Je crois que vous avez perdu quelque chose [Manhattan R]
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Manhattan Redlish
Lun 27 Mar - 20:33
Rafael Melendez
J'ai 38 ans ans et je vis à Miami, Etats-Unis. Dans la vie, je suis un ancien flic du 12th district et propriétaire d'un bar et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis divorcé et je le vis plutôt bien. Après un passage de deux ans dans une université de bas-étage à Miami, Rafael est entré à l’école de police avec pour objectif de protéger et de servir. Il rencontra sa femme quelques mois avant son incorporation, et elle tomba rapidement enceinte, bousculant quelque peu ses projets de vie. Ils emménagèrent donc ensemble et se marièrent à la mairie sans leurs familles. En tout intimité. Mais bien vite, ce fut la désillusion pour son ex-femme qui se retrouva à élever seule leur fille. Rafael cumulait les infiltrations de plusieurs mois. Des mois sans entrer en contact avec sa famille. Sa mutation à la criminelle ne fut pas suffisant pour sauver son mariage et divorcèrent après dix ans de mariage. Il quitta la police quelques années après pour ouvrir un bar, mais le mal était déjà fait. Angie lui avait pardonné, mais ce n’était pas le cas d’Elena qui décida de lui rappeler, quotidiennement, qu’il n’est pas réellement son père… Peu importe ses efforts pour rattraper le temps passé
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Rafael la couva du regard avec tendresse alors qu’il sentait que la jeune femme face à lui était paniquée à l’idée de parler à son enfant, et se mit à sourire « Eh bien tu n’as qu’à te dire que tout ira bien ». Finalement, Bonnie opta pour la fuite. Enfin… Une brève fuite car il fallait croire que l’Univers en avait décidé autrement en lui imposant deux clients pour venir bloquer l’unique sortie du bar. Le beau brun fit donc les quelques pas qui le séparait de cette dernière et hocha lentement de la tête « Tu sauras que j’ai souvent raison » et lui rendit son baiser avec tout autant de douceur qu’elle, puis l’observa l’éloigner avec plus de confiance dans cette entrevue que Bonnie pouvait en avoir. Néanmoins le silence qui persista la semaine suivante ne rassurait pas vraiment Rafael qui commençait à s’interroger sur l’issue de cette rencontre avec Sarah. Elena voulait qu’il lui envoie un message afin de prendre les devants. Rafael refusa. Il avait confiance en la jeune femme. Lorsqu’elle serait prête, elle lui enverrait ce message. Ce qui se produisit alors qu’il jetait un énième regard à son portable et il esquissa un sourire en voyant la photo de Bonnie sous la couette et le message qui suivit. « Vu ta tête, je présume que Bonnie t’a envoyé un message » répliqua l’adolescente en terminant son bol de céréales « Oui » répondit aussitôt le barman qui fut surpris d’être aussi transparent soudainement « Est-ce que ça te dérange si… » « Je vais demander à Melyssa de m’emmener au lycée. Vas-y ! » rétorqua l’adolescente en posant son regard sur les dessins-animés tout en continuant de petit-déjeuner. Rafael se mit à sourire et déposa un baiser sur la chevelure de l’adolescente « Merci » « Tu m’en dois une Papito » « Je note » répliqua ce dernier alors qu’il franchissait la porte d’entrée de son appartement.
Dans le taxi, il envoya un : J’espère que ta porte d’entrée est ouverte et rangea son portable dans la poche de son jean, puis observa le défilé du paysage urbain jusqu’à arriver en bas de chez Bonnie. Il gravit les marches en toute tranquillité et frappa à la porte avant de la pousser, puis la referma derrière lui, glissa ses mains dans les poches de son jean et s’avança d’un pas lent jusqu’à la chambre de la jeune femme. Un sourire étira ses lèvres alors qu’il posa son épaule contre l’encadrement de la porte « Salut toi » et ajouta « Comme ça on a besoin de compagnie ? », puis retira son t-shirt tout en s’avançant jusqu’au lit, se débarrassant également des chaussures en chemin, ainsi que de son jean, puis l’embrassa avec envie et se délecta de l’instant présent, de ses baisers, de ses caresses, de la chaleur de son corps contre le sien, tout comme de ses soupirs de plaisir lorsqu’il la fit sienne. C’était à bout de souffle que Rafael se laissa retomber sur le lit, s’autorisant un instant pour reprendre ses esprits, puis cala l’oreiller contre la tête de lit, et s’y appuya « Tu veux… » en l’invitant à se blottir tout contre lui « On n’est pas obligé de parler ». Comme si c’était un argument qui pourrait la pousser à rester un moment dans le lit avec lui.
