La situation Cachés de l’humanité, les mutants se terrent pour survivre. Dans ce lot de désolation, un homme tire les ficelles de la criminalité d’une main de Maître.
Sous son joug, un jeune mutant aux capacités animales qu’il traite comme son chien de service, son homme de main et une jeune femme qu’il utilise comme un jouet personnel.
Les deux ne se connaissent pas encore… Jusqu’à ce jour…
Contexte provenant de nos cerveaux et d’un vieux scénario de Fox Dream
~ We can get high, we can get high, touching the sky Never gonna come back down We can run wild, shooting stars now, faster than sound Build a kingdom in the clouds ~
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Univers fétiche : City/Surnaturel/Fantasy
Préférence de jeu : Homme
LarkoDim
Mar 29 Aoû - 21:49
Elijah
J'ai 30 ans et je vis à Chicago, États-Unis. Dans la vie, je suis un homme de main du Roi de Pique et je m'en sors correctement. Sinon, je suis célibataire et pour le moment, ça ira. Griffes tranchantes et aiguisée ¤ Canines aiguisée ¤ Force surhumaine ¤ Sens aiguisés ¤ Régénération ¤ Yeux jaunes ¤
Travaille pour le Roi de Pique, le criminel le plus puissant de Chicago depuis qu’il a une dizaine d’année ¤ Utilisé à la base pour les basses besognes et élimination de témoins ¤ Est devenu garde du corps de son patron de puis peu ¤ Bosse uniquement de nuit. ft. Alexander Ludwig av. vodkaparadiseuniverse
Trop tôt. Il était trop tôt. Le soleil venait à peine de se coucher quand tu te mets à ouvrir les yeux en entendant ton réveil. Tu râles un bon coup et te levant, faisant glisser ton drap sur ton torse avant d’éteindre l’objet du diable qui résonnait dans ta cervelle. Tu grimaces, passant une main sur ton visage avant de t’étirer, entendant un peu le cartilage de ton dos qui se fait entendre. Tu grognes un peu en t’asseyant sur le bord de ton lit pour attraper ton téléphone, essayant de regarder les nouveaux messages que tu avais reçu dans la journée.
Tu fronces les sourcils en voyant le nom de ton patron. Adrian. Aussi appelé le Roi de Pique dans la communauté criminelle de Chicago. Tu secoues la tête et commences à écouter son message vocal en même temps que tu te lèves pour faire ton petit-déjeuner à base de tartine de fromage, jambon cru et café. Tu grimaces en fronçant les sourcils devant la demande peu conventionnelle qu’il fait. Comment ça une nana ? La surveiller ? Voir la frapper ou… Tu manques de lâcher ton téléphone sous la surprise et l’effroi. Le ton utilisé est froid, les mots durs… Non, Adrian n’a pas mâché ses mots.
Tu grimaces, blêmis et soupires doucement. Torturer quelqu’un soit…. Tu sais le faire depuis que tu es adolescent. Tuer quelqu’un, ok, pourquoi pas. Tu l’avais déjà fait pour finir le travail d’un abruti qui n’avait pas bien fait le sien. Mais violer une femme pour qu’elle se … Calme ? Pardon ? Non, non, non. Tu serres les dents, te disant que si Adrian te l’avait demandé à toi, c’est qu’il ne l’avait pas encore fait avec le reste de ses gros bras. Tu avais donc le choix… Soit le faire… Pour le satisfaire, soit le décevoir et laisser un mec plus costaud et agressif s’en occuper.
Tu soupires, renvoyant un message pour accepter, qu’il t’envoie l’adresse et tu finis de te préparer rapidement. Une douche chaude, un t-shirt blanc, une veste en cuir, un jean et tes Dr. Martens noires et tu prends tes clés de moto. Tu prends le temps de regarder les dernières secondes de coucher de soleil avant de prendre la route vers l’adresse et tu grimaces en voyant les gros bras qui protègent déjà la porte. Tu passes sans trop de problèmes, rejoignant le bureau d’Adrian pour qu’il t’explique le reste pour la mission. Tu grimaces alors que tu le laisses finir avant de garder les clés de la maison… Enfin, du manoir.
Tu profites pour faire le tour, voyant que toutes les issues sont surveillés. Tu grimaces et retires ta veste pour la mettre dans un coin avant de monter à l’étage pour aller toquer à la chambre. Faudra bien que tu prennes connaissance avec la petite non ? Tu tapes du doigt et hausses un peu la voix.
