Elle est malade, lui ne le sait pas. Il a eu une vie avant elle, elle est tombée amoureuse pour la première fois.Ils se sont parler depuis des mois sur le net sans faire le rapprochement avec la personne avec qui ils sont désormais en couple. Ce soir elle a prévu une surprise pour lui.
Contexte provenant de nos persos originaux joués sur différents forums
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Date d'inscription : 30/09/2017
Région : Normandie
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Préférence de jeu : Les deux
Miaka
Ven 4 Oct - 22:12
Tess Allen
J'ai 20 ans et je vis à Wauwatosa, usa. Dans la vie, je suis bénévole à l'hopital et je m'en sors car je vis encore chez mes parents hyper protecteur à cause de ma maladie. Sinon, grâce à ma chance, je suis follement amoureuse et je le vis plutôt bien.
elle fanning@carole71
« Maintenant, ferme les yeux et ne bouge pas ! » Tu te lève de table , embrasse délicatement la joue de ton petit copain et va vers la cuisine . Tu n'es pas encore totalement à l'aise dans l'appartement du bel anglais, tu y avais passé quelques fois mais pas aussi longtemps et jamais avec un Lawrence qui fêtait son anniversaire et qui semblait si heureux de t'avoir prêt de lui pour ce moment. Tu lui avais dit qu'il devrait plutôt préférer organiser une soirée avec des amis de la fac ou dans un bar. Mais non, c'était le tête à tête délicieux entre lui et toi qui avait remporté la mise pour cette fois. Vous vous étiez donc donner rendez vous , ici, tu avais caché que ton sac contenait bien plus que ton habituel bric à brac. Il y avait déjà le gâteau, rien de très incroyable, juste une charlotte aux fraises que tu avais faite de tes propres mains sans, malheureusement, être une patissière d’exception. Ce cadeau t'attendait sagement au frigo. Puis il y avait des affaires, de quoi se changer. C'était ça ton second cadeau, sauf qu'il n'était pas pour le jeune homme.... sauf si une petite culotte en taille S , un soutien gorge et un pyjama composé d'un petit short mauve lui irait. Tu n'étais pas certaine de vouloir répondre oui à cette question. En vérité, tu lui avais promis d'être toujours avec lui quand minuit sonnerait , mais tu t'étais promis bien plus : être là au petit matin, et être là avec lui toute la journée. Tu avais menti à tes parents , avais tout prévu pour être tranquille. Tu ne comptais pas que votre relation prenne CE tournant ce soir, tu ne préférais pas y penser même si tu craignais que le moment où tu annonces que tu comptais dormir dans ses bras, Law ne se méprenne. Tu ne sais pas si tu es prête à le laisser te faire l'amour, mais tu sais que tu veux t'endormir contre son torse plus que tout au monde .
Tu évites de justesse l'animal de compagnie des lieux, le renommé chatchat. Non tu n'as même pas laissé le temps à ton copain de le présenter, tu avais immédiatement rejoué la scène de The Big Bang Theory lorsque Sheldon est trop accro à la race féline. Tu chantais même doux chaton, adorable chaton, petite boule de poil ou tu pues le chat, tu pues le chat, pourquoi te nourrissent ils? au chaton qui ronronnait à chaque fois . « Tu triches pas hein ? » Tu plantes des bougies avant de chercher partout des allumettes dans la cuisine. Peine perdue, c'est des plaques de cuisson à l'électricité. « C'est pas encore prêt » Tu vas déposé le gâteau sur la table, juste en face de lui et continue de chercher autour, ton parfum embaumant la pièce de plus en plus à mesure que tu t'agite. « Ah ! Je suis certaine que tu as ça là ! » Tu te penches vers lui et glisse ta main dans les poches de sa chemise, sans succès puis dans celle de son jean tout en sentant tes joues rosirent .Heureusement, il ne le voit pas. Tu attrape, le graal : un briquet et fais enfin crépiter les bougies . Tu es la seule invitée mais tu tiens aux traditions, puis tu aimes chanter. « Tu peux ouvrir les yeux » Ta voix douce, suave entonne donc un joyeux anniversaire uniquement pour lui pendant que tu tires un peu sur ta robe blanche en regrettant de l'avoir choisit car maintenant que tu chantes tu ressembles juste à un cosplay bas de gamme de Marylin Monroe « Joyeux anniiiiversaire Lawrence. » Tu lui souris, tu es heureuse d'avoir fait ça pour lui et nerveuse qu'il n'y soit pas sensible.
Lawrence:
Le repas terminé, tu avais préparé un gratin de pomme de terre disons surtout que tu n’étais pas un dieu de la cuisine. Mais apparemment Tess à apprécier puisqu’elle avait aussi bien mangé que toi, ça te rassuré. L’heure du dessert arrive et malheureusement tu n’as même pas prévu un gâteau ni de la glace, rien pour finir cet instant agréable en compagnie de ta chérie et tu te sens idiot. Tu allais lui dire quand elle se lève rapidement pour t’embrasser la joue et te demander de ne pas bouger et de fermer les yeux, fronce les sourcils et ferme les paupières. Elle a préparé une surprise tu le sens, elle semble toute excité et agité derrière toi dans ta cuisine. Tu es content de l’avoir avec toi, tu ne voulais pas faire cet anniversaire avec d’autres personne qu’elle. Depuis qu’elle est rentrée dans ta vie Tess te rend heureux comme tu ne l’as jamais été, c’est devenu fort dès l’instant où tu l’as croisé à l’hôpital. Elle était déjà venue dans ton appartement mais là c’était autre chose, tu lui avais pas demandé mais tu espérais qu’elle reste cette nuit, cette première nuit tout les deux. Tu espère rien de plus que dormir, tu veux pas lui faire peur ou même la faire faire des choses dont elle n’a pas envie, tu veux juste profiter d’elle, l’embrasser et la serrer fort dans tes bras pendant une nuit entière. Entendre sa respiration et la regarder dormir, elle est si belle et paisible qu’elle te rend fou. – Tu vas mettre le désordre dans ma cuisine ! Dis-tu en riant alors que tu l’entends fouiner partout, ouvrir les placards, les tiroirs. Tu attends impatient, les paupières toujours close. Tu sens Tess passer près de toi et déposer quelques choses sur la table, face à toi et pourtant elle t’interdit de regarder, tu grognes doucement en riant alors qu’elle s’active. – Bébé calme toi !Ajoutes-tu alors qu’elle se penche vers toi et glisse sa main sur ta chemise puis dans la poche de ton jean, tu sursaute légèrement alors que sa main était si proche de ton intimité, elle semble aimer jouer avec le feu ta demoiselle. Elle te permet d’ouvrir les yeux enfin après quelques secondes, tu découvre un beau gâteau avec les bougies, et ta chérie qui chante un joyeux anniversaire. Ton sourire s’élargie jusqu’à tes oreilles alors que tu l’attrapes pour l’attiré sur tes genoux, la serrant dans tes bras. Sa surprise te fait vraiment plaisir, tu ne t’y attendais pas et ça te plaît énormément. – Merci Tess, c’est fabuleux ! Dis-tu en la gardant dans tes bras, tu passe une main dans ses cheveux avant de te pencher pour l’embrasser tendrement puis tu dévies tes baisers contre sa joue et dans son cou, l’embrassant et le mordillant. – Dis-moi, tu crois que ton gâteau est aussi bon que toi ? Ajoutes-tu en glissant tes grandes mains dans son dos pendant qu’une autre glisse le long de sa cuisse, pour bien la maintenant sur tes cuisses.
Tess:
Les dîners romantiques tu n'en connais que les films, les romans et même les mangas mais c'est sur une ou deux pages et c'est tout. Là cela faisait des heures que tu étais chez lui, que vous discutiez , que vous aviez mis la table tout les deux comme n'importe quel couple. Pas de chandelle mais une ambiance, une atmosphère réconfortante et propice aux baisers et aux caresses . Vous en êtes au désert sans qu'aucun blanc gênant ne vous interrompent et alors même que tu cherches partout un briquet, il te fait rire. « Tu vas mettre le désordre dans ma cuisine ! » Tu as déjà remarqué que ton petit copain est assez... pointilleux dirait il... toi tu utiliserais le terme maniaque. Tu repère en quart de seconde que tu as laissé ton sac traîné dans le couloir quand tu es venu l'embrasser ainsi que ton manteau, ton portable est sur la table basse avec un nœud à cheveux et ton baume à lèvre. Et c'était sans compter qu'une fois sur deux tu oubliais quelque chose chez lui. « Une maison c'est fait pour vivre, c'est normal qu'il y ait le désordre. » que tu répliques tout en sachant très bien que tu faisais un peu trop vivre les habitations toi. Tu continue tes recherches et mors tes lèvres en l'entendant te demander de te calmer. « Tu as de la chance de ne pas me voir sinon je t'aurais tirer la langue » Tu trouves le feu dans sa poche après en avoir profiter pour effleurer son torse à travers son tissus. Mais tu as besoin de toute ta concentration pour lui chanter ta petite chanson et ne pas te cacher sous la table de peur qu'il se fiche de tes efforts.
Toutefois , ça lui plait car tu atterris sur ses genoux, au plus prêt de son corps. Ses doigts dans tes cheveux, sur ta cuisse, ses lèvres sur les tiennes dans ton cou. Tu te sens toute tremblante d'émotion et en même temps forte comme jamais quand tu es avec lui, prête à tout affronter. Tu frissonnes en t'accrochant à sa nuque. « Je ne sais pas. Je suis aussi peu certaine pour le gâteau que pour moi. Tu risques l'indigestion pour les deux. » Ton sourire ne retombe pas. Tu l'embrasse de nouveau. « Un gâteau c'est rien par rapport à ce que tu es pour moi comme cadeau . Je suis heureuse que tu sois né et je remercie qui de droit pour toi . » Tu laisse tes doigts sur son cœur , là où repose une partie de sa maman, tout en remerciant mentalement son papa également. Mais tu ne veux pas faire retomber l'ambiance,tu ne peux juste pas t’empêcher de penser à ceux qui ont crée un être si fabuleux, un être qui par un miracle que tu ne t'explique pas est avec toi . Tu prends le couteau et découpe deux parts puis à la cuillère un petit morceau. « A toi de goûter ! Moi ? » De nouveau tu donne un baiser sur sa bouche charnue à laquelle tu penses bien trop quand tu es seule dans ton lit, incapable de trouver le sommeil et qu'elle t’obsède. Puis tu lui donne à manger. « OU ça ? Attention, il n'y a qu'une seule bonne réponse ! » Tu fronces le nez et semble réfléchir.« Non tu n'as pas eu assez du premier choix pour vraiment faire le tien ! » Tu gigotes un peu sur ses genoux pour t'installer encore mieux , tes petites fesses rondes s'agitant sur lui. Tu as ton visage si bien collé au sien que vos nez se touchent , tu ne résiste pas, tu ne résiste plus depuis longtemps . Un autre baiser, plus long. Tendre au départ mais de plus en plus insistant, ta langue réclamant son attention . Tu soupires, ce n'est pas un cadeau pour lui mais une exigence pour toi. Tu sais que tu t'en souviendra plus tard , quand dans ton lit tu passera tes mains sur ton corps trop fragile en imaginant que ça soit les siennes mais sans pour autant réussir à lui demander de passer du fantasme à la réalité.
