Coucou! :D Voici mes persos chéris ♥ - Harry Potter:
Severus Rogue « Petite citation »
۞ NOM : Rogue ۞ PRÉNOM(S) : Severus ۞ SURNOM : Servilus, cheveux gras, chauve sourie des cachots ۞ AGE : dépend de l'époque jouée, mais habituellement 38 ans. ۞ SEXE : Masculin ۞ NATIONALITÉ : anglaise ۞ ORIENTATION : Hétéro ۞ BAGUETTE : Inconnue ۞ AVATAR : Alan Rickman
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PSYCHOLOGICAL CONFESSIONS
Je suis un homme, même si cela en surprend plus qu’un, ainsi j’ai des défauts, mais aussi des qualités. Rare sont ceux qui les remarquent ou veulent les prendre en compte. Je peux les comprendre. Lorsqu’on déteste quelqu’un jusqu’à la moelle, nous ne voulons pas avouer qu’il n’est pas aussi mauvais que nous le croyons et nous le diabolisons beaucoup plus que de raison. On me traite de vampire, de Goule, de fantôme, de monstre ou de terrible serpent répugnant. Je suis pour mes élèves qu’un ramassis de cheveux gras, des yeux noirs brillants dans les ténèbres, un être diabolique qui donne trop de devoirs. Le suis-je? Probablement. J’aime être le plus désagréable possible et me moquer des élèves fainéants ou stupides. Je suis de ces professeurs exigeants qui vont donner les devoirs les plus difficiles qu’ils puissent avoir. J’avoue avoir un certain contentement lorsque mes élèves ressortent de ma classe en grommelant et en me maudissant dans leurs petites têtes de cornichons prépubères… Je n’aime pas les gens et je préfère largement aller me cacher dans mes cachots que d’aller aux fêtes organisées par les directeurs. Seul Merlin sait à quel point Dumbledore adorait me forcer à m’y présenter en tant que surveillant… Je me vengeais encore sur les élèves en essayant de battre mon record du nombre d’élèves maximum que je réussissais à envoyer en retenue en une nuit. La discipline est importante pour moi et mes Serpentards apprennent très tôt qu’ils ne doivent pas me décevoir. Ils doivent se montrer dignes de notre maison et je ne laisserais pas un seul imbécile salir sa réputation en faisant les imbéciles. Malgré tout cela, je sais parfois me montrer… Plus humain, disons. Je suis quelqu’un de loyal. Lorsque je rejoins un clan, je lui suis fidèle jusqu’au bout et jamais je ne joue sur les deux tableaux en essayant de voir avec qui je serais le mieux récompensé. Au fond, même si j’ai cru à tort que rejoindre les Mangemorts était une bonne idée, je ne veux pas tuer… Je ne veux pas non plus exterminer les nés-moldus. Je voudrais seulement qu’on me laisse tranquille. J’ai eu une dette envers mon premier amour, Lily Evans. Je me suis promis de protéger son fils et d’aider Dumbledore en jouant l’espion pour lui. Aujourd’hui, je voudrais me montrer complètement égoïste et ne pas me mêler des problèmes extérieurs à moi-même, mais cela ne durera probablement pas longtemps… STORYLINE OF THE CHARACTER Le 31 Octobre, Severus Rogue n’était que plus irritable et irritant. Il détestait ce jour de malheur où les élèves se gavaient de sucreries et avaient le sourire tout au long des festivités. Pour lui, le temps ne s’apprêtait absolument pas à faire l’idiot en se déguisant en un absurde personnage. La fête des morts lui servait justement à commémorer le souvenir d’une personne chère au professeur. Alors, cette journée se déroulait toujours de la même manière depuis cette horrible fatalité. D’abord, il enseignait. Cet exercice peut paraître insignifiant pour certains, mais l’homme ne semblait pas posséder cette force nécessaire. Souvent, la moitié de ses élèves se retrouvaient en retenus et même certains Serpentards réussissaient à faire perdre des points à leur maison. Connaissant le personnage, cela pouvait avoir l’air absurde. Après tout, il adorait privilégier les étudiants sous l’égide de Salazare Serpentard. Pourtant, même ces derniers arrivaient à faire perdre le peu de patiente qu’il possédait ce jour précis.
