J'ai 26 ans et je vis à New York, mais en vrai je papillonne partout. Dans la vie, je suis détective privée pour les cas oublié par les loup garou. Sinon, grâce à ma chance, je suis un groupie de Gretel et je compte bien le rester. → Attaqué à 8 ans par un loup errant, et à perdu ses cordes vocales → Parle le langage des signes, peut lire sur les lèvres → A vue seulement trois fois Gretel en live, à 11 ans, à 13 ans et à 14 ans.
J'ai 26 ans et je vis à New York, mais en vrai je papillonne partout. Dans la vie, je suis détective privée pour les cas oublié par les loup garou. Sinon, grâce à ma chance, je suis un groupie de Gretel et je compte bien le rester. → Attaqué à 8 ans par un loup errant, et à perdu ses cordes vocales → Parle le langage des signes, peut lire sur les lèvres → A vue seulement trois fois Gretel en live, à 11 ans, à 13 ans et à 14 ans.
Si certains vieux loups voyaient les femmes vierges comme un trésor inégalé, Gretel était loin de partager ce mode de pensée sexiste au possible qui lui donnait l'impression d'être et de considérer ses amantes comme un objet plutôt qu'une personne. La maladresse et la nervosité de Prue avaient quelque chose de touchant, mais rien dont elle puisse se rengorger. Elle rêvait déjà de la voir plus assurée, voire même entreprenante. Un sourire étira ses lèvres à cette pensée. La louve posa de délicats baisers sur sa joue et le long de cou, venant chatouiller sa peau avec le bout de son nez.
"Mienne. Pour toujours."
Elle grognait presque en prononçant ces mots, manquant de mordre la peau tendre pour y laisser l'empreinte de ses dents afin de la marquer davantage. Néanmoins, elle n'était pas assez sauvage pour la blesser de cette façon, même si son geste n'avait rien de méchant bien au contraire. Cela dit elle ne pouvait pas affirmer qu'elle ne lui laisserait pas un suçon ou deux ci et là. Bien qu'elle dominait la jeune femme en s'étant installée sur elle de cette façon, Gretel ne lui empêchait aucun mouvement. Elle soulevait instinctivement son bassin en la sentant remuer pour lui permettre de se déplacer comme elle l'entendait, frémit lorsqu'elle l'embrassa en douceur avant de se permettre de la caresser. Qu'elle la touche ainsi lui plaisait énormément. Lentement, la louve se mit à onduler ses hanches, frottant son intimité contre celle de sa partenaire. Elle se redressa en l'entraînant avec elle pour qu'elles soit assises l'une contre l'autre, la tête de Prue posée contre sa poitrine avide de caresse. Elle glissa une main dans ses cheveux, l'autre venant se promener le long de son épaule, dans son dos, sur sa hanche... Elle se dégagea juste assez pour passer l'une de ses jambes sous celle de son humaine afin qu'elles se retrouvent en ciseaux l'une contre l'autre et puissent continuer de se frotter encore et encore. À nouveau Gretel vint mêler leurs lèvres, mordillant l'inférieure pour quémander l'accès à sa langue. Elle lui donnait un total accès à son corps, l'ayant invitée à la caresser, la goûter, faire tout ce qui lui passait par la tête tant qu'elle en avait envie. Lorsqu'elles cessèrent de s'embrasser pour reprendre leur souffle, Gretel glissa immanquable jusqu'aux cicatrices sur la gorge de son humaine. D'abord elle les caressa du bout de pouce tout en les observant, puis elle se pencha pour les embrasser tout en douceur, et même glisser sa langue le long de certaines marques. Elle haïssait ces cicatrices qui avait blessé sa compagne, mais elle aimait les toucher, se les approprier d'une manière ou d'une autre. Prudence n'oublierait pas et ne devait pas le faire, mais Gretel voulait qu'elle pense d'abord à elle, ses caresses et sa langue joueuse avant de repenser à sa tragédie quand elle se croisait dans un miroir. Elle recula légèrement la tête, tenant celle de sa partenaire en coupe entre ses mains pour la contempler avec un léger sourire.
"Tu es magnifique, Prue."
Messages : 3791
Date d'inscription : 29/12/2020
Crédits : La grinch de mon coeur !
Univers fétiche : Fantastique
Préférence de jeu : Les deux
Clionestra
Lun 15 Avr - 21:41
Prudence O'Donnell
J'ai 26 ans et je vis à New York, mais en vrai je papillonne partout. Dans la vie, je suis détective privée pour les cas oublié par les loup garou. Sinon, grâce à ma chance, je suis un groupie de Gretel et je compte bien le rester. → Attaqué à 8 ans par un loup errant, et à perdu ses cordes vocales → Parle le langage des signes, peut lire sur les lèvres → A vue seulement trois fois Gretel en live, à 11 ans, à 13 ans et à 14 ans.