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Charly
Lun 27 Mar - 21:37
Bonnie Brennan
J'ai 34 ans ans et je vis à Miami. Dans la vie, je suis vendeuse et je m'en sors pas mal. Sinon, grâce à ma chance, je suis à libre comme l'air et je le vis plutôt bien. Bonnie est une jeune femme indépendante, sur d'elle, qui mène sa vie comme elle l'entends. Issue d'une famille Irlandaise plus que modeste, Bonnie a quitté son pays d'origine ainsi que sa famille à 17ans. Par la même occasion, elle a laissé derrière elle sa fille, pour des raisons qui selon la jolie blonde étaient purement égoïste. Elle n'avait rien à offrir à cet enfant. Bonne menteuse lorsqu'il le faut, elle sais se montrer prudente et discrète. Il en va de sa survit. En rencontrant Elena et son père Rafael, Bonnie ne se doute pas que sa vie va prendre un nouveau tournant. Crédits: cherry / tumblr
La semaine était passée à une vitesse folle. Bonnie n’avait pas vraiment eut le temps de penser à Rafael. Elle s’était concentrée essentiellement sur sa fille, sur ces questions… Elles avaient prit le temps de se découvrirent, d’apprendre à se connaitre. Sarah lui avait parlé de sa vie en Irlande, Bonnie de la sienne ici, à Miami. Elles avaient aussi bien entendu évoqua la naissance, la grossesse, les origines de Sarah. Pourquoi Bonnie l’avait elle laissé, est ce qu’elle l’avait aimé, pourquoi aussi tout ce temps avant de vouloir lui parler. Pas une seule fois la belle blonde n’avait lu de reproche dans le regard de sa fille. Elle cherchait seulement à comprendre. Et elle avait compris… que rien n’était de sa faute, que c’était pour lui donner de meilleures chances dans la vie que Bonnie avait fait ce choix. Qu’il avait été douloureux, surtout après l’avoir vu, l’avoir tenu dans ses bras durant quelques minutes. Quelques minutes de trop peut-être à l’époque. Quelques minutes qui avaient pourtant fait naitre de l’amour chez Bonnie pour ce bébé pourtant non désiré. Elle ne lui avait rien caché.
Mais aujourd’hui, Sarah était repartie, et Bonnie avait prit le temps de digérer tout ça. Elle se reconnectait au monde réel, et dans son monde il y avait un homme à qui elle tenait beaucoup. Beaucoup trop déjà peut-être… Elle avait sourit en voyant son message, s’était levée pour déverrouiller la porte, et également pour retirer son pull et ses chaussettes. Elle sensation étrange se créa au creux de son ventre lorsqu’elle entendit la porte, puis ses pas dans l’appartement. C’était ça des papillons ? « -salut toi… » répondit la jeune femme en retour, lui souriant avec douceur, allongé la tête sur une main, coude replié. Elle le trouva beau dans sa pause nonchalante, immédiatement elle le désira. Un peu plus encore lorsqu’il retira son t-shirt. Rapidement et sans un mot, leurs bouchent se trouvèrent pour échanger de langoureux baisers. Puis vinrent les caresses, le plaisir de retrouver ce corps contre le sien. Elle prit conscience du manque de lui lorsqu’elle sentit le poids de son corps sur le sien, son souffle dans son cou et enfin son premier coup de rein. Pas besoin de mot, seulement leurs souffles mêlés, leur corps unis.
Le souffle court, elle ferma les yeux quelques secondes, savourant cette sensation de flottement qui vient après l’orgasme. Elle ouvrit les yeux lorsqu’il ouvrit la bouche. Elle sourit, avant de venir se lover contre lui. Elle embrassa sa peau et souffla un : « -pas tout de suite… » avec une voix encore pleine de plaisir qu’il venait de lui faire atteindre. Il lui avait manqué. Et pas que dans cette situation, nu dans son lit… Non, il lui avait manqué dans sa globalité. Au bout de quelques minutes elle souffla : « -je ne savais pas si tu pourrais te libérer… » embrassa à nouveau sa peau et ajouta : « -je suis encore en repos pendant deux jours… » elle qui ne prenait jamais de vacances, devait bien reconnaitre que ça faisait du bien. Sans pour autant se décoller de lui, elle reprit : « -je suis désolée de t’avoir laissé sans nouvelles… j’avais besoin d’un peu de temps… » mais elle était consciente qu’il savait déjà.
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Manhattan Redlish
Mar 28 Mar - 13:47
Rafael Melendez
J'ai 38 ans ans et je vis à Miami, Etats-Unis. Dans la vie, je suis un ancien flic du 12th district et propriétaire d'un bar et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis divorcé et je le vis plutôt bien. Après un passage de deux ans dans une université de bas-étage à Miami, Rafael est entré à l’école de police avec pour objectif de protéger et de servir. Il rencontra sa femme quelques mois avant son incorporation, et elle tomba rapidement enceinte, bousculant quelque peu ses projets de vie. Ils emménagèrent donc ensemble et se marièrent à la mairie sans leurs familles. En tout intimité. Mais bien vite, ce fut la désillusion pour son ex-femme qui se retrouva à élever seule leur fille. Rafael cumulait les infiltrations de plusieurs mois. Des mois sans entrer en contact avec sa famille. Sa mutation à la criminelle ne fut pas suffisant pour sauver son mariage et divorcèrent après dix ans de mariage. Il quitta la police quelques années après pour ouvrir un bar, mais le mal était déjà fait. Angie lui avait pardonné, mais ce n’était pas le cas d’Elena qui décida de lui rappeler, quotidiennement, qu’il n’est pas réellement son père… Peu importe ses efforts pour rattraper le temps passé
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En toute honnêteté, Rafael ne s’était pas attendu à recevoir le moindre message de la part de Bonnie de si bon matin, et encore moins ce genre d’invitation à venir la rejoindre sous les couvertures. Il ne s’était donc pas fait prier pour se rendre jusqu’à son appartement après le petit-déjeuner, et s’était lentement avancé vers la porte de la chambre pour venir s’appuyer contre l’encadrement de cette dernière. Un sourire se glissa sur ses lèvres en posant son regard sur elle. Il se rendit compte qu’elle lui avait peut-être manqué plus que ce qu’il ne l’avait pensé. Il réduisit rapidement l’espace entre eux deux, et plus particulièrement leurs deux corps. Il la désirait soudainement en l’imaginant entièrement nue sous la couette et l’embrassa avec envie sans se faire prier, avant de la faire sienne. Même si l’absence fut brève, il apprécia de retrouver la chaleur de son corps, les frissons sous ses caresses et ses baisers, et de se sentir en elle ainsi, et ce, jusqu’à la jouissance. Il prit quelques secondes pour renouer avec la réalité et tendit le bras pour inviter Bonnie à venir se blottir tout contre lui. Ce qu’elle fit sans le moindre mot. Il lui demanda à demi-mot si elle voulait parler et sourit avec douceur en soufflant un « Ok » tout en venant faire danser le bout de ses doigts sur la peau encore moite de sa petite-amie. Sa tête contre l’encadrement du lit, il rétorqua un « Elena a accepté de se rendre au lycée avec une amie ». Un nouveau sourire en sentant les lèvres de cette dernière se poser sur sa peau « Est-ce que tu veux qu’on aille quelque part rien que tous les deux ? On pourrait pique-niquer sur le bord de mer ce soir ? ». Oui, c’était une idée. Mais peut-être que Bonnie n’avait pas la tête à sortir de son appartement après cette dernière semaine.
