J'ai 30 ans et je vis à New-York, USA. Dans la vie, je suis propriétaire d’une galerie d’art, mais aussi trafiquant d’oeuvre d’art et de certaines autres choses peu légales et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à mon sourire charmeur et mon sens des affaires, je suis marié et je le vis bien, cela me retirant une épine du pied.
+ Il est le fils d’une musicienne de renom et d’un homme possédant plusieurs galeries d’art en ville. Sa famille est certainement l’une des plus riches de la ville. + Né en Sicile, il y possède une maison secondaire. + Il parle couramment italien. + Il a une petite soeur. + Il gère tout un réseau de trafic d'œuvres d’art, et quelques petites choses. + Il lui arrive de peindre à ses heures perdues (qui ne sont pas si nombreuses). + Il ne sait absolument pas cuisiner, tout ce qu’il mange lui a toujours été préparé. + Il aime être entouré, recevoir de l’attention. + Il est allergique au lait et au nickel. + Il fait beaucoup de sport, notamment en extérieur pour pouvoir respirer et se sentir un peu plus libre.
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Il se dissocie complètement de la réalité. Je ne sais pas bien ce qu’il se passe dans sa tête, ni même comment le fil de ses pensées arrive à ce cheminement, mais ce qui est certain, c’est qu’il n’a plus du tout conscience de ce qui se passe autour de lui. Certes, sa conclusion pouvait avoir du sens, me débarrasser de lui pour régler le problème ou pour lui trouver un remplaçant pouvait se révéler être une solution envisageable, mais si j’avais pris la peine de monter toute cette mascarade, c’était aussi parce que je savais dans quoi je m’embarquais. Je savais que je pouvais m’en sortir. Même avec ses crises existentielles. « Je ne vais pas te tuer Andrew. Même si tu merde demain. Quoiqu’il se passe, on pourra toujours rattraper ça. » A condition qu’il retrouve un peu de raison. Et comment lui faire retrouver la raison ? Le gifler est la première solution qui se présente dans mon esprit, mais puisqu’il est persuadé que je vais l’assassiner, je ne sais pas si c’est bien pertinent d’avoir un geste qui pourrait justifier ces pensées. Finalement, c’est ses derniers mots qui me fournissent une autre idée. Si la violence ne le ramènera pas à la raison, peut-être que la douceur le pourra. Et après tout, la solution est loin d’être désagréable. Mes doigts sous son menton, son visage relevé, je viens déposer mes lèvres contre les siennes rapidement avant de me reculer pour observer son expression de surprise. Il semble déjà plus réceptif à ce qu’il se passe. Mais nécessité - et envie non assumée - qu’il soit encore plus réceptif à ce que je lui raconte, je recommence, laissant cette fois mes lèvres s’attarder plus longtemps sur les siennes, jusqu’à ce qu’il devienne vraiment réceptif, se laissant un peu aller. Peut-être que j’allais devoir songer à coucher avec lui pour que l’on se comprenne plus facilement. « C’est vrai, ton stress et tes crises existentielles comme aujourd’hui n’étaient pas prévues dans mon plan. Ni même le fait que tu ais déjà croisé Oriana. Mais, j’ai quand même prêté serment, même si celui-ci était intéressé. Je vais prendre soin de toi. » Même si parfois j’allais sûrement me montrer dur avec lui, j’allais devoir défendre nos intérêts, à tous les deux. « Alors maintenant, si tu veux bien j’aimerais savoir comment toi et Mina connaissez ma soeur, la nature de votre relation, depuis quand. Bref, tous les petits détails que tu as encore en mémoire la concernant. » Si j’obtenais assez d’informations, je pouvais encore prétendre à une parade.
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Ven 3 Sep - 10:57
Andrew Moretti
J'ai 28 ans et je vis à New York, Etats-Unis. Dans la vie, je suis maitre des écoles et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à l'alcool, je suis marié à l'Enfer et je le vis comme un animal en cage. Mon nom de jeune garçon était Jordan. Mon père est responsable qualité dans une entreprise de concession de voiture. Ma mère est infirmière. Mon petit frère est quaterback dans une des equipes nationales Ma soeur fait des études de médecine. Je fais du mannequinat à mes heures perdues. J'étais fiancée à Mina Kazou, avocate de renom. Je fais du Karaté, et je suis fan de hockey ainsi que de football américain. Je fais aussi du base-ball pour le plaisir. Je fais des migraines quand je panique.
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Je ne m'attendais à tout. Qu'il gueule. Me frappe. Me menace plus encore. A ce stade, j'aurais tendu le couteau ou le flingue moi-même. Mais non, c'est tout autre qui me tire de ma panique. Yeux qui s'écarquillent. Mais que .. Je .. Le cerveau s'éteint définitivement au second baiser. Je ne pensais pas du tout qu'il était apte à la douceur. Et c'est tristement que j'admets que ce n'était pas désagréable. Et un brin trop court. Chacun reprend une place plus convenable. Et je ne sais même plus quoi dire. Il reprend son rôle et je me concentre davantage. Mina s'ennuyait alors nous sommes sorti à une soirée. On l'a rencontré là-bas. Des verres et tout a dérapé. Je les ai laissé entre elles. Je ne vais pas te faire de dessins. Mina m'en a jamais reparlé. Et je ne suis pas du genre à poser des questions. Est-ce qu'elles sont encore en contact, je ne saurais même pas le dire. Ca se trouve, peut-être qu'elle l'a revu. Qu'en sais-je ? Germe d'espoir de retrouver la jeune femme, c'est tout ce que m'inspire ma révélation. Je relève le regard vers lui. Tu vas faire quoi maintenant ? Un je gère en guise de réponses. Et je l'admets, je ne suis plus en état d'en savoir davantage.