Puis, il y avait les repas. Habituellement, il parlait déjà très peu et l’enseignant n’enfreignait absolument pas cet usage. En fait, il se coupait complètement de monde. Il ne regardait plus personne et n’écoutais plus ce que disais ses compères. Seuls des cas graves pouvaient le faire sortir de sa transe, comme la fois où un troll avait réussi à entrer dans l’école avec l’aide de Quirrel. Sinon, rien n’y faisait. Il mangeait peu et il buvait souvent un pu plus qu’à l’habitude. Surtout vers la fin de la soirée, mais il restait toujours sobre pour être paré à n’importe quel évènement. Après cela, il se rendait dans ses quartiers. Enfin, il pouvait s’assoir en paix. L’homme s’installait confortablement dans un fauteuil aux couleurs de sa maison et il fermait les yeux en profitant du silence salvateur. Puis, il se relevait pour attraper une vieille boite à chaussure où il cachait des objets très précieux. Attachées par un ruban rose, des photos polaroids laissaient voir une jeune femme rousse et souriante. Il en avait d’elle de 11 à 15 ans. Une autre, un jeune homme aveuglé par le flash recevait un câlin amical de la part de la fille aux cheveux de feux. Cela avait été la première fois qu’il avait accepté de prendre une photo avec elle… et la dernière fois aussi. L’autre objet qu’il y retrouva le fit sourire. Une fleur séchée, rien que ça, mais pour lui, ce n’était pas rien. Elle représentait la première rencontre entre lui et la petite née-moldu. Elle lui avait tellement semblé rafraîchissante! Il oubliait sa vie misérable avec une mère soumise et un père violent ainsi que colérique.
Puis, il trouva un article de journal déchiré où il pouvait voir une image animée d’un couple venant à peine de se marier. Il ne pouvait s’empêcher de garder cet objet de douleur. La preuve ultime qu’elle avait aimé cet ennemi au lieu de lui. Il se demandait souvent ce qui ce serait passer s’il aurait eu le courage de lui dire les mots fatidiques. «Je t’aime», étais-ce si dur à dire? Oui, pour Severus Rogue, cela coûtait beaucoup. Pourtant, il aurait dû. Peut-être qu’elle aurait compris ces paroles lancées trop légèrement? Il n’avait pas voulu les dires, ces mots. Pourtant, cela lui avait échappé. «Sang-de-bourbe», quelle vulgarité à dire à celle qu’on aime! Malheureusement, il ne pouvait pas retourner en arrière. Cela avait brisé toutes ses chances avec elle et aussi leur amitié si salvatrice. Peut-être n’aurait-il jamais été mangemort si la force ne l’aurait pas quitté à ce moment-là. Peut-être qu’ils seraient morts tout de même, mais ce secret ne serait pas sorti de ses propres lèvres. Quel imbécile, cet adolescent!
En soupirant, il prend un autre secret. Une magnifique plume rouge inutilisé depuis de nombreuses années. Une plume de torture comme celle d’Ombrage, voilà la nature de cette chose. Ses années en tant que larbin de ce monstre, il en devint un lui-même. Tant de choses effroyables avaient été commis de ses mains. Espionner, torturer et tuer des gens faisaient partie de son quotidien. Il le faisait d’abord par automatisme. Il ne se rendait pas compte de ce qu’il commettait. Il voulait seulement avoir une autre vie. Ce genre d’existence qui lui ferait oublier la rouquine. Hélas, rien ne peut être fait pour enrailler des sentiments aussi forts que l’amour. Il se rendit compte qu’on ne pouvait pas se changer lorsqu’il comprit l’erreur commis par lui-même. Non, pas ça. Tout, mais pas ça! Il venait de livrer sa chère amie et son mari à cet être machiavélique. Il ne pouvait pas rester là et attendre en espérant qu’il ne fasse rien. Il l’a supplié, rien à faire. Alors, il alla voir la seule personne pouvant l’aider. Dumbledore, mit en branle un plan pour les cacher. En échange, Severus devait devenir professeur de potion, une discipline dans laquelle il excellait. Oui. Oui, il allait le faire! N’importe quoi pour la sauver, elle.
