Ruthless Creatures (tw en description + 1er poste)
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Date d'inscription : 11/03/2023
Région : Québec
Crédits : google tout simplement je n'ai pas vue de créateur.
Univers fétiche : Réel
Préférence de jeu : Les deux
Limitiel
Sam 1 Juil - 3:37
Nikolaï Boreïev
J'ai 55 ans ans et je vis à ville, Pays. Dans la vie, je suis ancien parain de la mafia , proprio d'un bar de danseuse et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis Célibataire et je le vis plutôt bien. Informations supplémentaires ici.
Face à moi ce trouve cette femme qui semble vouloir démontrer de la force, mais je ne vois qu’une fille qui cherche à venger l’honneur de son père qui la pourtant abandonner. Elle se jette dans la gueule du loup sans même prendre en compte les avertissements que j’ai été assez gentil de lui offrir. Je lui ai donné plusieurs portes. Elle a eu la chance de s’enfuir sans que je ne la garde prisonnière. Elle a eu la chance que bien des gens n’ont jamais eu , maintenant ma patience a été assez longue. Elle me suppliait encore et encore, elle voulait prendre la place , tout me donner et je me contentais de sourire pour le moment, écoutant ses prochaines supplications. Elle me disait qu’elle acceptait tout , si ça pouvait sauver la vie à son père…Ce qu’elle ne savait pas, c’est que bien qu’en la gardant j’acceptais de laisser vivre son père, ça ne voulait pas dire que je le laisserais vivre heureux sans souffrance. Lorsqu’elle prononçait les mots…Elle est à moi. Un sourire sombre apparut sur mes lèvres. Cette femme venait de devenir mon nouveau jouet, et elle ne savait pas dans quel cauchemar elle venait de s’inscrire. Je relevais le regard vers un homme qui travaille pour moi qui étais juste derrière.
Idi, kupi mne kontrakt seychas zhe. Eta zhenshchina dolzhna podpisat' yego seychas. (Va me chercher un contract, maintenant. Cette femme doit le signer maintenant.)
Je laissais mon regard descendre de nouveau vers la jeune femme. Aucun mot ne franchissait mes lèvres pour le moment, je la gardais simplement à ma porter pouvoir la retenir de partir. Maintenant qu’elle avait dit être à moi, elle était prise. Un contrat arrivait rapidement et je prenais la feuille avec un crayon que je donnais à la jeune femme.
Signe-la. Ce papier dit que tu prends officiellement la date de ton père. La dette sera effacée quand tu auras payé en totalité ce que ton père me doit, ce qui je te préviens seras pour quelques années. En attendant, tu m’appartiens. Si tu tentes de fuir, d’appeler à l’aide ou quoi que ce soit, ton père meurt.
Je regardais la main de la jeune femme prendre le crayon doucement, dès que sa signature fut sur le papier, mon employé pris la feuille et moi , je me penchais pour prendre la femme sur mon épaule comme une vulgaire poche de patate. Ignorais les plaintes ou coup de la jeune femme, je quittais mon bar pour me diriger vers l’arrière dans un appartement. Je déverrouillais une porte nous guidant dans une pièce isolée ou finalement , je la déposais par terre. Autour d’elle se trouvait un lit et tout accessoire de chambre ainsi qu’une salle de bain.
Comme tu as si bien dit, tu es à moi maintenant. Tu m’appartiens ce qui veux dire que chaque parcelle de peau qui recouvre ton corps, m’appartiens.
Un sourire cruel apparut de nouveau son mon visage alors que je m’approchais d’elle. Je la détaillais de la tête au pied. Il y avait longtemps que je n’avais pas eu mon jouet de cette façon… Les prochaines semaines allaient être des plus divertissante.
Sois sans crainte, je ne vais te forcer pour l’instant. Mais tu dois suivre des règles. Tout ton être et ton corps est mien maintenant. Il y a des caméras partout et tu peux être sûr que tu seras surveillé. Si tu oses passer tes doigts dans ta culotte sans m’en demander l’accord, tu seras puni, compris? Tout ça, ces à moi maintenant.
Je retournais prendre place proche de la porte, accotant mon épaule contre le mur , ne la quittant pas du regard je passais ma langue sur ma lèvre inférieure. J’avais déjà hâte de m’amuser. Elle allait devenir folle. Elle avait clairement éveillé un monstre que j’avais tenté d’endormir il y a un moment mais cette fois, il avait besoin de sortir.
Tu devras me demander dès que tu voudras faire quelques chose… te rendre complètement folle m’amusera… Et un jour, tu me supplieras de te soulager.
Je riais légèrement en regardant son regard, du dégout? Peut-être, même surement! Si elle savait à quel point elle était en danger.
Des questions princesse?
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Univers fétiche : City, romance, fantastique, surnaturel, action/dramatique, science-fiction. J'écris un peu de tout. Malgré que les sujets peuvent aller facilement vers un contenu sensible pouvant choquer certains lecteurs. Tels que la sexualité simple à détailler, la violence dont les détails peuvent choquer tout comme les troubles mentaux pouvant perturber le personnage ou celui de l'autre joueur. Mes protagonistes sont diversifiés.
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KRWN
Sam 1 Juil - 18:12
Megara Lombardi
J'ai xx ans et je vis à ville, Pays. Dans la vie, je suis études/métier et je m'en sors statut de vie (bien, moyen, pas bien). Sinon, grâce à ma chance/malchance, je suis statut matrimonial et je le vis plutôt bien/pas bien. Informations supplémentaires ici.