Soir venu. Les petits plats dans très grands à mon gout. Une décoration sombre mais des plus élégantes. J'avais raconté à un ami que j'allais à un vernissage - pas la force de dire la vérité - mais que cette soirée me stressait bien trop. Il m'a conseillé de l'homéopathie. Fait maison, comme il avait dit. Et je n'avais pas posé de questions. Je voulais être parfait pour ce moment. J'ai pris une dose de plus pour être détendu. Et je le suis, réellement. Une légèreté totale. Nous avions accueilli ses parents. Et je n'avais pas défailli. Complimenter sa mère et sa sœur, sortir une blague drôle à son père. Non, tout est sous contrôle.
Je crois que j'ai commencé à faire paniquer mon faux époux quand j'ai voulu m'exclamer sur ses performances sexuelles. Ca m'a échappé. Il fallait que ce soit authentique non ? Quand ça va dans le lit, tout va. Ce n'est pas ce qu'on dit ? Mais visiblement, je sais pas trop vu qu'il a fini par m'attraper par le bras pour me demander d'aller dans la cuisine, et me demander ce qui m'arriver. Eh bien, je passe une bonne soirée. Et je tente de ne pas me montrer crisper. Tu as dit qu'il fallait être convaincant. On n'a pas couché ensemble mais j'ai le droit de le dire. Je trouve que je joue bien la comédie, non ? T'as l'air tendu, tu veux de l'homéopathie aussi ?
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Maddy'n
Sam 11 Sep - 12:10
Ezio Moretti
J'ai 30 ans et je vis à New-York, USA. Dans la vie, je suis propriétaire d’une galerie d’art, mais aussi trafiquant d’oeuvre d’art et de certaines autres choses peu légales et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à mon sourire charmeur et mon sens des affaires, je suis marié et je le vis bien, cela me retirant une épine du pied.
+ Il est le fils d’une musicienne de renom et d’un homme possédant plusieurs galeries d’art en ville. Sa famille est certainement l’une des plus riches de la ville. + Né en Sicile, il y possède une maison secondaire. + Il parle couramment italien. + Il a une petite soeur. + Il gère tout un réseau de trafic d'œuvres d’art, et quelques petites choses. + Il lui arrive de peindre à ses heures perdues (qui ne sont pas si nombreuses). + Il ne sait absolument pas cuisiner, tout ce qu’il mange lui a toujours été préparé. + Il aime être entouré, recevoir de l’attention. + Il est allergique au lait et au nickel. + Il fait beaucoup de sport, notamment en extérieur pour pouvoir respirer et se sentir un peu plus libre.
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Ça n'aura pas été facile à trouver, mais maintenant, je savais comment capter son attention. Finalement, monsieur avait beau ne pas être d'accord avec la situation, il n'en restait pas moins fleur bleue. Toujours bon de savoir comment obtenir quelque chose de quelqu’un. Je reprends ma place, réitère ma question, à laquelle il répond cette fois. Je l’écoute avec la plus grande attention. Je crois que je ne lui en avais jamais autant accordé qu’aujourd’hui. Chacun de ses mots se grave dans mon esprit. Quelque part dans ses propos, je devais trouver une faille à exploiter, pour m’assurer que ma cadette ne foutrait pas tout en l’air. Elle connaissait Mina, très bien. Mais moi, je la connaissais elle.
La révélation est assez surprenante, et plutôt avantageuse pour moi. Ma petite sœur, ouverte aux avances féminines, se donnant le temps d’une soirée. Une information qui n’allait pas être oubliée de sitôt. Certes, ça me désolait de devoir en venir à trouver des failles pour engendrer des menaces envers ma propre sœur, mon propre sang, mais je devais couvrir mes arrières. Je hoche lentement la tête. Il soulevait également un point intéressant. Peut-être que ma soeur pourrait avoir eut des nouvelles de la jeune femme ces derniers temps et au moins rassurer mon époux sur sa santé, son bien-être, étant donné que les détectives privés que j’avais engagés ne servaient visiblement à rien. Toutes les informations nécessaires révélées, je souris et embrasse Andrew sur le front en lui faisant comprendre que j’allais m’occuper du reste désormais.
La soirée suivante est bien différente. Petits plats dans les grands, j'avais supervisé toutes l'organisation de la soirée, du moment où ils entreraient entre les murs de la maison, et le moment où il la quitterait. Élégance imposée, j'opte pour un pantalon bleu nuit, un veston du même coloris et une chemise blanche, obligeant mon époux à opter pour une tenue similaire. Paraître pour plaire, la première règle dans mon monde. Nous sommes tous les deux présents pour accueillir ma famille quand elle passe la porte. Des présentations officielles, des sourires, des bises, tout le monde semble ravi de cette soirée qui s'annonce, y compris moi, malgré l'appréhension que je ressens en continu, et que je dissimule à la perfection. J'étais excellent pour faire semblant.
