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LE TEMPS D'UN RP

j'débarque dans ta vie comme un tsunami sur la mer paisible (chouu')

Gaïa
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Sabrina
Gaïa
Mar 30 Aoû - 22:03
Le contexte du RP
Mise en situation

La situation
Août 2022, Londres.
D'abord, il y a Axel, avocat redoutable dont la réputation n'est plus à faire. Ensuite, il y a Ada qui n'a qu'un objectif : trouver son géniteur. Quand la jeune fille trouve dans les affaires de sa mère décédée des lettres et des notes sur un certain Axel Malone, elle se doute qu'il s'agit de son père biologique. Après quelques recherches, elle trouve un avocat qui porte ce nom et qui exerce dans le coeur de Londres. Il est temps d'aller le rencontrer et de s'assurer qu'il s'agit bien de son père.

Contexte provenant de notre imagination.
Gaïa
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Sabrina
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Mar 30 Aoû - 22:13

Ada Lawson

J'ai 20 ans et je vis à Liverpool, Angleterre. Dans la vie,  j'enchaîne les petits boulots et je m'en sors moyennement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.

Ada est née le 4 mars 2002. Elle n'a jamais connu son père biologique. Toute sa vie, sa mère lui a caché l'identité de cet homme. Elle a été élevée à partir de ses cinq ans par l'homme que sa mère a épousé. Elle le considère comme son père mais elle s'est toujours questionnée sur l'identité de son géniteur.
Gamine turbulente, elle n'a jamais vraiment aimé l'école et l'a quittée dès qu'elle a pu. Elle vit depuis de nombreux petits boulots (babysitting, serveuse, employée chez McDo, vente à domicile...). Elle est passionnée de photographie.
Sa mère est décédée d'un cancer en 2021 et lui a laissé de nombreux documents concernant son père biologique. Ada s'est alors lancée dans une longue quête : trouver son géniteur !

crédit avatars : ethereal & bambi eyes.

J'débarque dans ta vie comme un tsunami sur la mer paisible.

j'débarque dans ta vie comme un tsunami sur la mer paisible (chouu') 3dcba8c28dc375121125fde1dc6af72922e472ee      j'débarque dans ta vie comme un tsunami sur la mer paisible (chouu') 48d0ca8ab75061e9847eb7d1da8ef8a24c55b4dd
Axel Malone & Ada Lawson

Me Axel Malone Les lettres brillent et Ada est sur le point de changer le cours de sa vie, de rencontrer enfin son géniteur, cet homme qui l’obsède depuis si longtemps. Et c’est ici, au cœur de la City qu’elle espère enfin le rencontrer. Les quelques lettres trouvées dans la boite laissée par sa mère et l’ayant guidée jusqu’à l’avocat sont soigneusement pliées dans son sac. D’un geste machinal, la rousse remonte le jean oversize qui tombe sur ses hanches. Maintenant qu’elle est postée en bas de cet immeuble et que ses yeux ne cessent de parcourir la plaque dorée, elle hésite. Et si c’était une erreur ? Si cet homme n’était qu’un homonyme ? Elle aurait l’air maline… Et s’il est celui qu’elle cherche, a-t-elle raison de venir le trouver ? Son téléphone vibre sur sa fesse. T’es la meilleure, courage. Ce mec ne sait pas encore la chance qu’il a. T’es merveilleuse ma fille je t’aime j'débarque dans ta vie comme un tsunami sur la mer paisible (chouu') 1f49b Elle sourit se fichant que les gens la prennent pour une imbécile heureuse. Son père, ou plutôt son beau-père, est le meilleur du monde. Elle envoie un simple cœur jaune, comme toujours. Son courage retrouvé, elle remonte une fois encore son pantalon et tire légèrement sur son crop top. Glissant à nouveau son portable dans sa poche, elle pousse la porte de l’immeuble et grimpe dans l’ascenseur jusqu’au cabinet d’avocats à l’air prestigieux. Depuis le décès de sa mère, elle a vu des notaires mais c’est la première fois qu’elle entre dans ce type de cabinet. D’une démarche qu’elle espère assurée, elle se dirige tout de suite vers la secrétaire. Serrant son sac contre elle, elle se racle la gorge. « Bonjour, est-ce que je pourrais voir Axel Malone ? » La secrétaire parfaitement apprêtée lève sur elle un regard ennuyé. « Vous avez rendez-vous avec Maître Malone ? » C’est là que les choses se compliquent. La jeune fille imagine bien que l’avocat ne reçoit pas sans rendez-vous. Sauf qu’Ada n’a pas le choix, c’est le seul lieu où elle peut espérer croiser son géniteur alors qu’elle ne connaît même pas son visage. « Alors… en fait… non, mais... » « Il ne reçoit pas sans rendez-vous. » La rousse essaye de ne pas se formaliser d’avoir ainsi été interrompue. « J’ai vraiment besoin de le voir. » La secrétaire a l’air intransigeante. « S’il vous plaît, c’est important ! Il faut absolument que je le vois ! » « Ce n’est pas possible Mademoiselle. » Ada réfléchit rapidement. Il lui reste deux options, s’inventer une affaire nécessitant l’avocat ou faire du bruit et espérer que l’homme sorte de son bureau. Elle choisit de parler plus fort. « Vous ne comprenez pas ! J’ai absolument besoin d’Axel Malone ! » La gamine insiste sur le nom tout en regardant autour d’elle. « Je vous en prie Madame, c’est une question de vie ou de mort ! » Ada a conscience que seule sa voix vient rompre la quiétude des lieux et elle espère bien que cela fonctionne.
Chouu'
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Chouu'
Mer 31 Aoû - 15:46

