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LE TEMPS D'UN RP

"Avec un mensonge on va loin, mais sans espoir de retour" - Ft. Charly

Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Sam 15 Juin - 13:03

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Le candidat au Sénat ignorait ce qui avait poussé le cœur d’Angelica à jeter son dévolu sur sa personne. Il n’était en rien le gendre idéal, celui qu’on présentait impatiemment à ses parents parce qu’il correspondait en tout point à la bonne personne. Le bon mari, le bon père de famille. Il n’était même pas un homme gentil. À maintes reprises, il s’était montré odieux à l’encontre de l’influenceuse, tout autant qu’envers Flynn. Et bien qu’à son contact, il était parvenu à libérer une part de lui qu’il méconnaissait, plus attentionné, il n’en restait pas moins celui que tout le monde avait décrit comme un suppôt de Satan. Mais elle l’aimait. Elle venait de le lui dire dans cette cuisine, avec un naturel déconcertant. Il aurait tant désiré lui susurrer ces mots en retour, parce qu’il était certain que c’était ce qu’on cœur lui dictait. Il tenait à elle d’une manière incommensurable. Toutefois, il craignait que leur histoire ne soit qu’éphémère, et qu’elle ne choisisse de retrouver sa liberté d’antan que sa compagnie. Parce qu’un jour ou l’autre, elle finirait probablement par regretter de lui avoir confié son cœur, et il pourrait pratiquement entendre Flynn lui rétorquer qu’il l’avait mise en garde lors de leur rencontre… Bien que d’après les dires d’Angelica, ce dernier semblait avoir mis de côté ses appréhensions à son encontre « J’ai su que tu me plaisais le soir où tu es rentrée de ton escapade improvisée avec Flynn » confirma-t-il. Le meilleur ami avait été fin observateur sur cette plage, parce que ce jour-là, il était déjà conquis par la jeune femme. Toutefois, c’était Ava qu’il devait remercier pour leur histoire, même s’il éprouvait quelques doutes sur l’adhésion de cette dernière à leur relation qui avait dépassé les stipulations de leur contrat. Mais pour le moment, il voulait seulement que leur union ne concerne qu’eux deux.

Edward avait toujours condamné l’amour et les relations sentimentales de surcroît. Cependant, il devait bien reconnaître que la jeune femme était parvenue à anéantir toutes ces idées préconçues en l’espace de quelques semaines. Elle venait de lui donner envie d’éprouver, à son tour, ce sentiment, d’avoir envie de lui répéter inlassablement ces trois petits mots qu’elle avait osé prononcé un peu plus tôt. Comme en cet instant, lorsqu’elle riait joyeusement et qui parvenait à lui comme la plus douce des mélodies. « Qu’est-ce que tu as étudié ? » finit-il par demander, en prenant conscience qu’il ignorait tout des études supérieures qu’elle avait suivies. « Je sais que tu me taquines » confirma le politicien avec un sourire en coin, tout en portant son café à ses lèvres en cet instant précis. Un appel professionnel interrompit brièvement leur échange, mais il prit la décision de ne pas donner suite. Il n’avait pas vu Angelica depuis une semaine, et elle lui avait terriblement manqué. Le travail pouvait attendre demain. Aujourd’hui, il était tout à elle. Même si c’était pour discuter de petit-déjeuner. Edward plissa légèrement les yeux en remarquant qu’elle se moquait gentiment de lui, et répliqua « Tu te moques de moi ? » tout en arborant un petit sourire, et acquiesça « Bien ». Ils discutèrent un peu encore, le temps de conclure leur petit-déjeuner, puis laissa Angelica enfiler un maillot de bain, l’imitant quelques minutes après.

C’était probablement la plus délicieuse et la plus cruelle des idées qui pouvait surgir dans l’esprit d’Edward au moment où ses doigts caressèrent la peau de la jeune femme, dans des gestes lents et profonds. Il menait une lutte de tous les instants pour ne pas penser à sa virilité qui se durcissait au travers du tissu. Pense à Nonna… Pense à Nonna… Pense à Nonna… Bon dieu, je ne peux pas penser qu’à elle, à sa peau si douce sous mes doigts… Dans l’élan, il était devenu soucieux de son état physique et psychologique. Elle était détendue. Quelle vaine ! Parce que je ne le suis pas du tout, pensa-t-il et se leva, prêt à se jeter dans l’eau chlorée, mais elle décida qu’il était opportun qu’il recouvre, lui aussi, sa peau de crème solaire. Il marqua une hésitation et prit place sur le rebord de la chaise longue, laissant les doigts d’Angelica s’aventurer dans son dos. Les paupières closes « Pas que les trapèzes » avoua-t-il, avant de fermer plus férocement les paupières. Quel abruti ! « Tout le dos est tendu » tandis que sa petite voix intérieure renchérissait pour elle-même : Ta queue aussi est tendue. La ferme. Pense à tes parents. Iris. Madame Jenkins du troisième… Rien ne fonctionnait. Interdit, il n’était pas certain d’avoir entendu la question d’Angelica. Il continua d’étaler la crème solaire sur le reste de sa peau. Enfin, bien que ses mains restaient en suspens autour du tube, son regard la fixant avec une rare intensité, glissant sur chaque courbe affriolante qui composait son corps. Elle était si belle. Il déglutit avec lenteur. Si sa silhouette n’avait pas disparu sous l’eau chlorée, probablement qu’il aurait passé sa journée sous le soleil à se délecter de la vue qu’elle lui offrait en étant seulement elle-même … Il termina de recouvrir son corps de crème, puis plongea dans l’eau aussitôt. Il plaqua ses cheveux bruns en arrière et adressa un sourire à Angelica « Tu veux dormir avec moi ce soir ? ».

