Le Temps d'un RP
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LE TEMPS D'UN RP

D'aventure en aventure {+18}

Shirva
Messages : 6
Date d'inscription : 20/02/2024
Crédits : Pinterest

Univers fétiche : Fantastique / steampunk
Préférence de jeu : Homme
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Shirva
Mer 21 Fév - 15:12
Le contexte du RP
Mise en situation

La situation
Le RP se passe dans un univers Steampunk. Nous suivrons la rencontre et l'aventure de deux enquêteurs, et découvrirons avec eux, petit à petit, ce monde et ses particularités.

La première aventure commence à Grosbois-en-Plaine, un canton rural, qui compte environ 10 000 âmes. Les trois-quart habitent dans les campagnes environnantes, travaillant dans l'agriculture (céréales, maraichages, fruiticulture, etc...). Peu de gens très instruits ou riches par ici donc, mais il s'agit d'un des principaux greniers du pays, il ne faut donc pas en négliger l'importance.

Les protagonistes se rendent dans l'une des plus grandes métropoles du pays, Mazenc, avec qui les échanges commerciaux sont réguliers.

Contexte provenant de l'univers steampunk en général.
Shirva
Messages : 6
Date d'inscription : 20/02/2024
Crédits : Pinterest

Univers fétiche : Fantastique / steampunk
Préférence de jeu : Homme
Valise
Shirva
Mer 21 Fév - 15:23

Niels Grant
J'ai 28 ans et je vis par monts et par vaux. Dans la vie, je suis enquêteur privé et je m'en sors plutôt bien (je n'me plains pas, les affaires marchent en ce moment). Sinon, je suis célibataire mais pas solitaire et je le vis plutôt bien.

Informations supplémentaires ici.
Un Jeudi matin comme tant d’autres dans le port aérien du petit canton de Grosbois-en-Plaine. Malgré la taille restreinte de la bourgade, les marchandises agricoles devaient transiter jusqu’au plus grandes métropoles afin de les nourrir. Aussi, sur les cinq quais, quatre d’entre eux étaient en ce jour prévus pour transporter des céréales et fruits récoltés dans les larges plaines parsemant les alentours.

Niels Grant s’avançait sur le pont du cinquième quai. A chacun de ses pas sur le ponton de bois, il pouvait sentir son poids et le vent faire balancer légèrement les lattes sous ses pieds. Certains gamins derrière lui attendaient avec impatience que les adultes passent pour pouvoir tester la limite de solidité de la passerelle. Heureusement pour tous, malgré les sauts de ces garnements, l’édifice n’était pas prêt de céder.

Arrivé devant le contrôleur, bien engoncé dans son uniforme bleu marine et doré, Niels lui présenta son billet. De taille moyenne, l’homme de bord leva une tête circonspecte, voire légèrement craintive, vers ce grand bonhomme qui lui faisait face. Du haut de ses presque 2 mètres, avec un visage anguleux et une expression dangereuse au fond de ses pupilles bleu foncé, il était certes un homme impressionnant. Surtout qu’il avait une carrure ne laissant pas place au doute : dans un 1 contre 1, il avait un avantage incontestable.  
Son billet poinçonné rapidement, il le récupéra avec un sourire qui se voulait rassurant envers le contrôleur. Pauvre homme, il avait encore une centaine de personne à faire passer, heureusement cependant que les bourgeois étaient déjà arrivés les premiers. Ces gens n’aimaient pas vraiment se mélanger avec les ouvriers et autres pauvres hères qui n’avaient pas accès au pont supérieur de l’appareil. Niels, malgré son arrivée tardive, prenait toujours l’accès total. Il aimait pouvoir profiter du bar qui était normalement à disposition de la classe supérieure. Ses habits ne le laissait pas tout à fait paraître, mais ses revenus étaient largement suffisant pour lui permettre ce genre de petite folie. Tout comme l’achat de belles armes. Le pistolet ouvragé et les deux dagues qui se cachaient sous son long manteau mi-saison pouvait en témoigner. Mais personne n’avait encore pu les voir. Elles étaient autorisées quasiment partout, même si l’utilisation des armes à feu étaient interdite dans ce genre d’appareil. Pour des raisons somme toute logiques.

« Départ pour Mazenc dans 20 minutes. »

La voix féminine qui s’élevait des hauts parleurs commençait le laïus qui accompagnait l’embarquement et le départ de l’appareil. Tout en se frayant un chemin jusqu’aux escaliers, Niels glissa derrière son oreille une mèche blonde qui avait profité du vent pour s’échapper de son chignon.