Une larme coula sur sa joue lorsqu’il prit un signet blanc. « Lily Potter, née Evans le 30 janvier 1960. Une mère et une femme aimante. Morte le 31 octobre 1981» Caché, il avait assisté aux obsèques. Il s’en voulait tellement. Sa faute, c’était sa faute à lui! Lui qui avait révéler à Voldemort la prophétie. Lui qui avait laissé le directeur de Poudlard s’occuper seul de leur fuite. Voilà, il avait fait un orphelin et deux morts. Pas besoin de tenir la baguette meurtrière pour se sentir responsable. Le coupable, s’était lui. Il s’en persuadait à chaque fois qu’il pensait à elle. Heureusement que l’enfant ne lui fut pas confié. Il n’aurait jamais eu la capacité de l’élevé, lui et ses yeux verts comme ceux de sa mère. Voilà, il prit finalement la dernière chose à l’intérieur. Une fiole remplit d’une étrange substance verte se révéla à ses yeux. Voilà la première potion qu’il enseigna à ses étudiants. Déjà à cette époque, il réagissait avec froideur et méprit. Tel une traîné de poudre, sa réputation de «chauve-souris des cachots» fit le tour de l’établissement puis des familles. Il n’en avait rien à faire de ce qu’ils pensaient. Il ne se trouvait pas là par gaieté de cœur et ils devaient si accommoder.
Le reste, tout le monde le connait… ou presque. Il est un agent-double pour l’ordre et il protège Harry des dangers environnant. Malgré que le trio d’or ne lui fasse pas confiance, il continue à veiller sur ces trois élèves obstinés. C’était une promesse faite à Dumbledore… et à Lily Evans.
Maintenant, il est mort, mais ce n'est pas bien grave. Il s'y attendait...
Son histoire peu se modifier selon le rp.
Merope Gaunt « Petite citation »
۞ NOM : Gaunt ۞ PRÉNOM(S) : Merope ۞ SURNOM : Aucun ۞ AGE : Selon l'époque, née en 1907. ۞ SEXE : Féminin ۞ NATIONALITÉ : Anglaise ۞ ORIENTATION : Hétéro ۞ BAGUETTE : Inconnu
۞ AVATAR : Mia Wasikowska
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STORYLINE OF THE CHARACTER Mort: 31 décembre 1926 Famille: Salazar Serpentard (ancêtre) Cadmus Peverell (ancêtre) Elvis Gaunt (père) Morfin Gaunt (frère) Tom Jedusor Sr. (époux) Tom Jedusor (fils) Sang:Sang-Pur
Mérope est une jeune femme douce qui ne cherche qu'à être accepté parmi les siens. Tout commença dans la demeure Gaunt où elle vu le jour. Descendante directe du grand Salazar Serpentard, on s'attendait de sa part beaucoup, mais étant facilement nerveuse, elle n'arrivait jamais à quoi que ce soit de concluant. Son père et son frère la mal traitaient puisqu'elle savait à peine faire cuire un oeuf par magie. Fières, ces deux sang-purs trouvaient inacceptable de voir un membre de cette famille être un échec total et ils lui faisaient remarquer. La jeune femme, sans le savoir, abritait beaucoup plus de pouvoirs qu'elle le croyait. Par exemple, elle excellait en potion. Il fallait seulement qu'elle ai plus confiance en elle. Après avoir fuit la maison familiale, la brune fini par épouser un moldu qu'elle enchanta grâce à du polynectard en se disant qu'enfin, elle trouverait le vrai amour. Évidemment, ce ne fût pas le cas et une fois elle oublia de lui donner la potion et il se libéra de sa stupeur. Il la banni de chez lui, lui, qui détestait les sorcière. Neuf mois plus tard, elle accouche à Sainte-Mangouste d'un petit garçon. Son fils, elle décida de le nommer Tom Elvis Jedusor pour se rappeler de ne plus jamais faire confiance à un moldu. Elle s’éteignit une heure plus tard.
