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LE TEMPS D'UN RP

Renaissance [David/Mackenzie]

Charly
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Charly
Mer 20 Juil - 21:01
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Mackenzie Foster
J'ai 34 ans et je vis àNew York. Dans la vie, je suis Chef d'un restaurant et je m'en sors au jour le jour. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



Riche héritière d'un complexe hôtelier, Mac s'est vue propulsée à la tête de cet empire sans le vouloir. Un joli paquet comprenant les hôtels et les emmerdes qui allaient avec. Elle ignorait tout des magouilles de ses parents, et aujourd'hui elle a tout perdu. Pour elle, le seul responsable: David McArthur, un connard d'avocat. Aujourd'hui, elle vis dans sa voiture, et tente de survivre avec le peu d'argent qu'elle gagne avec son job à mis temps dans un resto pourri. Elle est son truc c'est la cuisine! La vraie cuisine! Elle a un talent pour ça. Mais pour le moment, elle est bien loin de pouvoir monter son affaire.

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crédit : :copyright: Bait n Hook / Tumblr

Mac ne saisit pas tout de suite le résonnement de David. Elle pensa qu’il parlait de la tenue, mais la réalité était toute autre. Non, il parlait d’eux. De cette amitié qu’ils ne cessaient de mettre en avant et du regard que les autres portaient sur eux. Elle l’avait dit ! Les remarques des autres embrouillaient l'esprit et maintenant perturbaient leur petit équilibre. Est-ce que cette question était vraiment fondé ? Est-ce qu’ils se voilaient la face et qu’en réalité ils avaient simplement besoin de l’autre. Plus que des amis ? Mac réalisa que c’était entièrement de sa faute. Elle n’avait pas réfléchit et avait oublié que David était un homme avant d’être un ami. Un homme qui forcement ne restait pas de marbre devant une femme qui déambulait à moitié vêtu. Elle repensa à ses gestes. La cravate, le compliment sur le costume sexy. Elle avait même commencé à lui déboutonner sa chemise. Roh non merde… Qu’est-ce qu’elle avait fait ?! Elle venait de faire foirer l’équilibre ! « -ok… ok… » bon déjà c’était une bonne chose, l’idée ne l’avait pas obsédé durant des jours. La réaction venait uniquement du corps de Mac prêt du sien. « -oui, non, je sais pas, j’essaie de me dire que c’est pas entièrement ma faute. » obtempéra la jolie brune. Elle reposa ensuite la question, comme si soudainement il avait trouvé la réponse.

Et puis lui vint l’idée de faire un test. Et si ils s’embrassaient hein ? Peut-être que ça leur permettraient d'y voir un peu plus claire. De trouver une vraie réponse. Elle n’avait pas mieux à proposer là sur le moment. « -oui. Pour essayer. Mais d’accord ça n’est pas être pas l’idée du siècle. Hein ? Vous êtes d’accord ? » elle fut surprise de cette réponse. Surtout qu’elle était ferme et sans appel. Elle souffla un : « -ok… » avant de s’approcher de lui. Rien n’était naturel dans la scène, c’était presque risible. Lorsque les lèvres de David touchèrent les siennes, elle fronça les sourcils. « -vous appelez ça embrasser ? » oui ba quoi elle avait bien le droit de faire la remarque. Oh oui merde six ans… « -non, c’est rien. Ne vous excusez pas. Ok… on recommence. » pourquoi soudainement elle se sentait anxieuse ? Parce que c’était lui ? Parce qu’elle était sobre ? Parce que ça n’était pas quelque chose de spontané ? Lorsqu’il posa sa main sur sa joue, elle n’osa plus bouger. Il allait vraiment le faire ? Elle se retint de lui demander si c’était pour aujourd’hui ou pour demain. Peut être qu’il valait mieux faire ça comme on retire un pansement. Rapidement. Et en même temps, pourquoi est ce qu’elle avait le cœur qui battait plus vite ? Son regard jongla entre les yeux de David et ses lèvres, puis elle le laissa faire. Histoire d’être sûr, elle s’était dit qu’elle devrait répondre au baiser, mais étrangement cela se fit sans qu’elle ait besoin d’y penser. Mac se laissa surprendre par se baiser, son corps se moulant à celui de David. Lorsque leur lèvres se quittèrent, elle ne recula pas pour autant, son front se collant à celui de l’avocat. Elle lutta pour reprendre ses esprit et recula enfin son visage. Un léger sourire et elle demanda : « -alors… » pas de ton plein d’humour. Sa voix était posée, quelque peu troublée également. Mais le naturel revint au galop. Elle ne voulait pas de situation gênant entre eux grâce à sa brillante idée de merde. Glissant une mèches de ses cheveux derrière l’oreille Mac souffla : « -si… si vous embrassez Donna de la sorte, croyez-moi, elle va vous tomber dans les bras. Pas mal pour une abstinence de six ans… » et elle osa enfin lui sourire, son corps pourtant toujours coller à celui de l’avocat.


