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LE TEMPS D'UN RP

Home is wherever the heart is

the last centurion
Messages : 16
Date d'inscription : 14/10/2017
Crédits : night sky. + blasphemy

Univers fétiche : hp, pj/hoo et puis city, post-apocalyptique, sci-fi...
Préférence de jeu : Les deux
Valise
the last centurion
Mar 17 Oct - 15:37
Le contexte du RP
Mise en situation

La situation
Londres, 5 octobre 2014
L'humanité telle que nous la connaissons n'existe plus depuis seulement quelques semaines. Ouragans, tsunamis, tremblement de terres, pluies torrentielles, tempêtes de blizzard et autres catastrophes naturelles ont ravagé la Terre sans répit durant des jours et des jours, si bien que presque la totalité des êtres humains -des classes moyennes & pauvres, cela va sans dire- a disparu de sa surface. Seulement voilà, comme tout bon parasite, des petits groupes ont survécu au sein de certaines métropoles et tentent tant bien que mal de rester vivant jusqu'à ce que les grands de ce monde, ou l'armée, ou bien même qui que ce soit, se décide à venir les sauver pour de bon. Parce-que non, speedwatcher la dernière saison de The Walking Dead quand Internet marchait encore, ça ne fait pas de vous un survivialiste et ça vous laisse surtout dans une mouise incontestable. Sans compter cette brume blanche, étrange, épaisse et plus ou moins inoffensive qui hante les rues de Londres depuis que le calme s'est rétabli. Personne ne sait ce qu'elle fait là et elle en inquiète un grand nombre.
Le règne animal se remet peu à peu en place, éliminant les plus faibles et les solitaires. Bonne chance.

Contexte provenant de cette recherche



ANTÉE & PYGMÉE
Il dort. Quoique le sort fût pour lui bien étrange,
Il vivait. Il mourut quand il n'eut plus son ange;
La chose simplement d'elle-même arriva,
Comme la nuit se fait lorsque le jour s'en va.
the last centurion
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Préférence de jeu : Les deux
Valise
the last centurion
Ven 20 Oct - 14:06

Owen Miller
J'ai 28 ans et je vis à Londres, au Royaume-Uni. Dans la vie, je suis SDF et je m'en sors comme un boss. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.

Autrefois étudiant en économie promis à un avenir plus que brillant au sein d'une grosse entreprise londonienne, Owen voit son plan de vie entier chamboulé par une lente et grinçante descente aux enfers : à vingt-cinq ans, sa fiancée le largue pour aller vivre en Australie. Seule. Histoire d'en rajouter, son père lui présente sa copine de dix-neuf ans -qu'il affirme être la femme de sa vie. Des deux, le jeune homme n'aura jamais l'occasion de mettre tout ceci au clair, puisque sa mère décède lors d'un accident de voiture seulement quelques semaines après ces deux déclarations. Ravagé, il abandonne tout et décide qu'il ne veut plus jamais voir qui que ce soit qu'il ne connaisse déjà, mis à part son chien, Chaussette. Pour autant, son cynisme, son humour étrange et son coté taciturne, eux, ne l'ont jamais quitté.