Cette dernière vint à s’excuser de son absence cette dernière semaine. Il ne put que sourire avec douceur et de sa main libre, il posa ses doigts sur son menton pour qu’elle lève la tête vers lui « Ne le sois pas et je sais. C’est pour ça que je n’ai pas tenté de t’appeler » puis déposa ses lèvres sur les siennes « J’étais seulement inquiet que ça ne se soit pas bien déroulé », puis avoua en émettant un petit rire « Bon, j’ai peut-être regarder mon portable plus que d’habitude » et précisa « C’est seulement parce que tu m’as manqué ». Il caressa sa joue tout en ancrant son regard dans le sien et resta silencieux quelques secondes, puis demanda « C’est la première fois que tu restes dans le lit avec moi après l’amour… Qu’est-ce qui a changé ? ». Avait-elle seulement besoin de proximité, d’être serrée dans ses bras ? Il reposa sa tête contre l’oreiller « On pourrait aussi aller à la fête foraine avec Elena ? ». Il se mit à sourire tout en baissant son regard brun sur elle « En fait, peu importe. Tu choisis… Ou tu peux aussi choisir de les passer seule ». Après tout, elle n’avait peut-être pas envie de l’avoir dans les pattes durant les deux jours qui allaient suivre.
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Charly
Mar 28 Mar - 21:10
Bonnie Brennan
J'ai 34 ans ans et je vis à Miami. Dans la vie, je suis vendeuse et je m'en sors pas mal. Sinon, grâce à ma chance, je suis à libre comme l'air et je le vis plutôt bien. Bonnie est une jeune femme indépendante, sur d'elle, qui mène sa vie comme elle l'entends. Issue d'une famille Irlandaise plus que modeste, Bonnie a quitté son pays d'origine ainsi que sa famille à 17ans. Par la même occasion, elle a laissé derrière elle sa fille, pour des raisons qui selon la jolie blonde étaient purement égoïste. Elle n'avait rien à offrir à cet enfant. Bonne menteuse lorsqu'il le faut, elle sais se montrer prudente et discrète. Il en va de sa survit. En rencontrant Elena et son père Rafael, Bonnie ne se doute pas que sa vie va prendre un nouveau tournant. Crédits: cherry / tumblr
Blottit dans les bras de Rafael, Bonnie se sentait tellement bien. C’était peut-être la première fois de sa vie qu’elle se sentait aussi sereine. « -merci à elle… » souffla la jeune femme lorsqu’il évoqua sa fille. Elle sourit en écoutant la proposition, et répondit : « -pourquoi pas… » elle n’avait pas d’idée pour le reste de la journée, savourant seulement le moment présent. Il lui avait manqué et le retrouver ainsi, lui faisait du bien. Forcement elle s’excusa de son silence, et leva le visage vers celui du beau brun. « -merci… » souffla la belle blonde avant de lui rendre son baiser avec tendresse. Un sourire. « -ça c’est bien passé. » elle aurait pu lui écrire ces mots, mais comme elle venait de lui confier, elle avait eu besoin de temps pour assimiler tout ça.
« -toi aussi… » confia la jeune femme. C’était tellement agréable de le retrouver. Elle apprécia la patience dont il avait fait preuve. C’était aussi une certaine forme de respect. Elle soutint son regard quelques instants, avant de fermer les paupières et de se blottir un peu plus contre lui. « -moi… » répondit Bonnie. Elle se sentait différente depuis que les choses avaient été dites avec Sarah. Plus complète peut-être… « -je n’ai pas la moindre envie de te voir partir si vite. Et j’adore l’idée de la fête foraine. » oui, vraiment cela lui plaisait. Elle resta à nouveau silencieuse durant quelques longues minutes, écoutant les battements de cœur de Rafael, savourant sa chaleur et sa présence masculine. Elle finit par se redresser quelque peu, et chercher ses lèvres pour l’embrasser. « -on va prendre un café ? » finit elle par demander. Elle se leva, enfila un boxer et un tshirt, avant de rejoindre la cuisine pour faire couler deux cafés.