Axel Malone
J'ai 44 ans et je vis à Londres, Angleterre. Dans la vie, je suis le meilleur avocat du monde et je m'en sors merveilleusement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis libre, coureur de jupons, indépendant et je le vis plutôt très bien.

Arrogant avec tout le monde, macho mais je sais que les femmes adorent ça, riche et ça ne fait qu'augmenter, irrespectueux c'est souvent ce que l'on me reproche mais je suis surtout égoïste, acerbe et agressif dans les joutes verbales, charmeur naturellement, traumatisé par un passé violent, pianiste amateur ;
Des perles de sueur brillent sur mes tempes, mon souffle chaud et encore rapide s'échoue sur la nuque humide de la brune alors que mes doigts agrippés à ses hanches semblent ne plus pouvoir se détendre. Je déglutis, souris, embrasse une dernière fois sa peau mate et détache à regret nos corps tremblants.
J'aime beaucoup trop cette cliente pour qu'on soit capable de monter un bon dossier. Les entrevues s'enchainent, les heures de plaisir se cumulent tandis que la date du procès approche. J'avais promis à la belle un divorce détonant. Un délibéré gagnant.
A défaut de quoi ...

" Je t'ai fait une liste. Pour les confrères doués. "

Moins que moi, mais à n'en pas douter plus sérieux. Plus laids, aussi. Rose n'aura aucune envie de leur accorder mes privilèges et j'en suis ravi. Pas nécessairement jaloux mais toujours possessif, au début, j'aurai eu du mal à l'imaginer se faire prendre par un autre avocat.
Mes égos - personnel et professionnel - auraient été tous deux blessés.

" J'aimerai te dire que je suis désolé de ne pas pouvoir te défendre... Mais ce serait mentir. "

Elle rit.
Je préfère perdre une cliente et gagner une amante. Exquise. La future ex-madame Hilton m'aide à refermer ma chemise, s'empare de la liste et s'approche pour un baiser d'au-revoir quand les bruits de l'accueil montent jusqu'au bureau.
C'est rare... pour ne pas dire exceptionnel.

" Je te raccompagne. "

Très rare aussi. Mais une fois n'est pas coutume, je conduis la belle jusqu'à l'accueil en veillant à éloigner mes mains de sa silhouette quand la secrétaire, embarrassée, se précipite vers moi :

« Je suis désolée maître, c'est cette fille ! Je vais appeler la sécurité, je ne pensais que vous... »

" C'est bon Sylvie. On peut surement discuter. "

Rose quitte les lieux légèrement vexée de voir que je m'intéresse à une gamine écervelée. Mais en réalité je suis surtout contrarié. Je déteste les gens qui crient.
Je m'approche et la toise avant de croiser les bras :

" Oui ? Qu'est ce que vous me voulez ? "

Pas bien grande, trop rousse, des yeux magnifique, la peau si pâle et l'air hargneux d'un caniche gâté, elle ne m'inspire pas grand chose. Je soupire et me présente puisque visiblement elle n'a pas compris compris à qui elle avait affaire :

" Axel Malone, ce n'est pas moi que vous cherchez ? "

Gaïa
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Mer 31 Aoû - 18:42

Ada Lawson

J'ai 20 ans et je vis à Liverpool, Angleterre. Dans la vie,  j'enchaîne les petits boulots et je m'en sors moyennement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.

Ada est née le 4 mars 2002. Elle n'a jamais connu son père biologique. Toute sa vie, sa mère lui a caché l'identité de cet homme. Elle a été élevée à partir de ses cinq ans par l'homme que sa mère a épousé. Elle le considère comme son père mais elle s'est toujours questionnée sur l'identité de son géniteur.
Gamine turbulente, elle n'a jamais vraiment aimé l'école et l'a quittée dès qu'elle a pu. Elle vit depuis de nombreux petits boulots (babysitting, serveuse, employée chez McDo, vente à domicile...). Elle est passionnée de photographie.
Sa mère est décédée d'un cancer en 2021 et lui a laissé de nombreux documents concernant son père biologique. Ada s'est alors lancée dans une longue quête : trouver son géniteur !