PRENOM P. NOM « Petite citation »
۞ NOM : Macdonald ۞ PRÉNOM(S) : Natalie ۞ SURNOM : x ۞ AGE : 17 ans ۞ SEXE : féminin ۞ NATIONALITÉ : anglaise ۞ ORIENTATION : hétéro ۞ BAGUETTE : inconnue
۞ AVATAR : Lucy Hale
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STORYLINE OF THE CHARACTER La vie de Natalie avait été très ordinaire pour une sorcière. Elle n’était ni la survivante, ni une née moldu et encore moins issue d’une famille « traitre » à son sang. La seule chose qui semblait tâché dans sa vie était un père absent. La petite fille ne comprenait pas pourquoi il n’était pas là avec elle. Sa mère avait tenté de lui expliquer qu’il était mort, mais ce concept semblait si abstrait pour elle… Qu’était-ce la mort? Il était où au juste son papa? Elle avait rencontré d’autres petits sorciers lorsque sa mère allait sur le chemin de traverse et elle leur avait demandé ce qu’ils en pensaient. La plupart lui avaient parler des fantômes. Pourquoi le sien était pas resté en fantôme pour elle? Il ne l’aimait pas? Elle n’avait jamais avoué ses questionnements à sa mère. Elle semblait si triste lorsqu’elle lui parlait de son père, elle ne voulait pas la faire pleurer une fois de plus. Elle se souviendra toujours de ce soir de Noël où Mary avait été chercher une vieille boite à chaussure avec plusieurs vieilles photographies et elle pleurait en les regardant. La petite qui avait trois ans à l’époque, sans rien dire, se hissa sur les genoux de sa mère pour voir ce qui la rendait si triste et sa maman lui présenta celui qui avait permis sa mise au monde. Ce fût à ses 11 ans que Mary se résolue à lui avouer ce qui avait causer le départ si abrupt de son paternel et c’est dans le train vers Poudlard qu’elle se jura que si elle pouvait trouver celui qui l’avait tué, elle lui ferait payer le mal causé.
Une fois sous le choipeau, il n’y eu aucun doute pour l’objet parlant qui hurla rapidement «GRYFFONDOR!» à peine ses fesses sur le banc. Natalie était tellement fière ! Elle avait hâte d’aller écrire un hibou à sa mère pour lui annoncer que sa petite fille suivait ses traces dans la grande école qu’était Poudlard. Elle courut rejoindre sa maison qui applaudissait. Elle reconnut les Weasley assez rapidement pour leur rousseur et Potter pour sa cicatrice. Parlant de Potter d’ailleurs… Beaucoup avaient toujours crus qu’il devait chercher l’attention, mais elle faisait partie des rare à le croire. La gryffondor avait pour mère la meilleure amie de Lily Evans et évidemment, elle appuyait le jeune Potter, donc sa fille aussi de surcroit. Alors, Natalie s’attendait à l’arrivée imminente du Seigneur des Ténèbres, mais cela ne l’empêchait pas de vivre à font en attendant. Elle aimait beaucoup le Quidditch et elle avait rejoint l’équipe lorsqu’elle en eu l’âge. D’un premier coup d’œil, MacDonnald semblait être le genre de fille qui ne tenait pas en place, mais lorsque personne ne regardait, elle allait se cacher sous un arbre pour écrire. La brunette travaillait sans relâche sur une histoire, son histoire, qu’elle développait aux files des années, de ses envies et des grands changements dans sa vie.
Rien ne laissait croire que la vie de Natalie allait chavirée aussi radicalement. Un soir, lorsqu’elle avait 16 ans, la jeune femme paraissait bien irresponsable comme à son habitude. Bien décidée à sortir en boite avec ses amies avec de fausses cartes d’identités, elle se n’était pas méfier en sortant ce soir-là en se dirigeant vers le bar le plus proche. Après tout, rien ne laissait à croire que des fous dangereux se cachaient parmi ces jeunes fêtards traînants dans les rues de Londres. Comment aurait-elle pu seulement penser que dans l’ombre se cachait une créature démoniaque qui n’attendait tout simplement qu’une pauvre victime s’écarte dans une ruelle miteuse, ce que fit naïvement la bruine puisqu’elle avait cru voir s’échapper le boursoufflet de son amie vers cet endroit sombre. Elle avait froid et elle cherchait la petite bête avec l’impression qu’on l’observait. Elle eut à peine le temps de crier lorsqu’un homme apparu devant elle avant de lui sauter dessus qu’elle perdit connaissance lorsque sa tête frappa le bitume. En se réveillant, l’homme qui l’avait attaqué était mort un autre se cachait dans l’ombre.
- Qui êtes-vous?!
- Je suis désolé de ne pas être arrivé à temps.
Il disparut rapidement sans qu’elle ne puisse voir son visage, mais elle se rappellerait toujours de cette voix grave… Cependant, elle comprit rapidement pourquoi il disait ne pas être arrivé à temps puisqu’en se levant, elle sentit sa gorge brulée et lorsqu’elle croisant une vielle dame en rentrant chez elle, elle ne put s’empêcher de se nourrir…
Natalie ne s’éloigna pas de sa mère pour autant, mais elle devenait de plus en plus secrète. Elle sortait tard dans la nuit, allait rapidement dans sa chambre en revenant de Poudlard et évitant de la regarder dans les yeux la plupart du temps. Elle se doutait bien que Mary ne la croyait pas lorsqu’elle racontait qu’elle avait tout simplement peur des Mages noirs. Pourtant, elle n’arrivait pas à lui avouer ce qui s’était vraiment passé et ce qu’elle était dorénavant. Elle avait peur que cette dernière la déteste. Après tout, qui pouvait aimer un vampire? Elle se croyait maudite… Mais sa mère plus maligne compris, Mais accepta sa fille Et sa différence. Lui promettant de lui procurer un remède.