Les légendes rencontres qu’assis sur son trône Lucifer observe l’humanité avec ennuie. Que son regard se lasse devant un spectacle si ennuyant que nous lui offrons comme divertissement. Hélasse, il ne trouve pas chaussure à son pied. Rien ne semblerait combler son intérêt. Alors, il laissa ses démons vagabonder sur terre. Errant tel que des chiens à la recherche d’une proie. Offrant un spectacle merveilleux. Une lumière de moquerie sous les hurlements de peur et de douleur que nous lui offrons. Pourtant, personne ne m’avait expliqué la fin de l’histoire. Personne n’avait cherché à découvrir plus ce roi infernal. Les livres religieux sont nombreux. Ils parlent de lui et sa puissance dans toutes les cultures. Sauf que je n’aurais pu croire que je découvris moi-même la fin de cette fiable. Si j’avais eu un simple moment de lucidité, j’aurais dû prendre son offre. Me lever et partir en courant vers l’entrée. Sacrifiant la liberté et la survie de celui que j’aimais. En une fraction de seconde, l’image de mon corps enroulé dans un drap me vient en tête. Nikolai me tuerait. Pourquoi ne le ferait-il pas ? Cet homme gérait ce lieu. Un endroit typique des rumeurs circulant sur le trafic humain ou la prostitution. Avais-je encore la protection de mon ange gardien ? Mais qu’est-ce qui me passe par la tête d’offrir mon dos à ce mécréant pour qu’il marque ma peau d’un fer rouge ? Mon père avait-il la moindre idée de ce que j’étais prête à faire pour lui ? Je me retrouve là. Le cœur battant sous la chute de ma chaleur corporelle. Les yeux qui laissent les larmes descendre sans ma propre retenue. Je me sacrifiais en offrant mon âme à ce psychopathe. Pour quoi faire ? Pour sauver la vie d’un être humain de bas étage. Il gagna encore. Je porte de nouveau la tenue parentale alors que je n’ai jamais pensé l’être. À peine mes mots furent prononcés, le regret s’empare de moi. Cette voix intérieure me maudissant de cette connerie. Cette bêtise de défendre un honneur familial qu’il n’est même pas capable d’entretenir. Ce sourire qui apparut sur les lèvres du diable me fait reculer. Mes larmes ne s’écoulèrent plus. La sensation de brûlure disparue peu à peu. Laissant place à un ressentiment méprisant. Saisissant tout mon être intérieur. Mes organes se serrent. Derrière cette façade, j’apprécie la noirceur du patron. Sa langue natale claque contre son palais. Les mots me sont inconnus, mais la crainte s’amplifie. J’observe l’employé avec un regard suppliant de pitié, mais son rire s’éloigne sous une réponse incompréhensible. J’ai chaud ! Mon cœur bat trop vite pour résister à cette chute. La tête me serre si fort que la migraine est apparente. Est-ce cela le stress ? Le mur que je viens de prendre n’était rien de cette image. Son regard m’examinant. Glissant vers moi sans que sans un mot. Un silence imaginaire perturbant. J’ai l’impression qu’il n'avait que lui et moi. Que plus les personnes nous entouraient. Il revient avec une feuille et un stylo. Lui arrachant presque des mains. Il s’approche trop prêt. Je recule en imaginant que ma mort est proche. Une poussée avec mon talon pour reculer un peu, mais rien ne me permet de m’échapper de cette prison du désir. Ma salive revient contre ma bouche et sous un hoquet de surprise, ma main tremblante s’approche du papier. Hésitant à lui prendre. À quoi bon ? Il avait vu mon visage. Il savait mon nom. Ma vie était comptée dès que j’avais pénétré cet établissement douteux. Je tends la main venant frôler du bout de mes doigts la page blanche de cette feuille. Je ne l’observe pas. Je n’ose pas affronter les prunelles qui m’observent. Mes paupières se ferment un bref instant. Avalant ma salive, le courage ne me revient pas. Cette force que j’avais auparavant s’était effacée. Je lui appartiens ? Je redresse la tête craintive de voir son visage. « Vous appartiens ? » Les mots sont faibles. Ils franchissent mes lèvres avec une lenteur et un doute évidents. Je ne pourrais pas fuir ? Je ne pourrais pas appeler à l’aide ? Sinon il meurt ? Je croise son regard un bref instant, le fuyant pour lui prendre le crayon doucement, frôlant ses doigts le tenant. Sans prendre le temps de lire les écrits, je laisse l’ancre dessiner ma signature. Je sursaute lorsque l’idiot du début vient m’arracher le contrat et la plume. Sans prévenir, le vieil homme se pencha en glissant son bras autour de ma taille et mon sous-bras. Me redressant en me planchant sur son bras. Pavanant ainsi dans son entreprise. Je veux fuir ! Je veux tout laisser tomber. En hurlant de surprise, je veux tout annuler ! Je frappe, je crois en tentant de me libérer. Les gens arrêtèrent de danser. Les personnes me regardaient et l’employé croisa les bras me disant au revoir de la main, un sourire bien glacial qui se glissa sur ses lippes. « Déposez-moi ! » Implorais-je. Ma paume de main dans son dos et l’autre dans sa nuque. Repoussant pour qu’il me libère ou que je tombe au sol. Une tentative de libération rater. Car, sous ma petite taille et mon poids de guêpe, je ne peux me mesurer à lui. Sans que je comprenne, il me dépose à terre. Je reculai en tournant la tête de gauche à droite. Il reprend la parole et à cet instant, ma peau brûle de nouveau. Le goût salé d’une larme se dépose sur ma lèvre. Je pleure ? Mon corps réagit seul. Je l’écoute et fit non de la tête. Reculant pour percuter une table. Je ne veux pas. Je ne voudrais jamais ! Son sourire me fait hoqueter. Il s’approcha et mon corps ne répondit plus. Mes jambes ne m’écoutent pas. Je veux partir en courant, mais elle ne bouge pas. Son regard qui glisse sur ma personne me répugne. Je sens la chaleur d’un désir anormal glisser sur moi. La sensation qu’il surveille une marchandise. Détaillant mon visage, ma nuque, ma poitrine et mes longues jambes. Je cache ma bouche d’une main et le goût de vomir me revient. Je lui appartiens que chaque parcelle de ma personne est sienne. « Non… » murmurais-je derrière ma main. Il continua à parler et les larmes descendent sans que je puissé-je faire quelque chose. Impossible d’arrêter face à la réalité qui vient d’apparaitre devant moi. Qu’est-ce que j’avais fait. Le goût de la bile monte contre ma langue. J’avalai avec regret et je déglutis. « Je ne vous appartiens pas… » Suis-je capable de marmonner, mais aussitôt mes paroles prononcées. Je regrettais. Cet homme devant moi n’est pas n’importe qui. Qui était-il ? Comment en un claquement de doigts ma vie lui appartient ? Il s’éloigne, se rapprocha de la porte. « Oui. » Dis-je à sa dernière question. Je suis une poupée enfermer dans une cage. Un vulgaire jouet enfermer dans un coffre qu’on viendra manipuler. Je m’effondre au sol. Mes deux mains contre le plancher. La tête penchée vers l’avant. Mes doigts glissent contre le parquet pour former deux poings. Les bouts de mes ongles pénétrant ma chair. La chaleur du sang m’arrache une grimace. Je ne veux pas le regarder. Je ne veux pas l’affronter, mais je le déteste. Je le hais ! En levant la tête pour affronter son regard sans courage. Je regrette aussitôt. Sa langue glisse contre sa lèvre. Venant me répugner. J’ouvre la bouche, je la referme. Je dois lui répondre. Je dois lui parler. Rien ne sort. Pas même un couinement. Mes paupières se referment. Prenant une grande bouffez d’air. J’ouvris les yeux. « Je ne vous supplierais jamais ! » Jamais je vais m’offrir à lui. Jamais ! Je ne deviendrais folle pour lui ! Je vais rembourser ma dette et partir sans jamais revenir ! Son rire me ramène à la réalité. Comment pourrais-je réussir ? J’ai été piégée comme une débutante. « Je vous déteste… Je vous hais… » Dis-je en pleurant et criais-je. J’avais si mal ! Pourquoi ? Pourquoi dois-je me sentir ainsi ? Je venais de tout perdre et je n’ai plus rien ! Je n’ai pas d’amis, je n’ai plus de famille. Personne pour croire que je suis disparue. Mes collègues vont penser que j’ai démissionné ou je ne veux plus travailler. Alors qui tenterait de rechercher une pauvre petite chose comme moi ? Personne. Je me marche à quatre pattes puis me lève en panique. Marchant vers une fenêtre tirant le rideau pour ouvrir la fenêtre mes les barreaux m’arrêta. Je cours vers une porte et ouvris sur la salle de bain, je vais vers la seconde, une chambre et la dernière sont une remise « Laisse-moi rentrer chez moi. » Allez où ? Je n’ai plus d’appartement, je n’ai pas de toit. Je me tourne vers lui. Prenante conscience de la scène. Je suis pathétique ! Je lève la tête vers le plafond et compte les caméras. Je suis prisonnière de ma tournée. Dieu m’a abandonnée.
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Sam 1 Juil - 21:17
Nikolaï Boreïev
J'ai 55 ans ans et je vis à ville, Pays. Dans la vie, je suis ancien parain de la mafia , proprio d'un bar de danseuse et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis Célibataire et je le vis plutôt bien. Informations supplémentaires ici.