Charly
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Charly
Sam 15 Juin - 14:40

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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Jusqu’à présent, ils n’étaient jamais vraiment rentré dans les détails de leurs vies. Avant de devenir influenceuse, elle avait eut une autre vie. Une vie bien différente. Elle était une femme différente. Une femme en cage… « -business et vente… » répondit Angie. Avant de tout plaquer, autant le mec que le job que sa vie, Angie avait occupé plusieurs postes dans de grosses entreprises. Elle passait sa vie stressée, à courir partout, à amasser des heures et des heures de travail pour enrichir quelqu’un d’autre quelle. Lorsqu’elle avait ouvert les yeux au sujet de Travis, elle avait également démissionnée. Elle avait radicalement foutue toute sa vie en l’air pour en construire une autre. Une qu’elle aimait bien plus. « -non, jamais de la vie je ferais ça ! » avait elle ajouté en riant.

Depuis le tout début, la vue du torse d’Edward était un véritable supplice pour Angie. Et aujourd’hui, ils avaient opté pour la piscine ! Voilà qu’elle se retrouvait de nouveau en face de ce torse… et c’était sans compter sans Edward qui lui proposa ce massage… Roh que c’était compliqué de rester fixé sur autre chose que ces mains qui caressaient sa peau. Heureusement il mit fin à son supplice, mais dans un souci d’égalité ou parce qu’elle ne souhaitait pas qu’il s’expose au soleil sans crème, elle prit sa place. Elle savait qu’il était sujet au stress. Elle connaissait son corps qui se tendait à la moindre contrariété. La semaine qu’il venait de passé en compagnie de ses parents, avec le souci de santé de Nonna… oui, il avait les trapèzes dur comme du béton. Angie ferma les yeux en se pinça les lèvres, évitant de rire et répondit un : « -oh oui… tout le dos… » elle embrassa son épaule et décida de se rendre dans l’eau, jusqu’au cou. Elle sourit en le voyant enfin plonger. Un joli rire s’éleva dans les airs lorsqu’il posa sa question : « -tu penses sincèrement que je vais te répondre que je préfère le canapé à la chaleur de tes bras ? » Elle avait la sensation que plus les minutes passaient et plus Edward semblait se mettre la pression. « -j’ai vraiment été insistante hier soir n’est-ce pas ? » demanda Angie en plissant les yeux. Elle savait parfaitement qu’elle avait eut terriblement envie de lui. En étant ivre, elle savait également qu’elle manquait de filtre dans ces cas-là. Elle se laissa disparaitre dans l’eau, comme pour se cacher. Elle réapparu quelques mètres plus loin. « -si tu préfères qu’on reste éloigné, c’est possible tu sais… » s’amusa Angie avec un grand sourire. « -ou alors reste bien dans l’eau, voilà jusque-là… » pour ne pas voir son torse. « -ou alors tu me parles d’un truc très très chiant… » et ouais c’était une bonne idée ça !

La fin d’après midi fut douce, tant par les conversations que part la baignade et le soleil. Angie avait fait en sorte de maintenant son corps assez éloigné de celui d’Edward. Il y avait une tension palpable, une envie difficilement contrôlable. Elle ne cessait de se marteler que c’était à lui de décider, qu’il voulait attendre, qu’elle avait dit d’accord… Alors c’était self contrôl total. Encore plus lorsqu’elle l’imagina sous la douche, entièrement nu… Elle qui n’avait jamais été porté sur le sexe, ça devenait presque une obsession… Encore une fois, c’était la faute d’Edward. Ce n’était pas permis d’être aussi sexy ! Ils avaient décidé de cuisiner ensemble alors une fois douchée, elle l’avait rejoint dans la cuisine. « -je t’écoute, apprends moi la fameuse recette de Nonna. »

Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Sam 15 Juin - 15:26

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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C’était tout un pan de sa vie qu’Edward ignorait. Il connaissait la femme libre et libérée qu’elle était aujourd’hui, celle qui prenait soin des autres autant que d’elle-même, et qui en avait fait son activité principale. Néanmoins, à l’exception de quelques détails sur sa vie passée, Angelica n’avait jamais réellement partagée la femme qu’elle avait été autrefois. Il aurait pu s’en désintéressé. Après tout, sa vie d’antan semblait diamétralement différente de celle qu’elle menait aujourd’hui. Mais lorsque ça concernait l’influenceuse, il voulait savoir. Il voulait tout connaître d’elle, chaque détail. Ainsi, le politicien avait la sensation d’être un peu plus proche d’elle, de faire pleinement partie de son existence. « Je comprends mieux pourquoi tu gères tes réseaux comme une véritable entreprise » observa Edward tout en portant son verre de jus d’orange à ses lèvres, se délectant du jus frais sous cette chaleur accablante. La jeune femme avait malgré tout mené un sacré revirement dans sa vie professionnelle et personnelle ces dernières années. Ça ne le rendait que plus admiratif encore d’Angelica, qui semblait prendre goût à se moquer gentiment de sa personne, pendant qu’en ce qui le concernait, il s’éprenait toujours un peu plus d’elle à chaque seconde qui s’écoulait « Quelle idée ! » rétorqua-t-il en roulant des yeux, sans se départir de ce petit sourire en coin dont elle était l’unique responsable.

