J'ai 18 ans et je suis originaire du territoire sud Dans la vie, je suis abandonnée et captive du "chien fou" et je m'en sors miraculeusement bien ? Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt pas bien. --> Est incapable de se transformer en humaine ---> Vient d'un clan de fanatique envers la déesse ---> Fut considérée comme une malédiction de la déesse par son incapacité à se transformer --> C'est un cocker spaniel --> Elle porte un collier avec son nom et prénom et la mention de son incapacité, seules informations qu'elle soit donc capable de communiquer
Il ne comprit pas et lui envoya de l'eau à la figure, ce qui me fit éternuer plusieurs fois d'affilée, car je reçus de l'eau dans le nez. C'était si frustrant de ne pas pouvoir communiquer normalement. Si seulement je pouvais parler. J'avais souvent rêvé de ce moment, plus jeune. Mais il n'était jamais arrivé. Et maintenant, je n'y croyais plus. J'étais plus chien qu'humaine et la perspective de me transformer désormais en était presque effrayante. Je ne savais pas me comporter comme un humain, on ne m'avait jamais appris, attendant ma transformation pour cela. Bien sûr j'avais observé Écouter. Dans l'espoir qu'un jour mon temps viendra. Mais il ne viendra jamais, n'est-ce pas ? Néanmoins j'avais réussi à me faire comprendre et, à deux, enfin surtout un, les deux autres chiens-garous comprirent que c'était mon anniversaire. Je tournoyai sur moi-même en remuant la queue, heureuse. J'allai ensuite rendre le téléphone à son véritable propriétaire, me contentant de faire des yeux de biche lorsque celui pesta contre la bave de chien présent sur l'appareil. Je revins ensuite vers mon geôlier, qui me paraissait de moins en moins cruel malgré ses rires sadiques. Je n'avais pas compris de quoi il parlait où ce qui avait bien pu se passer le jour de son dix-huitième anniversaire à lui, mais toutes ses questions s'éclipsèrent lorsqu'il demanda à Melvin un gâteau d'anniversaire, déclarant qu'il en avait un à fêter. Un anniversaire, pour elle. Oh déesse m'avez-vous finalement conduit vers une nouvelle vie plutôt que la mort ? Était-ce là votre plan depuis le début ? Timidement, j'allai vers la main de son sauveur et la léchai -son odeur me fit éternuer, c'était perturbant- remuant toujours vivement la queue, puis je pointai une patte vers lui. Je voulais en savoir plus sur lui. Et puis… j'avais du temps à tuer avant mon anniversaire. J'entrepris d'ailleurs de défaire mes nœuds avec mes crocs, voulant être présentable.
"See, they're currently in alien terrain, surrounded by millions of the most vicious creatures on the planet... Humans." - Newt Scammander, Fantastic Beast
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Clionestra
Lun 8 Mai - 18:50
Alaric "CrazyDog" Weiller
J'ai 25 ans et je vis dans mon manoir, dans le territoire du Sud. Dans la vie, je suis l'alpha de la meute et je m'en sors Bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.
>Il est atteint de Vitiligo >Il est vu comme un chien fou >Il n'hésite pas à mettre à mort > Sa meute le respecte pourtant
Curtis J McDaniels
Alaric finit de se laver, sans la moindre pudeur ni pour Melvin, ni pour Arabella. Nu comme un verre, il sort et s'assoit sur la baignoire pour regarder la chienne ... être heureuse ? Les gens heureux l'agaçaient. Alaric avait envie de faire du mal à ceux qui étaient heureux, quand lui ne l'était pas... Mais étrangement, ça l'amusa. Alors il laissa la jeune chienne dans sa joie. Se laissant lécher, il eut un rire face à la réaction de la jeune contre son odeur.
- L'odeur n'est pas fait pour être agréable, je le conçois, mais elle éclipse l'odeur du sang et permet d'être plus discret lorsqu'on doit tuer.
Il écarta ses lèvres, dévoilant à nouveau ses dents trop pointus pour être totalement humaine. Quand on était aussi prompt que lui à exploser, on était généralement entre deux. Il n'était jamais loin de se transformer en bête, et toujours humain. Un chien bien dangereux, surtout qu'il avait des mâchoires puissantes. Il observa la chienne et la prit à nouveau par le col.
