J'ai 230 ans sous apparence de 50 ans ans et je vis à Seattle, USA. Dans la vie, je suis Propriétaire d'une compagnie de sécurité et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt très mal. Samaël est un démon qui est venu sur Terre pour trouver sa promise. Cependant au fil des ans et des siècles, il fut à la fois rejeté, expulsé et incompris. Maintenant reclu et amer, il a bâti une compagnie de sécurité qu'il gère mais se mêle très peu aux humains. Il laisse le travail de terrain à ses employés se montrant qu'une fois par an si c'est pour obligation de s'assurer que le matériel fonctionne. Sinon il vit loin des humains dans une grande maison silencieuse. Aujourd'hui, il c'est juré de trouver sa promise coûte que coûte.
C’était intéressant de suivre ses pensées et ses réflexions. Tous les démons aiment les âmes pures et la plupart d’entre eux s’empressaient de les posséder. Pas moi, enfin pas avec elle. Elle était pure oui mais pas que ça. Elle avait une candeur charmante et un tel besoin d’amour que je voulais prendre un peu plus de temps avant de la posséder totalement. Elle avait autant besoin d’amour que moi j’avais envie de trouver ma promise. C’était clair qu’elle m’aimait sinon pourquoi serait-elle aussi gentille? Donc quand je l’arrêtai, je lui dit que le café était parfait, comme je l’aime. Sa surprise mélangée à son soulagement ne la rendait que plus adorable à mes yeux. Pour toute réponse, je hochai lentement la tête et quand elle dit mon nom je sentis une douce chaleur m’envahir. Mon nom glissait entre ses lèvres rose d’une manière presque érotique qui me fit flamber le coeur. Un jour tu le crieras ma jolie… et ce sera le plus beau des moments pour nous. Je la sentais troublée mais aussi le coeur plus léger et ne pas me retenir et avoir un boulot à la con à faire, elle serait déjà dans mon château à hurler mon nom. Je restai un moment en contact avec son esprit et l’entendre murmurer mon nom me fit stopper quelques minutes. Refais-le je t’en prie… c’est tellement beau, doux… sensuel même.
Cependant aussi attirante qu’elle soit j’avais un boulot à faire et je voulais le faire vite pour ainsi retourner dans mon château avec la jolie blonde. mais rien ne fonctionnait. J’avais beau redémarrer le système, revoir le filage je ne comprenais pas ce qui se passait et c’est en rage que je sortis dehors pour m’assurer qu’il n’y avait pas un fil de rongé mais non rien. Retournant dans le bureau, où j’allais finir par devenir fou, je sommai mes deux débiles d’humains d’aller chercher le nouveau cablâge que nous avions reçu alors que je balançait un fil sur le mur en grognant. Les coups à la porte me firent encore plus grogner d’impatience si c’était ce débile de Spears. Cependant en tournant la tête je vis là mon petit ange, toujours aussi belle et douce. Quand je lui demande ce que je peux faire pour l’aider, la pensée fugace de son esprit me fit légèrement hausser un sourcil. Bientôt mon petit ange…. bientôt. Je la vois donc avec une tasse dans ses mains délicates et comprend que… ben que dalle en fait. C’est quand elle la posa devant moi que je compris que le fait que je ne lui accorde pas d'attention dû à ma colère l’avait fait douter de mon intérêt pour elle. Ooooh… ma petite. Tu as toujours mon attention. C’est juste ce fichu problème qui retarde mon invitation.
- C’est très gentil Mollie. Vous êtes un vrai petit ange. Je pris la tasse et pris une gorgée que je laissai rouler dans ma bouche relevant mon regard vers elle et poser ma tasse sur le bureau. Oui cette panne est incompréhensible et j’espère trouver le problème rapidement car j’ai une chose que je dois faire mais je dois attendre que ça ici soit terminé.
Je garde mon regard sur elle, fouille son regard, le scrute. Je fouille son âme et j’adore la lire, elle est si transparente. Si pure, si… parfaite. Je me lève lentement et va me placer devant elle et je sais que j’entends les bruits de son cœur, le sang qui pulse dans ses veines, et… ok elle a encore ce désir foudroyant qui brûle en elle.
- J’aimerais, après que j’ai terminé ici, vous inviter à dîner.
Je laisse l’effet de surprise faire son effet pour décoder ses émotions allant de la surprise à la joie, la stupeur et… oui je sais l’envie que je satisfasse nos désirs.
- Est-ce que je pourrais compter sur votre délicieuse présence lorsque mes obligations ici seront terminées?
Je pris une de ses mains entre les miennes et la porter à ma bouche. Je devais, au moins une fois, une petite fois, toucher à sa peau. J’embrassai ses doigts fins, et me redressai gardant sa main dans la mienne. Je savais que je n’avais pas besoin de lui mettre une suggestion d’accepter, elle le ferait. À peine si elle ne venait pas d’inonder le plancher là maintenant.
- J’ai vraiment envie de vous connaître Mollie.
* Plus de t’avoir comme promise en fait. Tu es parfaite* pensais-je
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Winnie
Dim 17 Sep - 18:26
Mollie Lowe
J'ai 24 ans et je vis à Seattle, Amérique du Nord. Dans la vie, je suis caissière dans un hypermarché et je m'en sors bien, ni trop riche ni trop pauvre. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt neutralement puisque je me dis toujours que l'amour viendra lorsque je m'y attendrai le moins. Mollie est une fille banale, dans une ville banale et à la vie banale. Elle a arrêté très jeune ces études parce qu'elle n'aimait pas étudier et s'est trouver le premier petit boulot qui passe pour devenir indépendante. Elle n'est pas stupide mais juste un petit peu naïve. Elle pense que tout le monde est beau et gentil. Mais bientôt, sa vie va prendre une tournure inattendue, qui pourrait bien lui faire changer d'opinion.
Samaël... Samaël... Samaël... C'est tellement addictif, tellement envoûtant, que je ne me rappelle pas avoir connu une telle chose par le passé. Un homme a-t-il seulement eu un tel effet sur ma personne auparavant? Je ne crois pas, non. Mon attirance est telle que j'ai même le sentiment de l'entendre parler jusque dans ma tête. Je deviens dingue, assurément. Et je devrai trouver une solution de toute urgence. Mais je n'arrive pas à me défaire de cette... "emprise"? J'ai besoin plus que je n'ai envie de cet homme et c'est la tête ailleurs que je prends -enfin!- mon service. Je vous désire tant Samaël, si vous saviez...