Lors de la deuxième guerre, elle se battu dans les rangs de l’Armée de Dumbledore avant d’être emportée dans les années 77 avec les autres élèves. Voilà… Elle se retrouvait à une époque inconnue. Pourtant, c’était une chance pour elle. Son père était encore vivant! Si elle réussissait, elle pouvait le sauver! Elle allait s’assurer de protéger cet homme qu’elle avait toujours voulu connaitre. - Riverdale:
❯ FEAT : Cole Sprouse |
Carte d'Identitée Jug est un blaireau masculin qui nous éclaire de son intelligence depuis bientôt 18 ans. Cette personne croit qu'elle gagnera le prix de beauté. C'est plutôt quelqu'un de altruiste, gourmand mais vraiment cultivé. ❯ ASCENDANCE (hp) ou race: Loup-Garou ❯ DATE DE NAISSANCE : 2 août❯ NATIONALITÉ : Américain.❯ CLASSE SOCIAL : (Riche/Modeste/Pauvre). ❯ ORIENTATION SEXUELLE : Il se croyait asexué jusqu'à ce qu'il tombe amoureux de Betty Cooper❯ CAMP : (Bons/Mauvais/ Neutre ).❯ COMPAGNON : Gros chien blanc du nom de Hot-Dog.❯ Informations supplémentaires :texte ici.
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ONCE UPON A TIME ... MY STORY Il est né dans une famille pauvre du Southside et ses parents lui donnèrent le nom de Forsythe P. Jones, mais il préfère largement se faire appeler Jughead . Son père est le chef des Southside Serpents, une bande de criminels dangereux ayant la main mise sur le crime organisé. Sa mère et sa petite soeur Jellybean quittent finalement Riverdale après le renvoi de son père pour vole de matériel et depuis, il porte toujours cette tuque en forme de couronne que lui avait offert Jellybeen pour ses 14 ans. Il est toujours déçu par son père et finit par fuguer. Il s'installa au Twilight Drive-In où il travaillait comme Opérateur de Cabine de projection. L'été avant sa dernière année d'étude, Jughead avait prévu un road trip avec son meilleur ami Archie, mais il fût insulté d'apprendre qu'il avait préféré passer ses vacances avec la prof de musique avec qui il avait une liaison. Il lui pardonne après avoir discuté chez Pop's et c'est là qu'il rencontre Veronica, la nouvelle de la bande d'Archie. Le Twilight Drive-In doit fermer ses portes par la faute d'un acheteur anonyme et n'ayant plus de maisons, Archie et son père l’accueil; il dort dans la chambre du rouquin. Écrivant déjà l'histoire d'Imagine, le jeune homme accepte de rejoindre le journal de l'école, le Blue and Gold pour essayer de démasquer l'affaire du meurtre de Jason Blossom. Après la mise en prison de son père, il reçoit la visite des Southside Serpent qui l'invitent à se joindre à eux. Il mit le blouson. Il n'avait pas trop le choix parce que comme tous les hommes de la bande, à ses 18 ans, il finirait par être affecté par la pleine lune et il devait apprendre à contrôler ce qu'il est.
© Never-Utopia par Koalz
- Alice au pays des merveilles/alice madness return:
Je ne vais pas vous faire une longue fiche pour celle-ci. Tout le monde connaît, au moins, son histoire de base! Dans ma version, Alice est une jeune femme de 19 ans qui a vécu, il paraît, la vie rêvée jusqu'à ce que sa mère veuille la marier avec un lord fort ingrat, snob et sexiste. Puis, on va se le dire... Dégoûtant et laid... Alors, elle se retrouve au pays des merveilles en tombant dans le trou du lapin, elle est celle qui est destinée à vaincre la reine rouge et sauver le pays, ce qu'elle fait. Elle y retourne une deuxième fois pour sauver Tarrent, le chapelier fou, qui risque de mourir et elle réussit, en voyageant dans le temps, de remmener sa famille. Elle en développa des sentiments amoureux (réciproques) pour le Chapelier. Pourtant, tout va mal... Le pays des merveilles commence à se désagréger. Alors, elle doit découvrir pourquoi ça arrive. C'est un mélange du Alice de Tim Burton et de Alice Madness Return. L'avatar est Mia Wasikowska.
