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LE TEMPS D'UN RP

Hold me, Thrill me, Kiss me, Kill me ft. Patate Douce

Beloved
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Beloved
Lun 9 Nov - 12:08
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Dagnir
J'ai 29 ans et je vis à Melehtë. Dans la vie, je suis roi et je m'en sors bien, vraiment bien même. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire, libre de ma vie et je le vis plutôt bien, trouver une épouse n'est vraiment pas ma priorité.

.


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Il avait fini par oublier ses préceptes idiots. Ou disons que j'avais réussi à l'abrutir suffisamment de luxure pour qu'il arrête de penser. Il m'avait ainsi offert une nuit des plus agréables. Quand il laissait tomber tout ses préjugés il se laissait enfin aller. Il s'offrait complètement au plaisir et participait plus... activement à nos ébats. J'avais adoré sentir la morsure de ses lèvres sur mes chairs. Je ne l'avais pas supplié de le refaire. Je ne suppliais jamais de toute façon, mais l'envie avait pourtant été là. Il n'y avait qu'une fois qu'il m'avait perturbé, m'interrompant un bref instant. Il avait replacé une mèche de mes cheveux, m'avait caressé la joue réveillant en moi des sentiments beaucoup trop perturbants, beaucoup trop gênant. Je l'avais possédé de manière encore plus intense après ça, effaçant sous mes coups de reins la gêne que j'avais pu ressentir.

Je m'endormais finalement à la fin de la nuit. Je profitais de quelques heures de sommeil pour me reposer. Demain la journée serait longue encore une fois. Nous n'avions pas assez avancé hier à mon goût. Nous nous trainions, armée placide démotivée face au peu de combats qui nous attendaient au bout de notre route. Une tournée d'inspection de villages de bouseux, ça n'intéressait personne. Il faudrait que je trouve un moyen de les distraire en chemin. J'avais presque envie que certains dans ces villages se rebellent un peu pour qu'on puisse s'amuser en route.

Je me réveillais en sentant des mouvements dans le lit. J'ouvrais les yeux pour tomber sur le gamin avec le plateau du petit déjeuner. Mais il devenait vraiment obéissant celui là, c'était agréable.

Je me redressais, attrapant le repas pour manger tout en l'invitant d'un geste à faire de même.

- Dagnir. Appelle moi comme ça. Et dépêche toi de manger et de t'habiller. On a un planning serré.

Je terminais de manger et me levais pour aller m'habiller rapidement. Je sortis à l'entrée de ma tente et attrapais un soldat pour lui ordonner de m'amener Aegnor. Je savais qu'il était certainement déjà prêt, commençant à coordonner le levée du camp. J'attendis à peine quelques minutes avant qu'il ne me rejoigne dans la tente. Je sortis avec lui, faisant signe au gamin de nous suivre.

- On a avancé lentement hier, beaucoup plus lentement que ce que j'avais prévu. On se traine sur la grande route mais nous n'avons pas le choix.

Je soupirais avant de montrer une direction un peu à l'ouest.

- Le village de ta famille est dans cette direction. En coupant à travers champs, avec un bon cheval lancé au galop... il faut compter un peu plus d'une heure pour y arriver.

Alors qu'en faisant un détour par la grande route, avec une armée avançant au pas et même à une allure de tortue, il nous avait fallu six heures. C'était épuisant rien que d'y penser.

Je me retournais ensuite vers eux, les fixant.

- On lève le camp dans trois heures. Si vous n'êtes pas revenus à temps que je suis obligé d'envoyer des hommes vous chercher, ce sont vos têtes que je leur demanderais de me rapporter. C'est bien clair?

Je les laissais ensuite tout deux avant d'aller m'occuper moi même de la levée du camp. J'en avais assez de ces bons à rien qui me faisaient perdre du temps.

Patate Douce
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Patate Douce
Lun 9 Nov - 22:12
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Calion

J'ai 25 ans ans et je vis à Rainë, la Paisible. Dans la vie, je suistout le monde dans la Vie du royaumeet je m'en sors moyennement. Je ne sais pas quoi de ma vie. Sinon, grâce à ma chance, je crois que je suis célibataire au desespoir de mes parents et je le vis plutôt bien.

Je ne sais comment me présenter. Mais mon destin n'était promis qu'à ma moitié et non, l'être craint de nos royaumes. Laisse-moi te conter cette histoire.


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Je n’arrive pas à croire mon ouïe. Il venait réellement de me donner l’opportunité de revoir ma famille, une dernière fois ? Qu’est-ce qu’il l’avait fait changer d’avis ? Qu’allait-il me demander en retour ? J’avais presque envie de refuser tant j’avais peur des conséquences.

Aegnor ne tergiverse pas autant que moi, il empoigne mon bras et sans vraiment le réaliser, je suis déjà à cheval derrière lui. J’attache ma cape. Je m’accroche à lui quand il part au galop mais je reste encore sous le choc des propos du Roi. Pas si sanguinaire d’un coup. Mes orifices avaient-ils donc autant d’effets sur lui ? Cet élan de gentillesse me redonne de l’espoir, de pouvoir me balader dans le campement la prochaine.