******
Je suis un petit ange, moi? Mon cœur bondit de joie à cette appellation. J'espérais que mon attention lui ferait plaisir -certes- mais pas au point d'oser imaginer qu'il puisse me surnommer ainsi! Mes joues rosissent de retrouver cette attention toute spéciale à ses yeux, lorsqu'il me parle très succinctement de la panne qui l'amène en ces lieux. Il a d'autres projets d'ailleurs, précise-t-il. Bien plus important à son esprit que la résolution du bug qui contrarie mon patron. Je peux savoir lesquels? J'ai la vilaine curiosité de connaître l'intitulé de ces fameux projets, quand il se dirige vers moi, ne manquant pas de faire battre davantage mon cœur, particulièrement lorsqu'il ancre ces prunelles dans les miennes. Non! Ne me faites pas ça! Je veux encore pouvoir réfléchir au contenu de vos paroles, assouvir cette curiosité déplacé quant à vos projets! Une possibilité qui m'est ôté, dès lors qu'il évoque un dîner en ma compagnie. Quoi?! J'écarquille les yeux, interdite. Ai-je bien entendu? N'est-ce pas le fruit de mon imagination? Il veut que nous dînions ensemble dès que le problème sera résolu? Mais quand?! Cela peut prendre encore des jours à ce que je comprends!
"_ Oui! Je souffle trop passionnément à l'invitation qu'il formule, avant de tempérer mon engouement à son égard. Vous pouvez compter sur moi, Samaël."
J'imagine déjà tout un tas de choses concernant ce dîner : la tenue que je vais porter -trop sexy pour qu'il ne comprenne pas que j'ai envie de plus qu'un dîner-, le lieu où nous irions nous retrouver -un petit restaurant tranquille où nous pourrions flirter sans trop de témoins- et une nuit entière dans le creux de ses bras -aussi ardente que le contenu de mes fantasmes inavoués-. J'ai tant envie d'être déjà au dessert d'ailleurs... Je me ressaisi toutefois, les joues brûlantes de timidité, lorsque sa main s'empare de la mienne, afin de mener mes doigts jusqu'à ses lèvres brûlantes. L'effet est immédiat. Il m'électrise tout entière. Tellement qu'un soupir d'aise s'échappe de mes lèvres entrouvertes. Zut. comment justifier ça à présent?! Je me racle la gorge de honte, quand il m'informe qu'il aimerait vraiment me connaître. C'est un souhait partagé, Samaël. Sauf que je n'ai pas le temps de lui dire à haute voix, puisque deux hommes entrent dans le bureau, sans prendre la peine de toquer à la porte. Je regarde les individus, mortifié d'être surprise en plein... flirt(?), lorsque l'un d'eux se confond en excuse.
"_ Ce n'est rien. Je souffle doucement à son encontre, afin qu'ils cessent tout deux de s'en vouloir pour leur geste. Ma pause est terminée de toute façon. J'informe leur PDG, un sourire tendre en guise de ponctuation. Nous reprendrons cette discussion plus tard? Je délaisse sa main -à mon grand regret- puis prend la direction de la sortie. Ce n'est que lorsque je suis sur le point de sortir que cette suggestion me traverse l'esprit. Avez-vous essayer de vérifier le programme de sécurité? Peut-être a-t-il été pirater?"
Mais peut-être est-ce plus compliqué que je ne l'imagine? Je souris donc en guise de salutation, avant de retrouver mon poste à la caisse, le cœur vrombissant de bonheur. Je n'ai pas encore toutes les précisions nécessaires à ce futur dîner mais je suis déjà tellement contente qu'il existe! Je le suis tant que je reprends mon travail, la tête pleine de rêveries. J'imagine des combinaisons de soirées toutes plus érotiques les unes que les autres. Je me laisse même tenter par l'éventualité que je puisse faire preuve davantage d'audace que lui amener une simple tasse de café dans son bureau d'emprunt. Je m'imagine le charmer dans ma petite robe sexy, afin que toute son attention soit porté sur mes courbes. Je l'imagine être affamé de moi comme je le suis de lui, au point de me l'ôter pour me posséder avec passion. Et je mouille, indécemment. Je mouille à me sentir gêné de le faire sur mon lieu de travail. Mais c'est si bon de nous entrevoir si intimes tous les deux, que je n'arrive plus à chasser ses images tenaces de mon esprit. Il faut impérativement que je me soulage dans les plus brefs délais, sous peine de perdre totalement le contrôle de mon appétit sexuel (plus que démesuré).
J'ai 230 ans sous apparence de 50 ans ans et je vis à Seattle, USA. Dans la vie, je suis Propriétaire d'une compagnie de sécurité et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt très mal. Samaël est un démon qui est venu sur Terre pour trouver sa promise. Cependant au fil des ans et des siècles, il fut à la fois rejeté, expulsé et incompris. Maintenant reclu et amer, il a bâti une compagnie de sécurité qu'il gère mais se mêle très peu aux humains. Il laisse le travail de terrain à ses employés se montrant qu'une fois par an si c'est pour obligation de s'assurer que le matériel fonctionne. Sinon il vit loin des humains dans une grande maison silencieuse. Aujourd'hui, il c'est juré de trouver sa promise coûte que coûte.
Cette femme serait bien plus facile à avoir que je le croyais. Elle était d’une beauté magnifique, d’une pureté que je rendrais jaloux les démons que je connaissais. Je sais que plusieurs me dirait de me dépêcher de la posséder mais je voulais prendre mon temps, j’avais attendu longtemps et je ne voulais surtout pas gâcher ce moment, le jour où enfin elle serait mienne totalement. Sa dernière pensée me parvint comme si elle me l’avait dit tout haut. Si tu savais comment j’ai envie de toi mon petit ange… mais la patience doit être de mise pour que notre union ne soit que meilleure.