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J'débarque dans ta vie comme un tsunami sur la mer paisible.

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Axel Malone & Ada Lawson

Ada s’agite un peu trop, elle le sait. Mais elle sent que la situation lui échappe, que cette secrétaire ne cédera jamais. Pourtant, maintenant qu’elle est ici, il est hors de question qu’elle reparte sans avoir vu l’homme qu’elle cherche. Elle refuse d’avoir fait tout ce chemin pour rien. Aujourd’hui doit être le jour où sa route croise celle de l’avocat. Quand la porte d’un bureau s’ouvre, la jeune fille se retourne. Son regard s’attarde sur l’homme et la femme qui en sortent. Puis, elle reporte son attention sur la secrétaire qui se lève déjà pour aller trouver le brun et l’accuser de causer de l’agitation dans les locaux. Bon… c’est vrai. « Non mais... » Ada veut se défendre alors que la secrétaire trop maquillée menace d’appeler la sécurité. Elle retient rapidement qu’elle appelle l’homme Maître. Bien, il est avocat, mais est-il celui qu’elle cherche avec tant de détermination. L’homme finit par s’approcher et se poster devant elle alors que la jolie femme qui l’accompagne s’en va. La rousse lève un peu la tête pour le regarder dans les yeux. Elle cligne plusieurs fois des paupières quand il lui demande ce qu’elle lui veut. Grand, l’air sûr de lui, un côté autoritaire, la mine de ceux qui ne doute jamais. L’avocat a de quoi impressionner et tout de suite la gamine ne sait plus vraiment où se mettre. Axel Malone la relance et Ada hoche vivement la tête. Ses mains sont moites et elle les essuie discrètement sur son jean, qu’elle remonte une nouvelle fois au passage. Elle est intimidée et elle a envie de faire demi tour, de lui demander de laisser tomber, d’oublier sa visite. Mais ses Doc Martens restent plantées dans le sol. Ce mec ne sait pas encore la chance qu’il a. T’es merveilleuse ma fille. Elle retrouve son courage, il faut. Son assurance refait surface, il est hors de question qu’elle laisse passer sa chance. « Ada Lawson. » lance-t-elle en tendant une main devant elle, en espérant que l’avocat décroise les bras, prête à ramener doucement son bras le long de son corps s’il choisit de ne pas bouger d’un pouce. Elle a donné son nom de famille sans réfléchir. Lawson est un nom répandu, s’il est son homme elle est sûre qu’il ne reconnaîtra pas le patronyme de sa mère. « C’est important, et… délicat. Est-ce qu’on pourrait parler au calme ? » La jeune fille est sur le point de lancer une conversation qu’elle ne tient pas à tenir dans l’entrée du cabinet, à portée des oreilles de tout le monde. Elle s’apprête à tout détruire sur son passage, elle le sait, il vaut mieux que cela se fasse le plus discrètement possible. « S’il vous plaît, j’ai vraiment besoin de vous parler. » Dans sa voix, on peut entendre l’urgence, l’appréhension mais aussi la détermination. Elle ne quitte pas l’homme du regard alors que les lettres rangées dans son sac semblent la brûler à travers le faux cuir usé.
Chouu'
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Chouu'
Mar 6 Sep - 10:56

Axel Malone
J'ai 44 ans et je vis à Londres, Angleterre. Dans la vie, je suis le meilleur avocat du monde et je m'en sors merveilleusement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis libre, coureur de jupons, indépendant et je le vis plutôt très bien.

Arrogant avec tout le monde, macho mais je sais que les femmes adorent ça, riche et ça ne fait qu'augmenter, irrespectueux c'est souvent ce que l'on me reproche mais je suis surtout égoïste, acerbe et agressif dans les joutes verbales, charmeur naturellement, traumatisé par un passé violent, pianiste amateur ;
J'aurai aimé pouvoir prendre une douche. Me servir un fond de whisky à savourer devant les quelques plaidoiries à terminer. Seul. Une mélodie de jazz pour unique compagnie et l'attention focalisée sur mes arguments défensifs. Je n'ai qu'une poignée de procès sans complexité particulière à venir, néanmoins je suis doué. J'ai une réputation à tenir, une image à renvoyer. Celle d'un avocat excellent qui fait des tours de magie même lorsqu'il s'agit d'une audience de formalité.

J'aurai aimé un peu de paix après la visite de Rose, mais cette gamine vient briser l'organisation de ma fin de journée.