Mais contre toute attente, tout se passe bien. Andrew semble même à l'aise. Peut-être même un peu trop. Bien trop pour qu’il vante mes prouesses sexuelles, auxquelles il n'avait jamais goûté. Et si cela me fait pâlement sourire à la première évocation, les autres ne tardent pas à m'irriter. Je l'attrape par le bras, lui fait comprendre de me suivre dans la cuisine, prétextant une envie de vérifier comment les choses s'y passent pour nous éclipser. Une fois en privé, tout le personnel mis à l'écart quelques minutes, je l'interroge sur son étrange comportement. Il a l'air trop détendu, peut-être un peu stone, mais il n'a pas l'air d'avoir fumé et n'a pas bu plus que de raison. C'est seulement quand il évoque l'homéopathie que je comprends. Mais quel con ! « Dio porca ! » Que je grogne entre mes dents. « Ton homéopathie, je peux la voir ? Tu l'as sur toi ? » Il me sort un tout petit pilulier d'une de ses poches. Je l'ouvre et regarde les comprimés à l'intérieur. Je doute fortement de leur nature homéopathique. Sans hésiter je vide le tout dans l'évier que je fais disparaître avec de l'eau. Regard froid qui se pose sur mon époux, j'attrape ses joues et le force à le regarder. « Première et dernière fois que tu apportes ce genre de merde dans cette maison, et surtout que tu en consommes ! J'espère que c'est bien clair pour toi ! » Je n'allais lui faire aucun cadeau là dessus. « Maintenant, tu as intérêt à te ressaisir et te comporter convenablement. » Je ne lui laisse aucune chance de protester et le repousse vers le salon, à sa suite. Et il semblerait que mes menaces aient été efficaces, Andrew devenant bien moins indiscret pendant la suite du repas. Ce n'est que vers la fin de celui-ci, juste avant le dessert que mon père se décide à sortir marcher un peu, demandant à Andrew de l’accompagner. Je jette un regard en coin au concerné, inquiet. Faites qu’il ne foire pas tout !
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Ven 8 Oct - 17:25
Andrew Moretti
J'ai 28 ans et je vis à New York, Etats-Unis. Dans la vie, je suis maitre des écoles et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à l'alcool, je suis marié à l'Enfer et je le vis comme un animal en cage. Mon nom de jeune garçon était Jordan. Mon père est responsable qualité dans une entreprise de concession de voiture. Ma mère est infirmière. Mon petit frère est quaterback dans une des equipes nationales Ma soeur fait des études de médecine. Je fais du mannequinat à mes heures perdues. J'étais fiancée à Mina Kazou, avocate de renom. Je fais du Karaté, et je suis fan de hockey ainsi que de football américain. Je fais aussi du base-ball pour le plaisir. Je fais des migraines quand je panique.
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Je l'observe s'agiter un peu hagard. Pourquoi il était en colère ? Il me voulait à l'aise, non ? Je le suis. Jamais content. Je sais pas comment faut te satisfaire vraiment. Mais c'est bon, je dis plus rien. Toute façon, c'est pas comme si on allait avoir une Vie sexuelle. Pour autant, j'applique les consignes à la lettre. Je me fais moins loquace. J'écoute et ne réponds uniquement si on s'adresse à moi. Cela dit, sa sœur semble la plus curieuse et malaisante. Je suis bien content d'avoir répété mon texte parce qu'elle ne faisait pas de cadeaux. Je suis certaine qu'elle se souvient de ma fausse petite amie. Et je n'attends que cela pour l'entendre l'évoquer.
Je finis par me lever pour aller soulager le colosse. Bruits de pas dans mon dos mais je continue mon chemin, je ne pouvais pas me retenir. C'est en ressortant que je croise sa sœur, non loin du lavabo. S'ensuit des questions plus pointilleuses. Etais-je amoureux de son frère ? Ses allergies ? Ses peurs ? Ses angoisses ? Interrogatoire à une vitesse folle. La panique me gagne. Puis je finis par tout interrompre en demande où se trouvait Mina. Enfin, elle se tait. Et en observant sa réaction, j'en conclue qu'elle sait quelque chose. Les poings se serrent illico. Le regard s'assombrit. J'ai envie de l'étrangler à ce moment là. Est-ce que mon aura a changé ? Elle se recule dans tous les cas.
Mais je me rapproche et enfonce mon index sur son torse, bien plus haut que sa poitrine. Ecoute moi bien. Que tu ne veuilles pas ouvrir ton bec à son sujet, je vais tenter de le comprendre. Tu sais aussi parfaitement que je la cherche alors dis lui de se montrer. Après, il est hors de questions que tu te mettes en travers de mon époux et moi-même. Je vais pas le supporter très longtemps. Alors entre bien dans ton crane que son bonheur est ma priorité. C'est chez moi ici. Maintenant, je voudrais me laver les mains en paix. Et si tu as à redire, va le faire à tes parents. Ma claque de votre évaluation. Je veux juste baiser en paix, merde !