L’étalon fend l’air, je me tiens aussi fort que possible et ça me gêne. J’imagine déjà la jalousie du Roi et me couper les mains pour cette faute. Mais pour le moment, je reprends conscience.

Nous avons trois heures soit une heure sur place. On ne fait pas de pause mais j’ai mal aux fesses à cette allure. Je me tais, je suis certain que son bras droit était tout aussi impitoyable que Dagnir et aurait fait demi-tour rapidement. Une heure dix de trajet. Il m’aide à descendre et je bois à grosses goulées. Par les dieux, mes jambes, je vais mourir. Aegnor me guide jusqu’à un champ et je reconnais la silhouette de ma fraternité.

Je crie leur prénom. Je cours vers eux, au point d’en détacher ma cape, et je les prends dans mes bras. Les larmes montent aussitôt. Myocarde qui tambourine dans ma poitrine, j’embrasse leur chevelure. Il m’avait tellement manqué. Commet ai-je pu vivre sans eux ? Et ce n’était que le début. On ne se lâche pas. Les questions pleuvent. Et je leur offre la version courte.

- Il est assez indulgent, pour un envahisseur. Je reste sous sa tente et je le sers. Je n’ai pas encore pu me mêler aux autres, il veut que je m’habitue progressivement. Il me fait découvrir sa culture et je peux noter de nombreux points divergents. Davantage plus belliqueux et bien plus dans l’action à l’inverse où nous sommes plutôt dans la réflexion. J’ai décidé de faire une étude sur le Roi pour connaitre son peuple. Je ne risque rien, ne vous en faites pas.

Je passe volontairement sous silence, toutes les saillies qu’il m’impose et dont je finis par apprécier quand l’ivresse coule dans mes veines. Ils seraient totalement déçus de moi et je ne pourrais que les comprendre.

- Tu penses qu’on pourra te suivre ? Questionne ma sœur.

Je la regarde, tristement et fais non de la tête. J’aimerais les emmener avec moi, cela signifierait qu’ils doivent être utile au camp ou dans le lit du dirigeant. Et la seconde option fait enfler une vague de jalousie, qui me déplait forcement.

On va être réduit à les servir en permanence ? Demande mon frère.

Je soupire longuement. La Vie d’esclave purement et simplement. Et j’espère sincèrement qu’on les traitera tout aussi bien que moins, sans passer par la case, recueil à foutre. Je les questionne sur leur nouveau mode de Vie. Ils arrivaient à supporter. L’espoir qu’ils me suivent ne me quitte plus. Puis, j’entends crier et un fouet claque non loin de mon visage. Je sens une goutte perler le long de ma joue. Je suis saisi et je ne bouge pas. Yeux écarquillés, c'était quoi çà ?

- Vous trois, ce n’est guère le moment de se faire des accolades, au travail !

Mais avant même qu’il puisse donner un second coup, Aegnor l’embroche sans sourciller. Et ordonne de le faire évacuer. On tremble tous les trois.

- On y va, catin, je tiens à conserver ma tête.

Les larmes coulent de nouveau. On se serre aussi fort qu’on le peut. Des promesses qui ne seront probablement jamais tenues. Et je remonte, en sanglots sur l’étalon. Nous avons quinze minutes de retard mais je m’en contre fous. Je suis partagé entre la joie, de les avoir revus et la tristesse de les perdre. On retourne tout le monde, sur la grande route et je ne fais que changer de monture. Me plaçant à l’arrière pour masquer ma peine.

- Merci.

C’est tout ce que ma gorge nouée peut sortir. En vérité, j’avais le cœur fissuré. Le coup pris, m’avait ramené dans une réalité sans nom. Et je me devais de réfléchir afin de les sauver, je ne sais pas comment, je le devais. Me balader au campement, sera la mission d’après. Je me serre contre lui, passant mes bras sur ses son ventre et je finis par somnoler, éreinté de ses émotions contradictoires.






Beloved
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Mar 10 Nov - 10:46
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J'ai 29 ans et je vis à Melehtë. Dans la vie, je suis roi et je m'en sors bien, vraiment bien même. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire, libre de ma vie et je le vis plutôt bien, trouver une épouse n'est vraiment pas ma priorité.

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"Mon roi... nous sommes prêts. Pouvons nous lever le camp?"

Je regardais une dernière fois l'horizon, guettant désespérément la présence des deux silhouettes que j'attendais. J'hésitais un instant avant de me détourner en grognant de cette vue déplaisante.

- Bien sur que nous levons le camp. Pourquoi me poses tu la question imbécile?

J'allais rejoindre ma monture avant de me détourner pour prendre la tête de la colonne et démarrer. Il était hors de question que nous prenions du retard, pas à cause d'eux. Venant du gamin ce n'était pas surprenant. Il m'avait baratiné pendant toute la journée de la veille sur le fait qu'il voulait voir sa famille. J'avais cédé ce matin parce que je n'avais aucune envie de l'entendre pleurnicher un jour de plus. Je m'étais dit qu'il serait moins pénible après avoir pu dire au revoir aux siens. Mais j'avais été stupide, j'avais sous estimé ce petit imbécile. Il avait profité de ma clémence pour rester auprès d'eux. J'espérais simplement que si Aegnor était en retard, c'était parce qu'il avait perdu du temps à me ramener sa tête sur une pique. Ca prend un peu de temps de tailler une pique. Mais il n'aurait pas du se donner du mal, sa tête dans un sac ça aurait fait l'affaire aussi.