Elle fit glisser la tasse de Rafael sur le bar, et dit : « -merci. » avant de lui adresser un sourire tendre et d’ajouter : « -pour ta patience et surtout d’avoir fait jouer ton réseau pour retrouver Sarah. » ça comptait beaucoup pour elle. « -elle est restée chez moi toute la semaine. On a apprit à se connaitre et j’ai pu répondre à ces questions. » elle chérissait ces moments passés avec la jeune femme. « -tu avais raison, c’est une jeune femme posée, qui a la tête sur les épaules. Elle voulait seulement des réponses, savoir qui j’étais et pourquoi je ne faisais pas partie de sa vie. » elle était fière de cette jeune fille. Même si ce n’était pas la sienne. « -ça a été un peu compliqué au départ… mais je crois que pouvoir lui expliquer mon choix, m’a soulagé en quelque sorte. Elle m’a dit qu’elle comprenait et qu’elle ne m’en voulait pas. » un sourire en regardant son café. « -ça nous a fait du bien à toutes les deux je pense… »
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Mar 28 Mar - 21:40
Rafael Melendez
J'ai 38 ans ans et je vis à Miami, Etats-Unis. Dans la vie, je suis un ancien flic du 12th district et propriétaire d'un bar et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis divorcé et je le vis plutôt bien. Après un passage de deux ans dans une université de bas-étage à Miami, Rafael est entré à l’école de police avec pour objectif de protéger et de servir. Il rencontra sa femme quelques mois avant son incorporation, et elle tomba rapidement enceinte, bousculant quelque peu ses projets de vie. Ils emménagèrent donc ensemble et se marièrent à la mairie sans leurs familles. En tout intimité. Mais bien vite, ce fut la désillusion pour son ex-femme qui se retrouva à élever seule leur fille. Rafael cumulait les infiltrations de plusieurs mois. Des mois sans entrer en contact avec sa famille. Sa mutation à la criminelle ne fut pas suffisant pour sauver son mariage et divorcèrent après dix ans de mariage. Il quitta la police quelques années après pour ouvrir un bar, mais le mal était déjà fait. Angie lui avait pardonné, mais ce n’était pas le cas d’Elena qui décida de lui rappeler, quotidiennement, qu’il n’est pas réellement son père… Peu importe ses efforts pour rattraper le temps passé
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C’était grâce à la compréhension d’Elena que Rafael était présent pour la jolie blonde actuellement blottie contre lui sous la couverture. « Cette bonne action aura un coût » rétorqua-t-il presque en riant alors qu’il caressait machinalement la peau de Bonnie sans y prêter attention. Quand elle évoqua le fait qu’il lui restait encore deux jours de repos, Rafael lui proposa un pique-nique sur le bord de mer en tête-à-tête « Tu as quelques heures pour y réfléchir » souffla le beau brun avec douceur. Pour le moment, ils n’étaient encore qu’aux premières heures de la matinée. Ils avaient le temps d’y réfléchir et d’organiser leur soirée. Puis peut-être que cette dernière avait encore besoin d’un peu de temps pour elle. Ce qu’il comprenait. Comme il avait compris son silence cette dernière semaine. Un sourire pour seule réponse à son remerciement et éprouva un soulagement quand Bonnie le rassura sur le fait que la rencontre avec Sarah s’était bien déroulée « C’est une bonne nouvelle ». Oui, ça l’était vraiment pour Rafael qui souhaitait que la jeune femme soit en paix avec son enfant, peu importe le début chaotique de leur relation.
Le barman déposa un baiser sur la peau de la jolie blonde quand elle lui confia qu’il lui avait manqué également. Son regard sur elle, Rafael la trouva changée. Cette manière d’avouer qu’il lui avait manqué ou encore de rester à ses côtés après le sexe… C’était nouveau pour le beau brun qui l’interrogea sur ce changement soudain et sourit avec douceur à sa réponse alors qu’il la sentit se rapprocher un peu plus de lui « J’aime beaucoup ». Il finit par proposer une autre idée pour la soirée qui semblait ravir davantage la jolie blonde « Eh bien ça sera la fête foraine » rétorqua-t-il avant de fixer un point face à lui. Le silence qui les enveloppa par la suite fut reposant, agréable. Il savoura l’instant présent, la proximité de leurs corps, et cette espèce de quiétude qui les accablait. Il baissa son regard brun sur Bonnie qui lui proposa un café « Je veux bien » et se leva également en enfilant son boxer et son jean, puis suivit la jeune femme jusque dans la cuisine. Il la remercia du café qu’il porta à ses lèvres, puis s’approcha d’elle pour prendre place à ses côtés « C’est normal ». Il baissa son regard sur le liquide brun stagnant dans le fond de sa tasse alors que Bonnie se confia sur sa rencontre avec Sarah. Il releva ses yeux sur elle et lui sourit avec douceur « Je suis heureux de savoir que je ne m’étais pas trompé sur elle et que tout s’est bien passé ». Il l’écouta avec attention alors qu’elle poursuivit « Tu vas pouvoir tourner la page de cette culpabilité que tu nourrissais depuis des années et construire une relation avec Sarah. Peut-être pas celle d’une mère et de sa fille, mais de deux amies ». Il déposa ses lèvres sur sa tempe avant de porter son café à ses lèvres, et souffla un « Je suis sincèrement heureux que ça se soit passé ainsi pour vous deux ». Il ajouta « Elle compte revenir à Miami de temps à autre ? ».