À bout de nerf, et encore c’était de la patience dans le monde des démons, je n’attendais pas la venue de ce petit ange qui venait me porter une tasse de café car elle avait la crainte que je ne lui porte plus d’attention. Je ne pensais pas non plus qu’un simple petit nom banal lui ferait autant plaisir. Je te le dirais tant que tu veux ma belle et superbe Mollie. Je lui fit part de l’état de la panne et je me retint de sourire à entendre sa question dans sa jolie petite tête. Jolie, superbe, pure et curieuse en prime? Que voilà un délicieux mélange! Je ne regrette plus soudainement d’être dans cette masse d’humains bête et imbécile parce qu’elle est là. rayonnante, sublime. Je fais donc mon invitation coupant ainsi toutes ses pensées et sa réaction est magnifique. J’aime voir chacun de ses mouvements de visage et sa réponse soufflé passionnément entre ses lèvres me firent sourire doucement. À la bonheur, je pourrais ainsi asseoir toute ma dominance démoniaque et ainsi en faire me promise. Cette femme qui aura la chance d’enfanter mon enfant.
- Je suis très heureux que vous acceptiez mon invitation Mollie. Votre présence sera, je le sens, très délicieuse et intéressante.
Voilà ses pensées reparties au galop alors qu’elle échafaude mille et un projets alors qu’elle n’en a pas besoin. Elle m’aime, elle sera mienne. Alors même si elle arborait un col roulé je sais que je n’aurais pas à faire grand chose pour la convaincre. Elle resterait avec moi et ainsi nous serions heureux. Le doux baiser sur ses doigts me prouve bien qu’elle n’attend que ça d’être à moi.De se donner à moi, d’être enfin Mme. Samaël Knight. C'est à ce moment que mes deux abrutis arrivèrent coupant le contact charnel avec mon petit ange. Je leur donnai un regard lourd et noir alors que la jolie blonde devant moi leur dis que c’était rien. J’oubliais parfois que les humains avaient des obligations comme en faisait foi mon interlocutrice. Je fis un hochement de tête poli quand elle me dit vouloir reprendre cette discussion plus tard. Quand tu veux mon petit agneau… quand tu veux. Je m’apprêtais à retourner à ma besogne quand elle me suggéra si j’avais vérifié le programme de sécurité et qu’il aurait peut-être été piraté. Bien sûr qu’on l’avait fait!
- Je vérifierais Mollie. Je vous remercie.
Je me tournai vers mes deux empotés en les regardant tour à tour alors qu’ils trituraient le nouveau câblage.
- Dites-moi que vous avez vérifié?! vociférais-je entre mes dents.
- Bien en fait… on… on pensait que c’était les fils…
Je grognai de rage et en sommait un de vérifier le tout. Pendant qu’il pianotait sur le clavier je m'empressais de tout rebrancher me contrôlant pour ne pas le faire flamber dans la seconde Ok… détends-toi Sam… et je trouvais un beau moment pour me détendre alors que j’étais en contact avec Mollie. Elle était tellement réceptive que ça me faisait sourire derrière les écrans et le bureau. Elle allait devoir se soulager? Mis fis mon petit ange, fais-le. La luxure est tellement un beau pêché.
- Patron? On a effectivement eu un piratage… le pare-feu était désuet…
Je me relevai coupant le contact avec l’érotique Mollie, ce qui me frustrait, je voulais savoir jusqu’où allait ses envies. Je fis le tour du bureau et regardait rapidement ce que mon petit connard avait trouvé. Mais pourquoi le pare-feu avait été désactivé? C’était un des plus sécuritaire en plus.
- Trouve la source de ce pirate et réactive le pare-feu et les barrières de sécurité. Toi, viens m’aider pour terminer le câblage pour s’assurer que les caméras fonctionnent.
C’était à peine croyable qu’ils n’aient pas pensé à ce truc maudit. Ça allait être long pour tout remettre en place mais au moins je ne me ferais plus chier, si ce n’est que je pourrais regard Mollie par les caméras du commerce. Malheureusement on resta plus longtemps que je ne l’aurais cru, les employés quittant un à un alors qu’on était encore à se démener pour remettre le programme en marche. Dommage… je ne pourrais pas aller espionner la jeune femme qui se soulagerait. Finissant par regagner ma demeure, je me pris un verre de scotch en le sirotant lentement. La nuit était tombée et… attends… est-ce que je sentais que mon patit ange s’adonnait enfin à ses bas instinct? M’envolant dans ma forme invisible, je trouvais rapidement le chemin jusqu’à sa chambre où le la vis. Belle, cambrée et nue. Une femme qui a du plaisir, on ne le dira jamais assez, mais c’est un spectacle magnifique. Elles sont gracieuse, libre, sans barrière. J’apparut même dans un coin de chambre, quelques secondes alors qu’elle ouvrait les yeux, et disparut la seconde suivante. Sagement j’attendis la fin de son soulagement, attendit en la voyant se détendre, enfin comblée… un peu du moins. Mon dieu qu'elle était magnifique! J’avais déjà hâte à ce dîner.
****************
Enfin après quelques jours on a remis le système en marche et fidèle à elle-même la jolie blonde venait me voir, me souriait ce qui faisait gonfler mon coeur un peu plus à chaque fois. Belle amour, bientôt nous serons unis. Tu me diras oui parce que tu m’aimes je le sais. Sinon pourquoi tu seris aussi gentille si tu ne m’aimais pas moi le paria de la ville. Celui qu’on craignait et qu’on osait pas approcher. Je ramassais tout notre foutoir, vérifiai une nouvelle fois que tout fonctionne bien, dernière vérification du système informatique et je quittai pour aller parler au directeur pour lui dire que le système était en marche. Un dernier aurevoir et je partis à la recherche de Mollie que je vis dans un rayon.
- Est-ce que vous acceptez toujours mon invitation délicieuse Mollie?
Mon regard resta dans le sien le fouillant, ainsi que toute son âme également, Elle était si facile à convaincre que je n’avais pas besoin de pouvoir de persuasion ou même implanter une suggestion. Elle était trop pure pour ce monde, beaucoup trop bien pour ce monde.
- Samedi soir, un chauffeur ira vous chercher chez-vous et vous conduira à ma demeure où nous aurons tout le loisir de nous connaître. Est-ce que ça vous va Mollie?
