Née dans une proéminente famille de Londres, Elizabeth est l'enfant unique de Robert et Margaret Thorne. Élevée dans la luxure et destinée à un grand mariage qui fera d'elle une duchesse, elle n'a pourtant rien en commun avec ses consœurs qui recherchent la stabilité à travers l'alliance. Sur un coup de malchance, son cœur s'était enflammé pour un autre jeune homme, nulle autre que le cousin de sang de son futur époux. Préférant les livres au chant et la plume plutôt que le poing, elle trouva chez Logan Lockhood tout ce dont elle rêvait. Son manque de maturité est surement ce qui l'avait poussé dans ses bras, ne réalisant pas vraiment l'ampleur de la trahison qu'elle commettait.

D'une nature douce qui avait été protégé du monde, il lui est impossible de ressentir une quelconque attirance pour son promis. Trop rude, trop bourrin. Malgré ses airs de diamant, elle ne recherche ni la gloire, ni la fortune. Dès son plus jeune âge, elle avait été éduquée pour être l'épouse ainsi que la duchesse parfaite, pourtant elle rêve simplement de pouvoir s'embarquer sur un bateau et parcourir les sept mers avec son prince charmant… Quelque chose que ses parents ne lui permettraient jamais.

Comment la belle pourra-t-elle se sortir de cette union sans amour? Pourra-t-elle pardonner son cœur lorsqu'il posera des gestes irréparables? Parfois, la lune de miel se termine bien avant le mariage. L'amour survivra-t-il les épreuves du temps et de la vie?

Fille du Général Townsende, Lauren à grandi entourer de nombreux frères tous plus vieux qu'elle. Petite panthère dans un corps de gazelle, rien n'arrête la belle brune. Entraîner au combat et à l'équitation, elle a toujours préféré jouer avec les garçons que porter des robes. Une existence qui prit une sacré tournure le jour où elle devenu femme, devant à présent remplir le rôle qui désignait toutes les filles; devenir une demoiselle. Heureusement pour elle, son entrée à la cour lui permis de faire la rencontre les Lockhood, Logan et Tom.

Une amitié sincère s'établit entre elle et Logan, devenant rapidement confident, partageant l'amour des combats à l'épée entre amis et conversant durant des heures de traités et d'économie. On aurait presque cru qu'elle en était amoureuse tant leurs interactions étaient fréquentes. Oui, Lauren savait bien cacher un secret.

Son cœur avait explosé le jour où elle avait vus Tom Lockhood mettre la pâté à l'adversaire durant les festivités d'automne. Sa prestance et sa carrure étaient impressionnante, mais c'était sa personnalité de cheval sauvage qu'elle enviait par-dessus tout. Une brute au coeur de noble lion. Malheureusement pour elle, sa famille était ce que l'on considère comme des nouveaux riches. C'était peut-être la raison pour laquelle il ne l'avait jamais remarqué, elle qui n'avait pas le pedigree nécessaire pour prétendre au rôle d'épouse. Arrivera-t-elle à amadouer le cœur de son duc, ou sera-t-elle à jamais condamner à regarder l'homme qu'elle aime courir les faveurs d'une promise infidèle?

Née dans une proéminente famille de Londres, Elizabeth est l'enfant unique de Robert et Margaret Thorne. Élevée dans la luxure et destinée à un grand mariage qui fera d'elle une duchesse, elle n'a pourtant rien en commun avec ses consœurs qui recherchent la stabilité à travers l'alliance. Sur un coup de malchance, son cœur s'était enflammé pour un autre jeune homme, nulle autre que le cousin de sang de son futur époux. Préférant les livres au chant et la plume plutôt que le poing, elle trouva chez Logan Lockhood tout ce dont elle rêvait. Son manque de maturité est surement ce qui l'avait poussé dans ses bras, ne réalisant pas vraiment l'ampleur de la trahison qu'elle commettait.

D'une nature douce qui avait été protégé du monde, il lui est impossible de ressentir une quelconque attirance pour son promis. Trop rude, trop bourrin. Malgré ses airs de diamant, elle ne recherche ni la gloire, ni la fortune. Dès son plus jeune âge, elle avait été éduquée pour être l'épouse ainsi que la duchesse parfaite, pourtant elle rêve simplement de pouvoir s'embarquer sur un bateau et parcourir les sept mers avec son prince charmant… Quelque chose que ses parents ne lui permettraient jamais.

Comment la belle pourra-t-elle se sortir de cette union sans amour? Pourra-t-elle pardonner son cœur lorsqu'il posera des gestes irréparables? Parfois, la lune de miel se termine bien avant le mariage. L'amour survivra-t-il les épreuves du temps et de la vie?