Je ne doutais pas un instant de la fidélité d'Aegnor. On avait traversé toutes les épreuves possibles ensemble. Sa loyauté n'avait jamais faibli un seul instant. Il serait prêt à mourir pour moi, tout comme j'étais prêt à faire de même pour lui.

J'étais encore entrain d'hésiter à envoyer une patrouille me ramener la tête du gamin, pas celle d'Aegnor bien sur mais je ne voulais pas qu'il le sache. Je voulais qu'il se dise qu'il y avait plus que sa vie en jeu si il ne revenait pas. Il pouvait se moquer de mourir, peut être moins d'entrainer un autre avec lui. J'étais encore perdu dans mes tergiversations quand je les vis arriver.

Je restais le visage fermé alors qu'Aegnor me confiait à nouveau le paquet derrière ma selle. Je ne répondis pas, talonnant juste ma monture pour repartir. Je le sentis s'endormir derrière moi et je levais à nouveau les yeux au ciel. Ce gamin n'avait décidément aucune résistance.

Je chevauchais comme ça toute la journée, ne lui adressant pas la parole. Je lui en voulais encore beaucoup trop pour son retard. Je sentais la colère bouillonner en moi toute la journée. Il me le paierait, ça il pouvait en être certain.

Le soir venu, on avait avancé de manière beaucoup plus satisfaisante que la veille. Ca améliorait légèrement mon humeur mais que de peu. Je descendis de mon cheval et donnais quelques ordres avant de laisser le gamin là et de partir avec Aegnor. On se rendit dans la tente de commandement. On y resta un moment avec les généraux, préparant notre voyage du lendemain. Si nous avancions bien nous devrions atteindre notre objectif le surlendemain, le premier village que je voulais inspecter. J'aurais peut être enfin un peu de distraction. Tout ça commençait à m'ennuyer profondément.

Je finis par renvoyer tout le monde pour prendre un diner en tête à tête avec mon plus proche conseiller. J'attendis que nous nous soyons suffisamment restaurer pour lui parler enfin de ce qui m'avait énervé toute la journée.

- Alors.... comment ça s'est passé avec le gamin? Pourquoi étiez vous en retard?

Je pris une coupe de vin et le fixais, attendant sa réponse.

"Ils ont passé du temps à s'embrasser avec sa famille. Ils pleurnichaient qu'ils voulaient venir avec lui. Et lui... il leur disait qu'il allait très bien, que nous le traitions bien et compagnie. Tout un tas de conneries sur le fait qu'ils seraient plus réfléchis que nous."

On se lança un regard avant d'éclater de rire tous les deux. Quelle opinion ils avaient donc de nous. Ils se croyaient supérieurs, nous traitant de brutes incultes. Ne voyaient ils donc pas les heures de réflexion qu'il me fallait avant de mener chaque bataille? Le moindre mouvement de mes troupes était savamment réfléchi. Nous étions peut être plus... vindicatif qu'eux mais nous n'étions en rien stupides. Les seuls qui faisaient preuve de stupidité à mon avis, était ce peuple de faibles et de peureux.

"Honnêtement Dag' je ne sais pas comment tu fais pour le supporter."

Je haussais vaguement les épaules en reprenant une gorgée de mon vin.

- Il a un cul magnifique. Ca compense le fait qu'il chouine sans cesse. Et ça m'amuse de voir son petit cerveau se torturer entre sa morale à deux sous et son plaisir.

Il rit à nouveau avec moi. Notre conversation dura un petit moment comme ça. Il ne partageait pas mon penchant pour les hommes. Il me vanta pendant un moment les mérites de la dernière aventure qu'il avait eu. Une tigresse tout ce qu'il y avait de plus consentante et enthousiaste à l'idée d'être dans son lit.

"Je m'en vais d'ailleurs de ce pas la retrouver. Bonne nuit Dag'."

Je le saluais avant de quitter à mon tour la tente de commandement. Je me rendis directement dans la mienne. Je fis quelques pas avant de me retrouver à la hauteur du gamin. Je le fixais un instant avant de le gifler violemment.

- Il me semblait pourtant que j'avais été clair. Tu devais être rentré au camp avant que nous ne partions. Tu étais en retard...

Je me reculais, commençant à me déshabiller.

- Déshabille toi. A quatre pattes sur le lit.

Si il pensait qu'il allait prendre du plaisir ce soir, il se trompait lourdement. Et je ne lui laisserais pas le loisir de s'enivrer pour surmonter plus facilement sa gêne. J'avais demandé expressément à ce qu'on ne serve pas de vin dans ma tente avant qu'ils ne l'érigent.

J'attendis qu'il soit en position pour récupérer ma ceinture. Je le fixais un instant alors qu'il était à quatre pattes avant de fouetter ses fesses rebondies. Je le fouettais jusqu'à voir des gouttes de sang commencer à perler sur sa peau. Je m'arrêtais alors pour venir le pénétrer sans ménagement. Je griffais sa peau tout en le pilonnant avec force, arrachant de nouvelles perles rouges à ses chairs. Je ne m'arrêtais qu'après m'être déversé en lui dans un cri guttural de plaisir.