- Que fait-tu donc ? demanda-t-il en observant les zones qu'elle semblait avoir ... brosser.
Il fronça le nez. Lui, il avait le poil court et personne n'oserait le brosser. La jeune femme n'avait pas semblé voir la quantité de cicatrice qui couvrait son corps, et le couvrait encore sous forme de chien. Il reprit la jeune femme et se mit dans son lit, qui avait été refait, elle entre ses jambes, pour passer sa main dans ses poils. Il l'aidait, mais il ne se priva pas de se moquer.
- Les chiennes et leur apparence, toute pareil, cela reste que ça emmerde tout le monde de devoir les aider à se brosser.
Mais il le faisait. Il prit la télécommande et continua le film qu'il avait commencé la veille, un film d'horreur. Parfois, il regardait du porno. Mais cette fois-ci, ce n'était que du sang qui sortait de partout et il en éclata de rire plusieurs fois.
J'ai 18 ans et je suis originaire du territoire sud Dans la vie, je suis abandonnée et captive du "chien fou" et je m'en sors miraculeusement bien ? Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt pas bien. --> Est incapable de se transformer en humaine ---> Vient d'un clan de fanatique envers la déesse ---> Fut considérée comme une malédiction de la déesse par son incapacité à se transformer --> C'est un cocker spaniel --> Elle porte un collier avec son nom et prénom et la mention de son incapacité, seules informations qu'elle soit donc capable de communiquer
Un tueur voilà ce qu'il était. Il venait de lui rappeler par le choix de son odeur. Et il ne parla pas plus que cela de lui malgré sa tentative de lui demander. Il restait donc un mystère. Le genre d'homme à se plaindre de devoir la brosser, mais qui le faisait quand même. Elle en était heureuse. Mais déchanta devant le film qu'il mit, ignorant qu'elle avait échappé à pire. Elle se tourna dos à la télé, la tête contre le torse du jeune homme. C'était agréable et chaud. Elle s'endormirait presque si elle ne sursautait pas toutes les deux minutes à cause du bruit du film. Comment pouvait-il rire de la sorte, c'était horrible ! On était bien des Disney que j'avais l'habitude de regarder avec ma famille, avant... Il n'empêche, ce tueur m'avait sauvé et prenait soin de moi à sa manière. Pouvais-je m'estimer en sécurité désormais ? Le monde n'était pas si noir et blanc, au final. Il ne faisait pas semblant au moins. Plus authentique, impossible de le nier. J'ai fini par me caler contre lui, tremblante face au film. La véritable lady du tueur. Cela me dérangeait pas plus que ça. Au moins je n'avais à craindre personne d'autre que lui. Et il ne paraissait pas décider à me donner la mort de sitôt. Quelqu'un fini par toquer et je me redressai tout de suite. Melvin apparu et annonça: "C'est prêt." Dans l'air, une odeur florale flottait. Cela me plaisait déjà. Je sautai aussitôt du lit, manquant de me prendre un mur au passage, et suivit l'odeur jusqu'au minibuffet où un gâteau trônait, décorée de fine fleurs bleu sombre. Je ne savais pas de quoi était fait le gâteau, mais il était magnifique, plus que tout ce que j'avais pu avoir dans cette vie. Les larmes me montaient aux yeux. Il n'y avait pas de mots pour montrer à quel point j'étais reconnaissante et, de toute façon, je ne pouvais les exprimer. Depuis quand moi, Arabella Grimwalker, je méritais autant ?
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Clionestra
Lun 8 Mai - 20:04
Alaric "CrazyDog" Weiller
J'ai 25 ans et je vis dans mon manoir, dans le territoire du Sud. Dans la vie, je suis l'alpha de la meute et je m'en sors Bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.
