Le Temps d'un RP
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LE TEMPS D'UN RP

call me carl poppa.

Anonymous
Invité
Jeu 23 Fév - 21:58

Les personnages city
merci wolfgang pour le code

Anatoly Súildubhán
Vingt-neuf ans – En couple – Vétéran & artiste peintre  - ft. Sebastian Stan
(1) Les mains se tendaient avant que des murmures ne soient soufflés, à table, le dimanche, tous les soirs avant qu'ils n'aillent se coucher. Ils croyaient. Croyaient en une force mystérieuse que l'on représentait dans ces églises qu'il ne savait apprécier. Il ne comprenait pas comment sa famille faisait pour prier alors qu'il n'avait pas même pas la force de Lui accorder ses pensées. Religieux aurait-il dû être élevé, athée s'était-il révélé bien qu'il n'avait aucun mal à accepter ceux que la foi avait envoûtés. (02) Une idylle brisée, un monde qui sautait. Les années étaient passées et parfaits étaient-ils demeurés. Le petit couple que tout opposait mais que rien ni personne ne pouvait briser. L'amour fou. L'illusion totale. Jillian. La seule fille pour laquelle il était tombé, lui, qui s'était toujours cru au dessus de ces amourettes de lycée. Sauf que ça avait été réel, réel au point de vouloir l'épouser malgré la jeunesse dans laquelle ils baignaient. Sauf qu'elle lui avait claqué la porte au nez et c'était le dernier souvenir qu'il en conservait. (03) Ainsi s'était-il engagé, la mort dans l'âme et les convictions jetées. L'armée allait l'éduquer, c'était ce que l'on en disait et qui était-il pour remettre en doute les rumeurs qui se propageaient ? Elle forgeait, elle durcissait, et c'était exactement ce qu'un petit con comme lui nécessitait. (04) Il avait regretté. De devoir plaquer ce qui lui plaisait pour se retrouver avec des armes à manier. Peut-être n'avait-il jamais aimé les études, mais la peinture l'avait toujours attiré. Ses doigts fins et délicats ne semblaient faits que pour diriger avec précision les pinceaux et divers instruments qu'il avait été forcé d'abandonner. Cependant il n'y avait jamais renoncé, les arts étant restés un rêve qu'il ne pouvait complètement lâcher. (05) Ses quatre premières années s'étaient achevées et un choix compliqué s'était imposé. Devait-il repartir ou rester. La réponse lui avait semblé claire même s'il continuait de se montrer indécis. Au final, il avait signé un nouveau contrat, son amertume envers des proches qui lui avaient tourné le dos prônant sur l'envie de quitter les corps qu'il se devait de faire tomber. (06) C'était amusant de constater que des sentiments si contradictoires pouvaient s'associer. La peur et cette invulnérabilité innée. Après tout, n'avait-il pas été entraîné ? Dans le fond il s'en fichait, son seul souhait résidant dans le désir profond de pouvoir rentrer entier, sauf qu'il comprit rapidement que sa plus grosse erreur n'avait pas été de croire qu'ils étaient invincibles. Non. Elle avait été de songer qu'il y parviendrait. Il n'eut pas le temps de crier que déjà, son camarade marchait sur une mine, la déflagration l'éjectant tandis qu'il sentait la douleur le lancer. Sept années d'engagement où tout avait été pour en arriver au stade où le verdict tombait. Bras gauche arraché. (07) Une moue de dégoût tordait ses traits, plus souvent qu'il ne l'avait espéré lorsqu'il était sorti de plusieurs semaines de soin intensif. Il ne savait pas ce qu'il devait le plus détester, son idiotie ou l'immonde chose qui rejoignait sa chair rougie en une cicatrice ravagée. Bien qu'elle était là pour l'aider, il ne savait la supporter. La prothèse qu'on lui avait fournie le tenait tellement en horreur qu'il prenait le temps de la dissimuler lorsqu'il n'avait pas le courage de sortir sans s'en armer. (08) Il souffrait, et ce, non pas que physiquement. Ses cordes vocales s'épuisaient alors que ses yeux hagards s'ouvraient, lui permettant de poser un regard effrayé sur tout ce qui l'entourait. Bien que sorti des bras de Morphée, Ô eux, qui lui étaient si souvent retirés, il les entendait. Les bombes, les cris. Le sang coulait sur ses mains sèches et tremblant, il désespérait de retrouver la réalité. La guerre l'avait déchiré, c'était ce que son médecin avait conclu lorsqu'il l'avait diagnostiqué atteint de PTSD. (09) Des trois langues qu'il savait parler, il n'y en avait qu'une qui l'emportait lorsqu'il se fâchait. Bien que les mots ne l'avaient jamais gêné, il avait tendance à facilement les égarer lorsque la colère le gagnait. Irlandais, il ne fut pas exempté de l'apprentissage du gaélique et c'était donc de ses mots qu'il en résultait. (10) C'était d'ailleurs grâce à ses camarades qu'il avait appris à dompter une langue dont les nuances lui avaient longtemps échappées. Son français était certes imparfait, son enseignement s'étant fait sur ce qu'il en entendait et daignait répéter. Mais il se débrouillait et ça lui suffisait. (11) Sa perception du corps ainsi que des relations avait changée, fait principalement dû aux épreuves qu'il avait bravées. Depuis son retour il avait la crainte de s'impliquer émotionnellement dans une quelconque relation. Sentimentale, bien que ce mot le répugnait. Amicale. Il n'avait pas la force de se supporter. Il n'avait pas la force de se laisser aller. Pas après la guerre. Pas après la seule rupture qu'il ait dû endurer.