- Doctor Who:
- Le Docteur [Metacrisis] en cours...
FEAT : Billie Piper Orientation sexuelle: Hétéro • TICS (sourire, claquer des doigts...) : Lorsqu'elle sourit, elle a toujours tendance à tirer légèrement la langue. • STYLE VESTIMENTAIRE : relaxe. Un bon jean et un t-shirt font l'affaire. • POUVOIR : Rose est The Bad Wolf. Elle a regardé le coeur du Tardis, ce qui lui a donné des pouvoirs presque divin jusqu'au moment où le Docteur l'a embrassé pour aspirer l'énergie. Pourtant, il en reste encore un peu en elle. Pas assez pour la tuer, mais suffisamment pour modifier son ADN. Bientôt, ses capacités reviendrons petit à petit sans pour autant lui faire de mal. Pourtant, son cerveau reste humain et elle devra combattre la folie qui la guette. Histoire: Journal de Rose Tyler: xx xx 20xx Un roman est séparé en plusieurs chapitres. Une vie, en une multitude. La mienne se sépare en trois différents points. 1. Avant tous cela. Je n'ai jamais mis les pieds dans l'une de ces écoles pour riches. Nous ne semblions pas très fortunées, ma mère et moi. Je n'étais qu'un bébé quand mon père est mort et il n'avait pas laissé une très grosse fortune à ma mère. Puisqu'il inventait des trucs que personne ne voulait, ils vivaient déjà mal au départ. Ma mère travaillait comme coiffeuse et elle coiffait les vieilles dames de notre bloque appartement chez nous. Quand je la regardais faire, je voyais ces femmes avec un grand sourire qui racontaient leur journée avec plaisir. Elles avaient l'air épanouies et plus jeunes. Ma mère possédait une écoute légendaire et avait un sens de l'humour hors norme. Elle faisait le bonheur de bien des gens. Tout cela pour dire que je souhaitais devenir comme elle, plus tard. J'ai étudié fort et j'ai eu mon diplôme à mes 17 ans, comme tout le monde. Je voulais continuer mes études, mais ma mère commençait à se laisser aller depuis un certain temps. Une étape du deuil en retard, en quelque sorte. Elle restait sur son canapé et discutait avec ses amies au téléphone, mais rien de bien productif. J'ai dû me trouver un boulot pour nous faire vivre toutes les deux. Mon premier boulot fut horrible! C'était un magasin de vêtements des plus banales, mais où les gérantes nous traitaient avec condescendante et mépris. Elles nous critiquaient à tous les jours pour le moindre petit problème et chaque employée se dépêchait à trouver un autre travail avant de faire un "burn-out". J'ai quitté ce boulot vers la vingtaine et j'ai trouvé ce parfait magasin où toutes les filles de la région voulaient travailler. Vous savez, celle qui a explosé? Du moins, je m'y étais faite quelques amies super sympa. 2. Du début jusqu’à la fin. J'ai rencontré le Docteur là-bas, justement. Non, il ne se cherchait pas une paire de baskets ou un ensemble classe. Il avait repéré des extraterrestres qui voulaient s'en prendre à la Terre (comme d'habitude). Je peux certifier qu'être encercler par des mannequins en plastiques lorsqu'on ne connaît pas l'existence des aliènes peut-être légèrement... effrayant. Je croyais d'abord à une blague de mauvais goûts de la part d'étudiants ou de Mickey, mais ce n'était pas le cas. Heureusement qu'il arriva bien assez tôt! Le premier mot que m'adressa le Docteur fut : cours. Logique, vu les circonstances... Du moins cet étrange homme aux cheveux ras et au sourire jusqu'à ses oreilles décollées m'intriguait fortement. Pour cette raison, j'ai commencé à faire quelques petites recherches pour découvrir que ce dernier semblait avoir plus de 40 ans puisqu'il apparaissait sur quelques photos d'époques. Je le rencontrai de nouveau, par la suite et je fus entrainé dans sa recherche de la cause de ce phénomène étrange qui s'étendait à vue d'œil. La Conscience Nestene fut le deuxième extraterrestre que je voyais. À la fin de cette journée captivante, mon nouvel ami me proposa de l'accompagner dans son T.a.r.d.i.s où j'avais déjà mis les pieds une première fois. Croyant qu'il servait seulement à voyager d'un endroit à l'autre, j'ai refusé sur un premier temps. Ma mère qui m'attendait et je ne voulais pas laisser Mickey seul. Il réussit à me convaincre de l'accompagner lorsque j'appris que ce vaisseau faisait aussi machine à voyager dans le temps. Avec cette version du