Tu ne penses qu'à lui et c'est juste l'assiette tombant au sol qui te fait quitter les lèvres. Tes yeux papillonnent, comme lorsqu'on sort d'un rêve avant de trouver chat chat au sol, à coté des dégâts avec un air penaud mais la pâte sur la pâtisserie. Tu poses un doigts sur la bouche de Law « Ne le dispute pas, c'est pas grave , on recommencera après et je me servirais autre chose... on a tout le temps après tout. » Le temps c'était quelque chose qui te manquait . Un, deux ou trois ans … chaque anniversaire avait son importance. Cette nuit était importante, tu ne veux en gâcher aucune minute. Tu te lèves pour aller réparer les dégâts.« C'est ton anniversaire, alors tu ne fais rien de plus, je m'occupe de tout ! » Tu balayes les bouts de verres pour que les patounnes du chaton ne soient pas en danger mais finis par te couper le doigt. Rien de très grave mais tu saignes tout de même. « Aie ! » Tu ne veux pas mettre la faute sur ta maladie pour cette inattention, pas ce soir .
Lawrence:
Ta demoiselle entre tes bras, installé sur tes genoux. Tu la câline avec plaisir alors que tes mains ne se retiennent pas pour s’aventurer sur son corps, la serrant plus fort contre toi pour la remercier de son attention, un gâteau alors que tu n’avais même pas pensé à un dessert. Tu as encore une fois la chance de l’avoir près de toi ce petit ange, une preuve que tu ne peux plus te passer d’elle. Ta bouche qui découvre la chaleur de la sienne, son cou et tout le reste de sa peau. Elle te rend fou, complètement et elle à vraiment pas l’air de le savoir, alors que tu la déguste comme un gâteau tu espère ensuite être aussi enjouée avec celui qu’elle avait préparé pour la soirée. – Une indigestion ? Je prends le risque si tu restes avec moi pour me soigner ! Ajoutes-tu en souriant tendrement alors qu’elle t’embrasse doucement, répondant au baiser avec joie. Elle semble aussi ravie que toi, et sa phrase te fait plaisir. Remercier tes parents, tu penses à ta mère une seconde, tout les jours bien sur mais Tess à tendance à tout te faire oublier quand elle est avec toi, sa présence apaise tes maux et la douleur même si tu t’es remis de la perte de ta mère. Tu souris tendrement en la serrant encore plus dans tes bras. Puis elle se tourne légèrement pour couper les parts de gâteau, il ne faut pas l’oublier celui là, cuisiner avec amour. Elle s’amuse encore en te demandant le meilleure entre le gâteau et elle, tu ris doucement alors qu’elle t’embrasse et te donne un bout de son délicieux dessert. Tu fais mine de réfléchir un moment, bougeant la tête en haussant les épaules. – Hm... Le choix est difficile. Dis-tu pour la taquiner et elle semble comprendre ton hésitation même ton choix est bien fait avant même de goûter au gâteau. Tess gigote sur tes cuisses, ses mouvements te faisant une sensation bien trop agréable, tu fais de gros yeux alors qu’elle se place bien contre toi, son visage près du tien, un petit bisou papillon, nez contre nez avant qu’elle ne saisisse tes lèvres. Celle-ci qui s’étire alors que tu réponds avec plaisir, tes mains entourant son petit visage angélique. La tendresse qui laisse place à la passion, sa langue qui trouve la tienne alors que ta main redescend dans son dos jusque sa cuisse. Ce genre de baiser à le don de te rendre fou, tout ce soir te pousse à te sentir bien, à avoir envie de Tess bien plus que tu le devrais alors que tu ne voulais rien forcer surtout pas ta princesse. L’assiette qui se brise sur le sol te fait sursauter et surtout vous coupe dans votre élan de tendresse. Au fond tu avais bien besoin de sa pour ne pas trop pousser l’instant. Tu sentais déjà l’excitation t’envahir alors que Tess était là, dans tes bras, toute belle. Alors que tu t’apprête à engueuler Boby. Tess pose un doigt sur ta bouche pour t’empêcher de le faire, tu fais de gros yeux quand même. Elle se lève de tes cuisses toute chaude qui se refroidissent sans elle, tu te redresses à ton tour. – Tess, bébé ! Dis-tu alors qu’elle te dit que tu n’as rien à faire pour ton anniversaire. Elle commence à ramasser les morceaux jusqu’à ce couper. Tu te lève près d’elle. – Voilà le drame ! Tu voulais que je m’occupe encore plus de toi, avoue-le ! Dis-tu en souriant tendrement, tu prends sa main dans la tienne doucement, pour regarder la plaie, petite mais le sang coule assez vite. – J’ai tout ce qu’il faut dans la salle de bain. Tu prends son autre main pour l'entrainer avec toi dans la salle de bain, passant devant ta chambre tu entre dans la pièce, propre, rangé, tout est parfait comme à ton habitude. Tu tire un tabouret et l’installe sur celui-ci. Sortant la trousse à pharmacie d’un petit placard. Tu sors alors l’alcool pour désinfecter, une compresse et un pansement. Organisé, peu être un peu trop.
Tess:
« Une indigestion ? Je prends le risque si tu restes avec moi pour me soigner ! » Tu souris et hausse les épaules « Je ferais ton infirmière alors si tu es courageux. » Et il l'est, tu sens sa force à chaque fois que tu es dans ses bras, quand tu t'accroches à ses épaules. Ce n'est pas une force brute, c'est mieux encore, c'est de la solidité . Si il est ta forêt, l'arbre millénaire qui t'apporte un vrai souffle de vie, tu veux volontiers être la nymphe qui prends soin de lui rien que pour t'abriter sous ses branches. Ce moment de douceur vous appartient, tu ne voudrais le partager avec personne d'autre mais tu sais grâce à qui tu les dois, tu les évoques, légèrement pour ne pas le rendre triste. Tu ne saurais peut être pas le consoler. Personne ne t'as apprit à être une petite amie, donc tu tâtonnes, n'ose demander d'aide à personne. Même ses cadeaux , tu n'étais pas certaine que ça lui plaise. Le gâteau oui, mais une cohabitation forcée pour la nuit peut être pas. Plus tu y pensais , plus tu stressais. Heureusement il y avait ses baisers et ses mains, tu te détends, lui demande de choisir entre la pâtisserie et toi et lui donne toute les raisons que tu peux pour qu'il te prenne toi. A moins que ça ne soit tes instincts et que tu devrais finalement les laisser faire. Tu l'embrasses avec de plus en plus de sensualité, une sensualité que tu croyais ne jamais avoir mais qui grandit à mesure que ton besoin d'être avec Law se multiplie. Il te touche si facilement a des zones que personne n'a jamais caressé. Les frissons, la peur, l'anticipation.
Tout te vient à chaque fois mais tu n'as pas envie de l'arreter, pas car tu as peur qu'il t'aime moins mais car tu as envie de plus. Tu le sais quand le soir avant de t'endormir, rien qu'à repenser à lui tu sens une chaleur dans ton bas ventre qui se fait de plus en plus familière. Tu repasses à chaque fois tes mains là où ton petit ami le faisait puis plus loin encore , ton ventre, tes seins, l’intérieure de tes cuisses. Tu n'ose pas faire plus, mais tu imagines de manière si vague que ça en est rageant. Tes hormones te travaillent de plus en plus et ton cœur devient de plus en plus insatiable de son Lawrence ; heureusement qu'il y a chatchat pour te donner une raison de respirer car plus rien d'autre ne t'importait.
C'est un arrache cœur et tes jambes te semblent bien lourdes quand tu t'éloignes de lui et que tu essaie de descendre de ton petit nuage. Mais tu te forces, lui demandant de te laisser t'occuper de tout. Sauf que ce petit surnom te fait perdre de ta concentration juste assez de temps pour te couper . Rien de grave mais Lawrence te rejoint vite. Tu ris malgré la légère douleur. « Je suis démasquée ! Je te voulais en médecin pour la jouer à la grey's anatomy dans l'ascen... » Tu ne finis pas ta phrase et mords plutôt tes lèvres. Quiconque avait entendu parler de cette série, savait que les ascenseurs étaient plus souvent le théâtre de pelotage que de discutions philosophique. Tu secoues la tête et le suis sagement en essayant d'effacer l'idée d'un Law te coinçant dans un ascenseur... étant bien souvent à l’hôpital, il faudra que tu te forces à prendre l'escalier. D'autant plus quand juste passer à coté de sa chambre te serre le ventre . Tu t'assois sur le tabouret en face du beau brun, ose un petit rire en voyant sa boite à urgence, bien rangée. « Tu es tellement une meilleure femme d'intérieur que moi » Tu le laisse t'occuper de toi, aimerais te dire que ce n'est pas féministe, que tu devrais le faire toi même mais... non. Tu aimes qu'il prenne soin de toi, ça décuple ton envie de t'occuper de lui, de lui faire plaisir car ça te comble. C'est un cercle vicieux où seul son sourire peut t’apaiser mais aussi créer la plus belle de tes dépendances. Tu grimaces quand le désinfectant se pose sur ta coupure mais essaie de prendre sur toi avant de murmurer un« Soit doux » dans un souffle. Tu passes ta main libre sur son épaule que tu serres .
Tu observes ses traits concentrés, le trouve dangereusement séduisant ton petit copain. Peu importe l'angle par lequel tu regardais, il te troublait et te plaisait. Tu as peur que vu l'intensité avec laquelle tu le regarde, il fonde sous la chaleur qui émanait de toi par sa faute. Tu jettes un œil sur le reste de la pièce et regroupe ton courage pour glisser « Dis moi... je peux installer ma brosse à dent et tout pour ce soir ? » Tu n'oses toujours pas regarder sa réaction , pas certaine qu'il ai vraiment compris. « Je veux dire … comme je dors ici... » Les joues cramoisies tu le fixe de nouveau. « Enfin, si tu veux bien... je voulais être avec toi à minuit et … dormir... dans tes bras... » Passant une main dans tes cheveux pour te donner constance tu continues. « Sauf si tu as quelque chose de prévu demain... ou si tu veux que je dorme sur le canapé avec chatchat. » Tu fais la moue rien qu'à l'idée. Cela fait des jours que tu t'imagines t'endormir entourée de son odeur, des jours où tu ne rêves que de ça et que tu en perds toute concentration.
