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LE TEMPS D'UN RP

Une dernière romance avant le trépas.

Edward
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Edward
Mer 1 Nov - 13:12
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Edward
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Edward
Mer 1 Nov - 13:13

Jordan Beauprés
J'ai 29 ans. Dans la vie, je suis au chômage et je m'en sors mal. Sinon, je suis célibataire et je le vis plutôt mal.

Enfance compliquée dans un quartier difficile, je me suis vite rapproché des mauvaises personnes. J’ai un temps été guetteur pour les vendeurs d’herbe et, de fil en aiguille, j’ai fini par devenir encaisseur. Finalement, après une bagarre qui a mal tourné, j’ai fait quelques années de placard. Depuis ma sortie, je me suis rangé et je suis devenue un honnête galérien. Malgré ce passif de loubard, j’ai toujours été une bonne personne. J’entends par là que je n’ai jamais fait partie de cette racaille qui agresse les gens lambda, au contraire, j’avais plutôt une tendance naturelle à m’interposer. Cela dit, j’ai quand-même l’impression d’ouvrir les yeux sur un avenir de merde…

Il n’y a pas à dire, je suis dans le fond.
Je pleure en silence, complètement épuisé et résigné, j’abandonne, j’ai plus de forces. Le système m’a eu et je me vois déjà retourné en cage pour vingt ou trente ans, si ce n’est plus. Au final, je m’imagine crever en prison, quel autre parcours s’offre à moi de toute façon ?

Je n’entends pas ce que dit la jeune femme, je n’écoute plus, je n’en suis plus capable. Flinguez-moi, qu’on en finisse bordel ! Moi, j’en peux plus.

Soudain, je sens des bras qui se referment sur moi, m’entourant d’une chaleur aussi inattendue que réconfortante. Alors, enfin, les mots prononcés par une voix douce et tendre, légèrement surexcitée, se frayent un chemin jusqu’à mes neurones.
Libre, je suis libre ?
Mon cerveau reconstruit les évènements car, lui, il a tout entendu. Je suis libre parce que Mélanie a confirmé ma déposition. Je ne suis pas un complice de ce salop, j’en suis une victime, rien de plus, elle le confirme, elle l’affirme.
Ainsi, les charges éventuellement retenues contre moi s’envolent.

Lorsque ses lèvres se posent sur les miennes, la surprise me transi un instant avant que je ne la prenne dans mes bras à mon tour. Je la serre fort contre moi, appuyant plus ce baiser.
Soudain, l’espoir revient en moi.
Peut-être qu’il y a quelque chose pour moi dehors, finalement.
Rompant le baiser, je prends son visage entre mes mains, les paumes sur ses joues, plongeant mes yeux dans les siens.

Merci… Murmurais-je. Un simple mot, accompagné du flot d’émotions que lui dévoilaient mes pupilles sans qu’aucun filtre ne soit possible. La gratitude, la reconnaissance, l’espérance, l’amour aussi, probablement. Tout cela, elle pouvait sans aucun doute le voir dans mon regard. Alors, j’avais resserré mon étreinte, plongeant mon visage dans son cou où j’avais laissé la pression finir de s’évacuer, pleurant contre elle, humidifiant la peau de son cou de mes larmes silencieuses.

****

J’appréhendais un peu sa réaction, mais, finalement, je poussais la porte de mon appartement.

J’étais libre depuis un peu plus de 24 heures mais, le temps de reprendre convenablement ma déposition, de prendre la sienne et de prendre nos plaintes respectives puis de faire la paperasse administrative pour lever toute ombre de charge contre moi, je n’étais sortie qu’aujourd’hui.
Mon cœur avait fait un bond en la voyant, devant le poste, à m’attendre.
Elle était la seule à être venue me voir en prison, elle était la seule à m’attendre à la sortie alors, sans aucune réflexion, je m’étais jeté à son cou pour la prendre dans mes bras.