Je me retirais avant de le tirer sans ménagement à moi. J'attrapais son visage entre mes mains, le serrant alors que je le foudroyais du regard.

- Ne t'avise plus jamais de me désobéir. Est ce que c'est clair?

Patate Douce
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Patate Douce
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J'ai 25 ans ans et je vis à Rainë, la Paisible. Dans la vie, je suistout le monde dans la Vie du royaumeet je m'en sors moyennement. Je ne sais pas quoi de ma vie. Sinon, grâce à ma chance, je crois que je suis célibataire au desespoir de mes parents et je le vis plutôt bien.

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Sanguinaire. Brute. Intraitable. La différence entre nos deux peuples. On pardonnait, on expliquait les fautes, on apprenait de nos erreurs. Eux. Violence. Voilà comment apprendre que le Roi ne supporte pas le retard. Même 15 minutes. Était-ce de ma faute ? Je n’étais pas maitre du temps, après tout. Je n’avais pas tenue les rênes. Avait-il sanctionné Aegnor aussi ?

Dans tous les cas, la leçon fut cuisamment apprise. J’ai hurlé à en perdre la voix, au premier coup. Et je me suis mordu les lèvres aux suivants, je crois que j’aurais les marques. Les larmes n’ont cessé de dévaler. Des cascades. Douloureux. Euphémisme. Il me broyait. Ma conscience. Ma dignité. L’influence n’est plus. A-t-elle existé ?

J’ai si mal. Je me terre dans mon esprit. Il le fissure. Je résiste. Il prend son plaisir. Je fixe la tente, encaisse les coups. Je souffle pour ne pas me raidir. Je n’ai aucun répit. Je ne demande aucune pitié. Même pas qu’il cesse. Les larmes coulent, sans que je ne puisse y faire quoi que ce soit. Même la bonté ne va pas frapper deux fois de suite. Alors je me tais. Je gémis parfois quand il attaque ce point sensible. Et je me dégoute plus encore.

Pour la première fois, j’ai envie de mourir. Quitte à le faire moi-même. Il me broie. Il me détruit. Je me sens vide. Nos draps se parent de la même couleur que la tente, et qu’une d’une personne : moi.

Il finit par s’endormir. Mais il m’interdit de me soigner. Je prie pour que les plaies ne s’infectent pas. J’aimerais plonger dans un bain, pour me nettoyer. Mais non, je reste là, couché sur le ventre – pas d’autres choix – yeux dans le vide. Mon corps répète inlassablement les tortures qu’il vient de me faire subir. A présent, je déteste le chiffre 15. S’ils comptent éduquer ces enfants ainsi, je les plains d’avance. J'arrivais encore à avoir de la compassion pour sa progéniture. Je serais probablement mort quand ce destin arrivera. Je prie pour qu’il me délaisse pour sa Reine. Trépassé ou esclavagé, je m’en contre fiche.

La lumière perce dans notre habitat. Je me lève, en souffrant. Chaque geste m’arrache une grimace. Je souffle. Mes Dieux, aidez-moi. Je n’ai rien à promettre, je n’étais plus maitre de ma Vie mais je les appelais quand même. Je récupère le petit déjeuné.

Le Roi s’est levé sans que je l’entende. Claque sur mes fesses et je couine. Et clairement pas de plaisir. Il m’oblige à m’asseoir. Il prend un malin plaisir à me voir souffrir. Et je sens la haine monter doucement mais surement. Je me vengerais, si je n’ai pas encore fait ma girouette. Je l’encensais hier. Je le maudis aujourd’hui. On mange rapidement. Enfin, j’ai picoré plus qu’autre chose. Je me rhabille, toujours sans soins. Les tissus se frottent contre mes plaies et je sens que la journée va être particulièrement longue. Tente défaite, draps brulés. Envolé avec ma sympathie à mon égard.

Il ne m’a même pas demandé pourquoi, nous étions en retard. Ce n’est pas comme si, je m’étais pris un coup de fouet au visage. Il m'a frôlé, certes ! Enfin bon, je crois que c’est le cadet de ses soucis. Un Roi n’en a jamais, de toute manière. Je monte à cheval et mon enfer commence. Mes cuisses frottant contre les flancs de l’étalon. Je vais défaillir. Je ravale ma souffrance. Ma tête tourne. Trop de picotements, trop de sollicitations. Mais je tiens, je ne lui donnerais pas satisfaction. Je refuse de lui prouver que je suis faible.

Si je dois le tuer un jour, je devrais être aussi fort que lui. C’était de l’injustice, surtout quand je remarque qu’Aegnor n’a rien subi. Méprisable. On était deux à être en retard. Et ça me rend encore plus amer. Injuste. Et je deteste quand ça l'est. Ca renforce ma colère. Merci Roi.






