Le Temps d'un RP
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LE TEMPS D'UN RP

Bienvenue à la police de Los Angeles

Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Mar 9 Mar - 11:39
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Ethan O'Connell
J'ai 39 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis flic et je m'en sors pas trop mal. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.


Surnommé « l’Irlandais » par ses collègues du 12th district, Ethan est le genre de flic à la tête dure. Anciennement du groupe d’intervention du SWAT, il s’est retrouvé propulsé dans la rue à la suite du décès brutal de son collègue en intervention. Une nouvelle vie qui ne l’enchante guère. Dopé à l’adrénaline, il n’aspire qu’à retourner dans un groupe d’intervention. En attendant, ça fait une semaine qu’il a débarqué dans la brigade, qu’on lui colle une petite nouvelle tout juste sortie de l’école …


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Un petit sourire amusé. Elle avait raison. C’était une réponse toute faite. Mais c’était plus simple que d’expliquer qu’il avait déjà vu des équipiers tomber accro à cette merde et qu’il avait suivi leur descente aux enfers, comme cela avait été le cas pour son père avec l’alcool. Déjà d’un naturel méfiant, il l’était encore plus. Et puis, ça lui permettait de se sentir vivant. La douleur lui rappelait qu’il était toujours de ce monde, mais s’il lui disait, elle risquerait de le prendre pour un farfelu. Donc il répondit un « J’ai été assez puni hier » tout en esquissant un petit sourire qui ressemblait davantage à une grimace qu’à un sourire. Quand elle évoqua la cuisine comme une occupation durant les nuits d’insomnies, cela l’amusa. Puis il réfléchit et rétorqua « Tu étais tracassée la dernière fois ? » en évoquant les cupcakes qu’elle avait ramené la fois dernière, après qu’ils avaient fait l’amour tous les deux. Il savait que la question était stupide. Après tout, elle avait trompé son copain avec lui. Et en parlant de copain, ce dernier arriva et lui, décida de partir.

Après son entretien avec le capitaine, il se défoula au stand du tir, déchargeant toute sa colère contre les cibles en carton. Puis revint auprès de Lizzy lorsque cette dernière lui expliqua qu’elle était dans le hall. Un sourire « Ça m’arrive ». Il avait besoin de sommeil et d’anesthésier sa douleur permanente. Dans la voiture, Ethan observa le paysage urbain défiler, dans un silence de plomb. Un silence qui fut brisé par la jolie blonde vers qui, il tourna le regard après une brève hésitation « Tu sais que tu peux me parler… » puis haussa les épaules « Pour notre courage… Quel con ! ». Parce qu’Ethan ne considérait pas qu’ils avaient eu du courage dans cette banque. Il considérait qu’ils avaient été faits comme des rats, et que les braqueurs avaient joués avec eux, comme un chat avec sa souris avant de la bouffer. Il n’y avait rien d’héroïque là-dedans. Elle parvint tout de même à le faire rire, alors qu’il maudissait mentalement ses côtes « Tu veux des menottes pour que ça soit plus réaliste ? ». Le taxi se gara et le policier baissa son regard sur leurs mains, avant de la laisser rentrer chez elle. Il se mit à sourire avec douceur tout en acquiesçant, et la salua, puis tapa sur le siège pour signifier au chauffeur qu’ils pouvaient partir… pour mieux revenir.

Lorsque la porte s’ouvrit, il lui demanda si Tony était là et lorsque la réponse fut négative, Ethan prit d’assaut ses lèvres, l’embrassant avec envie, alors qu’il poussait la porte d’un coup de pied. Il avait envie d’elle. Il la désirait tout autant que la fois dernière, mais ce n’était pas le même sentiment. Comme s’il avait besoin de la sentir contre lui, de la sentir en vie tout autant que de se sentir envie. Ses lèvres tout contre les siennes, il ignora les mots de Lizzy. Il se moquait bien de l’endroit où ils étaient et elle aussi car elle l’embrassait de nouveau. Sa chemise finit au sol et la laissa prendre place sur la table, la pénétrant d’un coup de reins. Pas de préliminaires. Juste se sentir en elle, sentir ses mains sur lui. Son visage dans son cou, il accéléra les coups de reins, et cela jusqu’à atteindre la jouissance. Comblé, Ethan embrassa sa peau, restant là, tout contre elle. Il déposa ses lèvres contre les siennes, puis son front contre le sien. Il n’avait pas envie de se détacher d’elle. Pourtant, il remit son boxer et son jean en silence, et se rapprocha de nouveau d’elle pour l’embrasser, sa langue se mêlant à la sienne alors que ses mains se glissaient sur ses hanches. Il détacha lentement ses lèvres des siennes, puis murmura « C’est mieux qu’un bisou magique » tout en souriant, et ajouta « Je crois que maintenant qu’on y a goûté, on va avoir du mal à s’en passer... ». Ethan avait l’habitude de tirer son coup avec des femmes différentes chaque soir, mais il y avait un petit facteur X avec Lizzy qui rendait tout cela plus… intense, plus grisant, plus fusionnel. Ce n’était pas de l’amour. C’était autre chose. Ethan ne saurait le dire, mais il savait que ça allait devenir pire qu’une drogue cette relation. « Est-ce que tu veux parler de ce qui s'est passé hier ? ».


Charly
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Charly
Mar 9 Mar - 12:24
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Lizzy Capplan
J'ai 34 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis un bébé flic et je m'en sors pas trop mal. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis plutôt bien.