Lawrence:
Tu n'aurais pas pu rêver mieux pour ta soirée d'anniversaire. Tu pensais rentrer avec ton père avant de connaître Tess, avant de vouloir passer tout temps libre avec elle, l'avoir dans tes bras, sentir le goût de sa bouche contre la tienne. Tu es accro, oui, et tu l'assumes totalement. Jamais une femme ne t'avais rendu ainsi, totalement fou. Parce qu'avec Tess tout est différent, simple et pourtant si complexe, tu as toujours peur de la brusquer, lui faire peur. T'es pas un ours mais t'es pas un homme forcément aussi pur qu'elle. Elle, l'ange qui est entrée dans ta vie et qui désormais pouvait tout te faire faire. Sans elle, tu ne serais incapable de voir l'avenir, de voir ta vie sans ton ange à tes côtés. Elle semble heureuse ce soir, dévouée pour te rendre heureux et te faire plaisir, un trait de caractère chez ta chérie qui te fait plaisir, tu es comme elle, faire plaisir est aussi ce que tu aimes faire. Tu sais qu'elle est là pour toi, mais au fond tu veux qu'elle soit heureuse d'être là, alors qu'elle s'empresse de ramasser le verre, tu te lève pour l’empêcher de le faire. Une coupure, pas forcément très méchante, mais le sang qui coule devient vite impressionnant. Même si vous êtes habitué, travailler dans un hôpital il ne faut pas avoir peur du sang, des aiguille ou tout autre chose lié à la santé. Tu l'entraîne avec toi dans ta salle de bain. Sa remarque concernant les ascenseur de fait rire. - Es-ce une invitation Miss Allen ? Un rendez-vous pour notre prochaine garde de bénévole ? dis-tu, un sourire au coin des lèvres alors que tu lui jette un regard par dessus ton épaule. Vous entrez dans ta salle de bain, propre et ranger comme à ton habitude, un tabouret ton ta princesse et tu commences à sortir ce qu'il faut. Sa remarque te fait levé les yeux au ciel, avant de sourire doucement, lui jetant un autre regard. - Je serais une femme d'intérieur pour nous deux je crois. Tu es là depuis à peine quelques heures que mon salon et ma cuisine sont déjà des champs de batailles. dis-tu en souriant, même si pour l'instant ça te dérange pas, un jour ça risque d'être embêtant si tout se passe bien entre vous et qu'elle vient vivre avec toi.. une idée qui te plaît pourtant déjà. Finalement tu commences à désinfecté la plaie, passant le coton doucement, elle semble crispé, sa main contre ton épaule, son petit mot Soit Doux dit-elle, tu souris et vient embrasser sa main tendrement, tu es toujours tendre avec elle ou même n'importe qui, même si tu peu vitre devenir plus féroce et violent si la situation ce présente. Tess est ton ange, tu en prend soin, toujours.
Alors que tu t'occupes de ta princesse, deux secondes suffissent pour qu'elle te lance une question à laquelle tu t'attendais pas. Tu viens tout juste de finir le pansement, tu relève le visage vers elle, interrogé. A peine le temps de répondre qu'elle se lance dans une justification, stressée et pas forcément à l'aise tu la sens en difficulté, alors que sa proposition de rester cette nuit, dormir avec toi te rempli de joie. Tu souris alors qu'elle évoque l'éventualité de dormir dans le canapé avec le chat. Tu te penche et attrape son visage pour l'embrasser tendrement, à peine venait-elle de finir sa dernière phrase. Une main qui reste contre son visage l'autre se glisse dans son dos, dans la chute de ses reins pour la relevé du tabouret et l'attirer dans tes bras, contre ton torse sans lâcher ses lèvres une seconde, l'embrassant avec plaisir et tendresse. Tes doigts glissant dans ses cheveux blonds, s'enroulant délicatement alors que tu glisses ensuite ta main à l'arrière de sa tête, la gardant fermement contre toi, incapable pour elle de s'échapper. De longues minutes pour ce doux baiser, avant que tu recules, te mordant la lèvre gonflée, la regardant intensément. - Installes tes affaires où tu veux Tess. murmures-tu en souriant tendrement, ton nez venant se frotter contre le sien, ton front poser contre la chaleur du sien. - Demain je fais grasse mâtiné avec mon bébé.. ajoutes-tu dans un chuchotement assez sensuel.
Tess:
Toute cette soirée et, tu espérais ce week end avec, était dédiés pour faire plaisir à ton petit ami pour son anniversaire. Et cela allait à la de la façon dont tu t'étais apprêté , avec une jolie robe, tes cheveux léchés dans ton dos et tes efforts de pâtisseries. Tu n'es pas bonne cuisinière mais la pâtisserie est tellement précise, que tu enfermes parfaitement ton esprit vite vagabond pour être plus studieuse. Oui tu voulais que Lawrence se rappelle de son anniversaire, qu'il ne regrette pas de ne pas être retourné en Angleterre auprès de son père. Mais c'était aussi un peu égoïste : tu voulais amassé un maximum de souvenirs de lui, de sa peau, de ses yeux, de ses lèvres, de sa voix et sa façon de te faire rire. Encore une fois alors que tu es un peu gênée d'oser lui avouer que tu imaginais souvent l'embrasser à en perdre haleine dans l'ascenseur de l’hôpital , il te refait rire. « Peut être ! » En espérant qu'il ne te fasse pas trembler aussi vite que maintenant avec son simple -miss Allen- que tu trouvais si sexy dans sa bouche.
Pourtant ce n'est pas à l’hôpital que vous vous retrouvez, mais dans sa salle de bain, avec ton bel anglais qui prends soin de ton bobo tandis que tu vantes ses nombreuses qualités. « Je t'offrirais un jolie tablier avec des froufous partout alors ! » Encore une fois, tu es détendue, prête à l'imaginer ainsi en mode femme des années 50 « Et si ça te plait pas, moi je le veux bien le tablier et j'essaierais d'être juste un peu moins bordelique … si j'en suis capable bien évidemment. » Rien n'est moins sûr puisque ça doit être dans tes génes au final mais il mériterait que tu essaies, sinon ça serait certain, même si il acceptait cette nuit passée dans le même lit, il ne le ferait pas deux fois si tu laissais un désordre pas possible derrière toi . Tu ne savais pas encore qu'un homme amoureux préferait pour beaucoup une nuit d'amour à rien du tout, et cela même si il y avait un peu de ménage par la suite. Il s'occupe de toi , embrasse ta main pour te rassurer quand la désinfection te fait grimacer. Oui il est doux, comment en douter ? Tu souris à ses attentions, et caresse sa nuque pour t'accrocher encore un peu plus.
Tu es bien avec lui, il prends soin de toi comme tu veux prendre soin de lui... Il n'y est absolument pour rien si tu t'affole toute seule quand tu lui dis la seconde partie de son cadeau, comme si toi, tu étais un cadeau ! Vraiment à y repenser c'était n'importe quoi. Tu le penses encore quand il commence à t'embrasser. Peut être veux til t'amadouer pour te dire qu'il te ramène chez tes parents ? Peut être que... tu n'y penses pas plus longtemps, ses lèvres sont tellement douces que tu succombes vite au plaisir qu'elles te procurent. Alors quand il s'éloigne pour que vous repreniez votre souffle, tu papillonnes des yeux comme pour revenir sur terre et te rappeler quelle était la question . Mais il te rassure, il veux que tu reste, veux que vous dormiez ensemble et profitiez d'une grasse matinée ensemble. « Merci » que tu souffles, car c'est un cadeau aussi pour toi : Lawrence toute une nuit ! Cette fois c'est toi qui lui ressaute au cou pour l'embrasser outrageusement, heureuse qu'il t'accepte. Et c'est seulement quand tu te calme, qu'avec humour tu lui glisses un « Je risque bien de laisser ta chambre aussi en bazar ! J'espère que tu ne regrettera pas. »
Vous finissez par retourner mains dans la main dans le salon où vous reprenez le fil de la soirée . Vous aviez prévu de regarder un film avant qu'il te raccompagne et même si le dernier point ne serait pas respecter, vous vous installer dans le canapé. Ce n'est pas la première fois, aussi vous avez vos habitudes déjà. Il se couche et toi tu te cale contre lui amoureusement. Lors des scènes d'amours c'était toujours un peu plus gênant mais tu aimais tellement être entourée de ses bras, de son odeur, que tu finissais toujours par te calmer et juste... regarder ailleurs. Ce soir encore, tu es bien collée à lui tout le long du film et quand la fin s'approche, c'est seulement à ce moment là que tu comprends que les choses allaient changer. Que tu n'aurais pas le cœur qui se serrerait car tu devrais partir, non, que tu te préparerais à continuer à te blottir contre lui dans un lit. Quand tu dois te lever pour lui laisser l'occasion de ranger le dvd, tu en profites pour t'éclipser, dire que tu vas te changer. Tu as de plus en plus de mal à le regarder dans les yeux, non pas que ces derniers aient changé, non , ils sont toujours aussi tendres et sans arrière pensés mais l’imminence de ce nouveau moment, de cette proximité est là .
Une fois seule, tu reprends ton sac et te débarbouille sommairement avant de passer une nuisette de coton très simple, bleu marine qui t'arrive à mi cuisse mais qui cache tout de même un mini short en dessous . Tu prends tes médicaments, te lave les dents et te brosse les cheveux quand il toque à la porte pour te rejoindre. Tu tire nerveusement sur ton pyjama et lui laisse la place. C'est seulement quand tu va passer la porte que tu fais demi tour et dépose un petit baiser sur sa joue en osant lui sourire. Tu n'as pas changé d'avis, veux toujours rester plus que tout au monde. Une main sur sa barbe , tu lances une phrase si légère pour d'autre, et si lourde de sens pour toi « Je vais me coucher ... à... à tout de suite... » Tu l'abandonne et file dans sa chambre, vers son immense lit et sa couette chaleureuse qui recouvre tes jambes quand tu y restes assise à observer autour de toi un quelconque signe comme quoi tu serais sur son coté, pas à ta place.