Dans les idées abracadabrantes qui avaient pu l’assaillir depuis sa naissance, il pourrait mettre celle-ci en pole position. Il lui martelait vouloir patienter encore pour découvrir plus intimement son corps, et tandis que la frustration était à son paroxysme, il optait pour une baignade sur la piscine de la terrasse, au détriment d’une série TV emmitouflé dans un plaid, sur le canapé du salon. Il n’avait semblablement pas pris conscience que son idée incluait également un pauvre morceau de tissu pour seule barrière entre leurs deux corps, et de la crème solaire qu’Angelica étalait soigneusement sur sa peau, tout en commentant la rudesse de ses épaules. Il aurait pu acquiescer simplement, au lieu de sous-entendre que son intimité était tout aussi tendue que les autres muscles composant son dos. Edward pouvait pratiquement l’entendre étouffer un rire derrière ses mots, avant qu’elle ne dépose ses lèvres sur son épaule. Elle était une torture à elle seule … L’eau chlorée était sa dernière issue pour ne pas capituler et balayer d’un revers de main tous ses principes selon lesquels il souhaitait prendre son temps avec elle.

Pourtant, malgré ce désir qu’il éprouvait pour elle et qu’il tentait de réprimer tant bien que mal, il avait aussi envie de l’imaginer s’endormir dans le creux de ses bras cette nuit, de sentir son corps chaud blottie contre le sien. Toutefois, ils n’avaient évoquer le sujet depuis leur premier baiser. Il avait dû s’envoler précipitamment pour l’Italie soit avoir eu le temps de préciser certains points obscures de leur relation. Edward l’observa en silence alors qu’elle évoquait le confort du canapé au détriment de celui de son étreinte, et rétorqua « C’est seulement qu’on n’a jamais abordé le sujet » et finit par émettre un petit rire discret « De la plus délicieuse des façons Angie. N’éprouve aucune crainte à ce sujet ». Si elle n’avait pas été ivre, il n’aurait fait aucun doute qu’ils auraient consommé leur union cette nuit. Les sourcils au milieu du front, le politicien l’observa s’immerger complètement dans l’eau pour réapparaître quelques mètres plus loin. « Tu penses que c’est la distance idéale ?! » en évoquant celle qui les séparait actuellement. Un nouveau rire retentit sur la terrasse « Je pourrais te parler de la politique agricole du Colorado par exemple ? ». Ils restèrent le reste de l’après-midi dans l’eau, à discuter de sujet et d’autres. La journée se déroulait exactement comme Edward l’avait espéré le matin venu, dans ce jardin botanique. A une exception prêt… Son esprit n’avait de cesse que de penser que de l’autre côté de la porte se trouvait le couloir, qu’après le couloir, se trouvait la chambre d’Angelica, et qu’elle était entièrement nue sous l’eau chaude qui avait le privilège de découvrir chaque parcelle de sa peau nue. Je suis envieux d’un jet d’eau … pensa-t-il tout en tournant le robinet sur l’eau froide, lui tirant un petit cri de surprise, mais qui eut l’effet d’annihiler ses envies soudaines. Le politicien n’avait jamais tant désiré une femme comme il désirait Angelica.

Les pommes de terre avaient eu suffisamment le temps de chauffer le temps de leur escapade dans la piscine, et il put les sortir de l’eau bouillante avec précaution, tout en indiquant à la jeune femme « On va écraser les pommes de terre, les salées, les poivrées, puis les badigeonner de farine pour en faire une pâte unifiée. Ensuite, on en découpera de petits morceaux pour former des gnocchis ». Ce fut ainsi qu’il se retrouva le torse blottit contre le dos de la jolie rousse, ses mains sur les siennes, pour malaxer la pâte avec elle « Tu sens bon… » souffla-t-il à son oreille, tout en penchant davantage la tête et déposa ses lèvres tout contre son cou.

Charly
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Sam 15 Juin - 16:01

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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« -quand j’ai terminé mes études, j’ai travaillé pour de grosses entreprise. Je faisais que ça d’ailleurs travailler. Tu sais le genre de nana qui court en tailleur talons hauts avec une tonnes de dossiers sous le bras. Qui carbure au café et à la salade verte parce qu’elles n’ont pas le temps d’aller courir, alors faut pas grossir. » c’est très cliché, mais clairement c’était elle quelques années en arrières. « -j’avais pas de vie en fait… » conclue Angie tout en mangeant. « -Travis est arrivé et ça a été de pire en pire… » elle avala une gorgée de thé. « -mais oui, mes études me servent toujours malgré le changement de métier. Flynn a suivit le même cursus que moi. D’où le fait qu’on soit associé aujourd’hui. Je sais que je peux compter sur lui, qu’il comprends et sais ce qu’il fait. » Elle ne s’était lancée comme ça, sur un coup de tête. Le projet était réfléchit. Chose que peu de personne imaginait. Elle travaillait, comme elle le souhaitait. Elle profitait de sa vie, comme elle le voulait. Elle générait des revenues plus que rentables. Elle faisait partie des influenceuses qui avaient un cerveau, même si peu de gens pouvaient le comprendre.