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Il voulait rire de sa peur mais fut plutôt surpris que la chienne vienne se blottir contre lui. Elle venait protéger son âme sensible contre son torse, c'était étrange. Il continua à lui brosser les poils, mais rigola autant du film d'où une cervelle venait de se faire arracher avec des dents que des sursauts de la chienne. Quand Melvin arriva, il ne fit aucun commentaire sur son film. Personne ne pouvait ignorer le plaisir d'Alaric a regarder les films les plus gores de la création, ou les pornos les plus hardcore aussi. Il s'amusait encore plus de la réaction des gens que du film, la plupart du temps.
Sauf Melvin qui avait tellement l'habitude qu'il ne disait plus rien. Il lui envoya une boule de poil dessus pour se venger. Il suivit la chienne et lâcha un rire moqueur.
- On dirait que mon petit animal de compagnie se fait plutôt rapidement à la maison. Je préfère quand tu pleures.
La fin de la phrase était clairement pour Arabella. Il voulait qu'elle pleure encore, contre lui, à cause de lui. C'était plus marrant de faire naître la peur et les larmes chez les autres. elle s'habituait trop vite, il allait devoir trouver d'autres manières de la faire pleurer. Il regarda la chienne et remarqua qu'elle était, en effet, en train de pleurer. Il s'assit sur le sol, et oui, il était toujours à poil.
- Viens ici, ordonna-t-il alors qu'il laissa Melvin préparer deux assiettes pour en poser sur le sol à côté de son employé.
Elle n'était clairement pas assez rapide pour le Rottweiler et il se pencha pour attraper une patte et la faire glisser jusqu'à lui.
- Ainsi, tu es une petite chienne pleureuse, et il eut un rire sadique alors que deux tasses servis par Melvin était rajouté sur le sol à côté du gâteau. Joyeux dix-huitième anniversaire Arabella, celui-ci marque le début d'une nouvelle vie.
Et il fit, presque, un sourire angélique. Qui faisait encore plus flipper quand ça venait de lui. Alaric était fait pour être un démon, un monstre, un tueur. Quand il avait un sourire d'ange, c'était encore plus flippant.
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Je ne comprenais pas pourquoi il voulait que je pleure, ni pourquoi il en riait autant, mais cela m'importait peu. Tout était beaucoup trop parfait pour que je m'inquiète. Même le fait que l'homme dont j'étais prisonnière restait nu demeurait un détail. Peut-être faisait-il ça pour pouvoir se transformer plus facilement, au besoin ? Il m'appela et je vins, déjà fidèle. Il dut me trouver trop lente cependant, car il me fit glisser jusqu'à lui m'arrachant un jappement. Mais ce qu'il me dit m'alla droit au cœur, si bien que je pleurai à nouveau. Je me faufilai et allais me blottir contre lui, mon seul moyen de dire merci. Mais je fis en sorte que le câlin reste bref: il était encore plus flippant quand il était gentil, au final. Je ne savais pas par quoi commencer: l'appétissante part de gâteau ou le thé. Je pouvais sentir que dans les deux cas, il y avait ce parfum floral entêtant, mais inconnu. Gourmande, j'ai fini par me pencher sur la part de gâteau. Délicieux. Un gâteau au yaourt agrémenté de fruit et de la mystérieuse fleur. Je finis ma part sans demander mon reste et, je me léchai les babines. J'en avais jusqu'à sur mes oreilles, trop tombantes pour rester propres. Y aurait-il un deuxième bain pour moi ? Mais alors que j'allais boire le thé, un étrange phénomène se produisit: je me sentis changer. Mes traits canins me quittèrent pour devenir humains, lentement et sans douleur. J'avais à peine conscience de ce qui se produisit mais, l'instant où mes pensées se reconnectèrent, je compris: pour la première fois de mon existence, je venais de me transformer en humaine. Attendez, quoi ? Un cri de surprise m'échappa, un cri humain. Ma voix était rauque, faible. Comme si j'étais, j'avais été aphone depuis un moment. Ce qui avait été le cas, en soi. Je ne cessais d'observer mes mains, mes jambes, je touchais mon visage, mon cou, mon ventre... une humaine. Au secours. Qu'allais-je faire maintenant ? J'étais plus déstabilisée qu'heureuse, même si la joie était certes présente. Soudain, je réalisai. J'étais nue et exposée face à tous. Oh déesse. Toutes les premières transformations étaient si gênantes ? C'était probablement, car j'étais et j'avais un corps de femme et non d'enfant que j'avais cette sensation. Je pouvais sentir mon cœur battre contre ma poitrine. Paniquée, je ne savais pas par quoi commencer. Je pouvais entendre des murmures autour de moi, je crois. Je me recroquevillai et me mit à pleurer. Respire. Tu peux le faire. Dans mon clan, on offre des vêtements pour la première transformation. Et le chien fou me regardait trop, du moins j'avais l'impression. J'allais commencer par ça. " V... Vêtem... Vêtements... S'... S'... S'il ... t'plais..." Quémandais-je de ma voix quasi aphone. Moi qui avais tant rêver de communiquer, je trouvais ça incroyablement difficiles, finalement. Comment faisait-il ? Et surtout, je tremblais de peur et de froid: sans fourrure dur de réguler ma température. Allait-il accéder à ma requête. Lui serais-je toujours si spéciale maintenant que j'étais humaine ? Allais-je connaitre la mort désormais, vu que j'étais comme tous ? Oh déesse, pitié. Les larmes ne cessaient de couler.