Lawrence:
Rien de mieux que cet instant en compagnie de Tess, ton ange. Tu voulais passer le plus de temps avec elle, après tes cours, après tout tu voulais juste la voir, être avec elle et la garder dans tes bras. Cependant elle a des règles à respecter pour ne pas que ses parents ce doutent de quelques choses et la prive de sortis, tu serais encore plus mal de ne pas pouvoir la voir pendant quelques jours, rien que des heures c'est difficile. Là, dans ta salle de bain, tu soignes sa plaie, arrête le saignement et lui fait un petit bandage mignon. Tu es doux, attentif et tu prend soin d'elle, comme elle le fait avec toi depuis le début de la soirée. Les rôles s'inverse et ça te fait plaisir. Elle semble stressée quand elle entame ses paroles, te demandant si elle peut rester la cette nuit, sa demande te surprend surtout que tu osais pas lui demander et la faire mentir à ses parents, apparemment elle l'as déjà fait de son côté et ça te fait énormément plaisir. Sa petite bouille, son regard fuyant, après l'avoir soignée convenablement tu l'attrape dans tes bras pour l'embrasser, l'attirer contre ton corps. Une réponse qui tu espères lui fera plaisir, évidemment que tu l'as veux pour la nuit, ta princesse dans tes bras, depuis le temps que tu l'imagines dormir dans ton lit, avec toi c'est un rêve qui se réalise. De plus, la grasse matinée en sa compagnie ne peut qu'être mieux que toute celle dont tu as l'habitude, seul ou avec boby qui te réclame des câlins ou juste à manger. - Ne fais pas trop de bazar dans ma chambre, ça risques d'être difficile pour moi de ne pas ranger. dis-tu doucement en riant alors que cette manie t'embête assez, surtout face à Tess.
La suite de la soirée ce passe bien, très bien même. Tess dans tes bras devant le film, t'adore ça c'est tout ce que tu veux avec elle, une soirée banale, des câlins et de la proximité. Tu étais bien, tes mains glissant dans son dos, dans ses cheveux, tu profitais d'elle, toujours plus alors qu'elle allait rester avec toi toute la nuit encore. Le film qui se termine, pour une fois tu n'as pas besoin de lui dire au revoir, de la ramener chez elle et de sentir ton coeur se briser à chaque séparation, même infime. Non,cette fois c'est autre chose. Cette fois tu sais que tu vas la garder près de toi. Tu arrêtes le film et range tout pour aller coucher, pendant que Tess occupe la salle de bain tu lui laisse de l'espace, tu ne veux pas qu'elle se sente mal au contraire. Quelques minutes tu arrives frappes et entre, elle est prête, douce et délicate dans sa nuisette, ses jambes dénudée, tu souris tendrement en t'approchant d'elle pour te préparer aussi, te laver les dents et te débarbouiller un peu, pour dormir ce n'est pas difficile tu dors en boxer. Ta demoiselle s'éloigne mais revient aussi vite pour embrasser ta joue, tu souris tendrement. - J'arrive, installe toi ! dis-tu doucement alors qu'elle s'éloigne telle une fée, ses pas délicat dont tu entends aucun bruit. A peine une dizaine de minutes après, tu arrives dans la chambre, ferme la porte derrière toi, vêtu d'un simple boxer, tu t'approches du lit, découvrant ta petite amie dans les draps, un peu perdue, tu souris. - J'espère que tu as réchauffer le lit. dis-tu pour la taquiné, toute seule aucune chance, le lit est déjà trop grand pour toi alors pour elle. Tu te glisse sous le drap et la couette, t'installant contre l'oreiller, tu te tourne vers la demoiselle à tes côtés. - ça va ? je suis content de te voir là, avec moi.ajoutes-tu en glissant tes doigts contre sa joues puis dans ses cheveux. Tu es doux, un peu distant, tu ne veux pas la brusquer ni qu'elle pense que tu désir autre chose.
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Date d'inscription : 30/09/2017
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Crédits : Myself
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Préférence de jeu : Les deux
Miaka
Ven 4 Oct - 22:15
Tess:
Tu avais laissé Lawrence derrière toi, dans sa salle de bain qui sentait toujours désespérément l'odeur masculine de douceur, de propre et de virilité de ton petit ami. Une odeur que tu retrouvais à chaque fois qu'il te prenait contre lui ou dans n'importe laquelle des pièces de l'appartement. Tu la sentais même parfois sur son chat quand celui ci après un câlin de son maître venait vers toi . Oui donc tu l'avais laissé, après un dernier petit baiser car c'étaient les contacts avec lui, physiques ou simplement visuels qui te donne le courage de continuer à t'imposer et d'aller t'installer dans son lit.
Celui ci te paraît si grand, si carré et comme le reste de la chambre : si bien organisée. Pour toi, bordélique dans l'âme cela ne te paraît même pas oppressant, même si tu sais que tu te sentira étrangement mieux quand il t'aura rejoins. Enfin tu crois ? Tu ne sais plus. Est ce que l'effet qu'il te fait est adaptable quand vous êtes tout les deux dans un endroit si intime ? Est ce qu'il sera pire ou nul et sans avenu ? Puis il apparaît et tu ne te poses plus de question. Tu ne t'attendais pas à qu'il dorme en parka mais la vision de lui en boxer te fais quelque chose d'étrange. Il est beau, tellement beau. Ses longues jambes, ses cuisses légèrement musclés par l'exercice de la moto, sa taille fine, et son torse pareillement dessiné... Il est viril. Certe pas le genre d’armoire à glace comme le bel homme que tu as vu attendre l'infirmière Wanda à la sortie de l’hôpital ce matin. Non mais ce n'est pas pour autant qu'il n'inspire pas le mâl, doux mais protecteur dans les bras duquel on veux perdre le contrôle. Et c'est ce qui t'arrive quand le matelas plie légèrement sous son poids ? « Rechauffer quoi ? Ah le lit... Non trop grand. » Il est souriant et essaie de détendre l’atmosphère, comme le gentleman qu'il est. Tu ne peux rêver mieux que Lawrence Willis de toute façon ! Il est allongé à coté de toi et s’inquiète encore de comment tu te porte, passant ses doigts sur ta joue, tes cheveux.
Il est tellement doux que le sourire te viens tandis que tu te penches pour embrasser sa paume puis ses lèvres rapidement. « Oui ça va... je suis juste intimidée. Je n'ai jamais … même dormis avec un homme. Julio ne compte pas , ce n'est pas … toi... » Un autre baiser. « Aucun autre ne sont toi... » Tu te laisses tomber entre les draps et t'approche plus de lui. Une main sur son torse nu et tu rate un battement. Tu sens les siens sous la pulpe de tes doigts. Ils descendent un peu plus bas pour laisser la place à ton oreille que tu colles au niveau de son cœur en te pressant plus contre son corps. « Toi aussi, ça bat vite...je suis contente, je suis pas la seule. » Ni la seule, tu l’espéres à vouloir l'embrasser. « Je suis heureuse d'être là, avec toi... je voudrais que ça ne s’arrête jamais tant je suis bien. »Tes lèvres roses capturent les siennes, doucement en te lovant contre lui. Tu as désormais les bras autour de son cou et n'arrive plus à t’arrêter, addicte que tu es à lui « On.. on peux continuer... avant de dormir... J'ai... j'ai envie... » tu ne parlais que de baisers échangés, mais tu adorais sentir sa langue enroulée contre la tienne, ses mains sur toi, sur ta nuisette. Petit à petit, comme tu connaissais moins le danger, tu prend tes aises et tu le surplombes en continuant de l'embrasser. « Ce soir c'est toi mes étoiles... » Tu faisais référence à ton ciel d’étoile, à tes photos et souvenirs accrochés à ton plafond. Mais cette étoile là, te faisait brillait, t’irradier totalement, te donnait chaud....
Lawrence:
Habituellement tu es un homme fonceur, qui sait ce qu'il veut, surtout avec les femmes. Du moins avec celle que tu as quitté en Angleterre et celle que tu as fréquenté. Tu n'as jamais douté de ton charme, ton regard perçant qui fait craquer et ton sourire ravageur. Pourtant ce soir, avec Tess tout est différent, depuis votre rencontre tu es différent. Elle fait de toi un homme patient et délicat, tu sais ce que tu veux oui, tu l'as veux elle mais pas pour un soir, pas pour quelques mois, tu l'as veux pour la vie. ça tu le sais au plus profond de ton cœur, de ton âme. Peut être qu'elle ne voit pas ton stress ou même ta peur, parce que oui, tu as peur. Tu veux bien faire, tu veux que tout soit parfait comme elle l'est. Tu es souvent maladroit parce que tu restes un homme, tu as des envies et des désirs, et Tess en réveil des tonnes quand elle est près de toi. Votre intimité n'as jamais était aussi intense, passer une nuit l'un contre l'autre, sentir sa peau, son cœur battre contre le tien, ce rapprochement t’inquiète un peu. Tu prend ton temps dans la salle de bain, mais pas trop. Tu ne veux pas que Tess panique seule de son côté, dans un lit inconnu.
La trouver dans tes draps, te fait plaisir, profondément. Depuis le temps que tu souhaites l'avoir dans près de toi une nuit entière. Tu la rejoint assez vite, glissant à ses côté, t'essayes de la rassurer et la faire rire disons la détendre un peu. Tes doigts qui caresse sa joue, ses cheveux. - Tu sais dormir avec moi ça ne change pas, c'est comme dormir seule ! dis-tu en riant doucement, même si tu sais qu'il faut s'habituer à dormir avec quelqu'un, mais ton lit est tellement grand que si tu l'embête dans la nuit elle peut se mettre au bout et être tranquille. Son bisous contre ta peau et le petit contre tes lèvres te fait sourire - Heureusement que personne n'est comme moi, j'aurai du soucis à me faire. ajoutes-tu en lui faisant un petit clin d’œil amusé. La demoiselle ce rapproche de toi, sa main contre ton torse, ses doigts délicat contre ton cœur, qui suis un rythme rapide, elle échange sa main contre son oreille, tu la regarde faire, ta main dans ses cheveux blond. - Mon cœur bat toujours vite quand tu es là. ajoutes-tu alors qu'elle enchaîne avec ses belles paroles et se redresse pour t'embrasser. Elle semble bien, heureuse d'être avec toi, comme tu l'est. Tes mains qui se baladent dans son dos, la serrant contre toi, tu t'attend pas à ses paroles, qui pour toi commence à avoir du sens, tu ne sais pas trop ce que ta belle à derrière la tête. - Continuons alors. murmures-tu contre sa bouche que tu embrasse tendrement, elle semble d'accord et passe au-dessus de toi, une position bien trop agréable. Votre baiser qui s'enflamme, vos langue qui s’emmêlent, ton cœur s'emballe à son tour, pendant que tes mains se balade dans son dos descendant vers ses petites fesses redresser, le short est de trop à ton goût mais pour l'instant tu ne dis rien. Ton corps chauffe, la position de Tess est ambigu, tant d'image et d'idée te viennent à l'esprit. Tu décides alors de la basculer pour venir au-dessus d'elle, malheureusement ça reste une position tout aussi agréable, te voilà entre ses cuisses, ta bouche qui quitte la sienne pour reprendre ta respiration, tes lèvres dévient contre sa joue et dans son cou, tu respire son parfum, hume sa peau porcelaine. Tu as chaud, beaucoup trop chaud.