Une fois dans la chambre qui seras la sienne pour un moment, je la regardais faire sa crise. Elle paniquait et j’aimais cette vue. J’ai bien tenté de la prévenir mais si elle ne comprend pas ce que je lui disais, maintenant ce n’est plus mon problème elle n’avait qu’à écouter les quelques fois ou je lui ai offert la liberté. Elle tenait tellement à libérer son père qu’elle avait foncé comme une jeune femme totalement naïve et maintenant, j’allais en profiter! Est-ce mal? Absolument! Est-ce que ça me dérange? Pas du tout au contraire. Elle me disait encore ne pas m’appartenir et je souriais encore une fois.
Oh mais dois-je te faire réentendre tes propres paroles? Tu m’as dit ‘’je suis à vous’’ et j’ai fait signer ton contrat te disant que tu m’appartenais et tu as signer. Maintenant, tu es à moi que tu le veulent ou non.
Elle n’avait plus le choix de toute façon. Elle pouvait pleurer, hurler ou faire tout ce qu’elle désire, elle n’avait absolument aucune sorti possible de cet endroit autre que si je décide de la laisser partir et malheureusement pour elle ce n’est pas proche d’arriver. Je la regardais paniquer, profitant du spectacle. Elle finit par relever le regard vers moi et je glisse ma langue sur ma lèvre en la regardant et en imaginant tout le plaisir que je veux avoir avec cette fille. Elle disait qu’elle n’allait jamais me supplier ce qui me fessais rire. Elle ne savait pas à qui elle avais à faire.
Tu le crois je sais, mais tu ne sais rien tu verras éventuellement, tu me supplieras de m’occuper de toi.
Elle allait en venir là. Elle ne supportera plus un jour tout ce que je vais lui faire vivre et elle me demandera de lui faire plaisirs, de la toucher et d’être doux avec elle. Bien que je ne connais pas la douceur , je sais comment faire plaisirs à une femme. Elle me disait me détester et me haïr, ce qui me fit simplement rire un peu plus.
J’espère bien, ou serais le plaisir si tu ne me détestais pas? Tu détesteras encore plus quand tu seras mouillée de désirs et quand tu prendras ton pied grâce à moi.
Elle sera encore plus perdue quand elle réalisera qu’elle prend plaisirs un jour à nos moments. La route pour s’y rendre est loin mais elle craquera comme n’importe quelle autre femme ou personne. Si elle pense avoir une tête forte, elle ne me connait pas. Soudainement, elle s’agitais et ouvrais les portes se trouvant dans la pièce, mais elle n’avait aucune sorti vers l’extérieur. Tout la coinçais ici, elle ne pouvait sortir. Je m’approchais comme un prédateur qui s’approche de sa proie, je me saisis de ses poignets et je vais accoter son dos contre le mur, ses poignets lier entre ma main en haut de sa tête et je bloque son corps de bouger grâce au miens. Elle se retrouvais complètement à ma merci. Ma main libre fit le contour de son corps, mais ne le touchais pas. Je prenais bien soins de ne jamais la toucher autre que ses poignets lier.
Je ne suis pas un homme patient. Je vais jouer et m’amuser avec toi sans te baiser pour l’instant. Mais un jour , ses jolies cuisses vont s’écarter que tu le veulent ou non et je vais me faire un festin avec ton corps. Rêve à moi princesse.
Je souriais diaboliquement avant de reculer et lâcher mon emprise sur elle. Je quittais la chambre, verrouillais la porte et fermais les lumières de la pièce. Je montais à ma chambre vue l’heure tardive qu’il était j’allais simplement me reposer.
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Le lendemain dès mon réveille, je filais sous une bonne douche chaude pour bien me réveiller et je descendais. J’avais fait apporter plus de nourriture pour pouvoir nourrir mon invitée. Je fis couler du café et pris deux muffins, deux croissants et deux chocolatines ne sachant pas ce qu’elle préfère. Je n’avais pas pris le temps de bien regarder le dossier que j’avais fait monter sur elle cette nuit. Je me dirigeais vers la chambre et j’allumais la lumière avant d’entrée.
Le soleil est levée princesse, j’ai apporté de quoi te nourrir comme tu n’as rien manger depuis hier. Assied toi à table et mange.
J’avais un ton plus autoritaire à la fin de la phrase, je n’allais pas me répéter. Je m’installais à table lui désignant la chaise devant moi je gardais mon regard sur elle attendant qu’elle me rejoigne d’elle-même ou alors si j’allais devoir la forcer à s’assoir. Un ou l’autre, elle finirait assise en train de manger de toute façon.
Compte toi heureuse, habituellement les captifs , captive dans ton cas, n’ont pas droit à tant de luxe.
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Univers fétiche : City, romance, fantastique, surnaturel, action/dramatique, science-fiction. J'écris un peu de tout. Malgré que les sujets peuvent aller facilement vers un contenu sensible pouvant choquer certains lecteurs. Tels que la sexualité simple à détailler, la violence dont les détails peuvent choquer tout comme les troubles mentaux pouvant perturber le personnage ou celui de l'autre joueur. Mes protagonistes sont diversifiés.
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KRWN
Sam 1 Juil - 22:31
Megara Lombardi
J'ai xx ans et je vis à ville, Pays. Dans la vie, je suis études/métier et je m'en sors statut de vie (bien, moyen, pas bien). Sinon, grâce à ma chance/malchance, je suis statut matrimonial et je le vis plutôt bien/pas bien. Informations supplémentaires ici.