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Clionestra
Lun 8 Mai - 21:28
Alaric "CrazyDog" Weiller
J'ai 25 ans et je vis dans mon manoir, dans le territoire du Sud. Dans la vie, je suis l'alpha de la meute et je m'en sors Bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.
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Il s'amusait bien des réactions de la chienne. C'était rigolo à voir et à expérimenter. Surtout quand elle venait à pleurer parce qu'il lui avait offert du gâteau. Ce n'était pas comme s'il était cruel, non plus. Quoi que. Il pensa un instant à lui enlever du bec avant qu'elle ne mange mais s'arrêta. Lui laissant manger alors qu'il mangea à son tour, avec les doigts. Il en avait un peu rien à faire lui de se salir. Il la regarda et sentit le début du changement avant qu'elle ne le fasse. Il se surprit, et les autres autour d'eux aussi. Il observa un moment le corps nu de la jeune femme avant qu'elle ne demande des habits. Il était nu, elle voulait qu'il sorte ça d'où.
- Dehors, tout le monde, fit-il d'une voix rauque alors qu'il se levait montrant sa nudité à la jeune femme autant qu'aux autres.
Dans sa meute, la nudité était normale. Tout le monde sorti, même des appartements de leur alpha. Il s'approcha sans la moindre honte et sourit, est-ce qu'il allait la faire pleurer maintenant ? Il attrapa sa main et la tourna pour qu'elle regarde dans le reflet.
- Tu es humaine, c'était pas si compliqué de te faire changer, maintenant profite de voir ton corps.
Il rit un peu avant de dire la suite de sa phrase.
- Tu devrais même le toucher pour mieux le comprendre, crois-moi ça t'aidera pour la suite. Tu veux de l'aide ?
Non.. Non... Il n'était pas du tout en train de se moquer en lui proposant quelque chose de totalement déplacé ... C'était que les fous qui faisaient ça, n'est-ce pas ?
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Les coutumes de cette meute étaient visiblement différentes et cette première transformation était loin d'être celle que j'avais pu imaginer. Il n'accéda pas à ma requête, mais fit sortir tout le monde. Je me sentis mieux, moins espionnée. Lentement, je me redressai. Il pouvait me voir si vulnérable. Tout simplement parce que de toute façon ma vie était déjà entre ses mains depuis le moment même où l'ont c'était rencontré. J'avais enfin réussi à me transformer, mais j'étais toujours si paumé. L'homme en face de moi voulu m'expliquer des choses, mais je ne compris pas vraiment, alors j'inclinai la tête, habitude canine. Le froid s'insinuait toujours en moi et être assise sur le carrelage n'aidait pas. Mais d'abord il y a une chose que je souhaitais faire. Je déclarai du mieux que j'ai pu: "Moi... Arabella et... toi ?" Maintenant que je pouvais parler, je pouvais espérer faire connaissance avec lui, mais d'abord... "J'ai froid, je vais dans le lit, d'accord ? On verra après... pour tes conseils... j'ai pas compris." Ma voix devenait de plus en plus claire et je commençais à pouvoir mieux parler. Cela me rassurait. Doucement, je me levai, me tenant à une longue table pour m'aider. Je mis un long moment pour trouver mon équilibre et je tombai plusieurs fois en essayant de marcher. J'hésitais presque à vouloir me déplacer à quatre pattes, mais, je savais que sous cette forme, c'était déplacé. Arrivée devant l'escalier, je soupirai, c'était une torture, c'est ça ? Lentement, très lentement, j'entrepris de les gravir, une par une en me tenant fermement à la rambarde, mais c'était dur et surtout... "J'ai peur de tomber..." avouais-je au propriétaire des lieux. Je me sentais comme une enfant qui découvrait le monde... excepté que j'avais dix-huit ans.