Tess:
« Aucun soucis à te faire non » que tu réponds à ton bel anglais alors qu'il est dans son lit,son lit qu'il partagera avec toi pendant toute une nuit . Personne ne t'avais rendus si fébrile en un regard. Jamais personne ne t'avais mis en telle difficulté sur où poser le tien. Sur ses épaules ? Sur son torse ? Sur son boxer bleu marine ?Tu as le droit de te le permettre ? Tu es sa petite amie après tout, tu devrais avoir la permission de regarder à quel point il est beau ton Lawrence, à quel point il est magnétique avec son sourire à tomber et ses yeux à vouloir se relever pour mieux en tomber de nouveau à la renverse. Tu le touches, tu vois ta main toute menue sur sa peau légèrement plus halée et voudrait l'imprimer à tout jamais pour que personne d'autre ne le fasse. En écoutant son cœur battre , tu souris « Le mien aussi... » Tu ne veux pas penser au moment où il cessera de battre car en attendant chaque fois qu'il explose dans ta poitrine c'est parce que Lawrence te fait cet effet là. Celui ci décuple de plus en plus à chacun de vos baisers, il est d'accord pour les prolonger mais tu ne sais pas si tu aurais sût t’arrêter s'il t'avait demander le contraire. Tu es bien trop enthousiaste, prenant naturellement place au dessus de lui. Tu es bien plus ardente que tu croyais pouvoir l'être en tant que vierge. Mais l'embrasser est si bon et même si tu ressens toujours la même chose, vous le faites tellement souvent que ta langue sait comment se plier pour mieux caresser la sienne. Tu ne sais pas si tu es une bonne embrasseuse, toutefois il ne s'en plaint pas alors même qu'il t'as tout appris sans s'en rendre compte. Et si à lui , ça lui plait , alors c'est bien suffisant, tu ne veux embrasser personne d'autre jusqu'à la fin de ta vie ! Tes jambes sont écartés au dessus de ses cuisses nues et ses mains sur tes fesses. Tu aime ça, ça te donne des frissons et échauffe tes reins qui naturellement se cambre. Des gestes que personne ne t'a décris mais qu'il provoque . Quand il te plaque doucement au matelas et se met au dessus de toi , tu pousse un long gémissement de surprise . Le son paraît si sensuel à ton oreille que tu rougis sans pourtant cesser de caresser ses cheveux et son dos. Tu le serre contre ta poitrine, petite mais ronde à son torse sans te rendre compte toute de quitte que tes mamelons sont dressés et que le coton ne les cachent pas. C'est seulement à force de frottement , en sentant que ces derniers te font du bien que tu t'en aperçoit. Mais c'est trop tard, tes doigts sont proches de son sous vêtement que tu agrippes, passant tes pouces sous le tissus. Tu sens entre tes cuisses une moiteur qui ne t'es pas étrangère. « Han... Lawrence... » Tes hanches se redressent pour aller à sa rencontre quand tu sens quelque choses entre vous deux. Quelque chose que tu sais définir maintenant. Un autre gémissement s'échappe, tu as peur, peur qu'il l'entende et arrête tout, peur que ça veuille dire trop sur tes envies, sur le fait qu'il t'a fait grandir, murir, devenir une femme avec un vrai désir.
Lawrence:
Tu te sens bien. là, dans ton lit avec ta demoiselle. Tess semble bien aussi et ça te rassure. tout te semble différent avec elle. tu veux prendre ton temps et pourtant ton coeur et ton corps sont déjà bouillant et accroché à elle. tu veux prendre soin d'elle et ne pas la brusquer, que tout se passe bien parce que tu es heureux, parce que tu te sens bien avec elle. une contradiction que tu ne connais pas. tu aurais besoin de conseil, d'aide pour comprendre mais tu ne sais pas à qui t'adresser c'est vrais que dans ce genre de situation ta mère te manque, ses mots pour te rassurer, sa présence.. ton père aussi pourrait t'aider mais parler de ça par téléphone tu n'aimes pas trop. ton amour pour Tess s'agrandis et tu n'arrives pas à tout gérer, ça te semble immense et splendide, comme si ton coeur ne sera jamais assez gros pour tout porter. comme ce soir, là, dans tes bras, contre ton corps. vos bouches entre mêlées, soudées par un baisers sensuel et enflammé. tes instincts d'hommes prennent le dessus, tes mains se baladent sur son corps, ses mouvements sur ton bassin provoque une décharge dans ton organe masculin. c'est bon, trop bon même. rapidement et avec habilité tu te retrouve au-dessus d'elle, entre ses cuisses. ton érection ce forme dans ton boxer, serrer qui ne peut que dévoilé ton envie profonde. ta bouche qui descend dans son cou, ta respiration rapide ainsi que ton coeur. tes mains qui agrippent ses fines hanches et ce glissent sous le tissu pour être au contacte de sa peau porcelaine. tu t'emballes très vite, parce que tu sais ce que tu veux, ce que tu fais, parce que tu n'as pas eu de relation depuis.. longtemps et que ta frustration est réel. tu as envie d'elle, tu as besoin d'elle. tu as chaud et alors que son bassin ce redresse contre le tien, ce frottement contre son short, entre ses cuisses, te fais lâcher un grognement, une pression contre ton érection. ton visage qui descend dans son décolleté, tes mains qui effleurent ses côtes et le contour de ses seins. pourtant ton coeur, ta raison t'empêche d'aller plus loin, plus vite. tu es essoufflé encore par le baisé mais aussi par cette passion et ton envie qui te consume. tu susurre contre sa peau, ton souffle chaud. - Je t'aime. dis-tu de façon si douce, dans un murmure et pourtant tu n'as pas honte, tu redresses ton visage vers elle, pour coller ton front au sien, ta main qui glisse dans ses cheveux, tu sens la chaleur qui sort de sa peau, de son corps. - Je t'aime Tess. dis moi, dis-moi ce que je peux faire.. j'ai envie de toi, je voudrais te faire l'amour mais.. je t'aime, je ne veux pas te forcer. dis moi ce que je peux faire. dis-moi ce que tu veux. ajoutes-tu contre ses lèvres que tu embrasses délicatement, du bout des lèvres, ton regard perçant ancré dans le sien.
Tess:
Une part de toi panique encore, te juge, te raconte à quel point tu devrais mourir de honte d'être ainsi, si … facile, si à l'aise dans les bras d'un homme, à gémir, à te sentir moite et chaude à des endroits qui ne t'avaient jamais apparu comme avec un tel pouvoir, avec un tel besoin présent de quelque chose. Sauf que là, ce n'est pas n'importe quel homme, tu n'aurais pu l'accepter d'un autre que Lawrence. Tout s'emballe dans ton cœur et dans ton cœur à chaque baisers, à chaque caresses et ses mains, larges, grandes, chaudes, qui sont sur tes hanches, sous le tissu de ta nuisette, à quelques millimètres de l’élastique de ton short . La bouche de ton beau petit ami glisse dans ton cou et tes doigts caressent sa nuque pendant que tu ne fais pas le moindre effort pour calmer le tempo de ton cœur. A quoi bon ? Il doit bien savoir l'effet qu'il produit sur toi, même si dieu merci il ne sait pas les fois où c'est tes main qui se sont dissimulés sous tes vêtements avant que tu ne t'endorme, à passer sur ta peau en imaginant que c'était lui. Et même si tu n'avais jamais été jusqu'au point de pulsation entre tes cuisses, sous tes dessous, tu lui devais tout de même entièrement tout tes premiers émois sexuels à deux ou en solo. C'est donc pour ça que tu peux comparer quand il frôle le dessous de tes seins. C'est tellement plus fort que tout ce que tu pouvais te faire innocemment, et tout ce que tu pouvais croire. Tu redresse le bassin et le grognement qu'il en découle de la gorge de Lawrence … t'excites, te donne confiance. Lui aussi ne contrôle pas tout et ça te fait du bien, car même si tu essaies de l'oublier pour ne pas laisser la peur d'être comparé tout gâché, il est bien plus expérimenté que toi. Et pourtant tu le fais se gonfler contre ton bas ventre, tu le fais avoir une réaction si bestiale sous ses allures de doux gentleman que tu aimes tout autant. Il est les deux ce soir et c'est grisant. Mais ce n'est rien encore. Rien par rapport à le sentir contre ta clavicule et rien par rapport à son je t'aime qui te paraît comme venu d'une autre planète, d'un songe, irréel. Ce sont pourtant les syllabes que tu connais, prononcés avec l'accent que tu reconnaîtrais entre milles, la voix que tu entends te raconter des tas de choses dans tes rêves.
De Lawrence tu ne doutes pas, tu ne le crois pas capable de te dire pareil mot juste pour t'avoir dans ton lit puisque tu y étais déjà et de manière plus que volontaire. Tu sens les larmes monter prêt de tes prunelles bleus claires et c'est loin d'être de tristesse. Tu déborde de joie et d'amour pour cet homme alors que ça soit réciproque est la plus belle chose qui aurait pu t'arriver . Tu ne penses pas le mériter, toi la jeune femme à peine sortie de l'enfance et encore tellement naïve et innocente. Quand son regard croise de nouveau le tien, tu veux te promettre de l'être... à la hauteur de votre amour. Car il celui que tu voulais, tu veux être celle qu'il veux et cela ne passe pas par simplement lui dire oui ce soir, cela n'a rien à voir avec le besoin que tu as d'aller plus loin encore.Vos visages collés l'un à l'autre, sa respiration, sa sincérité . Il t'embrasse et la première chose que tes lèvres répondent à sa déclaration c'est un gémissement étouffé. Tu le fixe quand vous vous séparez des quelques millimètres seulement dont vous êtes capables. « Tout...tu peux tout faire... Je t'aime tellement Lawrence. Tellement que ça va me brûler de l'intérieur. Je... » Tu es rouge, tu as chaud, tu trembles quand tes doigts fondent sur sa barbe « Je veux que ça soit toi... que tu me touches, que tu sois le seul ... » Tu as du mal à trouver tes mots, mais tu as dit l'essentiel, tu es fébrile. La lumière qui éclaire la pièce t'éblouit et tu rajoutes timidement « Tu peux fermer la lumière … j'ai... » Honte ? Oui , honte de ton corps trop léger et surtout peur qu'il voit les traces de piqûre que dissimulent tes vêtements. Tu essaies d'attendre toi même le bouton, voit tes frissons et les sursauts que ça provoquent quand tu vous plonge dans une semie obscurité que bien heureusement la Lune sauve. Ainsi tu peux toujours voir la lueur de ses yeux et la façon dont ils t'embrasent. « Je suis à toi Lawrence... pas pour un cadeau d'anniversaire mais pour tout les jours jusqu'à la fin de ma vie si tu veux bien de moi... » Jamais demande de première fois n'aura été aussi solennelle mais tu crois bien aussi que jamais première fois n'aura été aussi importante et belle.