henok, judas
Anonymous
Invité
Jeu 23 Fév - 21:59

Les personnages fantastique
merci wolfgang pour le code


NÉHÉMIE "IRA"
Immortel – Asexuel – Personnification du péché de la colère  - ft. Sebastian Stan
(1) La vie humaine le fascinait, le dégoûtait. Il en était autant attiré que répugné. Les apprécier uniquement pour les contrôler, il ne les voyait pas comme des insectes à écraser mais plutôt comme des objets à utiliser. S'insinuer dans leurs esprits pour les retourner, en faire des instruments de vengeance, ça l'inspirait. Ils n'étaient bons qu'à ça, chiens dociles qui d'un revers de la main, pouvaient être balayés. (2) De l'appréciation, il ne savait donner. Ce mot le laissait de marbre, les différentes nuances qu'il représentait lui échappant, tout n'était qu'antipathie pour ce qui l'entourait. C'était sans grand remord qu'il l'avouait, incapable d'aimer, les six autres reflets l'insupportaient plus qu'ils ne tendaient à se faire désirer. (3) Le sang lui plaisait. L'observer couler des plaies béantes, veines fraîchement éclatées. Le liquide de vie l'attisait, faisant briller son regard céruléen qui ne savait s'illuminer que de brutalité. Lorsque ses petits pions ne se battaient pas pour satisfaire ses pulsions, il n'hésitait pas à se salir les mains afin de de le verser, le léchant avidement, se baignant dedans. (4) Il hurlait, les cordes vocales s'effritant à en saigner. Déséquilibré, il se dévoilait dans toute sa beauté, Wrath brûlant tout ce qu'il touchait. Lorsque la pleine émotion l'emplissait, plus rien ne l'arrêtait et ainsi, pour apaiser les mœurs qu'il avait du mal à dompter, il cassait. Il cassait la table. Il cassait les vitres. Tout ce qui lui tombait sous la main était bon à briser, même les nuques des écervelés qui l'approchaient lorsqu'il n'était que Colère. (5) Le seul instant où il savait se montrer calme et patient. Un masque qu'il revêtait dans le seul but de manipuler. Il n'y avait généralement que dans l'espace du travail qu'il usait de fourberies pour parvenir à ses fins, ordinairement trop lassé ou échauffé pour prendre le temps de modeler la psyché, il comptait sur sa personnalité en couleurs pour agacer. (6) En plus de fracasser tout ce qui passait sur son chemin lorsqu'il était agacé, il jurait. Les insultes fusaient, mots principaux d'un langage primaire dont il jouait avec subtilité, il en usait plus que d'utilité. Ça le soulageait, expiant la frustration que ses entrailles refoulaient, crier les blasphèmes le calmait. (7) Aura destructrice qu'il émanait lorsqu'il l'enclenchait, les personnes entrant dans son champ d'action était irrémédiablement touchées. Des animaux sauvages, réduits à l'état primal de rage. Wrath n'avait plus qu'à contempler le désordre qu'il avait engendré, les grognements le satisfaisant autant  que les coups qu'ils s'infligeaient. (8.) Il en était né, des cuisses de l'abîme où le néant berçait les âmes tourmentées. Et avec toute la grâce du monde, c'était avec le feu qu'il s'était lié. L'ardente poussée d'adrénaline le conduisait à s'enflammer, sa forme terrienne brillant tel le soleil brûlant. Ô douce flammes, s'il l'avait voulu, il aurait également pu faire tomber Icare, le brasier l'habitant ne demandant qu'à être libéré. (9) La peau porcelaine qu'il marquait, l'encre colorant le marbre dont il était fait. Les tatouages se multipliaient, simples signes qui s'accumulaient le long de ses avant-bras, leur signification résidait dans le nombre de victimes qu'il faisait. C'était un jeu, un constant rappel de ce qu'il avait causé, un moyen de comptabiliser les scores qu'il faisait. (10) À force de fouler ces terres abîmées, à observer sans jamais se mêler, il avait commencé à développer des manies aussi ingrates que dépourvues d'intérêt. De ce fait il mâchait, continuellement, inlassablement, sa mâchoire se forgeant au fil des innombrables minutes qu'il passait à torturer des chewing-gums.