Je m'attendais à une réponse mais elle se contente de tourner les talons et quitter la piece. Je prends quelques secondes pour me rafraichir, reprendre mes esprits et je retourne avec les invités. A tout moment, je m'attends, à ce qu'elle evoque notre entrevue mais rien du tout. Finalement, cela se passe pas trop mal, et jusqu'à ne plus voir leur voiture dans l'allée, je tiens le bon bout. Une fois seul, je me pose sur les marches, tête entre les jambes. J'ai mal au crane. Mes pensées sont dirigées vers Mina. Est-ce qu'elle me fuit ? Est-elle en danger ? J'avais juste envie de pleurer d'inquiétude et de fatigue. Mais je reste digne.
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Maddy'n
Sam 30 Oct - 15:03
Ezio Moretti
J'ai 30 ans et je vis à New-York, USA. Dans la vie, je suis propriétaire d’une galerie d’art, mais aussi trafiquant d’oeuvre d’art et de certaines autres choses peu légales et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à mon sourire charmeur et mon sens des affaires, je suis marié et je le vis bien, cela me retirant une épine du pied.
+ Il est le fils d’une musicienne de renom et d’un homme possédant plusieurs galeries d’art en ville. Sa famille est certainement l’une des plus riches de la ville. + Né en Sicile, il y possède une maison secondaire. + Il parle couramment italien. + Il a une petite soeur. + Il gère tout un réseau de trafic d'œuvres d’art, et quelques petites choses. + Il lui arrive de peindre à ses heures perdues (qui ne sont pas si nombreuses). + Il ne sait absolument pas cuisiner, tout ce qu’il mange lui a toujours été préparé. + Il aime être entouré, recevoir de l’attention. + Il est allergique au lait et au nickel. + Il fait beaucoup de sport, notamment en extérieur pour pouvoir respirer et se sentir un peu plus libre.
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Quand Oriana s’est levée prétextant aller chercher un gilet à cause de l’air frais de la maison, j’ai imaginé le pire. Quelques secondes après Andrew, c’était suspect. Petite fouineuse qu’elle était, je ne serais pas surpris qu’elle ait suivi les pas de mon époux pour savoir ce qu’elle ne peut oser lui demander face à moi par peur des représailles. Parce que je sais, malgré les nombreuses questions posées pendant le dîner, qu’elle en a encore de nombreuses en réserve. Elle avait toujours été ainsi, curieuse. Trop curieuse. Au point de s’attirer des ennuis. Et d’en attirer aux autres. Raison pour laquelle je l’avais autant à l’oeil que le brun qui partageait désormais ma vie. Car les deux ensemble pouvaient annoncer le pire à mes yeux. Mais à leurs retours, différés de quelques minutes, tout semble normal. C’est suspect me hurle alors mon instinct, mais j’allais devoir attendre avant d’avoir le fin mot de tout cela.
Le dîner se termine sans incident, sans mauvaise surprise. Mais c’est avec soulagement que j’accompagne ma famille jusqu’à leur voiture lorsque vient l’heure de faire nos aux revoirs. Certes, j’avais pour eux un amour inconditionnel, mais je jouais désormais un jeu risqué, et plus ils s’attardaient, plus les risques qu’ils découvrent quelque chose de compromettant sur moi, mon époux, ou la véritable nature de notre relation étaient grands. Je les accompagne jusqu’à la voiture, les salue avec une rapide étreinte. Alors qu’Oriana allait quitter mes bras, ses lèvres glissent à mon oreille. « Tu lui diras qu’elle va bien… » Je fronce le regard, referme ma main sur son poignet, mais le rappelle de mes parents qui nous attendent pour partir m’oblige à la lâcher. A quoi jouait-elle ?
Je regarde la maison, devant laquelle Andrew est assis, en haut des marches. Soirée loin d’être facile à vivre, mais il avait tenu le coup. Je pose ma main sur son épaule en gage de soutien avant de venir m’asseoir à côté de lui. « Tu as été très bien. Félicitations. » Même si le ton ne le laisse pas vraiment deviner, j’étais fier de lui. « Je pense que tu le sais déjà… Mais ma soeur sait quelque chose. » Et ça m’énerve, au plus au point, qu’elle ait connaissance de certaines choses, et moi non. Surtout quand cela pouvait me concerner, de près ou de loin. Et elle le savait. Pour une raison que j’ignore, elle joue avec mes nerfs, et ça ne me plait pas. « Mais je trouverais un moyen de la faire parler. Ne t’en fais pas. » Elle et Mina ne se joueraient pas longtemps de moi comme cela. « Allez, allons nous coucher. » Je l’aide à se relever, mais avant que nous puissions rentrer, mon téléphone sonne. Je regarde le nom apparaître sur l’écran, fronce le regard. Visiblement ils étaient nombreux à vouloir me contrarier ce soir. « Il me semblait avoir donné des consignes pourtant claires. [...] Ce n’est pas mon problème, démerde toi. C’est dans tes cordes. Et je les veux tous dans mon bureau demain matin ! » Je serre les dents et les poings une fois mon téléphone rangé. « Allons dormir. » Parce qu’une contrariété supplémentaire, et j’allais commencer à devenir violent.