Comme un orange grondant dans le ciel, comme une pluie tombante apportant la saleté pour révéler la réalité. Il ne faut pas insister dans le lancer. Il sera impossible de l’arrêter. Chaque geste, chaque parole et chaque mouvement ne fait que forcer la douleur de cette étreinte non désirée. Les bras se lient et les poignets. Prises dans cette cage noire. Comme un éclair dans la nuit frappant un arbre, je me brise. Je me suis fait avoir par un mirage. Une fausse promesse que détourner par un second sens. J’étais déterminée, mais tout est terminé, mon cœur est brisé. Détruit en présence de cette vie qui s’annonce pour moi. Le bonheur s’éloigne de moi. Ma main voudrait le retenir, mais il disparait dans cette brume épaisse. Il est impossible de le rattraper. J’ai été ensorcelée par un souhait. Une opportunité tranchante cachant derrière le tout un sens que je n’avais pas pu comprendre. J’aurais dû ! Pourquoi n’avais-je pas pu comprendre que mon rôle ne serait pas celui d’une employée. Ce serpent n’est pas le plus sage et le plus droit. Sa malice se dévoile sous ce sourire malicieux. Ce regard brillant sous le danger et une luxure que je ne connais pas. Ce n’est pas ma place. Mais, il s’agit de la mienne maintenant. « Vous êtes le diable en personne. » la sensibilité s’enroule avec la sottise qui franchit mes lippes. Une note prise par la pression qui se forme dans ma poitrine. Observant un dernier instant, mon corps s’élance. Parcourant un bout de l’espace à l’autre. Ouvrant chaque porte dans l’espoir d’y trouver une échappatoire. Mais comme dans toutes les prisons, l’effet fut de masse. Une sensation de cassure se fait en moi. L’isolement m’entoure. « Jamais ! » Non ! Jamais je ne le supplierais pas. Jamais mon cœur ne voudra volontairement qu’il se colle à moi pour y poser une main. Je lui appartiens de force. Je croyais que je serais un simple atout pour son commerce et non pour son propre plaisir personnel. Je ne veux pas ! Je ne veux pas qu’il me touche où qu’il vienne poser ses lèvres sur ma peau. « Pourquoi ? » Est-ce que je désire connaitre ses arrières pensés ? Qu’est-ce que j’en sais. Mes mots sortent sans que j’y pense. La pensée fut prononcée à voix haute et non par discrétion. Je recule dès que son premier pas se fit. Je recule jusqu’il m’accote le dos contre le mur. Soulevant mes poignets au-dessus de ma tête. Serrant son emprise m’empêchant de bouger. Une grimât de douleur apparait et disparait. Je tourne la tête pour ne pas le regarder. Craignant que ce visage apeurer vienne l’amuser de plus belle. Réveillant ce qui désire qu’il exprime depuis quelques minutes. En venant fermer les paupières, je tente de respirer pour me calmer. Mon cœur bat si vite. Son emprise est douloureuse. Respire ! Je dois respirer pour survivre ! Il me libère en s’éloignant. « Je ne rêverais jamais à vous ! Je vous déteste ! Je vous hais ! Brûler en enfer » hurlais-je sous le claquement de la chambre et se verrouille. J’avance lentement vers la porte. Collant mon oreille à celle-ci et d’un mouvement ma main se leva pour former un poing et je l’écrase sur ce rectangle de bois. Criant à l’aide. Suppliant qu’on m’ouvre la porte ! Je ne peux croire que je sois l’actrice de ce mélodrame ! Je n’aurais pu imaginer pire. Percutant encore et encore la porte. Je secoue la poignée dans l’espoir de l’ouvrir, mais rien. Rien ne se passe. Reculant en murmurant : jamais, non jamais je lui ferais se plaisir. J’attrape au passage le vase sur la table basse et le lance contre la porte. Hurlant à plein poumon « J’espère que vous allez crever ! » Puis tout me revient en tête. Ses promesses qu’il avait prononcées avec cette certitude. Mes jambes bougent seules vers la toilette. Je me jette au sol. Le goût qui monte dans ma gorge laisse sortir un liquide jaune tirant sur le vers. Une acidité amère. Une brûlure intense. Vomissant la bile que je tentais de retenir depuis des heures. Venant essuyer du revers de la main, je marche à quatre pattes vers le salon. Une main contre un meuble m'aidant à me lever et je dirige vers la chambre pour m’accoter contre le mur. Le dos contre celui-ci, je me laisse glisser contre la paroi murale. Mes fesses claquent contre le marbre du sol. Mes jambes se replie vers ma poitrine, mes bras se croisent sur mes genoux et mon menton se dépose dessus. Mes yeux fixent la porte de longues minutes, puis une heure et une seconde. Prise de fatigue, l’épuisement mental m’apporte. M’endormant sous le rayon de la lune qui travers l’ouverture du rideau.
Dans une stupeur, je sursaute. Je me suis assoupie ? J’ai trouvé le sommeil dans un moment pareil ? Je me maudis intérieurement alors que je place devant mes yeux ma main. Cachant la lueur du lustre qui éclaire la pièce. « Je n’ai pas faim… » L’estomac noué par la journée d’hier, la faim me manque. Malgré son ton autoritaire, je repousse ce sentiment et me lève. Marchant avec les jambes engourdis vers la cuisine. Affichant des traits épuisés, les yeux gonflés. Je n’avais pas pris de douche, je ne m’étais pas changée. Rien. Je m’assois en regardant ce qui était posé sur la table de la salle à manger et rien ne se passe. Je n’avais réellement pas faim. Je penche la tête vers mes cuisses. Mes mains viennent jouer avec mon chandail. Je ne suis pas capable de l’affronter. Je suis captive ? Je suis sa prisonnière… Pourquoi ai-je la drôle de sensation d’avoir échoué dans mon plan de le rembourser. Redressant la tête, je l’observe. Posant sur lui ma peur et la tentative de jouer les fortes. « Qui êtes-vous ? » réussis-je à baragouiner. J’avalai ma salive. Je fuis de nouveau son regard pour observer les pâtisseries. J’aurais voulu qu’il s’étouffe l’une d’entre elles.
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Sam 1 Juil - 23:10
Nikolaï Boreïev
J'ai 55 ans ans et je vis à ville, Pays. Dans la vie, je suis ancien parain de la mafia , proprio d'un bar de danseuse et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis Célibataire et je le vis plutôt bien. Informations supplémentaires ici.
Suis-je le diable comme elle le prétend? Probablement. Je ne ressens absolument aucun remord à avoir cette jeune femme enfermer contre son gré ici en ce moment, comme je n’ai jamais ressenti de remord non plus pour tout le sang qui à couler à cause de mes mains et sur mes mains. Les gens qui se retrouve sur mon chemin ne sont pas des personnes qui n’ont rien à se reprocher non plus dans la vie… Jamais je ne toucherais à un enfant ou une femme qui ne mérite pas leurs sorts. Megara ici a été assez naïve pour se vendre à moi en échange de la dette de son père et maintenant, elle devra payer pour lui. Nous n’avons jamais convenu de la façon dont elle devra payer, maintenant elle est à ma merci. Si seulement elle avait pensé a négocier, elle ce serais peut-être retrouver dans de meilleure condition…
Nah… Je suis pire. Même le diable ce pisse dessus quand il me voit.
Je riais une nouvelle fois. Pour ceux qui crois en ces histoires au fond , le diable lui-même fut un ange à la base. Je suis né mauvais et je vais mourir mauvais. Je n’ai pas de bon fond et les gens qui on essayer de m’en trouver un on fuit il y a bien longtemps. Cette femme , mon but est différent avec elle. Elle est d’une beauté intense et je compte bien la garder uniquement pour moi, pour mon plaisir personnel à moi. Avant même qu’elles ne comprennent ce qui ce passe j’ai bien l’intention de la rendre accro à ma présence. Syndrome de Stockholm? Absolument! Ou serais le plaisir sinon!
Sache que plus tu te bats, plus ça m’excite.
Je souriais une nouvelle fois, la voir essayer de contredire mes paroles et paniquais ne fessait qu’éveiller encore plus la bête en moi, l’envie de lui arranger les vêtements qu’elle portait et découvrir ces jolis petits seins qui son cacher par ces vêtements.
Pourquoi? Parce que je le peux et je le veux ma belle. Tu es à moi.
J’ai envie de jouer avec elle avant d’en arriver là. Je veux la faire me désirer un peu , malgré son gré bien sûr, avant de la toucher réellement, ces mon plan initial. Mais je ne suis pas patient et je pourrais très bien arriver d’ici quelques semaines et ne plus avoir de retenu et la prendre contre son gré. Quand je joue, souvent je suis plus impulsif au grand dépend de la demoiselle face à moi. Prenant emprise sur son corps, je la bloquais entre le mur et moi , les poignets lier en haut de sa tête incapable de bouger. Je souriais à ses paroles.
La haine et les désirs sont très liée ma belle. J’suis convaincu que je glisse les doigts dans ta chatte et que tu es bien mouillé.
Je souriais diaboliquement et j’approchais ma main comme si j’allais aller sous ces vêtements. Je m’activais comme si j’allais réellement aller la toucher, mais je restais par-dessus le tissu , mon regard sur elle alors que ma main ne la touchait même pas.
Je sens la chaleur de ton corps d’ici… Difficile de résister l’envie d’aller gouter.