Tout les deux tout seuls. Ainsi on pour consumer nos plaisirs… si la situation si portait
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Jeu 28 Sep - 3:09
Mollie Lowe
J'ai 24 ans et je vis à Seattle, Amérique du Nord. Dans la vie, je suis caissière dans un hypermarché et je m'en sors bien, ni trop riche ni trop pauvre. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt neutralement puisque je me dis toujours que l'amour viendra lorsque je m'y attendrai le moins. Mollie est une fille banale, dans une ville banale et à la vie banale. Elle a arrêté très jeune ces études parce qu'elle n'aimait pas étudier et s'est trouver le premier petit boulot qui passe pour devenir indépendante. Elle n'est pas stupide mais juste un petit peu naïve. Elle pense que tout le monde est beau et gentil. Mais bientôt, sa vie va prendre une tournure inattendue, qui pourrait bien lui faire changer d'opinion.
Je suis heureuse moi aussi. Tant que cette émotion m'a portée dans toute ma longue et éprouvante journée de travail. Je n'ai pas revu Samaël depuis cette trop brève entrevue, mais je ne suis pas inquiète. Je sens -comme une intuition- qu'il reviendra à moi quand il sera prêt à me donner des indications quant à ce rendez-vous. Je me languis bien-sûr! J'ai hâte de mettre en pratique toutes ces idées, toutes ces pensées que j'ai eu depuis son invitation! Mais je me conforte également dans l'idée que l'attente ne rendra que meilleure ce moment. Et c'est rêveuse -pour ne pas changer- que je me fais aborder par Tania, ayant terminée sa journée.
"_ Toujours la tête dans les nuages à ce que je vois. Souffle-t-elle riante, sans toutefois me donner l'impression que ce soit sincère. Ton prince charmant t'aurait-il invité à finir la soirée en sa charmante compagnie?"
Non. Mais j'aurais aimé. Une réponse que je préfère taire, tant je crains d'être au cœur d'un interrogatoire désagréable. Je n'ai pas envie qu'on m'extirpe de mon petit nuage. Je veux pouvoir continuer à fantasmer le cœur léger, afin que mon plaisir n'en demeure que plus fort encore.
"_ Je n'ai pas de prince charmant. Je mens, pleine d'assurance. Et je n'ai pas non plus de projet pour la soirée, si c'était la question. _ Ça l'était, en effet. Réponds-t-elle, sans toutefois me laisser entendre qu'elle me croit. Ce serait même plutôt l'inverse. J'ai bien envie de me faire un KFC ce soir. Tu viens?"
C'est ennuyant. J'avais bien envie de me caler à la maison pour me soulager de toutes ses envies érotiques qui me secouent de part en part, moi. Je réfléchis un instant aux conséquences d'un refus, puis accepte son invitation d'un hochement de tête. C'est plus simple si je ne change pas mes habitudes, vu ses insinuations précédentes.
"_ Nickel. Je t'attends comme d'habitude sur le parking!"
J'acquiesce silencieusement, avant de la laisser partir. Elle promet d'être riche en rebondissement cette soirée improvisée.
(...)
C'est trop bon. J'ai beau savoir que c'est hyper dégueulasse pour la santé, je ne peux m'empêcher de savourer ce tendre morceau de poulet pané (désolé si je donne faim). Ce que fais Tania également, avant de prendre la parole.
"_ Alors? _ Alors quoi? _ Fais pas genre, Mollie. Je sais que tu es retourné apporter un café au PDG Knight, sans que Spears t'y ait invité. Et vu que cet homme ne te harcèle pas comme je l'ai cru, j'imagine qu'il se passe quelque chose entre vous? Depuis quand tu le connais? C'est sérieux? Ça te gêne pas l'idée de sortir avec un type qui pourrait être ton père? Tes parents ils en pensent quoi, d'ailleurs? Ils sont assez conservateurs de ce que tu m'as dit!"
Wow. Si je voulais éviter un interrogatoire déplaisant tout à l'heure, j'y suis totalement confronté dès à présent. D'où tient-elle cette information concernant ma visite au bureau d'ailleurs? M'a-t-elle surveillé? Et que puis-je dire? La vérité?! J'ai peur d'avoir encore plus de questions si je lui confie que ce type me plaît au point qu'il est prévu qu'on voit un de ces quatre.
"_ Je cherchais juste à lui être agréable. Je débute, piochant dans l'une de mes frites pleine de cheddar. Il passe des heures dans ce bureau à chercher d'où provient la panne. Je me suis dis qu'une petite pause café lui ferait plaisir. _ Et c'est tout? _ Bah oui! Qu'est-ce que tu vas t'imaginer? _ Bah vu tes fantasmes de la nuit passé, je me suis dis que peut-être vous auriez fais quelques petits trucs dans ce bureau? _ Comme quoi? Je peux aussi l'incommoder de questions, si elle y tient. _ Tu le sais bien! _ Non! Je joue tellement bien la naïve qu'elle tombe directement dans le panneau. Dis-moi! _ Une fellation ou un p'tit coup rapide sur le bureau?"
Ça aurait pu être ainsi, oui. Mais encore aurait-il fallu que j'ai le cran de partager avec cet homme tout le désir qu'il m'inspire.
"_ T'es folle? Je rie, gênée par l'idée que les autres tables puissent avoir entendu ces exemples. Je ne pourrai jamais faire ça avec un parfait inconnu! _ C'est vrai. J'oubliais que tu n'es pas comme moi."
En effet. Nous sommes diamétralement différentes, toutes les deux. Bien que ça tende à changer d'ici les prochains jours.
(...)