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Patate Douce
Jeu 18 Nov - 19:11
Andrew Moretti
J'ai 28 ans et je vis à New York, Etats-Unis. Dans la vie, je suis maitre des écoles et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à l'alcool, je suis marié à l'Enfer et je le vis comme un animal en cage. Mon nom de jeune garçon était Jordan. Mon père est responsable qualité dans une entreprise de concession de voiture. Ma mère est infirmière. Mon petit frère est quaterback dans une des equipes nationales Ma soeur fait des études de médecine. Je fais du mannequinat à mes heures perdues. J'étais fiancée à Mina Kazou, avocate de renom. Je fais du Karaté, et je suis fan de hockey ainsi que de football américain. Je fais aussi du base-ball pour le plaisir. Je fais des migraines quand je panique.
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Trois semaines se sont écoulées depuis l'évaluation du bon époux du fils prodige. Et c'était loin d'être fini. Durant ces semaines, nous avions pris le temps de consolider notre union. Je ne parle pas de sexe. C'est toujours exclu. Je refuse de m'adonner à une telle pratique avec un homme qui pouvait m'abattre à tout moment. Quand bien même, il était foutrement sexy et que mon corps pouvait me trahir parfois. C'était quand même hors de question. Et même s'il se montrait plus doux et avions presque pu rire une fois. Je n'oubliais pas le contrat qui me lié à lui.
Il m'avait laissé le choix pour notre première sortie publique. Et j'étais déjà plus motivé que rencontrer sa famille. Nous n'avions toujours pas de nouvelles de Mina. Mais de ce que j'ai pu en conclure de ma .. belle-sœur .. L'avocate ne voulait pas être retrouvée. La raison m'échappe mais je ne cherche pas davantage. A présent, j'étais lié à un homme. Et je devais rendre le change. J'avais des doutes sur certaines de ses activités. Mais moins j'en savais mieux, je me porte.
J'avais pris la décision et sans aucun suspens que nous allions participer à un gala pour les enfants défavorisés. L'avenir des innocents a toujours été une cause sensible. Et si mon époux pouvait y mettre un gros chèque, j'allais être content. Je lui avais quand même imposé d'aller sur place dans un des pays parrainés. Et à ma grande surprise, il avait accepté en guise de nuit de noces. J'avais roulé des yeux mais c'était mieux que rien.
Visite incessante du tailleur pour parfaire nos tenues. Deux couleurs pour l'un et l'autre mais nous étions tout de même raccord. Bleu nuit profond pour moi. La panoplie de bijoux qui allait avec. C'était aberrant à mon sens. On allait bouffer du caviar pour récolter de la thune pour des pauvres. C'est horrible comment je le dis, mais c'est ce que je ressens et une hypocrisie sans pareille. Mais bon, pas le choix, c'est mieux que rien.
Le grand soir arrive. J'avais relu mes fiches, sur qui était qui. Je ne voulais pas me tromper. Je me devais d'être à la hauteur de ses mégères d'épouse également. J'ai vu dans les séries et films que les femmes murmuraient plus qu'on ne le pouvait le penser à leurs hommes une fois en privé. Alors, je me devais de faire attention à mes mots. J'avais pris une grande inspiration. Je m'étais fait de nouveau engueulé sur mon fameux coup de l'homéopathie. Moi j'avais ris.
Le chauffeur a ouvert la portière de son coté. Grande inspiration. C'était le moment. Tête qui sort de l'habitacle. Sa main qui se glisse dans le bas de monde. Que la comédie commence. L'envie d'offrir une love story au peuple, en lui volant un baiser. Oui j'avoue, j'en profite parfois. C'était rare, je peux me le permettre. Les crépitements des appareils photo pour ne surtout pas louper ce tendre moment et nous montons les marches, tel un jeune couple fou amoureux.
Ma main glisse dans la sienne. Je me surprends à faire un sans faute. Il donne notre carton d'invitation et nous entrons dans une salle richement ornée. L'abus total mais je me tais. Un baiser sur ma joue, une coupe de champagne dans la main. On trinque. IL me met en garde de ne pas trop boire. J'ai envie de lui faire un doigt d'honneur. Va donc faire des courbettes au sénateur là-bas au lieu de m'emmerder.
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Dim 2 Jan - 14:53
Ezio Moretti
J'ai 30 ans et je vis à New-York, USA. Dans la vie, je suis propriétaire d’une galerie d’art, mais aussi trafiquant d’oeuvre d’art et de certaines autres choses peu légales et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à mon sourire charmeur et mon sens des affaires, je suis marié et je le vis bien, cela me retirant une épine du pied.
+ Il est le fils d’une musicienne de renom et d’un homme possédant plusieurs galeries d’art en ville. Sa famille est certainement l’une des plus riches de la ville. + Né en Sicile, il y possède une maison secondaire. + Il parle couramment italien. + Il a une petite soeur. + Il gère tout un réseau de trafic d'œuvres d’art, et quelques petites choses. + Il lui arrive de peindre à ses heures perdues (qui ne sont pas si nombreuses). + Il ne sait absolument pas cuisiner, tout ce qu’il mange lui a toujours été préparé. + Il aime être entouré, recevoir de l’attention. + Il est allergique au lait et au nickel. + Il fait beaucoup de sport, notamment en extérieur pour pouvoir respirer et se sentir un peu plus libre.