Manhattan Redlish
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lune 2
Manhattan Redlish
Mer 20 Juil - 21:36
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David A. McArthur
J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés.
Toutefois, il n’a pas toujours été que ça…


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Cela faisait presque un an maintenant que David avait laissé son portefeuille tombé dans ce restaurant à l’hygiène douteuse, dressant ainsi Mac sur sa route, et cela, sans savoir que ça serait le début d’une belle et forte amitié. Durant cette année, jamais il n’avait envisagé la jeune femme autrement que comme son amie, sa colocataire, une constante dans son existence, la bouffée d’air frais qui allait lui redonner goût à la vie. Pourtant, ce soir, voilà qu’il chamboulait tout cet équilibre en une question. Et pourquoi pas ?! « Ce n’est pas entièrement de votre faute. Cela signifie peut-être aussi que je suis prêt à avancer. Sentimentalement parlant ». En tout cas, il considérait ces interrogations comme un pas en avant dans son deuil. Il était prêt à avancer, à lier plus qu’une simple amitié avec une femme. Maintenant, la question était de savoir si la femme en question était Mac ?! Après tout, ils étaient un pilier l’un pour l’autre, ils s’entraînaient mutuellement vers une guérison de leurs blessures. Ils vivaient ensemble sans avoir envie de s’entretuer, profitant même à cent pour cent du peu de temps qu’ils pouvaient s’octroyer mutuellement. Mais comment savoir sans briser pour autant leur amitié qui leur était si chère ? Pour cela, il pouvait compter sur Mac et ses idées saugrenues… ou pas tant que ça. Il accepta sans discuter. Il voulait seulement savoir. Ce qui sembla étonner la jeune femme « Oui. Faisons-le » renchérit l’avocat sur un ton posé et calme, comme s’il contrôlait toute la situation. Or, ce n’était nullement le cas.

David s’approcha donc de Mac, et déposa brièvement ses lèvres sur les siennes, comme un adolescent lors de son premier baiser. L’absence de spontanéité y était pour beaucoup. Il s’excusa aussitôt au commentaire de la jeune femme, lui rappelant, au passage, que cela faisait six ans que ses lèvres n’en avaient plus touchés d’autres « OK… » fut sa seule réponse, puis posa sa main, prit un moment pour l’observer, pour pallier cette absence totale de spontanéité, et déposa ses lèvres sur les siennes avec davantage de conviction, de telle sorte qu’il approfondi rapidement son baiser, tout en moulant son corps à celui de Mac. Il se recula à peine à l’issue du baiser, rouvrant lentement les yeux, alors que son front se posa contre celui de Mac. Il se recula légèrement, sans pour autant s’éloigner d’elle, gardant cette proximité intime entre leurs deux corps. Il ne répondit rien. Tout simplement parce que David était peut-être encore plus troublé qu’auparavant. Un sourire se glissa sur les lèvres de l’avocat en entendant le compliment déguisé de la jeune femme qui, apparemment, ne restait pas non plus insensible à son baiser. Il posa de nouveau sa main sur sa joue en soufflant un « Chut… Je n’ai pas envie de parler de Donna, ou de qui que ce soit pour le moment » et l’embrassa de nouveau, avec tout autant de conviction que le précédent baiser, laissant sa langue s’aventurer auprès de la sienne, puis laissa ses mains glisser sur ses bras nus, jusqu’aux poignets, avant de les lever pour qu’elle entoure sa nuque. Il retira ensuite sa veste de ce costume bleu qu’elle appréciait tant, puis vint poser ses mains sur sa taille sans quitter ses lèvres. Il ne savait plus du tout ce qu’il faisait, mais ce dont il était certain, c’était qu’il aimait sa manière de l’embrasser. Il l’entraina jusqu’au lit à quelques mètres d’eux, la laissant y prendre place, puis délaissa ses lèvres pour sa mâchoire, puis son cou, ainsi que ses épaules. Il se redressa pour retirer son gilet de costume qu’il fit tomber au sol, et reprit possession des lèvres de Mac, avant de se reculer à peine, les effleurant juste « Retourne-toi » et fit descendre lentement la fermeture éclair de sa combinaison, puis la lui retira, la laissant tomber au sol, et l’observa en sous-vêtement sur les draps. Il reprit possession de ses lèvres, tout en collant son bassin, l’ondulant, contre le sien, et se recula légèrement « Mac… Qu’est-ce qu’on est en train de faire ? » sans inquiétude. Donnant l’impression d’une question rhétorique, parce qu’il délaissa ses lèvres pour parcourir sa peau de baiser, suivant une ligne invisible entre ses seins, jusqu’au nombril, puis à son bas ventre, s’arrêtant à la limite de ses sous-vêtements, interrompus par son portable dans la poche de son pantalon. Un soupir, il posa son front contre le ventre de Mac tout en répondant « J’écoute… » « … » et releva son regard sur Mac « Henri est en bas… » et tout en gardant le portable à l’oreille, l’embrassa à nouveau langoureusement, sa langue cherchant la sienne, et finit par mettre fin à ce dit baiser « Il t’attends… ».

Charly
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Jeu 21 Juil - 9:57
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Mackenzie Foster
J'ai 34 ans et je vis àNew York. Dans la vie, je suis Chef d'un restaurant et je m'en sors au jour le jour. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



Riche héritière d'un complexe hôtelier, Mac s'est vue propulsée à la tête de cet empire sans le vouloir. Un joli paquet comprenant les hôtels et les emmerdes qui allaient avec. Elle ignorait tout des magouilles de ses parents, et aujourd'hui elle a tout perdu. Pour elle, le seul responsable: David McArthur, un connard d'avocat. Aujourd'hui, elle vis dans sa voiture, et tente de survivre avec le peu d'argent qu'elle gagne avec son job à mis temps dans un resto pourri. Elle est son truc c'est la cuisine! La vraie cuisine! Elle a un talent pour ça. Mais pour le moment, elle est bien loin de pouvoir monter son affaire.

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Prêt à avancer sentimentalement ? En entendant ces mots Mac cligna plusieurs fois des yeux. Avec elle ? Et si de son côté ça n’était pas le cas ? Et si elle n’avait fait que le pousser vers Donna parce qu’il y avait plus que de l’amitié entre eux et que son esprit le voulait pas le voir ? Une montagne de question traversèrent l’esprit de la jolie brune. Elle proposa alors qu’ils s’embrassent, pour tester, pour savoir. Comme si ce geste allait pouvoir les renseigner sur les suite de la l’histoire. Lorsque David accepta, la surprise de lu sur le visage de Mackenzie. Il était d’accord ? Très bien… Elle avait proposé, ça n’était pas le moment de se raviser. Elle devait assumer son comportement. Et si inconsciemment c’était pour lui plaire et provoquer cela qu’elle avait eu cette attitude ?