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Mer 29 Mar - 12:19
Bonnie Brennan
J'ai 34 ans ans et je vis à Miami. Dans la vie, je suis vendeuse et je m'en sors pas mal. Sinon, grâce à ma chance, je suis à libre comme l'air et je le vis plutôt bien. Bonnie est une jeune femme indépendante, sur d'elle, qui mène sa vie comme elle l'entends. Issue d'une famille Irlandaise plus que modeste, Bonnie a quitté son pays d'origine ainsi que sa famille à 17ans. Par la même occasion, elle a laissé derrière elle sa fille, pour des raisons qui selon la jolie blonde étaient purement égoïste. Elle n'avait rien à offrir à cet enfant. Bonne menteuse lorsqu'il le faut, elle sais se montrer prudente et discrète. Il en va de sa survit. En rencontrant Elena et son père Rafael, Bonnie ne se doute pas que sa vie va prendre un nouveau tournant. Crédits: cherry / tumblr
« -n’importe quoi… elle m’aime bien… et je suis certaine qu’elle est heureuse pour toi. » souffla Bonnie, convaincu qu’Elena ne ferait pas payer le prix fort à Rafael. Elle était assez grande pour dormir chez son petit ami, alors elle pouvait bien se bouger solo pour aller à l’école non ? Et comme elle venait de le dire, Elena l’appréciait. Elle était sans doute heureuse que son père ait retrouver quelqu’un. Enfin, en tout cas, c’était comme cela que ça se dessinait dans l’esprit de Bonnie. La belle blonde n’avait rien planifié à son programme. Elle se laissait porter. Mais toutes les idées proposées par Rafael lui plurent. Tant qu’ils passaient du temps ensemble, ça lui allait très bien. Quand il lui demanda ce qui avait changé, sa réponse fut assez simple. C’était elle… Depuis sa rencontre avec sa fille, elle se sentait comme différente. Plus légère. Moins sur la défensive. Peut-être qu’en parlant, elle s’était soignée… Qu’en faisant la paix avec cette partie de son passé, elle avait moins peur de l’avenir.
Elle finit par proposer un café, et commença à lui parler de Sarah, en amorçant la conversation en le remerciant. « -c’est tout à fait ça. » parler de ses choix, de cette décision qui lui avait déchiré le cœur à l’époque, mais qui lui paraissait la mieux pour ce bébé en terme d’avenir, avait créer une sorte de baume sur la blessure. Un léger haussement d’épaules : « -on a échangé nos numéros. Je lui ai bien dit que je ne voulais et ne pouvait remplacé ses parents. Que je lui avais peut-être donné la vie, mais que sa famille c’était eux. » elle ne souhaitait pas avoir d’ennui avec la mère de Sarah. C’était elle qui avait été présente lors des nuits blanches, des couches, des cauchemars, elle qui avait su guider cette petite fille pour en faire une belle jeune femme. « -je lui ai aussi dit que je serais toujours là si elle avait besoin de moi. » elle avait hésité à dire ces mots, ne sachant pas si elle serait capable de tenir cette sorte de promesse.
« -moi aussi. J’avais tellement peur qu’elle me juge, qu’elle ne comprenne pas, qu’elle me déteste… » un sourire en regardant à nouveau son café : « -pour le moment on a rien prévu, mais oui, je pense… » ça viendrait… peut-être avec ses parents… avec des amis… l’avenir le dirait. Elle posa sa tasse, et vint coller son bassin contre celui de Rafael : « -et toi… comment tu vas ? »
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Mer 29 Mar - 16:07
Rafael Melendez
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« Tu as raison » répliqua le beau brun en couvant du regard la jeune femme blottie dans ses bras. Il n’aurait pas pu trouver meilleure personne pour partager sa vie que Bonnie. L’adolescente s’était prise d’affection pour cette dernière et il avait l’impression que l’inverse était vrai également. Puis, depuis sa relation avec la jolie blonde, le barman avait aussi appris à être plus détendu et plus compréhensif envers l’adolescente. Après tout, la jeune femme avait eu une enfance plus difficile que celle d’Elena et elle était parvenue à s’en sortir, alors ça rassurait le père qu’il était. Cela permettait de panser sa relation avec sa fille et de construire un lien père/fille basé sur davantage de confiance qu’il avait pu le faire par le passé. Il se leva pour rejoindre Bonnie dans la cuisine afin de prendre le café dans la cuisine et ainsi parler de cette semaine que la jolie blonde avait passé avec Sarah. Apprendre qu’elles avaient pu parler, communiquer, sans reproches, rassurait le beau brun qui sentait que cela avait aidé Bonnie. Elle avait changé et il aimait ce changement. Un sourire pour réponse alors que cette dernière confirma son observation et acquiesça lentement de la tête « Je trouve que tu as bien fait, de préciser… Puis être l’amie, c’est avoir le bon rôle ». Pas besoin de la disputer, de la reprendre sur son comportement. Elle n’aurait ainsi que les bons côtés dans sa relation avec Sarah.