Fille du Général Townsende, Lauren à grandi entourer de nombreux frères tous plus vieux qu'elle. Petite panthère dans un corps de gazelle, rien n'arrête la belle brune. Entraîner au combat et à l'équitation, elle a toujours préféré jouer avec les garçons que porter des robes. Une existence qui prit une sacré tournure le jour où elle devenu femme, devant à présent remplir le rôle qui désignait toutes les filles; devenir une demoiselle. Heureusement pour elle, son entrée à la cour lui permis de faire la rencontre les Lockhood, Logan et Tom.

Une amitié sincère s'établit entre elle et Logan, devenant rapidement confident, partageant l'amour des combats à l'épée entre amis et conversant durant des heures de traités et d'économie. On aurait presque cru qu'elle en était amoureuse tant leurs interactions étaient fréquentes. Oui, Lauren savait bien cacher un secret.

Son cœur avait explosé le jour où elle avait vus Tom Lockhood mettre la pâté à l'adversaire durant les festivités d'automne. Sa prestance et sa carrure étaient impressionnante, mais c'était sa personnalité de cheval sauvage qu'elle enviait par-dessus tout. Une brute au coeur de noble lion. Malheureusement pour elle, sa famille était ce que l'on considère comme des nouveaux riches. C'était peut-être la raison pour laquelle il ne l'avait jamais remarqué, elle qui n'avait pas le pedigree nécessaire pour prétendre au rôle d'épouse. Arrivera-t-elle à amadouer le cœur de son duc, ou sera-t-elle à jamais condamner à regarder l'homme qu'elle aime courir les faveurs d'une promise infidèle?

Bien que l'histoire le surnommera comme un bâtard, Arthur était un homme au sang tout à fait royal. D'abord de son père, le terrible Uther Pendragon, puis de sa mère, la folle Ygerne de Cornouailles. Un pedigree qui lui valait être détesté par ses deux parents, lui qui ne voulait qu'une coquette nuit et elle, affliger par l'abus d'Uther et de Merlin contre sa personne. Les belles paroles du druide n'avaient pas aidé sa mère à accepter le jeune prince comme son fils, elle l'abandonna ainsi aux mains de l'enchanteur alors qu'il n'avait que trois ans. Malgré leur proximité et l'amour que le druide lui avait porté, Arthur n'avait jamais réussi à le voir comme une figure paternelle. Il était plutôt un mentor, un professeur qui lui apprenait la vie sans connaitre ce qui se cachait au fond de son cœur. Arthur gardait pour lui son côté romantique et son espoir d'être plus qu'un simple roi, prouvant à son tuteur qu'il était digne de son apprentissage et des obligations. Combat à l'épée, équitation et chasse était parmi ses activités favorites, détestant devoir lire et écrire durant les longues heures de pénombre. Ce n'était pas par manque d'intérêt, il était simplement las de devoir compter les chèvres du royaume et préparer de faux traités à débattre.

Arthur n'oublierait jamais le jour où il avait extirpé Excalibur de son rocher. Certes il n'était qu'un petit garçon à l'époque et Merlin l'obligea à la replanter dans la pierre, mais quelque chose avait changé en lui ce jour-là. Fini les plaintes à propos de sa destinée et de ses choix, terminer l'époque des rêveries et des balades à cheval. Il devint plus sérieux tandis qu'il traversait l'adolescence, préférant discuter politique et lois plutôt que de boire du vin et s'échauffer sur la piste de danse. Les livres ne dépeindrait jamais assez la diligence d'Arthur tandis qu'il gagnait l'amour de son royaume avant même d'avoir Excalibur en main. Il accepta même d'épouser la princesse sans se rider, prenant place sur son trône comme il avait été entrainé à le faire.

Et si vos rêves ainsi que votre destinée n'était pas vôtre? Et si vous aviez vécu la moitié de votre vie pour atteindre un but qui ne vous intéressait pas? Voilà comment Arthur se sentait le jour ou Camelot fut érigé en son honneur. Un immense château dans lequel il serait condamné à régner sur un pays qu'il ne connaitrait jamais. On ne le laisserait plus combattre les trolls et les dragons par peur du danger. Et que dire de sa femme, c'était une ravissante créature sans conteste et le peuple semblait soudoyer par ses manières gracieuses… Alors pourquoi se sentait-il aussi vide lorsqu'il était en sa présence? Pourquoi n'arrivait-il pas à s'amouracher de sa personnalité puritaine? Arthur rêvait de passion, mais pas de temps à perdre pour des histoires de cœur, comme dirait Merlin. Il y avait beaucoup de travail à faire dans le royaume. La guerre que son père avait déclenché contre les créatures magiques était loin d'être terminée. Malgré les décrets et les avertissements, le peuple restait hostile face aux nouveaux alliés. Sans compter qu'il avait une troupe de chevaliers à diriger pour protéger le royaume et retrouver ce fichu Graal.