Lawrence:
Jamais tu ne pensais tomber amoureux aussi follement. Tu as eu des histoires, des secrets encore bien caché mais jamais tu n'avais pu aimer une femme aussi fortement, ta mère bien sur mais ce n'est pas le même amour, quoi que les deux soit inconditionnelle. Tess est l'ange dans ta vie, dans ton coeur, elle est ton âme. Tu ne sais pas encore à quel point elle te rend heureux juste en te regardant ou en t'embrassant, la fleur délicate qu'elle représente alors que toi tu es un homme bien plus brut, un être humain plus sauvage. Tu ne souhaite pas l'abîmer, lui faire de mal mais ce soir dans ton lit Tess te rend fou, tes mains sont sage mais elles sont déjà enflammé, désirant bien plus, ainsi que ton corps et ton érection qui s'érige entre ses petites cuisses. Tess peu être la plus belle, la plus douce et la plus attirante, elle reste le démon quand elle t'attire dans ses bras ainsi, elle fait ressortir en toi l'homme fort, l'homme qui à besoin de sexe mais tu l'aimes par dessus tout. tu lui murmure tes pensés, tes sentiments, parce que tu veux pas qu'elle panique en te voyant si proche, si chaud.. elle doit savoir la vérité, que tout ça n'est pas des mensonges, que tu ressens vraiment et sincèrement de l'amour. Elle tremble ta douce, sous ton corps, sous tes paumes. Tu la serres encore plus, tes mains autour de son visage, ton front contre le sien, tu l'écoutes alors qu'elle acceptes que tu lui fasse tout ce que tu veux, elle le veut aussi.. autant que toi. Ton petit sourire contre ses lèvres, tu es heureux qu'elle soit d'accord. Heureux d'être le premier, le seul dans sa vie, dans son cœur et son corps. - Je serais le seul. Personne d'autre ne te touchera, ne t'embrassera.. ne t'aimera plus que moi. murmures-tu en embrassant son visage et descendant lentement dans son cou brûlant. Elle se hisse pour atteindre la lumière et l'éteindre, ça t'embête mais légèrement la lune est là et te laisse entrevoir sa peau porcelaine que t'aime tant. - Jusqu'à la fin de nos vies. répètes-tu en redressant ton visage vers le sien. Tu te redresse, toujours au dessus d'elle mais à genoux, tu attrape les bord de son débardeur. - Laisse moi te découvrir mon cœur. dis-tu alors que lentement tu lui remonte et lui enlève totalement, découvrant cette petite poitrine ronde et parfaite que tu imaginais. tu te mord les lèvres et te rapproche d'elle, ton torse se collant contre ses seins, tu l'embrasses avec fougue, tes mains contre ses hanches, ses cotes effleurant sa poitrine de chaque côtés. Ta bouche gourmande descend contre son cou, son épaules, laissant des centaines de baisers, ta langue jouant aussi avec la chaleur de sa peau, jusqu'à descendre vers son décolleté et sa poitrine, que tu peux ainsi découvrir de ta bouche et de tes grandes mains imposante, capable de saisir un sein dans ta paume, des mouvements doux et tes doigts qui malaxe ses tétons avant que ta bouche s'en occupe.
Tess:
On t'aurais dit il y a un an que tu serais là avec un homme qui dévaste totalement tout ce que tu avais pu penser de l'amour, qui balayerait entièrement les romans ou les films romantiques, qui t’emplirais d'un tel besoin de lui qui te ferait oublier tout le reste, tu n'y aurais pas cru. Mais ce que tu ressens sur ce lit avec lui est indescriptible et loin de ce que tu as pu lire sur le sujet. Tu t'abandonne car tu ne peux faire que ça, car il t'inspire trop de chose, trop de sentiment et d'envie que tu en déborde. Tes mains veuillent aller partout sur son corps, tu as soif d'apprendre. Pas le corps d'un homme, mais son corps à lui. Tu en est encore à t’émerveiller des muscles de son torse, de comment ses omoplates roulent à chaque fois qu'il se penche pour l'embrasser. Alors même si tu crains encore de ne pas être à la hauteur, que ta maladie te retienne , tu crains encore de ne pas vivre cette instant avec Lawrence. Rien que pour le sourire qu'il t'offre, ça vaut de dépasser tout ça. Tes doigts retracent sa bouche pour le mémoriser entièrement avant d'éteindre la lumière . Tu ne veux pas qu'il voit tes marques, que ça brise la magie. « Et je ne laisserais aucune autre femme t'aimer comme moi je t'aime... » Tu fermes les yeux un instant pour chasser les larmes qui te viennent à l'idée tandis qu'il se rappelle à toi, à cette nuit où il n'existe que vous en ce monde. « Pour toujours » Il est au dessus de toi, la lumière joue sur sa peau et le bout de tes ongles osent naviguer sur son ventre, sur l'élastique de son boxer. Tu es timide, lui non et c'est bien heureux car jamais tu n'aurais osé te déshabillé seule. Pendant l'opération, tu prends ta respiration, il découvre ta peau d'albatre , une peau que nul homme n'a vu, jamais, et tes seins, petits mais sensible à l'effleurement du tissus, de son aura bientôt entièrement recouverte de lui. Tu l'accueille encore mieux entre tes cuisses un peu plus ouverte, et te cambre pour augmenter les points de contact. Tu ne sais d'où ça te vient mais tu sais que c'est ce qui est bon pour vous : sentir tes mamelons contre ses pectoraux. Il t'embrasse mais tu n'es pas en reste. Ça vous le pratiquer depuis longtemps, ta langue roule contre la sienne sans la moindre gène et sans devoir te maîtriser comme quelques autres fois où tu sentais cette même chose grandir dans son pantalon. Maintenant à quoi bon au vu de votre situation ? Il te caresse déjà, créant des tas de frissons sur tes flancs qui s'élancent dans ton bas ventre. Ils ne se calment pas quand sa bouche délaisse la tienne pour embrasser ton cou et ta poitrine. Plus rien ne te retiens de gémir. Tu t'entends, entends tes halètements et lorsqu'il s'attaque si délicieusement à tes tétons, tu craques et murmure plus sensuellement son prénom que tu ne l'avais jamais fais. « Han... Lawrence » Il a beau ne pas aimer son prénom, tu l'aimes trop aussi, ça fait partie de lui. Ton genoux remontent sur sa cuisse, jusqu'à ses hanches et tu sens que seul vos bas font encore barrières, que toute votre attitude est déjà trop empreinte de sensualité. Tu sais vaguement ce qu'il se passe , caché sous le tissus mais tu ne sais totalement tout. Pourtant c'est bien sensé être par là qu'avec vos langues, qu'avec vos sexes vous ne ferez qu'un. Tu es curieuse, tu veux savoir et puis tu sais que ça fait plaisir aux hommes, au tien aussi donc par extension. Tu trembles, d'excitation, de plaisir et de peur quand ta main se fraye un chemin sous son boxer, caressant sa peau en dessous , ses fesses, musclées que tu avais eu toi aussi envie d'agripper à de nombreuses séances de baisers enflammés, tu n'oses pas encore mais tes caresses sont bien là avant de venir entre vous sur son bas ventre . Tu frôles le duvet plus doux que tu n'aurais cru, plus accueillant. Tu retiens ta respiration « Je ...je peux ? Avant... » Avant que ça n'entre en toi, tu veux faire connaissance avec l'engin. C'est timide, ton index le parcoure de tout son long , tu ouvres déjà de grand yeux. C'est plus dur et plus grand encore que tu ne pouvais te le visualiser. Tu as aussi chaud que ça l'est dans ta paume. Tu regroupes ton courage pour le prendre en main , le caresser en espérant lui provoquer autant de plaisir que sa bouche ne le fait. « Je ne fais pas … mal ? Si je m'y prends mal... dis le moi... » Tu es impressionnée, sais que dans la logique des choses, cela va entrer en toi.
Lawrence:
Des baisers enflammés, des coups de langues sans retenue, tu suçotes ses seins, ses tétons avec plaisir, tu la sens aussi réceptives alors que son corps ce cambre. Ses gémissements te prouvant son plaisir, tu soupirs chaudement contre sa peau, sa poitrine érigé vers ta bouche. Tu ne veux plus t'arrêter, tu es bien trop excité pour que tout s'arrête mais évidemment si ton ange décidais de changer d'avis tu n'irais pas plus loin, oubliant ton plaisir pour cette nuit. Tu es bien trop respectueux de Tess pour la forcer à quoi que ce soit. Tu lui as promis d'être doux et tu le sera même si le plaisir est déjà très intense, le plaisir charnel est souvent fort mais avec de l'amour et des sentiments tout est développé. Tes mains qui s'aventurent dans des endroit encore inconnu, des parcelles que tu osais pas encore touché avant ce soir, ses seins, sa gorge si fine sous tes doigts puis lentement son bas ventre et le reste du bas encore caché par le tissu infernal de son short. Pas d'empressement tu attends qu'elle prenne ses marques elle aussi avec ton corps, elle n'attend pas pour venir glisser ses petites mains sous ton boxer, côté de tes fesses, l'effet est bien trop agréable, alors qu'elle parcours ton bassin pour venir vers ton bas ventre, l'objet tant redouté par ta demoiselle. Tu remonte tes baisers vers son cou, sa nuque puis contre son visage, pour ne pas qu'elle soit trop crisper tu embrasses tendrement ses lèvres alors qu'elle te demande si elle peu toucher avant, avant que tu sois en elle. - Oui, tu peux mon cœur. dis-tu alors qu'elle effleure ton érection encore plus grosse qu'il y a quelques minutes, ton plaisir augmente à chaque seconde et elle peu le sentir dans sa paume désormais, sa main dans ton boxer, ses doigts qui te touche entièrement alors qu'elle commence timidement par te toucher, te découvrir. Elle le prend en main, faisant des mouvements, débutante elle as pas besoin de faire grand chose puisque ton plaisir est déjà très grand. Tu n'as rien fait depuis des mois alors évidemment que de simplement mouvement s te suffisent surtout venant de Tess. Tes mains posé autour de son visage contre le lit, légèrement redressé au-dessus d'elle, tu soupirs, ton corps et tes muscles ce crispe. - Non.. non c'est.. c'est très bien mon bébé ! dis-tu en souriant doucement avant de te pencher pour l'embrasser tendrement. - ça.. ça me fait beaucoup de bien. murmures-tu en te mordant la lèvre, tu te baisse légèrement pour te soutenir sur ton avant bras. D'une autre main tu caresse ses cheveux, son visage. - Laisse moi te faire plaisir aussi. dis-tu en descendant ta main droite contre ta poitrine, saisissant un seins au passage puis tu descend encore plus bas, le bout de tes doigts effleurant son nombril et son bas ventre. Tu arrive à la limite de son short, tu joue un peu avec avant de glisser ta main à l'intérieur caressant sa peau toute douce, ses cuisses déjà écarté pour te recevoir, tu as la place pour venir la caresser entre ses lèvre intime, tes grand doigts découvrant son clitoris et le reste de son intimité, elle est chaude, humide ça te rassure. Tu commence alors à caresser le petit bouton gonflé de plaisir.