Elle avait proposé de me ramener chez-moi et j’avais accepté. Je lui avais alors offert de boire une bière et, maintenant, j’étais terrifié de lui dévoiler l’intimité de mon logement.
A ma sortie de prison, j’avais enchainé quelques petits boulots, ce qui me permettait de me payer un petit appart.
En poussant la porte pour lui permettre d’entrer, elle pouvait découvrir ce lieu.
L’entrée donnait sur la pièce à vivre. La minuscule cuisine à gauche, le salon, salle à manger à droite. En face de l’entrée, trois portes. L’une donnant sur la chambre, l’autre sur la salle de douche et, la dernière, sur les toilettes.
Le mobilier était constitué d’un canapé, d’un meuble télé avec une petite télé, d’une table basse minuscule et d’une bibliothèque pour le salon. Côté cuisine, en plus de la kitchenette, j’avais un frigo, une table pour deux et deux chaises. C’était tout. Très peu de bibelots, rien aux murs, quelques magazines et de rares bouquins sur les étagères.
Sobriété et dépouillement total. La chambre, même si elle ne la voyait pas encore, était dans le même style. Un lit double basique, deux caisses en plastique en guise de tables de nuit et une penderie intégrée au mur pour mes fringues.

Une fois la porte verrouillée derrière elle, je sortais deux bières du frigo avant de lui en tendre une.

Voilà… C’est chez-moi… Tu… Tu viens quand tu veux !

Telanie
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Telanie
Mer 1 Nov - 13:55

Mélanie Kerd
Mélanie a 24 ans, elle vient de finir ses études de droit, mais en réalité, rien ne va dans sa vie, elle s’égare, son père qui était son plus gros repaire dans la vie est décédé d’un cancer. Elle ne cherche pas réellement de travail depuis son décès et a perdu le goût de la vie. Elle passe le plus clair de son temps dans des lieux insolites à fumer, boire et parfois même se droguer avec des amis qu’elle n’apprécie que pour se défoncer. Elle s’habille comme une femme qui n’a pas peur de mourir et qui déprime constamment et qui en a rien à faire de l'avis des autres. Ce qu’elle s’apprête à vivre va la changer radicalement. Est-ce l'amour naissant avec cet inconnu captif dans sa cellule ou l’absence d’avenir qui lui redonnera l’envie de vivre ? Une chose est sur, si elle sort de là, elle va reprendre sa vie en main.




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Le calvaire était enfin fini, et contre toute remarque désobligeante et commentaire désagréable de ma famille et également de la police, j’avais décidé de l’attendre à la sortie du commissariat une fois qu’il avait enfin décidé de le relâcher car il était devenu pour moi ma nouvelle drogue, indispensable à ma survie. Avant cela, j’avais du faire ma déposition, et bien sûr le vrai criminel allait en baver, mais mon petit doigt me disait que cette histoire ne faisait que commencer et que le meilleur restait à venir.

De fils en aiguilles, me voilà amener à l’appartement spartiate de Jordan, mais pour un ancien taulard, je dois avouer que je m’attendais à une montagne de chaussettes sales, où même à un rat mort au milieu du canapé.

A vrai dire, il n’y avait rien de plus qu’une succession de petites pièces, et d’une bière, promise à la sortie.

“C’est plus sympa que le dernier endroit où on était enfermé, il y a … de la bière…”
Dis-je en le pensant vraiment et en rigolant avec lui. Je récupère la fameuse bière et installe mon postérieur sur la table de la kitchenette. Je souris une deuxième fois dans sa direction et finit par lui dire de façon décontractée.

“J’ai une bonne nouvelle pour toi… j’ai discuté avec un ami restaurateur au téléphone avant de venir te prendre, il cherche trois personnes actuellement, une pour faire la plonge, l’autre le service et un dernier en tant que commis à la découpe des légumes. Je lui ai parlé de toi et il est d’accord pour te prendre, malgré ton passif de vilain chenapan, et je le cite, il ne te demandera rien de plus que aux deux autres. Si cela te tente… je peux te passer son numéro de téléphone…?”


Il va surement être encore pris de cours mais j’ai vraiment à coeur de le rendre heureux, je suis sur qu’il en vaut la peine. Je pose alors ma bière sur la table et me relève de ma posture assise/posée délicatement et avec grâce sur un coin de meuble.

“Avant que tu dises quoi que ce soit, sache que moi j’ai une condition.”

Je m’approche alors de lui et l’enlace à nouveau, décidément je suis vraiment mordu par cet homme.