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Il y a eu du mieux dans les dernières semaines, entre Andrew et moi. Peu à lui reprocher, il se comportait en époux modèle publiquement, à chaque fois que nous rencontrions du monde. Ses crises d’angoisses semblaient aussi moins récurrentes, ce qui offrait un peu plus de repos au quotidien, n’ayant plus à lui tenir la main comme si c’était un enfant. Alors il était désormais temps de passer à l’étape supérieure. Une sortie publique, tout ce qu’il y avait d’officiel. Je lui laisse le choix, de passer cette épreuve comme bon lui semble. Après tout, c’est lui qui serait jugé, et cette fois, je ne ferais preuve d’aucune clémence. Si j’avais passé outre l’épisode de “l’homéopathie” avec mes parents, là, je ne voulais absolument aucun faux pas. Alors j’allais le laisser choisir ce qui le mettait le plus à l’aise parmi plusieurs possibilités. Et c’est sans surprise qu’il me propose un gala pour les enfants défavorisés à travers le monde. Noble cause à laquelle il était sensible je suppose, lui qui en côtoyait chaque jour.
Le gala avait tout de même demandé une préparation de notre part. Déjà pour parfaire une nouvelle fois notre rencontre, notre histoire, mais aussi pour assortir nos tenues chez un tailleur, nos accessoires. C’était un lieu où notre paraitre serait jugé autant que nos actions, et nous ne pouvions pas faire n’importe quoi sur le sujet. J’avais donc imposé à Andrew ce passage obligatoire, lui laissant quand même la possibilité de choisir la couleur de son costume, auquel le mien s'accorderait.
Le grand soir arrivant enfin, voiture luxueuse et chauffeur pour nous y conduire, je suis le premier à sortir de la voiture avant de tendre ma main à Andrew pour qu’il fasse de même. Sourire sur les lèvres, main en bas de son dos quand nous avançons sous les flashs des appareils photos. Il y a même un baiser volé. Jusque là, il faisait un sans faute. En espérant que ça dure toute la soirée. Nous entrons dans le bâtiment, privatisé et redécoré luxueusement pour la soirée. Rien n’était jamais fait à moitié. Coupe de champagne servie, nous trinquons, mais je le mets en garde sur les risques qu’il encourait à abuser d’alcool, remarque qu’il ne semble pas apprécier. « Nous allons faire des courbettes au sénateur. Je te rappelle que c’est notre première sortie officielle. L’idée est de te présenter, et de te laisser commencer à te faire ton réseau. Je ne serais pas toujours derrière toi pour te surveiller, mais je te veux irréprochable Andrew. Si on me parle de toi, ça doit être pour vanter tes louanges, et rien d’autre. J’espère que c’est bien clair pour toi. » Le sourire ne quitte pas mes lèvres, donner l’impression que cette conversation est tout à fait banale et ne présente aucune menace.
C’est donc ensemble que nous nous dirigeons vers le sénateur, le saluant chaleureusement d’une poignée de main. « Ah ! Ezio ! Je désespérais de vous voir ce soir ! Ma femme à une demande à vous faire, et j’avais peur qu’elle me rabache les oreilles avec pendant encore des semaines. » Je ris doucement, amusé. « Et bien rassurez-vous, je suis là et je ne quitterais pas les lieux sans avoir parlé à votre femme. J’aimerais d’ailleurs vous présenter mon époux, Andrew. »
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Patate Douce
Mar 18 Jan - 17:06
Andrew Moretti
J'ai 28 ans et je vis à New York, Etats-Unis. Dans la vie, je suis maitre des écoles et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à l'alcool, je suis marié à l'Enfer et je le vis comme un animal en cage. Mon nom de jeune garçon était Jordan. Mon père est responsable qualité dans une entreprise de concession de voiture. Ma mère est infirmière. Mon petit frère est quaterback dans une des equipes nationales Ma soeur fait des études de médecine. Je fais du mannequinat à mes heures perdues. J'étais fiancée à Mina Kazou, avocate de renom. Je fais du Karaté, et je suis fan de hockey ainsi que de football américain. Je fais aussi du base-ball pour le plaisir. Je fais des migraines quand je panique.
Qui est Eline ?
Nick Bateman by la-caverne-de-mandy-dy
Il venait de me calmer mais je ne montre rien. J'embrasse la main de l'épouse du Senateur, serrant celle de l'homme. Je les complimente tous les deux, sans en faire trop. Je discute avec sa femme pendant que l'epoux discute avec l'homme. On se mêle de temps à autre à leur discussion. Promesse d'un diner, que j'accepte volontiers. Tenir des sujets que les hommes n'ont pas à savoir. Je sais pas trop comment le prendre mais j'avais bien saisi que je venais de basculer dans un autre monde. On leur souhaite une bonne soirée, n'en doutant pas de les recroiser plus tard.