avatar ©️ Delia

Le brun clopinait depuis des heures et des heures. Sa jambe raide tapait toujours un peu plus fort contre le sol que l'autre, faisant résonner son pas dans tout le tunnel. Plongé dans ses pensées, le SDF commence à se demander si il finirait pas rencontrer quelqu'un d'autre où s'il était condamné à errer éternellement dans l'ombre. Pas que sa semi-solitude ne le dérangea, non, mais un signe de vie, n'importe lequel, serait toujours rassurant, là-dessous.
Des kilomètres. Il y aurait pu y en avoir des kilomètres, que ça ne l’aurait pas étonné. Les sous-terrains de Londres s’étendaient tellement sous la ville qu’il se demandait si ses poursuivants avaient ne serait-ce qu’une chance de le retrouver ; peut-être les perdrait-il avant. Owen tentait de les semer depuis le début de la semaine : le lundi. Et quel lundi ! Il en avait vu des tas de différents de lundi. Ceux où tu vas à l’école, qui annoncent sept jours un peu pourris, ceux où tu vas au taf, qui te promettent une promotion -parce-que oui, à l’époque il travaillait dans une librairie commerciale à temps partiel avec ses études et espérait toujours que son patron (gros, gras, très influençable) augmente un peu son salaire- mais où c’était jamais le cas. Du coup, il détestait le jeudi : on savait toujours ce qui nous attendait niveau paye. Des lundi vacance aussi : on se réveille plus tôt pour profiter de ce geste cent fois plus bénéfique pour l’esprit qu’une thérapie : éteindre son réveil, puis se rendormir, la phase la plus importante. Il avait connu le lundi triste, le lundi prise de conscience, puis le lundi froid. Celui où l’on dort peu, on se réveille dans la rue, le chien au creux du ventre, l’angoisse des premiers jours de dérive nichée un peu partout. On ne sait plus ce que le monde veut nous dire, on ne mendie pas : plus besoin, on a juste envie d’en finir mais on est pas assez courageux pour le faire soit-même. Ou pas assez désespéré. Peut-être qu’on attends juste quelque chose pour le faire à notre place.
Owen avait donc connu des tonnes de lundi différents, qui s’étendaient sur une palette d’émotions diverses et variées, du plus heureux au plus maussade, du plus banal au plus étrange. Mais celui qui n’entrait dans aucune catégorie tout en les dépassant TOUS, c’était ce lundi. Il était resté terré durant un mois entier dans un entrepôt de nourriture avec Chaussette, subissant dans un coin du bâtiment les affres des catastrophes naturelles les plus violentes qui soient. Le Royaume-Uni avait eu droit à : des pluies torrentielles, de la grêle (les glaçons formés étaient juste monstrueux : des ballons de rugby), de la neige, des vents d’une violence inouïe… liste non-exaustive. Bref, lui qui voulait être pris par le Jugement Dernier, c’était loupé et en beauté : des êtres humains restants, il avait fallu qu’un boiteux nourri aux conserves et se défendant avec tout juste une batte de baseball -parfois un pied de biche- s’en sorte.

Au moins, il y avait son chien. Le toutou trottinait joyeusement devant lui comme si le monde n'était pas en ruine dehors et que n'importe qui d'assez taré pour le tuer ne pouvait pas débarquer sans crier gare. Owen se demandait souvent si ça n'était pas pour ça qu'il l'avait gardé : le coté positif...
Qui aboyait : tout d'un coup, ça n'avait plus grand chose de joyeux de l'avoir à ses cotés. Sur ses gardes, le jeune homme éteint sa lampe et se place dans un renfoncement discret, brandissant sa batte, prêt à frapper quelle que soit la direction d'où vienne l’intrus. Finalement, la présence humaine n'est pas si rassurante que ça, songe-t-il.



ANTÉE & PYGMÉE
Il dort. Quoique le sort fût pour lui bien étrange,
Il vivait. Il mourut quand il n'eut plus son ange;
La chose simplement d'elle-même arriva,
Comme la nuit se fait lorsque le jour s'en va.
everdosis
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Région : Poitou-Charentes
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Univers fétiche : réel, fantastique, science-fiction !
Préférence de jeu : Femme
Super Nana
everdosis
Mer 1 Nov - 12:27

Reena Carrington
J'ai 23 ans et je vis à Londres, au Royaume-Uni. Dans la vie, je suis étudiante à Oxford en Histoire et je m'en sortais bien jusqu'à ce que ce soit le bordel. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.