Elisabeth ou Lizzy en plus court, a passé pas mal d'années à se chercher. Puis elle a découvert ce qu'était de devenir flic. Aujourd'hui, diplome en poche, la jolie blonde qui ne laisse pas indifférent les hommes est prête à leur prouver qu'on peut être sexy, faire un 90C et être capable de réflechir et de tenir un flingue.
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« -je sais, mais c’est pas pareil... » avait répondit Lizzy sans vouloir dénigré quoi que se soit. Mais il avait vécu le même enfer quelle, pire peut être. Alors même s’ils en parlaient, ça ne l’empêcherait pas de refouler tout ça en elle, et que peu à peu ça pourrisse dans sa tête. Elle voulait vraiment évacuer le truc, passer à autre chose. Lizzy s’était contentée de soupirer en regardant dehors. Ils ne semblaient pas avoir la même vision des choses… Mais elle n’avait pas envie d’en parler pour le moment, encore moins ici dans ce taxi. « -nan… ça risquerait de m’exciter... » avait elle répondu en bougeant la tête de gauche à droite, comme si cette réponse était normal et anodine. Elle ne voulait pas le perdre pour ce qui c’était passé là bas. Même s’il avait mal, même s’il avait eut peur. Elle voulait que tout revienne à la normal.

Pourtant lorsqu’il posa ses lèvres sur les siennes, répondant à ses baisers, elle su que plus rien ne serait jamais normal entre eux. Leur relation prenait un nouveau tournant. Coucher une fois ensemble ça pouvait être un faux pas, mais remettre ça, c’était… c’était autre chose. Le goût de ses lèvres, l’odeur de sa peau, les caresses de ses mains tout comme ses coups de reins puissants… Tout en lui la faisait frissonner, lui faisait tourner la tête. Coucher avec Ethan était enivrant, grisant. Elle adorait ça autant qu’elle détestait. Parce qu’au fond d’elle même Lizzy savait très bien que c’était mal, que Tony allait finir par en souffrir. Et pourtant, elle n’avait même pas cherché à le repousser, à dire stop. Non, elle était là, le souffle court sa peau moite coller à la sienne, ses doigts dans ses cheveux, ne souhaitant pas qu’il ne bouge. Et elle lui rendit son baiser, se pinçant les lèvres entre elle lorsqu’il colla son front au sien.

Lizzy s’habilla également, en silence. Peu à peu la culpabilité pointait le bout de son nez. Mais ça ne l’empêcha pas de l’embrasser à nouveau, de lui donner sa langue et de sourire en coin à ses mots, baissant cependant les yeux pour fermer le dernier bouton de son chemiser. « -je crois qu’on en avait besoin tous les deux. » répondit alors la jolie blonde, avant de se diriger vers la cuisine sans répondre à la suite. Elle n’avait pas envie de le repousser maintenant, même si elle savait qu’il aurait été sage de répondre que c’était un cas d’urgence, et que ça serait la dernière fois. Mais elle n’avait pas envie d’évoquer l’homme qui partageait sa vie, son appartement, et qu’à la base elle aimait. En réponse à sa question elle dit : « -est ce que tu peux mettre ta chemise ? » avant de remettre de l’eau à chauffer. Depuis le temps son thé était froid… « -un café ? » demanda Lizzy en sortant déjà une tasse. « -il reste des cookies aussi, j’ai pas tout manger cette nuit. » une fois le café passé elle dit : « -on va sur la terrasse ? » ce qui voulait dire à demi mot, oui on va parler.

Sur un plateau elle déposa la tasse de thé, le café et les cookies. Elle s’installa dans le canapé de la terrasse, remonta ses pieds sur les coussins, avant de prendre un gâteau. « -trois chocolats, tu va voir il déchire ! » c’était étrange de faire comme si rien ne venait de se passer. « -tu sais, je pense que tu devrais aussi voir cette psy. » commença Lizzy en regardant son cookies.
Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Mar 9 Mar - 13:23
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Ethan O'Connell
J'ai 39 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis flic et je m'en sors pas trop mal. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.


Surnommé « l’Irlandais » par ses collègues du 12th district, Ethan est le genre de flic à la tête dure. Anciennement du groupe d’intervention du SWAT, il s’est retrouvé propulsé dans la rue à la suite du décès brutal de son collègue en intervention. Une nouvelle vie qui ne l’enchante guère. Dopé à l’adrénaline, il n’aspire qu’à retourner dans un groupe d’intervention. En attendant, ça fait une semaine qu’il a débarqué dans la brigade, qu’on lui colle une petite nouvelle tout juste sortie de l’école …


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Leur relation prenait un tournant inattendu et aucun ne connaissait l’issue de toute cette histoire. Lui qui ne couchait jamais avec ses coéquipières, venait de succomber, une fois encore, à Lizzy. Après tout, les règles étaient faites pour être enfreintes. Mais ils n’étaient pas tous seuls dans cette histoire et de nouveau, il pensa à l’appartement dans lequel ils se trouvaient, à cet homme qui vivait avec elle entre ses murs qui venaient d’être témoin de leurs fougueux ébats. Et comme s’il n’en avait pas assez, Ethan l’embrassa et apprécia que la jolie blonde ne le repousse pas, lui rendant son baiser et souriant même à son commentaire. Pas de malaise et c’était ce qu’il aimait aussi. Tout cela semblait si étrange et normal à la fois. Ils se donnaient l’un à l’autre, sans retenue, pour reprendre le cours de leurs vies juste après. Son silence signifiait que ça serait la dernière fois. Après tout, comme elle venait de le dire si bien, ils en avaient eu besoin tous les deux, comme pour exprimer toutes les émotions éprouvées la veille. Il se mit à rire doucement tout en posant sa main sur ses côtes, comme si ce simple geste pouvait atténuer la douleur « C’était la dernière fois… » comme un constat. Ce n’était peut-être pas plus mal. Ils n’étaient pas tous seuls dans cette histoire. Un regard sur son torse nu et un sourire en coin « Je peux » et se baissa, tant bien que mal, pour récupérer le tissu au sol, l’enfilant tout en jetant quelques regards à Lizzy « Je veux bien, merci ». De nouveau habillé correctement, comme si rien ne s’était passé, il s’approcha du comptoir de la cuisine « Je veux bien. Je n’ai rien mangé depuis hier matin… » puis jeta un regard sur la baie vitrée et hocha de la tête.