“J’aimerais que tu me répondes honnêtement, est ce que j’ai mes chance avec toi ? Avec mon passif tout ça, je comprendrais que tu espères mieux, tu vois ? ”


Une façon pour moi de le prendre de cours et de ne pas l’entendre dire que je le mérite pas et que je peux trouver mieux que lui. Au moins il sait ce que cela fait d’entendre une bêtise pareille.

“Non je te demande ça car j’ai une fâcheuse tendance à picoler, et faire des bêtises, le genre vilaine fille…Tu vois ?”

Je tapote ses muscles avec grâce avec le bout de mes doigts pour finalement conclure : “Et toi et moi on sait ce que l’on doit faire à une vilaine fille…” Je lui fais un clin d'œil entendu, je le chauffe beaucoup, bien que cela nous rappellera tous les deux la séance de fessé forcé, cette fois, on peut dire que c’est moi qui le veut, pas une tierce personne, cela peut se lire dans mes yeux et ma lèvre mordillé.


Edward
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Edward
Mer 1 Nov - 16:02

Jordan Beauprés
J'ai 29 ans. Dans la vie, je suis au chômage et je m'en sors mal. Sinon, je suis célibataire et je le vis plutôt mal.

Enfance compliquée dans un quartier difficile, je me suis vite rapproché des mauvaises personnes. J’ai un temps été guetteur pour les vendeurs d’herbe et, de fil en aiguille, j’ai fini par devenir encaisseur. Finalement, après une bagarre qui a mal tourné, j’ai fait quelques années de placard. Depuis ma sortie, je me suis rangé et je suis devenue un honnête galérien. Malgré ce passif de loubard, j’ai toujours été une bonne personne. J’entends par là que je n’ai jamais fait partie de cette racaille qui agresse les gens lambda, au contraire, j’avais plutôt une tendance naturelle à m’interposer. Cela dit, j’ai quand-même l’impression d’ouvrir les yeux sur un avenir de merde…

Elle est là, posé sur mon meuble, gracieuse avec sa bière à la main. J’ai lâché un sourire lorsqu’elle a remarqué que ma piaule était plus confortable que le dernier endroit où l’on s’est retrouvé tous les deux.
De sa position, elle m’annonce qu’un ami à elle recherche du monde et qu’elle a parlé de moi. Je suspends mon geste alors que j’allais porter ma bière à la bouche, ouvrant des yeux ronds.

T’es sérieuse ? Il veut bien m’prendre à l’essais ?

C’est tout ce que j’ai le temps de dire avant qu’elle ne se lève, féline, pour s’approcher de moi, indiquant qu’elle y met une condition. Elle me prend dans ses bras et me demande alors de lui dire, honnêtement, si elle a une chance avec moi. Comme un écho à ce que je lui avais dit en prison lors de sa demande en mariage, elle m’assure qu’elle veut ma réponse même si j’étais en droit d’attendre meilleur parti… C’est pas beau de piquer l’argumentaire des autres, pensais-je en souriant légèrement. Elle précise qu’elle peut être amenée à pas mal picoler et à avoir un comportement un peu moyen, mais je m’en fous. Nos regards se croisent alors qu’elle laisse ses doigts trainer sur moi, arguant que l’on sait tous deux ce qui arrive aux vilaines filles.

Je profite de son regard face au mien pour lui partager ma sincérité alors que je crois voir du désir dans le sien.

Oui ! Tu as tes chances !... Dis-je sans aucune hésitation. Putain, t’as carrément tes chances Mélanie ! Lançais-je en l’enlaçant à mon tour pour la presser contre moi. T’es la seule personne qui compte dans ma vie… Avouais-je avant de l’embrasser avec fougue. Compte sur moi pour te corriger quand tu veux ! Susurrais-je en souriant à son oreille avant de reprendre possession de ses lèvres. D’instinct, je viens glisser une main sur sa nuque pour approfondir mon baiser, venant chercher sa langue.
Mon autre main s’est posée sur sa hanche pour renforcer la pression de mon corps contre le sien, mettant pour la première fois nos bassins en contact. Mon désir pour elle grimpe en flèche et, bientôt, elle va le sentir contre son bas-ventre. Pourtant, je n’hésite pas, je n’ai aucune envie de lui dissimuler l’effet qu’elle me fait.