Je reprends une coupe, que je siffle gentiment et puis je me mets à côté du rabat-joie. Ezio, continue tes menaces déguisées, comme tu viens de le faire. Et je me casse. Je suis prêt à ce que tu me foutes la misère, et tout ce qui te passera par la tête mais clairement, je vais pas accepter ta pression. Alors soit tu cesses de me traiter comme une pute que tu as payé, soit je rentre. Je suis pas ton chien. C'était de l'humour pauvre imbécile. Que je n'ai pas à me répéter. Tu penses pas être le seul à gérer ici. J'ai beau affiché un sourire, sirotant ma coupe, il venait de me couper l'envie de rester ici. J'espère que tu es heureux de tout gâcher. Je comptais faire de vrais efforts mais je ferais le strict minimum.
Je salue les têtes passant entre nous. Puis je me poste devant lui, lissant son costume, être dans le paraitre. Les épouses ont plus de puissance que tu ne le penses. Si tu penses qu'elles sont des trophées, elles ont aussi l'oreille de leur mari. Ces derniers se contentent pas que de les baisers. Donc la ménagère que je suis, sans la baise de l'époux, va aller discuter avec ses futures copines. Ne me dis pas ce que je dois faire, quand tu en loupes une partie. J'embrasse sa joue, attrape une coupe au vol et lui tends. Fais ta part, je fais la mienne. Sommes nous d'accord ? Tu veux un ennemi ou un allié ? Tu veux un mariage réussit ou devoir me zigouiller ? Tu ferais mieux de te demerder pour que j'ai vraiment un sourire plus convaincu. Cœur battant à tout rompre. Vexé, peiné et bien en colère. J'avais accepté notre situation. Je pensais que cohabiter ensemble nous aiderait véritablement. Mais finalement, il semble me traiter comme sa marchandise. Ca m'attriste.
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Crédits : Pop-Gun
Univers fétiche : Fantasy / Réel
Préférence de jeu : Les deux
Maddy'n
Sam 22 Jan - 12:55
Ezio Moretti
J'ai 30 ans et je vis à New-York, USA. Dans la vie, je suis propriétaire d’une galerie d’art, mais aussi trafiquant d’oeuvre d’art et de certaines autres choses peu légales et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à mon sourire charmeur et mon sens des affaires, je suis marié et je le vis bien, cela me retirant une épine du pied.
+ Il est le fils d’une musicienne de renom et d’un homme possédant plusieurs galeries d’art en ville. Sa famille est certainement l’une des plus riches de la ville. + Né en Sicile, il y possède une maison secondaire. + Il parle couramment italien. + Il a une petite soeur. + Il gère tout un réseau de trafic d'œuvres d’art, et quelques petites choses. + Il lui arrive de peindre à ses heures perdues (qui ne sont pas si nombreuses). + Il ne sait absolument pas cuisiner, tout ce qu’il mange lui a toujours été préparé. + Il aime être entouré, recevoir de l’attention. + Il est allergique au lait et au nickel. + Il fait beaucoup de sport, notamment en extérieur pour pouvoir respirer et se sentir un peu plus libre.
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C’est loin d’être mon exercice préféré, ce genre de gala, et pourtant, c’était nécessaire. Pour se faire un réseau, faire des affaires, montrer que notre réputation était loin d’être surfaite. Il y a ici des gens hauts placés, de tous les horizons, et c’était notre relation avec eux qui nous définissait aux yeux du reste du monde. Je l’avais compris, il y a bien longtemps, quand mon père me forçait déjà à jouer les fils modèles, le digne successeur, l’héritier. J’en avais des centaines, des souvenirs de galas, de réceptions pendant lesquels tout mon paraître a été corrigé, point après point pour s’assurer que je ne commette aucune erreur. Un comportement que je reproduis aujourd’hui avec Andrew, en qualité d’époux, en sachant que c’est mon nom qui serait terni s’il faisait la moindre erreur. Mais il était loin d’être le jeune homme manipulable et impressionnable que j’avais imaginé épouser. Certes, il avait tendance à vite paniquer, mais il ne se laissait pas faire, ni ne se laissait dicter sa conduite sans rien dire. Pas même par moi. Et encore une fois il me le montre, ce caractère de feu, lorsque nous nous éloignons du sénateur et de son épouse. Des propos qui me poussent à poser un regard nouveau sur sa personne. Je serais presque tenté un jour, de le pousser à bout, pour voir comment il s’en sortirait. Je serais presque excité aussi, de le voir si affirmer. Mais c’est un autre sujet.