« C’est important, et… délicat. Est-ce qu’on pourrait parler au calme ? »

Beh voyons.
Je soupire et observe la petite main tendue sans la lui prendre. Elle ne peut pas le savoir mais c'est par politesse. La secrétaire, elle, sait très bien de quoi était fait mon rendez-vous avec la belle métisse et me regarde de travers en essayant de ne pas rougir.
Elle fixe Ada - dont le patronyme ne me fait ni chaud ni froid.

« Mademoiselle, vous êtes dans l'un des meilleurs cabinets de la ville ! Vous ne pouvez pas ; »

La petite insiste et Sylvie m'insupporte :

" Ok. Venez. "

Tandis que la réceptionniste bégaye son incompréhension et son désaccord, je guide Ada jusqu'à une petite pièce faisant office de salle d'attente uniquement pour mes clients.
Trois larges fauteuils en cuir, une petite table sur laquelle ont été déposé des magazines - j'apparais dans certains articles - une antre de cheminée vide accueille une minuscule cave. J'attrape deux verres, ouvre ladite cave et sort un vin blanc français.

"Asseyez-vous. On ne sera pas dérangé ici. "

Dis-je en repoussant la porte d'un bout de pied. Après avoir servi les deux contenants je retire ma veste de costume et la pose sur le dossier de mon assise. Je prends place, légèrement avachi, le souffle enfin retrouvé.

" Quelque chose me dit que vous ne venez pas vraiment parler procès. Enfin, que vous n'avez pas besoin d'un avocat, je me trompe ? Vous voulez quoi, une offre de stage ? Vous êtes étudiante en journalisme ? "
Gaïa
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Gaïa
Mar 6 Sep - 11:52

Ada Lawson

J'ai 20 ans et je vis à Liverpool, Angleterre. Dans la vie,  j'enchaîne les petits boulots et je m'en sors moyennement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.

Ada est née le 4 mars 2002. Elle n'a jamais connu son père biologique. Toute sa vie, sa mère lui a caché l'identité de cet homme. Elle a été élevée à partir de ses cinq ans par l'homme que sa mère a épousé. Elle le considère comme son père mais elle s'est toujours questionnée sur l'identité de son géniteur.
Gamine turbulente, elle n'a jamais vraiment aimé l'école et l'a quittée dès qu'elle a pu. Elle vit depuis de nombreux petits boulots (babysitting, serveuse, employée chez McDo, vente à domicile...). Elle est passionnée de photographie.
Sa mère est décédée d'un cancer en 2021 et lui a laissé de nombreux documents concernant son père biologique. Ada s'est alors lancée dans une longue quête : trouver son géniteur !

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J'débarque dans ta vie comme un tsunami sur la mer paisible.

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Axel Malone & Ada Lawson

Ada laisse échapper un soupir de soulagement qu’elle ne peut pas cacher alors que l’avocat capitule et elle ne peut s’empêcher de lancer un regard victorieux à la réceptionniste qui semble sur le point de s’indigner. Fébrile, la jeune fille emboîte le pas de l’homme jusqu’à la pièce où il lui propose de s’asseoir. Hésitante, elle pose tout juste le bout de ses fesses sur l’un des fauteuils tout en suivant chacun des gestes d’Axel Malone du regard. Elle est décontenancée. Il n’a rien du genre d’hommes qu’elle imaginait sa mère fréquenter. Loin de l’air avenant de l’homme qui l’a élevée, le brun dégage une assurance insolente, déstabilisante. Ada le range tout de suite dans la catégorie de ceux qu’il vaut mieux avoir dans ses amis. Peu importe, elle n’est pas là pour s’en faire un ami ni un ennemi, elle cherche seulement la vérité. Étonnée mais se disant qu'il s'agit sans doute d'une pratique habituelle de son interlocuteur, elle attrape le verre qui lui est destiné, sans préciser qu’elle n’est légalement pas en âge de boire, l’avocat s’en rendra compte bien assez tôt. « Je vous remercie de me recevoir. » La rousse a bien conscience qu’il aurait aisément pu exiger qu’elle quitte les lieux, mais la curiosité doit être plus grande que le désir de quiétude. La gamine sourit légèrement, d’un sourire embarrassé quand Axel lui pose des questions. « Je ne viens pas parler procès, non. Et vous avez raison, je n’ai pas besoin d’un avocat. » Ses doigts se resserrent sur le verre qu’elle n’a pas encore porté à ses lèvres. « Je ne suis pas étudiante non plus. Et je ne crois pas que c’aurait été une manière appropriée de demander un stage. A moins que vous appréciez le culot... » Légère tentative d’en apprendre plus sur le caractère de celui qui lui fait face. « En réalité… Je suis là pour une affaire privée. » Sa main libre se pose à nouveau sur son sac, comme pour protéger les lettres qui justifient sa présence. « Je suis vraiment désolée pour… » Elle grimace avant de désigner la porte. « … tout ça. Mais c’est le seul endroit où je pouvais vous trouver. » Ada est tout même gênée de le déranger en plein travail. Mais c’était cela ou rien. Son regard trouve les orbes bruns. « C’est à propos de ma mère. » Son stress est à son comble et la rousse sent sa gorge se nouer. Elle se concentre pour ne pas laisser ses larmes lui échapper alors qu’elle est sur le point de dévoiler et de comprendre le plus grand secret de sa mère, le secret de sa propre existence. « Iris Lawson. Si je ne me trompe pas, vous la connaissiez, n’est-ce pas ? » La gamine est prête à attraper son téléphone pour lui montrer une photo de sa mère dans le cas où l’avocat aurait oublié la jolie rousse. Sans doute Axel va-t-il penser que c’est sa mère qui a besoin d’un avocat, mais Ada ne dit rien de plus, elle a besoin de prendre son temps. Pour elle, comme pour lui. Est-ce qu'on est supposé ressentir quelque chose de particulier au fond de soi quand on se retrouve face à son géniteur pour la première fois ?
Chouu'
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Jeu 15 Sep - 21:05