Rafael posa son regard sur elle avec tendresse alors qu’elle apporta une précision sur son échange avec sa fille « Tu sais où elle viendra comme ça le jour où elle rencontrera des problèmes. C’est toujours mieux que d’être livrée à elle-même ». Après tout, les parents n’étaient pas toujours les premiers interlocuteurs pour les jeunes lorsqu’un problème conséquent se présentait. C’était là que les mauvaises fréquentations surgissaient, ainsi que les ennuis. Alors de savoir qu’elle avait un allié outre-Atlantique, ça l’empêcherait peut-être de faire les mauvais choix si jamais ça venait à se produire. Finalement cette rencontre allait permettre à Bonnie de tourner la page, de ne plus éprouver de culpabilité envers ce choix qu’elle avait fait alors qu’elle n’avait que dix-sept ans « Tout s’est bien passé finalement » et sourit avec douceur avant de demander si elle comptait revenir « Vous avez tout le temps pour ça maintenant que vous avez réussi à parler toutes les deux ». Rafael imita Bonnie en posant sa tasse de café sur le côté et entoura la taille de la jeune femme qui vint se blottir tout contre lui à son initiative. Un sourire sur les lèvres, il ancra son regard dans le sien et rétorqua avec bien-être « Parfaitement bien », puis déposa ses lèvres contre celles de la jeune femme, et ajouta « Tout est… parfait ». Aujourd’hui, il n’avait aucune ombre au tableau. Il savourait seulement l’instant présent « Je voulais te parler d’un truc » et se saisit de sa tasse pour en prendre une gorgée avant de la reposer sur le comptoir, puis repassa ses bras autour de Bonnie « Je crois que j’ai des sentiments pour toi et je voulais t’en parler » répliqua-t-il sur un ton taquin.
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Mer 29 Mar - 16:45
Bonnie Brennan
J'ai 34 ans ans et je vis à Miami. Dans la vie, je suis vendeuse et je m'en sors pas mal. Sinon, grâce à ma chance, je suis à libre comme l'air et je le vis plutôt bien. Bonnie est une jeune femme indépendante, sur d'elle, qui mène sa vie comme elle l'entends. Issue d'une famille Irlandaise plus que modeste, Bonnie a quitté son pays d'origine ainsi que sa famille à 17ans. Par la même occasion, elle a laissé derrière elle sa fille, pour des raisons qui selon la jolie blonde étaient purement égoïste. Elle n'avait rien à offrir à cet enfant. Bonne menteuse lorsqu'il le faut, elle sais se montrer prudente et discrète. Il en va de sa survit. En rencontrant Elena et son père Rafael, Bonnie ne se doute pas que sa vie va prendre un nouveau tournant. Crédits: cherry / tumblr
« -j’ai pas été là durant toutes les premières années de sa vie. Je n’ai à prendre ce rôle de mère aujourd’hui. Je ne veux pas non plus de souci avec ses parents. Je ne veux pas qu’ils lui interdisent de me voir si elle en a besoin. C’est pour ça que je trouve plus judicieux d’avoir précisé. » elle voulait pouvoir être présente en cas de besoin. Peut-être simplement une connaissance à l’étranger si jamais elle décidait de faire des études supérieurs dans un autre pays. « -j’espère qu’elle appellera avant de débraquer, ça évitera des angoisses et des nuits blanches à ses parents. » Bonnie voulait être disponible pour l’aider, pas pour fuir. Mais Sarah semblait vraiment équilibrée et posée. Elle avait déjà pensé à son avenir, savait ce qu’elle voulait faire de sa vie… il ne lui manquait que les réponses de Bonnie pour avancer vraiment.
Bonnie vint se placer devant Rafael, délaissant son café, cherchant encore cette proximité qu’elle n’avait jamais mise en avant jusqu’à présent. Il lui avait manqué. Elle était vraiment heureuse qu’il soit là. Elle sourit amusée : « -rien que ça… » la perfection ! Un léger froncement de sourcils en penchant la tête sur le côté : « -tu sembles bien sérieux en déclarant ça. » elle se demanda de quoi il voulait lui parler, et elle eut la réponse bien assez rapidement. Mais elle ne lui laissa pas le temps d’ajouter quoi que ce soir. Elle l’embrassa et ajouta à voix basse : « -tu as dit que c’était parfait… » elle embrassa son cou : « -on peut éviter de tout gâcher tout de suite ? » demanda la jeune femme son visage dans le cou de Rafael : « -tu sais très bien que je vais flipper… » elle embrassa à nouveau sa peau : « -et j’ai pas envie de ça tout de suite… » non là tout de suite, elle avait envie qu’il la soulève et lui fasse l’amour sur le bar de la cuisine. Parce qu’elle n’en avait pas encore eu assez de lui. Elle défit le pantalon de Rafael et glissa un main à l’intérieur, cherchant ses lèvres en même temps. De sa main libre elle prit celle de Rafael et la guida sous son tshirt pour qu’il emprisonne l’un de ses seins. « -c’est de toi dont j’ai envie… » souffla Bonnie à son oreille. Comme s’il ne l’avait pas compris. Puis elle l’embrassa à nouveau, avant de le regarder. Dans ses prunelles brillaient une envie de sexe, une envie de lui qu’elle avait besoin d’assouvir là… maintenant… Elle l’embrassa de nouveau, sa main allant et venant autour de son membre dressé. C’était plus fort qu’elle, elle en voulait encore et elle souffla un : « -fais moi crier… » avec un sourire carnassier.