« -on a pas vraiment eu le temps à dire vrai… » ajouta Angie. « -alors maintenant qu’on en parle, je t’avoue que je n’ai pas la moindre envie d’aller dormir dans ma chambre ce soir. » elle lui sourit sans arrière-pensées. « - tu m’as manqué cette semaine… » sous entendant qu’elle ne voulait plus perdre la moindre minute. Angie réalisait peu à peu que durant la soirée de la veille, elle avait sans nulle doute été insistante. Elle lui avait probablement dit à voix qu’elle avait envie de lui. C’était la vérité. Oui, elle avait envie de lui… mais elle respectait son souhait de prendre leur temps là-dessus, malgré la torture que cela imposait. « -oui, oui, oui…  je pense que c’est parfait comme ça… » avait elle répondu en fermant les yeux pour ne plus voir ce torse durant quelques secondes. « -mais oui ! Faisons ça ! » s’était elle amusée.

Une fois douchée, elle avait enfilé une petite robe légère, et s’était relevé les cheveux dans un chignon rapide. Pas de cheveux détaché quand on fait à manger, disait sa grand-mère. Angie était prête à suivre les instructions d’Edward pour la recette. « -voulà ça fait beaucoup d’infos d’un coup ça ! » lança Angie en riant. Edward fut bien plus actif quelle dans la conception du plat. Elle passa le plus claire de son temps à le regarder faire avec un sourire amoureux sur les lèvres. Lorsqu’il vint se coller à elle, humer son parfum puis embrasser son cou, Angie fut parcouru d’un délicieux frisson. Cependant, elle souffla un : « -Edward… » cela sonnait comme une supplique. S’il n’était pas encore prêt et qu’il comptait passer la nuit qui arrivait chastement, elle apprécierait grandement qu’il  n’agisse pas ainsi. Parce que c’était vraiment de la torture. Une délicieuse torture, mais tout de même…  

Manhattan Redlish
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Sam 15 Juin - 19:13

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Bien qu’Angelica avait toujours été d’une particulière élégance, un ravissement pour ses yeux au quotidien, Edward peinait à l’imaginer en tailleur et haut talons au quotidien, dossiers sous le bras, esclave d’un métier qui ne lui correspondait aucunement. Sans mot dire, il la laissa lui conter une partie de son histoire dont il ignorait tout, et qui contrastait radicalement avec la femme qui était assise devant lui, à savourer ses pancakes. Angelica lui décrivait une femme prisonnière de son travail, tout autant qu’elle l’avait été de cet individu. Finalement, Flynn était le dernier vestige de cette vie d’antan, celui qui avait su résister aux brutaux changements de l’influenceuse « Je n’ai jamais douté de lui. Ni de toi » précisa le politicien d’une voix trainante et reprit « Qu’est-ce qui t’a poussé à tout changé brusquement ? Quel a été le déclic ? ». Son intérêt était sincère. Edward souhaitait tout connaître de son histoire, de ce qui l’avait forgé pour devenir la jeune femme si pétillante qu’elle était aujourd’hui. Celle qui illuminait chacune de ses journées par sa seule présence. Cette femme qui avait su lui prouver que l’amour était possible, pour lui aussi, et que le bonheur simple était à portée de main, tant soit peu qu’on l’acceptait. Angelica avait bouleversé d’une manière dont il n’aurait jamais envisagé, et aujourd’hui, il la voulait jour et nuit à ses côtés. « Nous avons le temps maintenant » répliqua-t-il avec douceur, tandis qu’il remuait lentement des bras pour se maintenir à la surface « Bien. Parce que je n’ai pas la moindre envie de te laisser dormir dans ta chambre », et précisa « Pas uniquement ce soir, en ce qui me concerne ». Au moins, maintenant, l’influenceuse savait de quoi il en retournait en ce qui le concernait. « Toi aussi la mia luce » souffla-t-il comme un secret, bien qu’il n’en était rien. Il n’avait eu de cesse de lui marteler au cours de cette semaine, ainsi qu’en la retrouvant la veille au soir. « Je peux aussi revêtir un t-shirt si ça devient trop difficile pour toi » proposa-t-il, puis dévia la conversation sur un sujet tout droit sortie de son chapeau, relatif à l’agriculture dans le Colorado.

La journée avait été aussi douce qu’il le désirait pour Angelica, et apprécia de la retrouver pour préparer le dîner ensemble. Lorsqu’il énuméra les différentes tâches à effectuer pour préparer le dîner, il comprit rapidement qu’il avait égaré la jolie rousse en cours de route « Je te propose que tu sois mon commis, si tu préfères » et s’affaira en cuisine, comme tous les soirs. Il connaissait la recette de sa grand-mère comme si elle avait été écrite par lui. Au moment de malaxer la pâte, Edward décida de déléguer cette mission en partie à Angelica, se plaçant toutefois derrière elle, blottit contre son dos, ses mains sur les siennes. Une soudaine proximité qui encourageait l’intimité. Bien qu’étant maitre dans l’art du contrôle, il devait bien reconnaître qu’il lui était difficile de résister à la jeune femme, à l’appel de sa peau, de son étreinte. Il rapprocha son visage de son cou, venant humer son parfum dont il se délectait chaque jour, et vint caresser sa peau de ses lèvres. Il la désirait plus que jamais, plus qu’aucune femme avant elle. Angelica éveillait en lui des sensations, des désirs, dont il ignorait tout. Elle mettait son corps en émoi d’une façon si unique, que ça ne rendait que cela plus exquis encore. Sa tête posée contre la sienne, il remonta le visage jusqu’à son oreille, et murmura un « Je sais… » de frustration. Il se recula d’un pas « Je reviens » et se rendit dans la salle de bain, s’octroyant un instant pour lui, pour rincer ses mains et s’asperger le visage d’une eau glaciale. Ses deux mains sur le rebord du lavabo, il fixa son reflet dans le miroir. Tu dois résister… Vraiment…Il longue inspiration et retourna en cuisine « Désolé pour tout à l’heure » murmura-t-il soudainement timide, et découpa des morceaux de pâtes « On roule ensuite la pâte sous la paume de la main, pour en faire… eh bien des gnocchis » et sourit en posant enfin ses prunelles azurées sur Angelica « Tu me plais vraiment beaucoup » lui avoua-t-il, tout en continuant de découper tour à tour des morceaux de pâtes. Il fit ensuite revenir le tout dans une poêle, tout en accompagnant le tout d’une sauce tomate qui mijota dans une casserole voisine « J’ai faim ». De toi… retint-il entre ses lèvres, tentant de focaliser son entière attention sur la recette de Nonna.