Fils du roi Ban de Bénoic, Lancelot semblait destiné à mettre la main sur le Graal et gouverner Camelot. C'était la promesse que la fée Viviane avait fait à son père le jour où elle prit l'enfant des bras de son affectueuse mère pour l'emmener avec elle sur les abords du lac. Le sort ne serait pas très clair sur qui retombait la faute de son échec. C'était peut-être la dame du Lac qui lui portait trop d'amour pour le reprendre dans ses défauts, c'était peut-être Merlin qui l'avait rejeté sous le principe qu'il n'était pas l'élu qu'il avait vue en rêve. Peu importe, puisque le résultat fut le même. Dans un acte charitable, la fée lui retira tout souvenir de son temps avec elle, craignant que la vérité pourrirait le cœur de celui qui deviendrait un jour le chevalier à la rose.

Inconscient de l'injustice dont il était victime, le jeune homme grandit comme tous bons chevaliers, s'entraînant au camp militaire avant d'entreprendre une campagne qui le mènerait aux portes du château d'Arthur. Les histoires glorieuses de son tempérament avaient atteint la cour avant même que le chevalier blanc atteigne la ville, il fut adulé en héro dans les rues de la ville jusqu'au jour où il fut adoubé. Un jour qui changerait sa vie à jamais, le matin où il posa les yeux sur la belle Guenièvre. Dans un élan de folie amoureuse, il fit vœu de chasteté, vaine tactique pour offrir sa vie à une reine qui n'était pas sienne. Heureusement, Lancelot ignorait que cette femme, le joyau de son cœur fut autrefois sa promise. Lui, qui aurait dû devenir le roi de Camelot, lui à qui on avait refusé ce qui lui revenait de droit.

Bien que Lancelot semblait représenter la chevalerie galante de l’extérieur, l’amour qu’il portait pour la femme de son roi, maintenant ami, assombrissait lentement son cœur. Cela n’aidait pas qu’il se révoltait de voir le peu d’intérêt qu’Arthur portait à Guenièvre, elle qui méritait la lune et toutes les étoiles du ciel. Le temps aura-t-il raison de lui? Cet amoureux secret qui dépose une rose rouge contre le banc que la reine visitait chaque jour dans les jardins. Aurait-il un jour la force de lui déclarer sa flamme? Pourrait-il prendre l’épée contre son souverain pour l’amour d’une femme?

Fils d'une mère gauloise et d'un druide qui sera plus tard représenté par un démon, Myrddin naquit à l'époque qu'on nommera ensuite l'âge sombre. Dès son plus jeune âge, il pouvait lire les astres et prédire l'avenir aussi bien que le passé. À l'âge de six ans, il fut envoyé au cœur de la forêt pour apprendre l'art druidique aider d'un mentor qu'il décrirait au cours de sa vie d'un seul mot, professeur. Cinquante longues années s'écouleraient avant que Myrddin, qui adoptait à présent le nom de Merlin, revint aux pays des hommes. Il avait maintenant l'apparence d'un jeune homme tandis qu'il parcourait le royaume qui deviendrait un jour son cher Camelot. Merlin avait eu beaucoup de rêves à propos de sa vie et de l'avenir du monde. Il avait vu l'enfant pour qui il dévouerait sa vie future, ainsi que sa jeune épouse royale. Il avait vu les murs construits de Camelot et la trahison du plus pure de ses chevaliers. La femme qui lui apporterait l'amour, mais également la mort. Un état que le druide avait appris à ignorer, une désinvolture qui lui couterait sa raison d'exister.

La femme venue, encore plus belle que dans ses songes. Une sorcière remplit d'une lumière qui aveuglait son jugement, le laissant faible et vulnérable. On pourrait blâmer son jeune âge, pourtant le sentiment qui s'enflamma à l'intérieur de l'enchanteur ne s'atténuerait jamais, pas même le jour où il ferait face à sa propre mort. Dans sa passion, Merlin prédit la venue de l'étoile à sa douce moitié. L'enfant, mi fée mi princesse, une femme qui aurait le pouvoir de changer le cours de l'histoire. Ce n'était qu'un autre songe qu'il oublia aussi rapidement qu'il l'avait exprimé, devant à présent se concentrer sur la tâche à venir; Élever le futur roi de Camelot.