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Mer 29 Mar - 17:19
Rafael Melendez
J'ai 38 ans ans et je vis à Miami, Etats-Unis. Dans la vie, je suis un ancien flic du 12th district et propriétaire d'un bar et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis divorcé et je le vis plutôt bien. Après un passage de deux ans dans une université de bas-étage à Miami, Rafael est entré à l’école de police avec pour objectif de protéger et de servir. Il rencontra sa femme quelques mois avant son incorporation, et elle tomba rapidement enceinte, bousculant quelque peu ses projets de vie. Ils emménagèrent donc ensemble et se marièrent à la mairie sans leurs familles. En tout intimité. Mais bien vite, ce fut la désillusion pour son ex-femme qui se retrouva à élever seule leur fille. Rafael cumulait les infiltrations de plusieurs mois. Des mois sans entrer en contact avec sa famille. Sa mutation à la criminelle ne fut pas suffisant pour sauver son mariage et divorcèrent après dix ans de mariage. Il quitta la police quelques années après pour ouvrir un bar, mais le mal était déjà fait. Angie lui avait pardonné, mais ce n’était pas le cas d’Elena qui décida de lui rappeler, quotidiennement, qu’il n’est pas réellement son père… Peu importe ses efforts pour rattraper le temps passé
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Bonnie avait souhaité rappeler à Sarah qu’elle n’était pas cette mère qui l’avait élevé, seulement celle qui lui avait donné la vie, et en tant que père, Rafael apprécia cette précision. Le rôle d’un parent ne se limite pas seulement à mettre au monde un petit-être, mais davantage à le conduire sur le bon chemin, l’aider à se relever en cas de chute, essuyer les larmes, être présent dans les bons et mauvais moments. Ce qui n’avais pas été le cas pour Bonnie qui avait dû faire un choix. Toutefois, ça ne l’empêchait pas d’être l’amie de la jeune fille « Tu as eu raison de le faire. Elle doit distinguer le rôle de mère et de maman » répliqua avec douceur le beau brun qui confirmait les dires de la jeune femme. Un petit rire et ajouta « Je pense que ses parents vont le lui rappeler à son retour en Irlande ». Il n’imaginait pas la peur que ses parents avaient dû éprouver en apprenant que leur fille avait disparu, et d’autant plus en apprenant qu’elle était aux États-Unis, soit de l’autre côté de l’Atlantique. Seule et en quête de réponses. En tout cas, cette semaine semblait avoir changé quelque chose en Bonnie qui décida de prendre l’initiative de ce moment de tendresse en venant se blottir contre lui. Rafael apprécia l’initiative alors qu’il entoura sa taille de ses bras et sourit avec douceur « Le bar fonctionne bien. Ma relation avec Elena s’est nettement améliorée, et je suis en charmante compagnie. Quoi demander de plus ? » répliqua-t-il avec un sourire en coin. Toutefois, il avait comme une soudaine envie de lui dire qu’il tenait à elle, mais en entendant ses mots, il comprit qu’il était encore trop tôt pour elle « Sérieux ? Tu trouves ? » et lui sourit avant de lui rendre son baiser. Il comprit qu’en effet, elle n’avait pas envie d’en entendre davantage.
Un frisson le parcourut au moment de sentir les lèvres de Bonnie dans son cou. Tout gâcher… Rafael n’avait pas envisagé que ça allait tout gâcher que de lui dire qu’il tenait à elle. Si les lèvres de la jeune femme ne se posait pas ainsi sur sa peau, il aurait sûrement voulu parler davantage, mais elle avait raison de lui et souffla un « Ok… » tout en fermant les yeux sous ses baisers, pour finir rouvrir les paupières en baissant ses yeux noirs sur les mains de Bonnie qui s’attelait à sa ceinture. Il sentit le désir lui embrasait les reins alors qu’il lui rendit son baiser, cherchant sa langue avec envie, puis se laissa conduire jusqu’à la poitrine de cette dernière, caressant son sein et se mit à sourire « Je crois que je l’avais compris » rétorqua-t-il en croisant le regard de Bonnie qui brûlait d’envie pour lui en cet instant. Il lui rendit à nouveau son baiser, puis quand elle ancra son regard dans le sien, il apprécia d’y voir cette lueur dans ses prunelles claires. Il poussa un soupir de plaisir contre les lèvres de son amante alors qu’elle commençait ses caresses contre sa virilité tendue. Il aima encore plus entendre les trois petits mots qui suivirent et qui eurent raison du peu de retenu qu’il parvenait encore à avoir. Une main sur sa joue, il l’embrassa avec envie tout en la plaquant contre le comptoir de la cuisine, puis lui retira la main de Bonnie qui le caressait, et la fit grimper sur le comptoir avant de la pénétrer dans un coup de rein assuré qui le fit gémir. Ses mains agrippèrent ses fesses et commença les vas-et-viens langoureux et passionné alors qu’il ne la quittait pas des yeux, soufflant des « Oh Bonnie… » et des « Oh oui » d’une voix rauque par le désir. Puis il se retira et la fit descendre du comptoir et la tourna dos à lui, penchée sur le comptoir et la fit sienne de nouveau, et repris les coups de reins avec plus d’intensité, une main dans sa chevelure blonde et l’autre contre sa hanche. Il accentua ses vas-et-viens avec plus de véhémence, finissant par se saisir des deux mains ses hanches et se montra plus sauvage alors qu’il accéléra, puis il finit par crier sous l’orgasme qu’il éprouva et qu’il lui donna l’impression de perdre pieds quelques secondes. Il posa son front contre le dos de Bonnie, à bout de souffle et moite par leurs ébats, restant en elle quelques secondes, avant de se reculer, remontant le boxer et son jean, puis s’approchant de la jeune femme et l’embrassa à pleine bouche tout en blottissant son corps contre le sien, sa main sur sa joue. Le corps toujours en émoi, la respiration encore un peu rapide, il souffla un « Je sais comment occuper ta journée… Si tu le veux » avec un sourire en coin qui voulait dire beaucoup. Oui, il avait envie de reporter cette conversation sur leurs sentiments. Elle avait assez éprouvé ces derniers, elle lui avait tant manqué. Ils avaient tout le temps d'en parler après...