Beloved
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Mar 10 Nov - 16:46
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Je le possédais, toute la nuit, inlassablement, sans aucune douceur ni aucune considération pour lui. J'avais besoin d'évacuer ma colère. Ne se rendait il donc pas compte de ce que son retard avait impliqué pour moi? Il aurait du rentrer à l'heure. Non il aurait du être là en avance. Je leur avais largement laissé le temps de faire l'aller retour. Une heure sur place c'était beaucoup trop. Il n'était pas sensé la prendre en entier, une demi heure maximum avant de rentrer dans les temps, une petite avance même. Mais quinze minutes de retard... c'était une provocation flagrante. Je savais pertinemment ce qui s'était passé, le coup de fouet du garde qu'Aegnor avait châtié, le fait que c'était lui qui les avait forcé à repartir. Sans la présence de ce dernier, la tête du gamin serait sur une pique à l'heure qu'il était. N'était il donc pas reconnaissant de tout ça? N'accepterait il donc pas sa pénitence avec respect? Non... bien sur que non.

Je voyais le reproche dans ses yeux le lendemain. Lui qui était entrain de devenir si docilement soumis, limite ambivalent dans les sentiments qu'il éprouvait vis à vis de moi et de nos nuits, le voilà devenu haineux, une émotion que je ne pensais pas le voir éprouver un jour. La haine était elle seulement un sentiment acceptable dans son peuple? N'avaient ils pas un précepte ridicule expliquant qu'ils devaient tous s'aimer, se pardonner et bla bla bla?

Mais je décidais de prendre ça avec le sourire. Cette nuit m'avait permis d'extérioriser une bonne partie de ma colère. J'étais davantage détendu. Je tournais un peu moins en rond. Et je riais, oui je l'avoue, de voir ses petits gémissements de souffrance alors qu'il montait derrière moi. Peut être retiendrait il la leçon ainsi? Peut être comprendrait il qu'il ne fallait pas discuter mes ordres, sous aucun prétexte? Avec lui je n'en étais pas vraiment sur. Il pouvait se montrer assez têtu et surtout particulièrement ridicule. Je ne comprendrais certainement jamais ce gamin et les gens de son peuple. Nous étions beaucoup trop différents.

Je captais son regard alors qu'Aegnor passait à côté de nous. Encore une chose de particulièrement puérile dans son attitude. Il pensait réellement que j'allais punir mon bras droit comme je l'avais puni lui? Alors que ce dernier avait respecté mes ordres à la lettre prenant des risques à cause de son attitude à lui? Ridicule.

- Je sais ce que tu penses mon joli. Tu me trouves injuste. Tu te dis que j'ai été inutilement cruel en te fouettant et en ne faisant rien à Aegnor. Pauvre petit bébé bafoué.

Je lachais un petit rire avant de continuer mes explications.

- Je sais ce qui s'est passé. Je sais pour le garder qui a essayé de vous fouetter toi et ta famille. Je sais tout de votre petite conversation. Il m'a répété la moindre de vos paroles. J'ai d'ailleurs particulièrement aimé le passage où tu leur as parlé de nous comme des brutes sanguinaires et stupides, en opposition à vous peuple si sage et si pacifique. Je sais également que si Aegnor ne t'avait pas pressé, tu aurais été beaucoup plus en retard. Il aurait pu te laisser faire à ta guise et me ramener ta tête à la place. Il a choisi de risquer ma colère pour te ramener en vie.

Pauvre et trop gentil Aegnor. Il avait toujours été le plus tendre de nous deux. Je craignais qu'il ne le paye un jour.

- Mais tu pensais réellement que j'allais le tuer à cause de toi? Que j'allais sacrifier la vie de mon plus fidèle br...

Je m'arrêtais alors que je le sentais glisser de ma monture et s'écraser au sol. Je soupirais avant de me retourner. J'envoyais le médecin du camp l'ausculter. Ce n'était rien. Il avait perdu un peu de sang, pas une quantité énorme non plus. C'était surtout la douleur qui l'avait fait s'évanouir. Je poussais un nouveau soupir agacé avant de demander à le faire installer sur une litière. On avait déjà assez perdu de temps comme ça, je ne voulais pas en perdre davantage.

Je fis avancer mes troupes un peu plus tard que prévu. Je voulais qu'on arrive au lieu prévu, hors de question de nous arrêter avant. Je fis ériger ma tente, donnant l'ordre de conduire le gamin dedans et de lui donner à manger. Pas d'alcool, il ne le supporterait pas dans son état.

Je ne le rejoignis qu'un peu plus tard. J'avais récupéré un pot d'onguent auprès du médecin du camp. Je m'installais à côté de lui dans le lit. Je tirais doucement sur son pantalon pour découvrir ses fesses nues. J'appliquais doucement ma pommade sur ses fesses, agissant à gestes doux pour ne pas lui faire mal.

- Tu n'es décidément pas très résistant. Tu le sais ça? J'ai eu bien pire et ça ne m'empêchait pas de continuer de me tenir debout. Mon dos a été fouette beaucoup plus souvent et beaucoup plus durement que tes fesses et je n'avais pas intérêt à fléchir à moins de vouloir recevoir une autre salve de coups.

Et je n'étais même pas un homme fait comme lui à l'époque. Tout juste un enfant.

Je secouais la tête, continuant d'appliquer la pommade sans un mot. Je me perdais dans mes pensées, souvenir d'une époque que je préférais oublier, que je tenais loin de ma vie.