Ethan la suivit en silence, la tête baissée et ne la releva qu’au moment d’arriver sur la terrasse. Il apprécia la vue, ainsi que le soleil sur sa peau. Il retroussa ses manches et prit place aux côtés de Lizzy sur le canapé, laissant tout de même un espace entre eux deux « Je vais te dire ça » et se saisit du biscuit, le portant à ses lèvres, retenant les miettes avec son autre main et hocha de la tête « Tu sais quoi faire si jamais tu en as marre d’être flic » et déposa les miettes sur le plateau, prenant sa tasse de café, laissant son regard se perdre sur le liquide sombre. Il releva sa tête en direction de la jolie blonde « Pourquoi ? Lui dire que j’ai failli y passer hier ?! Que j’ai eu la peur de ma vie ? Qu’à jouer avec le risque, j’ai bien failli payer le prix fort ? Que je sens encore le canon de l’arme contre ma tempe ? Les coups sur mon corps ? Que je t’entends encore crier mon nom lorsque je suis tout seul ? » Il eut un petit rire nerveux, portant sa tasse de café à ses lèvres et ajouta « Ces mecs ne connaissent rien au terrain. Je vais juste laisser le temps faire son job et reprendre le boulot à la fin de la semaine, comme si de rien n’était ». Ce n’était pas la première fois qu’on lui avait proposé de voir un psychologue et la fois dernière, il avait fini par se barrer après quinze minutes de séances. Il se laissa choir contre le dossier du canapé, se pinçant l’arête du nez et rétorqua « Désolé, tu n’y es pour rien…Tu veux m’aider et… Ce genre de types ne peut pas le faire » puis laissa tomber sa main, posant son regard brun sur elle « Faut juste remettre le pied à l’étrier et tout ira bien. C’est juste que c’est la première fois que je vois la mort aussi près… Et me faire exécuter comme un vulgaire con… Je préférais crever de vieillesse au mieux, ou en faisant correctement mon job, sans le voir arriver » tout en reprenant son cookie « Tu veux toujours faire ce job après hier ? ».


Charly
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Charly
Mar 9 Mar - 14:01
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Lizzy Capplan
J'ai 34 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis un bébé flic et je m'en sors pas trop mal. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis plutôt bien.


Elisabeth ou Lizzy en plus court, a passé pas mal d'années à se chercher. Puis elle a découvert ce qu'était de devenir flic. Aujourd'hui, diplome en poche, la jolie blonde qui ne laisse pas indifférent les hommes est prête à leur prouver qu'on peut être sexy, faire un 90C et être capable de réflechir et de tenir un flingue.
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Il l’avait dit pour elle. La dernière fois. Un simple regard pour lui confirmer qu’il avait raison, avant de proposer un café et quelques gâteaux. Histoire de pouvoir avoir quelque chose à quoi se raccrocher s’il y avait un instant gênant dans la conversation qui allait suite. Histoire aussi de prendre un peu soin d’Ethan. Elle aurait parié qu’il n’avait rien mangé. « -ba t’as bien fais de pas prendre tes médocs ça t’aurait déglingué le bide. » répondit Lizzy en portant le plateau dehors. La terrasse, son petit refuge, le truc pour lequel elle avait craqué en visitant l’appartement. Elle y passait des heures lorsqu’elle avait du temps libre. Ce qui en ce moment était rare.

« -contente que ça te plaise. » répondit elle en posant sa tête sur sa main, le coude sur le dossier du canapé, tourner en direction de son équipier. « -ça serait peut être plus simple... » ajouta t elle en regardant le cookie entre ses doigts. Et puis elle se décida à abordé le sujet. Elle savait d’avance qu’il allait dire non. Ça n’était pas le genre de type à aller se confier à quelqu’un qui pouvait lire dans sa tête. Lizzy ouvrit la bouche pour lui répondre que ça lui ferait du bien, mais elle se pinça les lèvres en l’écoutant, baissant les yeux. « -oui pour tout ça. » déclara t elle en le regardant à nouveau. La suite elle l’aurait deviné sans souci également. Lizzy resta silencieuse, observant l’homme qui se trouvait à ses côtés. Elle avait mal pour lui. « -mettre un mouchoir sur ses problèmes n’a jamais été une solution. Ce qui s’est passé hier c’est… c’est traumatisant. » oui c’était le bon mot. « -et tu peux pas faire comme si de rien n’était. » parce qu’il avait mal partout, parce qu’il n’allait pas dormir, parce que les souvenirs allaient venir le hanter dans ses cauchemars. Donc non, poursuivre comme ça, sans rien faire, ça n’était pas la solution.

« -si elle peut t’aider. Coucher avec moi ça, ça ne t’aidera pas par contre. » c’était la stricte vérité. « -mon vagin est pas diplômé dans ce genre de domaine. » elle avait envie de le voir sourire un peu. « -comment ça en faisant ton job correctement ? Tu penses avoir mal fait ? C’était pas assez te faire tabasser ? Jouer les héros ? Tu voulais faire quoi de plus ? T’avais pas d’arme, plus de vingt personnes sur les bras, quatre débiles armés jusqu’aux dents avec le cerveau cramé. Tu voulais faire quoi de plus Ethan ?! » elle venait de s’emporter, de laisser la peur d’hier reprendre le dessus. Rah voilà elle était énervée contre lui. Contre son comportement. Contre sa façon de penser. La dernière question, elle ne l’avait pas entendu. « -Ethan tu peux pas faire comme si rien ne s’était passé. Parce que c’est faux. Hier un taré t’as collé son flingue sur la tempe pour t’exécuter ! » elle s’était levée en disant cela. Croisant les bras, de l’autre côté de la table basse elle lâcha la gorge serrée : « -ça va te détruire à petit feu. » et elle n’allait pas le bordé tout les soirs pour qu’il trouve le sommeil.


Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Mar 9 Mar - 17:20
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Ethan O'Connell
J'ai 39 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis flic et je m'en sors pas trop mal. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.


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Assis sur la terrasse, cookies et café, Ethan aurait presque l’impression d’être une de ces femmes au foyer venu en quête de nouveau ragots en ce début d’après-midi. Il n’en était rien. Il était venu chez elle pour lui faire l’amour, comme si cela était devenue une nécessité à l’instant T, pour sentir ses mains sur son corps, entendre son souffle dans son cou. Ils ne devraient pas succomber ainsi au plaisir charnel, pas en sachant qu’elle était en couple depuis des années. Ils devaient arrêter, et tenter de retrouver un tantinet de normalité dans leur relation, loin de cet appel du corps. C’était peut-être aussi pour cela que Lizzy l’avait convié à prendre le café sur sa terrasse. Pour discuter et seulement cela. Un petit sourire alors qu’il prenait un cookie « Je l’ai fait hier ». Hier soir, il n’était parvenu à rien manger, seulement à boire deux bières. Il la complimenta sur ses gâteaux et fronça brièvement les sourcils « Comment ça ? » osa-t-il demander. Voulait-elle quitter la police après les évènements d’hier ?! Et puis elle en vint à lui proposer de voir, lui aussi, un psychologue. Il énuméra toute une liste de ce qu’il devait dire à cet inconnu tout simplement pour aller mieux ?! Très peu pour lui. Pourtant, il esquissa un maigre sourire au commentaire de la jolie blonde. Il poursuivit en expliquant son point de vue sur ce genre de métier, ce genre de personnes qui, assis dans un fauteuil, se permettait de lui dire que tout irait bien, comme si ces quelques mots et se libérer de plusieurs centaines de dollars, allait lui faire du bien. Il en doutait. Une gorgée de café, un regard pour Lizzy, puis baissa la tête tout en se passant une main lasse dans la nuque. Il releva de nouveau son regard brun sur elle, sans pour autant relever la tête tout de suite. Il attendit quelques secondes, puis s’appuya contre le dossier du canapé « Parce qu’en parler à un inconnu, ça va m’aider ?! J’ai fait ça pour Jimmy. Je l’ai fait aussi pour ma mère, pour mon frère et mon père. Et je trouve que je m’en sors bien ». Même si, hier, c’était peut-être encore plus traumatisant. En une seconde, il aurait pu finir dans une caisse en bois, six pieds sous terre. Une seconde… Et c’était une inconnue, désespérée, apeurée, qui lui avait sauvé la vie sans même le savoir.

Un nouveau regard pour la jeune femme. Elle semblait convaincue que cette psychologue allait pouvoir l’aider. Un petit rire malgré la situation « Mais tu dois avouer que ça fait du bien quand même et il est plus agréable que le bureau d’une psy à la con ». Ethan expliqua qu’il avait eu peur hier. Qu’il ne souhaitait pas mourir de cette manière. Se faire exécuter, lâchement. Il ne souhaitait pas mourir en héro, il souhaitait juste mourir dans son lit, vieux ou en faisant son métier. Une balle et boom. Plus rien. Apparemment, ce fut la goutte qui fit déborder la vase car il sentit la jolie blonde s’agacer au fur et à mesure qu’elle parlait. Il baissa la tête, son visage dans ses mains qui finirent dans sa chevelure brune, alors qu’il posait ses yeux noirs sur Liz qui venait de se lever. Elle était à bout. Elle avait eu peur pour lui hier, et ça semblait toujours être le cas. Ethan se leva donc sans un mot et fit le tour de la table basse, venant la serrer tout contre lui « Je suis désolé Liz… Je ne voulais pas… » et embrassa sa chevelure blonde « J’ai eu l’impression d’être faible hier, d’être un boulet que l’on traine au bout d’une chaine. J’ai pris des coups, je les ai encaissés, mais pour quoi ? Pour rien. Ils ont tué deux personnes sans que je bouge et j’ai bien failli mourir aussi… exécuté comme si je n’étais personne… Pour moi, je n’appelle pas faire son job correctement que de se faire cogner pour faire diversion… » et se recula, posant ses mains sur son visage « Et je sais qu’un homme a braqué son arme sur ma tempe pour me tuer. Et je sais aussi que tu as eu peur et je suis désolé Liz… », déposant un baiser sur son front et la serra de nouveau contre lui « Je vais m’en sortir. Comme toujours ». Il se sentait soudainement égoïste. Il n’avait pas pensé qu’elle avait sûrement eu aussi peur que lui en cet instant. Il resserra davantage son étreinte et murmura « Je suis en vie Lizzy. Toi aussi. Tout ça est derrière nous et j’irais voir cette psy si tu le veux ». Puis se recula, caressa sa joue de son pouce tout en souriant « Si tu veux, mon pénis est diplômé en psychologie » dans l’espoir de la faire rire un tantinet « Et arrête de te mettre en colère comme ça, ça m’excite ! ». Puis il posa ses mains sur ses hanches, souriant « Tu es plus calme ? Allez viens, on va finir de prendre notre goûter » tout en marchant à reculons, sans quitter ses hanches des mains, l’attirant à lui et la lâcha lorsqu’il prit place sur le canapé de la terrasse.


