Pour l’esprit sans visage, j’avais pensé à une jeune femme qui avait une grande-beauté, de l’intelligence et de la joie de vivre, elle était aimée de beaucoup, mais aussi jalousée de pas mal de femmes. La plupart des jeunes hommes étaient intéressés par la belle, délaissant les autres demoiselles, alors elles décidèrent de mettre la jolie hors d’état de nuit. Un soir par une nuit sans lune, elles se glissèrent dans la chambre de la pauvre victime, l’attachèrent, la bâillonnèrent et lui versèrent de l’acide (ou autre) sur le visage. Méfait accomplis, les cinq gourgandines s’en allèrent comme elles étaient venues rapidement et en silence, laissant la pauvre enfant agonisante dans la douleur, pieds et poings liés. La malheureuse victime de cet acte odieux fut retrouvée le lendemain matin dans sa chambre morte et le visage fondu. Cela pourrait faire partis de l’un des nombreux malheurs s’étant abattu sur le clan MacLeod.

Pour l’esprit désarticulé, l’histoire se passe dans les années 60 avec l’un des derniers propriétaires du domaine. Richard Dailly est un riche entrepreneur est un homme veuf devant élever quatre fils, et le cinquantenaire a une idée bien précise de l’éducation qu’il doit donner à ses enfants. En bref Richard est un homme sévère, intransigeant, violent et n’hésite pas à humilier et rabrouer ses fils quand il le juge nécessaire, mais il le souvent pour un rien y prenant un certain plaisir.
Au bout de plusieurs années de violence, les quatre jeunes hommes n’en peuvent plus et décident de faire le nécessaire pour neutraliser Richard Dailly de façon définitive. Il le saoule puis l’entraine dans les sous-sols du château, là-bas ils battent à mort leur père puis le laisse agoniser seul et en souffrance. Malgré les recherches de la police, Richard ne fut jamais retrouvé…