Enfin chez moi. J'ai bien cru que ce dîner n'en finirait jamais. Pas que la conversation avec Tania ait été tout le temps désagréable. Au contraire : on a bien rigolées toutes les deux. C'est plus la fatigue physique autant que moral qui est en est venu à me faire languir ce moment précis. Moment que je savoure davantage quand je me déshabille, de sorte de me mettre au lit. Et maintenant? J'hésite. Je sens que j'ai besoin de soulager toute cette pression sexuelle dans mon bas ventre, bien que je ne peux pas m'empêcher de ressentir une forme de honte à l'idée de m'adonner aux plaisirs solitaires. Je ne pourrai jamais faire ça avec un parfait inconnu! C'était encore si vrai hier encore. Pourquoi tout semble changer tout d'un coup? Quelle particularité fait de cet homme un être aussi... attirant? Je réfléchis à la question, au point d'analyser la moindre de ces caractéristiques physiques. De ses épaules larges et musclés à la dureté de ces traits fatigués par l'âge, je ne laisse aucun détail m'échapper. Et je trouve ma réponse : ses yeux. Son regard est si pénétrant que l'excitation me submerge comme les dernières fois. Je sens mon liquide se répandre entre mes cuisses entrouvertes, tandis que mon clitoris se gorge de désir. Je m'interdis de le toucher de prime abord, la honte encore farouchement présente. Puis je me laisse tenter quand je sens que la pression prend le pas sur la réflexion. Je fais rouler ma boule de chair contre mes doigts malhabiles, de sorte de faire venir l'orgasme qui me guette au tournant. J'amplifie le mouvement, de mes gémissements encourageants, jusqu'à me cambrer de bonheur, le corps secoué de spasmes délicieux. Je me remets à peine de mes émotions, lorsqu'il me semble apercevoir Samaël dans un recoin de mon studio. Je pousse un crie de stupeur, me redressant vivement, puis constate qu'il n'y a personne. Ça ne tourne vraiment plus rond dans ton crâne, ma pauvre fille.
(...)
Les jours passent et toujours aucune date de prévue pour mon rendez-vous avec Samaël. Je ne m'en inquiète pas! Le comportement de celui-ci demeure inchangé à mon contact! Mais une partie de moi se languis d'attendre. Est-ce une façon pour Lui de se faire désirer? Si c'est le cas : c'est vachement réussi. Je suis à bout d'envie de lui appartenir physiquement. Tant que mes pensées coquines suffiraient à elles seules à remplir la bibliothèque de films X du plus grand consommateur qu'il soit. Une pensée qui me traverse l'esprit, tandis que sa voix parvient à mon oreille.
"_ Samaël. Je souffle à son encontre, heureuse de le revoir. Bien évidemment. Je n'ai toujours pas changé d'avis sur le sujet."
Je confirme à sa nouvelle invitation, euphorique que le grand jour soit enfin arrivé. Car c'est aujourd'hui n'est-ce-pas?! C'est maintenant qu'il va me donner toutes les informations nécessaires à cet entrevu?! Je croise mentalement les doigts pour que mon souhait se réalise, jusqu'à ce que l'homme l'exauce en me formulant cette proposition : samedi soir chez lui. Je réfléchis un instant à mon emploi du temps pour les prochains jours -dire d'être certaine que je ne manquerai pas une journée de travail- puis lui réponds aussitôt, charmante :
" _ C'est parfait Samaël. J'attendrai votre chauffeur en bas de ma résidence, samedi soir."
Je lui fournis aussitôt mon adresse, avant de m'assurer de l'heure précise. 19h. Il me tarde déjà d'y être.
(...)
J'ai fais du shopping en prévision de cette soirée. Beaucoup de shopping. Et le moins que je puisse dire : c'est que l'ensemble m'aura coûté une petite fortune. Déjà, il y a eu l'achat de la robe, la pochette et les escarpins qui allaient avec. Je ne voulais pas porter quelque chose de trop casual pour l’occasion! Ensuite, il y a eu le rendez-vous chez l'esthéticienne, pour retirer toute sorte de poils disgracieux de mon corps, même dans les zones les plus intimes de mon anatomie. Puis finalement, il y a la coiffeuse/maquilleuse à domicile, pour être la plus belle possible, qui quitte tout juste mon studio. J'ai dépensé sans compter (si vous connaissez la référence). Tant que l'addition sera salée si la soirée tourne mal. Bref, ayant terminer de peaufiner ma tenue de soirée, je rejoins le trottoir de la rue, où l'attente du chauffeur se fait interminable. Il n'est pas en retard! Je suis simplement descendu trop tôt. A tel point que je redoute de finir accosté par les quelques mecs qui traînent dans le quartier à cette heure-ci. Je jette un regard sur ma montre plaqué or lorsqu'une limousine s'arrête à ma hauteur. Seigneur, pourvu qu'il ne cherche pas sa route.
"_ Mademoiselle Lowe? M'interroge le chauffeur, ayant fait le tour du véhicule par l'avant. _ Oui? _ Je suis James, le chauffeur personnel de Monsieur Knight. Je suis chargé de vous mener jusqu'à chez lui. _ Je sais, oui. Monsieur Knight m'avait prévenu que vous viendriez me chercher en bas de chez moi."
Il me sourit, charmant, puis m'ouvre la portière arrière. Je ne me fais pas prier pour regagner l'intérieur du véhicule, luxueux à souhait. Je n'en reviens pas de tant de richesse. J'observe tout dans le moindre détail, y compris les beaux quartiers dont nous nous éloignons.
"_ N'est-ce pas là-bas que nous sommes sensés aller? J'interroge le chauffeur, soudainement inquiète. _ Monsieur Knight est un homme qui aime beaucoup le calme et la solitude. Sa demeure se trouve donc dans la campagne environnante de la ville."
J'acquiesce à cette information, bien que l'inquiétude continue de me ronger. C'est de manière assez inexplicable que je m'apaise et particulièrement à la pensée de Samaël. C'est très étrange. Après quelques minutes de trajet, nous arrivons enfin aux abords d'une immense demeure. Ma mâchoire m'en tombe devant ce qui s'apparente à un château de conte de fée. Aurais-je gagné au loto de la vie sans le savoir? Je me pose cette question, lorsque la portière s'ouvre à nouveau sur le chauffeur.
"_ Nous sommes arrivés, Mademoiselle."
M'annonce ce dernier, tandis que je me glisse hors du véhicule. Samaël habite véritablement tout seul dans cet endroit? Il doit terriblement s'y ennuyer.