« Le temps devrait se maintenir couvert durant tout le trajet. Des rafales de vent sont à prévoir pendant la traversée des grandes plaines, nous demandons à nos passager de ne pas se rendre sur les ponts extérieurs avant que nous n’ayons atteints le lac Cathare. »

Le grand blond eut un rictus. Il y en aurait toujours pour braver les consignes. Lui irait profiter du spectacle via les grandes fenêtres disponibles ça et là. Ou peut-être essaierait-il de capter quelques conversations intéressantes parmi les passagers de toute catégorie. Après tout, si il se rendait à Mazenc, ce n’était pas pour des vacances. On l’avait invité à venir enquêter sur un crime suspect sur une personnalité politique de la grande ville. Sa réputation le précédait dans le milieu, et ce n’était pas la première fois que l’on faisait appel à lui. Trop irrévérencieux et indépendant pour faire parti de la police, mais trop doué pour qu’on essaye de renier ses qualités, Niels allait d’aventure en aventure, de port en port, au gré des missions que l’on voulait bien lui confier et qui alimentaient sa petite renommée. Celle-ci ne s’étendait que peu dans les cercles civils, mais petit à petit, il tissait sa toile.
Arthécate
Messages : 1322
Date d'inscription : 14/07/2023
Crédits : Lorène Barioz

Univers fétiche : Med-Fan, même si je peux jouer sur n'importe quel contexte
Préférence de jeu : Femme
Totally Spies
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Arthécate
Mer 21 Fév - 16:37

Elisabeth Meyer
J'ai 26 ans et je vis à Mazenc>. Dans la vie, je suis médecin légiste et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma mes parents, je suis fiancée et je le vis plutôt bien.

Informations supplémentaires ici.


Son livre posée sur ses genoux, le regard de la jeune femme se perd dans la foule. A ses yeux, il n'y a pas meilleure occupation que celle-ci. De par leur posture, leur regard ou même leurs vêtements, tous ces gens ont des choses à raconter. Une histoire silencieuse qu'Elisabeth prend plaisir à inventer au gré de ses observations ou seulement de ses envies.

Le voyage est long depuis Azen. Très long même. Et même s'il ne lui tarde pas réellement de retrouver les siens, elle reste impatiente d'en finir avec les aéronefs. Ce retour aurait dû avoir lieu au printemps, pour officialiser ses fiançailles avec le fils Peterson. Néanmoins, une affaire urgente avait forcé son père à la rappeler plus tôt que prévu. Un meurtre, selon sa lettre … Ou, tout du moins une mort des plus suspecte nécessitant son “expertise”. Elisabeth doute fortement que sa présence soit réellement indispensable. Après tout, Mazenc abrite tout un florilège de médecins– légiste ou non d’ailleurs– tout à fait capables de mener à bien cette fameuse expertise. Néanmoins, en bonne fille, elle n'avait point cherché à discuter et s'était empressée d'acheter ses billets.

Au bout de plusieurs heures de voyage, la demoiselle en a assez de rester assise sur son fauteuil. Ses jambes habituées à une posture plus verticale en ont assez. Elle se lève donc afin de faire quelques pas. Il s'agit là de la toute dernière partie de ce voyage qui la ramène dans le nord du pays. Ces terres affreusement plates, sans cesse balayées par les vents et la pluie. Le sud et son soleil lui manquent déjà…

Toute à son exercice, la jeune femme n'en reste pas moins observatrice. Il y a là des familles entières… Des parents qui discutent, des enfants qui se pressent contre les larges baies vitrées pour observer le paysage qui s'éloigne… Et au milieu d'eux, un homme gigantesque portant des vêtements des plus étranges… Curieuse, Elisabeth l'observe longuement, les bras croisés sur son corsage bleu roi assorti à ses yeux.

Et puis… Un hurlement strident retentit dans son dos. La jeune femme se retourne, cherchant d'où peut bien provenir ce bruit quand ses yeux se posent sur le petit attroupement qui s'est formé autour d'un corps reposant entre deux rangées de sièges.

Je croyais qu'il dormait ! s'écrie une jeune femme tremblante et au regard fuyant. Il semble évident que c'est elle la propriétaire de ce hurlement épouvantable.

Permettez ? lance Elisabeth de sa voix calme. Je suis médecin, j'aimerai l'ausculter…

Quelques regards surpris se posent sur elle, mais la jeune femme ne s'en offusque guère, elle a l'habitude. S'il y a de plus en plus de médecin femme, elles restent minoritaire au sein de la population médicale. En campagne, plus qu'ailleurs.