Tout ce que Gretel espérait finit par se produire. Elle vit, dans le regard de sa compagne, quelque chose changer. Sa timide petite humaine prenait doucement conscience qu'elle ne devait pas être spectatrice de leur relation, elle pouvait agir. Un large sourire étira ses lèvres, elle frémit sous ses caresses, ne put retenir un gémissement quand sa langue vint chatouiller sa poitrine sensible. Elle pourrait jouir rien qu'à la laisser caresser ses seins tant elle aimait ça. Ses hanches ondulèrent plus rapidement, son souffle se fit plus court.
"Je t'aime aussi."
Je t'aime, je te veux, je t'ai. Un mélange d'émotions passait dans le regard de la louve alors qu'elle embrassait Prue une nouvelle fois, puis encore une autre. À défaut de lui communiquer ses émotions par un lien mental, elle tentait de le faire par son regard, ses baisers et ses contacts. Elle les multiplia jusqu'à ce que la jeune femme n'en puisse plus et cède au désir entre ses bras. Son propre plaisir suivi juste après dans un grognement sauvage, ses yeux scintillants signe que la louve était dans son regard. Elle se retint de justesse de céder à la fatigue en tombant sur la demoiselle et roula plutôt sur le côté, l'attirant contre en passant sa jambe par dessus sa hanche pour la maintenir près d'elle.
"Je pourrais faire ça pendant des heures..."
Un petit rire lui échappa. Elle déposa quelques baisers sur sa tempe en attrapant la couverture pour la remonter sur elle, fredonnant une mélodie douce pour bercer la demoiselle. La prochaine journée serait chargée mais, pour le moment, il était l'heure de dormir.
Gretel sombra dans les bras de Morphée au bout de quelques minutes, dès qu'elle sentit Prudence s'abandonner au sommeil en réalité. Le lendemain matin elle s'éveilla la première, son humaine toujours coincée dans ses bras. Elle sourit devant ce spectacle adorable, faisant moults efforts pour ne pas la réveiller tandis qu'elle s'extirpait hors du lit pour se servir un verre d'eau. Le désavantage du camping-car, c'était qu'il était difficile de faire quoi que ce soit qui ne réveillerait pas l'autre... À choisir la louve opta donc pour la préparation du petit-déjeuner. Elle composa une salade de fruits fraîches, des gaufres, des oeufs au plat avec des tomates à la provençal sur des tartines de fromages frais et, évidemment, du café. Quand sa demoiselle ouvrit les yeux, toujours nue comme un ver -à l'instar de la louve qui se baladait en tenue d'Ève tant que les rideaux étaient tirés-, elle avança vers elle un plateau débordant de nourriture qu'elle posa entre elle, s'installant évidemment à ses côtés pour petit-déjeuner avec elle.
"Salut, chérie. On va faire du repérage aujourd'hui. Si tu n'es pas à l'aise avec Ange, tu pourras toujours rester ici avec les filles."
Ils allaient se transformer, et elle savait que Prue paniquerait probablement en voyant Angel à quatre pattes. D'ailleurs elle n'était pas bien sûre de sa réaction face à elle transformée non plus...
Messages : 3791
Date d'inscription : 29/12/2020
Crédits : La grinch de mon coeur !
Univers fétiche : Fantastique
Préférence de jeu : Les deux
Clionestra
Mar 30 Avr - 22:18
Prudence O'Donnell
J'ai 26 ans et je vis à New York, mais en vrai je papillonne partout. Dans la vie, je suis détective privée pour les cas oublié par les loup garou. Sinon, grâce à ma chance, je suis un groupie de Gretel et je compte bien le rester. → Attaqué à 8 ans par un loup errant, et à perdu ses cordes vocales → Parle le langage des signes, peut lire sur les lèvres → A vue seulement trois fois Gretel en live, à 11 ans, à 13 ans et à 14 ans.
Si sa compagne –et ce mot lui plu bien, pour une raison qui lui échappe- pouvait faire ça pendant des heures… Pru ignore si cela aurait été son cas. Elle n’avait jamais été super athlétique… et bien qu’elle avait un cardio plutôt sympathique, son cœur avait été mis dans un tel état qu’elle n’était même pas sûre de survivre. Elle se laissait se calmer, mais même si son souffle se calma doucement, son cœur était en train de battre en elle. Elle avait l’impression de le sentir partout sur son corps, comme s’il avait pulsé son sang de manière trop intense pendant leurs ébats et qu’il n’arrivait pas à se mettre au diapason. Alors, quand son sang se calma, elle ne ressentit qu’un puissant sentiment de bienêtre, de paix, de… C’était comme si quelque chose déverrouilla quelque chose dans sa tête, ou dans son corps, ou qu’importe ça pouvait aller jusqu’à son âme, et elle tomba dans les bras de Morphée. Et elle savait que c’était la première fois de sa vie que le sommeil l’appela avec une telle douceur vers elle. Si Gretel n’était pas en train de la tenir, elle aurait pu penser à un repos éternel et en avoir peur. Mais elle savait qu’elle se réveillerait demain, et que cet instant n’était pas un rêve.