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Mar 9 Mar - 19:13
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Lizzy Capplan
J'ai 34 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis un bébé flic et je m'en sors pas trop mal. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis plutôt bien.


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« -ba faire la cuisine ça me détends. En faire un commerce c’est certain qu’il faut se lever tôt et en faire beaucoup plus que ce que je fais ici, enfin quoi que les cupcakes y’en avait soixante… mais enfin je sais pas, j’ai pas l’impression d’assurer pour le moment et je suis pas certaine d’être capable d’encaisser psychologiquement. Enfin je sais pas mais de toute façon c’est pas la question. » encore une fois elle avait parlé sans s’arrêter, laissant ses pensées et ses mots arrivées à grande vitesse.

Et puis le pavé dans la mare. La psy. Elle savait d’avance qu’il allait dire non. Que c’était catégorique. Mais elle tentait quand même. Elle avait eut peur pour lui, et elle ne voulait pas que l’épisode qu’ils avaient traversé soit un poids de plus pour lui. « -tu pourra pas encaisser éternellement. » lâcha la jeune femme d’un ton neutre. « -et justement le fait que ça soit une inconnu ça aide. Parce qu’elle n’est pas la pour te juger, mais pour t’aider. Pour t’apporter des clés pour te reconstruire, pour évacuer tout ça. » il n’avait jamais vu personne de ce genre là… Même lors de la mort de son équipier… « -qu’est ce que t’en sais, elle a peut être un vagin plus accueillant que le mien et le sofa de son cabinet est certainement mieux que ma table de salon. » sous entendant que la psy en question pouvait très bien être sexy et super chaude.

Le ton de la plaisanterie laissa place à celui de l’agacement. Encore une fois c’était la peur qui revenait, qui parlait. En parlant du flingue sur sa tempe, elle revoyait les images et elle sentait presque ses jambes fléchir. Lorsqu’il la serra dans ses bras, elle se mis à pleurer. Enfin elle lâchait les vannes. « -mais tu voulais faire quoi d’autre ?! » souffla t elle en le regardant droit dans les yeux. Elle chassa ses larmes elle même, renifla quelque peu et ajouta : « -t’es pas un boulet et t’es pas personne. Tu étais pas en position de sauveteur hier. Tu as subit c’est tout. » il fallait qu’il l’accepte. A nouveau dans ses bras, elle souffla : « -j’ai eu la peur de ma vie… » c’était plus que sincère, jamais elle n’avait ressenti ça. Et elle ne souhaitait plus jamais revivre ça.

« -non mais non. » commença Lizzy en reculant d’un pas alors qu’il parlait du diplôme de ses partie intime. « -je veux pas que tu le fasses pour me faire plaisir ou simplement parce que ça te les brisent de m’entendre te parler de ça. Je veux que tu le fasses pour toi. Pour te sentir mieux, pour éviter de traîner ça, pour dormir la nuit sans faire de mauvais rêves. quoi ?! N’importe quoi, je suis sérieuse là Ethan. » répondit Lizzy en levant les yeux au ciel. « -non je suis pas plus calme ! » obtempéra la jolie blonde en posant ses mains sur les siennes alors qu’il la guidait jusqu’au canapé. « -je veux que tu y réfléchisses sérieusement. C’est important. Tu traînes déjà trop de chose. Tu dois prendre soin de toi. » parce qu’elle ne pouvait pas le faire pour lui. « -alors je sais que je suis ni ta mère ni ta meuf mais je… » elle se pinça les lèvres, debout là devant lui : « -je tiens à toi… t’es quelqu’un de bien et… » puis elle poussa un soupire en baissant les yeux. « -oh et puis laisse tomber, de toute manière rien que voir ma gueule ça va te rappeler cette merde tous les jours de toute façon. Fais ce que tu veux. Gères comme tu le sens. » sous entendant qu’elle s’en foutait, ce qui était en total contradiction avec ce qu’elle avait dit avant. « -hé merde mon thé est froid... » souffla la jeune femme pour trouver une excuse de s’éclipser quelques minutes dans la cuisine.
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Ethan O'Connell
J'ai 39 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis flic et je m'en sors pas trop mal. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.


Surnommé « l’Irlandais » par ses collègues du 12th district, Ethan est le genre de flic à la tête dure. Anciennement du groupe d’intervention du SWAT, il s’est retrouvé propulsé dans la rue à la suite du décès brutal de son collègue en intervention. Une nouvelle vie qui ne l’enchante guère. Dopé à l’adrénaline, il n’aspire qu’à retourner dans un groupe d’intervention. En attendant, ça fait une semaine qu’il a débarqué dans la brigade, qu’on lui colle une petite nouvelle tout juste sortie de l’école …


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C’est en l’entendant déblatérer à toute vitesse sans que cela ne l’agace qu’Ethan comprit que leur relation avait véritablement évolué depuis leur rencontre, et cela sans parler du fait qu’ils avaient couché ensemble à deux reprises. Une véritable amitié avait fini par se construire, et pourtant, Dieu sait que ça n’était pas gagné au début. Alors il esquissa un sourire, mi-attendri, mi-amusé, de la voir parler à toute vitesse sur un commerce de pâtisserie. Il ne renchérit pas pour le moment. Même si, lorsqu’ils se mirent à évoquer la psychologue, Ethan se dit qu’ils auraient peut-être dû continuer à parler de pâtisseries finalement…