Docteur, j'ai eu la possibilité de faire la connaissance de Charles Dickens ainsi que celle de mon père décédé lorsque je portais encore des couches. Par contre, toute bonne chose à une fin. À partir du moment où j'ai commencé à voyager avec le seigneur du temps, les mots « grand méchant loup» apparaissaient un peu partout lors de nos escapades. Assistant à l'invasion de la Terre par les Daleks, le Docteur tenta bien que mal de me protéger en me renvoyant sur ma planète. Je suis très têtue de nature, je n'ai donc pas accepté sans broncher. Avec l'aide de Mickey et de ma mère, j'ai réussie à rouvrir les portes du T.a.r.d.i.s et à retourner auprès du Docteur. Pour cela, j'ai dû regarder le cœur du t.a.r.d.i.s et devenir « le méchant loup ». Grace à ces nouveaux pouvoirs que cela me conférait, décimer les Daleks en séparant leur structure atomique et ressusciter Jack Harkness (rencontrer plus tôt dans un autre voyage) devint un jeu d'enfant. Le Docteur m'arrêta à temps puisque, oui, ce pouvoir était stupéfiant, mais il m'aurait tué. Avoir aspiré cette énergie me sauva la vie, mais l'obligea à se régénérer. Le nouveau Docteur ne ressemblait aucunement au premier. Cela me déstabilisait quelque peu, je dois dire. Par contre, je m'y suis habitué assez rapidement. Cet homme me faisait rire comme personne et je dois dire que son nouveau physique me plaisait bien... Quand une femme superficielle telle que Cassandra se rend compte (après avoir possédé mon enveloppe charnel) que j'avais le béguin pour le seigneur du temps, il faut en comprendre que cela ce voyais comme le nez au milieu de la figure. Par la suite, j'ai eu la chance de voir de mes propres yeux la reine Victoria (qui nous exila de son royaume) et madame de Pompadour, mais également de rencontrer Sarah Jane Smith avec qui j'ai eu un « petit » désaccord. Plus tard, par la faute d'un incident de parcours, je fus obligé de rejoindre le monde parallèle sans le Docteur et n'ayant aucun moyen de revenir, à rester là-bas pendant un certain temps. Le Docteur réussit à me contacter plusieurs mois après, mais d'une manière très bref. J'ai eu juste le temps de lui avouer mes sentiments pour lui et de l'entendre dire : « Rose Tyler... » avant que sa vision ne disparaisse complètement. Ce temps-là me paru plus long et plus difficile. Par contre, je n'abandonnais pas pour autant. Cherchant n’importe quel moyen pour rejoindre l'être obsédant mes pensés, je me suis alliée à Torchwood pour avoir accès à leur technologie.
- Vie réelle:
Wyliam Smith - Eddie Redmayne
Wyliam a eu une enfance relativement heureuse malgré certains moments plus difficiles. Son père était mort dans un accident de voiture lorsque le garçon allait avoir cinq ans. Personne n'avait voulu lui expliquer ce qui s'était passé.. Pendant longtemps, il avait cru qu'il l'avait abandonné et que les adultes ne disaient rien pour ne pas le blesser. Il vécut en Angleterre avec sa mère en tant qu'enfant unique. Elle ne se remaria jamais suite au départ de son père. Père qui, d'ailleurs, lui avait légué une maladie héréditaire qui allait lui compliquer la vie et ses espoirs. C'est à treize ans que sa vie bascula et qu'on lui expliqua finalement toute l'histoire. C'était une nuit bien ordinaire et le garçon s'était mis au lit. Sa mère l'avait bordé comme à son habitude et lui avait raconté la fois où son père s'était trompé de bouteille et avait versé du chocolat sur la tête du garçon par accidenté. Amusé, il avait fini par s'endormir. C'est vers une heure du matin qu'il entendit un bruit de craquement tellement fort qu'il fût instantanément réveillé. Un sentiment de peur avait fait refroidir son sang et en tremblant, il regardait une forme entrer dans sa chambre en flottant. C'était un spectre et pas n'importe lequel, mais celui de son père. Il avait hurlé et une fois sa mère dans la chambre, il avait pointé ledit fantôme, mais elle ne le vit pas pendant qu'il s'évaporait. Son père était schizophrène paranoïde et avait transmis sa maladie à son enfant. La mort de l'homme était arrivée lors d'une crise de paranoïa pendant qu'il se croyait poursuivi en pleine nuit sur l'autoroute. Avec lui, une famille comprenant les deux parents et les deux enfants en bas âges avait perdu la vie.