J'ai 230 ans sous apparence de 50 ans ans et je vis à Seattle, USA. Dans la vie, je suis Propriétaire d'une compagnie de sécurité et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt très mal. Samaël est un démon qui est venu sur Terre pour trouver sa promise. Cependant au fil des ans et des siècles, il fut à la fois rejeté, expulsé et incompris. Maintenant reclu et amer, il a bâti une compagnie de sécurité qu'il gère mais se mêle très peu aux humains. Il laisse le travail de terrain à ses employés se montrant qu'une fois par an si c'est pour obligation de s'assurer que le matériel fonctionne. Sinon il vit loin des humains dans une grande maison silencieuse. Aujourd'hui, il c'est juré de trouver sa promise coûte que coûte.
Elle s'était adonnée au plaisir charnel avec une certaine timidité et une certaine honte. Oh petite, il ne faut pas. C’était bon et si c’est là c'était bien pour qu’on découvre tout les plaisirs de la luxure. Son corps se mouvant lentement, nu et que j’imaginais chaud était d’une splendeur que même si j’étais apparut l’instant d’un clignement d’oeil j’ai quand même pu me régaler du spectacle érotique qu’ell m’avait offert sans le savoir. Je lui ferai découvrir tous les plaisirs charnels qui vous faisaient perdre la tête. Il me tardait déjà d'être samedi et juste laisser traîner mon regard sur son corps magnifique. C’est donc tout naturellement qu’elle accepta de venir alors que je n’avais pas eu à lui insuffler une suggestion. Donc la matinée du samedi commença comme d’habitude alors que je me glissai dans la salle à dîner et que mon petit-déjeuner m’attendait sur la table ainsi qu’un pot de café bien fort mais surtout infusé parfaitement. Installé à la table je mangeais lentement en jetant un regard à l’extérieur alors que je me dis que Mollie et moi on serait bien ici avec nos innombrables enfants et ainsi, j’aurais ma compagne, ma promise.
- Il se peut qu’elle ne veuille pas Samaël
Je me tournai vers une veille femme au cheveux argenté et bouclés qui s’assied à mes côté alos que je fini mon oeuf poché. J’essuyai ma bouche lentement et plantai mon regard dans le sien.
- Mme. Samovar, c’est l’âme la plus pure que j’ai pu rencontrer. Elle va accepter c’est sûr. C’est elle la bonne, c’est ma promise.
- Ça reste une humaine Samaël. Même si tu es charmant avec elle, il n’en reste pas moins qu’elle fuira elle aussi.
- Pas elle. Elle est trop pure et bonne pour eux. Puis je ferais en sorte qu’elle reste.
- Comment?
- J’ai mes méthodes. Excuse-moi, je dois aller faire ce que les humains appellent, travailler.
Je me levai alors qu’on s’occupait de débarrasser la table. Je montai donc et me dirigeai vers le côté Ouest de ma demeure et déverrouillai une lourde porte. Si elle n’accepterait pas ma demande de rester ici, ce sera son cachot. Une petite chambre avec un lit tout simple sur lequel trônait une couverture juste assez épaisse pour ne pas avoir froid, un oreiller somme toute moelleuse. Aucun décoration arborait les murs sans fenêtres, des anneaux de métal avec des chaines étaient caché par les montant du lit. Une minuscule salle de bain attenante à la chambre. Le confort minimal et elle pourrait crier tant qu’elle voulait, personne ne l’entendrait. Mon regard noir et froid parcourait la chambre m’assurant qu’il ne manquait rien si j’essuyais un refus. Satisfait, je refermai la porte et la verrouillai avant de me diriger vers mon bureau personnel et d'aller étudier la journée de la demoiselle. L’avantage d’avoir une de meilleures boîtes de sécurité c’est que j’avais pratiquement la vision sur toute la ville et de la voir aller faire du shopping, aller au salon de beauté avait quelque chose d’à la fois mignon et attendrissant. Tu es parfaite comme tu es mon petit ange. La journée avançant je sommai James, jeune démon, d’aller chercher Mollie pour 19 heures.
Descendant à la cuisine, je parlai à Steve pour qu’il fasse le repas le plus magnifique, gastronomique et délicieux qu’il soit. Penny, se démenait à faire le ménage dans tout le manoir avec ses aides. Je parlais avec Benjamin pour accueillir Mollie et la conduire à la pergolas derrière à son arrivée.
- Puis-je lui faire visiter la demeure monsieur.
- Si elle le désire. Sauf l’aile ouest.
- Compris monsieur.
Je montais à ma chambre alors que l’heure filait lentement. En entrant Wanda m’attendait avec deux complets dans les mains. Un complet noir bien simple où un complet trois pièce. Je pointais le complet trois pièce et commença à m’habiller avec l’aide de Wanda. Une fois habillé je me regardais dans le miroir plein-pied alors que Wanda tournai autour de moi pour ajuster le veston et la cravate.
- Voilà Samaël. Tu es parfait, elle ne pourra pas te résister.
- Je sais. Elle ne sait pas la vie qui l’attends. Elle sera la parfaite promise et la parfaite porteuse pour mon enfant.
- C’est une humaine, ils sont lent les humains tu le sais. Il ne faut pas brûler d’étapes sinon ta promise t’échapperas. Satan veut bien peupler la terre de démons mais sa colère sera terrible si tu laisse celle-ci s’échapper.
- Elle ne m’échappera pas Wanda. Elle veut être avec moi.
********************
Benjamin ouvrit la porte principale quand la jeune femme descendit de la voiture. Elle était magnifique et il comprenait maintenant l’engouement de Samaël envers sa personne. Même lui, jeune démon dans un vieux corps de majordome, pouvait sentir toute la pureté de cette délicieuse enfant.
- Mlle. Lowe, bienvenue au manoir Knight. dit-il gentiment avec un sourire, puis-je vous faire visiter la demeure?
Il laissa passer la jeune femme et avec galanterie, lui fit découvrir les pièces. La salle à dîner, l'immense salon où trônait un piano muet et une grande bibliothèque faisant tout un mur. La terrasse, la vue magnifique sur la ville. Il évita le quartier de l’aile ouest comme l’avait ordonné son patron et lentement la diriger vers la pergolas donnant vu sur un immense lac avec rien autour. Une table était aménagée et un vin frais était posé dans un seau de glace. Le majordome servit une coupe à la blonde faisant une petite révérence.