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Sam 15 Juin - 21:29

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J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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« -toi peut-être que non, mais la plus part des gens s’imagine que c’est un truc facile de vivre d’internet. » ce qui était faux. « -ça demande de la ressource et de l’exigence. La tête sur les épaules aussi… Même si je suis parfaitement d’accord avec eux sur le fait que je ne porte pas le monde sur mes épaules. De moins point de vu, j’ai une certaine responsabilité par rapport à ce que je propose, à ce que je dis… » ce n’était rien face à la guerre, la sécurité de la ville… mais ça lui convenait. « -Travis m’a demandé d’arrêter de travailler pour avoir un enfant avec lui. » Edward voulait une réponse… « -C’est Flynn qui m’a ouvert les yeux. Depuis ma rencontre avec Travis, on s’était un peu éloigné lui et moi. Enfin, chacun faisait sa vie quoi… Mais on se voyait encore assez régulièrement. Quand je lui ai parlé de ça, il s’est mit en colère. C’était la première fois que je voyais ainsi. Il m’a dit des choses dures à entendre, mais ça a fait tilt… Sans lui, je faisais ce bébé, je renonçais à ma vie pour un connard. » Voilà pourquoi Flynn était si important à ses yeux. Il avait toujours été présent, et le serait toujours.

La question d’Edward pouvait paraitre étrange, mais encore une fois, ils faisaient un peu tout de travers. Ils s’étaient plus ou moins mi ensemble et il était parti à l’autre bout du monde. Elle habitait ici, avait sa chambre personnelle. Mais maintenant ? « -parfait alors… » souffla Angie avec un sourire satisfait. « -c’est pas mieux avec un t-shirt mouillé tu sais… parce que ça… ça s’imprime sur tes… ton… et enfin non c’est pas mieux. » la conversation sur un tout autre sujet serait bien plus sage. Elle les aida à passer le reste de l’après midi dans une ambiance détendue. Jusqu’à ce retour en cuisine. Angie n’était pas d’une grande aide. Elle aimait le voir faire, s’affairer dans la cuisine comme s’il était totalement dans son élément. « -tu devrais lui envoyer une photo lorsque ça sera terminé. » proposa Angie en parlant de Nonna bien entendu. Pour ce qui était du malaxage, Angie se porta volontaire. Mais lorsqu’Edward se colla à elle, et fit monter la température de quelques degrés d’un coup, elle s’autorisa à lui faire comprendre que ça devenait compliqué pour elle. Il voulait du temps, d’accord. Mais il devait arrêter de jouer ainsi. Avec la distance, c’était grisant. Là ça devenait presque douloureux… Elle le laissa partir en se mordant la lèvre inférieure. Inspira, expira avec lenteur, pour se reconcentrer sur ce qu’elle faisait.

« -c’est rien.
» avait répondu Angie. « -ne va surtout pas croire que je n’aime pas ça… c’est pas le cas. » ou non, ça avait la faculté de faire augmenter son rythme cardiaque… « -avec la  main ? Attends j’essaie. » ça ne fut pas une réussite et elle se mit à rire de fiasco. « -je sais… » souffla Angie avant de tenter de nouveau sa chance. « -hé c’est déjà mieux. Ba oui mais forcement toi tu as de l’entrainement ! » S’il faisait une photo, Nonna allait directement savoir qui avait fait quoi. Elle s’occupa ensuite de la table alors qu’Edward s’occupait de la cuisson. Puis elle récupéra son téléphone. « -ça sent bon ! » elle fit une photo de lui de dos, une autre alors qu’il s’occupait du repas. Et elle en fit une de l’assiette. « -je t’envoi tout ça, si tu veux les envoyer à Nonna. » elle fit la manipulation avant de délaisser son téléphone et de rejoindre. Elle l’embrassa avant de s’installer et de complimenter le plat : « -ça a l’air délicieux. »