Tess:
Tu soupires, tu trembles, tu aimes ça . Bien trop peut être pour une première fois mais ta peau, ton souffle réagit instinctivement sous ses doigts et sous sa langue . Il sait y faire, il est expérimenté mais ce soir au lieu de t’effrayer tu te raccroche à l'idée que pour lui non plus ça ne peux pas être anodin. Si il t'aime au moins à moitié que ce quoi tu l'aimes, ça ne peux qu'être unique. Tu te laisses donc porter par tes désirs, toi aussi part à la découverte de ce corps d'homme, est surpris par à quel point il peux être doux et dur à la fois. Sans doute que tu es maladroite, que d'autre ferait mieux que toi mais tu es certain que personne n'a jamais voulu plus lui plaire, lui faire plaisir et mémoriser le moindre des centimètres de son être et la moindre expression de son visage. Il est au dessus de toi, tu vois les muscles de ses bras se bander et sa mèche folle retomber sur son front et souligner son regard. Cette façon de te regarder et te sourire te fait pousser un autre gémissement et tendre ton bas ventre en avant vers lui. Il est tellement sexy comme ça que ça en est criminel. Il t'encourage, ne simule pas... enfin tu ne crois pas... ça prends encore plus d'ampleur. Tu en découvre les différents reliefs, prends courage pour courir sur la hampes avant de trouver le gland attrayant aussi même si la façon dont il s'humidifie est à la fois excitante et effrayante. Rien que le fait qu'il soit avec toi te rends toute chose mais quand son visage parfait se rapproche encore et qu'il veux s'occuper de toi, tu papillonnes tes longs cils en le fixant, ne sachant ce qu'il va faire ensuite. Tu ne cesses de ne te le demander tout en crevant d'envie en le sentant sur tes seins, sur ton ventre et sous ton short. Aucune autre barrière ne l'y attends si ce n'est ta pudeur. Toutefois cette dernière est en veille, bien trop émoustillée. « Hum... » Tes lèvres forment un timide sourire pendant que ta main libre s'accroche à son épaule. « Oui... vas y » Tu sais qu'à la moindre réelle hésitation, et combien même cela lui coûterait, il arreterait. Tu as un peu honte de savoir qu'entre tes cuises, il te trouve humide et plus que consentante. L'effet est immédiat dès qu'il touche les domes gonflés de ton intimité. La chaleurs, les coups de foudres qui parcourent tes veines, c'est de pire en pire à mesure qu'il est précis. Tu ne reconnais plus la façon dont tu soupires, et encore moins celle dont tu gémis . Tu commences à cacher ta bouche avec ta paume libre, la seconde toujours active sur lui. Mais plus Lawrence fait progresser ses doigts plus il est difficile de t ' étouffer, de te cacher et de respirer. « Bébé... » Le plaisir est partout en toi. Il monte de plus en plus fort, tu ne sais pas où il peux s’arrêter, si il doit même s’arrêter. « Han.. . Han... » Puis elle est là, la jouissance qui te fait perdre pied, qui te fait tout oublier et lâcher le sexe de ton homme pour t'accrocher à son cou, comme si il te sauverait de tout de toute façon . De tout sauf de ta descente vers les abîmes du plaisir. Tu te cambre et t'agite contre lui avant de crier son prénom en étant coller contre son corps avant de retomber mollement sur son matelas, la bouche entre ouverte, et les yeux écarquillés. Le temps s'étire et passe trop vite à la fois avant que cette bouche ne veuille de la sienne. Tu attrapes de nouveau ses cheveux pour le forcer à venir t'embrasser. Tu ne veux plus respirer autre chose que son oxygène tandis que tu te plaques à lui, ton short mollement au niveau de tes genoux , on peux presque dire nus l'un contre l'autre. Tu palpites de l'intérieur, tu le veux et ta langue le lui dit avec ardeur.
Lawrence:
Tu connais que trop bien l’obscurité du plaisir charnel, l’envie de l’autre. Tu connais mais tu as l’impression de tout redécouvrir avec Tess, cet ange que tu as entre tes doigts, tu l’entends gémir ton prénom, souffler des gémissements qui ne fais qu’augmenter ton plaisir et ton envie d’elle. Tu as envie de lui faire découvrir le plaisir de la chair, l’envie profonde de ne fais plus qu’un avec la personne qu’on aime. Tes grandes mains qui découvrent son corps nu, sa peau porcelaine qui glisse sous tes phalanges comme de la soie. Ton corps qui surplomb le sien, plus petit et frêle qui te donne tant envie. Elle te touche aussi, découvre chaque centimètre de ta peau, de ton corps et tu la laisse faire avec joie, ta peau qui réagis à chacune de ses caresses, des frissons qui apparaissent comme si personne ne t’avais touché avant elle. Tu te soutiens d’une main contre le matelas pendant que l’autre part à l’aventure sur les formes de ta bien aimé. Tu avais bien trop imaginé cette instant, sentir ses courbes sous tes doigts alors que tu ne pouvais que les imaginer sous les couchent de vêtements. Tu veux qu’elle se sente bien, heureuse et que son s’épanouie grâce à toi. De son côtés ses agissements sur ton sexe t’offre un plaisir immense et elle peut le sentir grossir entre ses doigts, plus ses mouvements se font lent ou rapide et plus ton plaisir augmente et pourtant tu t’occupes aussi d’elle du mieux possible. Tes doigts qui trouvent l’humidité entre ses cuisses, son bouton de chair gonflé que tu caresses et tille sans scrupule. Tu comprends la réaction de Tess alors que son plaisir s’accroit sous tes caresses, tu souris et te rapproche d’elle alors qu’elle enlace ton cou pour s’agripper contre toi. Ton corps qui se colle contre le sien, vos corps nus et ardent, ton visage contre le sien alors que tu la sens tremblante, ses gémissement alors qu’elle commence à atteindre sa première jouissance. Elle éclate contre tes doigts et son corps si petit se met à trembler, tu retire ta main pour la laisser reprendre ses esprits, tes doigts glissant contre sa hanche elle attrape tes cheveux et t’attire contre elle, sa bouche qui possède ardemment la tienne, sa langue qui attire la tienne dans un baiser enflammé. Ton corps qui se frotte contre le sien a la perfection, comme si vous étiez fais pour être l’un contre l’autre. – Passons aux choses sérieuses ! Murmures-tu contre sa bouche pour reprendre ta respiration, ton sourire toujours présent contre tes lèvres, tu te redresse légèrement et te penche vers ta table de nuit pour sortir un préservatif, tu aimerais faire sans mais tu ne veux prendre aucun risque, peu être dans quelques temps. A genoux face à elle, tu lui enlève son short aussi pour ne pas qu’il vous encombre trop. Tu déchire l’emballage et commence à te vêtir de ce préservatif, tu es encore très dur et gros, tu espères ne pas trop effrayer Tess. Tu te rapproche d’elle, entre ses cuisses encore ardente, tes mains autour de son visage tu l’embrasses tendrement. – ça va aller mon cœur, doucement ! Dis-tu pour la rassurer, elle est tellement humide que ça devrais aller sans problème. Tu te place correctement, avant de commencer à glisser en elle, lentement ton gland puis le reste légèrement attendant une réaction tu es près à tout arrêter si elle à mal ou si elle change d’avis. Une main contre son visage l’autre te soutenant contre le matelas, tu ne la lâche du regard.