Patate Douce
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Mer 11 Nov - 10:33
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Ce sont les mots que j’entends qui me laissent sans voix, me frappent. Qu’avait dit son bras droit pour que j’obtienne une pareille sanction ? C’était faux. De tout ce que j’entends, est faux. Mais je n’ai pas le temps de hurler aux mensonges que je sens tout mon corps me lâcher. C’était trop pour moi. Bafoué, j’étais. C’était risible. Petit de la part d’un autre. Je sens mon corps me piquait, du froid, du chaud. Je cligne plusieurs fois des yeux et découvre la tente. Comment … ? Ne suis-je donc pas mort ? Je soupire. Ma tête pivote et la scène me laisse couac. Le Roi me soignant – enfin – et s’appliquant. Je me racle la gorge, parce que je voulais rétablir la vérité.  

- Je vais rectifier ce que j’ai entendu plus tôt, frappez-moi, si je suis insolent, mais je tiens à la Vérité. J’ai dit belliqueux et dans l’action. Des constats, rien d'insultant. A aucun moment, les mots stupide et brute sont sortis de ma bouche. Je n’avais aucun intérêt à être désobligeant envers vous alors que vous m’avez permis de revoir mes proches. J’avais quoi à y gagner ? C’est bien de rapporter, c’est mieux de le faire correctement. Si c’est pour de la déformation que vous me chatiez, je suis davantage perplexe sur ce rapport erroné. Et comme vous me l’avez dit, je suis un esclave, pas maitre du temps. On avait trois heures, c’était lui … Qu’importe, je n’ai cure en soit. Je ne suis qu’à sucer de toute manière. Et je n’ai jamais eu d’attente que quiconque se fasse tuer.  Blâmez-moi, pour ne pas avoir dit que j’étais la catin d’un Roi. Le reste, est de la réinterprétation.

De l’injustice pure et dure sur des propos falsifiés. Bravo, son peuple. S’ils sont tous ainsi, cela m’étonne qu’il n’y ait pas constamment de guerres internes. C’est ce qu'entretient ma colère, ma haine. Reporter des mensonges. C’est ainsi qu’on sème la discorde, en mentant, en déformant. Et rien que pour ça, j’appréciais mon peuple, parce que nous n’étions pas de la sorte. On fait des procès et on laisse nos juges rendre Justice. Je repose ma tête sur le dos de mes mains.  

- Non, je ne suis pas résistant, je ne suis pas vous. Ce n’est pas faute de vous avoir demandé de m’apprendre à l’être. Et oui, les châtiments corporels sont plus rares dans notre contrée. Et oui, on est faible, on est pacifiste, tout ce que vous voulez. C’est la Vie que nous avons décidé de mener. Être serein et heureux, dans le respect des convictions de l’autre, pas de domination, mais l’équité avant tout. Enfin, bon, vous devez être écœuré de mes propos. Je me tais.





Beloved
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J'ai 29 ans et je vis à Melehtë. Dans la vie, je suis roi et je m'en sors bien, vraiment bien même. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire, libre de ma vie et je le vis plutôt bien, trouver une épouse n'est vraiment pas ma priorité.

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Je soupirais en entendant sa petite rébellion. Il venait à peine de se réveiller et c'était tout ce qu'il trouvait à dire? A chouiner parce que je l'avais puni. Et puis d'abord Aegnor il a menti j'ai pas dit ça, moi je suis gentil et lui c'est rien qu'un méchant de mentir et de m'enfoncer comme ça. Se rendait il compte à quel point ses paroles ressemblaient à de la chouinerie d'enfant pourri gâté à mes yeux. J'aurais répondu ainsi à mon père, j'aurais pris une autre raclée en suivant. Ca aurait été un autre que lui, il serait déjà empalé devant ma porte, ses cris de douleurs m'accompagnant dans mon sommeil. Alors pourquoi je ne faisais rien? Pourquoi je ne punissais pas ce petit insolent comme il le méritait? Ca n'allait pas. Son cul m'avait retourné l'esprit. J'en devenais beaucoup trop faible, beaucoup trop cajolant pour ce gamin insolent, beaucoup plus qu'il ne le méritait.

- Davantage plus belliqueux et bien plus dans l’action à l’inverse où nous sommes plutôt dans la réflexion. C'est bien ce que tu as dit non? Ou alors il m'a mal rapporté tes propos? Mais je ne suis pas d'accord avec ton analyse. Si tu me connaissais vraiment, tu ne dirais pas que je suis plus dans l'action au lieu de réfléchir. Et je ne suis pas d'accord avec le fait que votre peuple est davantage dans la réflexion. Vous êtes plutôt... dans l'évitement des conflits. Vous réfléchissez, ô ça oui vous devez le faire pendant des heures, mais vous réfléchissez à la meilleure façon d'aplanir une situation pour en éviter tout conflit. C'est de l'évitement, de la lâcheté. Mais appelle ça être plutôt dans la réflexion si ça te fait plaisir.

Je terminais de mettre de la pommade sur ses fesses avant de me laver pour aller ranger le pot.