Je la lâchais finalement, la laissant reprendre possession de son corps et je quittais la chambre, verrouillant la porte pour la laisser seule. Je quittais dans un salle état cependant, l’espace dans mon pantalons beaucoup plus réduit. La panique que je pouvais voir dans son regard m’a fait durcir en un temps record. Je glissais en revanche dans mes draps rapidement, essayant de me contrôler pour l’instant afin de garder tout ça pour la demoiselle.
Dès mon réveille, je me levais aussi dur qu’au coucher. Je suis étonné de ne pas avoir laisser sortir la pression dans la nuit. Je filais sous la douche pour pouvoir me calmer un peu avant de chercher à manger pour la demoiselle et je me dirigeais vers la chambre. En ouvrant, je la trouvais en train de se réveiller, les yeux bouffit par les larmes j’imagine. Cette vision me fit sourire.
Est-ce que j’ai demandé ton avis? Lève ton joli p’tit cul et viens t’assoir avant que je ne m’occupe de toi.
Elle finit par se lever et approche de la table, s’installant face à moi. Elle regardait le dedans de l’assiette et je la regardais faire, ne disant rien. Je détaillais ses réactions, sa façon de bouger , bref tout ce qui pouvais me donner des indices sur elle, si comment elle réagit et ce qu’elle veut. Si je ne la connais pas suffisamment, je ne pourrais pas jouer dans sa tête.
Tu viens me trouver et tu ne sais pas qui je suis? Tu n’as pas compris encore que je suis ton pire cauchemar? Pourquoi tu penses que ton père me fuyait?
Je souriais, sortant mon portable de ma poche justement je relevais le regard vers elle.
Parlant de lui, on la retrouver. J’ai pris la peine de le rassurer et lui montrer quelle belle compagnie tu allais me faire maintenant.
Je tournais pour lui montrer une photo d’elle allonger par terre sur le sol de sa propre prison.
Il a de la chance, ce n’est pas un photo de ma queue en toi pour l’instant.
Je souriais une nouvelle fois amuser, regardant ses réactions.
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Univers fétiche : City, romance, fantastique, surnaturel, action/dramatique, science-fiction. J'écris un peu de tout. Malgré que les sujets peuvent aller facilement vers un contenu sensible pouvant choquer certains lecteurs. Tels que la sexualité simple à détailler, la violence dont les détails peuvent choquer tout comme les troubles mentaux pouvant perturber le personnage ou celui de l'autre joueur. Mes protagonistes sont diversifiés.
Préférence de jeu : Les deux
KRWN
Dim 2 Juil - 0:15
Megara Lombardi
J'ai xx ans et je vis à ville, Pays. Dans la vie, je suis études/métier et je m'en sors statut de vie (bien, moyen, pas bien). Sinon, grâce à ma chance/malchance, je suis statut matrimonial et je le vis plutôt bien/pas bien. Informations supplémentaires ici.
« Vous… » Il n’en servait à rien de prononcer plus de paroles qui laisseront vaguer pour se transformer contre moi. Le diable n’est qu’une apparence dégoûtante de la saleté d’un homme. Son rire m’effraie au plus profond de moi. Cette rancœur qui s’installe peu à peu. L’haïr ne serait jamais un sentiment aussi peu clarifié. Son rire moqueur ne fait qu’accroitre mon envie de disparaitre loin de cette personne. Oublier ce parfum trop couteux qui envahit mes narines. Une odeur que je ne pourrais oublier. Pourtant, il n’est qu’un homme parmi les hommes. Une créature déplorable qui ne fait que confirmer le fait que mon célibat est un honneur. Ce n’était pas drôle ! Il n’avait rien de comique dans ce qui se passait entre nous. « Vous êtes répugnant… » ce dégoût des plus présents. L’idée que cet homme peut s’imaginer sous son corps. La simple le fait qu’il croit que sa main pourra glisser entre ma cuisse pour émoustiller mon clitoris me répugne. Jamais ! Je me fais la promesse qu’il ne pourra apercevoir les lèvres de ma chatte. Il ne me forcerait pas… sauf que je n’y crois pas. Comment un homme peut avoir autant de répondant et de mordant en dénigrant la femme. Ce comportement méprisant était le classique d’un homme alpha d’un roman. Ceux devant un peu plus populaire, mais je ne pouvais pas croire qu’il existait réellement ce genre de personne sur terre. Est-ce qu’il vit bien avec ce genre d’image qui avait envers nous ? Est-ce que les femmes viennent vraiment se mettre à genoux pour lui ? Elles sont folles ! Des femmes en chaleur qui n’ont pas d’honneur pour ne laisser se faire prendre pas un goujat comme lui ! Il est répugnant, il manque d’éducation, il n’a rien d’un homme ! Ce n’est qu’un déchet de la société qui se laisse guider par sa queue. Ce fichu qui veut me faire sentir et je ne comprends pas pourquoi. Pourquoi moi alors qu’il pourra avoir les filles qui danse pour lui ? Je dois trouver un moyen de fuir, car je ne donne pas cher de ma peau. « Je… » Merde ! La crainte de parler m’empêche de continuer. Je veux partir ! Je ne suis pas à lui. « Je ne suis pas à vous… » Dis-je avec mollesse. Le manque de confiance ne me quitte pas. Lui offrant l’image d’être un chaton craintif.
Mon dos percute le mur froid de la pièce. Sa main frôle mon premier poignet. Son épiderme m’électrolyse. Un contact chaud dont le désagrément s’installe. Ses doigts se resserrent. La pression me fait grimacer sous la douleur qui compresse mes os. Une main ferme plus large que la mienne me redresse les bras. Levant les mains en haut de ma tête. J’essaie de bouger les doigts, mais chaque mouvement me fait mal. Son emprise me compresse. Mon muscle glisse sous son pouce. Son parfum me taquine. Il est trop près. Son haleine chaude frôle mon visage. Un long frisson me parcourt. Crispant le visage sous la retenue de mon souffle. Il se rapproche et cette fois-ci mon regard l’affronte. Incapable de bouger la tête. Impossible d’une quelconque tentative d’échappade. « Non! » Le son qui sort ne m’appartient pas. Un cri si aigu. Personne n’a jamais mis la main entre mes cuisses. Aucun homme ni femme a osé y toucher. Je bouge faiblement la tête de gauche à droite. Le suppliant de compréhension. Il n’oserait pas ? Ce sourire luciférien ne présage rien de bon. Il bouge sans me toucher. Je n’ai pas de chaleur. Je n’ai pas envie qu’il me goûte. Retenant mon souffle en imaginant le pire, il me relâche pour me laisser dans une pièce avec mes propres démons intérieurs.