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Sam 15 Juin - 22:07

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Ne faisant pas exception, Edward avait lui aussi nourrit bien des aprioris sur sa carrière d’influenceuse à leur rencontre. Il avait méprisé autant ce choix de carrière que la femme qui l’avait fait. Angelica en avait conscience. Ce n’était pas un secret d’État. Toutefois, leur cohabitation lui avait ouvert les yeux sur cette profession qu’elle avait sciemment choisi, avec ses qualités et ses aléas. Il avait ainsi découvert une jeune femme entrepreneuse, plus qu’une influenceuse, qui avait surfé sur la vague des réseaux sociaux pour réunir en un seul endroit, tout ce qui lui tenait à cœur. Toutefois, l’image de ce métier était souillé par ceux qui étaient avides de célébrité et d’argent facile, au détriment des quelques exceptions, à l’instar d’Angelica. Pourtant, en l’écoutant évoquer ses études supérieures et sa carrière dans une entreprise importante, ce n’était aucunement la route qui lui était destinée en finalité. « As-tu envisagé de leur montrer l’envers du décors ? » proposa simplement Edward en portant sa fourchette à ses lèvres dans un geste presque nonchalant. « Ton image est publique. Tu as des responsabilités inhérentes à ce rôle. Je le comprends ». Angelica n’était pas entièrement libre en raison de son image qui était dorénavant devenue publique. Son opinion était importante, les causes qu’elle défendait également. Toutefois, en cas d’impair, elle pouvait provoquer une levée de contestation à son encontre. Mais ce qui intriguait davantage Edward, c’était de connaître le cheminement qui avait conduit une étudiante en business et vente, en couple, à tout abandonné pour devenir celle qu’elle était aujourd’hui, assise face à lui, à dévorer ses pancakes. La réponse ne fut pas celle qu’il avait envisagé. Cet individu avait souhaité la reléguer au rôle de femme au foyer dans l’unique objectif d’élever leur enfant, sans se soucier de son épanouissement personnel et professionnel. Mais c’était lui qu’on désignait comme antipathique dans la presse politique. Ironique, n’est-ce pas ?! Sans Flynn, elle aurait été probablement cette mère au foyer, subissant les remarques acerbes d’un homme qu’elle aurait probablement finit par ne plus aimer. Sans mot, Edward avala une longue gorgée de jus d’orange, reposant lentement son verre sur la table « Flynn a su intervenir au moment opportun », et renchérit « Tu désirais avoir un enfant avec lui ? ». Sa voix était sans jugement. Il souhaitait seulement savoir, puis finit par demander « Qu’est-ce qui t’a séduite chez lui ? ». Parce qu’au vu de la description qu’avait pu lui en faire Angelica, il ne comprenait pas ce qui avait pu la faire tomber amoureuse d’un tel individu.

Quant à leur propre histoire, elle s’était crée dans le désordre, et peu à peu, ils devaient établir quelques dispositions, notamment celle de savoir où elle dormirait à compter de maintenant. Edward n’imaginait dorénavant plus ses nuits sans elle blottie dans ses bras, mais il ignorait ce que la jeune femme désirait elle. Sans réelle surprise, elle préférait sa présence à une place vide dans son lit la nuit. Un sourire espiègle étira les lèvres du quadragénaire quand elle évoqua, avec trouble, son torse moulé dans un t-shirt humide. Une vision qui la déstabilisait tout autant que de le savoir pratiquement nu dans l’eau chlorée « J’ai compris. J’ai compris. Je reste dans l’eau » rétorqua-t-il tout en émettant un petit rire amusé. Edward décida donc de cuisiner en étant entièrement vêtu cette fois-ci, afin de ne pas croître le trouble de sa petite-amie tandis qu’il préparait la recette de gnocchis de sa grand-mère. Concentré par sa préparation, Edward inclina légèrement la tête en sa direction pour l’observer « Elle serait ravie. Je te laisse immortaliser le moment ? ». Un peu plus tard. Parce que la pâte était prête et qu’il décida de venir l’aider pour la malaxer, en se blottissant dans son dos. Une proximité pour le moins troublante, et plus encore lorsqu’il se laissa dicter sa conduite par son envie d’elle, déposant ses lèvres dans son cou. Si Angelica n’avait pas prononcé ainsi son prénom, probablement qu’il aurait poursuivi. Il décida de s’éclipser un instant, le temps de reprendre contenance, pour revenir auprès de la jeune femme quelques minute plus tard.

Edward trouva judicieux de lui présenter des excuses. Après tout, il exigeait d’elle du temps, et au moindre rapprochement, il cédait à la tentation. Quoique depuis qu’il était rentré d’Italie, le politicien n’était plus certain de vouloir patienter davantage avant de découvrir son corps, de la sentir gémir contre lui… Concentre-toi ! martela brusquement cette petite voix intérieure, probablement celle de la raison, et releva ses prunelles azures sur Angelica qui décida de le rassurer. Il esquissa un timide sourire « Je n’ai jamais cru cela, Angie » et préféra lui montrer comment manier la pâte pour qu’elle forme ensuite de jolies gnocchis. Son rire rejoignit celui d’Angelica en chœur et reprit « On y est presque ». Son rire se dissipa, et lui confia à quel point il tenait à elle avec ses propres mots. Il hocha sensiblement de la tête pour seule réponse, et la laissa retenter sa chance « J’ai appris à faire des gnocchis à huit ans ». Il continua de les former, avec un naturel déconcertant pour un amateur, puis les fit revenir dans la poêle. « Oui » confirma-t-il sans se soucier des photographies que prenaient Angelica, se suffisant d’un « Merci » quand elle lui envoya les clichés sur son portable. Il lui rendit son baiser tout en déposant les assiettes sur le comptoir et prit place à ses côtés « Bon appétit la mia luce ». Il prit la première bouchée et sourit avec nostalgie, le ramenant sans mal à ses huit ans, cuisinant dans la maison de Nonna, en Italie. « Je ne te l’ai pas dit ce matin, mais Flynn ne doit pas avoir peur que je t’éloigne de lui. Il peut venir ici-même, à la maison. Tu n’as pas besoin de mon autorisation ».


