Messages : 227
Date d'inscription : 04/12/2020
Crédits : Moi-même
Univers fétiche : Dur de choisir, yen a plein
Préférence de jeu : Les deux
Mise en Situation
Et si tous les personnages de conte de fées que nous connaissons avaient été propulsé dans le monde réel par la malédiction d'un sorcier qui voulait mettre fin aux fins heureuses ! Et si le seul espoir de briser cette malédiction était une petite fille, enfant de la guerrière Mulan, et destinée à libérer tous ceux de son monde de leur terrible sort ! Dans le monde enchanté, alors que le sorcier Raspoutine prépare un sombre complot contre la princesse Mulan et le prince Chang, Daiyu, leur fille, fais la connaissance d'une autre jeune princesse, Sophie, fille de Belle. Si leur histoire semble présager d'amour à venir, le prince Peter semble bien décidé à leur mettre des bâtons dans les roues. à Storybrooke, Elizabeth, conceptrice de site web privés et fiancée à l'intrigant Michael, se cherche une colocataire afin d'économiser pour son mariage. Kim, youtubeuse beauté qui souhaite prendre son indépendance s'intéresse à cette annonce, alors qu'une certaine Mingyu arrive en ville. Librement inspiré de Once upon a time |
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Préférence de jeu : Les deux
SophieJ'ai 25 ans et je vis dans Le Royaume Enchanté. Dans la vie, je suis Princesse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à mon romantisme , je suis amoureuse et je le vis plutôt troublée. ElizabethJ'ai 25 ans et je vis à Storybrooke. Dans la vie, je suis Conceptrice de Site Web et je m'en sors plutôt bien . Sinon, grâce à la malédiction , je suis fiancée et pas à la bonne personne. avatar :copyright: Kathleen *** Le Royaume Enchanté *** « Prince Peter, je vous ai accordé une danse, je ne vous ai pas permis de me faire la cour. Et encore moins d'une façon aussi cavalière. Je vous prierai de me laisser tranquille. »
Quand Sophie avait accepté une danse avec ce prince, elle n'avait jamais pensé qu'il allait prendre ça comme une invitation et qu'il se mettrait à lui faire des propositions douteuses, à lui demander de s'isoler avec elle et à la toucher aussi discrètement que possible pour que personne ne puisse le voir, mais elle le sentait bien. Elle avait tenté de s'éloigner de lui, mais il l'avait suivie comme s'il était persuadé qu’elle s'intéressait sérieusement à lui. Folle de rage, elle venait de lui exprimer sa colère avec toute l'autorité princière qu'elle pouvait avoir.
Mais loin de se laisser impressionner, le prince sembla considérer qu’elle jouait avec lui, comme si son refus était un moyen de se faire désirer. Il sourit et badina avec elle alors qu’elle lui avait fait comprendre clairement qu'elle n'était pas intéressée. Quand il s'avança vers elle et qu'elle se rendit compte qu’ils étaient seuls et qu'elle ne pouvait pas se défendre contre lui, la jeune princesse prit peur et voulut se dégager. Mais il ne la laissa pas faire, attrapant son bras. Elle ne put empêcher de laisser ses yeux se teinter de frayeur tandis que ceux de l'homme semblaient conquérants.
« Laissez-moi tranquille ! »
Elle ignorait tout de ce prince et savait seulement qu'il y avait peu de chances qu'il soit un escroc, sinon ses parents ne l'auraient pas invité pour son anniversaire. Mais son comportement laissait sévèrement à désirer et elle se demandait même s'il n'était pas tout simplement venu dans l'optique d'obtenir sa main et son royaume, mais sans se soucier de savoir seulement s'il pouvait lui plaire. Mais elle ne se laisserait pas faire. Elle n'était pas la fille de Belle pour rien. Et si monsieur Gaston n'avait pas réussi à obliger sa mère à l'épouser, elle ne voyait pas pourquoi celui-là il réussirait avec elle.
« Je vous conseille d'arrêter ce petit jeu tout de suite ou vous le paierez très cher. »
Mais les menaces de la jeune fille ne semblaient pas l'impressionner, et elle commença à avoir vraiment peur. Car l'homme était beaucoup plus fort qu'elle et que tôt ou tard, Il obtiendrait ce qu'il voulait à moins que quelqu'un de plus fort que lui n'intervienne pour lui venir en aide.
*** Strotybrooke *** Elizabeth appuya sur une touche et le site web se dessina devant ses yeux, qu’elle accueillit avec un vif sourire satisfait. Son client allait être content. La jeune conceptrice ne se sentait pas encore assez sûre d'elle pour créer des sites web professionnels, mais elle arrivait à gagner sa vie pour le moment en réalisant des sites personnels pour des personnes qui en avait envie. Celui qu'elle était en train de mettre en forme allait permettre à son client d'exposer ses photos de voyage avec des commentaires et des petites descriptions des bons plans associés. C’était peut-être un peu narcissique, mais elle n'avait pas à juger le comportement des gens. Et puis, ça rapportait.
Cela dit, il fallait reconnaître que cela payait à peine ce dont elle avait besoin et maintenant qu'elle allait se marier, elle allait avoir besoin de faire des économies et de mettre de côté pour pouvoir payer le mariage. Dans un monde parfait, ce serait la famille de Michael qui aurait tout payé. Mais le monde était loin d'être parfait et son fiancé n'était pas très riche. En plus, il faisait encore des études et devait prélever sur sa bourse l'argent qu'il comptait mettre dans le mariage. Il était tout à fait normal la jeune fille participe à cet effort.
Elle regarda l'heure. D’ici peu devrait arriver une personne qui l'avait contactée à la suite de l'annonce qu'elle avait postée pour trouver un colocataire. Michael avait hésité à lui donner son accord pour qu'elle vive avec quelqu'un, mais elle lui avait fait valoir que c'était le seul moyen de pouvoir avoir le mariage qu'ils voulaient. Il avait donc accepté, à condition que la coloc soit une fille. Comme c'était le cas de la jeune personne qu'elle attendait, elle lui avait donné rendez-vous pour voir si elles pourraient s'entendre et juger si elle serait une personne convenable. Michael l'attendait au tournant, étant donné qu'il avait accepté de ne pas participer à l'entretien et elle devait faire attention à montrer suffisamment d'exigences.
Son fiancé avait déjà donné quelques critères de base et il lui avait notamment interdit de proposer la collocation à la nouvelle venue parce qu'on ne pouvait pas savoir d'où venait cette étrangère et si elle ne présentait pas un risque. La jeune fille avait trouvé cela un peu paranoïaque mais elle n'avait rien dit. La dernière chose dont elle avait envie c'était de provoquer une énième dispute avec son petit ami, surtout que c'était généralement elle qui en sortait le plus effondrée. Elle devait essayer de se comporter le mieux possible pour qu'il soit satisfait d'elle.
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