Pour le policier, c’était presque hors de question de se rendre dans un bureau, de s’allonger sur un sofa et de parler encore et encore, de ce qui le turlupiner alors que la personne en face de lui, n’avait pas la moindre idée concrète de ce qu’il avait pu vivre. Toutefois, Lizzy n’avait peut-être pas tort. Jusqu’à quand pourrait-il encaisser de cette manière. Il souffla alors « Je ne sais pas » tout en relevant son regard brun sur lui, pour finalement s’enfoncer dans le fond du canapé, pas vraiment convaincu que de parler à une totale inconnue allait l’aider. Un soupir et se redressa, posant ses coudes sur ses genoux « Je n’en sais rien Lizzy… Je ne suis pas un grand bavard. Alors si je ne connais pas la personne… J’aurais l’impression de parler au premier passant dans la rue. C’est particulier, non ? » tout en tournant la tête vers elle. Il finit par se mettre à rire, posant sa main sur ses côtes « J’en doute pour le vagin. J’aime beaucoup le tiens » tout en laissant son regard glisser jusqu’à son entrejambe avant de rire de nouveau, détournant le regard sur la tasse à café. Toutefois, cette légèreté ne perdura pas et la jolie blonde finit par exploser, par laisser parler ses émotions. Sa peur, sa colère. Ethan se leva donc et la serra dans ses bras. Ça lui faisait mal de la voir ainsi. Elle qui parlait à tout va, qui plaisantait à longueur de journée… De la voir si fragile, c’était douloureux. C’était perturbant. Il répondit tout de fois à ce qu’elle lui avait lâché avec colère, et se recula et souffla un nouveau « Je ne sais pas ». Apparemment, c’était une réponse toute faite bien utile en cet instant. Il la laissa essuyer ses larmes et l’écouta, détournant bien vite le regard. Il avait subi. C’était le mot. « Je… ne suis pas le genre à subir Liz… et… » et il poussa un soupir. Blottit dans ses bras, ce qu’elle ajouta lui serra le cœur. Il resserra alors son emprise sur son corps, soufflant « Tout va bien maintenant. Je suis là et il ne m’arrivera rien. Ni à toi ».

Ethan tenta la carte de l’humour, souriant à sa propre réplique, puis fronça les sourcils « Liz… Je vais aller voir ce psy. Une séance. Juste pour voir ce qu’elle peut m’apporter. Parce que j’ai besoin de dormir et d’oublier surtout. Est-ce que ça te va comme ça ? » puis leva les yeux au ciel « Je m’en suis rendu compte » tout en reportant son attention sur elle. Il posa ses mains sur ses hanches, et la conduisit jusqu’au canapé et hocha lentement de la tête « Je traite mon corps et mon esprit comme si c’étaient un parc d’attraction. Ça me réussissait plutôt bien jusque-là » puis après une gorgée, il s’apprêtait à lui dire qu’il comprenait, et qu’il allait appeler la psy, qu’elle poursuivit, le laissant bouche bée. Elle venait de lui dire ouvertement qu’elle tenait à lui, que c’était quelqu’un de bien. On lui avait rarement dit que c’était un homme bien. Puis il se mit à froncer des sourcils alors qu’elle poursuivait avec un certain agacement, ne comprenant plus elle voulait en venir. Il la laissa s’éloigner, en se demandant ce qu’il avait loupé.

Ethan se leva du canapé, glissant ses mains dans son jean et la rejoignit dans la cuisine. Timidement, il s’approcha d’elle « Tu as peur qu’à chaque fois que je te vois, je me rappelle cette arme contre ma tête ? Ou c’est parce que c’est ton cas Liz ? » et fit un nouveau pas vers elle « Tu es mon amie. Je n’ai pas envie que tu t’éloignes de moi juste parce que ça nous a foutu en l’air cette merde. C’est encore récent. Ça va passer. J’ai quand même envie de bosser avec toi, tu sais » tout en souriant « Allez ! Ne fait pas cette tête, je sais que tu m’aimes bien, tu viens de le dire » en pointant du pouce, la terrasse dans son dos et ajouta « Je vais prendre rendez-vous chez le psy. On verra bien. Peut-être qu’elle fera des miracles. Peut-être pas. Mais je ne tente pas à nouveau, je ne le saurais pas » et un nouveau pas « Et je le fais pour moi ». Un dernier pas alors qu’il fut proche d’elle « Tu veux un bisou magique ? » et déposa ses lèvres sur sa joue « Allez, ramène ton cul sur la terrasse, j’ai pas fini de manger tes gâteaux ! » tout en tournant les talons.


Charly
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Charly
Mar 9 Mar - 21:34
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Lizzy Capplan
J'ai 34 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis un bébé flic et je m'en sors pas trop mal. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis plutôt bien.


Elisabeth ou Lizzy en plus court, a passé pas mal d'années à se chercher. Puis elle a découvert ce qu'était de devenir flic. Aujourd'hui, diplome en poche, la jolie blonde qui ne laisse pas indifférent les hommes est prête à leur prouver qu'on peut être sexy, faire un 90C et être capable de réflechir et de tenir un flingue.
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Il ne lui arriverait rien. Il ne pouvait pas promettre ça. Ils faisaient l’un comme l’autre un métier où le danger était présent chaque jour. Depuis hier soir, elle ne cessait de se demander ce qui se serait passé si elle n’avait pas été avec lui, si ça avait un autre à sa place, lui dehors, elle dedans ou l’inverse. Être ensemble au milieu de ce bordel avait été une chance parce qu’ils s’étaient soutenu, mais aujourd’hui ils souffraient aussi tous les deux. Et même si elle était déterminée à passer au dessus de ça, pour le moment c’était compliqué pour elle. Parce qu’elle avait eut peur de le perdre, et que maintenant elle avait peur des effets psychologique que tous cela allait avoir. Elle voulait qu’il fasse l’effort pour lui, pour ne pas perdre pieds.

L’humour et la tendresse dont il faisait preuve aurait dû la calmer, pourtant il n’en était rien. Parce qu’elle avait l’impression qu’il prenait le problème à la légère, et surtout pas dans le bon sens. Elle ne voulait pas qu’il fasse ça pour elle, mais pour lui ! Et puis finalement après lui avait dit ce qu’elle ressentait pour lui, lui confiant qu’elle tenait à sa personne, Lizzy lâcha l’affaire. C’était plus simple de battre en retraite, de s’éloigner quelques minutes.