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Mer 1 Nov - 16:44

Mélanie Kerd
Mélanie a 24 ans, elle vient de finir ses études de droit, mais en réalité, rien ne va dans sa vie, elle s’égare, son père qui était son plus gros repaire dans la vie est décédé d’un cancer. Elle ne cherche pas réellement de travail depuis son décès et a perdu le goût de la vie. Elle passe le plus clair de son temps dans des lieux insolites à fumer, boire et parfois même se droguer avec des amis qu’elle n’apprécie que pour se défoncer. Elle s’habille comme une femme qui n’a pas peur de mourir et qui déprime constamment et qui en a rien à faire de l'avis des autres. Ce qu’elle s’apprête à vivre va la changer radicalement. Est-ce l'amour naissant avec cet inconnu captif dans sa cellule ou l’absence d’avenir qui lui redonnera l’envie de vivre ? Une chose est sur, si elle sort de là, elle va reprendre sa vie en main.




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Il se décide enfin à m'embrasser par envie, je commençais à croire qu' en réalité, c'est moi qui le fantasmer. Mais non, on est enfin ensemble, l'un contre l'autre son bassin contre le mien et son désir grimpant le long de ma jambe au travers de son pantalon. Seulement voilà, comme précitées antérieurement je suis une vilaine fille et donc, je dois me comporter comme tel. Ainsi après son baiser des plus chauds qui ne me laisse pas du tout indifférente que l'on s'entendent bien. Je le plante !

Pas avec un couteau, je vous rassure, mais sur place, l'abandonnant à sa fougue masculine. En n'oubliant pas de dire : "cool" avec un ton taquin avant de me rendre à mon sac à main dans le couloir. Je retire mon portable qui se trouve à l'intérieur me saisit d'un bloc note et inscrit le fameux numéros de mon ami Éric dessus comme si ce qu'il venait de faire m'était indifférente, je vous le dis, pas du tout !

Je sais qu'il est chaud comme la braise mais je compte bien le faire mijoter encore cinq minutes..

"Chose promise, chose due…" lui dis je en lui tendant le papier et quand celui-ci tentera de le prendre en me rejoignant je retirerais ma main à la hâte pour lui retirer son trophée sous le nez et lui gloussait ces quelques mots :

"Oh la vilaine fille que je suis…" Je me joue de lui avec un énorme sourire aux lèvres, et reprend ma bière pour en boire une gorgée tout en cachant le numéro dans mon dos.

"Je me disais que je te rends quand même pas mal de service ces derniers temps et qu'il serait normal que toi aussi, tu fasses un truc ou deux pour moi… il s'avère que j'ai une énorme envie… de voir ta chambre… tu vois ? Mais bon c'est le genre de service que tu fais sûrement pas à toutes les filles que tu rencontres j'imagine ? "

Je le laisse gamberger avec cette demande puis conclu avant qu'il réponde : "mais surtout prend le temps de finir ta bière, on est pas pressé hein… ? Éric peut attendre."

Edward
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Mer 1 Nov - 17:16

Jordan Beauprés
J'ai 29 ans. Dans la vie, je suis au chômage et je m'en sors mal. Sinon, je suis célibataire et je le vis plutôt mal.

Enfance compliquée dans un quartier difficile, je me suis vite rapproché des mauvaises personnes. J’ai un temps été guetteur pour les vendeurs d’herbe et, de fil en aiguille, j’ai fini par devenir encaisseur. Finalement, après une bagarre qui a mal tourné, j’ai fait quelques années de placard. Depuis ma sortie, je me suis rangé et je suis devenue un honnête galérien. Malgré ce passif de loubard, j’ai toujours été une bonne personne. J’entends par là que je n’ai jamais fait partie de cette racaille qui agresse les gens lambda, au contraire, j’avais plutôt une tendance naturelle à m’interposer. Cela dit, j’ai quand-même l’impression d’ouvrir les yeux sur un avenir de merde…

Je sens mon cœur s’alléger de façon assez fantastique alors qu’elle répond à mon baiser, jusqu’à ce qu’elle s’éloigne. Je ne vois pas venir le coup fourré alors qu’elle se contente d’un petit “Cool” approbateur. Elle file alors vers l’entrée pour noter le numéro de son ami sur un bout de papier, non sans m’avoir lancé un regard enjôleur avant. Dans mon esprit, elle veut le faire avant d’oublier.
Je bois une gorgée, sentant mon bassin irradier d’une chaleur dévorante alors qu’elle revient, me tendant le papier avec un sourire coquin.