Axel Malone
J'ai 44 ans et je vis à Londres, Angleterre. Dans la vie, je suis le meilleur avocat du monde et je m'en sors merveilleusement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis libre, coureur de jupons, indépendant et je le vis plutôt très bien.

Arrogant avec tout le monde, macho mais je sais que les femmes adorent ça, riche et ça ne fait qu'augmenter, irrespectueux c'est souvent ce que l'on me reproche mais je suis surtout égoïste, acerbe et agressif dans les joutes verbales, charmeur naturellement, traumatisé par un passé violent, pianiste amateur ;

« Je ne suis pas étudiante non plus. Et je ne crois pas que c’aurait été une manière appropriée de demander un stage. A moins que vous appréciez le culot... »

J'adore le culot. Mais le culot intelligent, pertinent, efficace et percutant. J'aime quand il vient des femmes, qu'il provoque la sidération d'une assemblée vieillie et passive. Je suis toujours impressionné par le sexe faible quand il arrive à faire bouger les codes de la société, même l'espace d'une seconde, un battement de paupières sur les visages coincés des plus aisés.
J'aime quand une femme se fait entreprenante alors que j'envisageais qu'elle soit ma proie, et qui, de manière surprenante et délicieuse, parvient à me faire paraître à mon tour cible. Le jeu devient alors passionnant, grâce à ce culot...

Je souhaite à la rouquine d'être ainsi culottée à l'avenir. De développer une répartie acérée et docile à la fois : elle irait loin. Elle est déjà belle et je devine la finesse de son esprit.

Penchant le visage sur le côté, je l'entends me parler d'affaire privée.

" Oui ? "

Je l'incite à poursuivre en cherchant à avoir l'air rassurant. Elle a piqué ma curiosité, je veux savoir désormais même si une espèce d'appréhension malsaine se fraie un chemin dans mes idées.
Son stress, à la miss Lawson, il est palpable et contagieux bientôt.

« Iris Lawson. Si je ne me trompe pas, vous la connaissiez, n’est-ce pas ? »

...
Peut être ? Je n'en sais rien, mais si elle est venue jusqu'ici c'est que sa question n'en est pas une. Je connais donc sa mère, sans que l'identité révélée n'éveille chez moi le moindre souvenir.
Alors je grimace, perplexe, tandis qu'elle s'affaire dans son portable à la recherche d'une preuve, j'imagine.

" Je ne vais pas vous contredire mais plutôt vous décevoir : ce nom ne me dit rien. "

En revanche j'ai bien une idée de la nature de la relation que j'ai pu entretenir avec elle.
Je me frotte la nuque et m'interroge sur ses raisons. Pourquoi la mère, si elle me veut quelque chose, n'est elle pas venue directement ? A-t-elle un problème ? Est-elle en danger ? Elle disait ne pas chercher d'avocat, je crains de faire l'unique constat plausible.
Et je déglutis.

" Vous, euh, vous devriez partir. Tenez, mes coordonnées. Si votre mère souhaite s'entretenir avec moi je peux trouver un créneau mais vous ; "

Vous ne pouvez pas être ce que crient pourtant tous les indices.
Je me lève sans avoir touché à mon verre, lui tends ma carte et lui ouvre la porte, mal à l'aise.

Gaïa
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Gaïa
Ven 16 Sep - 16:36

Ada Lawson

J'ai 20 ans et je vis à Liverpool, Angleterre. Dans la vie,  j'enchaîne les petits boulots et je m'en sors moyennement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.