Le premier coup d’essai était à la limite du baiser enfantin. Il avait peur qu’elle le dévore ou quoi ? Elle osa se moquer quelque peu, puis lui autorisa une seconde chance. Et le baiser qui suivit fut plus que perturbant. Alors qu’elle plaisantait pour éviter la gêne, Mac réalisait qu’elle n’avait pas voulu que ça en reste là. La preuve elle ne s’était pas éloignée de David. Son corps était toujours coller au sien. Elle resta figée en entendant la réponse de l’avocat qui lui demandait de ne plus rien dire et surtout de ne pas évoquer Donna. A nouveau il l’embrassa et Mac répondit à ce baiser sans la moindre crainte, sans la moindre hésitation. Ses bras autour de son cou, elle se laissa guider, décidant de voir jusqu’où cela pouvait les mener. Elle n’allait pas le repousser maintenant. Elle n’en avait pas envie.

Les gestes de David étaient doux et assuré à la fois. Il ne tremblait pas, ne semblait pas se forcer. Et elle, elle savourait ces baisers. A nouveau elle l’écouta et bientôt se retrouva en sous vêtement sur les draps, son cœur battant plus vite encore alors qu’elle ne quittait pas David des yeux. Est-ce qu’il allait reculer maintenant ? L’idée effleura l’esprit de Mac, mais un nouveau baiser chassa bien vite cette pensée. Avant qu’il ne descende sur son corps, elle lui retira sa chemise. Elle l’avait déjà vu torse nu, à la cascade, mais cela ne lui avait pas produit un tel effet. En entendant sa question, elle souffla pour réponse : « -un test… » embrassa son cou : « -de compatibilité. » ou peut être une énorme connerie, ça c'était aussi fort probable. Mais là tout de suite, elle n’avait pas envie d’y penser. Un long frisson couvrit sa peau alors qu’il embrassait son corps, puis un long soupire de contrariété lorsque la sonnerie du téléphone se fit entendre. Elle se redressa sur ses coudes, et détaillant l’homme qui se trouvait juste là, avec elle, sur son lit. Il s’agissait bien de David. Et elle n’était pas en train de faire un rêve érotique. Non… c’était bien réel. D’ailleurs l’appel de Fabien était là pour le rappeler. « -merde… » souffla la jolie brune. Henri… Il était totalement sortie de la tête. Et pourtant à la base c’était pour lui qu’elle s’était fait belle ce soir. C’était avec lui qu’elle était censée passer du temps. Mackenzie se redressa dans le lit, entre les jambes de David. Elle n’avait pas la moindre envie de quitter cette chambre. Et cela la troublait. Lui non plus au vu du baiser qu’il lui donna. Non, elle n’avait pas envie de partir. Pourtant elle se leva et récupéra la combinaison que David venait de lui quitter. En se regardant dans la miroir, elle avait les joues rosies, et son cœur qui ne cessait de battre comme un dingue dans sa poitrine. Dans le miroir elle observa David quelques secondes. Puis elle se tourna et se dirigea vers lui pour prendre le téléphone. Elle recula de quelques pas et dit « -Fabien ? Oui bonsoir. Présentes des excuses à Henri de ma part, j’ai une migraine atroce, je viens seulement de me réveiller et ça n’est toujours pas passé. Dis lui que je le rappelle. Merci… » puis elle raccrocha et coupa le téléphone avant de le poser sur le meuble prêt de la porte. Ensuite elle leva les yeux sur David, le fixa quelques secondes avant de revenir vers lui, et de grimper sur ses genoux. Elle chercha ses lèvres et l’embrassa avec envie. « -on verra demain… » souffla-t-elle entre deux baisers. Mais elle recula le visage, se pinça les lèvres et ajouta : « -enfin si… » s’il était toujours d’accord, s’il en avait encore envie.


Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Jeu 21 Juil - 20:47
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David A. McArthur
J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés.
Toutefois, il n’a pas toujours été que ça…


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Le premier baiser échangé ne fut qu’un lointain souvenir au moment où ses lèvres se posèrent à nouveau sur celles de Mac. Ce qui aurait dû être un simple test sur leur relation, était devenu soudainement bien plus que ça au moment où il lui demanda de ne plus évoquer Donna ou qui que ce soit d’autres. Le monde extérieur n’avait plus d’existence à ses yeux en cet instant. Il l’embrassa à nouveau, avec tout autant d’envie et de conviction que le dernier baiser qu’il lui avait donné, laissant sa langue s’aventurer auprès de la sienne, puis l’entraîna jusqu’au lit. Bien vite, Mac se retrouva en sous-vêtement devant lui, et si son dos nu avait entrainé une certaine réaction chez lui ce jour-là, à la cascade, ce n’était en rien comparable à ce que la vision de son corps presque nu, au milieu des draps, engendrait chez lui. Il la désirait. Un sentiment qu’il n’avait pas éprouvé depuis des années, qu’il le pensait éteint à jamais. Finalement, il n’avait été qu’en sommeil. Il la laissa retirer sa chemise qui tomba au sol, rejoignant le reste de leurs vêtements, et reprit possession de ses lèvres, avant de sourire contre sa peau en entendant ses mots. Il aimait ses lèvres dans son cou, ses mains sur son corps. Son cœur battait à tout rompt dans sa poitrine, sa peau frissonnait au contact de Mac. Tout son corps semblait en émoi. Il laissa ses lèvres descendre le long de son corps, jusqu’à la dernière barrière de sa féminité, et fut ensuite coupé dans son élan par la sonnerie de son portable. Un soupir, le front posé sur le bas ventre de Mac un instant, puis décrocha. Henri était en bas. Il releva son regard sur la jeune femme qui venait de jurer. Lui qui aurait pensé que ça la ramènerait à la réalité, et qu’elle partirait en toute hâte rejoindre son frère. Ce ne fut pas le cas, et il ne le souhaitait pas. Il voulait qu’elle reste avec lui, et le lui fit comprendre en l’embrassant à pleine bouche, peu perturbé par l’intervention d’Henri. Elle aurait pu le repousser, mais n’en fit rien, là aussi. Elle lui rendit son baiser, avant de se lever du lit. David posa sa tête contre le lit tout en poussant un soupir de frustration, peut-être, et se redressa sur le rebord du lit en la voyant se saisir de sa combinaison. La bulle avait éclaté…