- Je vais prévenir monsieur de votre arrivée mademoiselle. Bonne soirée à tout les deux. *********************
Je n’avais pas eu besoin que Benjamin vienne me prévenir. Je l’avais senti arrivée, je l’avais suivi juste par son aura de pureté. Je sortis de ma chambre et descendit le grand escalier de marbre strié de gris comme mon majordome revenait.
- Elle t’attends… je comprends ton engouement. C’est une âme pure, tu pourrais la posséder facilement.
- Je sais, mais je souhaite prendre mon temps justement pour en profiter un maximum.
Je sorti lentement, mes talons claquant sur le plancher de marbre pour regagner la pergolas en fleurs et une fois sorti je me régalais de la vue magnifique, splendide même de sa personne.
- J’espère que je ne vous ai pas trop fait attendre Mollie. dis-je en m’avançant vers elle.
C’était un ange du ciel qui irradiait de bonté et de pureté. Petit ange que je voulais pervertir et faire pencher de mon côté tout pour que Dieu lui-même pleure des larmes de sang de voir sa brebis flancher pour le démon que j’étais. Je pris la main de la jeune femme et lui fis un baise-main tout aussi galant. En me redressant je laissai traîner mon regard de bas en haut sur sa délicieuse personne.
- Vous êtes magnifique Mollie. L’uniforme de l’hypermarché ne vous met pas en valeur mais celle-ci… Elle vous va à ravir.
Première leçon de démon: Étourdir notre victime pour éviter qu’elle ne s’enfuit. En mettre le plus possible pour lui faire miroiter une vie de rêve et combien la sienne est banale. Le pêché de vanité était très facile à faire avec les humains. Je lui fis signe de s’asseoir alors que je me servis moi-même une coupe de vin et que mon regard se planta dans le sien.
- Benjamin vous a fait visiter?
Oui bien… autant avoir un peu de flatterie de mon côté aussi. Je suis quand même un démon.
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Univers fétiche : City, Science-Fiction et Fantastique. (Si possible dans un contexte inventé, j'y suis plus à mon aise)
Préférence de jeu : Femme
Winnie
Jeu 28 Sep - 22:10
Mollie Lowe
J'ai 24 ans et je vis à Seattle, Amérique du Nord. Dans la vie, je suis caissière dans un hypermarché et je m'en sors bien, ni trop riche ni trop pauvre. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt neutralement puisque je me dis toujours que l'amour viendra lorsque je m'y attendrai le moins. Mollie est une fille banale, dans une ville banale et à la vie banale. Elle a arrêté très jeune ces études parce qu'elle n'aimait pas étudier et s'est trouver le premier petit boulot qui passe pour devenir indépendante. Elle n'est pas stupide mais juste un petit peu naïve. Elle pense que tout le monde est beau et gentil. Mais bientôt, sa vie va prendre une tournure inattendue, qui pourrait bien lui faire changer d'opinion.
Mes pas me portent vers l'immense demeure, bien que je fasse preuve d'une certaine hésitation. Tout cela est-il bien réel? Je me demande si je ne devrais pas me pincer afin d'en être assuré. Ce que je fais, discrètement, avant de constater que je ne me reveille pas. C'est peut-être un rêve tenace? J'insiste et aie. Non. Force est de constater que je ne rêve pas. Je suis bien sur le point d'entrer dans le château d'un multimilliardaire. Ça paye tant que ça les services de sécurité? Je réfléchis à la question, quand la porte s'ouvre sur un majordome. Un majordome?! Je l'observe comme s'il était une hallucination, bien que j'écoute avec une grande attention ses paroles.
"_ Bonsoir. Merci."
Je souffle à demi-mot à son encontre, ne réalisant pas vraiment la proposition qu'il me soumet. Moi? Visiter cet immense bâtisse? Il faudrait être dingue pour refuser une telle opportunité! J'accepte donc d'un hochement de la tête, enchanté, avant de le suivre dans chacune des pièces qu'il me présente. Et par là, on n'y va pas? Je constate mentalement, tandis que toute une aile ne m'est pas présenté. J'imagine que c'est là que se trouve l'espace privé du maître des lieux? Dans le doute, je préfère ne pas m'hasarder à formuler mon interrogation à haute voix. Je préfère continuer mes contemplations de la décoration intérieure, avec la plus grande minutie possible. C'est que c'est vraiment sublime. Ce n'est pas clinquant comme j'aurai pu l'imaginer si je n'avais vu que la façade extérieure, mais c'est agencé avec beaucoup de goût. Est-ce Samaël qui l'a choisit? Je me promets de quérir la réponse de la bouche de ce dernier, quand nous arrivons enfin dans une pergola où une magnifique table a été dresser. Et la vue! Mon Dieu elle est époustouflante! Je n'ai jamais vu un cadre aussi magnifique que cette verdure et son lac. Je suis subjuguée, totalement. Tellement que c'est à peine si je prête encore attention à l'homme qui me tend un verre de... qu'est-ce ça peut bien être? Du vin? Et où va-t-il? Je savais que j'aurai dû rester plus attentive. J'observe les nombreuses fleurs qui m'entourent lorsque sa voix familière vient me faire frissonner des pieds à la tête. C'est lui. Il est là. Et je découvre avec impatience la tenue qu'il a choisit de porter pour cette soirée. C'est très révélateur parait-il! Verdict? Je suis rassurée. Son complet me certifie qu'il cherche lui également à me séduire. Oh bon sang. Je ne m'étais jamais avoué avant cet instant que je souhaitais le séduire. Est-ce le cas? A en juger par mon cœur qui tambourine par sa seule présence, oui. Puis la tenue est tout autant révélatrice de mon côté! Je n'ai pas apporté du soin dans les détails pour être sa jeune amie de l'hypermarché! Je souris d'ailleurs à Samaël, ressentant un doux frisson se répandre au baisemain qu'il m'offre.
"_ Non Samaël. J'étais tant occupé par la beauté de la vue et de toutes ces fleurs environnantes que je n'ai pas vu le temps passé."