Ada est née le 4 mars 2002. Elle n'a jamais connu son père biologique. Toute sa vie, sa mère lui a caché l'identité de cet homme. Elle a été élevée à partir de ses cinq ans par l'homme que sa mère a épousé. Elle le considère comme son père mais elle s'est toujours questionnée sur l'identité de son géniteur.
Gamine turbulente, elle n'a jamais vraiment aimé l'école et l'a quittée dès qu'elle a pu. Elle vit depuis de nombreux petits boulots (babysitting, serveuse, employée chez McDo, vente à domicile...). Elle est passionnée de photographie.
Sa mère est décédée d'un cancer en 2021 et lui a laissé de nombreux documents concernant son père biologique. Ada s'est alors lancée dans une longue quête : trouver son géniteur !

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J'débarque dans ta vie comme un tsunami sur la mer paisible.

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Axel Malone & Ada Lawson

Ada se mordille la lèvre en attendant une réponse de l’avocat. Et quand il parle enfin, elle baisse la tête, déçue en effet. Déçue que quelqu’un ait pu oublier sa mère. Déçue que son géniteur soit visiblement le genre d’homme qui ne se souvient pas de ses conquêtes. Déçue de réaliser que la relation entre Iris et Axel n’avait probablement rien de sérieux, de comprendre qu’elle n’est pas le fruit d’une histoire d’amour. Parce que même si cela fait plus de vingt ans, on n’oublie pas l’identité d’une femme qu’on a aimé, n’est-ce pas ? Pour la première fois depuis le début de ses recherches, la jeune femme espère s’être trompée. Peut-être existe-t-il un autre avocat qui porte le même nom. Le visage d’Ada se décompose alors qu’elle sent que la situation lui échappe totalement. Il est hors de question qu’elle fasse demi-tour avant d’avoir obtenu des informations de la part de l’homme. Elle pose son verre plein, attrape la carte tendue mais ne se lève pas quand il ouvre la porte pour lui demander poliment de partir. La rousse plante son regard dans le sien et à nouveau, elle sent les larmes lui piquer les yeux. « Ma mère… elle ne viendra pas… enfin ce que je veux dire... » Ada perd pied. Les orbes clairs dans les orbes bruns. « Elle est décédée l’année dernière. » Elle fixe le plafond pour empêcher les larmes de dévaler ses joues. C’est toujours difficile de parler d’elle et avant même de venir, la jeune fille savait qu’il lui serait impossible de ne pas craquer. Elle se racle la gorge pour se redonner contenance puis pianote encore un peu sur l’écran de son téléphone. Quand elle trouve une photo d’Iris qui rit, les cheveux dans le vent, avant le terrible diagnostic, elle tourne l’objet dans la direction d’Axel. « S’il vous plaît, c’est ce qu’elle voulait que je fasse. » Si sa mère n’a pas eu le courage de lui dire la vérité de son vivant, elle s’est assurée de lui laisser tous les indices nécessaires pour remonter jusqu’à son géniteur. « Dîtes-moi que vous la reconnaissez. Elle le mérite. » Sa mère mérite mieux que l’oubli. Quand l’avocat se réinstalle en face d’elle, Ada reprend. « Je suis désolée. » Pour ce qui va suivre et d’être sur le point de changer votre vie à tout jamais. Elle n’a jamais été autant stressée qu’à cet instant. « Promettez-moi de ne pas m’interrompre… Je suis née le 4 mars 2002. Pendant longtemps, il n’y a eu que moi, ma mère et son secret. Elle n’a jamais voulu me donner le nom de mon géniteur, je ne sais pas pourquoi. » D’un geste fébrile, Ada sort de son sac les quelques lettres rédigées il y a vingt ans, alors que les échanges épistolaire commençaient déjà à se faire rares, les petits mots et les pages arrachées d’un journal intime. « Après son décès, j’ai retrouvé ça, au milieu de pleins d’autres choses, dans une boite qu’elle avait préparé pour moi. » La main tremblante, elle tend le paquet à Axel. « Est-ce que ce sont vos lettres ? Il y a votre nom de partout là-dedans. » Rapide coup d’œil à ses pieds, sa voix se fait un peu plus faible. « Alors, je me disais que c’était peut-être vous, mon géniteur. » Maintenant que les mots ont été prononcés, le temps est en suspend. C’est la chose la plus étrange de sa vie. « Je ne recherche pas un père. » ajoute-t-elle pour calmer l’angoisse qui s’est certainement emparée d’Axel. « J’ai été élevée par un homme extraordinaire qui sera toujours mon père. Je suis majeure, je ne vous demanderai aucun compte. J’ai seulement besoin de connaître la vérité sur ma naissance, de savoir qui je suis. Je ne peux qu’imaginer à quel point ce que je dis est difficile à entendre pour vous, mais s’il vous plaît, soyez honnête avec moi. C’est la seule chose que je vous demande, de l’honnêteté… » Pour se remettre de ses émotions, elle trempe enfin les lèvres dans verre tout en attendant une réaction du brun. « Ça va ? » Ne me faîtes pas une attaque…A nouveau les larmes aux yeux. « Dîtes quelque chose... » N’importe quoi.
Chouu'
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Chouu'
Lun 19 Sep - 15:36