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Univers fétiche : Fantasy
Préférence de jeu : Les deux
FoxDream
Mar 29 Aoû - 23:27
Mikaela Andersen
J'ai 27 ans et je vis Chicago, Etats-Unis. Dans la vie, je suis une captive et une survivante. Je suis le jouet de Adrian, alias le Roi de Pique. Je cherche à survivre et m'échapper, le reste n'a pas d'importance. Pouvoir : télékinésie. Je ne le maitrise pas, j'en ai peur et il ne se manifeste jamais depuis pas captivité.
Vagabonde, j'allais où le vent et ma moto me menait, sans attache. Jusqu'au jour où je me suis fait capturé et vendu comme esclave. Depuis un an et demi, je vis l'enfer sous le joug d'Adrian. Je suis son jouet, sa chose, il fait tout ce qu'il veut de moi. Je résiste autant que possible, mais plus le temps passe et plus je sens mon esprit se morceler.
Assise sur le rebord de la fenêtre verrouillée, les yeux posés sur le jardin, les jambes ramenées contre ma poitrine, j’observais ce qui se passait. Je comptais les allers-retours, les gardes et tous mouvements qui attiraient mon regard. Encore et encore. Inlassablement. Dans l’espoir de trouver quelque chose. N’importe quoi. Un espoir auquel me raccroché. Je dois m’échapper. Cette phrase tournait encore et encore dans mon esprit. Cela faisait si longtemps qu’elle tournait dans ma tête que ces mots avaient perdu toute leur importance, toute leur valeur. Ce n’était plus que des mots, sans signification, auxquels je me raccrochais. Parce que c’était tout ce qui me restait. Une brève lueur pour m’échapper. Me raccrocher à cette idée pour ne pas devenir folle et surtout pour ne pas céder à Adrian. Je ne devais pas lui céder. Jamais. Jamais.
Pourtant, plus le temps passait et plus il était dur de lui opposer une résistance. Ce serait bien plus facile de céder, d’abandonner. Après tout ce temps… Un an, un an et demi ? J’avais perdu le compte… Mais c’était une bataille suffisamment longue n’est-ce pas ? J’avais le droit d’abandonner, de me laisser aller… Bien sûr que j’avais le droit. Je le pouvais…
Je bondis sur mes pieds en poussant un cri de rage.
- Bordel ! Reprends-toi !
Je me retournais et mon poing vint s’écraser contre le mur. La douleur se déclencha dans mes phalanges, remonta le long de mon épaule et me ramena à ma réalité. Une réalité de douleur et de résistance. Encore et toujours la même chose…
Pour me vider les pensées, je me mis à marcher, à tourner en rond dans cette chambre qui était la mienne. Parfois, pas toujours. Cela dépendait de l’humeur d’Adrian, et surtout l’état dans lequel je le mettais. Je l’énervais en général, mais ça lui plaisait. Pourtant, voilà presque une semaine que je ne l’avais pas vu. Qu’il ne m’avait rien fait subir. Je le croisais, mais rien. Seulement son regard et son sourire qui me disait clairement qu’il avait une idée derrière la tête. Une idée que je n’arrivais pas à saisir. Qu’est-ce qu’il attendait ? Cette attente me rendait encore plus folle que la violence dont j’avais fini par avoir l’habitude. Dont je portais les marques encore dans le dos – des coups de fouets en plus d’autres choses… Sauf ce matin, où il était venu et m’avait ordonné de passé cette chose sur moi : une nuisette noire, au décolleté en dentelle et à la cuisse légèrement fendue sur le côté. J’avais obéi, parce que je n’avais aucune envie qu’un de ces gros bras me l’enfile de force… Il avait regardé puis rien. Il était simplement parti en me disant qu’il me réservait une surprise. De quoi me terrifiée. Que pouvait-il me réserver de pire ?
Je tournais encore en rond lorsque j’entendis des coups à la porte. Je me figeai. Adrian ne frappait jamais. Il n’en avait pas besoin. Je fus incapable de reconnaitre la voix derrière. Encore un de ses sous-fifres qu’il envoyait pour me trainer je ne sais où encore ? Aucun ne prenait cette peine d’habitude.
- Casses-toi connard ! m’écriais-je en serrant les poings. Vas cramer en enfer !
Je les serrais si fort que mes jointures étaient blanches. C’était la surprise d’Adrian. Ce n’était pas lui et c’était encore pire. Mon cœur battait à cent à l’heure. Qu’est-ce qui allait m’arriver ? Contre quoi allais-je devoir me défendre encore ?