Les pieds au sol, assis sur le rebord du lit, David se pencha pour ramasser sa chemise, s’apprêtant déjà à se revêtir. Mac avait fait son choix. Elle choisissait apparemment son frère. Toutefois, il fronça bien vite les sourcils, laissant son geste en suspens en entendant Mac sortir une excuse à Fabien afin de renvoyer son petit-frère chez lui. La soirée en tête-à-tête au restaurant était terminée avant même de commencer. Il la laissa couper son portable, suivant le petit appareil des yeux jusqu’à ce qu’elle le pose sur le meuble près de la porte. Sa chemise toujours entre les mains, il posa son regard sur Mac, ne la quittant plus des yeux et laissa retomber la chemise au sol lorsqu’elle grimpa sur ses genoux pour venir l’embrasser avec envie. Un baiser auquel il répondit avec tout autant d’ardeur, ses mains caressant son dos. Elle mit fin au baiser pour quelques mots. Demain… Oui, demain était un autre jour. Elle l’embrassa à nouveau, pour finalement l’interroger sur son souhait, ou non, de vouloir poursuivre. Il fut touché par son attention. Elle connaissait son passé, son deuil, cette période d’abstinence qui s’était naturellement imposée à lui. Elle le connaissait lui, tout simplement. Il délaissa alors son dos de ses mains pour entourer son visage, et l’embrassa avec plus de tendresse cette fois-ci, avant de souffler « J’en ai envie ». Il reprit possession de ses lèvres, laissant ses mains s’atteler à détacher son soutien-gorge, puis se leva, gardant toujours Mac dans ses bras, et la fit s’allonger sur le lit. Il retira rapidement ses chaussures et chaussettes, puis son pantalon, et revint rapidement sur elle. Ses lèvres glissèrent dans son cou, s’attarda ensuite jusqu’à sa poitrine, ses mains caressant sa peau, quand il entendit la sonnette de la porte d’entrée retentir. Cette fois-ci, David ne put s’empêcher d’émettre un grognement de frustration, sa tête entre ses seins, puis releva les yeux vers elle, l’embrassa une dernière fois en murmurant « Je reviens, reste ici » et un dernier baiser avant qu’il ne se lève, se rendant rapidement dans la salle de bain pour enfiler un peignoir pour cacher l’effet que produisait Mac sur lui, et après un dernier regard dans le miroir, se hâta pour ouvrir à Henri « Salut David… Fabien m’a dit que Mac se sentait mal. Je voulais m’assurer que ça allait, et si elle avait besoin de quelque chose » « Elle est partie se recoucher. Elle t’appellera demain si elle se sent mieux » « Tu n’avais pas rendez-vous avec Donna ? » « Elle a annulé à la dernière minute. Intoxication alimentaire » « Il faut croire que c’est la soirée… Tu lui diras que je suis venu ». David acquiesça et referma la porte sur son frère, avant de se rendre dans la chambre. L’épaule contre l’encadrement de la porte, les mains dans les poches de son peignoir, il se mit à sourire « Ça va ? », puis s’approcha de la jeune femme, prenant place sur le rebord du lit, s’appuyant sur sa main posé de l’autre côté du corps de Mac, et l’observa en silence, puis se pencha pour l’embrasser, avant de souffler « J’ai fermé la porte à clef…Si tu veux toujours de moi… » et déposa ses lèvres dans son cou, soufflant un « Parce que moi, oui ».


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Comment en étaient-ils arrivés à ça ? Lui, elle, allongés dans le même lit à s’embrasser. Et surtout à être sur le point de passer à l’étape supérieure. Parce que là, ils étaient vraiment, mais alors vraiment bien partie pour ! Et le pire, c’était que Mac n’avait pas la moindre envie de stopper les choses maintenant. Alors le mensonge à Fabien et à Henri, surtout à Henri fut rapidement élaboré dans son esprit et énoncé au téléphone. L’appareil avait finit en silencieux, bien loin du lit et de David. Elle par contre, elle s’en rapprocha rapidement. Elle l’embrassa avec une envie certaine, pourtant son esprit et sa bienveillance envers lui était toujours présent. Alors elle osa poser la question, enfin plus ou moins. Il avait comprit tout seul ce qu’elle voulait dire. Pas besoin d’un dessin. Mais elle voulait être certaine qu’il était toujours partant pour franchir ce cap. Peut-être que l’appel de Fabien lui avait remis les idées en place et qu’il allait faire marche arrière. Si c’était le cas, elle allait se trouver bien conne, là assise sur lui. Mais elle le connaissait, connaissait son passé et elle ne voulait pas lui faire de mal. Ou que demain ils s’en veuillent l’un à l’autre.