Née à Londres, et y a toujours vécu. Avant le début de l'apocalypse, Serena (qui préfère se faire appeler Reena depuis l'enfance) était étudiante en Histoire à Oxford, et venait de revenir dans sa famille pour les vacances. Elle a perdu son père très jeune, tombé malade quand elle était bébé. Reena a grandi avec sa mère et son petit frère, lequel étudie à Harvard, aux Etats Unis. Elle a perdu contact avec son frère depuis le début des catastrophes, et après quelques semaines terrées dans le sous sol de leur maison, elles ont tenté de se rendre dans les bureaux de l'entreprise dans laquelle sa mère travaille .. ou travaillait, du moins, dans l'espoir de trouver d'autres survivants, et un moyen de savoir si le frère de Reena est toujours vivant. Elles n'ont pas réussi à atteindre leur objectif, la mère de Reena ayant été tuée par une bande de pillards. Depuis, la brune s'est longtemps réfugié dans une pharmacie, avant de prendre la fuite en entendant un groupe de pillard arriver. Astucieuse mais craintive, elle est terrifiée par ce "nouveau monde" auquel elle ne s'est absolument pas préparée. Elle est sportive, c'est sa chance, et plutôt habile de ses mains.


avatar ©️ Zoey Deutch

Elle avance sans trop savoir où elle va, oscille, gauche, droite, s'arrête parfois le temps de reprendre son souffle, ou trouve des coins d'ombres quand elle se sent menacée. Elle court depuis une bonne heure, Serena, sans trop savoir qui elle fuit, et si elle y parvient même. Tout ce qu'elle sait, c'est qu'elle a entendu un groupe de pillards entrer dans la pharmacie dans laquelle elle avait trouvé refuge depuis qu'elle avait perdu sa mère, et n'a pas tellement pris le temps de se demander s'il s'agissait de ceux qui l'avaient tuée. Elle est jeune, Reena, et loin d'être assez courageuse - ou stupide, tout est question de point de vue - pour faire front à une bonne dizaines de personnes, majoritairement des hommes. Alors elle a pris la porte de derrière, avec deux sacs remplis de médicaments de la pharmacie, et elle a couru jusqu'à rejoindre la première issue... Les égoûts.

Aucun bâtiment n'est sécurisé, pas quand on est seule, pas quand on est qu'une jeune femme de vingt trois ans qui ne connaît pas Londres comme sa poche. Ce quartier, elle le connaît dans les grandes lignes, sa mère y travaillait. Mais de là à savoir où aller ? Non.. Elle est juste totalement perdue, et le pire, c'est que dans sa fuite, elle ne sait pas du tout où elle va bien pouvoir s'arrêter. Elle aurait peut-être du se laisser mourir, quand elle a vu sa mère se prendre un coup de couteau dans l'abdomen. Elle aurait du rester, même si cette dernière lui a dit de courir, au moins, elles auraient été ensemble. Au lieu de quoi, elle est épuisée, à bout de nerfs, et surtout, elle se répète inlassablement que ça ne sert à rien de survivre au milieu des catastrophes qui s'enchaînent, comme si un gigantesque compte à rebours lui planait au dessus de la tête sans qu'elle ne puisse en voir la durée précise. Proche, sans doute. Loin, peut-être. La vérité, c'est que la seule certitude qu'a Serena actuellement, c'est qu'elle est cruellement seule, et démunie. Effrayée. Terrifiée même, et plus encore alors qu'elle trébuche au détour d'un tunnel, et voit une silhouette se dresser au dessus d'elle, accompagnée d'un chien qui lui aboyait dessus. Est-ce qu'ils l'ont retrouvée ? Pourquoi suivre une gamine ? Pour les médicaments qu'elle a ? Son premier réflexe est de brandir ses mains devant elle, prostrée sur le sol en voyant le reflet d'une batte dans le faisceau de sa lampe. Pitié! S'écrie-t-elle sans même s'en rendre compte, ses paumes tremblantes masquant ses prunelles brunes pour qu'elle n'ai pas à voir le massacre. Son premier réflexe, c'est celui du survivant, celui de demander grâce de sa vie. Mais est-ce que ça a toujours de l'importance, aujourd'hui ?
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