Elle venait de mettre de l’eau à chauffer une nouvelle fois, le regard fixé sur la bouilloire, les dents serrées. Se mordant l’intérieur de la joue, elle ne cessait de se dire que tout était compliqué, mais que ça allait passer. Que demain serait un autre jour, que oui le temps ferait son affaire. Sans bouger elle regarda quelques secondes Ethan sans répondre à sa question. Elle l’écouta en détournant les yeux, comme si la fumée qui s’échappait de la bouilloire était plus intéressante. Elle avait l’impression de faire sa boudeuse, et qu’Ethan faisait tous les efforts du monde pour ne pas qu’une crise éclate. Elle finit par lâcher un : « -pff t’es con... » alors qu’il proposait ce fameux bisou magique qui les avaient fait rire dans le pire moment. Puis elle soupira en le regardant sortir sur la terrasse. Elle savait que s’il était mort la veille, elle n’aurait pas pu s’en remettre. Parce qu’en l’espace de quelques mois, il avait prit un part importante dans sa vie. Même s’il y foutait aussi drôlement le bordel.

D’un pas lent, toujours pieds nus elle revint à l’entrer de la terrasse, sa tasse fumante entre les mains. « -c’est moi qui suis désolée. Tu n’as certainement pas besoin de ma petite crise en plus de tout ça. » un pincement de lèvres avant d’avancer doucement pour reprendre sa place. « -je crois que… je crois que j’étais pas prête à vivre tout ça et que j’ai bien du mal à digérer tout ce merdier. Mais tu as raison… c’était seulement hier… Alors ça dois être normal. » sur la table basse son téléphone sonna. « -c’est Tony... » elle prit l’appareil et se leva pour rejoindre le salon et répondre rapidement. Comme elle le faisait souvent lorsqu’elle était au téléphone, elle s’assit sur la table du salon. Etrange sensation que d’avoir son petit ami au bout du fil alors qu’elle était assise là où elle venait de le tromper une fois de plus. Une fois de trop… Il venait aux nouvelles, savoir si elle avait réussit à dormir à nouveau, si ça allait tout simplement. Ne pouvant pas mentir sur tout, Lizzy lui confia qu’elle était revenue à l’appartement avec Ethan, et qu’ils avaient pu reparler de leur journée d’hier. Tony trouva ça bien, qu’ils s’épaulent l’un l’autre, et appuya sur le fait qu’Ethan était un chic type. Cela serra le coeur de la jeune femme. Elle finit par raccrocher avant de revenir vers son collègue. « -tu souffres pas trop ? » demanda t elle pour changer de sujet.
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Manhattan Redlish
Mar 9 Mar - 22:19
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Ethan O'Connell
J'ai 39 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis flic et je m'en sors pas trop mal. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.


Surnommé « l’Irlandais » par ses collègues du 12th district, Ethan est le genre de flic à la tête dure. Anciennement du groupe d’intervention du SWAT, il s’est retrouvé propulsé dans la rue à la suite du décès brutal de son collègue en intervention. Une nouvelle vie qui ne l’enchante guère. Dopé à l’adrénaline, il n’aspire qu’à retourner dans un groupe d’intervention. En attendant, ça fait une semaine qu’il a débarqué dans la brigade, qu’on lui colle une petite nouvelle tout juste sortie de l’école …


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Vacillant entre inquiétude et humour, les paroles d’Ethan restèrent sans réponses devant une jeune femme sûrement perdue ou préoccupée par ces derniers évènements. Il était difficile, autant pour l’un, que pour l’autre, de surmonter ce qui s’était passé la veille. Pour le moment, le policier parvenait à garder la tête hors de l’eau, mais pour combien de temps ?! Lizzy avait raison. Cela n’avait pas duré indéfiniment. Et il avait l’impression que la jeune femme était peut-être, si ce n’est plus, perturbée par tout cela parce qu’en plus de tout cela, elle s’inquiétait pour lui… Donc Ethan usa de l’humour pour conclure sa tirade, déposant un baiser sur sa joue et rejoignit la terrasse, dans l’espoir qu’elle le rejoigne.

Assis dans le canapé, buvant le reste de son café froid, et grignotant quelques miettes d’un cookie, le policier releva son regard brun sur Lizzy qui le rejoignit. Toutefois, elle resta à l’entrée un instant. En l’entendant, il rétorqua presque aussitôt « Ne dis pas n’importe quoi ». Parce qu’Ethan ne considérait pas cela comme une petite crise, mais davantage comme une manière, bien à elle, de prendre soin de lui et ça le touchait. Ça faisait bien longtemps que l’on ne s’était pas soucié de lui de cette manière. Il esquissa un maigre sourire alors qu’elle reprenait place à ses côtés. Il baissa le regard un instant. Ethan avait oublié que la jeune femme à ses côtés n’était qu’une recrue, que ça ne faisait que quelques mois qu’elle patrouillait dans les rues de Los Angeles. Il se rapprocha vers elle, s’apprêtant à passer son bras autour de ses épaules, mais le téléphone sonna. Tony. Il se ravisa, laissant tomber son bras le long de son corps et la laissa s’éloigner. Il passa ses mains sur son visage, grimaçant en sentant ses points. Il termina son café silencieusement et se leva pour s’approcher du bord, observant la vue qu’offrait sa terrasse.