Contre toute attente il ne la repoussa pas. Bien au contraire. Un léger sourire étira le coin des lèvres de Mac, comme si elle avait espéré qu’il réponde cela. En tout cas, elle était satisfaite de la réponse et lui rendit son baiser sans attendre, entourant son visage de ses mains. Allongée sur le lit, installée sur les coudes, elle ne le quitta pas des yeux alors qu’il se déshabillait. Puis elle sourit contre ses lèvres, adorant le poids de son corps sur le sien. Mais on sonna à la porte. Mac ouvrit de grands yeux : « -c’est Henri ?! » souffla la belle brune, comme prise en faute alors qu’en réalité, elle était libre de faire ce qu’elle voulait et n’avait pas de compte à lui rendre. Elle se glissa tout de même sous les draps en regardant David quitta la chambre vêtu de son peignoir de bain. Elle tendit l’oreille pour tenter d’entendre la conversation entre les deux frères, puis la porte se referma. Mac se redressa en position assise dans le lit, les genoux près du menton, bras autour des jambes.

Lorsque David revint, elle l’observa sans bouger, sans rien dire. Seulement un hochement de tête pour lui répondre, avant de le regarder approcher et s’installer sur le lit. Elle sourit en entendant ces mots. Il n’avait toujours pas changé d’avis. Elle non plus. Elle pencha cependant la tête sur le côté et souffla un : « -attends… » avant de quitter le lit pour aller chercher le téléphone, enfilant au passage la chemise de David. Elle le tendit à David : « -c’est quoi le code ? » lorsqu’il eut déverrouillé l’appareil, elle récupéra le téléphone et pianota tout en prenant place à côté de l’avocat sur le rebord du lit : « -Ma chère Donna, je vous présente d’avance mes plus plates excuses mais je suis dans l’obligation d’annuler notre diner. Je sais, c’est un peu tard. Un contre temps de dernières minutes. Veuillez m’excusez, je saurais me faire pardonner. Je vous souhaite une belle soirée. David. » elle appuya sur envoyé et lança un : « -hé voilà ! » ça c’était fait. Et maintenant qu’ils étaient tranquille, elle ne savait plus trop comment reprendre le court des choses. Elle se pinça les lèvres entre elle, avant de jeter un regard à David et de lui sourire. « -ils font tous chier hein… » oui parce qu’entre l’appel de Fabien, Henri qui débarquait, et Donna à prévenir… Ils n’étaient plus vraiment dans le feu de l’action…
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David A. McArthur
J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés.
Toutefois, il n’a pas toujours été que ça…


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En la voyant se saisir de sa combinaison posée au sol, David s’était résigné à aller plus loin. Elle allait rejoindre Henri pour partager un dîner, voire plus, avec son frère. Quant à lui, il n’était même pas certain de vouloir se rendre à son tête-à-tête avec Donna. Pas après ce qui s’était passé avec Mac, pas après toutes les interrogations et les bouleversements que cela avait engendrés. Sa chemise en main, il releva son regard sur la jeune femme alors qu’elle trouva une excuse toute faite pour annuler son rendez-vous avec Henri, puis s’avança vers lui, prit place sur ses genoux et l’embrassa. Un baiser auquel il répondit aussitôt jusqu’à la question à demi-mot qu’elle formula. Il apprécia le sourire qu’elle afficha quand il répondit que oui, il en avait envie. Il avait envie d’aller plus loin avec elle. Comme elle avait si bien dit, ils verraient demain. Mais pour le moment, c’était elle que l’avocat désirait. Il reprit alors possession de ses lèvres, puis l’allongea sur le lit, savourant le goût de sa peau, tout autant que les caresses de Mac, et retira peu à peu ses vêtements. Un grognement de frustration finit par franchir la barrière de ses lèvres, et acquiesça avant de répondre un « Oui » à l’attention de sa colocataire. Oui, c’était Henri. Ça ne pouvait être que lui. Il enfila donc un peignoir puis s’éclipsa, échangeant quelques mots avec ce dernier avant de prendre le soir de refermer la porte d’entrée à clef. Il revint ensuite dans la chambre qu’il avait délaissé à contrecœur. Il sourit à son hochement de tête et prit place à ses côtés sur le rebord du lit. David voulait s’assurer qu’elle n’avait pas changé d’avis, qu’elle voulait toujours poursuivre dans ce sens-là. Parce que pour lui, c’était une presque une évidence. Un froncement de sourcils, toutefois, lorsqu’elle l’arrêta dans son élan.

David la regarda se lever, non sans apprécier la vue qu’elle lui offrait, et sourit en la voyant porter sa chemise. Il se saisit de son portable et composa rapidement le code avant de lui rendre le petit appareil « Qu’est-ce que tu fais ? » et la laissa prendre place à ses côtés. Un regard sur l’écran alors qu’elle pianotait dessus. Elle avait pensé à Donna. Saurais se faire pardonner… Oui, il n’allait pas avoir le choix. Il releva son regard sur Mac qui venait d’envoyer le message, et il sentit comme un certain malaise soudainement. Tour à tour, Fabien, Henri et Donna, étaient intervenus dans l’instant, et maintenant, ils ne savaient plus comment agir ou quoi dire. Un petit rire discret en entendant le commentaire de Mac « Oui ». C’était le moins que l’on puisse dire. Il se leva du lit, fit tomber le peignoir pour enfiler son pantalon de costume bleu qui offrait une vue imprenable sur ses fesses et que Mac appréciait grandement, et s’approcha de la jeune femme, lui tendant la main « Tu viens ? » et l’entraîna avec lui dans la cuisine. Il lâcha sa main pour se saisir d’un pot de glace dans le congélateur, ainsi qu’une cuillère, et embrassa rapidement le cou de Mac, avant de prendre place contre le comptoir. La pluie avait décidé de s’abattre sur la ville en ce début de soirée, les empêchant d’effectuer leur rituel qui était de la crème glacée sur la terrasse. Il tendit la cuillère ensuite à Mac, tout en fronçant les sourcils, non sans sourire, et pencha la tête pour voir le nom sur le pot « Pâte à cookie… Tu as acheté de la pâte à cookie glacée », et prit la cuillère des mains de Mac pour en reprendre une bouchée, et la lui rendit « Oui… C’est délicieux tout fin de compte ». Il l’observa un moment et ajouta « Il nous aura fallu presque un an pour qu’on se tutoie ». Il n’était jamais trop tard.