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Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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« -alors je l’ai fait… au début. Et je me suis vite rendu-compte que c’était pas ce qui les intéressait. » répondit Angie la bouche pleine. « -j’ai préféré prendre l’option je suis sincère et je leur parle de mes soucis. Ça à bien mieux fonctionné. » Elle parlait de ses followers. « -techniquement, je n’ai pas à plaire à tout le monde. » elle voulait parlé de des proches d’Edward. Ils n’étaient pas son publique. Alors forcément ils jugeaient. Le jour où ils se rencontreraient, elle leur faire un petit exposé. Elle se retrouva à parler de sa vie d’avant, de Travis également. « -oui… » elle sourit. Avant de faire un non de la tête. « -non. C’était pas du tout le moment pour ça. J’étais pas prête à devenir responsable d’un autre être vivant. » elle sourit : « -je le suis toujours pas d’ailleurs. » avant qu’il ne pose la question. Elle poussa un long soupire avant de répondre à nouveau : « -quand je l’ai rencontré, il était charmant, attentionné… enfin… comme la plus part des pervers narcissiques. Il était l’homme idéal. Et moi la proie facile. » Edward n’avait pas idée des efforts qu’elle avait fournit pour se reconstruire, pour de nouveau se faire confiance, pour devenir celle qu’elle était aujourd’hui. Ça avait été un long chemin. Elle lui avait dit un soir, devant ce film qui l’avait fait royalement pleurer, qu’elle ne souhaitait pas d’une histoire d’amour. Sans doute par peur de revivre tout cela. Par peur de se perdre de nouveau.

Durant le cours de cuisine, Angie n’eut d’autre recourt que de demander silencieusement à Edward d’arrêter de la torturer. Ça avait été le cas toute la journée. Et ça devenait de plus en plus compliqué. Alors s’il s’approchait, qu’il décidait de jouer, il devrait assumer en conséquence. Il comprit le message. Elle espéra ne pas l’avoir blessé. Lorsqu’il revint, elle tenta de la rassurer. Elle adorait cette attitude, sentir ses lèvres sur sa peau, son corps contre le sien… Angie tenta ensuite de s’appliquer à réaliser la recette, riant de ses gestes qui étaient loin d’être aussi expert que ceux d’Edward. « -ah oui, donc c’est plutôt normal que je galère. » s’amusa la jeune femme en s’appliquant du mieux qu’elle pouvait. Quelques photos plus tard, ils passaient à table. Elle gouta et trouva cela délicieux. « -c’est un régal. » quelques mots qui confirmait le savoir faire d’Edward. Puis elle l’écouta avec attention et un sourire doux se glissa sur ses lèvres. « -merci… » que répondre de plus. Le repas se déroula avec douceur, et elle finit par se lever pour faire la vaisselle. Chose qu’elle n’aimait pas faire, mais Edward avait déjà fait tout le reste, elle pouvait, devait aussi participer. Elle finit par rincer l'éponge et la déposer sur le rebord de l'évier, avant de se sécher les mains, collant son dos contre l'évier pour regarder Edward.


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Dim 16 Juin - 13:43

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Edward constata qu’il ignorait finalement tout du milieu de l’influence et des réseaux sociaux, et ça aurait pu le cas encore de nombreuses années sans Angelica. « Ils souhaitent que tu les fasses rêver ». Après tout, les réseaux sociaux étaient les nouveaux livres. Ils ne s’évadaient dorénavant plus au travers de leur imaginaire, par procuration, en vivant au travers d’un écran, la vie rêvée que prétendait avoir les influenceurs. La seule différence avec la femme qui se tenait face à lui faisait preuve de sincérité à l’égard de ses followers, en partageant autant ses joies que ses peines « Je le constate ». L’influenceuse avait su adhérer une importante communauté, qui était présente pour elle au quotidien, et qui lui permettait de vivre de sa passion au quotidien. « Personne n’exige cela de toi ». Ces mots, pourtant pas dénué de douceur, furent prononcés avec conviction par le politicien, qui n’en pensait pas moins. Edward n’attendait pas à ce que la jolie rousse ne se censure ou se travestisse afin de correspondre aux attentes de chacun. Il tenait à elle telle qu’elle était, avec ses qualités et ses imperfections, et il désirait qu’elle reste ainsi. Libre. Ce qui n’était pas la perception que partageait son ex-petit-ami qui avait sacrifié le bonheur de la jeune femme à son profit… Installé au fond de la chaise, ses jambes élégamment croisée, tandis que ses bras reposaient sur les accoudoirs, il ne cessait la contemplait de ses prunelles azurées. Elle était si belle. Un sourire étira les lèvres du quadragénaire lorsqu’elle anticipa la question qui allait inéluctablement suivre la réponse qu’elle venait de lui donner « Je ne le suis pas non plus » avait-il répondu avec la même douceur qu’il introduisit dans le sourire qu’il lui destina. Il le laissa peu à peu s’éclipser de ses lèvres à la question suivante. « Un prédateur » corrigea Edward avec plus de fermeté qu’il n’aurait souhaité mettre dans sa voix. Il resta un instant silencieux, et reprit « Il ne mérite pas le qualificatif d’homme idéal. C’est un prédateur qui t’a choisie pour proie, jusqu’à anéantir toute confiance, toute joie en toi, alors que tu mérites qu’on te considère comme la chose la plus belle et la plus précieuse qui soit sur cette terre ». Il se pencha pour se saisir de sa tasse de café, laissant une gorgée du liquide brun glisser le long de son œsophage et reprit « Je ne prétends pas être meilleur que cet … individu. Je ne le serais probablement pas dans certains moments de notre vie à deux. Mais ce dont je suis certain, c’est que je l’encourage à prier chaque jour pour ne pas croiser ma route. Parce que ce jour-là, je l’anéantirais à mon tour ». Sa voix était devenue brusquement plus profonde, plus dangereuse, alors qu’il formulait sa menace à peine voilée. Il reprit une gorgée comme si de rien n’était, tout en adressant le plus tendre des sourires à Angelica, déclarant comme si de rien n’était « Tu es si belle ».