PARTICULARITÉS; La colère personnifiée. Animosité qui ne se réjouissait que lorsque la rage déferlait, il était le chaos, les flammes de l'Enfer qui brûlaient vicieusement les corps graciles de l'humanité. Il prônait la destruction, bafouillait l'adoration, ne ressentait que l'indignation. Sentiment ravageur, il ne baignait dans l'agressivité que dans l'espoir de voir les souffles autour de lui s'expirer.
PROFESSION; Sur son passage les âmes aliénées se nourrissaient du poison qu'il dégageait. Psychiatre consultant en asile, son terrain de jeu s'étendait à des mesures disproportionnées et sous ses yeux malicieux.
CARACTÈRE; Hystérique + Impulsif + Lunatique + Violent + Offensant + Rancunier + Dévastateur + Vulgaire + Manipulateur + Autoritaire + Sarcastique
Anonymous
Invité
Jeu 23 Fév - 21:59

Les personnages marvel
merci wolfgang pour le code

steven rogers (captain america); daniel rand (iron fist); karla sofen (moonstone); jessica jones (jewel); yelena belova (black widow II); frank castle (punisher); helmut zemo (baron zemo); david haller (legion); robert drake (iceberg).
Anonymous
Invité
Jeu 23 Fév - 22:00

Les personnages dc comics
merci wolfgang pour le code

Jonathan Crane
la trentaine – docteur en psychologie – asexuel - aka Scarecrow - ft. Cillian Murphy
ucey pour quand moins la flemme.


Walter Joseph Kovacs
watchmen – asexuel - aka Rorschach - ft. Jackie Earle Haley
ucey pour quand moins la flemme.
J'aime tous les watchmen en fait donc avec Rorschy sont livrés: Le Comédien et Ozymandias.
Anonymous
Invité
Jeu 23 Fév - 22:00

Les personnages autre
merci wolfgang pour le code

TYPE TWD;