Le lendemain matin, je marche la tête basse alors qu’il m’ordonne de le rejoindre. « Je ne crois pas… » L’impuissance de lui tenir tête fait-il de moi une lâche ? Une pauvre enfant sa rein pour l’affronter ou moindrement lui cracher au visage. J’aimerais pouvoir avoir la force des femmes dans les films. Celle qui confronte leurs kidnappeurs sauf que nous sommes dans la vraie vie et non dans une fiction. Je gardais la tête basse en tirant la chaise. Trop haineuse de voir ce visage que je méprise comme aucun autre. En regardant mes poignets, je suis surprise de remarquer que là. Je suis marquée par sa prise d’hier, une ecchymose bien ronde. Elle contourne mes deux poignets. Deux marques que je ne voulais pas avoir. J’ai l’impression qu’elle me ramène à lui et je ne veux pas ce rattachement. Le regardant, je me mordille la lèvre du bas. « Je ne sais pas. »Ma poitrine se soulève et se rabaisse rapidement. « Je n’ai pas cherché, je croyais … je ne sais pas. Je voulais seulement le sauver… » Le sauver alors que la victime en danger se trouve assise dans cette pièce devant celui qui lui passera la corde au cou. « Pour sa dette… Il n’a jamais pris ses responsabilités. » Voilà que je parle un peu plus. Mon père n’avait jamais pris ses responsabilités. J’étais celle qui apportait l’argent à la propriétaire. J’étais celle faisant l’épicerie pour remplir le frigo. J’ai été celle ayant maturé trop vite. En allant même dire que j’ai sacrifié ma vie et ma jeunesse pour lui. Ma langue glisse contre ma langue avant de revenir mordiller cette lippe. Il le fuyait pour cette raison. Sa lâcheté ! Ses responsabilités qui n’ont pas pu prendre. Je me demande ce qu’il a fait pour tomber aussi bas. Je regarde les pâtisseries pour redresser le regard vers lui. Mes paumes s’aplatissent sur la table et je me redresse en faisant presque chuter la chaise. « Vous l’avez trouvé ? Qu’est-ce que vous lui avez dit ? » J’attrape le téléphone et m’assois en pâlissant. « Je vais vous faire… » L’image était plus qu’évidente. Il avait une caméra dans la chambre. Il ne blaguait pas hier. « Vous allez me retenir contre mon gré ? » Je n’ai plus de larmes. Pleurer ne me servira plus à rien. Sauf que le mal intérieur pourra toujours s’installer. « Allez vous faire foutre ! J’espère que vous allez crever ! » Dis-je à voix haute. Ma pensé sortir et je le réalise trop tard. J’échappe le téléphone sur la table et je couvris ma bouche de mes deux mains. Je fige. Ne sachant pas comment réagir. Je tourne la tête et regarde la salle de bain. Est-ce que j’aurais le temps d’aller me cacher et fermer la porte derrière moi ?
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Dim 2 Juil - 1:22
Nikolaï Boreïev
J'ai 55 ans ans et je vis à ville, Pays. Dans la vie, je suis ancien parain de la mafia , proprio d'un bar de danseuse et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis Célibataire et je le vis plutôt bien. Informations supplémentaires ici.
Venant rejoindre la demoiselle le lendemain matin, j’avais toujours les mêmes intentions envers elle que hier. Jouer avec elle, la démolir doucement. Je lui disais de se lever et de venir me rejoindre, je ne lui avais en fait pas demander son avis mais surtout ordonner de venir me rejoindre. Je souriais quand elle me répondait encore , essayant toujours d’avoir le dessus.
As-tu besoin d’un exemple plus concret? Parce que si tu veux je n’ai aucun problème à te montrer ce que je peux te faire si tu n’écoutes pas quand je te dis quelque chose.
Si elle voulait me tenir tête autant, elle allait rapidement voir qui tient les ficelles ici et qui décide de la suite. JE sais, tout le monde qui est retenu en otage essaye toujours de tenir tête, mais elle devrait voir son vrai rôle rapidement parce que ma patience est très très limitée. Elle finit par venir s’assoir comme je lui avais demander, elle s’installais et regardais la nourriture que j’avais mis à la table pour qu’elle mange. Elle restait silencieuse et je fis la même chose, observant simplement la demoiselle.
Et regarde dans quelle situation tu t’es mise. Tu aurais dû chercher dans quoi ton père trempait avant de te vendre à moi.
Mon ton était calme, parce que je savais qu’elle comprenait maintenant son erreur. Oui je veux jouer avec elle, mais je suis aussi plutôt honnête avec mes prisonniers et si je veux réellement me jouer d’elle , elle allait voir mes deux côtés.
Je te garantis qu’il ne les prendra jamais. Il ne changera jamais, il continuera à devoir plus d’argent et à continuer à faires des conneries. Arrête de rêver sa tu éviteras de la douleur supplémentaire.
Son père est le même genre d’homme que je vois toujours. Le genre de crétin qui n’apprend jamais rien même une fois devant le mur et devant le vrai danger. Il ne changera jamais et ne feras jamais d’effort même pour sa fille présentement et justement je pris un malin plaisirs à lui nommer qu’on l’avait retrouvé. La voir réagir me fit rire , elle paniquait juste à l’idée qu’on l’avait retrouvé.
La vérité ma jolie. Que tu t’étais vendu pour le sauver et que maintenant tu m’appartenais. Je pense que je ne l’avais jamais vue aussi apeuré. Même pour lui, il avait moins peur.
Lui, il savait qu’il allait mourir. Maintenant que j’avais sa fille, il savait très bien qu’elle ne serait pas aussi bien traitée , dans le sens d’avoir une mort rapide. Il craignait maintenant que je la force à se prostituer , mais j’avais un autre destin pour elle en tête.
Tu as signé princesse. Tu as décidé de te vendre à moi. Maintenant, je fais ce que je veux de toi.
Je souriais quand elle devenait de plus en plus agitée, elle paniquait et je le voyais. Elle me hurlait maintenant après et ça, cependant, c’est le genre de chose qu’on n’a pas le droit de me faire. Je me relevais, envoyant la table valser, ma main allais s’entourer autour de la gorge de la demoiselle et je le poussais contre le mur, la relevant légèrement allant couper l’air.
La seule qui va se faire baiser ici, c’est toi, tu as tellement hâte que ça arrive?
Mon regard était cette fois froid et fermer. Mon sourire était disparu pour le moment ne laissant que mes traits durcis et froid, prêt à tout en ce moment. Je la déposais par terre et loussais légèrement ma prise sur sa gorge pour laisser l’air passer, mais je la maintenais ainsi quand même.
La prochaine fois que tu me hurle comme ça ta gorge seras remplis de ma queue jusqu’à tu t’étouffe compris? Ne pense pas aller chercher de la pitié avec moi tu n’en auras pas. Tien toi tranquille si tu souhaites avoir du temps avant que je te détruise complètement.
Je la laissais tomber par terre, retournant ramasser la nourriture qui étais envoyer partout dans la pièce. Elle ne voulait pas manger parfait mais elle n’aurait rien d’autre pour le moment. Je ramassais mon téléphone et je me dirigeais vers la porte.
Profite du silence princesse, tu as raté ta chance de manger. Quand je reviendrais, tâche d’être plus calme sinon tu sais ce qui t’attend.
Je lui jetais un dernier regard et je quittais la chambre avec la nourriture en main et mon cellulaire. Je la laissais mijoter toute seule ainsi pour la journée. J’allais travailler et faire mes trucs habituels, simplement comme si elle n’existait pas. Je rentrais chez moi dans les alentours de 22heures. Elle venait de passer presque 12h complètement isolé sans nourriture dans la chambre. Cette fois, je n’apportais rien dans la chambre, si elle le méritait j’irais chercher quelques choses. Je posais mon regard sur elle en posant une épaule contre le cadre de la porte.
Alors? Plus calme que ce matin?
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Univers fétiche : City, romance, fantastique, surnaturel, action/dramatique, science-fiction. J'écris un peu de tout. Malgré que les sujets peuvent aller facilement vers un contenu sensible pouvant choquer certains lecteurs. Tels que la sexualité simple à détailler, la violence dont les détails peuvent choquer tout comme les troubles mentaux pouvant perturber le personnage ou celui de l'autre joueur. Mes protagonistes sont diversifiés.