- Et oui, je meurs d'envie de te punir pour tes propos, pour ta petite rébellion. Pour un peuple qui adore éviter les affrontements, je trouve que tu te rebelles un peu trop contre moi depuis que nous avons levé le camp. D'abord parce que tu voulais voir ta famille, ensuit parce que tu n'as pas aimé que je te châties pour ne pas avoir respecter mes consignes. Je te l'ai déjà dit... ma patience a des limites. Ce qui te garde encore en vie c'est ton cul et le fait que tu ne sois bon qu'à me sucer comme tu le dis si bien. Prend garde... il arrivera un jour où ça ne suffira plus et où ce seront tes cris d'agonies qui me donneront du plaisir.

Je le laissais là, seul dans la tente. Sa vue m'insupportait au plus haut point en cet instant. J'aurais du céder à mon envie et le faire empaler là tout de suite. Je serais ainsi débarrassé de ce gamin agaçant. Mais je le gardais, et le fait que je le garde m'énervait encore plus.

Je décidais de rejoindre la tente d'Aegnor et la petite fête qui y avait lieu. Comme souvent le soir il était en compagnie de plusieurs demoiselles en tenues légères, prêtes à assouvir les moindres de nos désirs. Je les laissais me servir en vin et me conduire au milieu des coussins. Elles venaient se frotter contre moi, me couvrant de compliments, me promettant une nuit de délice, mais le coeur n'y était pas. Je quittais sa tente avant le matin sans avoir touché à une seule d'entre elles. Je demandais à un soldat de nous amener le petit déjeuner dans ma tente avant d'aller m'y installer. Il dormait encore, ce gamin insupportable. Je m'installais dans un coin du lit, le plateau entre nous, un livre entre les mains, attendant plongé dans ma lecture qu'il se réveille.


Patate Douce
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J'ai 25 ans ans et je vis à Rainë, la Paisible. Dans la vie, je suistout le monde dans la Vie du royaumeet je m'en sors moyennement. Je ne sais pas quoi de ma vie. Sinon, grâce à ma chance, je crois que je suis célibataire au desespoir de mes parents et je le vis plutôt bien.

Je ne sais comment me présenter. Mais mon destin n'était promis qu'à ma moitié et non, l'être craint de nos royaumes. Laisse-moi te conter cette histoire.


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Je roule des yeux. De toute façon, que je puisse y redire, j’avais tort. Disons que c’était une question de point de vue. Dans tous les cas, c’était de la réinterprétation qui m’avait conduit à me faire punir injustement. On avait grandi dans deux mondes parallèles et je ne pouvais rien y faire. Il me met en garde et cette fois, je me tais totalement. Si je devais me faire empaler – pas par sa queue – valait mieux que je sois ivre. Songeais-je à un suicide ? Je ne sais pas, je ne sais plus. Il me chamboule, en bien, en mal. Je nage, à un endroit où je n’ai pas pied. Parfois, je le pense et la seconde suivante, il me noie. Jamais, je ne pourrais le comprendre. Devrais-je d’ailleurs ?

Le répit vient quand il quitte la tente. J’avais envie de geindre, de ne pas me laisser, tout comme j’étais soulagé qu’il parte. Je décide d’écrire dans mon carnet, il fallait que je me vide l’esprit. Que je relise tous mes préceptes. Que je me recentre. L’esprit apaisé, je range le tout méticuleusement et je pars me coucher. Pas de Roi à l’horizon. Je sens une gerbe de jalousie poindre dans ma poitrine. Dans quel cul, est-il allé se mettre ? Aberrant. Je le hais !

Le jour perce, je me lève et m’étire comme un chat, avant de remarquer le Roi, un livre à la main. Il me fait peur quand il se comporte comme un humain. Je crois que j’ai une maladie qui m’oblige à être quelqu’un d’autre. Je le regarde durement, repousse le plateau, je lui retire son livre et me mets sur lui. Je vous dis, la maladie. Ça se trouve, sa pommade a des effets secondaires.

- Vous n’avez pas dormi ici. Est-ce que je dois faire, comme vous et empaler le cul que vous avez possédé cette nuit ?

Je crois que je le suis aussi. Je ne me reconnais pas. Elan de volonté, de lui faire oublier mon écart ? Qui soit dit … Non, n’en reparlons pas. Je le repousse, posant mes mains sur son torse, mon bassin frottant contre le sien.




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Mais qu'est ce qu'il pouvait être chiant... il était intéressant mon livre pourquoi est ce qu'il me l'enlevait comme ça tout d'un coup? Est ce qu'il allait encore se mettre à pleurnicher? Je l'entendais déjà. Il allait raler pour je ne sais quelle idiotie encore. A croire qu'il passait tout son temps libre à trouver ce qu'il pouvait me reprocher de nouveau. Bientôt il allait me reprocher le soleil ou la pluie ou que sais je encore.

Je le regardais, surpris, alors qu'il venait se mettre à califourchon sur moi. Allait il tenter de me tuer? Ce serait nouveau ça. Parce qu'il se rebellait d'accord, mais ses actes de rébellion consistaient surtout à se plaindre et à pleurnicher. Il ne passait jamais à des choses concrètes, à se battre vraiment pour son indépendance. Non... il ne faisait que pleurer parce qu'il n'était plus libre. Il attendait que ses pleurnicheries me fassent céder. Ce n'était vraiment pas comme ça qu'il arriverait à obtenir quelque chose de moi.

- Vous n’avez pas dormi ici. Est-ce que je dois faire, comme vous et empaler le cul que vous avez possédé cette nuit ?