Berekia DUBHGHAILL
Trente ans – Demisexuel & homoromantique – en couple - ft. Finn Wittrock
la bio bien trop longue:
 Il avait toujours été l'enfant étrange. Celui qu'on dévisageait, qui ne restait jamais. L'obligation de changer régulièrement d'école puisqu'il évoluait entre deux continents, ses protestations vaines à cause du pouvoir qui ne lui appartenait pas. Seul, par choix. Pensant que l'appréciation n'avait rien à lui apporter puisqu'il ne vivait qu'avec celle de sa mère. Songes effroyables, il était certain de ne pas avoir besoin des autres pour se sentir bien. Il n'avait pas besoin des autres lorsque son propre père ne le regardait pas. L'indépendance lui était parfaitement allée, aussi réconfortante qu'instructrice, Berekia n'était devenu ce qu'on en avait confectionné. Une image imparfaite, le look ravageur, le physique attirant l’œil sans que cela ne soit désiré. Son anticonformisme n'avait fait que s'accentuer après être revenu de l'institut. La maladie ne l'avait pas marqué au contraire du comportement de son géniteur. Haine viscérale qui lui avait mainte fois donné l'envie de partir définitivement chez sa mère, il était cependant resté en évitant avec soin de tomber dans le parfait cliché. Il n'était pas le fils à papa. Il n'était pas le rebelle se fichant de tout. Il n'était que tristement humain, déchiré par un divorce, le luxe et la quête d'une personnalité propre. À cela s'ajoutait un éloignement relatif face à la réalité, comme plongé dans une bulle constante qui lui servait lorsqu'il peignait ou dessinait, c'était cet élément qui lui avait permis de ne pas ressentir la peur intense, le dégoût du monde lorsque l'invasion s'était déclenchée.  Il avait cette sensibilité, cet attrait envers le monde qui l'entourait sans pour autant s'y frotter. La grâce et la fragilité de la pleine humanité. Il ne fallait pourtant pas confondre avec un trop plein de gentillesse. Berekia était simplement différent et, de par cette nature imposante dans son caractère, n'avait que très peu changé depuis que les zombies étaient là. Cet événement l'avait aidé à gagner une certaine confiance. Grâce à sa rencontre avec Hannibal, et à cause du manque d'ouverture de ce dernier, Berekia était devenu bon orateur, doué pour manier les mots lorsqu'ils se heurtaient à d'autres personnes. Il s'occupait des conversations lorsqu'à côté, Hannibal prenait en charge le ménage. Sa maladresse avait beau s'être quelque peu effacée au fil des mois, elle demeurait là et plutôt que de s'embêter à tenter, il se contentait d'observer sans tuer les rôdeurs.
Aussi alarmant que cela paraissait, il n'en était pas effrayé. C'était indéniable, il n'était pas enjoué à l'idée d'approcher les rôdeurs et de risquer son humanité, mais il ne ressentait pas cette peur profonde. Inexpliquée. Qu'il avait vu chez tout le monde lorsque tout cela avait commencé. C'était une forme de vie nouvelle, étrange et peu commode, mais cela demeurait mystiquement intéressant et provoquait chez lui une sorte de curiosité qui ne le pressait pas de les fuir à chaque fois qu'il en croisait. Et quand bien même serait-il répugné, Berekia ne saurait les tuer. Pas par pitié, pas pour les conserver, simplement parce qu'il n'était pas assez doué. Il y avait toujours ce mauvais jeu de poignet qui faisait que, malheureusement, la lame ne faisait pas mouche. La secousse trop vive de l'arme qui redirigeait la balle. Le pas en arrière de trop et qui le faisait basculer, incapable de se relever assez vite pour se débarrasser des assaillants. C'était la principale raison qui le poussait à laisser Hannibal s'en occuper surtout lorsque la situation n'est pas des plus urgentes.   


TYPE "PK ?!"
Diego, le tigre à dents de sabre
Trente-deux ans – Sidonesexuel - ft. Charlie Weber.
ucey pour quand moins la flemme. 
Anonymous
Invité
Jeu 23 Fév - 22:38

Les personnages séries&films
merci wolfgang pour le code

Will Gorski (Sense8)
Vingt-huit ans – Policier en cavale  – En couple - ft. Brian J. Smith
ucey pour quand moins la flemme.


Tristan Duffy (AHS: Hotel)
La vingtaine – Mannequin - ft. Finn Wittrock
ucey pour quand moins la flemme.


Nicholas "Nick" Clark (FTWD)
Drogué - ft. Frank Dillane
ucey pour quand moins la flemme.


Tyrell Wellick (Mr. Robot)
Trente-quatre ans - Vice président d'E. Corp - ft. Martin Wallström
ucey pour quand moins la flemme.


Connor Walsh (HTGAWM)
Vingt-cinq ans - Etudiant en droit - ft. Jack Falahee
ucey pour quand moins la flemme.


+eames(inception); daniel atlas (nysm); michaela pratt (htgawm); thomas hammond (political animals); sam winchester (spn) etc.
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call me carl poppa.
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