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Dim 2 Juil - 2:24
Megara Lombardi
J'ai 27 ans ans et je vis à New York, États-Unis. Dans la vie, je suis à la recherche de mon avenir et je m'en sors pas bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis devenue sous contrainte et d'un contrat la chose du chef de la mafia. et je le vis plutôt pas bien. Avant sa rencontre, j'étais une personne à part entière. J'étudiais à l'université, j'avais des petits boulots et surtout... je soutenais économiquement mon père dans sa dépravation. À mes vingt-sept ans, je perds tout. Mon père s'envole et me laisse gérer notre expulsion de l'appartement, je me retrouve avec ses créanciers sur le dos et pour couronner le tout. Je me vends pour prendre la charge sa dette. Mais, j'étais loin de douter que la personne avec lequel que j'argumentais était le criminel le plus surveiller pour sa puissance dans la ville. Aujourd'hui, je suis le jouet de l'homme me tenant contre mon gré. Est-ce que je vais m'en sortir. Un jour à la fois.
Loin d’être mélodie auditive, cet accent ressemblant à un aboiement n’a rien d’enchanteur. Si différente d’une chansonnette dont la vibrance est enjôleuse. Les syllabes qui vagabondent dans l’air de la pièce se comparent à une hantise. Cette voix murmurant des bêtises pour torturer l’âme. Le bruitage est méprisant. Elle tourne dans ma tête encore et encore. Augmentant la haine qui s’installe envers cet odieux personnage. Bien que sa seule présence me glace le sang. Tout ce que je peux faire ou ce que je peux dire va contre ma sécurité. Je n’aime pas tenir tête bien que j’essaie de me défendre. Les idées sont si confuses. « Non…Pardon. » Son exemple concret m’effraie. J’ai peur de le voir poser de nouveau la main sur moi. L’écoutant, je viens à lui obéir dans le seul espoir de pouvoir un jour sentir la fraicheur d’une brise contre mon visage.
Prenant place devant lui, je ne sais plus comment réagir. Les gaffes s’accumulent et sa personnalité est si instable que le moindre geste pourrait me couter la vie. Le pire dans tout cela est qu’il avait raison. Je n’avais pas été très intelligente en ne faisant pas des recherches. « Je… » Qu’est-ce que je pourrais dire pour ma défense ? Que j’ai confiance à mon père. Je me mentirais à moi-même. Au fond, je savais surement que mon père avait commis une grosse erreur. « Je…voulais simplement rembourser sa dette. » L’insécurité s’installe. Avais-je le droit de parler ? Pourquoi avait-il contacté mon père alors que je prenais tout sur ma tête. Qu’il me colle un pistolet au front si cela pouvait le sauver. Je ne manquerais à personne. « Il changera…je suis certaine ! » Je pouvais y croire ! Il pourrait aller suivre une thérapie. Il aurait la chance de pouvoir s’améliore. Je suis sûre qu’il ment ! Mon père m’aime et ne le fera pas. Je suis peut-être aveugle, mais l’espoir est toujours gratuit. Lui prenant rapidement le téléphone entre les mains. L’image qui s’affichait devant mes yeux me fit déglutir. J’étais là, endormie contre le parquet de la chambre. Trop dégouter et épuiser de monter dans ce lit. Ma longue chevelure m’entourait, mes jambes étaient repliées sur moi-même et les mains s’étaient joignes pour une prière. Je ressemblais à un cadavre. Une femme laissée pour morte dans sa torpeur. « Pourquoi, pourquoi n’arrêtez-vous pas de dire que je vous appartiens ? Je croyais pouvoir vous rembourser avec le travail. Pourquoi m’enfermer ici ? » J’observe autour. Mais ce n’était pas le but. Me vendre à lui n’était pas mon plan. J’aurais dû parcourir le contrat. Mon corps ne lui appartiendra jamais. Je m’y refuse ! Mes pensées sortent de à voix vive. Je me redresse sur mes jambes et la chaise chute derrière moi. Le dossier percutant le sol. La table se renversa et la nourriture tomba. Une tasse de café tomba sur mes pieds, mais entre la brûlure et ma fuite trop tardive, la main de Niko s’empare de ma nuque. Venant me faire percuter le mur. Les larmes apparurent de nouveau. Il serre si fort que respirer devient difficile. Je tente de le faire lâcher. Le grafignant du bout de mes ongles. Le lassèrent afin qu’il souffre et me laisse. Mais rien ! Sa colère se dessine sur son visage. Ses traits se crispent et la lueur dans ses iris m’effraie. Il fait glisser mon dos contre le mur. Mes pieds touchent à peine le sol. J’essaie de me soutenir du bout de ceux-ci. J’essaie de répondre, mais les mots ne sortent pas. Ma vue devient floue. L’air ne passe plus. Sa main me guide à le suivre, je m’assoie au sol et il lousse sa prise légèrement. Sous son dernier avertissement, je chute du côté. Tenant ma gorge entre ma main et toussant. Tentant de respirer avec difficulté. Je ne veux rien savoir de sa queue ! Je ne veux rien savoir de lui ! Je tousse, la bave s’écoule sur mon menton pour rejoindre le bois du plancher. Créant une faible marre. « Désolée. » Dis-je avec une des plus grandes difficultés. Les mots s’étaient échappés. Pourquoi avait-il besoin d’être aussi violent ? Je ne le regarde pas. Je n’ai pas envie de voir sa personne ni même t’entendre cette voix de merde. Je l’entends ramasser les choses et je l’ignore. La porte se referme derrière lui. Je me lève avec difficulté pour me diriger vers le canapé. Je m’assis dos à la porte et observe la fenêtre. Je reste assise dans la noirceur et laisse les lueurs du matin éclairer la pièce. Je reste assise. Je bougeais seulement pour aller à la toilette et revenir m’assois. L’idée de rentrer dans la douche et qu’il m’observe par l’intermédiaire des caméras me dégoute. Je plaçais une serviette sur moi lorsque je m’assoyais à la toilette tentant de me cacher le mieux possible. Mais, je ne perdis pas ce drôle de feeling. Celui d’être observé par un groupe de pervers. M'assoyant, ici sur ce canapé en ne regardant pas la porte, fut la meilleure idée. Je méditais et plus d’une fois je saisissais ma gorge. Laissant mon corps devenir une épave sans sentiment. Rester dans cette pièce silencieuse n’est rien de réconfortant. En fait, je pensais. Je me parlais intérieurement en me confirmant que je n’étais plus rien. Un simple jouet et une poupée. Je venais de perdre mon humanité au profit d’un être machiavélique. Et, l’idée qu’il soit dans la mafia m’effleure l’esprit. Qu’il soit un criminel rechercher aussi. Les heures passèrent et l’ambiance du salon changea pour redevenir noirceur. Les néons de la ville éclairant à peine ma personne. La porte s’ouvrit et sa voix me parvient aux oreilles. Je ne répondis pas. Je me mordille la lèvre. Je tourne la tête pour l’observer par-dessus mon épaule et revenir à la fenêtre. Je fis qu’un oui de la tête, mais rien de plus. Sa présence ne passa pas inaperçue. Mon corps en entier était en alerte. Le poil de mes bras se leva et je reniflais l’air pour retenir encore une crise de larmes. N’avait-il pas dit que je dois être tranquille sinon il va me détruire. Alors, je fais vœu de silence et refuse de lui adresser la parole plus que le nécessaire. Un jour, je vais tout révéler à la police et le voir monter sur la chaise électrique.