Axel Malone
J'ai 44 ans et je vis à Londres, Angleterre. Dans la vie, je suis le meilleur avocat du monde et je m'en sors merveilleusement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis libre, coureur de jupons, indépendant et je le vis plutôt très bien.

Arrogant avec tout le monde, macho mais je sais que les femmes adorent ça, riche et ça ne fait qu'augmenter, irrespectueux c'est souvent ce que l'on me reproche mais je suis surtout égoïste, acerbe et agressif dans les joutes verbales, charmeur naturellement, traumatisé par un passé violent, pianiste amateur ;
La jeune femme m'annonce le décès de sa mère et je reste interdit. Pas tant gêné ni même attristé pour elle, juste embarrassé. Que fait-on de la détresse d'une gamine ? Elle est forcément mal à l'aise, elle a besoin de réconfort de mots doux et de soutien. Je ne sais pas prodiguer ces choses là même à des proches, alors une inconnue...
Je me mords la lèvre, incapable de formuler quoique ce soit sans avoir l'air menteur. Mieux vaut ne rien dire. Je me contente de hocher la tête.
Ok, sa mère ne viendra pas.

« S’il vous plaît, c’est ce qu’elle voulait que je fasse. »

Comment refuser ? Oh il y a bien des fois où j'ai été impertinent, insolent, discourtois pour ne pas dire simplement irrespectueux et méchant. A cet instant j'ai du mal à tourner le dos à la gamine. Allez savoir. La pénible intuition d'avoir compris ; la détresse de celui qui a été piégé - par la fille et sa mère !
Je regarde l'écran dernière génération et découvre un visage gracieux.

« Dîtes-moi que vous la reconnaissez. Elle le mérite. »

« ... Ça n'a rien à voir avec du mérite. Si ma mémoire me joue des tours ou si les personnes que je croise ne font rien d'assez remarquable pour que je me souvienne d'elles, ça n'est pas une question de mérite ! »

Agacé, encombré par des sentiments contraires, je serre les dents. Face à la rouquine, je regrette déjà de ne pas avoir franchi cette porte pour appeler à l'aide : qu'on la foute dehors. Je ne veux pas entendre ses histoires ;
Pourtant désormais je suis curieux. Je dois comprendre. Je dois avoir la certitude de mes appréhensions et j'acquiesce quand elle me demande de ne pas l'interrompre.
Vite. Que ce tête à tête prenne fin.

Forcément, j'avais vu juste. C'était trop gros. Trop évident. Je contiens un soupir et ma détresse se met momentanément en retrait lorsqu'elle sort un tas de lettres.
Mon cœur se serre doucement, sans douleur, je penche le visage sur le côté pour mieux observer les preuves d'un échange lointain. Tendre. Oublié.
Ranimé.

« Est-ce que ce sont vos lettres ? Il y a votre nom de partout là-dedans. »

Oui. Je crois que oui.
Je déglutis, retrouve quelques sensations du passé. Un goût de baiser, un éclat de rire unique, un attachement particulier pour une femme que j'ai blessée. Une histoire gâchée. Je ne suis plus sûr de rien. Pourquoi a-t-on cessé de se voir ?! J'ignorais sa grossesse, ce doit être la raison de son soudain silence mais je suis à peu près sûr de n'avoir pas beaucoup insisté pour la retrouver...
Si j'avais su ;
Si j'avais su, peut être que cela n'aurait rien changé.

Une main nerveuse passée sur le visage je me lève à nouveau. Ada prétend ne pas vouloir de père : m'en voilà ravi ! Elle avale de l'alcool et l'envie de m'enfiler une ou deux bouteilles me fait tourner la tête.

« Ça va ? [...] Dîtes quelque chose... »

« J'ai fréquenté Iris - enfin, ta mère - quelques mois mais... Enfin, je ne savais pas. » Dis-je en la désignant. « Je ne savais pas qu'elle avait eu un enfant. Je peux comprendre la recherche que tu fais et les lettres t'ont menées ici mais ça ne prouve rien. Tu comprends ? Elles sont datées ? Car je n'ai qu'une vague idée de la période et puis, elle avait p'tet d'autres amants. »

Sans la moindre crédibilité dans la voix, je crois savoir qu'Iris m'aimait bien. Beaucoup. Et qu'elle n'était pas du genre à côtoyer les loustics intéressés. Elle me voyait moi, c'était déjà suffisamment bizarre pour une fille si gentille ;
Je me rassois et frotte ma nuque douloureuse. Tendue.