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Clionestra
Mar 9 Mai - 1:08
Alaric "CrazyDog" Weiller
J'ai 25 ans et je vis dans mon manoir, dans le territoire du Sud. Dans la vie, je suis l'alpha de la meute et je m'en sors Bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.
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Curtis J McDaniels
Elle était plus drôle en animal... Là, elle semblait trop sous le choc pour pleurer, comprendre ses sous entendus désastreux ou atterrir. Bon. C'était clairement pas drôle, et il fit une moue en la regardant partir pour se mettre dans "son" lit. Mouais ... Mais... non. Il l'observait et espérait secrètement qu'elle se casse la figure. Il avait envie de rire. Il rit un peu, quand elle tomba effectivement.
La regardant prendre les escaliers, il repoussa d'un regard mauvais ceux qui voulait essayer de l'aider ... Jusqu'à ce qu'elle lui avoue avoir peur. Il aimait ça, qu'elle aie peur ... mais quelque chose le fit s'avancer et d'un mouvement rapide, et toujours sans la moindre pudeur, il la prise dans ses bras pour la coller contre son torse. Il fit le chemin rapidement jusqu'à sa chambre pour la jeter dans le lit (faut pas pousser mémé dans les orties non plus).
Il sait en réalité, pourquoi il avait décidé d'être "gentil" ainsi en la portant comme une princesse pour la jeter. Elle lui avait demandé comment il s'appelait. C'était bête. Tout le monde savait qui il était et comment il s'appelait. Même elle devait connaitre le méchant chien fou de la meute ... Qui était devenu alpha. Mais il aimait l'idée qu'elle l'ignore.
- Alaric. Je m'appelle Alaric.
Ses parents l'appelaient Ric, avant. Plus personne ne l'appelait ainsi maintenant. Il tourna la tête vers la chienne ... qui n'en était plus une avant de faire un nouveau sourire de sadique.
- Je sais exactement quoi te mettre pour que tu comprennes ce que je voulais dire par "profiter de ton corps".
Il se leva toujours nu, chercha un DVD alors qu'il eu un rire purement sadique avant de mettre le DVD et d'avancer à un moment plus propice, pour ne pas avoir tout le long moment inutile de la mise en place de la scène pornograhique en cours. Une femme qui se fait du bien. Moins jolie qu'Arabella d'ailleurs. Et il se remit dans le lit en regardant la réaction de la poupée à ses côtés.