Pourtant, l'on s'écarte pour la laisser s'approcher…L'homme est atrocement pâle, livide… Ses veines sont parfaitement visibles sur l'intérieur de ses poignets et ses orbites creusées. A l'évidence, cet individu est mort et ce… depuis plusieurs heures déjà. Le regard de la légiste glisse alors sur les jambes du cadavre afin de lui retirer ses chaussures. Le sang s'est forcément accumulé sous ses talons, de même que sous son séant… Mais avec autant de monde autour, il est plus aisé et respectable de retirer les chaussures du mord que son pantalon… Néanmoins, c'est avec surprise qu'elle constate qu'il n'en est rien… Pas de peau violacée attestant cet amas de sang coagulé parfaitement caractéristiques… Ainsi, elle réalise que la mort est bien plus récente qu'elle ne l'imaginait lors de ses premières observations…

Personne ne peut rien faire pour ce malheureux, soupire-t-elle avant de se redresser. Faites immobiliser l'appareil parce qu'il ne s'agit certainement pas d'une mort naturelle.

Shirva
Messages : 6
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Crédits : Pinterest

Univers fétiche : Fantastique / steampunk
Préférence de jeu : Homme
Valise
Shirva
Sam 24 Fév - 15:36

Niels Grant
J'ai 28 ans et je vis par monts et par vaux. Dans la vie, je suis enquêteur privé et je m'en sors plutôt bien (je n'me plains pas, les affaires marchent en ce moment). Sinon, je suis célibataire mais pas solitaire et je le vis plutôt bien.

Informations supplémentaires ici.


L’enquêteur pouvait très bien sentir les regards inquisiteurs à son encontre. Depuis longtemps, depuis qu’il dépassait la majorité de la population d’au moins une tête, il savait qu’il attirait une certaine curiosité. Il tâchait de rester avenant pour ne pas donner mauvaise impression, mais sans l’être trop non plus, ne souhaitant pas que son attention soit accaparée par une seule personne. Bien qu’il soit capable de participer à une conversation tout en ayant une vue d’ensemble sur ce qui l’entourait.

Aujourd’hui pourtant, personne n’était particulièrement venu vers lui. Niels avait pu commander son whisky sec et s’accouder au bar en tournant le liquide ambré dans son verre. Il en profitait pour écouter la conversation de deux hommes derrière lui. Eux aussi étaient venu chercher un rafraîchissement. Ou peut-être avaient-ils fuis leurs épouses, deux mégères qui les torpillaient du regard en s’échangeant des messes basses.

« Je ne peux pas croire qu’on laisse des freluquets prendre des décisions maintenant ! Plus rien ne va dans ce bas monde mon pauvre Henry »


Le premier avait un ton outragé en parlant de ces dits freluquets. En tous cas, quelqu’un qui évoque des prises de décisions, ça pouvait avoir un lien avec ce qui l’attendait à Mazenc. Ou pas, il fallait qu’il garde cette information au chaud. Malheureusement, les deux hommes ne restèrent pas plus longtemps et ces bribes n’étaient pas suffisantes pour l’aider. Niels tenta d’obtenir d’autres informations en déambulant dans les alentours du bar, mais à part les potins du gotha, rien à tirer. Malgré tout, ces potins pouvaient lui être utiles plus tard, ne serait-ce que pour faire chanter certains.

Une fois le lac Cathare passé, l’intérieur s’était un peu vidé, surtout de ses plus jeunes passagers. Ce qui n’empêcha pas une chose tout à fait étrange de se produire. Un hurlement, un cadavre, un médecin des plus inattendus. Le grand blond restait en retrait pour l’instant, scrutant la foule, cherchant un comportement suspect. Le pauvre type pouvait tout aussi bien s’être fait lâché par son cœur, mais les tripes de l’enquêteur lui soufflaient qu’il devait rester alerte. Niels notait alors la bourgeoise derrière son fils ou son gendre qui avait peine à cacher son intérêt morbide derrière une horreur geinte. Ou bien le calme bien trop stoïque d’un des majordome de la compagnie aérienne. Tout autant que les regards de lapin chassé que lançait à droite et à gauche un homme d’âge avancé. Ces observations, ainsi que d’autres qu’il avait capté, il les garda bien en mémoire.
Il se décida d’intervenir enfin lorsque la jeune femme qui examinait le cadavre demanda à immobiliser l’appareil. Malheureusement, ce genre de zeppelin n’était pas fait pour rester en vol stationnaire sur une trop longue durée. Niels savait qu’en plus les transporteurs chargeaient seulement le charbon minimum requis pour faire le voyage. L’enquêteur quitta donc son poste d’observation et sa prise de parole lui amena l’attention de la foule.