Quand elle papillonna des yeux, le lendemain matin, elle ressentait toujours cette paix intérieure toute nouvelle, rapidement balayé par une information qui remonta le long de son esprit. Elle était nue. Elle. Prudence. Celle qui ne supportait pas son corps la plupart du temps, elle avait dormi nue… et une autre femme nue était en train de lui faire un petit déjeûner. Malgré elle, elle remonta le drap sur sa poitrine et se demanda si elle devait s’emmitoufler dedans en rougissant comme la plus innocente des innocentes (ce qu’elle était), ou s’emmitoufler dans le drap pour sautiller et trouver n’importe quoi à se mettre sur le dos. Et elle se demandait aussi si une telle réaction ne blesserait pas Gretel qui semblait, elle, tout à fait à l’aise avec sa nudité… Et elle se demandait, encore, si tout ça ne se lisait pas dans ses yeux (si), alors qu’elle réfléchit à ce qu’elle était en train de lui raconter. Elle essaya de bouger sa main… Elle voulait montrer la toute confiance qu’elle avait en Gretel, mais elle n’était pas le genre impudique… et malgré elle, elle n’arrivait pas à détacher son regard du corps de Gretel… Qui était parfait, comme toujours et lui faisait monter le rouge aux joues. Ce corps avait été très très proche du sien cette nuit. Devait-elle affirmer à nouveau à Gretel qu’elle n’était pas venu avec elle dans l’espoir d’avoir des faveurs sexuelles ? Elle voulait être avec elle, mais elle ne voulait rien de plus que ce que Gretel voulait bien lui donner. Et si elle lui précise, est-ce qu’elle sera blessé encore ? Elle émit un grognement parce qu’elle savait qu’une personne aussi intelligente que sa compagne –ça, ça ne change pas, ça faisait toujours naître un bonheur possessif en elle- devinerait ses penser. Elle finit par faire une mini roulade dans le lit pour rester dans les draps et choisi la troisième solution.
Elle cacha sa nudité dans son drap qui laissait tout de même voir une épaule dénudée et elle se rapprocha de ses bras. Elle se détestait de se poser autant de question… mais aussi, elle n’avait jamais été le genre à se réveiller avec une femme nue en face d’elle, pendant qu’elle l’était aussi. Il y avait très peu de personnes qui l’avait vue nue. Ses parents, quand il lui donnait le bain petite. Et des médecins peu scrupuleux de la pudeur d’une enfant que l’on disait folle. Elle coinça sa tête dans le cou de la jeune femme et finit par s’assoir. Elle n’avait aucune envie que quiconque, autre que Gretel, la voit nue jusqu’à la fin de sa vie. Elle l’écoute et sent son cœur battre. Elle ne sait pas ce qu’elle préfère, pour tout dire. Être seule, sans Gretel, ou risquer d’être au milieu des loups. Elle sentait une frisson d’effroi. Des loups… Si on lui avait dit qu’elle serait au milieu d’une meute un jour, elle aurait rigolé ou secoué la tête devant une pareille absurdité… mais elle était devenu la compagne –et elle continue à aimer ce mot et à sentir son cœur battre de bonheur quand elle y pense- et elle ne pouvait plus avoir peur. Elle réfléchit.
- Tu as dit, commença-t-elle à signer doucement, que je ne risquais rien avec Angel ? Je te fais confiance alors. Si…
Elle laissa tomber ses mains et essaya de trouver une façon simple de le dire… Elle attrapa un fruit qu’elle porte à sa bouche doucement. Elle mâcha doucement pour essayer de mettre en place tout ce qu’il se passe dans sa tête.
- Je n’ai pas envie de te quitter, fit-elle savoir en continuant de signer, mais j’ai peur que ma peur ne se ressente et vous blesse. Tu penses qu’il est mieux que je reste sans toi ?
Elle se place un peu plus dans ses bras, dérangeant certainement pour que Gretel mange à l’aise, mais elle s’en fiche un peu. Elle pose sa tête sur son épaule et elle attrapa un autre fruit entre ses doigts fins pour la porter à ses lèvres. Elle réfléchit. Puis elle rougit. Elle se tourne vers Gretel. Elle porte le fruit à ses lèvres simplement pour lui mettre un peu de jus sur les lèvres. Et puis elle l’embrasse. Comme elle n’osait pas l’embrasser sans raison, sa petite tête de mignonette à juste penser qu’elle nettoierait ses lèvres comme ça…. Et qu’elle sera moins blesser de tout ce qu’il se passe dans son esprit.