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J'étais tétanisée sur cette marche d'escalier. Je me sentais trop haute. Je fermai les yeux, accrocher désespérément à la rambarde. Je tremblais toujours comme une feuille. Soudain, des bras vinrent pour me porter. Alaric. Je me blottis instinctivement contre lui. Ma vie entre ses mains, toujours. Il me jeta sur le lit et je poussai un cri de surprise. Évidemment il ne pouvait être doux jusqu'au bout. Est-ce que ça le tuerait ? Peut-être. Je m'emmitouflai aussitôt dans les draps. Ne réalisant pas ce qui allait venir. Pour moi, un DVD c'était un dessin animé. Avait-il, étonnamment, un dessin animé explicatif sur la transformation ? Mais ce qui s'afficha à l'écran n'était pas du tout un dessin animé, loin de là. Je me cachai aussitôt sous le drap en poussant un cri de surprise et dégoût. "N'importe quoi, je ne ferai jamais ça !" clamais-je, toujours cachée. Pourquoi faisait-il ça ? Parce que ça l'amuse sans doute. Je ne pouvais pas bouger, j'avais trop peur de ne faire que tomber avec le drap sur moi. Tant pis, j'affronte. Brave, je retirai le drap et allais le plus vite possible dans la salle de bain. Je pouvais entendre le son du porno malgré tout. Fatiguée, je m'assis sur le rebord de la baignoire en soupirant. Je n'étais pas si naïve, je savais ce qu'étais le sexe et co. Mais chez moi, tout ça était réservé aux gens mariés. Et je doute qu'Alaric veuille m'épouser. Je soupirai à nouveau. Puis, je me relevai, réalisant que je n'avais pas encore eu l'occasion de me voir dans un miroir. " Jolie..." Fis-je en me voyant dans le miroir pour la première fois. Je fus admirative devant mes cheveux étonnamment court et mes petites taches de rousseurs. Je souris, heureuse. Oui, j'étais jolie. Prudemment, je passai la tête en dehors de la salle de bain. J'entendais encore le bruit, mais j'avais encore un espoir naïf qu'il arrête le film. J'avais sommeil et froid. "Alaric... je dors où ?" demandais-je prudemment. Un bâillement vint ponctuer ma demande. Je ne savais pas quelle heure il était, mais la journée était longue pour moi. "Sauf si tu as prévu autre chose ?" Ajoutais-je doucement, ne voulant pas contrecarrer ses plans en espérant néanmoins que son envie de me perturbée était finie.
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Clionestra
Mar 9 Mai - 17:51
Alaric "CrazyDog" Weiller
J'ai 25 ans et je vis dans mon manoir, dans le territoire du Sud. Dans la vie, je suis l'alpha de la meute et je m'en sors Bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.
>Il est atteint de Vitiligo >Il est vu comme un chien fou >Il n'hésite pas à mettre à mort > Sa meute le respecte pourtant
Curtis J McDaniels
Alaric était à nouveau ses lèvres alors que la jeune femme se cachait. Ne jamais faire ça ? Il eut un rire sadique alors qu’il pensait à la pureté. Ce n’était pas si dégoutant que ça, et il regarda la forme de la jeune femme sortir du lit, toute nue, pour aller se cacher. Il rit encore et monta le son alors que la femme à l’écran s’éclater clairement avec ses doigts.
- Tu le feras, affirma-t-il alors qu’il laissa sa place dans le lit, parce que tu es une adulte, ton corps demandera à être apprivoisé, et faudra que tu te touches pour te connaître. C’est le mieux pour quelqu’un qui se change pour la première fois à ton âge.
Et il était tout à fait sérieux alors qu’il se déplaça en laissant le porno allumé. Tiens, un homme venait d’arriver et commencer à s’amuser avec sa partenaire. Il fit un sourire encore et rit comme un sadique en sentant la peur et le désarroi de la femme derrière lui.
- Tu es mon animal de compagnie, tu dors avec moi, dans le lit, et il fit un nouveau sourire qui passerait pour psychopathe auprès de tout le monde dans un sondage.
Alaric savait qu’il ne lui ferait pas de mal. Il n'était pas le genre à faire du mal ainsi. Il tuait, oui mais il ne faisait jamais rien pour humilier. Quand il tuait il donnait l'occasion de se défendre. Toujours. Il n'avait jamais tué d'enfants et ne comptait pas blesser une femme pour rien. Chien fou ou pas. Mais ça, elle n'était pas obligé de le savoir. Il garda son sourire alors qu’il traversa la chambre pour se mettre à proximité d’elle, toujours nu et il trouvait ça drôle.
- Oh j’ai plein de choses que je préfèrerais prévoir Arabella, mais je ne suis pas sûr que tu sois prête. Si tu n’accepte pas ton corps, et il fit un geste vers la télévision, ça m’étonnerais que tu acceptes ce que j’aimerais faire. Alors dépêche-toi de te mettre dans le lit, avant que je ne décide de prendre les choses en main.
Il toucha le haut de son épaule et descendit sa peau jusqu’à son coude avant de rire à nouveau. Oh. Ce qu’il aimait faire peur aux petites choses.