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Charly
Mer 29 Mar - 21:01
Bonnie Brennan
J'ai 34 ans ans et je vis à Miami. Dans la vie, je suis vendeuse et je m'en sors pas mal. Sinon, grâce à ma chance, je suis à libre comme l'air et je le vis plutôt bien. Bonnie est une jeune femme indépendante, sur d'elle, qui mène sa vie comme elle l'entends. Issue d'une famille Irlandaise plus que modeste, Bonnie a quitté son pays d'origine ainsi que sa famille à 17ans. Par la même occasion, elle a laissé derrière elle sa fille, pour des raisons qui selon la jolie blonde étaient purement égoïste. Elle n'avait rien à offrir à cet enfant. Bonne menteuse lorsqu'il le faut, elle sais se montrer prudente et discrète. Il en va de sa survit. En rencontrant Elena et son père Rafael, Bonnie ne se doute pas que sa vie va prendre un nouveau tournant. Crédits: cherry / tumblr
Depuis qu’il avait passé la porte de l’appartement, Bonnie se sentait bien. Sereine et elle appréciait vraiment ces retrouvailles. Elle lui expliqua, sans rentrer dans les détails ce qui s’était passé avec sa fille. Malgré le soulagement, la belle blonde s’en voulait encore d’avoir attendu si longtemps, d’avoir repoussé cette rencontre encore et encore. Elle avait prit conscience que c’était sa peur qui l’avait commandé, et c’était une erreur. Et pourtant, en entendant Rafael lui parler de sentiments, c’était à nouveau la peur qui prenait le dessus sur elle. Peur d’entendre qu’il tombait amoureux, peur que tout devienne trop sérieux. Pour de s’engager aussi, véritablement. Alors elle avait évité le sujet, lui avait demandé de ne rien dire pour le moment. Parce que justement tout était parfait qu’elle ne voulait pas qu’il en soit autrement. Elle aurait pu s’éloigner d’un ou deux pas, reprendre sa tasse de café, se préparer des tartines aussi… mais elle avait choisi une autre option. Une autre faim…
Elle avait envie de lui, maintenant. Mais pas la moindre envie d’entendre une déclaration qui allait faire resurgir des peurs. Elle était passée par toute sortes d’émotions depuis une semaine, elle avait eut sa dose. Alors, il allait devoir attendre pour lui parler de ça. Il le ferait, elle n’en doutait pas. Il était du genre obstiné. Mais là tout de suite, elle voulait seulement qu’ils fassent à nouveau l’amour. Elle voulait encore sentir ses va et viens, son souffle dans son cou. Crier sous ses coups de reins et jouir à en avoir le souffle coupé. Il ne la repoussa pas. Céda sous ses avances et bien vite se laissa enflammer. Les deux mains derrière elle, légèrement penché en arrière, elle gémit lorsqu’il entra en elle. Son regard encré dans le sien, elle le supplia ou l’encouragea avec des encore… et des plus fort… Un sourire complice étira ses lèvres lorsqu’il la fit descendre. Hissée sur la pointe des pieds, penchée en avant du le comptoir, elle lâcha un cri au premier coup de reins puissant qu’il donna. Puis un autre et encore un autre. Un oh c’est bon… passa ses lèvres alors qu’elle savourait cette partie de jambe en l’air plus torride et bestiale que les autres avant. Elle jouit en même temps que lui, sans retenir ses cris. Peu importait les voisins. Ils étaient sans doute tous au travail à cette heure-ci. Elle remonta son boxer, et sourit à Rafael en replaçant ses cheveux. Elle lui rendit son baiser, et cru quelques secondes qu’il était déjà prêt à recommencer. « -comment dire non… » souffla-t-elle pour toute réponse, regard complice, les joues rougit par ce qui venait de se passer.
Ils passèrent le reste de la journée ensemble, chez elle, à parler de tout et de rien. Ils firent l’amour à nouveau, plusieurs fois. Expérimentant de nouvelles choses. Il firent par prendre une douche ensemble, jouirent à nouveau sous l’eau chaude, avant de rejoindre Elena au point de rendez vous pour passer la soirée à la fête foraine. En sortant du taxi, Bonnie eut envie de lui prendre la main, mais n’en fit rien. Ils allaient retrouver sa fille…
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Je crois que vous avez perdu quelque chose [Manhattan R]