Sans mot dire, il l’observa un moment, simplement vêtue de sa chemise blanche, la trouvant charmante, même attirance, puis se mit à sourire avec douceur. Il s’approcha d’elle, lui retirant le pot de glace des mains et le déposa sur le comptoir, se justifiant par un « Je ne veux plus de glace… » sous-entendant que c’était elle qu’il désirait maintenant, et entoura son visage de ses mains, l’embrassant comme s’il éprouvait soudainement à manque de ses lèvres. A reculons, il l’entraîna avec lui dans la chambre de cette dernière. Il aurait pu lui faire l’amour sur le comptoir de la cuisine, mais il ne s’était pas senti prêt à cela. Pas après six ans sans avoir touché une femme. Il voulait prendre son temps, se sentir en confiance comme juste avant l’appel de Fabien. Il voulait retrouver cet instant-là. Au pied du lit, David lui retira sa chemise qui rejoignit rapidement son propre pantalon qui tomba également au sol, et laissa Mac s’allonger sur les draps. Il la rejoignit, déposant ses lèvres sur sa peau, de son bas ventre jusqu’à ses lèvres dont il prit possession avec envie, sa langue jouant avec la sienne. Il souffla un « Mon cœur va exploser » en souriant, reprenant possession de ses lèvres, et retira le dernier bout de tissu qui leur restait. David entra lentement en elle dans un soupir de plaisir. Il avait oublié la sensation que ça prodiguait que de faire l’amour à une femme, et à quel point c’était bon. Son regard dans celui de la jeune femme, il ondula lentement le bassin, laissant l’une de ses mains caresser la cuisse de Mac. Il accéléra ensuite les vas-et-viens jusqu’à atteindre la jouissance qui ne se fit pas attendre et laissa échapper un cri de plaisir qu’il tenta d’étouffer contre la peau de son amante. Il redressa la tête et embrassa la jeune femme avant de rétorquer « Je pensais que je serais plus endurant… » et se laissa glisser à ses côtés, se plaçant de sorte à lui faire face « J’espérais être plus à la hauteur... Tu dois te dire que je t'ai menti la dernière fois » précisa David dans sa sincérité à toute épreuve, avec un léger sourire, alors qu’il dégageait une mèche de cheveux du visage de la jeune femme.

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Jeu 21 Juil - 22:50
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Mackenzie Foster
J'ai 34 ans et je vis àNew York. Dans la vie, je suis Chef d'un restaurant et je m'en sors au jour le jour. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



Riche héritière d'un complexe hôtelier, Mac s'est vue propulsée à la tête de cet empire sans le vouloir. Un joli paquet comprenant les hôtels et les emmerdes qui allaient avec. Elle ignorait tout des magouilles de ses parents, et aujourd'hui elle a tout perdu. Pour elle, le seul responsable: David McArthur, un connard d'avocat. Aujourd'hui, elle vis dans sa voiture, et tente de survivre avec le peu d'argent qu'elle gagne avec son job à mis temps dans un resto pourri. Elle est son truc c'est la cuisine! La vraie cuisine! Elle a un talent pour ça. Mais pour le moment, elle est bien loin de pouvoir monter son affaire.

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Il était hors de question de voir débarquer Donna ou bien encore d’avoir trente appel en absence et vingt message. C’était la moindre des choses de la prévenir que David ne viendrait pas ce soir. En se mettant trois secondes à sa place, Mac aurait aimé être prévenue. Elle rédigea rapidement le message, et l’envoya. Pourtant… pourtant l’envie qu’avait éveillé ce baiser, cette sorte de spontanéité dans leurs gestes, cette absence de raison… tout cela c’était quelque peu envolé après ces interruption. Mac s’en voulu quelque peu d’avoir mis en pause tout cela pour envoyer un sms. Mais elle devait le faire. C’était important. Et puis, peut être que c’était mieux ainsi, qu’ils en restent là. Avant de… avant de tout gâcher. Elle resta assise sur le lit en regardant par terre alors que David se rhabillait. Puis elle leva les yeux à son invitation, glissant sa main dans la sienne après un signe de tête positif.

Mac resta silencieuse, observant seulement David prendre le pot de glace et une unique cuillère. Un sourire tendre et presque timide lorsqu’il embrassa sa peau, avant de s’installer à côté de lui. Elle se servit après avoir prit la cuillère et fronça les sourcils en le voyant regarder le pot. « -quoi ? » demanda-t-elle sans avoir encore avalé. « -ba quoi ? C’est super bon ! Tu ne vas pas dire le contraire ? » le genre de truc hyper industriel qu’elle adorait. « -ah tu vois. » répliqua la belle brune en penchant la tête sur le côté. « -c’est vrai… on peut… on peut revenir au vous si ça te dérange… » ce qui grosso modo voulait dire qu’ils pouvaient encore faire marche arrière et faire comme si rien ne venait de se passer. Elle racla le dessus de la glace, son regard fixé sur le pot.