Je… J’allais le saisir en disant que je promettais de l’appeler un peu plus tard, mais elle soustrait l’objet pour le planquer dans son dos, pouffant qu’elle était une vilaine, me narguant en buvant à son tour. De mon côté, je joue le jeu en lui lançant un faux air contrarié, agitant ma main à plat comme une menace.
Malgré mes grands airs, lorsqu’elle réclame de voir ma chambre comme un service que je lui dois, je ne peux m’empêcher de rosir légèrement. J’ai avoué ma timidité en prison, elle peut constater que ce n’était pas un jeu.
Il faut bien comprendre qu’avec la prison, j’ai sectorisé un certain nombre de choses. Mon chez-moi, c’est mon intimité profonde et c’est plus délicat à montrer que bien des choses. Ce n’est pas tant la honte du dépouillement, c’est assez vide et impersonnel, mais c’est propre et rangé. C’est… hyper personnel en fait. Puis j’ai pas l’habitude d’avoir du monde chez-moi.
A l’inverse, je ne suis pas pudique pour un sou, comme elle le sait déjà. La prison ne permet pas la pudeur.

Pourtant, même si cela me fait chauffer les joues, j’ai envie de lui faire plaisir. Aussi, bien qu’elle me dise de prendre mon temps, je pose ma bière sur le meuble avant de l’inviter à me suivre.
Une fois de plus, j’ouvre la porte pour lui dévoiler la petite chambre que j’occupe.
Comme le reste de l’appart, les murs sont blancs et le sol, en parquet. Contre un mur, mon grand lit avec une couette unicolore grise, deux oreillers et les caisses en plastique. Le placard intégré au mur, en face du lit et, une fenêtre sur le mur opposé à la porte.

Je… Voilà…Il n’y a que toi qui es venue dans cet appartement depuis que je l’ai…T’imagines pas à quel point c’est intime pour moi… Alors…

J’ai l’impression de bafouiller comme un minot tandis que je me tourne vers le placard. Je me dirige vers ce dernier, ouvre le tiroir, le seul, et fouille dedans avant de me tourner de nouveau vers la jeune femme.
Je viens accrocher son regard, tenant le poing serré.

Tu viens quand tu veux ! Concluais-je en déposant un double de la clé dans sa main sans qu’il n’y ait la moindre once d’hésitation dans mes pupilles.
Ouai, je viens de lui donner la clé de chez-moi… Personne n’a jamais eu la clé de mon domicile, jamais.

Telanie
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Telanie
Mer 1 Nov - 17:41


Mélanie Kerd

Mélanie a 24 ans, elle vient de finir ses études de droit, mais en réalité, rien ne va dans sa vie, elle s’égare, son père qui était son plus gros repaire dans la vie est décédé d’un cancer. Elle ne cherche pas réellement de travail depuis son décès et a perdu le goût de la vie. Elle passe le plus clair de son temps dans des lieux insolites à fumer, boire et parfois même se droguer avec des amis qu’elle n’apprécie que pour se défoncer. Elle s’habille comme une femme qui n’a pas peur de mourir et qui déprime constamment et qui en a rien à faire de l'avis des autres. Ce qu’elle s’apprête à vivre va la changer radicalement. Est-ce l'amour naissant avec cet inconnu captif dans sa cellule ou l’absence d’avenir qui lui redonnera l’envie de vivre ? Une chose est sur, si elle sort de là, elle va reprendre sa vie en main.







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Je dois bien l'avouer je m'attendais à tout sauf à une chambre rangée. Tout comme son appartement, c'est niquel.


Il m'avoue que son appartement est super intime pour lui et pourtant il sort assez vite une clef de son tiroir pour me la donner en main propre, un double. Il veut que je vienne quand j'en ai envie.


"Je passerais pendant que tu travailles pour fouiller dans tes tiroirs." Lui dis-je sur un ton taquin et en l'embrassant d'un baiser bref pour le remercier de ce cadeau.