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Dim 2 Juil - 4:12
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J'ai 55 ans ans et je vis à ville, Pays. Dans la vie, je suis ancien parain de la mafia , proprio d'un bar de danseuse et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis Célibataire et je le vis plutôt bien. Informations supplémentaires ici.
Ses paroles me glissent sur le dos, je décide d’arrêter de répondre à ses questions elle n’est pas calme et elle ne mérite plus mes paroles. Elle s’excuse doucement avant que je ne quitte mais je la laisse dans son moment à elle. Je n’ai plus la patience ni le désir de garder mon regard sur sa personne. Je quitte et vague à mes occupations en dehors de la maison. Je m’occuper de mes employer pour qu’il ne fasse pas de connerie encore, ou bien des crétins qui ne sont pas capable de gérer leurs addictions ou encore leurs dettes. Bref la journée fut longue et j’avais hâte d’arriver chez moi , il manque d’action quand je dois simplement gérer des papiers et des crétins. Présentement le plaisir est beaucoup plus à ma maison, enfermer dans une pièce. Dès que je rentre à la maison, je vais dans la pièce voir de quoi elle a l’air. Elle ne me parle pas, elle reste silencieuse mais hoche la tête quand je lui demande si elle est plus calme. Je recule donc, ouvre la porte et prend le sac que j’ai laissé devant la porte puis je verrouille de nouveau la porte derrière moi et je m’approche de la table, déposant les choses sur la table.
Viens t’assoir à table.
J’attendais qu’elle se lève et vienne à la table. Je savais qu’elle n’allait pas recommencer sa connerie de ce matin, elle n’avait pas intérêt du moins! J’ouvrais la boite d’une pizza typiquement italienne, j’étais aller chercher chez le meilleur resto italien que je connais. Il était né là-bas et avais toujours continuer à cuisiner comme dans son pays et comme la jeune femme est italienne, j’avais prévu le coup. J’avais aussi apporté un dessert italien qu’on m’avait rapporté qu’elle aimait beaucoup.
Tu es calme, donc tu as le droit de manger. Si je serais revenu et que tu serais toujours en crise, tu aurais passé les prochains jours sur une diète d’eau.
J’avais prévu la narguer avec la nourriture et lui manger en plein visage si elle était encore en mode enragée , mais heureusement pour elle , elle était calme. Je la regardais qui ne bougeais pas et ne mangeais pas. Mon but est de la détruire psychologiquement mais pas complètement morte parce qu’elle ne mange pas.
J’ai une offre. Si tu manges, une bouché égal une réponse à tes questions, sauf si je juge que tu n’es pas en droit de l’obtenir la réponse. Si tu ne manges pas, je repars et on se revois dans quelques jours , sans rien entre temps.
Je voulais qu’elle mange et essayer de montrer un faux bon côté de moi, la gagner tranquillement. Je la regardais sans bouger , lui donnant quelques minutes pour réfléchir à mon offre.
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Dim 2 Juil - 4:30
Megara Lombardi
J'ai 27 ans ans et je vis à New York, États-Unis. Dans la vie, je suis à la recherche de mon avenir et je m'en sors pas bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis devenue sous contrainte et d'un contrat la chose du chef de la mafia. et je le vis plutôt pas bien. Avant sa rencontre, j'étais une personne à part entière. J'étudiais à l'université, j'avais des petits boulots et surtout... je soutenais économiquement mon père dans sa dépravation. À mes vingt-sept ans, je perds tout. Mon père s'envole et me laisse gérer notre expulsion de l'appartement, je me retrouve avec ses créanciers sur le dos et pour couronner le tout. Je me vends pour prendre la charge sa dette. Mais, j'étais loin de douter que la personne avec lequel que j'argumentais était le criminel le plus surveiller pour sa puissance dans la ville. Aujourd'hui, je suis le jouet de l'homme me tenant contre mon gré. Est-ce que je vais m'en sortir. Un jour à la fois.
On m’a posé la question sur mon futur au lycée. Comment je me voyais dans quinze ans. À seize ans, il était impossible pour moi de prévoir l’avenir. Je me souviens d’avoir cherché longtemps la réponse pour écrire à la fin : être simplement heureuse. Aujourd’hui, je marquerais : ne jamais connaitre Nikolai. Depuis le début de notre rencontre la veille, ce drôle de personnage laissait apercevoir quelques soucis mentaux, dont la bipolarité et le trouble du contrôle des impulsions. J’ai beau chercher son statut et sa position dans une organisation existante, je me connais que peu et rien ne me viens en tête. Pourtant d’après sa carrure et son désir de pouvoir tout mener d’une main de fer. Il pourrait être un dirigeant. Qu’il s’agisse de la mafia ou encore d’un simple trouble de déséquilibre mental, je ne suis pas sortie de ce mauvais dé lancé. L’ignorant. Je ne réponds pas. Je ne le regarde pas, mais son regard sur lui, je le ressens. Derrière moi, la porte se referme et un long frisson d’horreur s’empare de moi. Nous sommes seuls. Il verrouille encore la porte à mon plus grand regret. Je ne pouvais pas m’éloigner de la réalité que je suis sa captive. Sa prisonnière et je ne changerais pas de rang. Une piètre position en bas de l’échelle, celle d’un objet. Je ne veux pas. Seigneur que je ne veux pas me lever, mais mon majeur et mon index viennent avec délicatesse glisser sur ma nuque. La marque était bien apparente. Elle m’avait causé une perturbation lorsque je l’avais aperçu dans la salle de bain. Mon reflet dans mon miroir m’avait répugné. La serviette le recouvrant n’était pas là pour rien. Je refusais de me voir à nouveau. Dans un mouvement lent, je me lève avec difficulté. Trainant des pieds honteux de lui obéir. Je ne regarde pas la table. Je n’ose pas lui parler. Je serre le bas de mon chandail. Mes jointures pincent la peau de mes cuisses. Le pantalon recouvert de café et nourriture était dans la poubelle de la salle de bain. Il puait. La fraicheur du siège me surprend. Je tente bien que mal de me cacher, mais je ne pouvais pas. Il arrivait juste à la hauteur du gras de mes fesses. Il s’exprimait, mais je ne fis aucune geste pour le satisfaire. L’eau n’aurait pas été si mal. J’aurais pu ne pas le voir revenir à ma plus grande joie. Mes iris sans vie glissent vers lui s’arrêta vers la pizza. Mes mains sont secouées par le manque de nourriture. L’énergie me manque. Une de mes mains monte vers la table. Glissant vers la pizza. Je l’observe avec dégout. L’inquiétude et la peur me serrent l’estomac. Je gonfle mes joues alors que l’envie de vomir me revient. J’avale ce mucus qui se glisse à l’intérieur de ma bouche. J’approche la pizza de ma bouche et l’observe. Je déteste ce regard ! Je déteste son parfum ! Je déteste sa voix et sa présence. Je glisse la pointe entre mes dents et croque dedans. Rumine comme une vache. La nourriture me roule en bouche. J’ai envie de tout recracher. Je dépose la pointe rapidement sur la table et couvre ma bouche. M’efforçant de tout garder. Ma main contre ma cuisse fit rentrer la pointe de mes ongles sans ma peau. Je prends une grande bouffer d’air et le regarda. « Qui êtes-vous ? » est la première question qui me vient en tête.
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