la personne qui te bloque le passage et te retourne, prête à le contourner lorsque tu le reconnais enfin. C'est Avery. Malgré toi, ton cœur fait un bond dans ta poitrine et la surprise te cloue sur place. Est-ce qu'il t'a suivi jusque dans la salle de bain ? Non, impossible, ça voudrait dire qu'il se souvient. Depuis quand il est là ?! Je suis déjà trop bourrée pour pas l'avoir remarqué ?! Les pensées s'entrechoquent dans ton crâne alors que tes yeux s'accrochent finalement aux siens et tu remarques un changement. Il te voit. Tu ne ressembles plus à une étrangère dans ses prunelles inquisitrices. Non, impossible. Tu te martèles ce mantra dans le crâne et te ressaisis, ne voulant pas y croire. « La place est libre ! » Ta voix fluette est si peu naturelle tellement t'es submergée par tant d'émotions prêtes à déborder et tu t'avances pour le contourner, te persuadant qu'il ne peut pas se souvenir. Même si ça fait mal. Il te faut un verre pour effacer ce moment de ton esprit. Besoin de sombrer, de se débarrasser de ses chimères qui t'anéantissent.
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Date d'inscription : 23/08/2018
Région : IDF
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Univers fétiche : ça dépend de quel pied je me suis levé ce matin
Préférence de jeu : Les deux
Leonnor
Sam 10 Avr - 20:31
Avery Wilkins
J'ai 20 ans et je vis à New York, USA. Dans la vie, je suis éttudiant et je m'en sors euh j'essaie mais ça marche pas vraiment. Sinon, grâce à ma stupidité, je suis en deuil de ma relation et je le vis plutôt mal.
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Il avait fallu plus de courage qu'il n'en aurait cru à Avery pour se motiver à bouger pour aller à cette soirée. Le jeune homme avait fait ses devoirs et savait que Maya devait être là ce soir. Il s'était senti plutôt apaisé à l'idée de pouvoir la revoir et maintenant… maintenant il était là en train de se regarder comme un con dans le miroir comme si celui-ci allait lui donner une réponse exceptionnelle. Il attendit, contemplant son double, espérant une réponse qui ne vint jamais. C'était peut-être mieux, s'il commençait à avoir des voix qui lui répondaient dans la tête, il saurait qu'il avait qu'il aurait probablement atteinte le stade de la folie. Ses mains tremblotent légèrement alors qu'il enfile une chemise par-dessus son tshirt. Un jean brut noir délavé et une paire de tennis blanche plus tard, il était fin prêt.
La soirée avait déjà commencé depuis un certain temps lorsqu'il arriva à la soirée. Il avait mis un temps ridicule à se préparer et ça l'avait mis en retard. Le brun s'en voulait un peu mais il n'avait que bien peu de contrôles sur ce l'effet que lui faisait la pensée de revoir Maya après tout ce temps. De toute façon, ça avait toujours été comme ça pour lui. Dès la seconde où il l'avait vu la première fois, il s'était senti con et maladroit. Au début, il osait même pas lancer un simple bonjour. Le brun se comportait comme un gosse. C'était pas qu'il avait voulu la voler à son grand frère mais plus que c'était devenu important pour lui de lui plaire, de se sentir aimé par elle. De briller d'une manière spéciale dans ses yeux parce qu'il se sent spécial quand elle était là et capable de supporter n'importe quoi.
Sauf qu'évidemment, la vie avait voulu jouer sur un autre tableau et tout était devenu compliqué. Rien que ce foutu accident qui leur avait fait perdre deux ans et causer tellement de soucis à tout le monde. Depuis , c'était la croix et la bannière pour se reconstruire, pour arrêter de se laisser aller à la facilité pour éviter de fumer n'importe quoi, boire n'importe quoi et baiser n'importe qui. Sa vie sur tous les plans s'étaient transformés en une espèce de course contre la montre pour prouver qu'il pouvait exister en se brûlant par les deux bouts. Malheureusement, ce n'était pas lui qui était parti en fumée avec tout cela. Après avoir heurté plusieurs personnes et esquivé une ou deux nanas, il était parti pour l'attendre à la sortie de la salle de bain. Ça faisait vieux stalker de faire ça mais il n'avait pas trouvé mieux. Et d'ailleurs planté devant elle, il se sentait comme un gosse incapable de réagir comme il l'aurait voulu. Il aurait voulu avoir l'air cool, se fendre d'un sourire taquin mais au lieu de cela, il croulait sous l'angoisse et ça lui coupa le sifflet. Il réagit alors qu'elle s'avance pour le contourner et passer. Ce n'est que lorsqu'elle passe devant lui sans vraiment le regarder qu'il lance une simple phrase, incertaine.
" Je me souviens Maya." Il sait pas quoi faire ou quoi dire de plus, il a envie de l'attraper, de la serrer contre lui mais il a trop peur qu'elle le repousse. C'était un peu ça le nœud du problème : il avait toujours un peu peur de tout quand ça la concernait. Finalement devant l'absence de réaction de la jeune femme, il tente de rajouter quelque chose qui sonnerait moins maladroit ou moins idiot. "Est-ce qu'on pourrait parler ?"