C’était pour ces raisons-là qu’il était difficile pour Edward de seulement focaliser toute son attention sur les gnocchis de sa grand-mère. Il pouvait encore sentir le grain si fin de sa peau contre ses lèvres, et entendre son prénom prononcé dans une supplique… Elle avait aimé. Elle le lui avait dit. Toutefois, il lui avait demandé du temps et elle le lui octroyait. Comment ne pas l’aimer davantage. Il fit tourner les gnocchis sous la paume de sa main, et sourit en relevant ses prunelles saphirs sur elle « Oui. C’est normal » et continua de préparer le dîner. « Tu remercieras Nonna pour sa recette », parce qu’il n’avait fait qu’appliquer les consignes. Un simple hochement de tête suivit le remerciement de la jeune femme, et continuèrent de dîner. Il débarrassa la table tandis qu’Angelica s’obstinait à vouloir faire la vaisselle. Pourtant, ça n’avait pas été faute de lui dire « J’ai du personnel pour ça Angie » ou encore de préciser la présence du lave-vaisselle à proximité. Elle l’avait ignoré et s’était empressée de la faire sous son regard attendrie et amusé par son entêtement légendaire. Edward avait dès lors jeté son dévolu sur la préparation de deux tasses de thé pour conclure le dîner. Les deux sachet de thé reposaient dans les deux récipients, dans l’attente de l’eau chaude qui chauffait lentement dans la bouilloire. Il profita de ce moment d’accalmie pour rejoindre Angelica, entourant sa taille de ses bras et déposa ses lèvres sur les siennes. Mais plus ses lèvres se familiarisaient aux siennes, et moins il avait envie d’y mettre un terme. Sa main délaissa le bas de son dos pour envelopper sa joue, approfondissant l’étreinte de leurs lèvres. Sa langue s’aventura jusqu’à la sienne, ambitionnant à en découvrir chaque recoin. De son autre main, il tâtonna aveuglément jusqu’à atteindre l’interrupteur de la bouilloire et mis un terme à son sifflement, puis entoura le visage de la jolie rousse, jusqu’à ce qu’il trouve suffisamment de volonté pour mettre un terme à leur baiser. Lorsqu’il posa enfin son regard sur elle, l’iris azurée était pratiquement dissimulée par le dilatement de sa pupille trahissant le désir qui le consumait de l’intérieur. Il rétorqua dans un murmure « Le thé est prêt »


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Dim 16 Juin - 15:20

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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Angie avait souri. « -et pourtant au départ, il avait tout de l’homme parfait. Mais oui, tu as raison… je me suis faite piégée. Sans Flynn pour me faire ouvrir les yeux, je ne sais pas ce que je serais devenue. » elle sourit un peu plus encore en baissant les yeux, rougissant presque. « -arrête tu veux… » la chose la plus précieuse du monde… ça faisait beaucoup tout de même. « -je veux… je veux seulement être aimé sincèrement, pour qui je suis. » c’était tout ce qu’elle voulait. Qu’on la respecte assez pour l’aimer autant qu’elle pouvait aimer. « -Edward… » elle sourit derrière sa tasse de thé. « -Travis fait parti de mon passé et il y restera. Flynn s’est occupé de son cas à l’époque… » si bien qu’il était parvenu à le faire viré de son emploi pour fraude. Il avait salie sa réputation sur les réseaux… Aujourd’hui, Travis ne vivait plus à New York mais dans le Montana. Seul et ruiné. « -c’est du passé… » et ça n’avait plus lieu d’être.

La soirée en tête à tête se déroula tout comme la journée. Entre calme et tension. Entre discussion et regard qui voulait tout dire. Elle voulu faire la vaisselle après mangé. « -oui je sais, j’ai mis ce que je pouvais dans le lave-vaisselle, mais je peux frotter deux casseroles à la place de Yuma. » après tout avant de venir vivre ici, elle faisait sa propre vaisselle. Elle le laissa mettre de l’eau à chauffer, puis s’essuya les mains avec lenteur. Elle posa le torchon sur le côté lorsqu’Edward vint entourer sa taille de ses mains, et l’embrasser avec envie. Angie avait contrôlé ses envie de l’embrasser durant toute la journée, afin de ne pas se laisser tenter plus encore. Mais la journée était terminée… pourtant, lorsqu’il recula la visage, elle posa ses deux mains sur son torse. Comme pour le tenir de nouveau à distance. « -tu as raison… » elle n’avait pas du tout envie de boire du thé. C’était de lui dont elle avait envie… Horriblement… terriblement envie… Alors au lieu de le laisser prendre la bouilloire, elle l’attira de nouveau à elle pour l’embrasser. « -j’ai pas envie de boire du thé… » souffla Angie. Mais elle se mordit les lèvres et ajouta en tentant de rester sage : « -je vais… je vais aller me mettre en pyjama… le temps que tu verres l’eau chaude… » oh ba oui, ça va vachement aider. Simplement changer de pièce… Sans plus attendre, elle quitta la cuisine pour rejoindre sa chambre. Il a dit qu’il voulait du temps… tu vas pas lui sauter dessus quand même !



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