Je n'ai même pas entendu son majordome m'annoncer son départ, pour dire! Mais ses pas, eux, par contre, ils me semblent bien les avoir entendu oui. Ce qui explique sûrement pour quoi je n'ai pas sursauté dès qu'il m'a parlé. A moins que ça ne soit dans l'ordre naturel des choses. Appréciant plus que de raison le regard qu'il porte à ma tenue, je suis heureuse de l'entendre me confirmer son appréciation de celle-ci. Je craignais qu'il ne la trouve trop "vulgaire" ou trop "habillé". Quand je sais où nous sommes, je me dis que je n'aurais jamais dû m'inquiéter d'être vêtue trop classe pour l'occasion!
"_ Merci. Je dis à sa suite, les joues rosies par son compliment. Vous êtes vous-même très séduisant dans ce costume."
Cela lui va tant que je l'imagine au cours d'une réunion de travail, pendant que je bave sur lui telle une petite secrétaire insignifiante. J'ai loupé une vocation il faut croire. Je sors de mes songes à son invitation à prendre place à table, avant de m'y atteler sans plus attendre. Ensuite, je l'écoute m'interroger sur... Benjamin? Oh! Le majordome!
"_ Oui. C'est vraiment magnifique chez vous. Je trouve votre intérieur véritablement chaleureux autant que charmant. Est-ce vous qui en êtes à l'origine?"
Je ne pouvais pas manquer cette occasion rêvée de savoir qui est le décorateur. Ça ne changera rien à ma vie de le savoir, mais je veux pouvoir l'en féliciter davantage si c'est le cas. Ensuite? Et bien j'attends. J'attends qu'il lance un sujet de conversation, avant d'être prise d'une crise de curiosité aigüe. C'est que j'en ai des questions à lui poser, moi. Et la première serait : ce n'est pas trop pesant de vivre seul dans un tel endroit?
J'ai 230 ans sous apparence de 50 ans ans et je vis à Seattle, USA. Dans la vie, je suis Propriétaire d'une compagnie de sécurité et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt très mal. Samaël est un démon qui est venu sur Terre pour trouver sa promise. Cependant au fil des ans et des siècles, il fut à la fois rejeté, expulsé et incompris. Maintenant reclu et amer, il a bâti une compagnie de sécurité qu'il gère mais se mêle très peu aux humains. Il laisse le travail de terrain à ses employés se montrant qu'une fois par an si c'est pour obligation de s'assurer que le matériel fonctionne. Sinon il vit loin des humains dans une grande maison silencieuse. Aujourd'hui, il c'est juré de trouver sa promise coûte que coûte.
Elle était complètement soufflée de ma demeure, tant mieux je lui vendais du rêve et c’était aussi le but. De plus, la sentir se promener dans ma luxueuse demeure avait quelque chose d’excitant et d’enivrant. Mon petit ange appréciait ce que je lui offrais, ce que j’allais lui offrir. Une vie loin de ces humains bêtes et trop cons pour elle pour être avec moi. Moi le seul qui pourrait la combler. C’est en la rejoignant que mon choix se conforta. Quand elle se retourne je capte sa pensée qui se disait que je tentais de la séduire. Oh petite… je ne tente pas, je sais que j’ai réussi. Autant elle, elle ne tente pas de me séduire, c’est déjà fait depuis le premier regard qu’elle a posé sur moi. Puis tous tes efforts que tu as mis ne seront pas vains je t’assure mon petit ange. Tu es parfaite. Son frisson parcourt son petit corps alors que je m’excuse de l’avoir fait attendre. Elle confirme alors ma pensée. Elle était occupée par la vue de l’extérieur qu’elle n’avait pas vu le temps passer. Parfait. Je lui en mettais plein la vue, je gagnais des points. Je la complimentais sur sa tenue et je suivis le fil de ses pensées. Il n’y a aucune tenue vulgaire mon petit ange! Tu serais arrivée nue que j’aurais autant apprécié. - Je vous remercie, quoique je suis bien terne à côté de votre mine radieuse Mollie.
Elle était adorable quand elle rougissait ainsi. Même l’image qu’elle évoqua de moi en réunion et elle en secrétaire qui bave sur ma personne me dit que peut-être ce ne sera pas impossible. La culbuter sur mon bureau au gré de mes envies, quelle belle idée que celle-ci. J’adore les pensées salaces de ma promise, elles sont fugaces mais très bien imagées. L’invitant à s’asseoir je me versai une coupe demandant si Benjamin lui avait fait visiter, je savais que oui mais j’avais aussi besoin qu’on flatte ma personne.
- C’est très gentil à vous et je suis heureux que vous appréciez. Mais non aussi beau que ce soit je ne suis pas celui qui a décoré. Je n’ai pas ce talent malheureusement. J’ai fait appel à une compagnie de décoration venue de Los Angeles.
Je pris une gorgée de mon vin, mon regard allant se planter dans le sien. Elle était curieuse, c’est normal, après tout j’étais moi-même curieux de sa personne. Quoique je n’aurais pas à faire grand efforts pour connaître le moindre de ses secrets. Je pourrais, si je voulais, la prendre ici et maintenant elle en mourrait d’envie.Elle était déjà presque prête à me recevoir même mais ça serait bête de ne pas la laisser se languir puis… je pouvais m’amuser un peu. Je lui remis en tête ses images érotiques qui lui tournaient en tête. Pas longtemps, juste assez pour lui donner chaud et que je m’amuse de sa réaction. Je reposai ma coupe lentement en relevant un regard vers elle.
- Vous allez bien Mollie? Vous êtes toute rouge…
* Et tu commences à être excitée aussi…*
Je feignais l’inquiétude alors que mon regard fouillait le sien. Je pris sa main et la serrai doucement.
- Ne soyez pas mal à l’aise, je suis un homme simple. Je sens que vous avez des questions, et un paquet de questions Mollie. Posez-les sans gêne.
Je suis plutôt un démon au besoin simple en fait mais bon… plus tard cette révélation, pas maintenant. Je devais garder la belle sous mon emprise, sous mon envie. Je relâchai doucement sa main et m’adossai sur la chaise en prenant ma coupe de vin que je fis tourner entre mes doigts. Mon regard était posé sur sa personne me gênant à moitié pour la détailler lentement. Je savais ce que cachais ce tissus et j’avais bien hâte que son corps vibre sous mes doigts.