Je me cache encore derrière cette taquinerie mais s'il savait à quel point je suis touché par ce geste je pense que je me mettrais à pleurer de joie. Alors je préfère fanfaronner en lui faisant croire que ce n'est qu'une clef. En réalité, c'est la clef de son cœur et je compte bien lui donner le mien.


Pour l'heure je lui montre le papier et le glisse dans mon pantalon et l'allume en remuant les sourcils. Puis je le déboutonne, le papier n'y est pas, j'ai dû le cacher bien plus profondément. Je me tourne et baisse le fameux jean tout en bombant bien les fesses. Puis je remonte sensuellement le torse tout en levant mes mains sur mon corps.


J'enlève un pied du cadavre de mon jean mort au combat et totalement abandonné au sol. Puis recrache avec l'autre pied sa dépouille dans un angle.


Je glisse mes mains sur le bas de mon pull et, tout en remuant les fesses, je le remonte doucement, afin de lui offrir un début de strip-tease. 


"Roh… où j'ai bien pu le mettre, je suis si distraite…"


Finalement j'interromps mes recherches et retire mon pull pour rester en tee-shirt rose. Ma petite danse commence à faire son effet mais cette clef dans ma main me gêne alors je me tourne et la laisse glisser dans mon corsage.


"Ce que je suis maladroite…" Finalement je m'avance sur le lit et pose mes mains dessus tout en bombant mes fesses à nouveau. 


"Je crois qu'il va falloir des mains expertes pour retrouver tout ça… "


Edward
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Mer 1 Nov - 18:13

Jordan Beauprés
J'ai 29 ans. Dans la vie, je suis au chômage et je m'en sors mal. Sinon, je suis célibataire et je le vis plutôt mal.

Enfance compliquée dans un quartier difficile, je me suis vite rapproché des mauvaises personnes. J’ai un temps été guetteur pour les vendeurs d’herbe et, de fil en aiguille, j’ai fini par devenir encaisseur. Finalement, après une bagarre qui a mal tourné, j’ai fait quelques années de placard. Depuis ma sortie, je me suis rangé et je suis devenue un honnête galérien. Malgré ce passif de loubard, j’ai toujours été une bonne personne. J’entends par là que je n’ai jamais fait partie de cette racaille qui agresse les gens lambda, au contraire, j’avais plutôt une tendance naturelle à m’interposer. Cela dit, j’ai quand-même l’impression d’ouvrir les yeux sur un avenir de merde…

Je ris lorsqu’elle ma lance qu’elle viendra fouiller mes tiroirs pendant que je serais au boulot. Elle risque d’être déçue et de ne rien trouver de croustillant. Cependant, j’accueille son baiser avec joie alors qu’elle me remercie pour ce cadeau qui, j’espère, la touche plus qu’elle ne le laisse paraitre.
Il n’y a pas à dire, c’est une bonne comédienne !

De nouveau, elle agite le papier sous mon nez avant de le faire disparaitre derrière son pantalon, haussant les sourcils d’une façon…aguicheuse. Elle joue et je la laisse faire, lui laissant le loisir de me faire languir alors que mon désir pour elle continue de grimper, largement entretenu par ses gestes. Elle se déhanche avant de déboutonner son jean. Pas de papier. Alors, elle se retourne, expose son fessier tout en baissant lentement son pantalon. Elle se redresse et se caresse pour définitivement se défaire du jean échoué.

Je l’admire faire, dégustant ses hanches, son postérieur et ses jambes d’un regard gourmand et envieux. Finalement, je vois apparaitre le bas de son ventre avant que son t-shirt ne le recouvre, lorsqu’elle entame de retirer son pull. Elle joue, m’asticote, râlant qu’elle a la tête en l’air et qu’elle ne retrouve pas ce papier. Moi, je me perds en contemplation jusqu’à ce qu’elle envoie valser son haut, restant en culotte et t-shirt rose devant moi, la clé ayant également disparu quelque part au niveau de son buste.
Elle continue son jeu en s’avançant vers le lit, s’appuyant dessus pour me montrer ses fesses. Alors, après avoir désespéré de sa maladresse, elle affirme que, seules des mains habiles pourront retrouver le papier égaré et la clé perdue.