Merlin avait quitté à contre cœur l'amour de sa vie, après que l'appelle de la dame du Lac l'empêcha de dormir pendant plusieurs lunes. Il était enfin temps. Imaginer son mécontentement lorsque la rousse lui présenta un gamin à l'égo sur dimensionner qui ne voulait que tuer des dragons et sauvez des jeunes dames. Sous le coup de la colère, Merlin mit en place un plan machiavélique pour assurer la paix du royaume. Usant de sa magie, il permit à Uther Pendragon de s'étendre avec la reine Ygerne pour créer son roi ours. Le druide savait à quel point il était dangereux de manipuler le destin, mais il craignait encore plus un royaume gouverné par un roi à fleur de peau comme Lancelot. Dès que l'enfant atteint l'âge de trois ans, il entreprit l'éducation de celui qu'on prénommerait Arthur Pendragon. Tâche plutôt difficile pour un homme qui n'avait pas encore la centaine, son manque de tendresse le rattraperait plus tard tandis qu'il en faisait un prince d'honneur et de servitude. À Rome, puis en Bretagne, il dédia chaque nuit à décortiquer les plus grandes histoires du monde pour les nourrir à son petit ourson au petit matin.

Arthur, le fils qu'il avait créé. Fils du monde, roi de la destinée Bretonne. L'amour que Merlin ressentait pour le petit garçon dépassa rapidement tout ce qui aurait été permis ou sensé. Il était impossible pour le Druide de l'abandonner, même lorsqu'il avait récupéré Excalibur ou épouser la princesse de Carmélide. Le don lui soufflait à l'oreille qu'il devait rester. Un nuage gris allait bientôt assombrir tout ce qu'il avait construit. Un danger qui bourdonnait à son oreille mais qui restait mystérieusement caché de sa Vue.

Le démon au visage d'ange, voici comment Mordred serait dépeins dans l'histoire du monde. Sadique, narcissique et parfois au seuil de la folie, il naquit un soir de tempête alors que les orages déchiraient le ciel. Doué d'une intelligence impressionnante, il ne pleura pas le jour où il sortir du ventre de sa mère, la regardant tandis qu'il tombait fou amoureux. La symbiose qu'il ressenti le suivrait jusque dans sa tombe, oui il ferait tout pour cette femme aux yeux d'azur qu'il appelait affectueusement sa mère. Un sentiment qui ne fut aucunement affaiblit lorsqu'il réalisait qu'il avait une sœur avec qui il devrait partager cet amour, provocant néanmoins une colère draconienne en lui contre sa sœur adoptive. Élever dans un palais construit à même le ventre d'une montagne, il passa le plus clair de son temps à se préparer pour une guerre qui n'existait pas encore. Sous le guide de sa génitrice, il grandit avec une profonde haine pour celui qu'on appellerait à présent le roi Arthur.

Abandonné par son père, Merlin, il n'accepterait jamais qu'il ne fut pas le choisi du druide, préférant offrir les honneurs à un moins que rien. À l'âge de seize ans, il avait déjà dépassé en taille tous les hommes du royaume grâce à sa composition supérieure et ses nuits d'entrainement acharnée. Il se poussait chaque jours plus fort pour devenir ce que sa mère attendait de lui, le plus grand de tous les rois guerriers.

Un fardeau plutôt difficile à porter qu'est celui de la perfection. Sa jalousie et sa cruauté n'étaient pas des défauts à ses yeux, simplement les facettes d'une personnalité avertie. Ce n'était pas non plus du narcissisme lorsqu'on savait que l'on mérite le ciel et la terre. Un sentiment qui l'avait surement animé le soir ou il avait fait des avances à sa sœur. Il avait bu beaucoup trop et la solitude de leur palais avait peser lourd, mais ce n'était pas la raison pour laquelle il avait poursuivi sa cible. Dans sa vie, personne n'avait jamais osé lui refuser quoi que ce soit, pas même sa mère chérie, et voilà qu'il était face à un prix qu'il ne pouvait pas gagner. Sans compter que, tout comme son père, Mordred savait la valeur de la jeune fille, se remémorant souvent le rêve dans lequel la grâce de sa mère avait montée au ciel tandis qu'elle avait mis au monde l'hybride. L'idée de la forcer lui avait bien effleuré l'esprit, mais sa mère ne lui pardonnerait jamais cet acte. Il se tournait donc vers ce qu'il savait faire de mieux, préparer la chute d'Arthur.

Réalisant que ni Merlin, ni Arthur était au courant de son existence, Mordred préparait lentement son entré à la table ronde. Il serait plutôt aisé pour lui de devenir le plus grand de tous les chevaliers, un titre qui l'aiderait surement à empoisonner la vie du roi jusqu'à ce que celui-ci sombre dans la folie ou perdre la vie. Mais pour l'instant, il se contenterait de trucider ses prisonniers et s'envoyer des princesses, tout comme des filles de ferme.