« Tu as déjà un père merveilleux apparemment. Que veux-tu de moi ? »

Vivre intensément mes relations ok.
Les raconter c'est autre chose.
Surtout vingt après.
Surtout à celle qui en est peut être le fruit ;
Gaïa
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Lun 19 Sep - 22:44

Ada Lawson

J'ai 20 ans et je vis à Liverpool, Angleterre. Dans la vie,  j'enchaîne les petits boulots et je m'en sors moyennement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.

Ada est née le 4 mars 2002. Elle n'a jamais connu son père biologique. Toute sa vie, sa mère lui a caché l'identité de cet homme. Elle a été élevée à partir de ses cinq ans par l'homme que sa mère a épousé. Elle le considère comme son père mais elle s'est toujours questionnée sur l'identité de son géniteur.
Gamine turbulente, elle n'a jamais vraiment aimé l'école et l'a quittée dès qu'elle a pu. Elle vit depuis de nombreux petits boulots (babysitting, serveuse, employée chez McDo, vente à domicile...). Elle est passionnée de photographie.
Sa mère est décédée d'un cancer en 2021 et lui a laissé de nombreux documents concernant son père biologique. Ada s'est alors lancée dans une longue quête : trouver son géniteur !

crédit avatars : ethereal & bambi eyes.

J'débarque dans ta vie comme un tsunami sur la mer paisible.

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Axel Malone & Ada Lawson

Ada se retient de claquer sa langue contre son palais quand l’avocat insinue que sa mère aurait pu ne rien avoir de remarquable. Elle lui a toujours voué un amour sans borne. C’est de l’héroïne de sa vie dont il est question aujourd’hui et la jeune fille enverrait bien l’homme promener mais elle s’abstient, refusant de braquer Axel trop vite. Elle se concentre finalement sur son histoire, racontant sans réelle difficulté qui elle est et ce qu’elle a découvert. La rousse ne cache pas grand-chose. Elle veut convaincre le brun de lui faire confiance, elle veut qu’il lui dise tout ce qu’il sait sur Iris. Il y a dans sa vie un immense vide qu’Ada a besoin de combler. Elle peut lire dans son regard que les lettres sont de sa main et son estomac se serre d’appréhension. La jeune fille déglutit difficilement, les yeux grands ouverts, le corps légèrement penché vers l’avant quand l’avocat avoue avoir connu sa mère. Elle sourit nerveusement alors qu’il hésite, a du mal à la qualifier. Elle hoche la tête en serrant sa main sur son verre. Elle peut comprendre les doutes d’Axel, cela ne la désarçonne pas. Elle s’attendait à ce qu’il tente de la contredire, à ce qu’il essaie d’échapper à l’évidence. C’est une réaction normale. Mais la jeune femme se sent tout de même blessée qu’il sous entende que sa mère ait pu être volage. Elle peut tout de même entendre une hésitation dans la voix du brun. « Je pense qu’on sait tous les deux que ce n’était pas le genre de ma mère d’avoir plusieurs amants… » Elle parle doucement pour ne pas le brusquer. « Et apparemment vous n’étiez pas un grand fan des dates quand vous écriviez des lettres. » Elle préfère laisser une porte ouverte, ne pas trop s’emballer non plus. Il est possible qu’elle se trompe, même si la marge d’erreur se fait de plus en plus mince. « J’ai préparé et répété tellement de fois ce que je voulais vous dire… Et c’est si étrange maintenant… Je… Désolée. Je ne veux pas grand-chose de vous. J’ai besoin de savoir d’où je viens, qui je suis. Tout le monde a le droit de connaître la vérité sur sa naissance, n’est-ce pas ? Et j’ai besoin de vous pour ça. J’aimerais que vous me permettiez d’obtenir moi aussi ce droit. » Ada s’embrouille mais c’est si compliqué de se retrouver dans cette situation. « Je ne peux pas vous y obliger mais il y a bien une solution pour qu’on soit sûrs… » Elle se racle la gorge tout en se tordant les mains. « Pas aujourd’hui bien sûr ! Mais quand vous aurez un peu de temps, est-ce qu’on pourrait envisager un test adn ? » Les larmes lui monte à nouveau aux yeux et la jeune fille passe une main sur ses joues. « Vous voulez bien me parler d’elle ? De votre histoire ? De qui elle était quand vous l'avez rencontrée ? Je peux vous tutoyer ? »
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