Tess:
Tu veux tout savoir de lui, ça te bouffe de l'intérieur. Tu veux le caresser, lui faire plaisir. Il est ton premier et tu es persuadée que ça sera le seul... C'est dément de penser chose pareil et ce n'est pas juste car tu es persuadée que ta vie sera écoutée de dizaines années par raport aux autres femmes. Ni à cause d'une idée romantique désuéte comme quoi une femme ne doit connaître qu'un homme. Non c'est car tu l'aimes, tu l'aimes tellement que ça passe par le moindre pore de ta peau qu'il caresse, le moindre soupire qui le lui déclare à mi mot et chaque gémissement qui l'inscrit dans sa tête pour qu'il ne l'oublie jamais, qu'il ne t'oublie jamais. Tu ne veux cette osmose qu'avec lui et il n'y aura qu'avec lui qu'il te poussera dans cette situation où ses doigts te font du bien, tellement de bien que tu n'arrives plus à te contrôler totalement. Tu voudrais encore découvrir l'effet que ton poignet lui procure mais ce que tu ressens est trop pour toi. Ce plaisir qui monte, cette respiration haletante que tu voudrais pouvoir stopper pour ne te concentrer que sur cet orgasme . C'est trop fort pour toi et tu t'accroches à ton petit ami, seul point de repère que tu acceptes. Et quand ça implose tu te retrouves comme transportée ailleurs mais toujours avec lui , seulement lui. C'était entre tes cuisses que c'était censé être mais ça s'était propagé tellement vite que la moindre extrémité de ton corps s'était raidie. Tu avais du mal à retrouver ta respiration et le simple fait qu'il retire ses doigts de toi te donne l’impression d'être vide... Tu as besoin de lui et c'est en l'embrassant follement que tu l'exprime. Son odeur est partout autour de toi et tu as l'espoir dingue de te dire que si il était en toi, il imprimerait son odeur à tout jamais . Si seulement c'était vrai... ou sinon elle se résoudra à revenir vite peau nue contre peau nue contre lui, car son torse contre ses mamelons dressées était électrisant. Quand il quitte tes lèvres, tu sais la suite des événements, il te le dit à demi mot avec un sourire. Tu pourrais avoir peur de nouveau mais impossible désormais. Tu es préparée à la douleur, elle t'importe peu : tu le veux plus que tu n'as jamais voulu quoique se soit. Tu veux être à lui. Il prends dans sa commode un préservatif et tu éloignes l'idée qu'il doit y en avoir depuis sa vie de célibataire avec d'autre femme. Tu ne veux pas penser aux autres qu'il a pu enlacer ici. Lawrence retire ton dernier vêtement et tu le suis du regard jusquà se poser sur son sexe.Tu déglutie difficilement... il est tellement épais... C'est ce que tu avais dans la main quelque minutes plus tôt mais c'est désormais pire et c'est censé aller... là, au creux de toi. Tu respires un grand coup et passe tes mains sur les biceps de ton amant, sa chaleur seule peux t’apaiser. Il se place, entre tes cuisses . Tu es étonné d'à quel point tu dois les écarter pour lui laisser la place, ça t'intimiderait si il n'était pas là en rempart de ta pudeur. Tu hoches la tête « Oui ça va aller... avec toi... » Tu attends, le sens venir en toi … C'est d'abord très étrange puis douloureux... Il perce la fine barrière de ta virginité . C'est rapide mais aiguë. Tu as l’impression que ton antre est comme à vif quand il avance mais ce n'est pas intolérable... juste désagréable. Tu grimaces un peu en fixant le plafond, tu ne veux pas qu'il arrête, qu'il se retire . Mais tu sens quoiqu'il en soit son regard bleu sur toi, qui t'attire comme un aimant. Il est désormais tout au fond... Vous ne faites qu'un. Toi et l'homme que tu aimes. Tu sens les larmes s'échapper de tes yeux pour se perdre sur ta joue et sur la main du bel anglais mais tu souris en retrouvant le courage de l'admirer, plus beau que jamais. « Je suis à toi...enfin... » L'émotion est telle que ton cœur ne s'en remet pas, tu caresses sa barbe, ses épaules, l'encourage à continuer « Fais moi l'amour... je t'en supplie. » Tu veux le sentir encore plus, tu as confiance. Il est tendre, il ne te brusque pas . Tes chairs commencent à se faire de plus en plus à lui et même si tu ne ressens pas tout à fait les mêmes choses qu'au climax précédent, la douleur s'enfuit pour laisser place à un plaisir différent : celui de l'appartenir, de savoir qu'il te veux, qu'il t'aime, que ton corps peut l'accueillir autant que ton âme semblait déjà le faire. Ta respiration chaude le caresse, tu te cambres, ton ventre plat allant contre le sien. Mais tu sens qu'il te ménage, qu'il pense trop à ne pas te faire de mal, et se délaisse lui . Il en est hors de question. Tu attrapes son visage et l'embrasse , murmure « Continue... ne te retiens pas, je te veux telle que je t'aime... entier mon amour... »
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Sonorus
Mer 23 Oct - 15:34
Lawrence Willis
J'ai 28 ans et je vis à wauwatosa, usa. Dans la vie, je suis psychologue dans le service pédiatrie de l’hôpital et je m'en sors plutôt bien maintenant . Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple avec un ange et je le vis plutôt très bien. Informations supplémentaires ici.
nicholas hoult :copyright:️creationsbonbons.tumblr
le meilleur moment pour toi, certainement de toute ta vie. tu n'as jamais étais aussi amoureux. cet ange qui fais désormais partie de ta vie. tu l'aimes bien trop pour lui faire du mal, bien trop pour la forcer à faire quoi que ce soit contre son grès. tu préfères prendre ton temps, chaque instants avec elle compte plus que tout, chaque baisers, chaque caresses tu veux t'en souvenir pour toujours. ce moment, ton anniversaire mais aussi cette nuit sera marqué à jamais dans ta mémoire et dans ta peau. tu es heureux, enfin ça ne t'étais pas arrivé depuis la mort de ta mère, ta rencontre avec la petite blonde à tout changer dans ta tête et dans ton coeur. tu n'avais pas vraiment prévu les trois quarts de cette soirée, tu voulais juste la passer avec ta chérie et personne d'autre, des messages de tes amis, de ton père pour te souhaiter un bon anniversaire te suffis amplement, par contre tu veux être avec Tess. Tu la connais et tu sais qu'elle à toujours des idées incroyable pour te faire plaisir mais le fais qu'elle décide de rester pour la nuit et pour toi le meilleur des cadeaux. sans arrières pensés évidemment, tu étais juste heureux de pouvoir la garder plus longtemps contre toi, la prendre dans tes bras et sentir son parfum pendant des heures. De plus qu'elle ose te donner sa virginité ce soir là étais encore loin d'être ce que tu avais prévu, non tu n'as jamais demandé ce cadeau même si tu ne peu refuser, c'est un moyen pour toi de lui prouver ton amour et évidemment tu étais assez en manque pour ne pas pouvoir te contenir plus longtemps. son corps sous le tien, sous tes lèvres, tes mains, tu prend le temps de la découvrir, lui montrer qu'elle ne risque rien. elle le sait très bien mais elle mérite le mieux pour sa première fois. te voilà entre ses cuisses puis en elle, tu te sens bien, au chaud même si elle est étroite mais c'est normal. tu prend ton temps, tu caresses son visage, son corps, tu sens une larmes contre tes doigts, ça t'inquiète mais quand tu vois son sourire, ses mots qui te rassure, elle est heureuse autant que tu l'es. - tu es a moi, pour toujours. murmures-tu contre sa bouche, avant de l'embrasser avec passion et tendresse. Tu restes doux, tes mouvement débute sans pression, tu es lent mais ça te plaît, pourtant tu te retient encore pour elle, même si ton plaisir est déjà là tu ne veux pas l'effrayé ou lui faire mal et Tess le ressent. Elle te demande de ne pas te retenir, de faire ce dont tu as envie. tu lui souris tendrement, lui faire l'amour voilà tout ce que tu veux, tu t'en fiche, c'est votre première fois tu veux prendre ton temps et le plaisir est déjà assez élevé. Tes mouvements deviennent plus fluides, tu t'enfonces en elle plus facilement, tu sens son corps se relâché, elle à moins mal tu le sais, elle s'habitue à toi et elle commence à prendre plaisir. Tes gémissements alors que tu enfouis ta tête dans son cou. - Anh.. tess ! murmures-tu dans un gémissements, doux et délicat, ton souffle chaud et profond contre sa peau, son odeur qui t'enivre. tout est bien pour t'amener à l'orgasme, après tant de temps d'attente.
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Miaka
Jeu 24 Oct - 0:30
Tess Allen
J'ai 20 ans et je vis à Wauwatosa, usa. Dans la vie, je suis bénévole à l'hopital et je m'en sors car je vis encore chez mes parents hyper protecteur à cause de ma maladie. Sinon, grâce à ma chance, je suis follement amoureuse et je le vis plutôt bien.
elle fanning@carole71
Est ce que si quelqu'un te demandait ce que tu as offert à ton petit ami pour son anniversaire tu rougirais désormais à chaque fois ? Oui, c'est une évidence que tu n'es pas certaine de ce que ça veux dire sur toi d'offrir ainsi ta virginité. Mais en vérité peu importait la date, c'était juste devenue une évidence que ta peau devait être contre la sienne, que vos baisers devaient se prolonger dans une étreinte encore plus intimes car ce désir en toi d'être à lui, de l'avoir pour toi toute une nuit devenait plus ingérable de jour en jour depuis le début de votre relation. Tu sais que jamais tu ne le regrettera car il est parfait, car la façon dont il a de te caresser, de te regarder, de te mettre à l'aise, de t'attendre n'a de cesse de te rappeler la chance que tu as de l'avoir rencontré, qu'il rende ta vie plus belle et que tu serais la plus heureuse qu'il se rappelle de toi ainsi, jusqu'à ce point culminant de ta jeunesse et de ta beauté.
Tu soupires de plaisir en le sentant entre tes cuisses. C'est une sensation si bizarre. Il est un étranger et pourtant ton corps lui fait une place comme si il était déjà sien. Lorsqu'il te dit que tu es à lui, pour toujours, tu ne le nie pas. Tu étais à lui avant même de croiser son regard, tu ne sais pas comment, tu ne sais pas quand ça a commencé mais c'était écrit. Son sourire te fait fondre de l'intérieur quand il écoute ta requête , patiemment, continuer d'aller et venir mais sans plus de presse dans une tendresse que tu ressens à chaque souffle. La douleur s'enfuit petit à petit, tu sens qu'il a de moins en moins de mal à aller au fond de toi, tu apprends à reconnaître cette partie de son anatomie dans les moindres détails alors qu'il est dissimulé entre tes chairs. Tu aimes ça, tu l'aime, lui, son cœur, sa voix, son corps. Tes doigts s'agrippent à son dos, à ses omoplates puis à son cou quand son visage se cache dans le tien. Tu le serres si fort contre toi, sans plus te préoccuper que tes seins soient sans pudeur contre son torse, que son simple contact te fait frémir. « Law... je t'aime tellement hmm... » Tu n'es pas habituée, tu ne connais pas les signaux d'alerte si bien que la jouissance de ton homme te surprends. Il y a ce préservatif entre nous mais tu sens la chaleur, tu sens qu'elle serait faite pour toi aussi. C'est si merveilleux, si bon. Tu n'as pas cette nué d’étoile filante qu'on décrit dans les livres mais assurément tu es au septième ciel, d'une autre façon, plus durable, tout aussi folle. Vous restez un petit moment ainsi, à reprendre votre respiration. Tes doigts de pianiste toujours sur sa peau ou dans ses cheveux. Tu voudrais que ça ne s’arrête jamais, que rien au monde ne vous tire de cette bulle où même les mots sont inutiles. Vos visages se retrouvent de nouveau face l'un à l'autre et tu passes ton index le long de sa pommette, de sa joue, de sa bouche avant de lui sourire et l'embrasser. Tu ne fais plus le compte de vos baisers, mais ils ne s’arrêtent même pas quand il se défait de tes jambes. Tu ne prêtes pas attention à ce qu'il fait, ce qu'il jette, non. Tu gardes juste tes bras autour de sa nuque et le ramène de nouveau à toi pour t'y blottir. Vous trouvez le sommeil paisiblement même si tu sens que tout ton corps est encore bouleversée par ce qu'il vient de vivre. C'est ainsi que tu voudrais t'endormir pour le reste de ta vie.