Je soupirais en l'entendant parler ainsi. C'était nouveau ça. Il n'était pas ivre mais il venait émoustiller mes sens en se frottant ainsi contre moi et il faisait preuve de jalousie. C'était tout aussi surprenant que choquant. J'avais u des tas de femmes et d'hommes dans mon lit qui s'étaient montrés jaloux. Je les avais vite tué quand ils en étaient arrivé à être trop pleurnichards par rapport à ça. Mais c'était drôle de voir que celui qui avait le moins de raison de l'être, l'être quand même.

- Même si ce que je fais de mes nuits ne te regarde absolument pas, je vais quand même te répondre...

Je le fis basculer sur le lit avant de lui arracher ce qu'il restait de pantalon sur lui. Je baissais rapidement le mien avant de le pénétrer d'un coup de rein.

- Ce cul....

Je ponctuais ma remarque d'un coup de rein plus fort avant de continuer de le pilonner sans ménagement, frappant durement sa prostate à chaque coup de rein.

-... est le seul que je visite nuit après nuit... même la nuit dernière. Je n'ai baisé personne. Jusqu'à maintenant...

Je lui souris, continuant ainsi d'aller et venir en lui. Je poussais un grognement de frustration quand j'entendis un soldat derrière la toile de la tente.

"Mon roi... le camp est pratiquement démonté. Nous... nous vous attendons pour démonter votre tente."

- Et bien attendez encore!!! Abruti de soldat.

On ne pouvait donc plus baiser en paix ici? Je chassais bien vite l'opportun de mon esprit avant de me concentrer sur le corps gémissant sous moi. Je lui souris avant de me pencher pour venir mordre son cou, imprimant plusieurs suçons dans sa peau, juste pour être certain que tout le monde au camp comprenne qu'il était mon jouet.

Je le caressais en même temps, cherchant à le faire se libérer en même temps que moi. C'était lui qui était venu me chercher, je pouvais bien me montrer généreux et le laisser prendre son pied aussi. Je finis par venir en lui, me retirant à bout de souffle.

- Habille toi, on ne va pas tarder à lever le camp.

Je m'habillais rapidement avant de sortir de la tente pour aller retrouver mes hommes. Je commençais par l'abruti de soldat, lui donnant la correction qu'il méritait pour m'avoir interrompu. J'allais ensuite retrouver Aegnor, faisant le point avec lui avant d'enfourcher mon cheval. Je récupérais ensuite mon colis, le hissant derrière moi avant qu'on se mette en marche.

- Tu vas te tenir tranquille aujourd'hui?


Patate Douce
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Patate Douce
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J'ai 25 ans ans et je vis à Rainë, la Paisible. Dans la vie, je suistout le monde dans la Vie du royaumeet je m'en sors moyennement. Je ne sais pas quoi de ma vie. Sinon, grâce à ma chance, je crois que je suis célibataire au desespoir de mes parents et je le vis plutôt bien.

Je ne sais comment me présenter. Mais mon destin n'était promis qu'à ma moitié et non, l'être craint de nos royaumes. Laisse-moi te conter cette histoire.


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Eviter le conflit par le sexe. Il n’y a que le langage du corps qui passe entre nous deux. Alors, comme il l’a dit, je ne supporte pas la discorde. Triste de devoir inclure mon corps. Surtout quand je suis à jeun. Difficile de ne pas gémir, de ne pas prendre mon pied. Je n’avais aucune excuse, j’avais l’esprit clair. Et je suis rassuré tout autant que surpris. Il n’avait pris personne alors pourquoi, n’avait-il pas dormir ici ? Interruption. Il râle. Je ris. Je perds la tête, je te le dis. Et il m’arrache un cri, je couine, je suis chiffon sous ses coups de butoir. Et c’était enivrant, je devais l’admettre. Il me touche, il me martèle et on se libère à quelques secondes d’écart. Je me redresse, souffle pour calmer ma respiration. Il est plus réactif que moi. Je grignote en m’habillant. Tente défaite et remis en selle. Je grimace encore de mes douleurs. Question qui me laisse perplexe.

- Cela implique quoi exactement ?

Je suis toujours tranquille, c’est quoi encore ses accusations ? Je pense que je suis même l’étre le plus docile de sa troupe. Aberrant.

- Parce que la dernière fois que nous avons fait route ensemble, j’étais tranquille et vous tendu.

Je l’admets, je le taquine un peu, parce que je ne veux plus être encore en apnée, pas après la déconvenue qu’il m’a infligée. Certains seraient écœuré de mon comportement. Et intérieurement, une partie de moi l’est aussi. Être aussi asservie, c’est pitoyable. Mais je ne pouvais pas me rebelle, il était bien trop supérieur en force et en nombre. Et ce n’est pas avec mes bras de mollusque que je vais lui faire du mal. Je devais voir soit mourir, soit qu’il meurt, si je voulais retrouver ma liberté ; Je me fais peur à me comporter de la sorte. Ce n’est pas moi. Je secoue la tête, effrayant. Je suis un Être de Lumière, propageant, la Paix et l’Harmonie. Je trouve des Compromis pour le Bien-Etre de chacun. Voilà, ça c’est moi.  




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