Ses mains sur moi viennent lissées mon costume, tandis que j’affiche un léger sourire pour ne pas trop en faire, l’écoutant attentivement. Faire comme si toute cette conversation était normale et agréable, comme l’amoureux transi que je devrais être. « C’est parfaitement clair pour moi, mais je voulais m’assurer que ce le soit aussi pour toi. Je sais la place que tu as à occuper en ces lieux Andrew, et c’est bien pour cela que je voulais que tu le comprennes aussi. Les femmes sont et seront toujours à la fois les meilleures alliées et les pires ennemies des hommes. Beaucoup ici en savent bien plus que leurs époux. Parfois même, en savent plus sur les époux des autres. » On ne pouvait pas non plus négliger la force des maîtresses qui découvraient parfois plus que les épouses. « Et si tu as compris cela, alors je n'ai rien à te dire de plus. Tu sais ce que tu as à faire. » J’attrape la coupe de champagne qu’il me tend, la porte à mes lèvres pour en boire une lampée. « Enfin, ne prends pas cela pour une invitation à devenir l’amant de je ne sais laquelle de ces ménagères comme tu dis. Tu peux les charmer, leurs faire de grands sourires, beaucoup apprécieront d’ailleurs, mais ça s’arrête là. Car au cas où tu l’ignorerais, je n’aime pas la concurrence. » Cette fois, c’est moi qui vient lisser le col de son costume. « Alors je t’en prie Amore, va les impressionner. » Mon sourire s’élargit alors que j’attrape son visage pour venir l’embrasser avec fougue avant de le relâcher. Affection manifeste, je ne doutais pas que maintenant, nombreuses seraient celles qui chercheraient à lui parler, curieuses de notre relation, ce qui faciliterait son intégration dans ce monde. « A tout à l’heure, et pas de bêtises parce que je ne suis plus à tes côtés. » Clin d’oeil et je m’éloigne pour aller me mêler à d’autres petits groupes parmi les convives.
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Date d'inscription : 25/10/2019
Région : Basse-Normandie
Crédits : idk
Univers fétiche : Réaliste, Fantastique.
Préférence de jeu : Homme
Patate Douce
Sam 5 Mar - 18:29
Andrew Moretti
J'ai 28 ans et je vis à New York, Etats-Unis. Dans la vie, je suis maitre des écoles et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à l'alcool, je suis marié à l'Enfer et je le vis comme un animal en cage. Mon nom de jeune garçon était Jordan. Mon père est responsable qualité dans une entreprise de concession de voiture. Ma mère est infirmière. Mon petit frère est quaterback dans une des equipes nationales Ma soeur fait des études de médecine. Je fais du mannequinat à mes heures perdues. J'étais fiancée à Mina Kazou, avocate de renom. Je fais du Karaté, et je suis fan de hockey ainsi que de football américain. Je fais aussi du base-ball pour le plaisir. Je fais des migraines quand je panique.
Qui est Eline ?
Nick Bateman by la-caverne-de-mandy-dy
Il y a des jours où j'aimerais me laisser aller avec Ezio. Me dire que nous pouvions être un véritable couple. Qu'il saurait se montrer charmant et attention. Que notre mariage n'est pas totalement un coup monté. Que je n'ai pas de raison de lui en vouloir. J'aimerais très fortement .. Puis il suffit d'un regard, d'un geste, d'une phrase et le mirage éclate. Une partie de moi, lui en voudra toujours. Me marier était dans mes envies mais certainement pas avec un dieu vivant, m'ayant menacer et sous couvert d'une disparition de fiancée.
Pour autant, quand il exprime une forme de jalousie et un baiser qui me fait tournoyer, je ne sais plus sur quel pied danser. Moment de flottement de le voir passer de menaçant à possessif et pire quand je me sens apprécier cette attitude. En tout cas, cela m'est suffisant, en plus d'alcool pour me mêler aux épouses. J'avais fait des fiches, des tableaux, pour connaitre celles pouvant être mes alliées, mes ennemies, les retourneuses de veste. Evidemment, je ne ferais confiance à personne, mais je devais avoir une sorte de clan, être seul dans la mascarade c'était me condamner. C'est effrayant mais j'avais aussi compris que j'avais mon rôle à jouer pour les intérêts de l'Epoux.
Une heure à nager en eaux troubles, à me faire inviter à des party, à sourire plus que de raison, effectuer des courbettes et entendre des avances. Rappeler ô combien jeune marié que je suis, j'étais épanoui et pleinement satisfait sous tous rapports. Mensonges que je conservais dans la sphère privé. Et puis, je retourne auprès de mon mari. J'exprime l'envie de rentrer. Déjà trois heures que nous étions à nous parader et je n'en pouvais plus. Mes chaussures me faisaient mal aux pieds.
J'arrive à négocier trente minutes, le temps d'écouter un énième discours, de signer le chèque, de saluer les gens et de mettre mon fessier dans la limousine. Et j'expire toute l'angoisse de cette soirée. défaisant mon nœud papillon et déboutant ma chemise. Dans d'autres circonstances, j'aurais négocié de tester les murs porteurs d'une salle vide ainsi que la limousine. Mais là, je voulais juste retourner dans cette baraque bien trop grande, hésitant même à lui demander de me déposer à mon appartement mais c'était bien trop risqué, alors non, j'irais juste me brosser les dents, me laver et me glisser ce lit foutrement confortable. Je somnole durant le trajet. Et c'est sa voix qui m'annonce que le restant du chemin jusqu'à mon lit est encore à faire. Je ne sais pas s'il s'y glissera, il y a des soirs comme celui-ci où je m'en offusquerais pas. Dans tous les cas, avant de prendre le chemin de la salle d'eau, je lui fais face. Tu réagis comment si l'épouse du sénateur veut que je couche avec elle ? Avais-je rêvé sur son comportement à lui ? M'avait-elle véritablement fait des avances ? Dans tous les cas, je lorgne sa tronche, attendant sa réponse.