Jamais le jeune-homme voulait devenir aussi incontrôlable et causer la mort de quelqu'un. Alors, il avait commencé à prendre ses médicaments et à se renseigner sur sa maladie. Il voulait essayer de vivre avec et la refouler le plus possible pour avoir l'impression qu'elle avait disparu même si elle ne pouvait pas se soigner, seulement s'alléger. Il crut un moment que prendre ce que lui avait prescrit le médecin suffirait, mais plus il avançait en âge et plus les dosent étaient fortes. Ce genre de comprimés ralentissait non seulement ses capacités à réfléchir, mais le fatiguait. Il avait failli échouer ses cours à de nombreuses reprises et il fut accepté à l'université avec une très grande chance. Non... Il ne pouvait pas continuer comme ça... Alors, il décida de se construire une routine très sérieuse qu'il ne devait absolument pas arrêter. Cela lui permettait un meilleur contrôle de lui-même, mais aussi d'arrêter sa médication qui ne faisait pas bon ménage avec les cours. Sa mère désapprouva, mais il ne pouvait pas faire mieux. Il voulait réussir là où son père avait échoué. Il voulait se rendre au Doctorat et étudier le cerveau. Peut-être pourrait-il découvrir un moyen d'enrayer sa maladie mentale ou tout simplement un autre médicament ne ralentissant pas son intelligence? Donc, il n'était pas rare de voir l'étudiant se cacher pour parler tout seul. Il discutait avec des personnages fort variés, cela dépendait du message que son cerveau voulait lui envoyer. Lors d'examens, il arrivait que des personnages historiques vinssent lui souffler la réponse de ce qu'il avait étudié. Il ne disait rien à personne sur sa condition puisque généralement, personne ne s'en rendait compte. Seul son meilleur ami le savait et veillait sur lui pour qu'il ne lui arrive rien. C'est à l'université de Birmingham qu'il rencontra sa femme, Emma, qui lui donna à vingt-cinq ans leur fille, Jamie, et à 32 ans leur fils du nom d'Anthony. C'était ses deux petits rayons de soleil... Son histoire avec Emma était difficile. Cette dernière voyageait de ville en ville pour faire des conférences pendant qu'il était coincé avec les deux enfants dans leur petit nid douillet de Liverpool à se chercher des remplacements en tant que professeur ou des petits emplois à temps partiel pour essayer d'être le plus présent possible pour ses enfants. Un jour, à 36 ans, sa femme rentra à la maison et lui avoua d'un coup qu'elle n'était plus amoureuse de lui et qu’elle souhaitait divorcer. Elle avait rencontré un homme à Londres et c'était là où elle coulait être. Dévasté, Wyliam accepte néanmoins de signer les papiers du divorce. Les enfants eurent le droit de choisir où ils voulaient aller. Ils restaient avec leur père. Cela mit une certaine tension entre les deux parents et principalement Emma qui se sentait abandonnée par ses petits. C'est il y a quelques mois que son meilleur ami d'université devenu enseignant à Havard l’appela, tout excité. L'ancien professeur de neuroscience de l'université d'Havard allait prendre sa retraite. Il avait envoyé à sa place son CV avec une lettre chaleureuse de recommandation. Ils voulaient l'avoir comme professeur. C'est après avoir soupesé le pour et les contres qu'il quitta l'Angleterre avec Jamie et Anthony direction Cambridge où il emménagea avec ses enfants. Ça fait quelques mois maintenant qu'il est arrivé et il commence doucement à apprivoiser les lieux.
Chirstopher est un enseignant en histoire à l'université et il a comme élève Lullaby. Il doit supporter la mort prématurée de son bébé, la perte de sa femme et son attirance des plus troublante pour l'étudiante.
D'autres à venir...
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