Lorsque David lui retira des mains, son regard passa de l’avocat au pot de glace sans comprendre tout de suite. A nouveau elle fixa son regard sur David et resta muette. C’était rare de la voir aussi silencieuse. Elle ne bougea pas, mais répondit bien vite à ses lèvres. Une fois dans la chambre, elle avait déjà cette sensation de souffle court, ce truc qui précède un moment important. Et puis sa peau, ses caresses et ses baisers… Et puis son corps sur le sien, l’union de leur corps… Et puis…

Et puis son souffle court alors qu’elle venait de se redresser au milieu de ses draps froissés. Les yeux grands ouverts, Mac avait le cœur qui battait à un rythme de dingue. « -oh putain… » souffla-t-elle alors qu’elle réalisait qu’elle venait de faire un rêve érotique dont le protagoniste était David ! Elle se passa les deux mains dans les cheveux, levant le visage vers le plafond. Tout les ingrédients étaient réuni. Foutu conversation sur la terrasse ! Leurs diners respectifs, sa façon bien à elle de déambuler sans se souci de ce que David pouvait ressentir, ses idées loufoques. Non mais sérieusement un test ? Et puis Henri, Donna, le téléphone de David qu’elle détestait, le pot de glace… Même cette crainte de ne pas être assez performant au lit qu’avait l’avocat.

Elle se leva, et lorsqu’elle croisa David dans le couloir qui revenait de son jogging, elle dit : « -Bonjour tu… enfin vous… vous voulez déjeuner ? » elle se passa une main sur le visage avant de rejoindre la cuisine : « -je fais du café ! » cria Mac. Oui, elle en avait bien besoin là ! Quelques minutes plus tard, elle n’avait pas décollé ses fesses de contre le comptoir, café en main. Lorsque David arriva dans la pièce elle déclara le regard dans le vague : « -j’ai… j’ai fait un rêve étrange… » avant de le regarder enfin et de sourire débilement : « -j’ai rêvé qu’on couchait ensemble. » ba autant lui en parler.

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Manhattan Redlish
Ven 22 Juil - 11:28
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David A. McArthur
J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés.
Toutefois, il n’a pas toujours été que ça…


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L'intervention de Fabien, d'Henri, puis maintenant de Donna avait eu raison du moment. L'effervescence s'était envolée. En voyant l'ambiance pesante qui commençait à s'installer, David l'entraîna avec lui dans la cuisine et sortit un pot de glace dont le goût l'interpella. Il se pencha alors pour voir le nom et ils se mirent à se taquiner au sujet du gout choisi par la jeune femme "Oh non mais je n'ai pas dis le contraire" en levant les mains en signe d'abdication, souriant avant de baisser les mains. Et sans vraiment savoir pourquoi, il releva le fait que le tutoiement s'était soudainement imposé à eux.Tout en prenant une cuillère de glace, il haussa les épaules "Non, j'aime bien". Et finalement, après un an à vivre sous le même toit, c'était presque logique qu'ils en viennent à abandonner le tutoiement. Il lui retira ensuite le pot de glace pour l'embrasser, avec cette envie certaine qui l'accablait. Il l'entraina ensuite dans la chambre et lui fit l'amour...

En réalité, David n'était aucune conscient de ce qui s'était déroulé dans le subconscient Mac cette nuit. De son côté, il avait passé une nuit dès plus calme, puis s'était levé et avait entamé sa routine matinale, emmenant Gus' courir avec lui. En rentrant après une bonne heure à parcourir l'asphalte, il croisa Mac dans le couloir menant dans la salle de bain "Bonjour..." avant de froncer les sourcils lorsqu'elle le tutoya soudainement, mais ne souleva pas, répondant simplement "Oui. Juste le temps de prendre une douche et j'arrive". Il se glissa sous l'eau chaude et enfila son costume bleu, avant de se rendre dans la cuisine après une brève caresse à l'attention du chiot qui avait attendu derrière la porte de la salle de bain. En arrivant dans la cuisine, il adressa un sourire à Mac, puis ouvrit le placard en hauteur pour se saisir d'une tasse lorsque la jeune femme pris la parole. Lorsqu'elle lui confia avoir rêvé d'avoir couché avec ce dernier, l'intéressé referma la porte du placard en riant presque "Vraiment ? J'espère avoir été un bon amant", puis se servit une tasse de café qu'il porta aussitôt à ses lèvres "Je comprends mieux le tutoiement soudainement ce matin". Il reprit une gorgée de café et s'appuya dos au comptoir, face à Mac, et reprit avec sérieux "Est-ce que... Comment formuler correctement la question..." Il réfléchit et ajouta "Vous êtes attirée par moi ?". Oui, autant dire les choses directement. Il s'approcha de cette dernière, posa sa tasse aux côtés de Mac, son regard ancré dans le sien "Vous craquez pour moi Mac ?" Tout en restant impassible alors qu'intérieurement, il souriait "Vous voulez m'embrasser pour voir ce que ça donne ? Pour vous assurer que ce n'était qu'un mauvais coup de votre subconscient". Parce que, de son côté, les choses étaient claires.

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Mac pouvait gardé ses rêves étranges pour elle, pourtant elle avait décidé d’en parler à David, histoire que tout cela ne lui vrille pas l’esprit. C’était ridicule, autant en rire ensemble non ? Bon, elle pouvait aussi annoncer les choses de manières différentes, mais elle était encore en bug sur tout ça. « -c’était pas la catastrophe mais c’était pas non plus le top du top. Ça vous inquiétait d’ailleurs. » elle sourit avant de hausser les sourcils. N’importe quoi ! « -pourquoi vous avez mis ce costume-là ? Vous le mettez rarement pour aller bosser non ? » Non mais c’est vrai pourquoi il avait sorti le costume qui lui faisait ce cul d’enfer, ce costume qu’elle lui avait conseillé dans son rêve. Elle se frotta les yeux et répondit : « -oui, je suis désolée, c’est sorti comme ça. » surtout parce qu’elle était un peu perturbé sur le coup. Un soupire en laissant glisser sa main le long de son visage, écrasant sa joue au passage. « -non. » répondit Mac d’un ton neutre et encore fatiguée de sa nuit un peu trop agité mentalement.