« Je crains qu’immobilier l’appareil en plein vol soit compliqué Mademoiselle. Et dangereux. Empêcher quiconque de sortir me paraît plus approprié. »

Le grand blond sorti de son manteau sa licence gouvernementale. Une plaque argentée avec le symbole de la justice qui y prenait la majorité de la place. Tout enquêteur privé se devait d’avoir passé un examen et des entretiens avec les autorités avant de pouvoir exercer. Aussi, l’objet était preuve de son sérieux et de sa capacité à avoir certaines prérogatives semblables à celles de la police.

« Niels Grant, enquêteur privé, je vous demande à tous de garder votre calme. Que ceux qui ont croisé cet homme se rassemblent du côté du bar. Pour les autres, je vous demande de bien vouloir vous rassembler sur les sièges du bas, ceux près des fenêtres et de ne pas quitter l’intérieur. »


Ainsi, même depuis le premier étage, ils auraient une vision sur ceux qui ne se pensaient pas liés à l’affaire. Si il s’agissait d’un assassinat, leur meurtrier pouvait tout à fait tenter de se glisser parmi les innocents.
Profitant du mouvement de foule, l’enquêteur s’approcha de la médecin. Autant pour avoir son diagnostic que faire le sien sur cette jeune femme.

« Mademoiselle. »

Accompagné d'une petite révérence de la tête, ce fut sa seule présentation. Après tout, il avait déjà décliné son identité au grand public.

Arthécate
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Crédits : Lorène Barioz

Univers fétiche : Med-Fan, même si je peux jouer sur n'importe quel contexte
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Arthécate
Dim 25 Fév - 12:06

Elisabeth Meyer
J'ai 26 ans et je vis à Mazenc>. Dans la vie, je suis médecin légiste et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma mes parents, je suis fiancée et je le vis plutôt bien.

Informations supplémentaires ici.



Je crains qu’immobiliser l’appareil en plein vol soit compliqué Mademoiselle. Et dangereux. Empêcher quiconque de sortir me paraît plus approprié.

Le regard de la jeune femme se pose sur l'individu qui vient de prendre la parole. Il s'agit de l'homme gigantesque qu'elle observait quelques minutes auparavant. Ce genre blond vêtu de vêtements étranges…

Et bien soit, rétorque-t-elle tout en se détournant pour mieux observer ce grand mystère médical gisant toujours sur le sol.

L'homme immense se présente tout en formulant quelques ordres. Le médecin ne l'écoute pourtant que d'une oreille indiscrète, son attention focalisée sur des choses bien plus intéressantes à ses yeux. Elle comprend néanmoins que cet étrange blondinet est parfaitement habilité à gérer cette situation préoccupante. Tant mieux.

Piquée à vif, sa curiosité maladive la pousse à demander à ce que le cadavre soit éloigné de la foule. Elle meurt d'envie de l'observer sous toutes les coutures afin de comprendre ce qu'il a pu arriver à ce pauvre homme… Tandis que l'on se charge de déplacer la dépouille, la bourgeoise se retourne vers l'enquêteur.

Mademoiselle.
Oh, pardon, lance-t-elle avant de lui tendre une main ferme en guise de salutations. Docteur Elisabeth Meyer, médecin légiste affectée à l'université d’Azen.

Et elle le restera jusqu'à son mariage prochain … Enfin, en théorie.

Je dois encore ausculter la victime mais, à première vue, il s'agirait d'un empoisonnement par voie externe. Le corps est déjà froid et rigide, mais c'est étrange … Cela dit, je ne sais pas quand cet homme à embarquer à bord de l'appareil, ni même s'il était accompagné.

Des informations qui lui seraient très utiles ne serait-ce que pour définir l'heure du décès et probablement identifier le poison. Enfin, encore faut-il trouver le point d'entrée dudit poison. Impossible d'envisager un suicide, aucune seringue, ni pointe n'a été retrouvée sur la victime. Par conséquent, il est fort probable que l'arme du crime se trouve quelque part autour d'eux, dissimulée dans les déchets ou sous un siège reculé. Après tout, il faudrait être stupide pour garder une telle preuve sur soi…

L'on vient alors annoncer que le corps vient d'être transféré dans le bureau du capitaine. Il n'y a donc plus qu'à…

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