Je devrais pouvoir te rendre service… Soufflais-je, le regard brillant alors que je m’avançais vers elle. Je posais une main sur sa nuque pour ensuite longer sa colonne vertébrale de mes doigts, m’arrêtant à la lisière entre t-shirt et culotte.
Je dois terminer de déblayer le terrain pour faire mes recherches cela dit… Susurrais-je en me penchant à son oreille. Dans le même temps, je lui caressais les fesses en un unique passage, doux et tendre avant de venir effleurer le bas de son dos sous son t-shirt.

Suis-je autorisé à faire le nécessaire ? Demandais-je d'une voix chaude, entrant pleinement dans son jeu.

Telanie
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Telanie
Mer 1 Nov - 18:37


Mélanie Kerd

Mélanie a 24 ans, elle vient de finir ses études de droit, mais en réalité, rien ne va dans sa vie, elle s’égare, son père qui était son plus gros repaire dans la vie est décédé d’un cancer. Elle ne cherche pas réellement de travail depuis son décès et a perdu le goût de la vie. Elle passe le plus clair de son temps dans des lieux insolites à fumer, boire et parfois même se droguer avec des amis qu’elle n’apprécie que pour se défoncer. Elle s’habille comme une femme qui n’a pas peur de mourir et qui déprime constamment et qui en a rien à faire de l'avis des autres. Ce qu’elle s’apprête à vivre va la changer radicalement. Est-ce l'amour naissant avec cet inconnu captif dans sa cellule ou l’absence d’avenir qui lui redonnera l’envie de vivre ? Une chose est sur, si elle sort de là, elle va reprendre sa vie en main.







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Son doigt glisse sur mon tee shirt pour finir sur ma peau. J'avale mon désir au plus profond de moi tandis que le papier s'humidifie légèrement dans sa cachette. 

Il me demande alors s'il peut continuer la fouille et vu que j'ai décidé d'être vilaine, je m'allonge sur le lit, roule sur moi même pour lui faire face, soulève mon pied chaussé muni de talon et le pose sur son épaules afin de l'empêcher de s'avancer sur moi.


"Non…" lui dis-je sur un ton des plus déstabilisant, histoire une nouvelle fois de le faire languir. Je me mords la lèvre, j'ai moi même terriblement envie de lui et il pourra le voir à mes seins légèrement plus serré dans mon soutien-gorge. La nature étant bien faite, la clef glisse légèrement hors de mon corsage. 


"Regarde, j'en ai déjà trouvé un sans toi ! Il n'y aura bientôt plus rien à chercher." Dis-je alors que je sais très bien que, excitée comme je suis, le papier va se tremper et se désagréger de lui-même.


Je tend les bras en arrière vers le sol et me saisit de la ceinture de mon pantalon que je mets sur le lit dans un premier temps. Puis, je le fixe dans les yeux et lui dit "tu devrais m'attacher avant que je fasse une autre bêtise."


Je tends alors mes poignets en demandant son aide pour être ficelé comme un saucisson. Depuis notre enlèvement, je n'arrive pas à savoir pourquoi mais j'ai un désir ardent de me faire dominer par un vilain voyou. Jordan semble tout désigné pour ça.


Edward
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Edward
Mer 1 Nov - 19:12

Jordan Beauprés
J'ai 29 ans. Dans la vie, je suis au chômage et je m'en sors mal. Sinon, je suis célibataire et je le vis plutôt mal.

Enfance compliquée dans un quartier difficile, je me suis vite rapproché des mauvaises personnes. J’ai un temps été guetteur pour les vendeurs d’herbe et, de fil en aiguille, j’ai fini par devenir encaisseur. Finalement, après une bagarre qui a mal tourné, j’ai fait quelques années de placard. Depuis ma sortie, je me suis rangé et je suis devenue un honnête galérien. Malgré ce passif de loubard, j’ai toujours été une bonne personne. J’entends par là que je n’ai jamais fait partie de cette racaille qui agresse les gens lambda, au contraire, j’avais plutôt une tendance naturelle à m’interposer. Cela dit, j’ai quand-même l’impression d’ouvrir les yeux sur un avenir de merde…


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Une dernière romance avant le trépas.
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