Lorsqu’il s’approcha elle lui décocha un sourire en coin. « -ça marche pas votre petit numéro. Vous vous foutez de ma gueule, vous l’avez déjà fait je vous rappelle. » elle pencha la tête sur le côté, comme il le faisait lui généralement quand les rôles étaient inversés. Un sourire, un léger rire et elle dit en posant sa tasse sur le côté, avant d’agripper la cravate de David : « -j’ai pas besoin de m’en assurer, je le sais. » puis elle reprit sa tasse et demanda : « -vous voulez manger quoi ? » en se dirigeant vers le frigo. « -vous avez fait manger notre chien avant de lui imposer votre footing ? Et depuis quand vous l’emmenez avec vous d’ailleurs ? » elle regarda le chien juste à côté de David. « -il vous aime plus que moi maintenant… » conclue la jeune femme. Elle sortie de la confiture et du beurre de cacahuète, ainsi que du pain. Hyper calorique mais là elle en avait besoin. Elle prépara des tartine et dit après avoir pris la première bouchée le regard dans le vide : « -vous savez que c’est dingue parce que je vous conseillais ce costume là pour ce soir. » en le pointant du doigt.

Elle avala une gorgée de café, les coudes sur le comptoir, à nouveau le regard dans le vide : « -vous étiez super partant. Vous avez même renvoyé votre frère chez lui. » elle posa sa tasse et regarda enfin David : « -je crois que je stress pour ce soir et que comme vous êtes ma seule constante… mon cerveau c’est dit qu’avec vous c’était moins flippant. Parce qu’on se connait. Il a fait joyeux mélange avec notre conversation sur la terrasse. On mangeait même de la glace ! » Non, ça n’était pas un fantasme ou une question d’attirance. C’était la peur du nouveau.

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J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés.
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En prenant son café ce matin, David n'aurait pas pensé que Mac allait lui confier que sa nuit avait été agitée, et tout ça par sa faute à lui. Il ne pouvait qu'en rire. Ça arrivait à tout le monde de faire des rêves érotiques. Ça lui était déjà arrivé. Bon, pas avec Mac, mais ça n'empêchait pas que ça pouvait lui tomber dessus un jour ou l'autre. Préférant en rire qu'en pleurer, David l'interrogea sur ses capacités. Pas génial, mais pas mauvais non plus... Dans la moyenne en soit. David haussa les sourcils face à sa franchise, sans se départir de son sourire « Bon... Vous me voyez donc réellement comme un homme dans la moyenne. Sexuellement parlant, je veux dire » et ajouta « Va falloir y remédier. Quitte à faire un rêve érotique, autant que vous ayez un orgasme » et porta sa tasse à ses lèvres comme si la conversation était banale pour un vendredi matin. Puis baissa son regard sur son costume, et le releva sur Mac « Oui, mais j'avais envie de le porter. Pourquoi ? Il ne me va pas ? » demanda un David qui s'inquiétait plus de son apparence en cet instant que du sens caché de sa question.
En tout cas, ça expliquait son tutoiement soudain et se mit à sourire alors qu'elle s'excusa « Ne soyez pas désolé. En fait, j'ai apprécié. On pourrait peut-être oublier le vouvoiement, qu'en pensez-vous ? ». Après tout, ça faisait un an qu'ils vivaient ensemble. C'était même encore étonnant qu'ils se vouvoyaient toujours. Un sourire en coin suivit « Vous ne voulez pas réfléchir avant de répondre ? » En sous-entendant que la réponse était peut-être trop rapide, et qu'elle ne pourrait peut-être pas revenir en arrière ensuite.
Il s'approcha ensuite d'elle, déposant sa tasse aux côtés de Mac, son regard dans le sien « Mais peut-être que cette fois-ci, c'est sincère » en laissant ses yeux vaciller entre ses prunelles claires et ses lèvres. David se mit à rire quand elle lui saisit la cravate « Bien, bien ! Je voulais être sûr que vous étiez sûre ». Il la laissa s'éloigner « Des pancakes, ça ira. Enfin si vous en voulez aussi ». Après tout, c'était elle qui cuisinait. Il n'allait pas imposer son idée. Il posa son dos contre l'établi et porta son café à ses lèvres. Il baissa son regard sur le chat et sourit « Depuis le début de semaine. Il aime beaucoup ça. Puis c'est vous qui m'avez demandé de l'accepter. C'est chose faite ». Un sourire amusé et ajouta en la regardant fixement « On ne peut pas aimer quelqu'un d'autre plus que la personne qui vous a sorti du trou, Mac ».
Une gorgée de café et reporta son regard sur son costume, puis sur Mac ensuite « Oh... » et se rapprocha de la jeune femme « Ce costume que vous avez pris plaisir à me retirer alors que je découvrais chaque parcelle de votre corps ». Oui, il jouait avec le feu. Une gorgée de café et répondit simplement « Ça semble vous étonner que j'avais envie de vous. Pourquoi ? ». Après tout Mac avait tout pour plaire. Elle était sexy, charmante, intelligente, avec de l'humour et un caractère bien affirmé. Il se resservi un café alors que la jeune femme tentait de trouver une justification à son rêve érotique. La tasse remplie, il se retourna vers Mac « C'est fort probable en effet. Votre théorie se tient » et ajouta « Ou alors votre subconscient trouve que l'idée n'est pas si saugrenue que ça. Qu'un nous était possible... Après tout... » il désigna les alentours de la main « En dehors du sexe, on agit comme un couple », puis ajouta « Bon... Vu la piètre idée que se fait votre subconscient de mes capacités, il faudrait que je m'améliore pour vous garder à mes côtés » et se mit à sourire. Puis son téléphone sonna et s'éloigna pour aller répondre tout en ajoutant « Mais l'idée n'est pas folle en soit » et répondit rapidement. Le travail. Rien de plus. Il s'approcha de Mac et prit un morceau de sa préparation « C'est bon ! ».

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