En entendant la voix de Lizzy, il se retourna vers elle et revint dans le canapé « Un peu » tout en haussant les épaules. Il fit un signe de tête en direction du téléphone « Qu’est-ce qu’il disait ? ». Il finit par se lever de nouveau « Je veux bien un autre café si ça ne te dérange pas » et la suivit jusque dans la cuisine. « Tu sais, ce que tu as dit tout à l’heure… J’avais oublié que tu n’étais qu’une recrue. Ce n’est pas une critique. Je veux dire par là, tu n’avais pas à vivre tout cela après seulement quelques mois sur le terrain. Ça fait beaucoup… ». Il la remercia ensuite pour le café, retournant de nouveau sur la terrasse. Il déposa sa main dans son dos, le caressant « Avec le temps, ça ira ». Il aurait pu dire que ça sera difficile lorsqu’elle tuera son premier Homme, lorsqu’elle trouvera son premier bébé dans une poubelle, son premier enfant tué ou encore sa première femme violée dans une ruelle. C’était un métier difficile, et même si Ethan avait parfois hésité à en changer, il savait qu’il en était incapable. Il reprit place sur le canapé, prenant un cookie entre ses doigts et qu’il cassa en deux, en tendant une moitié à Lizzy « Tu veux quitter la police ? Tu ne m’as pas répondu tout à l’heure », et observa le gâteau entre ses doigts avant d’en casser à morceau pour le porter à ses lèvres. Il avala et ajouta « Je ne vais pas te promettre que les prochains jours seront magiques, ou même les prochaines années. Tu vas douter souvent. Tu vas avoir envie de tout lâcher, de faire un métier normal, de monsieur et madame tout le monde, mais c’est aussi l’un des plus beaux métiers du monde. Je veux dire, quel boulot te permet de porter un flingue, un uniforme et rester sexy avec le tout ? » et se mit à rire « Je plaisante. Mais tu vois l’idée. Et puis je vais faire quoi moi sans toi ? Tu y as pensé ? ».



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Mar 9 Mar - 23:00
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Lizzy Capplan
J'ai 34 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis un bébé flic et je m'en sors pas trop mal. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis plutôt bien.


Elisabeth ou Lizzy en plus court, a passé pas mal d'années à se chercher. Puis elle a découvert ce qu'était de devenir flic. Aujourd'hui, diplome en poche, la jolie blonde qui ne laisse pas indifférent les hommes est prête à leur prouver qu'on peut être sexy, faire un 90C et être capable de réflechir et de tenir un flingue.
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A la base elle voulait seulement prendre soin de lui. Lui faire comprendre surtout qu’il devait prendre soin de lui. Parce que comme elle lui avait dit, elle n’était ni sa mère ni sa nana. Elle ne serait pas là le soir lorsqu’il ne parviendrait pas à dormir, pas non plus présente lorsqu’il se réveillerait en sursaut, le souffle court avec des images horribles dans la tête. Et il était hors de question qu’il débarque sans prévenir pour s’envoyer en l’air simplement pour se sentir mieux. Alors elle lui présenta des excuses parce que sa façon de réagir était peut être déplacé. Il ne sembla pas du même avis.

La sonnerie du téléphone les coupa. Lizzy ne s’éternisa pas, rassurant Tony, précisant qu’Ethan était là. Puis elle revint au près de lui, changeant de sujet parce que c’était nécessaire. Pour elle en tout cas. « -médoc en rentrant chez toi. Ça aussi fait le pour toi. » au moins il parviendrait peut être à dormir un peu comme ça. « -ah heu… » elle n’avait pas vu venir la question. « -il voulait savoir si comment ça allait. Je lui ai dis que tu étais venue passé l’après midi avec moi, pour qu’on puisse reparler de tout ça. » elle bougea doucement le tête d’avant en arrière, avant d’ajouter : « -et il trouve que t’es un type bien. » avec un petit haussement de sourcils. Si il savait… « -oui bien sur... » souffla Lizzy en reprenant le chemin de la cuisine. Tout en lançant le café, elle colla son dos contre le comptoir de la cuisine. « -ça fait beaucoup oui… Mais on n’y peut pas grand-chose. » c’était un peu fataliste comme discours mais c’était la vérité. Elle évita de lui dire que dans sa tête, elle était heureuse que ça soit elle qui soit présente à ses côtés et non pas un autre con de la brigade.

U« -en uniforme ou pas je suis sexy tout le temps. »n léger frisson dans le dos en sentant ses caresse, avant de lui sourire avec tendresse. Elle espérait qu’il avait raison, elle ferait tout pour. Lizzy savait qu’elle devait s’endurcir, que ça n’était que le début et qu’il y aurait bien d’autre chose à aller déballer chez la psy. En récupérant le cookie qu’il lui tendait elle bloqua sur sa question, laissant son geste en suspens quelques secondes. « -non. Enfin… non je pense pas. Je sais pas. J’y ai pas vraiment pensé en réalité. Je me suis battue pour y arriver, alors laisser tomber maintenant pour quatre connard avec des masques de la ferme, ça serait un peu con. » un petit sourire avant de manger. Sourire qui s’intensifia en l’écoutant. répondit la jeune femme en retrouvant un peu de sa bonne humeur. Et puis elle se mis à rire : « -tu t’en sortais très bien avec que j’arrive. J’ai pas révolutionné ta vie. Je t’ai seulement coller des migraines à force de parler et fait explosé ton budget chewing-gum ! » c’était de l’ironie. Et elle pensait exactement l’inverse. Qu’est ce qu’elle aurait fait elle, sans lui ?! Il était de loin la meilleure rencontre de cette année. Grâce à lui elle avait pu commencer son nouveau job en douceur, se faire peu à peu au métier. Outre le merdier qu’il foutait dans sa vie sentimentale, enfin qu’il pouvait mettre parce que pour le moment elle avait décidé de se taire et de ne rien dire à Tony, vraiment il était son point positif de l’année.
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